JUIN_JUILLET 2012
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Juin-Juillet 2012Juin-Juillet 2012 Revue de presseRevue de presse
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Les Mousquetaires épinglés par l'Autorité sur la publicité
Le groupement Les Mousquetaires (Intermarché) a été épinglé pour une publicité laissant
penser qu'il jouait un rôle « déterminant » dans la préservation des ressources marines.
Saisie par l'association Bloom, qui a pour objectif de sensibiliser à la protection des
écosystèmes marins, l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (Arpp) avait
confié l'examen de la plainte au Jury de déontologie publicitaire (Jdp), instance
indépendante. Celui-ci demande à l'Arpp de « faire cesser cette publicité » et de s'assurer
qu'elle « ne soit pas renouvelée ».
La campagne de publicité avait été menée fin 2011 par le groupement Les Mousquetaires,
propriétaire de l'enseigne Intermarché, notamment dans les magazines L'Express, Le Point,
Marianne, Le Figaro Magazine et Courrier International. Dans sa décision, rendue publique
jeudi, le Jdp a jugé que cette publicité pouvait induire le public en erreur sur la réalité des
actions de l'annonceur. Le libellé du texte peut conduire à penser que la flotte d'Intermarché
« joue un rôle "déterminant" dans le maintien durable de la pêche en France et la
préservation et le renouvellement des ressources marines ».
Une décision « rassurante » pour Bloom
Pour la fondatrice de Bloom, Claire Nouvian, cette décision est « rassurante » et permet de
mettre un terme à la tentative du distributeur de faire croire qu'il existerait une « exception
française en matière de pêche profonde » en dépit de toutes les études scientifiques sur les
dangers de l'emploi du chalut en eaux profondes. Le groupement des Mousquetaires est
propriétaire du premier armateur de pêche fraîche en France, la Scapêche, qui compte 17
navires, dont 8 chalutiers hauturiers, et 220 marins pêcheurs. La publicité précisait que
l'armateur est reconnu par le Bureau Veritas Pêche responsable.
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« Le Jdp a reconnu que nous sommes soutenus par un bureau de certification international,
Veritas, et une structure comme celle-là ne valide pas un cahier des charges qui ne soit pas
conforme à la loi et aux orientations fixées par l'Onu en matière de pêche responsable », a
souligne à l'Afp le directeur de la Scapêche, Tristan Douard.
La publicité incriminée montrait également un « auto-label » responsable, selon le terme
employé par le Jury de déontologie, alors que pour certains des poissons mentionnés
explicitement, « il s'agit bien d'espèces capturées avec des chaluts déployés dans les très
grandes profondeurs des océans », a expliqué Claire Nouvian. Sans oublier le problème lors
des chalutages des captures accidentelles de certaines espèces de requins notamment,
classées « en danger critique d'extinction » par l'Union internationale de la conservation de la
nature (Iucn).
Une flotte parmi les plus surveillée
Selon Bloom, les autres grandes enseignes françaises comme Auchan, Carrefour, Casino et
Leclerc, ont déjà retiré de la vente un certain nombre d'espèces pêchées en eau profonde. Le
directeur de la Scapêche a affirmé que sa flotte était parmi les plus surveillées et affichait
undes meilleurs taux » de rejets en France. « Ce serait un suicide économique et social pour
nous si on ne respectait pas les ressources naturelles », a-t-il rappelé.
Par ailleurs, le Jury a estimé que « l'auto-label » du distributeur appelé « Pêche responsable »
présente « une forte ressemblance avec le label Msc (du Marine Stewardship Council, bureau
international de certification pêches durables) et comporte un risque de confusion quant à la
signification de ce logo ». Les deux logos sont bleus et présentent un poisson stylisé. « Mais
l'un est rond et l'autre ovale, l'un en français et l'autre en anglais et ils ne parlent pas de la
même chose », insiste M. Douard notant « qu'on ne comprend pas trop la possible confusion
». Source : AFP
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Bruxelles réclame 426 millions d'euros à 13 Etats de l'UE
La Commission européenne a annoncé vendredi qu'elle allait demander à treize Etats
européens, dont l'Espagne, l'Italie et la Grèce, quelque 426 millions d'euros de dépenses
agricoles dépensées dans des conditions irrégulières.
Bruxelles réclame 131,3 millions d'euros à l'Espagne, 104 millions à la Grèce, 98,9 millions à
l'Italie et 62,9 millions à la France. (© Shutterstock)
Afin de tenir compte des pressions financières pesant sur certains Etats membres en raison
de la crise financière, les Etats bénéficiant d'une aide financière comme la Grèce ou
l'Espagne pourront reporter, sous certaines conditions, le remboursement des fonds non
admissibles pour un délai maximal de 18 mois, précise la Commission européenne.
62,9 millions d'euros réclamés à la France.
