La gestion du stress chez l e les...

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La saine gestion du stress chez les jeunes! 20 avril 2016 Natacha Condo, ps.éd. Conseillère en prévention et en promotion de la santé CISSS de Lanaudière

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La saine gestion du stress chez

les jeunes!

20 avril 2016

Natacha Condo, ps.éd.

Conseillère en prévention et en promotion de la santé

CISSS de Lanaudière

DU STRESS OU DE L’ANXIÉTÉ?

STRESS OU ANXIÉTÉ?

Le stress est une réaction physiologique et psychologique normale que l’on expérimente suite à un changement;

Il affecte les enfants autant que les adultes;

Vise à assurer la survie de l’organisme;

Peut être déclenché autant par un évènement agréable que désagréable;

Peut survenir suite à un grand changement dans la vie ou un petit changement dans la routine.

La menace est diffuse ou vague;

Souvent déclenchée par l’appréhension d’évènements pénibles;

La perception du danger, de ses probabilités et de ses conséquences est souvent exagérée;

Peut persister sans raison apparente et entraver le fonctionnement de la personne;

Oriente l’attention vers une menace ou un danger (réel ou non);

Stress Anxiété

LE

ST

RE

SS E

ST

CE

SS

AIR

E À

LA

VIE

!

Le stress est donc nécessaire à la vie et a contribué à la survie de notre espèce!

Ce n’est que lorsqu’il devient chronique qu’il commence à avoir des effets néfastes sur notre santé physique et mentale!

COMPRENDRE LE

FONCTIONNEMENT DU STRESS…

L’IDÉE DE PRESSION: UNE VISION

ERRONÉE DU STRESS!

Il est prouvé que ce n’est pas le sentiment de

pression psychologique qui est à la base des

problèmes de santé reliés au stress, mais plutôt

la production d’hormones du stress en réaction à

une situation qui est détectée comme menaçante

par le cerveau;

Ces hormones sont produites pour nous

permettre de faire les 2 seules choses que l’on

peut faire devant un danger : l’attaque ou la

fuite!

LES HORMONES À L’ŒUVRE:

Une fois sécrétée, ces hormones ont la capacité de

remonter au cerveau;

Elles affectent la mémoire et la régulation des

émotions en agissant sur les régions du cerveau

impliquées dans ces activités;

Ce sont ces actions qui expliquent qu’une

production importante de ces hormones sur une

base chronique puisse être à l’origine de

différents désordres physiques et mentaux que

l’ont attribue au stress chronique!

CES ACTIONS CHEZ LES JEUNES?

Le cerveau des enfants et des adolescents est très vulnérable au stress, car il est en plein développement;

Il a été démontré que le stress a la capacité de retarder le développement de certaines parties ou fonctions du cerveau;

Chez les adolescents, lorsque les hormones de stress atteignent leur cerveau, elles affectent certaines régions qui sont encore en plein développement tel que le lobe frontal et l’amygdale.

LES 4 CARACTÉRISTIQUES DU

STRESS

UNE ANALYSE UNIQUE POUR TOUS!

Les chercheurs ont démontré qu’il faut qu’une

situation comporte au moins une des caractéristiques

suivantes pour induire une réponse de stress qui peut

être néfaste à long terme;

Ces 4 caractéristiques font en sorte que peu importe

votre âge, votre sexe, votre emploi du temps : il y aura

invariablement production d’hormones du stress;

Plus une situation comporte de ces caractéristiques,

plus la production de ces hormones sera importante!

4 CARACTÉRISTIQUES:

Contrôle : vous avec l’impression que vous

n’avez pas le contrôle sur la situation.

Imprévisibilité : la situation est imprévue ou

imprévisible pour vous.

Nouveauté : la situation est nouvelle pour vous.

Égo menacé : la situation est menaçante pour

votre égo.

LE STRESS: UNE RECETTE PERSONNELLE!

Comme nous savons que les perceptions sont

uniques à chacun, une situation pourra être plus

ou moins stressante selon la vision de l’individu

qui la vit!

