L’Assoiffée · été 2005. Il leur explique ce par excellence désignant l’idiot du village,...

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- Revue de presse - L’Assoiffée éditions Zoé – 2009 La Tribune de Genève, 25 avril 2009.

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- Revue de presse -

L’Assoiffée

éditions Zoé – 2009

La Tribune de Genève, 25 avril 2009.

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24 Heures, 13 février 2009.

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La Gruyère, 2 avril 2009.

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Le Temps, 14 février 2009.

Journal de Morges, 13 février 2009.

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La Liberté, 12 février 2009.

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Le Courrier, 14 février 2009.

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Terre et nature, 2 avril 2009.

24 Heures, 22 octobre 2007.

22 LUNDI 22 OCTOBRE 200724 HEURESLAUSANNE

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L’Hôtel Ibis ne veut plus êtreassocié à l’image d’un saunaCRISSIERLe Tribunal administratifdevra certainementse pencher sur le sortdu New Paradise. Ce sauna,indépendant mais situé dansle même complexe que l’Ibis,est au centre de plusieursprocédures.

PATRICK COMBREMONT

A lors que la nouvelle loivaudoise sur la prosti-tution était entrée en

vigueur, le sauna le New Para-dise a connu une descente depolice. C’était au mois de no-vembre de l’année dernière. Plu-sieurs femmes, une dizaine se-lon nos informations, y ontalors été contrôlées en situationirrégulière. Le «sauna et bainturc mixtes» a ainsi fait l’objetd’une ordonnance pénale. Con-tre laquelle il y a opposition,indique son avocat, Me JoséCoret.

Au-delà du fait qu’il s’agitd’un lieu de rencontre éroti-ques, la question du sort dusauna est intéressante juridi-quement, car elle touche à l’in-terprétation de l’accord du pro-priétaire d’un immeuble ou deses copropriétaires.

Fermeture suspendueA la suite de ce contrôle, un

avis de fermeture a été renduau niveau administratif. Parmiles motifs: l’absence d’un ac-cord des propriétaires pour cegenre d’activité, accord désor-mais exigé par la loi, selon lapolice cantonale du commerce.Le sauna a cependant obtenuun effet suspensif, jusqu’à finoctobre.

L’hôtel Ibis, lui, est établidans le même bâtiment depuisquinze ans. Soit déjà bien avant

le sauna. Géré par Crissotel SA,c’est le plus important copro-priétaire. Il représente ainsideux tiers des parts du com-plexe immeuble situé au che-min de l’Esparcette.

Et l’administration de la so-ciété confirme que la proximitédu sauna, qui n’a rien à voiravec l’hôtel, dérange. Il provo-querait des inconvénients vis-à-

vis de sa clientèle. Pour l’hôtel,c’est surtout une question d’as-sociation d’image. Le nom del’Ibis est en effet utilisé poursituer l’adresse du sauna. Qui setrouve à l’arrière et au sous-soldu même bâtiment.

Il est ainsi fréquent que despersonnes viennent demanderà l’hôtel «le service annexe»,utilisent le parking, ou même

abordent le personnel hôtelierle soir, évoque la direction.

En douce…Les locaux étaient aupara-

vant occupés par un fitness etun bar. Le changement d’acti-vité se serait en outre fait «endouce», en marge de la PPE,avant de devenir «officiel» de-puis 2005 seulement.

Saisissant l’opportunité de lanouvelle loi vaudoise, l’hôtel etun autre locataire ont entaméune procédure civile contre lesauna. Qui est aujourd’hui sus-pendue en attente d’une éven-tuelle décision du Tribunal ad-ministratif. De son côté, solli-cité, le propriétaire des locauxdu sauna, Robert Isler, n’a pasrappelé.£

VOISINAGE Situé à l’arrière et au sous-sol du même complexe immobilier que l’Ibis, le lieu de rencontre n’a toutefois rien à voiravec l’hôtel. En raison des inconvénients, ce dernier a entamé une procédure civile. CRISSIER, LE 19 OCTOBRE 2007

PHILI

PPE

MAED

ER

Pour une villesans fourrure

CAMPAGNETrois groupes d’activistesveulent créer à Lausanneun label pour les commerçantsne vendant pas de pelisse.

Samedi à la Palud, ils distri-buaient des tracts aux Lausan-nois venus acheter leurs carotteset poireaux. Pour leur campagnecommune, le Groupe d’activistescontre la fourrure, LausAnima-liste et Stop fourrure ont montéun stand illustrant les sévicessubis par les animaux là où lalégislation est plus laxiste qu’enSuisse. «Ces êtres sont élevésdans des conditions concentra-tionnaires», dénonce OlivierKoelliker, activiste antifourrure.Il montre des photos où lesbêtes sont enfermées dans descages trop petites ou sont bles-sées, avant d’être gazées, électro-cutées ou empoisonnées. «Lesanimaux sont tués de sorte quela fourrure ne soit pas abîmée»,explique le militant.