Parmi les sommes que Bruxelles entend recouvrer figurent plus de 131,3 millions d'euros
réclamés à l'Espagne et 98,9 millions d'euros à l'Italie en raison de la plantation de vignes
sans droits de plantation. La Grèce se voit, pour cette raison mais aussi pour des faiblesses
dans le contrôle des raisins secs, et l'absence d'un système de contrôle de la production et
du stockage du sucre, réclamer plus de 104 millions d'euros. Bruxelles réclame aussi 62,9
millions d'euros à la France en raison de faiblesses dans le contrôle des primes aux bovins.
Ces fonds sont reversés au budget de l'UE en raison du non-respect des règles de l'UE ou
de l'inadéquation des procédures de contrôle des dépenses agricoles. Les Etats membres
sont responsables du paiement et de la vérification des dépenses effectuées au titre de la
politique agricole commune (Pac), mais c'est la Commission qui est tenue de s'assurer que
les Etats ont correctement utilisé les fonds mis à leur disposition.Source : AFP
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« L’exploitation va et doit sortir de terres », selon l’agriculteur porteur du projet
Le projet d’une ferme de 1.000 vaches laitières près d’Abbeville continue de défrayer la
chronique. Alors qu’une nouvelle manifestation de riverains et d’opposants est prévue
samedi 23 juin à Amiens, Michel Welter, l’agriculteur qui mène ce projet, attend
impatiemment l’autorisation du préfet de la Somme. Pour lui, un tel projet, qui bouleverse
les esprits, sortira tôt ou tard, dans la Somme ou ailleurs.
Le projet d'exploitation de 1.000 vaches laitières et 750 veaux et génisses doit permettre
à la Scl Lait pis carde de produire 10 millions de litres de lait. (© TNC)
Voila trois ans que Michel Welter est sur ce dossier. Installé à Airaines, au Sud
d'Abbeville, l'agriculteur est l'un des quatre associés de la Scl Lait pis carde, qui produit
actuellement 1,7 millions de litres de lait avec 200 vaches.
Le 23 avril 2012, l'agriculteur a reçu l'avis favorable du Conseil de l'environnement et des
risques sanitaires et technologiques (Coderst) de la Somme pour créer une exploitation
laitière de 1.000 vaches pour une production de 10 millions de litres de lait, et une plate-
forme de méthanisation pouvant recevoir 133 tonnes de déchets par jour. Le tout installé
sur les communes de Drucat et Buigny Saint-Maclou, en périphérie Nord d'Abbeville.
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La Scl, qui gèrera le site pour le compte de Michel Ramery, un entrepreneur dans le Btp
apportant les capitaux nécessaires, n'attend plus que le feu vert du préfet de la Somme.
Ce dernier s'est jusqu'alors abstenu de rendre sa décision au regard de la réserve qui s'est
imposée pendant les élections présidentielles et législatives. « Ce n'est plus qu'une
question de jours », confirme l'associé.
« Une décision favorable montrant que les risques sont évalués et maîtrisés »
Malgré un dossier bouclé et ayant reçu toutes les autorisations administratives requises, la
colère gronde et s'amplifie du côté des riverains qui s'opposent au projet. De plus en plus
soutenus par des personnalités et associations écologistes, les habitants des deux
communes concernées ont créé Novissen, une association pour mieux organiser leur
opposition.
« Le débat est devenu passionnel, regrette Michel Welter. Contacté par la rédaction de
TNC, il indique être réticent à communiquer directement avant la décision préfectorale. A
chaque fois que j'ai tenté de discuter avec les représentants de Novissen, cela s'est mal
passé. »
Pour l'heure, le coordinateur du projet s'en tient aux aspects techniques et réglementaires.
« La décision du Coderst a été sans appel : 21 voix pour, deux abstentions et une voix
contre. Nous avons réussi à démontrer que tous les risques liés à la taille du projet ont été
bien évalués et que les réponses que nous avons apportées sont satisfaisantes. »
Au-delà des considérations techniques et environnementales liées à l'implantation d'une
telle exploitation, c'est le modèle agricole qu'elle illustre qui interroge. « A tous points de
vue, ce n'est pas un modèle pour l'agriculture française, réagit Philippe Collin, le porte-
parole du syndicat. La réalisation d'un tel projet conduira à accélérer encore plus la
concentration des exploitations laitières. Avec des fermes de 1.000 vaches, il restera
seulement 2.500 exploitations laitières en France ! »
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Des interrogations auxquelles réplique Michel Welter : « Notre projet ne doit pas être
considéré comme un modèle, mais comme un choix de production pour continuer à faire ce
métier, rien de plus. »
Vivre de son métier et communiquer sur les pratiques agricoles actuelles
Au regard des réactions que suscitent son projet, l'agriculteur constate une méconnaissance
du grand public concernant l'agriculture. « Les citoyens ne sont pas assez informés de ce
qu'est l'agriculture d'aujourd'hui et ses difficultés. Si je pouvais vivre comme je veux de mon
métier avec 40 vaches et 40 ha, je resterai avec 40 vaches et 40 ha, martèle Michel Welter.