Il devient donc important de comprendre la

source réelle de notre stress pour pouvoir agir sur

celui-ci.

La situation qui nous concerne, analysée à

travers ces 4 caractéristiques, pourra nous

éclairer.

MANIFESTATIONS DU STRESS

CHEZ LES JEUNES

STRESSÉS NOS JEUNES?

Si on regarde la situation à partir de la définition

que nous en avons faite… il est clair qu’un jeune

sera plus vulnérable au stress qu’un adulte.

Il n’a souvent pas le pouvoir de contrôler les

situations pour diminuer la nouveauté et

l’imprévisibilité. On n’a qu’à penser à des

exemples tels: un déménagement, la séparation

des parents, l’arrivée d’un nouveau conjoint et de

ses enfants à la maison…

LE STRESS DANS LA VIE D’UN JEUNE,

LE RÔLE DES PARENTS:

Une partie de la gestion du stress chez le jeune passera donc par le contrôle que les parents pourront exercer sur les situations qui peuvent induire de la nouveauté, de l’imprévisibilité et/ou une perte de contrôle chez le jeune. On pourrait prendre l’exemple d’une entente de garde où l’on prend en considération la position du jeune.

Plusieurs études ont démontré que lorsque les parents agissent de manière à diminuer la nouveauté et l’imprévisibilité chez leur enfant, ils peuvent augmenter le sens du contrôle chez lui et par conséquent, diminuer le stress.

LE STRESS DANS LA VIE D’UN

ENFANT: LE RÔLE DES PARENTS

On pourrait croire que le fait de courir toute la semaine, de laisser les enfants de longues heures en service de garde amène nos enfants à devenir stressés…

Les récentes études indiquent que non et démontrent plutôt que l’élément clé réside chez les adultes qui prennent soin d’eux : professeurs, éducatrices, parents… Si l’adulte est sensible et à l’écoute des besoins de l’enfant, il contribuerait grandement à diminuer la sécrétion des hormones répondant au stress.

Les comportements de l’adulte vont donc aider l’enfant à gérer la nouveauté et l’imprévisibilité ainsi qu’à augmenter son sens du contrôle, mais pour ce faire, ils devront être capable eux-mêmes de gérer leur propre stress!

LE STRESS DANS LA VIE D’UN

ENFANT: LE RÔLE DES PARENTS

Il ne faut pas hésiter à encourager notre enfant à affronter les situations, mais en l’épaulant et en le guidant dans ce processus.

Si comme adulte nous sommes anxieux, que nous éprouvons beaucoup de craintes, et que nous sommes surprotecteurs avec nos enfants, nous prenons le risque de lui envoyer le message que le monde est dangereux et qu’il n’a pas la capacité de l’affronter. Ce qui viendra confirmer les craintes chez un enfant qui est stressé ou inquiet…

Sachant cela, il devient donc important de travailler nos propres comportements pour offrir un modèle positif à notre enfant!

LE STRESS DANS LA VIE D’UN

ENFANT: LE RÔLE DES PARENTS

Les enfants peuvent ressentir les états émotionnels de

leurs parents : le stress parental peut donc être perçu par

l’enfant et l’affecter.

Une étude a démontré un niveau d’hormones du stress plus

élevé chez les enfants dont les mères présentaient un

résultat élevé au questionnaire mesurant le stress et les

symptômes de dépression.

Reconnaître les sources de notre propre C.I.N.É. et

travailler à trouver des solutions aux situations stressantes

est donc la première chose à faire pour aider notre enfant à

s’adapter au stress!

RECONNAITRE LES SYMPTÔMES DE STRESS

CHEZ LES JEUNES?

Trouble du sommeil;

Diminution de la capacité de concentration;

Diminution de la capacité d’attention;

Capacité à mémoriser affectée;

D’autres atteintes peuvent être présentes selon

les individus (maux de tête, brûlures d’estomac,

nausées, irritation de la peau…).

QUELLE EN EST L’EXPLICATION?