Alors que les grands man-teaux à poils se font rares, pourles détracteurs du matériau,une telle campagne reste néces-saire. La pelisse continue de sevendre sous forme de cols, dou-blures, manchettes et mêmejouets. Inspirés par l’exemplezurichois, les groupes récoltentdes signatures en vue de créerun label «sans fourrure» pourdistinguer les commerçants qui,comme ceux de la rue de l’Ale,renoncent à ce type de mar-chandise. MARCO FERRARA

CHRIS

TIAN

BRUN

Les militants antifourrure ontdistribué des tracts dénonçantles sévices subis par les animaux.

Le jeune Lausannois Blaise Hofmann trouveune nouvelle inspiration à New YorkÉCRITUREGrand voyageur,l’auteur vaudois a passéun mois dans une résidencepour écrivains de lacampagne new-yorkaise.

Cela fait bizarre d’entendreparler de lui un vendredi soiren plein cœur de New York.Lui, c’est le «toyet du village»,l’un des personnages d’Estive,le deuxième roman de BlaiseHofmann. Il y a trois jours, lejeune auteur vaudois a été in-vité par l’attachée culturelle duconsulat de Suisse à New Yorkà lire en français des passagesde ses deux ouvrages.

«C’est un peu bizarre pourmoi, lance Blaise Hofmann àl’assistance en préambule à lalecture. C’est comme unvoyage. Je connais le point dedépart mais je ne sais pas oùnous serons dans quelques mi-nutes.»

Loin de l’Upper East SideBlaise Hofmann emmène ses

auditeurs loin des rues cossuesde l’Upper East Side de laGrande Pomme et les guidejusque dans la vallée de Lon-grain – dans les Préalpes vau-doises –, où il a passé plusieursmois comme berger enété 2005. Il leur explique cequ’est un toyet, «vaudoiserie»

par excellence désignant l’idiotdu village, et raconte son quo-tidien dans les pâturages aumilieu des moutons.

Grâce à Pro HelvetiaOn retrouve Blaise Hofmann

le lendemain, dans un bistrotde Brooklyn. Sur invitation dePro Helvetia, l’auteur vaudoisde 29 ans vient de passer unmois à la Ledig House. Danscette résidence pour écrivainsà Hudson, au nord de laGrande Pomme, il a côtoyé unedizaine d’auteurs dont «un ro-mancier brésilien, un poèteaustralien, une traductrice pa-risienne et une journaliste alle-mande qui a passé beaucoupde temps en Irak».

La seule condition pourcette équipée hétéroclite étaitde partager les repas du soir.«C’était étrange car nousétions loin du monde, dit-il.Cette expérience de la coupurefut la plus intéressante.»Blaise Hofmann en a profitépour terminer une fiction.

Gangsters à canichesL’auteur quitte la Grande

Pomme aujourd’hui pour ren-trer à Lausanne. «J’aime bienla phrase «New York est laseule ville où je ne me sens pasétranger», glisse-t-il. Je n’écri-rais jamais sur New York sansy vivre. Mais si je le faisais

aujourd’hui, je crois que jeparlerais notamment desgangsters de Harlem qui pro-mènent des caniches dans Cen-tral Park.» Image marquanted’un incessant voyage que

l’auteur vaudois devrait re-prendre l’année prochainedans les pays de la Méditerra-née.

JEAN-COSME DELALOYENEW YORK

L’auteur vaudois lit ici des passages de ses ouvrages lors d’une soiréequi lui était consacrée à New York.

JARIN

BLAS

CHKE

25 000 visiteurs pour les5000 animaux d’AnimaliaBEAULIEULe salon animalier enregistreune fréquentation en haussepar rapport à l’an dernier.

Familles, professionnels et pas-sionnés d’animaux se sont pré-cipités au Palais de Beaulieu ceweek-end, pour le plus grandsalon animalier de Suisse. Lesquelque 5000 animaux en tousgenres de la 13e édition d’Ani-malia ont attiré près de

25 000 visiteurs. La manifesta-tion enregistre ainsi une fré-quentation en hausse de 13,5%.

Les animations ont séduit lepublic. Outre les concours debeauté pour les chiens et leschats, Animalia a accueilli leChampionnat suisse d’agility.Les défilés de prêt-à-porter ca-nin ont reçu les faveurs desvisiteurs. Enfin, l’Associationromande des clubs d’aquario-philes et terrariophiles y a célé-bré son 30e anniversaire. A. DZ

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Radio 27.03.09 : Que de la radio, Couleur 3

7.03.09 : Librairie Francophone, France Info

4.03.09 : Entre les lignes, Espace 2

27.02.09 : Rien n’est joué, RSR1

TV

12.3.09 : Tard pour Bar, TSR 1 18.2.09 : JT 12h45, TSR1