La petite bouche.

Par Laurent Cancé Francisalias Laurent Louis.

I. Le chat souriant.

I. La vie n'est faite que de certitudes, sauf pourceux qui doutent en sachant pourquoi.

Finalement, ce qui n'était qu'une insulte à la manne,fut honteusement une atteinte à devoir encore serépéter aux ingrats. Il ne venait pas d'autressolutions que cette finalité, un jour produisant toutela ferveur que l'on puisse coder dans les esprits, etles hontes ne sont jamais singulières, autant qu'il nes'agit pas de honte à ce jour, mais plutôtl'incompréhension de fous complètement débiles etque la sagesse du propos occulte, on l'espère.

La jeune garde, et se garde bien de trop se montrer,car il ne vient aucune flatulence à payer et il ne doitpas en être question. Ce qui est un manque chez lesuns est compensé chez les autres, ce qui leur paraîtnormal, le petit soldat ridicule à pris le ton d'unemusique vieille de millénaire, je ne suis pasresponsable de l'erreur commise, mais il s'agit biend'une erreur à celui qui ne sait pas non plus, que cequi est écrit devient rapidement parole divine auxyeux de tous, pour peu que l'on sache où regarder.

L'essence d'une idée est immortelle pour soncréateur, si ce n'est que parfois l'usure en donne unautre sens, sans oublier que le vent me suit.

Dire que la vieillesse est une saloperie est un abusde langage. Les vieilles rouges se vendent très bien,les offres de l'existence sont toujours plus

abondantes, certes les salauds qui nous agglutinentpour leurs fantasmes sont sales et pervers, mais ilvient que la merde d'autrui se sentira quand elle sefera trop présente. Un progrès.

La lutte contre l'ingratitude est la pièce maîtresse del'œuvre des plus démunis, car peu de choses ont quelqu’unes valeurs, surtout pas l'obésité, car il s'agitd'un fait dégoulinant au ralenti. La nouvelle faisaitfureur à l'esprit des plus saoul, l'alcool se soignequand ton ça fume, il s'agit de phénomènes quis'annihilent à mathématiques près, des plus et desmoins, mais de manière propre, sans plastique àl'abandon, et sans mouchoir pour essuie-tout,l'intelligence actuelle est une ode à la supercherie.

Être présent est ce que je n'autorise plus pour cespervers et autres perverses. Il ne s'agit que dudiscours de l'automata, et non plus des fantasmesd'une vieille bique haineuse qui se prend pour l'éluedes petits médiocres de la psychiatrie. L'innocenceet la bonne foi ont bien plus de valeur que la merde,et non, je ne changerai jamais.

Parce que, dans le trou du cul immonde dans lequelon vit, je n'autorise pas l'intérêt pour cette mannemédiocre décadente d'un pourrissement général. Jereste confiant, même avec un ulcère de la taille d'unpaume de la main, et toutes ces étrangetés quienvahissent l 'espace, il ne s 'agit pas d'unrenoncement, il est vrai qu'on puisse croire à un

stimuli, mais bel et bien d'une amitié sans faille,euh...inhumaine.

Faute à pas de chance, je ne donne pas de solution àdes problèmes stupides, j'ai vraiment pas vouluétudier la stupidité des autres, chacun son mea-culpa. Le fait est que j'étudie l'inconscient, que maméthode est déjà officielle, tout comme mondjumbe est définitivement parti au paradis desdjumbe, et que ce fut une étrange histoire dontl'humanité se trouve grandie, quand on saura faire lapart des choses, somme-toute.

La criminalité n'est pas de l'humour, même gras etl'absence de choix est la preuve de l'ignoranced'autrui, car il ne s'agit que de tirer profit par abusde confiance et mégalomanies de mes travaux, quela mort nous rend sans compter, c'est ce qu'ils nesavaient pas aujourd'hui.

L'érotisme s'oublie aux yeux de l'exigence decertaines perversions, ce qui faute de mieux, secomplaisant à l'inutile, sans équivoque, car de toutefaçon, l'oubli devient us. C'est à même de laprétention d'une négation qu'il convient deprétendre à l'effet tant désiré mais qu'il convientd'en cacher l'essentiel sur toute cette panoplie dediables qui nuisent sans que l'on ne prenneconscience de l'erreur commise, ou peut-être pasl'idolâtrie de vieilles charrues, et de déglingages qu'ilfaille se souvenir, peut-être que l'histoire a tout

simplement été mal écrite, et c'est le seul salut, carnous sommes l'intelligence, et même si encore peule reconnaissent, il convient de faire autre choseque salir et polluer, repeindre les murs d'une vieillemaison ne change pas son âme tant et si bien quenous ne partageons pas ce qui n'est qu'à nous, quel'insistance à vouloir duper n'est pas de rigueur, etque cet érotisme, est précocité, ce qui a étédémontré, mes amies et moi, et nos enfants.Vraiment, je ne vois pas pourquoi faire la distinctionentre basse-oeuvres et miracles, quand il s'agit de lamême personne, ou alors garder le petit monde àsoi, ou alors ne pas vouloir vexer, ou alors laisser desgens se confondre et pervertir la beauté ?

Ma première hypothèse définissait un modèle relatifau fonctionnement cérébral que je pensais tropartificiel, mais que j'ai démontré récemment enprouvant l'existence d'un flux permanent etcohérent; il ne s'agit pas d'une présence, ou d'uneélaboration singulière. Quant à la caractérisation, ils'avère que le flux est transluminique et donc n'a quela cohérence que l'on entrevoit, ce qui n'est plus lerosier du jardin de manger avant de s'endormir pourfaire des rêves plus intenses à la mesure où on parle,mais bel et bien la possibilité d'effectuer unesynthèse ou un précipité. L'idée découle surtoutd'algorithmes que je défini pour toutes un éventailde codification de données sensorielles, et surtout ladématérialisation du stimuli et l'expression de laphilosophie.

Le flux est connu depuis des millénaires par lesanimaux, et influence dans sa connaissance levivant, mais il ne s'agit pas de l'intelligence, juste lacompréhension de la quantification à la fois desneurones et autant de l'expression du génome; ducoup, la conception de l'homme-savant n'est plus unebasse-œuvre en négation, et la faisabilité de l'innéen codification, par l'existence du simple fluxdémontré.

Peu importe que la douleur soit le seul facteur de lamusculation, la vérité c'est que l'intelligence ausummum est mimétisable, tout comme la merde quien découle cause l'échec d'autrui. Cela dit, semuscler en restant assis n'est pas la panacée, mêmesi cela paraît amusant, il y a quand même des effortsà faire, surtout qu'il ne peut être remis en cause lefait que se bouger un peu est quand même ledéclencheur de l'accroissement musculaire sans quoiles muscles s'atrophient comme pour la vieillesse etquand je vois ces pédés qui me traitentd'hypocondriaque et qui se demandent pour les plusbelles femmes me font totalement confiance, celadevient un jeu d'enfant où ils ne sont que l'essencedes acariâtres.Quoiqu'il en soit, le sacerdoce induit un schème depensées; que j'eusse choisi de quitter l'écoled'ingénieur que j'avais intégrée pour obtenir undiplôme de physique qui m'aura été encore plus utilequ'étudier des algos primitifs, et établir un protocole

d'expérimentation relatif, est encore d'actualité.

Pire, cette ignorance que l'on nomme "doute" qui nerelate que d'un concept de mécanisation du cerveau,pour ne pas vraiment savoir ce qu'il advient aux yeuxdes enluminés, est une insulte; mon génie estinébranlable.

Qu'elle ne fut la surprise en constatant qu'il n'y avaitpas d'erreur à mon raisonnement. Un raisonnementencore étranger même à ceux qui prétendent fairepartie de l'élite et qui ne rechignent devant aucundéshonneur pour prétendre être pensant. Montrerson cul aux connes ou se badigeonner de couards, entermes anciens, cela signifient toujours parler à desgueux, la saleté de cette populace sentant jusqu'auxmonts, les usurpations des uns faisant l'excuse desautres à me parasiter, et c'est bien cette matière làqu'il faut travailler.

Pour en revenir à cette option de solution, il nes'agit que de la forme écrite simplement, bien qu'ilfaille beaucoup plus d'idées de ce monde pourdéfinir l'odorat de manière atomique. Reste que j'aidéjà fait mon Art, qu'encore personne n'apporte quoique ce soit à l'édifice, et que je ne me soumettraispas à cette manne perverse qui s'oubliait encorerécemment. Il n'y a vraiment pas eu de progrès, vuque ce sont aussi des gueux qui ont voulu leur partde privilèges, et je ne serais pas l'ami non plus de lapropagande, le délit.

Nous œuvrons pour ceux qui nous aiment, il ne fautpas l'oublier.

Cela ne sert à rien de se saigner pour les autres, ilsne sont en général que des ingrats; ingratitudes quivirent à la bouffonneries, et même quand on estfatigué, les plus démunis intellectuellement ont desfantasmes qui nous pourrissent la vie, qui plus est onsent déjà qu'une page des précipices de l'histoire dela sexualité semble se tourner, avec ce phénomèneen sus, cela devient bien évidemment le pirecauchemar des gens prudes !

Il reste encore de nombreuses insatisfaites, et il estpresque ringard de discuter de plaisirs avec elles, jene parle bien entendu que d'extase des sens, et dedivinations des rêves de celles qui ne sont pasvraiment les cadavres du cimetière près de monpetit havre prétendument de paix, mais qui fut lethéâtre du retour des morts vivants sur la scèneinternationale, que les vents ont soufflés car parmanie, ils prétendaient que le monde ne fut pasl'œuvre d'un cadavre, que le Roi était parti il y alongtemps et les a oublié, que le rêve d'un monden'est aux yeux d'un enfant que les mensonges desadultes, j'oublie peut-être la parole divine pourpenser que ce qui était rêvé puisse un jour êtreréalité, mais je ne sais vraiment pas pourquoi j'eusattendu si longtemps avant de partir moi aussi, quecela ne fut qu'une histoire que l'on oublie autant.

J'attends encore.

On se pose des questions souvent, sans même lavolonté d'y répondre, mais se demander pourquoi onurine par le -même- trou, est certainement la clefpour entre-apercevoir l ' idée d ' immaculéeconception, et la langue est d'un secours àl'intelligence dans ce monde qui, ne cherchant quele divertissement, pullule les halls de gare du toutvivant, chose induite par le "consommable".

De toutes les considérations, finalement, le tempsest plus facile à appréhender que le caractère,pourtant inhérent au temps. Sans doute une formede passion à considérer le monde moderne, simplistede considérations, même si le temps est pour ainsidire impalpable, invisible. Il vient donc, que monsystème complexe est résolu une nouvelle fois, maisles notions s'expriment de manière prompt à laforme de leur définition qui n'est pas encore un faitd'actualité.

Disons que la connaissance du caractère dépendd'une plus longue étude, ce qui en augmente lacomplexité, mais dont l'énumération des possiblesest infini, ce qui n'est pas de l’œuvre matérielle.

La seule lueur dans l'obscurité; qu'un peu de tempsnous soit gardé que pour nous, ce qui n'est pasforcément l'adage de tous, mais que l'impression dedépendance fait fantasmer beaucoup de monde, en

bien ou en mal.

Ce qui n'est pas correct est l'acharnement; je nepourrais jamais me taire définitivement, mais cen'est pas ce que l'on discute, face à tout les mursque j'ai bâtis entre qui ? Le jeu en voulait lachandelle, le jeu fut plusieurs miracles, mais le motest une usurpation, ou alors un phonème de nonsens, car il s'agit de l'état le plus haut de la sciencecontemporaine, mais le bon sens échappe déjà àceux qui n'en veulent pas, comme on ne veut pasd'eux, du coup, j'écoute les bâtisseurs de mes murs,on y trouve un autre monde, ou dormir se fait plusdoux, je ne me souviens pas d'avoir rêvé cette nuitlà.

Ce ne sont pas vraiment des pulsions quiconditionnent le sommeil, à mesure où il s'agit de lapousse des ongles. Quand les ongles ne poussent pas,on peine à trouver le sommeil, mais dans notre"civilisation", les femmes arborent des ongles mi-longs, pour pas trop ressembler à des sorcières, et lapousse plus lente des ongles produit donc cepotentiel à ne pas s'endormir. Physiquement etbiologiquement, on sent plusieurs fois sa mort danssa vie, ce qui défini une distribution en strates, queles os se cassent essentiellement sur la longueur, etque sans os, ça ferait très mal, mais par abstraction,le sommeil est lié. Ce ne sont pas des frustrations oùle psy serait Roi.

Raccourcir une corde en déroulant une spirale poursimuler les ondes d'un fluide n'est pas vraiment l'idéed'un génie qui puisse prétendre l'être, surtout dansl'idée de laisser quelqu'un se reposer tranquille !

L'idée est toute simple, et le phénomène aussiamusant que d'autres de mes modèles, et il ne vientà l'esprit que la génération de nombres aléatoirespour simplifier le schéma que j'ai déjà donné, etpour compléter l 'utilité spécifique d'un telalgorithme, chose qui n'est pas évidente pour tout lemonde, mais qui peut-être utile pour définir lechamp d'action de l'intelligence, et ainsi un modèlese fait plus réel que la discrétisation...C'est vraimentdésolant de devoir tout rabâcher !

Il s'agit surtout d'une question essentielle pour lascience de savoir si on perçoit de la lumière quandon entend des sons, et relativement à la psyché, lesm o m e n t s d e p l e i n e c o n s c i e n c e d e s o nenvironnement quand quelqu'un nous parle ouinversement. L'idée est que l'on ne mesure pas lesmêmes espaces pour peu que l'on puisse définir desespaces méromorphiques, ou des ensembles dediscrétisations fonctionnelles, l'idée d'espacesmultidimensionnels d'un nombre supérieur à 4. Cequi est encore plus considérable en atomisticité estde définir le lien entre l'onde sonore et l'ondelumineuse et juxtaposant l'idée de perception, cequi abouti à la finalité de mon travail sur l'arche.

Le gros problème de la douceur, c'est qu'elle est lasource des jalousies, par l'age et par la recherche dubien-être. Cette idée de monde violent où on soigneses blessures par du sparadrap à l'emporte pièce, esttotalement artificielle et n'engendre que dessymboles de marque et de propagande, ce quiexplique encore un peu plus la dégénérescence dubesoin, alors qu'il existe un temps heureux que l'onoublie pour des humeurs.

La fin justifie les moyens quoi que l'on fasse et c'estinexorable, en ce sens que la vie est mortelle, etpeu importe les courbes que l'on emprunte la finalitéfait le chemin. Je ne dis pas qu'on a tous les droits,juste une ambition raisonnable. C'est le décalageentre les propagandes des mythomanes, parce qu'ilssont en nombre, et le travail de parcimonie qualifiéd'avant-gardiste ou surnaturel : la douceur.

Et puis non, il n'y a aucune matière à la psychologieactuelle, je démontre le principe d'équivalence. Ladouleur n'est qu'une perception plus aiguë de laréalité...

II. On reconnaît une chose comme on nous la dessinedans la tête.

Faut dire qu'on ne peut pas rêver mieux commeendroit à vivre à ne pas être aimé...Mais on ne peutplus se taire sans être entendu, ce qui n'est pasl'ordre des choses, mais qui rêve encore de l'éternité

avec tous ces selfies pour ultimes raisons d'exister àchacun sa vie inoubliable. Le premier selfie est unehistoire longue de 25 ans à travailler d'arrache-pieds,parfois même la nuit, et même si le travail est unebonne chose en soi, il y a travaux et travaux;certains parfois ne reconnaissant pas l'expériencepour rêver de parasitismes, finalement, parce quepsychologiquement, même si le travail intellectuelest très contraignant, la vérité est que la vieillesserattrape tout le monde, et que quand on est loin ducœur, ou loin des yeux, tout n'est pas vraimentl'usage de commodités...

Je maintiens donc que même en école d'ingénieur,certains font plus efforts de mémoire que decompréhension, ce qui correspond encore à deshistoires à dormir debout où ces gens singent l'ego.