La première fonction du cerveau est de détecter les menaces dans l’environnement, s’il n’y en a pas, il peut se consacrer à d’autres activités;

Dès qu’il détectera une menace, il cessera toute attention sur la tâche en cours pour porter son attention sur la menace dans le but d’assurer sa survie en mettant en place le système de réponse au stress…

L’attention, la mémoire, la concentration et la vigilance seront à leur maximum, mais centrées seulement sur le stresseur!

VIGNETTE CLINIQUE:

LE CAS DE MATHILDE 9 ANS

Mathilde a changé d’école cette année, suite à la

séparation de ses parents. Par contre, ils habitent

près l’un de l’autre ça change donc peu ses habitudes

et son quartier. Elle a débuté l’année scolaire il y a 2

mois et s’est déjà fait des amies. Elle passe une

semaine sur deux chez son père, mais ses parents se

sont entendus pour qu’elle puisse à l’occasion voir

l’autre parent pendant la semaine si elle le réclame.

Sa meilleure amie qui fréquentait la même école

qu’elle vient la visiter la fin de semaine et elles se

communiquent par texto sur leurs iPod.

Mathilde a commencé un cours de danse le samedi

matin, il y a longtemps qu’elle le demandait à ses

parents.

ANALYSE DE LA VIGNETTE DE MATHILDE:

Quel est son C.I.N.É.?

Quels sont les éléments qui vous permettent de

dire cela?

Quels sont les facteurs de protection?

Selon vous les capacités scolaires sont-elles

affectées et pourquoi?

VIGNETTE CLINIQUE:

LE CAS D’ALEXANDRA 14 ANS

Alexandra fréquente l’école secondaire pour la deuxième année, sa meilleure amie depuis le primaire l’a délaissée pour se tenir avec des filles « populaires » de l’école. Comme elle n’entretenait pas d’autres relations de façon régulière, elle se sent seule est exclue. De plus, depuis 3 semaines, cette bande de filles la ridiculise, la bouscule, l’insulte, dès que c’est possible. Elle ne reconnaît plus son amie et en plus de vivre cela, n’a plus de confidente. Sa mère vient de se faire un nouveau chum et est très peu présente depuis quelques mois. Souvent seule à la maison le soir, elle se rend maintenant compte que des fausses rumeurs la concernant circulent sur internet…

ANALYSE DE LA VIGNETTE D’ALEXANDRA:

Quel est son C.I.N.É.?

Quels sont les éléments qui vous permettent de

dire cela?

Quels sont les facteurs aggravants?

Selon vous les capacités scolaires sont-elles

affectées et pourquoi?

VIGNETTE CLINIQUE:

LE CAS DE CÉDRIC 16 ANS

Cédric vient de déménager, il change aussi d’école

secondaire. Il ne connaît personne dans cette nouvelle

ville, ni dans l’école qu’il doit fréquenter. Cédric est

sportif, il joue au football depuis 5 ans. Il a commencé

l’école cette semaine et aujourd’hui l’entraînement

dans l’équipe de football de l’école. Déjà, beaucoup de

jeunes l’ont approché pour connaître son histoire et il

est invité à une fête chez un autre joueur la fin de

semaine prochaine. Il peut aller à l’école à pied de

chez lui et a d’ailleurs rencontré une gentille fille de

sa classe qu’il croise et avec qui il discute sur le

chemin de l’école. Ses parents sont heureux du

changement qui les a rapprochés de leurs emplois et

permet les soupers en famille chaque soir.

ANALYSE DE LA VIGNETTE DE CÉDRIC:

Quel est son C.I.N.É.?

Quels sont les éléments qui vous permettent de

dire cela?

Quels sont les facteurs de protection?

Selon vous les capacités scolaires sont-elles

affectées et pourquoi?

LA GESTION DU STRESS:

POURQUOI? ET COMMENT?

LE STRESS ABSOLU ET LE STRESS RELATIF

Le problème avec le stress aujourd’hui, c’est que

le cerveau ne fait pas la différence entre le stress

absolu (question de survie) et le stress relatif

(interprétation : C.I.N.É.)!