Ce n'est qu'une somme de dérives sectairesmythomaniaques et perverses, de l'ordre du grandn'importe quoi, de jalousies et de schizophrénies,mais d'être le premier à en avoir conscience, j'auraisété victime de la stupidité et de leurs débilités.Toutes les hallucinations sont de synthèses, je merépète, et m'avoir dérangé pendant mon travail poursoigner leurs habits tout crottés, parce que ces genssont lâches et pensent à peine à leur toilette,l'idiotie relative est devenue une mode, ce qui necorrespond à aucune de leurs considérations pour lacontemporanéité, ni même de l'ordre du spleen,l'aventure étant une chose saine, la vérité une

preuve du bon sens, mais il s'agissait de faire rêvertout un tas de bonnes femmes de faire l'amour avecmoi, et nous vieillirons avec l'intelligence, car cen'avait encore été jamais fait, et que mesrecherches sont encore plus abouties, mais pour cequi est de la mémoire, le lien avec la culture est trèsimportant, et la solution n'est pas écrite au plafond.

La compréhension à l'étal du langage, où l'humanitése conforme à l'application de l'intelligence et dansune mesure d'élaboration que chaque langage peutêtre optimisé à un seul code que j'ai donc prouvé etqui s'écrit en résolution de mon système dont j'ai putrouvé quelques résolutions singulières, on rêve,hum ?

Cette sous-espèce, intermédiaire, n'est que ledégueulis d'attardés mentaux, le délire de gros conscomplètement débiles et de frustrées asservies parla mauvaise foi, autrement dit de mettre une capote!

On peut être plus ou moins crétins, mais la fidéliténe s'achète pas, et la raison l'emporte toujours sur lapassion, sinon elle est mortelle, et de toutes lesfaçons, la mort est plus douce pour ceux qui laconnaisse, parce que jouer à pipi-caca est bien enbas de l'échelle humaniste, et que briller la nuit estd'être une étoile car la lune est juste éclairée;phénomène étrange que l'abrutissement de lamédiocrité artistique depuis des décennies conduit à

l'ignorance de poèmes excellents écrits depuis desdizaines de milliers d'années à ce sujet.

L'intelligence non plus ne s'achète pas, et l'espoird'éviter une guerre est subtil, alors que l'ignoranceest de lassitude.

Le bon sens est la seule force qui permet de semouvoir en termes de rigueur, phénomène plutôtrare car la solitude est aussi rare, mais le fait estbien la description d'un mouvement, autrement ditd'un son, ce qui défini aussi bien le travail de scienceque j'ai effectué pour des questions, en réalité,essentielles au bon entendement, mais l'aventurevaut plus que l'amitié de ces singes, le résultat deplusieurs décennies de recherches et de rigueursmathématiques, ce qui ne s'obtient pas en pleindélire, ou à voler le temps aux autres, et je n'ai pasplus envie de discuter avec des inconnues que l'anpassé, de devoir se répéter, avec une versionaméliorée de l'histoire car entre-temps j'aiperfectionné ma compréhension, le résultat d'untravail introspectif, ce qui n'est pas vraiment l'ordrede ces créatures décadentes de la psychiatrie. Maisalors, quand c'est pas raconté pareil, sans mêmefaire l'effort de comprendre ce qui est dit, chosequasiment impossible pour ces aliénés, il n'y a pasbesoin d'avoir plus envie que d'habitude, ce n'est pasle problème, le bavardage. Vraiment, quand on abesoin d'ami(s) pour se souvenir, ça m’intéresse plusde discuter, questions d'intentions.

Il y a effectivement une logique hermétique à toutesles religions, l'idéal de suivre les vents anciens pourne pas douter ou croire encore en soi, même dans ladébâcle et l'attachement. Mais, il ne vient aucundroit à professer les inepties même qu'elles soientscientifiques. Une partie de mon travail depuis monenfance s'est concrétisé il y a près de quinze ans, etje ne suis pas seul, j'ai mes amies, mais ce n'est lefruit de l'amitié, il ne vient aucune amitié avec lesreligions, c'est un venin qui corrompt et sert delevier à salir les uns ou les autres, d'humeurs et decroyances qui s'usent avec cet avènement dethéories et de techniques de conceptualisations, etle décret de la science se fait à l'introspection de larecherche et du développement; plus que desimplement penser à des optimisations, en définir lanature, ce que je suis le seul à avoir fait à ce jour,et j'avance en toute exactitude, non seulement dema prédisposition intellectuelle supérieure du fait,mais de l'analyse personnelle, et les résultats sontsuffisamment probants en eux-mêmes, c'est bien làque la nature devient le sacre de l'intelligence...

A, la complémentarité avec tout le cosmos, le devinsage devient l'expression de la sagesse et peut êtreécrit tel le fruit de la mer ne se mange que par cesautres. L'idéal est une certitude de l'esprit alorsseulement l'expression devient clair pour celui qui enuse, et ce n'est pas vraiment la couronne qui brille,elle est sensible et réelle, sans quoi nous ne

cherchions que l'Art absolu, le sacerdoce, même si jesuis invisible, et l'effet est superlatif. A, lacomplémentarité avec l'Univers tout entier, le fruitde toutes les vies pour ne plus être las et autruis'oublie seulement le temps du pourrissement, maisil n'y a que l'essentiel qui ne vient à l'esprit donc, lafosse commune étant source de trop de tracas...

L'Univers tout entier réagit à des forces évidentes,celle-ci, est espérée et mesurable, je deviens peutêtre trop sensible à la vie, le souffle du Dieu est unelumière la nuit, le rêve est écrit déjà, ceux qui s'enamuse se mentent pour ne pas vivre leur existencesans autrui.

La vraie nature de l'être, non plus l'excuse facile deces décadents, cherchant le vent dans les égouts,mais plus encore la joie de l'essence de l'être depuisle commencement de l'histoire, la seule solution à laprimauté, encore. Le choix d'une vie, du moins pourles grands mots, plus encore que celui des autres, etdu bon sens pour être confortable d'éloquencesuffisance, et de gaîté de cœur toujours pour lesmêmes, ce qui n'est pas vraiment l'idéal du plaisir telqu'il en est le mirage de l'existence, et l'abandon detoute forme d'intelligence sans la démonstration dela Création.

Plus encore que la raison d'un schème, car ilconvient de définir une entité, le point deconvergences de l'âme et de la raison, supputation

d'une lumière obstruée, sans quoi la raison ne sauraittrouver repos, la réalité d'une conceptualisation, nonseulement hallucinante mais définie conçue etencore étrangère, miracle !

L'erreur commise est un non sens évident à chaqueconsidérations, ce qui ne relève pas vraiment d'unefaute mais bel et bien d'un cycle hermétique, l'idéede la recherche, est principalement de définir unprotocole de conceptualisation, la théorie étantl'imaginaire en synthèse, ce qui ne relate d'aucunesupercherie, car le fait est l'établissement, ce qui nesuffit pas certainement à décrire la complexité,sinon par l'erreur, et c'est la base de toutes lessagesses.

L'itération est la formalisation de l'expansion ou dela mesure de l'expansion, et ce faisant, l'idéal n'estqu'un phénomène extrêmement complexe.Autrement dit, la convergence est une hypothèse deconception déjà à l'étude, ce qui définit uneconnexité, cette même connexité qui établit lareprésentation, et donc, le travail de synthèse.

La synthèse par l'erreur est le modèle le plus prochede la conception et de la création, ce qui n'occupepas forcément de la pensée, mais bel et bien d'uneexplication.

La suffisance est donc une erreur à ne pascommettre, et dans la mesure de l'intelligence,

l'épata de l'égo est une formalisation de la bornemais mes travaux sur la densité ne sont pas encoreachevés, et suffisamment pénibles dans l'état, ce quine relèverait que de rares erreurs, et la convergenceest une merveille que je peux exploiter tant que jene la contemple pas !

La vie sur Terre ne sera jamais aussi lumineuse quele centre du Soleil, pour peu que l'on puissel'observer, mais la somme de tout ce que l'on voitconsciemment n'est que l'Histoire de la Vie, non pasla propagande qui sert de discussion avec lesillettrés qui s'ouvrent peu à peu au Monde descampagnes et des montagnes, du moins pourprétendre avoir des talents cachés et ceux que leursinstances leur aient donnés, à emmerder le maîtredans ses œuvres, sans quoi je ne serais pas ici, maisaussi elle non plus, là-bas. La fonction génératriceest bien plus agréable à l'étude que l'élément oul'ensemble d'éléments...

C'est parce que le sang coule que nous sommes toutmou et flexible, le concept de mathématiques relatifest l'intrication. Il s'agit de définir les connexitésentre le vivant et la mort pour concevoir toutesformes de réflexions et de réactions. Relativement àla simplicité de la mort, la vie devient un problèmemajeur, surtout à s'occuper de tous ces vivants quidoivent mourir un jour, tout en pensant que leurmort serait originale. L'humour noir n'a pas de placedans la société actuelle, et la profusion de la

débilité mentale est absconse car le choix estridicule.

Tout comme la peur de la Vie est apparue, sansconnexité apparente, ce qui n'engendre que quelquechose qui y ressemble, à proprement parler.

Et alors ils continuent de penser quand ils croient, ilsse mentent à eux-mêmes, pour explication. Nonseulement je pense sans croire, mais petit à petitl'emprise de l'intelligence, mon intelligence s'étiole àleur consommation. Ils croient en l'obscurantismepour un monde nouveau, propre, et sans diesel pouravancer car ils ont volé des idées. Le premier encoreun temps de lucidité qu'ils ont omis de considérerpour effort intellectuel, ce qui est une insulte àconsidérer, ils savent bien évidemment qu'il ne leurait été demandé d'être intelligents, ces bouffons. Onrit par saccade comme les autres chient.

Ce qui est important, c'est que j'arrive à développermes théories et autres prototypages, malgré ceshontes à l'espèces et leurs abus en rapport à messoucis de santé. Ce sont avant tout desconsidérations pour le respect de la vie, et envers etcontre toute cette panoplie de débiles profonds quiont oeuvré la hiérarchie, ce qui n'est pas vraimentêtre sur de soi de nier mon propos, et quand bienmême usité ce que je dis avec tous ces petits détailsqui sautent aux yeux quand on ne les a su, ce quid'eux ni plus ni moins que des criminels, on en

connait déjà les conséquences, mais "trop bon tropcon" est devenu une considération de victime, alorson réfléchit aussi à ce qu'on ne voit pas, pour ne pasêtre emmerdé, il suffirait de ne pas emmerder, cequi est impossible à faire comprendre à ces débiles,mais ils ne sont pas le centre du monde et leursfantasmes ne sont pas intéressants, leursmanquements, la connaissance de l'intelligence, dumoins ce qu'il reste à décrire, car l'introspection estplus efficace que l'étude des primates, pourcomprendre comment on pense, et surtout ne pas seperdre dans les dédales de leurs maladies mentales !

III. Seul le dessein de Dieu nous illumine.

Il faut comprendre que l'histoire ne s'arrête pas là,et que la finalité ne s'envisage que par la pensée, etnon par hallucinations, ce qui revient à considérerce que je disais, à savoir raisonner par ce qui ne seraplus, plutôt à halluciner quelque chose de tordu, quel'on prétend imaginer avec toutes les grimaces etautres poses de singes que cela occurre...

Plus que de raison, ce qui change ne se sent plus parla suite, et il ne faut pas grand chose pour ledeviner, ce qui n'est pas pareil qu'essayer de "voir"quelque chose qui pourrait seulement devenir. C'estrationnel et important pour ceux qui veulent se faireune idée nouvelle, la réflexion provenant d'un travailsur des dizaines d'années.

Je disais à ma chatte : "Isis, dormir c'est sacré". C'estévidemment la nature du rêve et de touteshallucinations provenant de l'imperfection, deperversions ou de fausses croyances, que l'on nousdonne à croire en les fantasmes des plus obstinés, ouchevronnés, car il est possible de dormir sans rêve,ce qui est mieux que cauchemarder, et c'est encoredes croyances qui font que la vérité devient de plusen plus inaccessible à ceux qui veulent croire,autant que le modèle religieux donne unedynamique pour faire avancer les bestiaux...

En ce qui concerne les hallucinations, on déduitsimplement que la lumière ne se module pas. Plusencore, certains fantasment souvent être invoquéspar je ne sais quel être supérieur, en croyant undevoir, de se rendre compte que les hallucinationsne requièrent qu'un déphasage temporel.

La physique des systèmes indiquent alors une vitessetransluminique, plus encore que la vibration d'untympans, la véritable cause des schizophrénies de lapopulace, même si elles sont en majorité, niées,proviennent des mauvaises odeurs, plus encore quel'aliéné est prescient, pour peu que l'on se souviennede lui grâce à l'épilepsie d'autrui; mon propos estrationnel, et les mythomanies de ces pervers nechangent pas la donne du réel pouvoir que l'onacquiert, même justement quand les perversabusent de tout et de rien, mais la jalousie n'ajamais été une inspiration pour la création.

Un fait transluminique de relativités temporelles, laphase dynamique mime l'Univers de pur esprit et dematière profonde, dans une adéquation du voyageastral. L'idée des hautes sciences de reconnaissancesbipédiques, pour de pas nommer la primatierelative, devient autant un dogme que les proposreligieux, et même dans le tiraillement del'exclusion, ou la simplification devient la quête duGraal, alors que le système complexe est résolu, queles applications sont incroyables, et qu'il ne suffitque d'appliquer l'organisme à l'échelle de la vie.

Le propos est pourtant de l'ordre du bon sens ets'entrevoit d'un ordre supérieur, alors pourquoigarder une hiérarchie qui ne vise qu'à créer desproblèmes que d'autres sont contraints de résoudresclérosés ?

L'idée, circonspétesque, est d'une simplicité absolue,ou du moins une évidence, la reconnaissance étantune nouvelle rigueur, et les mathématiques étantco n s i d é r a b l e s . C e q u i n e g â ch e r i e n àl'obscurantisme de connexités, l'exemple de Diracétant le plus halluciné, le choix d'un rite vaudoo deconstructions algorithmiques, l'observable étant lacréation des premiers Arts, ce qui n'occurre que debonnes volontés, absolument.

Le propos est de rigueurs, ce qui ne donne aucunexemplaire d'erreur, car tous les algorithmes ne sont

pas méromorphiques, d'où l'intérêt du système, et del'observation de cette société, il vient beaucoup demaux futiles et en excès stupides, comme s'il étaitdemandé de faire de la musique lors du travail à lachaine, autant que se souvenir de la procédurepuisse être philosophée...

Elle et moi, c'est une histoire exceptionnelle, lapreuve de la conscience à travers la vie, non passeulement une maladie ou un parasitisme commepeut être décrit la prolifération humaine actuelle,mais bel et bien une question de l'existence qui serésout d'une caractérisation mathématiques dehautes voltiges de la pensée et de l'intelligence.

Bien entendu, les personnalités se veulent fermesquand il s'agit de phénomènes qu'ils n'expliquent pas,par stupidités, ou bien à considérer les aspectsbrillants de la création, mais ce qui est decomprendre e s t ma in tenant te rminé , e tl'insignifiance de ces choses qu'ils prétendent traiter,relate de leurs perversions, autrement dit quand ils'agit de prétendre aider, ça rend malade avant,pour ne pas se figurer que l'on ne fait que bavarder.

J'ai été privé de bonheur pour des prétentions et desinsultes à mon intégrité, à ma personne, et à monintelligence, dans un mesclum de perversions, ças'est adonné à m'emmerder pour pas passer pour despédérastes; cela fait des années que ces gens ont"perdu pieds avec la réalité", voire des décennies,

car comme d'autres ont la haine des riches, ces genslà ont la haine de l'intelligence, tout ça pour serendre intéressants...C'est donc par intérêt qu'on selie d'amitié, et à vrai dire, il n'y a pas grand chose àpartager à ce jour avec d'autres qu'elle. Nousarrivons à la fin de nos vies avec tout l'amour quel'on a donné, c'est l'essentiel.

L'histoire se répète de manière de plus en plusdégénérée, faute à nos peurs, nos doutes, et nosacquis ne servent qu'à nous, l'intelligence innée estune partouze audiovisuelle de profusion de fluxtransluminiques, ce qui ne gâche rien sinon, quenous périssons avec le savoir que l'on garde poursoi...

L'approche algorithmique de l'éviction de l'erreur estaussi une construction méromorphe où le réel doitprendre plus de place que les angoisses et où ledélire s'imagine de rigueur, ainsi que l'on puisse faireun peu d'Art.

Le sacrifice est une abomination et un délireconsensuel, les hontes de perversions en manque debesoins artificiels, ce qui n'angoisse personne maisqui promulgue la merde à un stade créatif, autantque chercher l'erreur nécessite au moins quelquesdoutes, et que ne pas reconnaître les siennes etc,une aventure de bachibouzouks; n'est ce donc pasaussi mal forcer les choses de faire sous traiter leserreur du passé par ces manquements à l'intelligence

jusqu'en perdre le fil ?

Mais c'est que ça croit penser après tout ce merdieret ces débilités mentales, alors que je prouve mondiscours, que la maladie n'altère pas ma psyché etque ça croit seulement, ça croit juste êtreintelligent, ce qui en vieilles charrues se résume àdes embolies collectives quand ce qui n'est pas ditsaute aux yeux !

Fiers et fières de numérotations aberrantes, maiscommerciales, autant que de fausses mythomanies,même de chercher à les aider un brin, mais c'estsurtout que ça ne veut pas bien faire, l'idolâtrie enexergue de l'autorité, c'est pire que porter lesmêmes pantoufles toute sa vie en y prenant soin,voire même d'en acheter des neuves, une traite oùmême les plus démunies intellectuellement, c'estdéjà beaucoup dire, auraient leur place dans toutecette pollution et ce gaspillage; l'étude en vaut lachandelle, comment le retour à la normale s'opèrepar la suite, surtout de bien comprendre que l'on neveut pas d'eux en somme, et que c'est pour cetteraison qu'ils n'ont plus envie.

A la base, il s'agit de l'histoire d'une bande de petitscons qui pètent plus haut que leur cul de me faireperdre mon temps, mais ça a rapidement dégénéréen dérive sectaire avec toute la panoplie de perverset de perverses qui au final ne méritent aucunrespect, puisque nous finissons par philosopher

l'humour sain de l'enfant que nous créons en nousaimant, ce qui n'est pas de perversions de ratés etde demeurés qui prétendent vouloir faire une loi deplus pour que l'on ne confondent pas leur traitriseavec leur politique. J'ai pourtant bien signifierl'intérêt de ceux là et de ces autres à la curiosité...

Je ne crois pas à un délire de nationalité, ce qui medonne des ailes, mais le cœur à l'ouvrage, il vientque la philosophie s'acquiert naturellement, doncl'espoir est l'amusement du regard porté sur notrepropre jeunesse, loin de toutes ces propagandes oùles "saints" ne sont que des truands pervers etcalomnieux, contraints d'abandonner la lumière demon intelligence pour leurs responsabilités...

Loin s'en faut, la chance a tourné, si on puis le direainsi, le maître voleur s'est tué en haranguant, unsiècle plus tard, il ne reste que que les maladiesmentales et la médiocrité de ces gens minables.Choses démontrables, une espèce d'arrogancepervertie par le profit, salissante de prétentions,mais à l'heure où le bricolage de la colle est encorede rigueur, la somme du tout semble porter plusd'espoir encore, et ce n'est que le point de vueencore une fois de mon génie, le respect a étéoublié, la faute à qui sinon ces assassins et cespédophiles qui voudraient réécrire la loi pourprétendre ne pas être les minables pervers etsadomasochistes qu'ils ont toujours été !

Le choix de la volonté est complexe, il s'agitseulement de concevoir une base sociale pouvantaffermir le propos; mais c'est comme faire le choixde poser la main par terre en faisant un pas, tout unArt, au mieux faire des paris stupides, les tocards çareste des tocards, ce qui n'est pas l'adage de tous,seulement l'exaspération pourrait produire unepoésie, sinon que passer entre les gouttes ou volerde ses propres ailes ne sont que des extraits choisisde ces rimes qui n'aboutissent qu'à la profusion de lafoi en l'intelligence malgré tout de singularités quej'ai créées.

J'aurais pu tout détruire, mais je m'amuse encoredonc, il ne reste que ma parole sainte, et monpropos agile, sinon qu'une allégorie puisse me faireoublier d'écrire, que le nénuphar ne serait passeulement perdu dans des eaux sales et que leschiens auraient de beaux yeux. Ce n'est pas parhasard que l'on développe des idées pointues, si nouspouvions le dire ainsi seulement, c'est le fruit d'unacheminement imaginé dont on se souvient commeune partie d'échec perdue, jouée par quelqu'und'autre, voire une machine, et après tout ça, seretrouver encore isolé par la médiocrité est unproblème d’ego, l'absolutisme du dégoût, de la peineà supporter, mais quand il s'agit d'assassins en plus,le ton est plus sévère, et la jeunesse s'oublie pourceux là, à un point où l'inutilité de leur vie est del'ordre scatophile.

Les singes se demandent toujours encore pourquoi ilsprennent la pause.

C'est à ce point là, que l'intelligence animale estspectaculaire, fantastique et de l'ordre du miracle;non pas de prétentions à écrire une loi pour usurperl'intelligence singulière, mais de l'ordre du divin, nonpas pour prétendre ou pavaner, seulement s'inspireraussi, et concevoir un monde complet. Chose que lestumeurs sur deux pattes ont du mal à comprendre,chose que le cancer a subi les changementsmaniaques de considérations, un fait que l'espoirencore, détestable et usurpant donc, a traduit enpropos tout aussi décadent que les volontés de ces"bonobos".

L'idée est la représentation, et non pas la paroleinsensée et dégradante, le véritable choix des idées,non pas l'adéquation à des bulletins de vote...

Tout ça, finalement, c'est un peu comme gagnerplusieurs fois au loto avec ma progéniture, sans enavoir l'argent, sans en avoir la gloire, sans respect.

Avec Isis, nous réfléchissions à la nature de lamatière, de manière fondamentale en imaginantm o n m o d è l e d e l ' a t o m e d ' h y d r o g è n e àdénombrement d'électrons, mais cette fois ci, lebesoin était en dépendance et nous concevions queles électrons furent qui plus est statique dans unespace qui se déformerait autour, ce qui correspond

à la compréhension exacte de la nature multimètresde l'espace-temps, les intrications. C'est qu'il s'agittout de suite de considérer une optimisation dessystème et par conséquent, le développement de lamatière et une mémoire de formes.

La multiplicité est déjà démontré, sur donc le plussimple élément théorique, ce qui ne se targue pasde la meilleure idée de mathématiques modernes,ou comment écrire sa vie sur les feuilles d'un arbre,ou comment lire l'avenir sans m'emmerderpersonnellement...

Il faut avouer qu'il n'est absolument pas idiot dediscuter d'entropie en dissertant sur le temps, choseque personne d'autre qu'Isis a développer, certesgrâce à mon travail, mais même la psychiatrie,l'armée n'ont que des martingales difformes etgluantes, la laideur de ce monde pour prétendreœuvrer; c'est qu'il ne s'agit que de se souvenir pourprétendre avoir pensé, et le processus topo-biologique est un Art de rigueurs, pour développerl'ego. Plus encore que l'entropie du temps, lamodélisation d'une récursivité est somme touteinsuffisante, il s'agit de considérer le moyend'observation et non plus le fantasme, ce quicorrespond à travailler sa propre excellence, ce quine relate pas d'une croyance, qu'elle soit populaireou prétendument scientifique, parce que ceux làaussi bavent depuis des décennies...

Le fait réel, s'agissant de considérer un escargotpour envisager une rigueur de suite de Fibonacci, dusimple vaudou, est une rigueur d'ordonnancementsupérieur, chose encore inconnue de toutes sphères,la différence entre Jesus de Nazareth, le Christ parla Science. Les mots manquent encore à considérerun Dieu...

IV. La vie est la seule force de l'Univers.

La nature d'une paréidolie est dans tous les cas lacréation d'un lien psychique entre deux choses, uneparéidolie ne se créant pas sans une autre duale. Ils'agit de considérer la structure de la mémoire, den'importe quelle mémorisation, pour concevoir uneparéidolie plus ou moins réaliste.

Il s'agit de considérer non plus un observable, maisl'inspiration des concepts de considérations pourl ' a b s t r ac t i on , l e v a u dou r e l a t i v i s an t l aconceptualisation vers le schème constructal, à larigueur, l'observable se considère analytiquementpar la suite, car tous les algorithmes sont dans lanature, terrestre voire d'exogénèse.

Quoiqu'il en soit, la nature du rêve est du mêmeordre que les paréidolies, et les corps autant,jusqu'à l'organisation sociale, l'idée est dansl'expression des sens, les rêves n'étant pas tousconstruit autour du remote viewing, et de ne pashalluciner de sons, voire même phobique de ne pas

pouvoir les entendre, ne découle que d'une créationde l'esprit, la nature même du phénomène.

La nature d'un méromorphisme, seule solution aumoteur de la haine de réaliser que l'inspiration estanimale que de la différence du verbe et de l'article,et autant que l'on constate les merveilles plus qu'onne les pense, ce qui amène la considération de laconscience relativiste, car l'annonce ainsi faite, detout un temps de développement et la raréfactionde l'intelligence qui fait tendre à la négation alorsque le concept est décrit depuis plus d'une décennie,que les bases mathématiques relatent de la moitiéde ma v ie que l ' obtent i on de l ' i dée enordonnancement supérieur est un parcours seméd'embûches pour ainsi faire de la poésie car c'est cequi permet de verbe seulement.

Plus encore que la nécessité, le bouleversement del'être isolé dans des considérations qui l'obstruent etqui tente de se développer à donner son temps pourla passion, chose que la nécessité donne en référentà des choix de vies différentes, sans compter sur lavolonté animale, plus que la psyché donc en relationavec l'intelligence artificielle.

Le propre de l'être est la nature, la considérationd'un bien et le développement de soi, il ne s'agit pasde donner une intelligence absconse à des chosesinertes, bien qu'elles communiquent de la sorte.

Un méromorphisme est une induction à uneconceptualisation de l'atome de Bohr, une idée folleen ce sens que le fait de sciences est toutefois pluscomplexe, mais l'opposition des humeurs et desconsidérations de l'époque, est le proprement parléde l'inconnu, dans son expression de mimétisme, etla mauvaise organisation de la rigueur relative. Il nes'agit pas de considérer une organisation sociétalerobotique, ou exclusivement mimétique etordonnancière, mais bel et bien la connaissance durespect.

L'exacte modélisation donne une excellence et unbien, qui comme dans tous les matérialismes, seconvoitent aveuglément, d'où l'erreur commise, etl'irréparable prétention, toutefois assimilable, del'espèce en décadence.

Il ne s'agit aucunement d'une erreur et ladifférentielle entre le modèle, la réalité et la sourceest un système trinaire, que l'on considère depuisdes centaines d'années.

La dérivée en question, est donc une force, pardéfinition, une mesure de densité de mouvement,mais l'atomisticité est encore inconnue. Nous noustrouvons donc, en présence de la nature de la vie,ou du moins ce qui reste jusqu'à la fin, la mort, del'existence, consciente ou inconsciente, et je mefatigue à vouloir autre chose.

Ce n'a jamais été de l'obstination, ni même de lacuriosité, non pas mon sacerdoce de paternité, maisbel et bien une étude, et ma vie en dépens. Je n'ycrois pas.

Pour ce qui est de l'artefact, la considération desmathématiques devient l'expression du langage, lacaractérisation de cette inconnue.

Le rêve d'ailleurs est bien présent, d'autres temps etsurtout, autre chose que le sacrifice d'une normalitéqui n'aurait été que profitable. Il n'est pas questionde négliger le bonheur, autant de m'en avoir privé,et l'étude sophrologique donne bien la nullité avecce qui était. L'espoir se meut avec le fantasme d'êtreautrement considéré.

Il s'agit bien de perception lumineuse, mais dansl'expansion de précipités, et la découverte d'un sensuniforme de considérations...

On considère une différentielle, et ainsi ladescription d'une atomisticité entre la lumière et lamatière. La lumière pour discours de la matièreinconnue, ce qui correspond à toutes les hypothèsesrelatives aux caractères hallucinatoires de l'esprit,mais qui en fige toutes les espérances ou faux-semblants.

Il ne s'agit pas de commettre une erreur à propos del'essence de la pensée, celle qu'on oublie fut

pourtant aussi déterminante que celle qui la juge.Le concept différentiel définit l'expansion de lamatière; le caractère transluminique promulguel'existence de cette caractérisation d'échelle, nonpas la considération d'une algèbre, mais bel et biend'ensemble rigoureux, et compte-tenu desobservations sur les maladies mentales, unecohérence réelle entre la nature de l'espace et dutemps autrement qu'un espace vectoriel, mais plusprécisément un ensemble dénombrable où s'appliquedes lois des séries, de récursivités, d'amalgames, ...,ce qui est démontré par les fantasmes modernes,voire même les synthèses de conceptions à la foisartistiques et sociétales : une algorithmie.

L'humeur grotesque de l'ignorance, la grimace dutransgressif, et l'aboutissement du travail par delàl'existence est tout autant une caractérisation d'unmal être que l'explication de l'élaboration d'unconcept.Tout est beau pour être suffisamment intelligentqu'il ne fut autrement que ce que l'on apprend sanscesse qu'il faille en avoir conscience sans oublierl'essentiel, les idées auxquelles on croit intelligencesont déjà synthétisées dans la nature, etl'acheminement de la pensée quant à la constructionde fonctions qui peuvent n'être que la compositiond'ondes algorithmiques, essentiellement dansl'établissement de multipolarités, l'erreur commisedans le développement est une somme intégrante dede propositions, et le découlement du temps s'étend

sur le champ associatif.

Ce qui est démontré est que le développement d'unesynthèse algorithmique peut être suffisammentpuissant pour que les différentielles n'aboutissentqu'à l'indétermination de la matière, donc laphysique du cosmos est régit par des algorithmes !

L'élaboration de certains algorithmes, fussent-ilsautant passionnants, ne s'achève pas sans desconsidérations à propos de l'intelligence, et quandbien même l'idée de primauté et de génie que l'onpuisse avoir, l'étude du schème de développementde l'être aboutie à une conception d'ordre supérieur,l 'état actuel de la synthèse d ' images oud'extrapolations de perceptions.

Le phénomène est universel, et pourtant caractériséavec l'intégrale atomique de l'ensemble de l'êtresingulier...

Le caractère de l'approximation naît de l'approchesystémique d'un concept ou d'une idée. L'échelle devaleurs entre la conceptual i sat ion et ledéveloppement de l'objet de conscience, car iln'existe aucun autre algorithme biologique.

Il ne s'agit pas la propension au devenir, sinon laquestion essentielle de l'exactitude, dans tout unensemble connexe de modélisations, ce qui définitune réalité à tout un ensemble de présupposés faux,

pour l'allégorie de l'erreur commise, non pas d'unecondamnation de l'espèce tout entière à l'erreur, carle propos est infâme donc il existe des lieux pour sedévelopper, mais le joug de croyances et de profitmalgré la somme colossale d'erreurs commisescontre l'intelligence et la vie.

L'idée est que la pensée et le support de pensée sontliés par autre chose que la volonté, qu'il s'agit d'unbien-être et que la liberté se définit pour unebeauté. La loi que j'explicite définit la topologie desintrications d'une topologie, il y a certainement plusd'application que l'expression de l'enthalpie enthermodynamique, autant que le mécanisme estnouveau, mais le phénomène est sociétal, d'où unhermétisme considérable.

Dans l'ordre des choses, vraiment le nécessaire estminimaliste dans tous les succès même cachés, etcec i à un po int extrémal, car l ' idée deconceptualisation est soumise à un développementdu Cosme.

Plus encore que la simple raison d'exister, lesouvenir de l'axe de recherche, et non pas de lavolonté, car tout ce qui est voulu à l'heure actuellerelate de l'excrément et du droit de chier, car lespeuplades sont débiles ou attardées.Le phénomène de la création biologique le démontrefinalement très simplement de bonnes motivationset d'un bien presque commun de l'intelligence,

même si les basses oeuvres viennent bouleverser laconception des sacerdoces.

L'idée de me priver de bonheur n'aura été quel'expression de la haine et des jalousies, si j'étaisdoué pour les sciences c'est parce que je lestravaillais, mais il ne s'agit pas de concevoir unmonde à ce stade là, car l'addiction au bonheur estréelle, et la nouveauté des concepts, la puanteur dece monde et des peuples qui s'y habituent.

Reste que la vision est altérée pour des soucis deproductions, et que l'expression des sens prouvent lemensonge public, ce qui ne relate d'aucune desprétentions pour salir tout ce qui est honnête etgénial, mais ce que je voulais était la manne la plusefficace, ce qui devient difficile pour ceux quiprétendent encore...un pouvoir !

Mes œuvres de jeunesse me surprennent encore,l'insouciance de la créativité du propos de l'amitié.Le fait d'un travail consensuel de l'énergie créatrice,autrement dit de l ' inspiration, devient unabrutissement réel à considérations de l'intelligence.