Le corps réagit donc de la même façon et les

hormones libérées pour faciliter la fuite ou le

combat… ne serviront en rien à la personne qui

restera assise. Leur circulation dans l’organisme

amènera différents problèmes de santé si cette

situation devient chronique!

POURQUOI TENTER DE GÉRER LE STRESS?

Le stress, lorsqu’il devient chronique, entraîne

des problèmes de santé physique tels : problèmes

digestifs, problèmes de sommeil, maux de tête,

maux de ventre, obésité, diabète de type II…

Le stress chronique peut entraîner des problèmes

de santé mentale tels : anxiété, troubles anxieux,

états dépressifs…

Sans compter les souffrances attribuées à ce vécu

quotidien…

MAIS ALORS… COMMENT GÉRER CET

ÉTAT?

Nous comprenons que c’est la façon dont

l’individu interprète la situation qui produira ou

non une réponse de stress;

Cette situation devenant chronique pourra avoir

des effets néfastes sur la santé physique et

mentale;

Il devient donc primordial de travailler à la

gestion de cette interprétation du vécu!

MAIS ALORS… COMMENT GÉRER CET

ÉTAT?

De nos jours, les stresseurs sont rarement une

bête sauvage et beaucoup plus souvent une

situation sociale!

Dans le cas de nos ados, un examen, pire: un oral,

une menace verbale d’un pair, etc.

La culture humaine se raffine, mais les réactions

émotives de base restent les mêmes… le corps

doit donc agir pour mettre un terme à cette

attente en tension!

MAIS ALORS… COMMENT GÉRER CET

ÉTAT?

La pratique d’une activité sportive par notre

jeune peut l’amener à liquider cet état de tension

de façon positive;

Le fait de l’amener à exprimer ce qu’il vit à nous

ou à une autre personne de confiance peut suffire

à liquider la tension;

Par l’art ou l’écriture, on arrive au même

résultat! Il faut comprendre que chez l’être

humain, le langage est devenu une forme d’action

symbolique!

LES ÉTAPES À SUIVRE POUR UNE SAINE

GESTION DU STRESS

Être à l’affût des effets secondaires néfastes qui se manifestent chez notre jeune : maux de tête, maux de ventre, irritabilité ou tout changement dans son comportement.

Chercher et reconnaître les sources de stress : chez nos jeunes, les sources de stress ponctuelles plus souvent rapportées sont en première place l’école : avec en tête de liste l’exposé oral, puis, les examens, les retards, l’excès de travail, les échecs. En 2e position viennent les amours : difficultés d’approche, premiers rendez-vous, chagrin d’amour, appréhension de la première relation sexuelle. Puis, il y a les évènements associés à la violence : être suivi, victime d’une agression... Il y a finalement les problèmes familiaux, surtout les difficultés de communication.

LE ÉTAPES À SUIVRE POUR UNE SAINE

GESTION DU STRESS

Exercice: Demander à notre jeune d’écrire une

situation stressante vécue et l’analyser avec les

caractéristiques du C.I.N.É.

Exemple: Si un jeune nous écrit qu’il est stressé

par une performance qu’il doit donner dans son

cours de théâtre, quel est son C.I.N.É?

Est-ce la nouveauté (première pièce)?

L’imprévisibilité (la date a été devancée)? Le

manque de contrôle (n’a pas le rôle qu’il voulait)?

Ou bien la menace à son égo (peur d’oublier son

texte, de faire rire de lui dans l’école…)?

LES ÉTAPES À SUIVRE POUR UNE SAINE

GESTION DU STRESS

Une fois que nous avons compris la ou les caractéristique(s) qui génère(nt) le stress, il faut ensuite identifier nos réactions et savoir lesquelles sont bonnes et lesquelles sont néfastes pour nous.

Les réactions les plus fréquentes au stress sont: la paralysie, l’affirmation de soi et l’agressivité. Laquelle est la plus nocive pour notre organisme?

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, c’est la paralysie! S’isoler et ruminer des idées noires et donc la pire chose à faire!