La simple observation du Cosme devenantl'expression de la Science dans le monde de l'Art, etce fut un exemple de recherches incroyables à notreépoque. Plus que de créer quelque chose qui brille lanuit, mais le parallélisme de l'essence de la vie. Cequi ne dev ient que l 'ordonnancement du

développement, et qui correspond au modèle de laCréation.

Ce ne fut pas tout de suite l'espoir d'un mondemeilleur, loin de ça, mais surtout l'ébauche d'untravail intellectuel beaucoup plus vaste et plusidéologique. Vaste, dans l'idée de pouvoir sur lamatière, le temps, l'espace. Idéologique, dans lesens que le besoin de la philosophie n'est que lecalcul exact de sa propre mort.

Le travail ne se terminera jamais, tant que la viesouffle son rêve, et que le besoin de l'expressionn'existe que dans un travail d'inventaire; ce que jepense plus que quiconque est de trouver un sens àl'oeuvre unique.L'intelligence crée, il ne restait vraiment que lacommunication pour construire un monde, mais lescroyances de l'ego sont vraiment les plus stupides àconsidérer. L'ingénierie n'a jamais été un problèmepour moi, je l'ai démontré très tôt, et madomination sur l'intelligence n'est en réalité que letravail de plusieurs décennies, mais il ne s'agit pasde considérer autre chose que des idéaux pourconcevoir l'inverse d'une suite, même si lacomposition devient de plus en plus l'essence d'unmythe des Mathématiques.

Le travail est résolu pour un nombre limité deconsidérations, mais c'est suffisant pour asseoirtoutes les communications du monde "moderne"

contemporain, mais l'approche de division explicitéedans mon document depuis plus d'une décennies,avec tout le support constructif et l'action humainedu calcul, n'a pas vraiment fait autre chose quel'incitation à vouloir faire la même chose avec dessabots.

Le fait que le temps est une prison pour la vie n'estvraiment que l'explicit du dérangement, la saint-discorde étant justement la réappropriation del'espace-temps, aux justes.

L’œuvre massive, puissante, le continuum des idéeset des pensées, plus que la fin de vie, car il ne vientaucunement une œuvre sans philosophie, et quel'idéologie est de ne pas se perdre dans ses idées.

Les propagandes de non reconnaissance dumanquement sont l'abrutissement d'un propos qui nedevient réel qu'à celui qui le lit.

L'imbécilité était de ne pas choisir l'intelligence poursavoir ce qui est encore une fois annoncé...

Le sérieux s'oublie trop rapidement pour prétendreen être. Ce n'est pas autrement dit que sous unehumeur tenace, et déterminée que l'on puisseaboutir à si peu de valeurs à soi qu'il eût été besoinde demander à autrui.

La chance n'est pas une rigueur et tous les faits

chanceux ne sont que le fruit d'une intelligence quidépasse l'entendement des populaces, ce que jedémontre par la criminalité et la délinquance de cesminorités me polluant l'espace vital. Et n'est pasmégalomane qui veut et n'est pas entendement decelui qui ne comprend pas exactement ce qu'il en estde considérer un -don- avec l'animal au lieu de lesabuser, ce qui est dénoncé de vigueur.

L'intelligence est suffisamment diffuse pour êtreconsidérée comme un phénomène cosmique, mêmesi certains prétendants furent sceptique de leurpropre isolement, car même s'il s'agissait justementde dépeindre, à l'époque, un monde naissant, tout aété fait pour le tuer dans l’œuf.

Ces concepts prétendus d'érudition, ne sont que desphénomènes de modes, dans l'oblitération desplaisirs débiles promulgués par l'ignorance duphénomène de l'opportunisme, au sens propre duterme, et d'une recherche agnostique de la notionde l'être, car l'intelligence n'est que mienne, et quesa reconnaissance ne requiert aucun besoin detémoins, surtout quand il s'agit de débiles qui secomplaisent dans les torts des autorités.

L'auteur d'une telle œuvre, la mienne, est forcémentconscient, ce qui est démontré par l'émergence denouveaux courants idéologique réactionnaires, carcela fut une aventure sur l'humanité entière, et nonpas l'abrutissement de jaloux et de demeurés qui

supputent l'intérêt de ne pas violer encore.

Le fait que ces per vers ne sont jamais de volonté,ce qui laisse en suspens l'intelligence relative...

Le chiffre est démontrable, par composition deverbes et il vient uniquement l'existence du hasardpar propagande, les mathématiques de probabilitéssont devenues désuètes comme espérées, et mêmesi cela fut de notre adultie, le phénomène estencore plus simplement descriptible que l'intégrationde la mauvaise foi et l'espoir de résoudre desproblèmes devenant rapidement des bouletscolossaux à l'espèce.

Les bases sont dénombrables, et l'expression de lachance est depuis mes travaux, exprimable sous uneécriture.

L'Amour devenant la nécessité de l'entendement, lesplaisirs de la chair ne se devant plus, l'oubli est lasomme de l'intégrale de la poisse, et il devientévident que le calcul est encore plus simple quecela, à termes de recherches sur la cognition, maisque la reconnaissance n'est plus qu'un amalgame demarchés, par la volonté de l'artifice.

II. Les crapauds dans le bocal.

« Droit est le vertige, des abysses aux limbes de lacréation, fusse-t-elle unique et bouleverse jusqu'auxprofondeurs du Temps, la conscience de l'existenceet la preuve de la Vie, car les itérations des discoursn'aboutissent qu'aux néants de l'ignorance, et laservitude à ce qui est cru. »

Comme je l'ai déjà démontré, une paréidolie estelle-même composée de sous-paréidolie, quiprovoque l'effet qu'en réalité on ne verrait pas ceque l'on croit.Le phénomène n'est qu'à peine récursif, et autantque l'on puisse calculer, une forme constitutionnelled'intrications, ce qui permet de codifier déjàsimplement, toutes les images possibles par le mêmealgorithme d'intrications.Plus encore, il existe un ensemble discret deparéidolies synthétiques, qui donc, composentl'ensemble des codifications.

L'idée de génération approximative de ce que l'onperçoit par assemblage d'images et recompositionest insuffisante en termes d'efficacité de cognition,c'est ainsi que les paréidolies constituent une part durêve éveillé de l'humanité, et un phénomènephysique parfaitement explicable : l'expansion.

Alors, ça croit qu'Einstein fusse capable seul depasser de A à C, virtualisant B, la nouvelle inconnue,ce qui ne relate d'aucune intelligence dans son cas,car il a tronqué, ce qui mène à une dégénérescencedu génome. Chose démontrable. Ce mythe du géniequi ne se sent plus péter est une aberration depropagande, la confusion règne dans son équationcélèbre, ou le génie se résumerait à peu de chose,autant que la psychiatrie fait croire encore à despropriétés intellectuelles à halluciner, par exemple

visuellement, ce que d'autres voient. C'est aussi debonne propagande, car les secrets font les apparatsdu pouvoir et que les mensonges de plus en pluscriminels, et autant d'aberrations sacrificielles etcriminalités absconses, récidives, maniaqueries,pour influences des plus désastreuses, le déni.

Car, s'il existe supériorité, elle n'est pas dans ledéni, si la répétition lasse c'est, qu'encore, lemensonge parait génie, et que la tâche n'est paseffectuée, car il ne faut que réfléchir pour penser,ce qui paraît un peu léger, idyllique, charmeur,éveil. Il existe pourtant des solutions optimisées partronc, dans les algorithmes de graphes duels, oudans la conception d'une fourmilière, l'observable, etc'est bien ce qui donne un sens à mon propos, ladéfinition du temps, en sus de la débilité profonded'une espèce qui prétend imaginer avec un neurone,alors qu'on les fait halluciner, et confondre l'Art avecla Science, n'est que le déni de certaines propriétésfondamentales de la vie et de l'intelligence, ce quidonne un caractère savoureux au discours de bonnefoi, unique.

On considère parfois la lutte, comme l'expression dela jalousie, mais il n'est rien d'autre que l'incapacitéde raisonner, et même si on s'habille comme euxpour leur présenter leurs erreurs aux yeux de tous, ilreste que les mégalomanes pour croire encoreparticiper, car la solitude donne plus de chance à laréflexion que l'abrutissement des uns comme des

autres, car le statut est inné, et que la tâche est unsacerdoce, donc, l'intérêt n'est pas dans le doute demarcher sur une merde ou pas, de savoir si c'étaitpour éviter une flaque d'eau, mais l'abrutissementtotal de l'ensemble de la population après unedéroute infâme, autant que l'on se donne un sens, etque personne ne s'y tient, que d'ailleurs lapropagande est désuète, et que ni les uns ni lesautres, ne savent se contenir, car le premierpléonasme est toujours de rigueur, que l'on espèrepas vraiment de privilèges, mais que la certitude detrouver un essor commun essentiel est toujoursl’œuvre de l'ermite, que la science est née bienavant l'heure, que le temps ne change que lorsqu'ony prête vue, et que ce genre de raisonnement n'estque le fruit de mon travail, que ces voleurs brûleronten enfer de décrépitudes.

L’imbécillité hors-norme d'un système qui pollue etqui pervertit le sens même de la vie, devient l'adagedes plus débiles pour prétendre intelligence, etmême si je suis le premier à dire qu'il faille serépéter, il y a des notions de respect et decourtoisies qui font que l'on se préoccupe aussi de nepas salir ce que l'ignorance promulgue, en dépit dubon sens car des preuves statistiques, il y en a !

Alors que l'on se dise que cette politique nous tuepour le plaisir, au dépens de ceux qui s'ennuie, justesimplement, car je ne peux pas dépenser mon argentà de la merde, qui coûte déjà plus cher à ma santé

que le "vouloir" de la manne, que les perversionssont une réalité qu'il ne s'agit pas des miennes, quele fait est établit et décrié, que la merde senttoujours mauvais, qu'il ne s'agit pas de payer avec...

Cela dit, le phénomène est démontré, il fallait entrouver un exemple, un seul suffisant. En ce momentsolennel, j'ai fini l'encodage des intrications et jem'apprête à numériser un flux, ce qui me laissetotalement le temps de penser au point deconvergence de photons transluminiques, ou lacharge polaire de flux de matière de quantasexotiques, que l'on puisse qualifier cela de matièreou de d'énergie comme bon nous semble d'exécuterun ordre ou résolument d'achever l'inconnue dans undélire de mathématiques exponentielles, carl'intégrale d'une récurrence est un amusement pourles machines, et ceux qui aboutissent à un telraisonnement, et autant que le temps presse pourceux qui veulent marcher droit, même dans unmonde incongrue et décadent, ce qui explique aussiles phénomènes sous-jacent, et je peux encore isolercomme je l'entends ces mythomanes et autresindécis de la chance qu'offre la vie.

Mais déjà, j'entreprends plus que tout ce qui a étéfait avec élégance, et que la rigueur me donneraison...de continuer.

C'est sans humour que la sanction tombe, et avec ceque j'ai pensé, cela fut suffisant à perdre mes

neurones pour trouver un sens profond à monexistence. Que le ciel soit mien, les gens pensenttrop, les meurtres font les scandales de galas, et lesmotivations de ceux qui mentent se veulent encoreplus secrètes que celles des culs bénis. L'ignoranceet la goutte, de celui qui ose prendre la parole dansle silence et le néant de l'intelligence, au delà mêmede sa propre mort, qu'il fusse encore en vie pournous élever, car nous sommes pauvres, misérables etsales de toutes nos mauvaises volontés, et noscroyances sont impies et perverses, que seul un Dieunous fasse autant de bien que le crachat à ceshordes malfaisantes de mécréants et d'aliénés...

Toujours un travail de congruence au propos,l'ermite donne un sens philosophique à sa vie,l'animal y veille car il ne faut pas déranger les viesles plus trépidantes, il ne faut pas commettresacrilège, et surtout ne pas nier l'autorité, car lepeintre lui n'avait qu'à observer sa croûte avecattention.

Cet élan de bonnes aventures, que finalement, il nerestait que ma volonté seule pour mettre baillantl'idéal du monde dans un trou que l'obscurité anéantil'essence profonde, mais les us et les coutumes ontvoulu autre chose de bien plus puissant, laréalisation de mon ego, la culture de mon être et laforce de mes convictions, si je puis dire ainsi que leshistoires sont heureuses, du moins pour celles que jecrées, et que la mauvaise foi d'être ainsi d'un sacre

me suffit, que je n'eusse besoin d'aider les plusdémunis, à la rigueur les remettre à leur place car jen'ai pas de temps à perdre...

Le rythme biologique nécessite une attentionparticulière dans toute sophrologie, et même dansl'expression de l'intelligence.

Il vient que l'ignorance peut se soigner par un petitentraînement quotidien à ne pas parasiter autrui, oudu moins, que l'ermite a des droits même de vivreisolé de ne pas être dérangé.

Il ne m'est jamais venu à l'idée d'imposer maprésence, donc, mon sacre a ses raisons, et monintelligence ne peut se donner au rabais, tant et sibien, que j'étudie ces criminologies autant qu'ellesfussent l'excuses des uns et des autres, parcomplémentarités.Je discute encore une fois de la même chose, quecela fusse mathématiques de se salir un peu àconsidérer ce que font les autres sans y perdre sapropre foi.

« La vie est quelque chose de volatile entre toi et lereste du monde.»

D'être chaman donne un sens particulier àl'existence, plus que l'ermitage, le phénomène del'ordonnancement devenant la priorité absolue quantà la gravitation, et plus encore le signifiant de laconception devenant le langage écrit de l'Univers.

Je suis peut-être un des chamans les plus puissants,mais la folie suicidaire peut tout balayer d'unesimple inflexion. J'écrivais plus tôt que la gravitationsuit les lois d'un tri, il vient que le l'écriture sonorecorrobore le fait par les notions d'existence.

Le phénomène des turbulences devient le signifiantdu passage de vie à trépas, ce qui démontrable, parl'intégrale du sens de la vie, et autant qu'il ne s'agitpas de fatalité si vertigineuses que le désespoir...

L'expression du génome considéré algorith-miquement, et l'origine de la couleur des yeux dansla considération d'oeil ou d'yeux de couleursdifférentes, plus spécifiquement la double couleurde l'iris, car l'expression du génome se réduit del'optimisation de l'ignorance, alors que lescésariennes que je supporte, suffisent à expliquerles limitations d'esprit de la populace, plus que lesyeux différents, et autant que le lien entre cesproblématiques n'est pas ma seule propriété, mieuxque l'Art de la genèse.

Le discours suffit à l'engendrement et autant quel'inconnue du rapport des forces est même accessibleau toucher, ce qui ne donne pas raison, ni à lamasse, ni aux illuminés, mais le tout corrobore monhypothèse sur le génome : il s'agit d'une datation.

Le temps n'est donc pas un espace vectoriel, lesmythomanes qui viennent tout salir après l'effort,car le renoncement dominait l'ego, face à tantd'imperfections et tant de profusion de débilitésmentales, mais la justice est en suspens pour un bienque seules les petites gens nous trouvent d'amusant,parce qu'il y a du bon en la vie, et que lerefoulement de l'existence face à mon intellectsupérieur, est parfois digne des plus formidablescontrepèteries, de l'ordre de la psyché, sommetoute, mais nous prouvons que les maladies mentalesse rencontrent avec plus d'intensité dès lors qu'ellessont mesurées, plus que les problèmes de laréflexion ou du jugement, dans un fantasme dubesoin...

La Lune est le besoin de la Vie, l'existence ensuspens et dans une dynamique de l'expression del'ego, plus que la raison mythologique, mais dans uneconsidération de machine organique, et ces ditesmachines dans un ensemble de récursivités deconscience.

Encore une seule solution à l'expression de lamatière, qu'il ne faille pas qu'un cailloux, mais bel et

bien une masse parfaite, ce qui constitue l'énigme laplus formidable de l'apparition de la vie, et encoreune religion quant à l'incroyable robustesse que nousoffre l'existence, que seuls ceux qui n'y réfléchissentpas se perdre dans l'ignorance d'un monde quichange comme par enchantement, plus que d'uneterminologie de suite et d'intégrale qui ne seperçoivent jamais, et c'est bien la pensée de cesinstants précis qui donne le sens de l'existence, nonpas les besoins plus ou moins pervers d'autrui !Autrement dit, le spectre conjoint à l'idéal deconvolution.

D'où le besoin du refoulement de l'hypothèse d'unmonde qui n'existe que dans l'esprit tordu des plusdémunis, car il n'y a qu'une idolâtrie de la force del'imperfection pour essence même du dogmesémantique, et que la considération est une offensedes plus graves qu'il ne faille aboutir quand la foisonde sanctions sans doute de l'expropriation del'usufruit de tels schèmes incomplets de l'ignorancerebutante. L'aspect d'un modèle soumis aux loisessentielles et vitales définissant le propos.

La preuve de l'existence, et l'acheminement est unedifférentielle de récursivités, car le propos estautant soumis à la datation que l'intégrale, sinonvide de passion, d'où l'approche systémique dudénombrement qui s'explique par la définition de laconstruction nodale, l'itération et son essencebiologique.

C'est la solution de la vie de définir l'existence par laconnaissance du point de vue du poète car lescientifique n'y voit aucun intérêt, les sciencesdevenant la seule raison de l'existence, et ledescriptif dans l'absolu des termes afin d'établir avecexactitude ce qui se génère, car la conception seveut de l'ordre d'une dynamique essentielle, et nonplus le divertissement dégénératif de l'artifice face àl'inconnue de l'avenir, chose imparfaite de lamodernité, quant à l'abrutissement consensuel de laproduction, même si elle requiert donc de plus enplus d'attention, surtout à développer une solutioninnovante, car le problème s'étend encoreaujourd'hui à ces limitations de l'être et de lafaisabilité, d'où l'intérêt de l'ubiquité, et surtout laconsidération du développement du Cosme.

D'abord, l'Art est utile à la réflexion, mais laréflexion se doit d'être réduite à son strict minimumpour l'expression de l'Art. Par conséquent, lephénomène de rayonnement devient l'essence mêmede l'expansion de l'être.

Là où le corps trouve une existence dans l'esprit deceux qu'il anime, la définition de biologie devientl'explication de toute cette parodie d'intelligenceque l'on doit surmonter pour prétendre penserrationnellement malgré les heurts et fracas deseffets pervers du nombre dans l 'approcheséquentielle à la fois du résultat nodal, et

l'apprentissage de l'être qui ne suffit à la l'existenceseulement donc dans cette logique. L'erreurgrossière du plus grand nombre à ne pas vivre seul.

La première paralysie faciale, le cri de bébé, jusqu'àl'âge de raison où on commence à raisonner plutôtque parler par mimétisme, le fait de la pensée ainsidémontré, plus encore que le quanta del'intelligence.

Il vient que mes travaux démontrent l'intelligencecommune, notamment celle des animaux possédantà la fois verbes et conjonctions, autant que lelangage humain se caractérise par une bipolarité surle verbe par le sujet, et donc le verbe "avoir" et"être", utile dans une forme de civilisation primitive.

La relativisation des concepts relatifs, donc declasses, produit le dénombrement de la réalisation.

« Seul est le plaisir que l'on reconnaît entre tous.»

La parole provient de l'orgasme, et le choix dusouffle de la vie, mais il n'est pas certain que leplaisir soit une chose commune et assurée par l'aveu.Il ne se considère pas de rites vraiment trèsrépétitifs, dans la mesure où l'originalité et l'empanspirituel faisant la preuve de tout. L'idiotie est denier ce que l'on ressent, mais la communauté ne s'enlasse jamais, ni même des petits vents, ce qui necorrobore aucun intellect qu'il fut nommé pour semédire, car la vérité est une recherche.

Le monde contemporain est plein d'artifices divers etvariés, que la débauche inspire, et que le regret dutemps qui passe essouffle d'un regard, car laperception est l'essence même de l'intelligence, et ilest plus difficilement compréhensible à ceux qui nese sentent pas, le désarroi et le mépris qu'ilsinspirent...

La civilisation de la singularité s'est complexifiée etrelate de nombreux non sens exprimables etquantifiables : l'ignorance. Ce qui fut le moteur de lapopulace pour aveu de leur solitude, mais qu'il nevient d'aucune raison.

Le fait établit que le pouvoir ne reconnaît pas sonplaisir, et que la parole devient de plus en plussubjective avec l'âge, il en ressort que le manquen'existe que dans la mauvaise foi d'autrui, c'est

l'exacte vérité de l'oubli.L'histoire se moque de cette certitude qui nouspousse à agir, quand bien même l'ignorancedomine...

Le choix est un ordonnancement de connaissances,et somme-toute, un marasme omnipotent etcaduque face au propos aberrant du totalitarismehumain, et il convient donc de définir uneinspiration légale, même si le choix de l'aventure estbiaisé par le savoir.

La propension à découvrir le monde, est faite dereconnaissance de l'idéal humain, l'enfance de l'âgeet l'esprit pur sans perversion de l'être.

L'envie d'apprendre, de comprendre et de découvrirce qui n'est pas encore su, sont les ailes des anges,et la volonté du commun des mortels, et lareconnaissance de la pensée toute espèceconfondue.

Mais, il ne faut pas oublier l'empathie quand ondécide de l'animal, et dénigrer l'intellect qu'ilsreprésentent, car nous sommes fait d'eux et il n'y aque l'inconnue qui peut être touchée du bout desdoigts, qui peut se saisir et devenant un objet deculte, promouvoir une évolution consensuelle.

Le langage des verbes est l'idéal de la pensée, maisdéfinir autant de choses différentes alors qu'elle ont

d'autres particularités que celles connues, est uneentropie de la bipolarité de l'être humain.

L'avenir est fait de ce que l'on créé, déjà à mesurede ce qui est pensé et de ce que l'on a appris autant,car l 'équation relat ive est de l 'ordre del'irrationalité, si bien que le seul artifice pours'inspirer provient de sauvageries et comportementspervers d'autrui; alors l'obsession et l'engouementpour la beauté, il vient que l'intelligence est belle,sans trop de difficulté à le démontrer, plus que laraison qui correspond au rythme biologique, et sansquoi la réflexion deviendrait impossible, alors qu'elleest obligatoire à la pensée tant et si bien que l'onsache de quoi on parle, car la majorité des primateshumains de notre époque constatent aussi la grimaceà singer une œuvre d'artiste.

Ce qui relate vraiment du plaisir de créer, plus quede la réalisation de soi, et dans une communemesure de profusion de débauches à vouloir que celasoit reconnu, car les manies relatives sontdétestables même pour eux.

Après donc, qu'il ne faille considérer un mythe pourporter toutes ces âmes à l'abandon des autorités,dans un formatage de propagande, et un délire desous entendus pathétiques, alors vient seulement àcelui qui sait réfléchir et comprend donc la biologie.C'est le modèle du temps qui considérablementimpromptus, et inusuel sinon au rendez-vous, que

l'on peut détailler de poésies mais pas defonctionnalité, car l’asociabilité de ne pas respecterun horaire est presque considéré comme illégal parles plus débiles, et il faut comprendre quel'éducation donnée en règle générale est plutôt lelarcin que le partage, et quand bien même les hérosde propagande font les jeux des enfants.

Reste donc tout ce qui n'est pas carton et pierres àfeu !

La vérité est quelque chose de subtil, non pas unplaisir, ni même le besoin de rêver, sinon que lamauvaise foi se tait après la crème glacée, parceque les soucis reviennent à la tâche des tâches, cellede s'organiser, et c'est un point crucial dans l'étuded'une civilisation, et le domaine de nombreusesrecherches, du moins dans l'approche systémique etl'observation de l'intelligence réelle, mais tous lesvents sont concentrés sur ce que l'on croit déjàposséder, tellement que l'on croit que rien ne peutnous arrêter de tout saloper et de tout saccager,autant que l 'empathie est une forme decondescendance de rites.

Le phénomène de l'intelligence est plus subtil, et ilfaut vivre comme un singe des mois durant poursavoir de qui on parle, parce que si on apprend riensinon, on ne sait pas qui, c'est intelligent, donc lesabus de langage doivent être considéré, et plusencore que la simple solution de l'ego, vient le

besoin de comprendre, ce qui n'est pas vraimentl'apanage de tous.

La satisfaction est réelle, mais d'entre tous, le nomest sage, autant que le phénomène d'excitation estnaturel, autant qu'il s'étiole avec le temps, autantque la débilité mentale de ceux qui se croient mêmedans l'absolu devient une gène pour tous, autant quel'insuffisance et l'irrespect sont les hontes de ceux enéchec.

La subtilité est un vilain mot pour ceux qui n'ont pasbien lu ce qui était écrit, et la vérité n'est pasuniverselle, autant que le sacerdoce est une valeurpropre et que nul ne s'y soustrait, quand bien mêmepar extension, le résultat des considérations, ce quin'est pas vraiment la propagande, et l'évidencemême suffit à une élaboration correcte.

Tous les espoirs de l'évidence dans les yeux del'inconnue quand les temps venus de la souffrancequi s'invite à l'absence, le temps d'une paroleincongrue, car les envies dépassent l'entendementnaturel, et que le sens des mots, des verbes, et lemiracle de l'intelligence, chose qui n'est pas lapropriété de tous, devient l'exacte considération dulendemain, le repos du seigneur et l'éveil de l'érudit.On se consacre à ce qui est su, quand on se lasse dene pas penser à ce qui n'est pas encore réalisé, etmon étude de l'inconscient, de la pensée relative etphénomènes connexes, est aboutie à la synthèse et

au précipité, et il faut être intelligent pourcomprendre ce mécanisme que je diffuse dans mesdocuments à la compréhension, car elle suffit àcontinuer la tâche, même si je discute des modèlesthéoriques, et des méthodes analytiques dedéveloppements.

L'idée fondatrice est une relativisation de l'ego, cequi ne correspond pas à l'état de conscience, et quel'usage du grand-n'importe quoi fait religions.

Détruire à humeurs est le vent de ces bouffons quine regrettent même pas de leurs exactions pourprétendre être intelligent. Il ne vient pas un manqueà dormir sans rêve, et on peut même les développerquand on les nourrit, c'est comme les bêtesd'élevage, ça "rondine".

Le mythe de la bonne foi, à prétendre ne pas savoirqui plus est pourquoi saloper ce qui a plus de valeurque l'Or du monde, des amours naissants auxréalisations de l'être.

La réalité, c'est que les religions n'auront jamais lemonopole de l'amour ou de la compassion, que letemps n'appartient qu'à celui qui est conscient, etque le choix n'est que l'intégration de sa vie quand ilest de bon augure.

Les mots, et c'est la plus formidable création,suffisent à eux seuls à construire les plus hautes

sphères de l'intelligence, par l'écriture. L'erreur estle rétropédalage de ce qui est prétendumentassumé, et les jalousies.

La vérité en exergue de l'absolutisme et la chauxpour une bâtisse solide, car il ne s'agit que deprétentions à comprendre et ses considérationsridicules et médiocres, et on se plaindrait demaladies...

Ces gens ne sont que la lie de l'espèce, et necherchent pas le sens profond de ce qui se dit, nimême la réalité du fait, seulement une présence,malgré tout, ce qui ne relate pas vraiment d'uneignorance.

Quant à ceux qui ont besoin du rêve et je sais que jen'en ai pas besoin justement, il suffit de manger uncoin avant de pioncer.

L'humeur et la rigueur ne sont pas les mêmesconsidérations, et le flux de liquides de sécrétionsjustement, n'engendre pas d'humeurs, au contraire,il inspire, et plus encore que la médiocrité de labesogne.

La rigueur donc, ne se termine jamais, et c'est cequi caractérise l'être suprême, autant que lebonheur n'est pas une obligation, même si laprivation est un crime, d'autres responsabilités, etde modes diverses et variées.

Cette "philosophie" est le seul lien que j'ai avec lavie. On constate que les coups du sort n'ont jamaisaltéré le sens profond des somatisations, quelorsqu'elles étaient sensibles, le pouvoir de créerquelque chose de plus grand que soi était réel, etmême aujourd'hui, où les préférences sont plutôt leséjaculats, la réflexion montre toutes lesmathématiques essentielles de la vie.

Le phénomène est connexe, mais on parle plusd'intrications dans le cas de la réalité, et cela donnevraiment les ailes de l'intelligence, plus que laraison, plus encore que toutes ces insultes de hontesà l'espèce.

C'est pas vraiment qu'on veuille déranger autrui avecce que l'on croit, c'est le seul esprit fécond, et je neveux pas participer à leurs copulations de primates.

Les mots et les abus de langage sont un moyencertain du grand n'importe quoi et du délire total etindivisible, ce n'est pas triste à dire, on ne se lassepas de le dire, on supputait déjà leurs débilitésmentales et leurs mauvaises fois, et puis, cela vasans dire que cette sous-espèce s'éteint, et donc, vules paroles et vu les actes, la réalité desconsidérations est amusante pour certaines.

Il s'agit de décrire seulement des croyances à une demes pensées plutôt qu'une autre, dans le délire de

relativisés à leurs apparats, chose certaine d'étudescar la consommation est certaine.

Il ne s'agit pas de régressions, on peut se munir detoutes les plumes de l'aigle afin de se faire une idéede quelque choses à faire, mais cela n'explique pasla créativité, ni même l'intelligence, sinon que ceuxlà aussi hallucinent.

C'est fort à propos que la nécessité de l'être eut étél'actualité du fort intérieur d'un quelconquehermétisme, et cela par l'artefact de l'intelligenceque j'ai conçue, la seule à ce jour.

Le problème de l'agrégat est diffus dans le temps,c'est la seule chose vraiment à comprendre, et lesparasites sont nombreux et nombreuses, et même sij'ai du mal à obtenir le respect qui m'est du, il estévident que mes amies me donnent plus que cemarasme.

L'hermétisme se définit donc communément, et d'unétat des lieux relatif à l'intelligence de rigueur, cen'est pas la malchance des humeurs d'autrui, maisbel et bien une application de l'esprit sain.

Mais la négation de mon propos quel qu'il fut relatif,est abscons et abrutissant, d'une part sachant ce quileur plait, d'autre part sachant ce qui m'est du, d'oùla preuve de leurs dissociations, et je n'ai pas à lessoigner, ce n'est que de leur responsabilité

personnelle de s'appliquer à se nourrir comme lescanards et les oies qu'on gave.

« Aussi sec que le sac à graines, aussi humide que letemps de l'escargot, les vents s'étendent sur leslieux de l'ignorance.»

On se demande presque pourquoi les cursus jusqu'àl'enseignement supérieur sont de plus en plussimplistes, compte-tenu de l'avancement siexceptionnel des technologies et des médecinescapables de salir un homme autant.

Quant à une technologie fonctionnelle sans prendrefeu, tout est relatif à ce jour des possibilités del'esprit humain face à la machine, et nous jouissonsdéjà du discours des mythomanes officiels pour nous"stimuler" le portefeuille à penser aussi à acheterleurs petites babioles en poils de moutons.

Quant à ce qu'ils prétendent avoir dans mille ans,pas moins, et que tout le monde rêve de posséder,tant et si bien que deux de mes tartines de beurrefont le bonheur ultime de leur condition deprimates, où l'intelligence se sublime en un rêvepitoyable de leur médiocrité.

Où chercher l'erreur, quand ces attardés mentauxfantasment dominer le monde, d'une petitehallucination, que je suis le seul à être capable deleur faire halluciner leur mégalomanie qu'ils n'ensont pas seulement au stade de l'analyse quant àleurs parasitisme de mon Cosme.

La tourterelle va bien, il n'y a pas lieu de s'inquiéter,leurs perversions sont bien laides comme la honte de

prétendre un pouvoir en niant mon rang, et enmentant autant outrageusement à leurs porte-bulletins.

Même si j'y pense, mon remote viewing n'était pasvraiment au seuil ultime de la charité chrétienne depermettre aux aveugles de voir sur quoi je pose mespieds. Non l'intérêt était la compréhension de cequ'ils prétendent avoir à eux après tous cesgénocides pour m'emmerder, et donc, l'amitié avecl'animal, ou les animaux, car l'intelligence est là,elle se sent, non pas les crétins qui les parasites enpolluant les égouts, mais bel et bien dans nos amispoilus et ailés qu'ils font toutes les humeurs saines.

Alors il vient seulement l'idée d'un Dieu quiasservirait les volatiles pour se faire manger, et lespoilus pour les jeux du cirque, et aussi bienmaintenir l ' intel l igence exceptionnelle del'humanité...

La réalité, c'est que l'humain est l'extension del'animal, une création de l'esprit des forêts et del'air, du feu du soleil et de l'amour maternel, ce quine gâche rien, bien au contraire.

Leurs religions sont un tas de merde qui polluent demanière exponentielle, et leurs dogmes des excusesà leurs perversions et autres manquement à lavérité.