Au contraire, défouler son agressivité dans un sport fait le plus grand bien. Consulter ou appeler des amis pour parler de ce qu’on vit est des façons positives de s’affirmer et de liquider les tensions.

LES ÉTAPES À SUIVRE POUR UNE SAINE

GESTION DU STRESS

Il est bon aussi de comprendre avec notre jeune,

quelle est la caractéristique la plus présente

comme induisant du stress chez lui.

À l’aide d’un tableau qu’il peut remplir pendant

quelques jours, nous pourrons comprendre avec

lui l’aspect qu’il a le plus de difficulté à gérer et

ainsi, analyser la signification et travailler à ce

niveau!

MON C.I.N.É. ! (EXEMPLE ENFANT)

Situations

stressantes

Contrôle Imprévisible Nouveauté Égo

Dispute

avec des

amis

X X X

Examen

oral

X

Nouveau

cours de

plongeon

X X

Arrivée

d’un

nouveau

conjoint

chez

maman

X X

Total: 3 1 2 2

MON C.I.N.É. ! (EXEMPLE ADO)

Situations

stressantes

Contrôle Imprévisible Nouveauté Égo

Dispute

avec des

amis

X X X

Examen

oral

X

Cours de

conduite

X X

Nouvelle

relation

amoureuse

X X X

Total: 2 1 2 4

LA RELAXATION? VRAIMENT?

Contrairement à ce que la majorité des gens

peuvent croire et véhiculer, cette association

entre la relaxation et la gestion du stress est

démentie par toutes les recherches scientifiques!

C’est vrai que si tout va bien et que nous sommes

très occupés et toujours à la course, une séance

de yoga peut nous apporter bien-être et détente,

mais nous n’étions pas stressé à proprement dit

au départ.

Quoi faire alors?

UN PLAN B !

Une fois les premières étapes réalisées, pour gérer sainement notre stress, ce qu’il faut c’est un plan B! Que nous réalisions ou non ce plan, c’est un excellent exutoire!

Par exemple, notre jeune est très stressé, car il souhaite être dans la troupe de théâtre de l’école, mais il y a peu de places et cela se décide lors d’une audition… C’est un très fort désir chez lui, le manque de contrôle sur la situation et la menace à l’égo est ce qui ressort le plus. Son plan B pourrait être de se renseigner sur les cours dans des écoles privées, à la ville, etc.

UN PLAN B !

Le fait de se mettre en action dans ces démarches

diminuera les réactions de son corps à cette

situation stressante, car il aura augmenté son

sentiment de contrôle sur la situation, de plus, le

fait de pouvoir aller ailleurs advenant un refus

réduit l’atteinte à l’égo.

Même si cette audition reste un évènement

stressant pour lui, il sera devenu résilient à ce

stresseur.

EN CONCLUSION!

Le stress est nécessaire à la vie et à la survie et en fera toujours partie! Nous ne pouvons pas éviter tous les agents stressants de la vie et nous ne devrions pas essayer de protéger nos enfants pour qu’ils ne fassent jamais face au stress!

Apprendre à le gérer de façon saine permet d’éviter le stress chronique, celui qui peut être néfaste à notre santé physique et mentale. Les situations stressantes de notre vie ne nous rendent pas malades, c’est la réponse du corps face à ces situations qui peut le faire!

Apprendre à notre jeune comment reconnaître et s’adapter au stress est un outil essentiel dont il aura besoin pour devenir résilient face au stress et qui lui servira toute sa vie!

www.stresshumain.ca

POUR ALLER UN PEU PLUS LOIN…

QUESTIONS? COMMENTAIRES?

RÉFÉRENCES:

Lupien, Sonia. Par amour du stress. Ed. au carré. 2010. 275p.

Lupien, Sonia. Le stress chez les enfants et les parents: parle-t-on de la même chose? Mammouth magazine. Ed. 17 juin 2006

Schramek, Tania Elaine. Vos enfants se font-ils du CINÉ avec la rentrée? Mammouth magazine n.5 septembre 2008.

http://lecerveau.mcgill.ca/