Leurs rites sont toujours des plus pitoyables, et leurignorance la seule réalité dans laquelle il fait bonvivre.

Communiquer aux oiseaux ce que l'on créé, leurapprendre des mots et on s'aperçoit que tous lesoiseaux sont capables d'articuler quelques palabres,moins que les chats, mais l'empathie n'est possiblequ'à comprendre le socle physique de la transaction,autant que le socle psychologique est à défaut chezl'être humain, la perversion et la médiocrité.

L'intelligence alors, non pas dans le mensonge, nidans l'appréciation de l'idée, mais dans l'excellencede la vie, et il ne vient que la gène des humainsentre eux, la mauvaise foi d'eux-mêmes envers eux-mêmes, et à défaut de sujet, la putréfaction quiservait de masse, plutôt que la maladie d'un systèmedégénéré.

Le Cosme donc dans l'absolutisme de l'ego et laréalité de la conception et de l'exacte valeur deschoses que l'on créée, plus que le nombre desavants, l'intelligence seule, et le produit d'uneamitié réelle, pervertie par les plus démunismentalement, et salir toujours ce qui resteimmuable, et donc on peut se défaire de l'essencecréatrice, et il fallait tout suivre depuis desdécennies à comprendre ce que je faisais,qu'apparemment ils n'ont pas compris que je fusse leseul à exprimer un résultat et qu'il m'appartient

totalement.

On ne réfléchit pas à des solutions, mais force est deconstater que les bases de la topologies ne sontaccessible qu'à l'enseignement supérieur, et doncl'accès aux fondements de toutes les sciences ettechnologies modernes. Ma conceptualisation irajusqu'à l'agencement de l'ingénierie des processeurset jusqu'aux plus abouties des intelligencesartificielles, car mon prototype mesure le souvenir,et que mes schèmes sont l'expression et lacompréhension la plus aboutie et optimisée del'effet tunnel dans sa conceptualisation globale.

On ne réfléchit pas à des solutions, juste le rapportde ce qui est demandé, la besogne, le regret denotre vie d'étudiant à ne pas avoir pu profiter, et ladégénérescence de l'isolat pour ne pas passer pourdes cons marchant à côté de leurs pompes. Faitétablit cela même que le comportement fut et estencore des plus pitoyable à l'égard du fait del'intelligence.

Quoi qu'il en fut de ce qui est dit, cetteconceptualisation est déterminée alors que lesprocédés ne sont pas connus en termes deconnaissances publiques.

Quoi qu'il en fut de ce qui est cru, l'intrusion de cespervers doit être condamnée, et punie plussévèrement qu'un simple consommateur de cannabis.

Cette populace perverse mieux encadrée, et tairetous les fantasmes parce que même s'ils prétendentse violer entre eux à scander l'amour pour habits,cela pollue autant et cause de nombreuses maladiesinacceptables; ben c'est la jalousie de l'intellect, dèsqu'un enfant est plus intelligent que les autres, il finises jours avec une leucémie, et rares sont ceux quiont surmonté cette particularité de la vie, où lesbouffons et les macaques profitent et jouissent desbiens de leurs esclaves, ou du moins de cetteconsidération du mot nègre.

On ne réfléchit pas à des solutions, mais ce qui m'estreproché dans mon propos accusateur, est àconsidérer sous cet oeil nouveau, fussent-ils desyeux de gueux.

Vraiment le phénomène d'incandescence, le corpsqui brûle et tombe en décrépitude maladive, auralentit, et à en mourrir avant la fin. Tout estrelatif, mais il s'agirait d'un crime de masse à ne pasreconnaître les torts de l'espèce, à prétendrecommuniquer avec les extraterrestres ou supputerqu'il s'agirait de mutations de l'espèce planifiées pardes êtres supérieurs qui ne sont pas encore nés.

Un délire où les mots sont une injure à l'existence,voilà pourquoi, et ce n'est pas vraiment où se crééel'intelligence, quant à abuser d'autrui pour prétendreêtre normaux, ou être au-dessus des lois.

C'est un tort incommensurable de continuer à fairerêver la populace sans fosses communes, et sanssaignées pour soins, car la barbarie est qui plus estaccessible aux curieux, et l'intelligence se confinedans l'obscurité.

Il ne s'agit plus d'amour à nier les droits d'autrui, ilne s'agit plus de respect à salir les créations d'autrui,jusqu'à dans l'essence de la singularité d'un djumbeunique et à merveilles.

Les ragots des uns qui polluent l'espace vital ne fontpas la mélodie du genre, ni même l'humeur de lajournée, l 'aspect sacrificiel une aberrationd'obligations, et complètement stupide à l'aveugle.

C'est ce qui pourrait être considéré de l'étude d'untemps.

Ma paternité est l'expression de l'espoir d'un mondemeilleur, du coup, c'est certain avec tout ce qui estbavé et maltraité, mais mon Cosme parasité, unequestion en suspens sur mon ordonnancement, fruitde moi seul, et donc en prime de ces atteintesperverses, une perte de l'existence; ce n'est pas moil'assassin, c'est dit.

La création est en réalité l'extension de l'être jusqu'àl'amour, car il est formel et singulier de considérerun rapport de force qui ne soit pas destructeur, etque le temps anime de la vie et de la soif

d'existence, ce qui ne relate pas de gribouillis surdes billets de banque ou de la plaisance de ce quiest en sommeil à la conscience du sujet ou qu'il nefut que l'exhibition de ce qui est profitable aux yeuxde celles qui font le reste de vie du tas de cendres.Il vient une unique force de l'existence, l'évidencemême de l'ego, mais la compréhension devraitsuffire, c'est dit.

Ma paternité est un sacerdoce de bonne volonté, etnon pas le délire de pervers et de mécréantsdifformes qui polluent l'espace vital de tout unchacun que l'on fusse obligé de bâtir des murs pours'entendre parler.

Encore moins que le bonheur de ne pas devoir seplier aux angoisses de prétendants de perdre cequ'ils ont cru acquérir à m'avoir discriminé, encontinuant d'abuser de ma fatigue et de mesdouleurs.

Plus encore que la pire des insultes, enfin un riresain, de pur plaisir, stupéfiant, et simplissime à bieny réfléchir, qu'il n'est que la prose de ceux qui ontété fait avec la volonté des accusés.

Le compromis a été refusé, il suffit de prendre acte.Ce qui relate de l'intelligence n'est plus humain, nel'a jamais été et il ne viendra que l'imagination dessoumis pour que l'on fusse en obligation de soins, s'ill'a été demandé d'agir.

On ne réfléchit pas à des solutions, on conçoit desmachines représentant une idiome et un concept,l'analyse par associations donne une ou plusieursoptimisations, c'est un des faits de sciences les plusimportants, et la seule preuve de l'existence del'intellect.

Le refus est catégorique et mes plaintes pourpreuves de ce qui n'est pas respecté, et je ne vaispas détailler les peines qui doivent être promues, laconnexité des actions suffisant à catégoriser les fouset autres folles des criminels.

Il n'y a pas de seconde parole, le choix est bienimagé...

III. Le cracheur de feu.

La même rigueur que l'excellence dans l'apparatpuisque l'ignorance est le globule malsain, l'idée deconvictions sensibles à travers le temps pour moteurdu micro-sommeil régénératif, et dans l'absoluesuperposition de l'essence de la réalité, le champmental définissant autant une durée intégrale qu'unlieu. Ce qui est démontré par l'existence duphénomène-prototype. L'appréciation des stigmateset la confrontation avec la volonté est pourtantl'évidence même, mais la bonté est une oeuvre detoute une vie, et il ne s'agit pas de destruction par làmême que le résultat est plus ou moins chanceux etqu'il n'était pas de nier l'intelligence animale. C equ'il faut savoir, c'est que les animaux ne pensentpas forcément aux apparats car ils sont l'expressionde leurs formes dans un champ mental dedéveloppement sociétaire, un peu comme l'uniformedes militaires, mais surtout, de rigueur esthète, unpeu de ce qui fait aussi vibrer le monde deshumains : la création. Il ne s'agit pas tant de destin,mais je tairais la haine de ce monde pour dire quenous aimons la vie plus que tout.

La nouvelle année, cette même rigueur qui nouspousse à définir l'observable, est l'essence même demon ego, de ma volonté et de mon être, le fait quela génétique du procédé est évidente et essentielle àcomprendre le développement de l'être. Ce n'est pastant une méthodologie de production, il s'agit d'un

élément simple caractérisable, la force de mapaternité, et il s'agit d'un travail de moi-même etdes miens, ce qui ne relève pas du parasitismeambiant qui n'est que le côté défécatoire durésultat, encore une fois, l'excellence d'un travailconsidérable et génial, dont il ne faut pas confondreles relativités avec la débilité de ceux ou celles quivoulaient prétendre avoir participé et posséder. Leconcept est le développement de soi, et le produitmet en valeur mon ego, c'est peu, mais le travailitéré donne encore de nouvelles mathématiquesrelatives. Il ne s'agit pas de parasiter autrui d'une viede tire-au-flan...

On pense tout dans le désordre et de manièrediscontinue. Par conséquent, relativement auxnotions de destin, la révélation de la pensée requiertun temps de développement. La loi en vigueur étantla logique, ou du moins, une forme algorithmique.L'ordonnancement est l'élaboration d'un schème(toujours intelligent), l'espérance de vie et/ou laréalisation d'un procédé. Le fait que la suffisanceintervienne dans l'équation de l'intelligence produitune évidente question d'éthique et de respect, car lecas particulier du surdoué, est de mon aventure, unemachination, si on puisse dès lors considérerl'intelligence de gens qui salissent. L'adéquation dutraitement est donc une optimisation conséquente,mais qui peut paraître absconse et arriérée donc,par là même le choix du questionnement, et alors lanotion de destin, ce qui correspond à dire que

l'idiotie devient la mode, et le non-respect le va-tout de la connaissance de soi-même. Ou est leconcept inutile ? Dans la considération de l'être, etnon pas la découverte du monde, car lesmégalomanies sont d'arrièrements. L'idée de lavalorisation n'engendre pas des phénomènes viraux,l'ermite n'a jamais tort dans son repos. Lescientifique ne dort plus et le philosophe se réveilleà l'âme du prophète, du moins de la prophétiecommune de la vie. L'existence suffit au dessein.

Le paradigme en question donc, est une adéquation,d'où mon radotage sur le mimétisme, bien qu'il soitde rigueur de le considérer; ce n'est pas une formuleou une équation, mais toute la différence entre unephysique discrète et singulière. La réalité du propos,et la dissonance des croyances, qui ne relèvent quede la connaissance. C'est en cela que l'intelligenceest considérable car elle permet l'automatisme, etplus que des beuveries romaines, l'intelligencepharaonique, et inébranlable. Humour des dieux ouobscénité de la haine, il y a pire que se jeter contreun mur en croyant passer au travers. La folie donc,est observable, et l'intelligence relative n'est pas deconsidérer une fonction, mais de ne plus êtreseul...Cruel destin tragiquement déformable, par lapensée.

Il ne s'agit effectivement pas de compréhensionquant au traité, mais l'élaboration systémique deconceptualisations. De l'intelligence, itérée,

j'obtiens le regard du curieux, éveillé par mesproches, Mona, Meyia, Isis, et la cohérence estdonnée, le travail autodidacte, et forcément, il nes'agit plus que d'abrutissements, qui ne doivent plusêtre considérés comme paradoxaux, car la mode estun mensonge, dans une civilisation un peu légère decroyances enfantines et désuète. Le procédé estexemplaire, et il ne s'agit pas de relativités à lacréation, seulement un parasitage abscons dedébilités mentales, un oubli de l'observable et desperversions scatophiles, preuves de ma propriétéintellectuelle et il ne s'agit pas de considérer untémoignage quelconque, la propension thématiqueest acquise.

L'intérêt d'un méromorphisme est la connexité del'aléatoire à l'application linéaire. D'où le graphe del'existence...

La gravitation ? Ça trie, je le prouve.

Le temps et la gravitation étant d'une atomisticitéintermédiaire au photon et à la particule, le conceptde tri devient une idée fantastique.

La feuille morte indécise, devint la muse de cesjours, qu'elle ne fut que portée par son propre ventpour peu que le temps la laisse rêver, et que le jourl'éclaire avant d'achever son existence dans nosesprits. Ce n'est pas la foi sinon la sienne qui nousguide vers ce miracle qui ne sera jamais reconnu

comme tel que la Lune rêve encore de fécondité,que les oiseaux piaillent de joie et d'envie, autantque nous sommes à l'aube du jour où nous y pensontfièrement car nous sommes les seuls à en avoir rêvé,que la Lune nous porte même quand nous tombons,que le jour nous éclaire même les yeux fermés...

Dans notre civilisation, il y a l'ordinateur quantiquepour faire un précipité du grand-n'importe quoi àcroire que le cul des femmes sent encore bon aprèsune journée de vie sociale, dans la nature, il y a lesfourmilières. Les fourmilières se développent selonun algorithme similaire à l'alpha-beta des graphesduels, et c'est là le point le plus important desneurosciences, la reine fourmi orgasmant etdéfinissant ainsi le cosme, tandis que la mémoirepuisse avoir été observée physiologiquement, parconséquent, et ce n'est plus l'acharnement d'unscientifique sur des cobayes pour rêver, mais bien lacompréhension des fondamentaux de la sensibilité.

Dans un ciel éparse, style "ajuster luminositéautomatiquement", dans la pénombre du nuage quivoile le soleil, on sent la même chose qu'au robinet,l'eau. Je dis bien, on sent, car du photon à lamolécule d'eau, plus que la température plus longueà se faire sentir, tout comme un observateur avisépeut savoir ce que l'on soumet à "l'imaginaire"d'autrui, de visu, la matière et la photonique,l'atomisticité et la lumière, ont des propriétésduales.

Il ne s'agit pas vraiment d'une production dedivertissement, plus une question sur la nature de laréalité, mais il faut bien dire que l'intérêt donne uneampleur à la volonté sans commune mesure, unphénomène EXCEPTIONNEL, plus encore quel'observation des astres et des aléas de la création.B i e n e n t e n d u , l e t r a v a i l e s t p u r e m e n tmathématique, du début jusqu'à la fin, et il s'agitencore pour l'élite de casser des noix comme je l'aiexpliqué pour parfaire le socle intellectuel desneurosciences. On émet hypothèses et on se nourritd'inspirations, certes, mais le raisonnement esttoujours de rigueur et non pas de fantaisies où ledélire des jalousies sali.La raison est commune mais il s'agissait d'unquestionnement de jeunesse, la somme de mestravaux scientifiques étant claire, il ne vient pasl'absence de réflexion comme il est fantasmé, et cen'est pas un droit que de me pourrir la vie, autantque s'adapter à mon intelligence devient de plus enplus difficile compte-tenu aussi bien de ma fatigue,mais aussi de mes travaux se succédant.

L'idée est que ma progéniture se conduit bien, etnous continuons à étudier la question, mais je n'aipas fait d'études de physique par hasard,l'intelligence en sujet de développement. Il s'agitd'une corrélation entre la logique mathématique quiconsidère le temps comme une récursivité, et lenombre d'Or, en tant que concept, de l'intelligence,

ce qui n'est pas rien, et le résultat est fantastique !

Quand on discute de la mémoire d'autrui, onapprend aussi simplement que par les adages queporter atteinte à qui que ce soit est une perversion.On quantifie la mémorisation en relativité à ladouleur, "je n'oublie rien tant que je n'ai pas mal"est un bon adage, ce qui correspond exactement à laréalité débile de l'Histoire de ces dernières années.Nouvelles choses dans le monde, l'univers est clos, ilne s'agit de rien d'autre qui n'existe déjà, mais quisaura lire la parole divine sur l'écran quand onconsidère mon propos sur les supports, et la seulemodélisation d'optimisation du transluminisme ?

Donc la forme matricielle peut être décrite commeun amalgame de superpositions différentielles, cequi bouleverse la nature de ce que l'on perçoit.

La considération de fonctions sous la forme decompositions polynomiales devient un boulet de lacompréhension même si le champ d'applicationpourrait laisser rêveur. L'idée de l'imperfection estfac i lement modél i sable à intr icat ions deméromorphismes supra-dimensionnels à savoirl'explicit de l'observation, le volume du photon...

Outre le discours sur la propreté, la vérité est qu'unphoton n'est perceptible que lorsqu'il percute unobjet défini particulaire. Quoiqu'il en soit, lefondement des intrications est exprimable par la -Loi

de Beauté-, ce qui donne une convergence à toutesles lumières, et par delà même l'atomisticité, ce quidevrait être résolu de l'émission du photon en tantqu'onde lumineuse. Ce qui définit donc bien unsimple agglomérat de valeurs propres intriquées, etdonc une écriture sonore, ou des hallucinationsrelatives à l'usage des sens.

La séquence suit la loi de beauté comme prévue, parla nature même du précipité. Un fait remarquablepar les algorithmes de l'ADN, et autant que l'espacelocal se munirait de 6 dimensions et non pas 4...Lephénomène d'intrications devenant la vraie naturede l'espace réel, car la différence entre la matièreet le singleton vide est de l'ordre du substrat de laphotonique. L'idée n'est pas de nier l'existence deces photons à mesure où un phénomène comme lapaternité en écrit la "danse", mais bel et bien deconcevoir que le réveil et l'énergie du photon sontlié par les différentes images mentales reçues enguise de rêve correspondant à une forme d'Art, quise veut le socle bizarre de l'intelligence commune.L'accommodation est relative à la fécondation donc,et la subtilité de l'existence par l 'explicitméromorphique. Mon propos est démontrable autantque découlant d'une recherche personnelle, etl'introspection est claire et explicite. Il y a toutefoisla preuve dans le monde moderne que mes droits ontété bafoués ! Des voleurs, pourquoi chercher ailleursce que soi-même crée...?

D ' une pa r t l ' e space vec t o r i e l é va l ue l eméromorphisme, mais sa nature est l'implicit desintrications de l'atomisticité, et il est évident que laforme se décuple autant de fois que perçue et mêmeimaginée, car la photonique doit se disjoindre de lacélérité car il n'y en a en réalité aucune mesure, etplutôt que de supputer qu'il faille démontrerl'inexistence véridique d'un propos de glouton,concevoir la transluminarité, car l 'électro-magnét i sme est autant une inconnue del'oblitération de cette volonté qui est de prétentionsà s'imposer avec ses flatulences, car il n'y a riend'autre pour décrire un manquement scientifique decet ordre depuis tout ce temps. Ce n'est pas lamasse qui déforme l'espace-temps, c'est laconscience, et il ne s'agit pas de seulement sevêtir...Quoiqu'il en soit, mon système complexerésolu, par la dualité onde-corpuscule, il vient detout simplement décrire un sens unique, celui dutoucher, et il ne faut pas perdre son temps à le nier,les tisserands ne s'y aventureront pas...Une prose debienveillances.

Les orgasmes de cette femme, même prétendumentstimulés, relatent bien de la parole de Mona, et desaccouchements orgasmiques des mères de mesenfants, ce dont le liant de ma chatte prouve. Quand on considère l'effet de sensations, latempérature du corps du chat étant supérieure, onconçoit l'équation des gaz parfaits, PV=nRT, ce quidémontre ma théorie d'équivalences massiques, la

pensée, la pression de l'air et sa contenance en eau,et la nature des orgasmes démontrée déjà, autantque la fécondation en magnificence. Le conceptd'intrications relatives au temps en exemple de laparole de ma minette, et l'algorithme simple enquestion.De la vapeur d'eau donc, et la force de l'expressionrelative à la pensée, la nature de l'être et on peutaisément conclure la modélisation méromorphiquede l'espace-temps qui ne se trouve être plus quel'éloge de mon être dans ce cas.

C'est la rencontre entre la désinvolture etl'insouciance qui crée l'Art. La Science se veutl'explicit, ce qui n'est pas reconnu par lescontemporains jusqu'à moi. Le choix de l'Art estquasiment inexistant alors que la Science se doitd'étudier toutes les possibilités, et à ce jour,l'irrespect s'exprime dans le déni des maladiesmentales des officiels, et le mensonge d'accession àun statut. La formule célèbre d'Einstein n'est quel'oeuvre d'un artiste médiocre et prétentieux, dans lerabais de l'intelligence d'autrui, même si à ce jourjustement, ce n'est pas ce qui caractérise lapopulation. On comprend aisément l'attrait du génie,mais il s'est traduit par de la débilité mentale...

Malgré tous les efforts pour me faire taire, il vientque j'arrive à dupliquer mon propos et lepromouvoir. C'est dans toutes les considérations debasse-oeuvres, que l'on constate que l'exemple

d'avoir une addition que ma pensée requiert aboutieà un phénomène de mode où tout le mondeadditionne, sans même le concept de composition oud'associativité, etc. Alors que j'évolue dans unethéorisation qui pourrait donner un sens aux espacesvectoriels. Malgré tout, les notions d'espace-vectoriels, justement, sont une création restreintede l'esprit, se basant sur une discrétisation, et onpeut simuler une pseudo réalité virtuelle sans mêmedéfinir quelque ce soit d'espace vectoriel, et mêmesi on explique que les atomes bougent sans que l'onsache pourquoi de la sorte, d'une modélisation trèsi n sa t i s f a i s a n te , ca r l ' e ngend rement de sdiscrétisations est un phénomène intelligent, autantque ces lacunes sont pourtant l'essor de lacivilisation de type I, à mesure où on les considère.Il ne s'agit pas de nier la vie, ni son essence, etpourtant c'est ce qui est fait; il ne s'agit pas depenser à tout ce gâchis, il faut s'arrêter; il ne s'agitpas de s'accommoder avec ces erreurs, il faut lesdénoncer et les réprimer, les unes après les autres,le choix de l'espace étant une intégrale deméromorphismes, car les méromorphismes sont deséléments plus considérables que les fonctions deDirac.

Et donc, dans l'intervale abscons du vide desmodélisations arbitraires et incomplètes se trouve lasynthèse de singularités, des choses sensées. Il estaussi aisé de comprendre que les sons changent lalumière autant que la lumière est un super-scale des

forces du son. J'ajouterais que le concept de base àl'établissement de la raison est une lueur del'enfance, qu'il est difficilement concevable d'établirune corrélation entre les choses tant que le son estplaisant. Ce n'est pas de rigueur, seulement uneréflexion de bon sens.Quant aux détails théoriques, la prose est la musiqueque la lumière joue, cela n'ajoute pas du non sens.Disons qu'il est facile de savoir le son que produitl'Univers, autant qu'il peut être difficile d'entendreson propre esprit dans les délires de consensualitésperverses..., que l'étude relative ne m'intéresseplus. La masse lunaire est une sensibilité terrestre...

Toutes les solutions sont mémorisables...

Qui ne vous dit que l'atome renferme un universparallèle, d'un autre temps, de l'énergie d'un photonpour soupe primordiale dans un délire demathématiques où l'usage n'est pas clairement définide part la nature intrinsèque de l'inconnue et de lamauvaise adéquation des théories à l'obligationcalculatoire des procédés...?

Pour bien penser à une chose, on vous dira qu'il fautbien comprendre ce qu'il y a autour, qu'il fautprendre du recul, que la méditation est une alliée.Mais à vrai dire, tout ce qui a été dit à propos depenser à une chose est incomplet, désuet etinsuffisant, car je suis le seul à ce jour à avoirpenser à une chose, plus qu'un concept, et à avoir

expliquer comment, plus encore d'explorer lesfondements de tout ce qui en était relatif, au finfond de ce qui n'est plus humain, m'y trouver moiseul à y avoir pensé...Ainsi, une nouvelle ère sedessine et un monde nouveau en fuite de toutes cesdécadences qui peuvent durer bien des centainesd'années !

Le flux donc, relativismes des astrocytes,d'établissement des neurones en relativité avec lecorps dans un apprentissage d'appropriation de sonpropre corps et les fonctions cognitives enintégrations de la vie animale; ce même flux écritmais entendu, décodé de l'étude de mon inconscientpar introspection et projections, relate d'un travailde près de 25 ans, et le rêve devient un service decommunications privées...Plus que les rêves érotiques que les plus belles fontavec le grand maître "Lau", mais un travail beaucoupplus conséquent, surtout des considérations de lamauvaise foi des "modérateurs" : le temps est unservice de la nature, le codage est accessible àl'intention...de l'électrochimie à toutes les forces del'esprit !

Pour erreur, autant comparer le Sphinx avec lePhoenix, mais il semble que l'un et l'autre soient liéspar la conscience de l'ultime épreuve, celle del'inconnue. Reste que même à se perdre à ce jeu là,l'ignorance du propos ne donne pas le silence.Autant d'Or à nouveau, mais plus conscient, autant

de rêves pour les nostres, que seul, monsieur tout lemonde, ne pourra imaginer.Il y a algorithmes, systèmes et causalités autant quela folie est réelle dans ce monde, autant qu'elle estINCONSCIENTE.

Autant que la seule chose demandée fut de les fairerêver, les mouches leur répondront...

Autant que l'on nomme "intrications" une relationi n t r i n s è q u e d e l ' a b s e n c e d u n é a n t , l epartitionnement divisionnel ou pire du volume par leproduit de l'énergie libre et de l'entropie est unedifférentielle de l'effort de l'entropie de beauté,dont l'optimisation connexe au génome définitcomme une variable aléatoire. Basiquement, le lieude l'expression du temps donne effectivement unchangement d'état à l'effet de mesure ce quel'histoire peine à exprimer conventionnellementcomme une valeur commune, l'effet quantique ducode pénal aliénant l'inconnue de l'esprit. Paropposition, la dérivation des complémentaires estplus propice au calcul de l'erreur commise. Toujoursconfondre le haut et le bas, autrement dit cetteinsistance dont les plus limités font vents pour nepas communier avec la nature, tout un système devaleurs complémentaires, donne le même rêve de sesurpasser, sans être autant déviants !

La relation entre deux ou plusieurs permutations estnommée intrications.

Parce que deux atomes de carbones d'une chainecarbonée aient la même anti-particule, en termes devide atomique, l'instabilité produit le dit effet,quand bien même il s'agit de produire de l'énergiebasée sur les notions de gravitation et de temps, etnon plus de chauffer l'atmosphère pour être sur defondre au soleil en vacances. Il s 'agit depermutations, non pas de dynamiques, et le modèlede l'atome de Bohr une entrave à la compréhension,mais on conçoit l'intérêt de ma modélisation dequantas moléculaires, l'effet a été vu et halluciné,et autant que les résidus sont saisis. Une des plusformidables découvertes du monde moderne, mêmesi ces stigmates sont rares.

Un plan s'organise en parité de symétries et de trousdans un ensemble d'intrications si les permutationsde ces triplets sont définies comme l'expression deracines. Le calcul donne 4,7 (4+3+0) avec une seuleintrication,17 (7+6+4), 40? (17+16+7) avec dans tousles cas 7 intrications, nature oblige, et la suite est àla rigueur 307, pour faire joli. Mais il ne faut pasconfondre, l'existence avec la création, uneexpression n'est qu'une symétrie normalisée, l'entitérelative un phénomène.La philosophie en dit donc, que l'Art abstrait n'aqu'un sens, quoi que l'on puisse en considérer laforme. Et il n'y a que la récursivité qui le démontre.

Mon algorithme des celtic-boys et des celtic-girls

exprime par défaut, le sens global de la vie, ce quidéfinit par cela même le point crucial de la mort etde la fécondation, par l'erreur discrète. Ce qui n'estpas sans le vide de la nature de l'existence pardénombrabilité, autrement-dit, des questionsfondamentales. Il vient rapidement l'utilité, ce quin'est pas inconcevable, mais pertinent : l'enfer.

En pensant à la nudité féminine, on rêvasse depenser que le quanta des objets est la mémoire denos influx nerveux. C'est dire tranquillement que l'onest capable de faire rêver, mais c'est aussi pourconcevoir que nos peurs, nous nous les créons dansl'anonymat et dans la solitude, le vide de l'autre, carla démesure trouve un sens dans les cieux, et quel'inspiration requiert une masse...

L'inspiration est irrationnelle et quand bien mêmel'introspection tardive permet de relativiser l'espritet sa capacité. Le fait qu'une source d'énergie qui nerelate pas de destructions maitrisées est un sens demarche, ou plutôt une considération pour quelquechose de totalement nouveau qui trouve l'originedans un espace supérieur. Ce n'est pas tant querelier des temps de compréhensions par l'orgasme,mais bel et bien de travailler le corps et l'espritseulement par la volonté propre, et non plus lesamalgames des croyances, et l'idéologie. Le fait decette énergie étant un acquis expérimental. Restece qui a déjà été construit et dans la mesure oùl'intérêt est bien réel, l'envie créatrice aboutie

toujours à un idéal qui inspire ce qui a d'intérêt.Critique de société.

Il s'agit effectivement de considérer l'acquisition etla maitrise de l'énergie de notre étoile, et pour cequi est des voyages dans le cosmos, de savoir-quand- on est...C'est à dire donc que le cheminparcouru et à parcourir à une incidence réelle surl'esprit global, et individuel, les machines organiquesétant soumises au mimétisme.

Le son doit atteindre la conscience pour êtreentendu. Cela explique les différences decommunication avec les animaux, notamment laconsidération du langage et de la compréhension. Lecerveau n'écoute donc pas pour ainsi diredirectement le son, il s'agit d'un état d'esprit.

La perception du temps est altérée par la mémoire.

Nous revenons à une hypothèse de départ, legénome est un algorithme de datation. Conceptintrinsèque à l'élaboration d'un quanta, sonexpression se devinant exponentielle, et pourtant lesuffixe étant réduit au niveau de l'atome. Concevoirun espace de fonctions méromorphes est simplementune notion de récursivité sur les dimensions que jedémontre par le triplet de LHS. Il faut dire que monaxe de recherches est plus vaste dans la mesure dece qui correspond à la motivation. Il est probableque mes conceptualisation de l'époque révèlent

encore plus de surprises dans l'observation deséléments composites, mais l'intérêt devient unemesure croissante de la patience...

L'écriture d'un son devient visuel de la réalité, par laforce de la conceptualisation. Choses certaines quecette histoire de télépathies ne fut que le délirepervers de la volonté de prétendre êtreintelligent(s), car il s'agit de les avoir conçues dansun schème intelligent, et non plus d'écouter le bruitde fond et s'y noyer. Le phénomène est réel, et bienque l'explication d'une forme algorithmique et d'uneautre, ne soit pas vraiment la seule force, car lacompréhension de l'Intelligence est un court-métrage et que l'Oeuvre est incommensurable, uneforce de renouveau et l'avènement d'un monde quidoit apprendre le contrôle et le choix. C'est encoreplus que le mieux de la conceptualisation, celaabouti à la réalité d'une part, et d'autre partl'algorithme ne requiert plus qu'une mesure efficace,ce qui est déjà concevable, que j'explique, mais queje ne caractérise pas plus pour l'instant, l'intérêtétant de travailler avec de bonnes bases...Nous ne vivons qu'une époque et à peine un tempsde pose, voir même une mode débile, mais mêmesans comprendre que le seul sens est le toucher,alors le propos devient encore plus cohérent,l'intelligence étant l'hallucination du toucher...

L'importance de considérations multidimensionnellesdans l'appréciation de la mémoire est la possibilité

de formuler un procédé dans n'importe quellesdimensions, que ce soit une projection 2D del'espace, ou même la conceptualisation du tempscomme espace vectoriel, même s'il ne s'agit pas deréalités physiques, justement. Le phénomènemassique n'est que l'affabulation de l'esprit farfelu,car l'inertie est un facteur externe, si on puisconsidérer une masse à un ensemble donnéd'objets...

IV. Les habitants.

Ce n'est pas du radotage, mais les occurrencesaboutissent aux mêmes conclusions; prétendre quela civilisation humaine actuelle est de type I est unabus de conceptualisations compte-tenu de l'abusdes ressources et ce, uniquement pour desenrichissements personnels, autant que de paradesridicules.Il vient que l'optimisation des ressources est à unstade primitif, que la compréhension des peuples esttrès limitée, que les pouvoirs peine à exprimer leursvolontés et que le déni de maladies mentales,n'abouti qu'à la conclusion d'une secte ou d'unemafia.Rigoureusement, je possède plus de sciences et devérités que la supériorité numérique, et les vitessesde considérations des problèmes qui n'ont jamais étélégaux, le déclin et la décadence évident nié oud'apparences altérées pour les besoins de croyancesou de mythomanies.Perdu, seul, pas tout à fait, mais ce peuple imbus deleurs petits automatismes, n'est que le leurre de lamauvaise foi des uns et des autres, surtout quant àmon travail.

La conscience d'un fait se résume à une chose. Fautdire qu'on vit dans un monde de profusions de choseset que les propagandes et publicités se démerdentpour nous faire acquérir tout un tas de choses, quel'on finit par acheter sans conscience.

Alors on observe et constate, ou on y pense commeun dieu ? La question de savoir si on observe sanscomprendre pour y penser, me paraissant superflu,la réalité d'un dogme se fait superlative à tout unensemble de comportements pervers et l'idolâtrie dela mauvaise foi pour propagandes...

De quoi parlions-nous durant tout ce temps, sinon dutrauma qu'ont subit les animaux des expériencesridicules et perverses de cette espèce de primatessans poil ?La nature, la planète et même plus n'appartient qu'àla vie globale, les singes malades qui perdent leurpoil n'est pas de considérations seulement uneprimatie. C'est que ça sait foutre la merde pour-voler- les idées, mais leurs aveux se font attendre,et il n'y aura pas de sciences sans, du moins de leurpart. Crimes et récidives, pour prétendre penser...!

Le phénomène du selfie expliqué des yeux des pluslaids et des plus pervers, le support de réflexiondevient la force de l'esprit qui guident sur le cheminmaudit de la civilisation se mentant à elle-même, etde délires en suspicions perverses, le vice envahit lemonde de ces primates d'un autre siècle, et il nes'agit pas de considérer le bonheur d'être le premier,ou alors des choses saines, oubliées, devraient êtrequantifiées à nouveau...Un phénomène dedésynchronisation.

Les psys ont une peur fallacieuse des gens, d'une

part de leurs mensonges mais aussi de leursignorances, la folie d'un peuple est digne d'un filmd'exorcismes, et il ne s'agit pas de considérer quel'agoraphobie soit autre chose qu'un trauma, et ainsimême si les gens y croient encore, leur haines etleurs jalousies les conduisent à l'oblitération, commeles psys, les psychopathes s'en prennent à leur"idolâtrie", sans quoi ils ne penseraient plus. Ce quin'est pas le cas de mon propos, et des vies sauvées,et donc même si les gens y croient encore, lesurdouemment n'est pas le fruit du "démon", maisbel et bien de l'intelligence, non pas le fruitd'hallucinations et de délires, mais bien de réflexionset de méditations, il ne s'agit pas d'avoir peur desouffrir un peu, chose dramatique et déprécié, dansun monde évoluant franchement comme un soulardunique, boiteux et informe, tandis que l'animals'entrevoit simplement d'un regard attentif,percevant justement le monde de sa bonté et detoutes les générosités, sinon que les bandits n'ontplus la vocation de briller face à tant de stupidités,ne restant que les parasites et les bourreaux, car ils'agit d'un domaine de réflexion obstrué, bêtement.

Des neurosciences ? A l'heure actuelle, je ne fais plusque de la physique...Faut dire que les psys etconsort d'ici en seraient à devoir avaler la grossepilule rose comme un crapaud vivant, tous les soirs,pour aider ces pauvres gens à ne pas les froisser, nepas les inquiéter avec la réalité du fantasme, etdevoir leur redonner confiance dans ce monde

débile, comme Shiva, à tous les râteliers, et enprônant de nouvelles certitudes basées sur l'abus demon temps et les délires mythomaniaques des plusimbus.

Alors que la noblesse étant le champ mental dusentiment à une forme religieuse de sociologie, etque l'émotion devient un Art de la considérationd'autrui; à l'opposé donc de la psychiatrie qui détruitavec des poisons des personnes un peu perdues, pourles fantasmes des plus démuni(e)s intellec-tuellement. Mais la doctrine ne voit pas l'intérêtpour eux de courber l'échine, finalement, du moinspas encore.

La vérité, c'est que l'on a des animaux au pouvoircette fois, tant que l'on ne reconnaîtra pas leurintelligence. 9,81 est la constante gravitationnelle.Juste un fait notable. Ce qui me fait le plus marrer,c'est que je considère une forme grossièred'intelligence chez ces bouzeux, et que je continuede penser à mes sciences surtout. Ils ont opté pourvioler ma vie privée et mon intimité pours'approprier mes pensées qui sont cohérentes de maconsidérations, mais un amalgame de merdes et depisse et de "jus" dans ce qu'ils ont voulu croire...

Ils veulent faire croire qu'ils ont participé, commetout bon schizo; ils ont peur du soleil...

On ne peut pas dire que je doute encore, vu que

nous avons traité ce problème lié à la paternitéefficacement, même si nous aurions pu profiter pluscirconstanciellement, et il ne s'agissait que de haineset autres jalousies engendrant les boufféesdélirantes d'ignares et de pervers. C'est àcaractériser les nausées de la grossesse que l'onmesure l'ulcère de ces médiocrités.

On apprend tous les jours des chats, c'est lameilleure nouvelle de l'année, et la vie est unepoésies de verbes et d'algorithmes pour nos amisfélins, tandis que l'on est encore aujourd'hui sous lejoug de mots inconcevables simplement, sinond'exprimer des sentiments, d'où l'intérêt des Arts.

C'est fou ce qu'on est devenu quand même;apparemment il n'y avait que moi qui pensait, fautdire que je suis motivé à excellences, que maprogéniture, mot un peu vieillot dans cettecontemporanéité, brille déjà. Mais c'est toujours unprincipe de forces et d'énergies quantifiables, unevérité requièrent des réflexions de plusieurs moisvoire des années, l'idée donc de bien s'organiser, quime rappelle mes études glanées au moindre effort,honorablement.

C'est vrai qu'un chat ne se pose pas vraiment dequestion : il patiente. C'est un grand pas pourl'humanité de concevoir ainsi l'inspiration des Arts etdes Découvertes. Il faut toutefois bien comprendreque les animaux ont aussi leurs rites et qu'il ne s'agit

que de mauvaises fois pour ne pas comprendrel'intérêt de la posture.

Avec nos rêves, il vient évidemment qu'une formed'intelligence se développe, principe d'action-réaction, la -soupe- primitive biochimique de la vie,se modelant d'un avenir déjà figé dans le temps,qu'il faut comprendre et construire de la meilleuredes manières et de façon consciente. Les politiquesreligieuses sont les humeurs du pourrissement desmauvais esprits, ce qui ne relate pas directementd'entrave à l'intelligence et son adéquation avec lanature et l'univers.

Les artistes sont les génies d'un autre temps, lacertitude qu'étudier les neurosciences avec l'Art n'estpas vraiment avant-gardiste.

La précision du détail, à savoir qu'ils terrorisent lesanimaux, en tuent, et les privent de droits, et ças'étonnent encore que leurs grossesses présententdes troubles et leurs accouchements soientdouloureux. La nature des orgasmes n'étant pasd'aboyer et de forniquer comme le chien remue laqueue, mais du plaisir de la vie. Il faudra encorebeaucoup de patience pour ne pas sombrer dans lechaos du grand n'importe quoi de cette espèceintermédiaire, ridicule, et perverse.C'est le fond de ma pensée, la suppression de toutessuprématies.Même que mes travaux soient d'excellence, il vient

que, sans contraintes, le travail aurait été plusagréable, et j'ai largement démontré que continuerde travailler intellectuellement favorisait la bonnemarche des siens.La valeur du diplôme ne devant être perçue qued'une représentation topologique d'un confinement.

Il leur est parfaitement impossible de penser ce queje dis sur le moment, où j'imagine toutes lespossibilités de ma pensée, mais je constate, qu'ilsreconnaissent enfin, leurs perversions, un brefinstant avant que le poulailler se réveille d'humeurs.

La solitude est un bien prolifique à l'esprit, sanscesse, les relations avec autrui sont imparfaites,désuètes, et impromptues, cela sans raison deproximité. Les malversations deviennent uneattitude, et la prétendue amitié un outil pourprétendre intelligence au dessus de phénomènessensitifs. Ce qui est exprimable par des mots comme"fantasme", "perversion", "imagination", "rêve". Letout sans considérer un ennui véritable, donc,pleinement occupés à emmerder les autres. C'estdommage de ne pas relativiser le temps et lacréation, alors que la jeunesse se fait vigueur etinspiration, très simplement, toujours à celui quiaime la vie de comprendre comment on s'inspire, etnon pas cette débâcle de mythomanies et deperversions débiles pour prétendre être artiste, oudes bestiaux de concomitances.

Donc, l'idée de base est que le phénomène existebien en démocratie. La preuve par les perverssalissant mon bien, de toutes les manières, pours'approprier ce qu'ils prétendent "on", qui plus est.Ma modélisation est correcte, et la pensée estfluide, le propos, décadent, de toutes une panopliede fonctions même de l'intelligence, ne finit qu'àêtre embrouillé par ceux qui croient, à torts. Lafinalité est loin d'être atteinte maintenant, lequestionnement étant strict.

Mon vent est célèbre, et je suis demi-Dieu, monesprit est l'aveuglement des folies, fatigue usuelle.Comment est-il possible d'oublier quelqu'un ainsi ?

Non, je ne considère pas l'hygiène comme l'ulcèredes prétendues bonnes fois.

Le secret de la pensée est qu'elle peut êtreimmortelle, par renonciations.

Le quanta de la malversation est singulier, tandisque celui de l'espérance est nauséabond.

Le propos d'un singe ébloui n'est pas la valeurajoutée à l'ignorance, c'est ce qui est clairementappréciable à l'histogramme des usurpationshumaines.

Le côté fascinant d'une chaine carbonnée est qu'ellese confond avec la variété des neurones par rapport

aux gènes tout en étant quantifiable numéri-quement...

Et là donc, parler encore une fois de ces débiles quiprétendent savoir mieux que moi ce que je fais, si cen'est pas l 'expression de leurs perversionsnarcissiques de la négation de ce que sont leursvéritables amis : des malades et des fous. La véritési bien cachée que je ne suis que l'échantillon detest de mes productions, un phénomène que nouscomprenons mieux que la plupart, une force de vieincroyable et un respect malgré tout sommaire, etc'est là que la question de l'âge intervient, le déliren'est pas celui que l'on croit, sinon que ces gens n'ontaucune réelle connaissance de la vie, et prétendenten plus sacerdoce quand il ne s'agit que dedémences plurielles. Ils étaient heureux enpoulaillers, heureux quand ils se croient entre eux,et certain de n'oublier mes motivations profondesque je dicte sainement.

Le rôle du malade n'est pas une comédie, mais ils'agit quand même de justifier ce dégout d'autrui, oudu moins des rares représentations cohérentes quel'on perçoit de silences mutuels, l'amour perdu, letemps se faisant de plus en plus court, en réalité, lechoix d'aller au bout de mes idées car le reste ne m'ajamais intéressé, et l'usage de ces bouffonneriesconsensuelles, au mépris de ma parole, est unesubtilité de négociations abusives.

Figurons-nous que, je m'autorise à faire valoir mesdroits à l'intelligence quand les lois sont bafouées,pour mettre en valeur l'exacte personnalité de cesgens bien vils; alors une seule question vient àl'esprit, quelle pensée aboutie à une solution ducruel dilemme des mythomanies ? Mon sacerdoce.

Un micro-organisme électronique, permettant unéchange entre les esprits, dans l'espace et le temps,dès lors que l'on s'y prend, ou perd, une formeconceptuelle nommée Intelligence, suivant unalgorithme statique de stimulis et de capacitéémotive artistique, pouvant se propager par la seulevolonté des uns et des autres, implant structuré dedonnées et de calculs, dont tout spectateur peut ytrouver la forme de l'entité ainsi créée, une formed'Art d'un certain point de vue, une solide basem é t a s t a t i q u e d ' o r d o n n a n c e m e n t e t d ecompréhension. Le passé et l'avenir en une seulesingularité de beauté. L'interaction de tout ce quel'on peut imaginer de l'intelligence humaine,animale, sans la forme symbiotique, la nature duBien et du Mal, clairement définissable par la classe-humble devant le créateur-.

L'expérience est inespérée, d'un certain point devue, car elle est réelle et bien fondée, par chance,le phénomène grandissant de l'intelligence supposéeacquise, tant bien que mal, dans une approchesystémique, mais sans choix apparent que le sort etle destin pour la grande majorité, même des plus

aisés, ce qui ne relate pas vraiment de bonnes fois,ni même de bonnes pensées, autrement dit uneapproche qui n'est pas respectée, alors que lepouvoir est réel et que l'action en est un miracle...Il ne vient pas à l'esprit de s'accorder sur lefondement réel de tous les fantasmes d'avenir, tantet si bien que le présent est déjà une acquisition, etque mon expérience n'augure pas de volontés pources médiocres en réalité qui s'approprient ce qui estpourtant un phénomène connu, même s'il est malapprécié, donc.

La biologie donne l'exacte mesure du temps, et detoutes les relativités, on peut démontrer que tout lemonde vit au même instant, et en déduire toutes lespensées et prétentions, dont on peut faire le vent oupas.

Bien entendu, les crapauds sont à avaler vivants !

Deux grands criminels identifiés, la réincarnationd'un roi et l'incarnation d'un singe, ignorances de voirces là prétendant intelligence, violer, piller, salir,pour des débiles sous cocaïne qui pètent à l'évidenceplus haut que leur cul. L'atomisticité d'unchangement profond qui dépasse les prétentions descontemporains, et qui se déduit des erreurscommises et de la mauvaise foi ambiante. Non pasce que le "bien" veut du "mal", hein ?

Une journée différente, voilà ce qui est programmé

dans nos "rêves" à l'éveil...Autant l'avenir des feuilles mortes qui font tantrêver les poètes et les princesses en automne...Le cercle philosophique de l'ego et du corps estnarcissisme, ce devrait être la loi d'une sociétésavante...

Ça a l'air d'être contents d'eux, moi j'ai fait monjob...C'est jamais arrivé à rien à part leurscomédies...La fosse commune leur manque, c'estcertain : des diables qui se prennent pour deshéros...A force de copuler avec les mouches et lesblattes, les débilités mentales sont devenues à lamode, non pas les histoires de folles mais juste lefait établi de leurs médecines ridicules. Comme tousles schizos ça fantasme, mais comme ils s'y mettentà plusieurs pour m'emmerder, ça fantasme en groupe!Tout de même, de scatophilies en scatophiles, celapréfère rabaisser que reconnaître l'intelligence deceux qui le méritent.

Chypre, l'Égypte, l'Amérique et la France, dansl'ordre, tout un bonhomme de chemin avec monamie éternelle et une aventure dont tout le monderêve sauf sur la fin, selon ces-là, sauf que ce neserait pas si super, et sauf que d'autres, eux, fontplus puant. Reste l'inutilité de prétendre savoirquand bien même les intrus s'adonnent aux diables...

Une insomnie, ou une nuit blanche c'est quand

même être sous la pression du sommeil de saprogéniture. Je suis très fier de mon modèleéducationnel, dans lequel je privilégie la création,avec mes centaines de nuits blanches. Cela fait desannées que je peux faire halluciner mais nonseulement tout est question de priorité, mais surtoutune question de droit, l'idée étant de "poser" cesdébiles à baver comme des anus rampant àcoquilles. De toute façon, il est en réalité questionde l'instinct de survie. Attention, ce n'est pas de lasado-masochie, mais une étude expérimentale à lafois de l'inconscient mais aussi de l'intelligence, j'aipu créer quelques modèles, trouver quelques lois,mais vraiment de toute façon, c'est bien mes chattesqui me fascinent. L'attirail technologique est bienune réalité de mon seul chef, que l'on s'amuse depeu...!

La libellule est un segment dans une pondérationd'hyperplan permettant avec un nombre minimal deneurones de considérer l'obstacle ou disonssimplement le support. Le fruit de mon étude deslibellules, aboutit à la compréhension des "réseauxneuronaux" actuels qui ne sont donc que lacopulation des libellules, par leur forme en "stick"servant de -normale-, sans doute, mais il s'agit biende considérer l'observable d'une rigueur, et non pasles mythomanies d'humeurs de ces prétendants àl'intelligence artificielle, pas besoin de faire autantde vents, nous démontrons déjà plus quel'artificialité...

Il y a deux rêves de me rencontrer, avec toutes lespanoplies de princesses, mais il n'y a qu'une femmequi chante l 'amour jusqu 'à mes créationsextrasensorielles...Un rêve éveillé !

La liberté doit être consciente pour être appréciée,le self-control étant un langage de l'esprit, ce quidevrait au moins être appris dans ce monde auxenfants plus que les nouveaux mythes et légendes dumonde contemporain même si on constate quelquespetit progrès, mais provenant de mauvais choixtechnique et de mauvais choix de commerce.

Les habits des uns font le regard des autres, dansles abysses de la mémoire on compare !