Or en 1988, un litre de lait me permettait d'acheter deux litres de fioul. Aujourd'hui, je peux
en acheter à peine un tiers de litre. »
« Certains opposants crient au scandale de voir près de chez eux des vaches qui ne sortiront
pas dehors pour pâturer et qui seront traites par des robots, alors que ce sont des pratiques
courantes depuis plusieurs années. Et d'autres vont me traiter d'empoisonneur car je donne
du fourrage conservé à mes animaux. Tout cela n'a pas de sens ! »
Et l'agriculteur de questionner : « Est-ce à moi d'aller expliquer aux gens que 95 % des
vaches laitières mangent des aliments conservés ? » Selon lui, son projet doit servir « à faire
comprendre qu'il y a un visage de l'agriculture » différent de celui imaginé les citoyens.
En attendant la décision du préfet de la Somme, soumis à des pressions de plus en plus
fortes, tant politiques que de la société civile, pour refuser ce projet, les opposants, soutenus
par la Confédération paysanne, ont prévu une nouvelle manifestation à Amiens samedi 23
juin 2012. Source :TNC
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Comprendre le prix de campagne sur les marchés céréaliers
Le mode de commercialisation emblématique du système coopératif a vu sa suprématie
remise en cause par la volatilité. Mais quels enjeux se cachent derrière le prix moyen ?
1. La fin d’un règne
Dépassé, le prix moyen ? Ce mode de rémunération était encore la norme il y a dix ans. Il
pesait alors près de 80 % des volumes dans nombre de coopératives. Depuis 2002-2003, la
volatilité qui s’est emparée des marchés a largement entamé son attractivité. Sa
requalification en « prix de campagne », terme jugé moins négatif qu’une « moyenne »
forcément médiocre, n’y a rien changé : ce symbole du principe de mutualisation, au cœur du
statut coopératif, est devenu une option commerciale parmi d’autres au sein des offres
proposées par les coops. Les producteurs ont désormais tendance à opter pour le prix ferme
lorsque le marché offre des perspectives de hausse, avec l’espoir de saisir les bonnes
opportunités. A contrario, ils reviennent au prix moyen quand le marché devient amorphe.
2. Nouvelles formules
Historiquement, le prix de campagne est obtenu en faisant la moyenne des ventes, une fois
commercialisé l’ensemble des volumes livrés sous cette forme. Si les prix augmentent en
cours de campagne, l’acompte payé à la récolte est complété par des versements
additionnels. Mais alors que l’on peut suivre aujourd’hui l’évolution des cours en temps réel, la
constitution du prix moyen s’apparente à une boîte noire, certains allant jusqu’à la suspecter
de servir de variable d’ajustement pour l’OS au détriment des livreurs. Pour désamorcer ces
critiques, certaines coops formalisent mieux leurs objectifs, voire garantissent un prix de
campagne correspondant à la moyenne des prix fermes proposés aux adhérents. Autre
déclinaison possible : calculer le prix moyen sur une période donnée, par exemple sur un
trimestre. Quel que soit le mode de calcul, l’élément caractéristique du prix de campagne
reste que la gestion du risque prix est confiée à l’OS, contrairement au prix ferme.
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3. Maîtrise des volumes
Pour les coopératives, connaître les volumes à commercialiser est impératif pour planifier
les ventes et coller au marché, et ainsi constituer le meilleur prix possible. Surtout que 20 à
30 % du « tas » est souvent engagé avant récolte. Tant que les producteurs livraient
massivement au prix moyen, les coops savaient anticiper ces volumes. Mais ces dernières
années, la part des apports en prix de campagne a pu aller du simple au double, voire plus !
En 2010, certains OS ont eu des sueurs froides en voyant les agriculteurs se détourner
massivement du prix de campagne au moment de la moisson, lorsque les cours ont
commencé à s’envoler. La proportion engagée avant récolte s’est alourdie mécaniquement,
empêchant de suivre le marché à la hausse faute de marchandise. La situation inverse est
tout aussi délicate. Pour éviter cela, la plupart des coopératives exigent un engagement de
plus en plus précoce sur les volumes, bien avant la moisson.
4. Difficile comparaison
Prix ferme ou prix de campagne, quel est le plus rémunérateur ? Difficile de trancher, tant
les situations varient. Pour l’exploitant, bien vendre au prix ferme impose un suivi rigoureux
des marchés, gourmand en temps, et, bien souvent, une infrastructure spécifique qu’il faut
amortir. Mais si les coops peuvent jouer sur l’effet volume pour décrocher des marchés
intéressants, les agriculteurs francs-tireurs bénéficient d’une souplesse et d’une réactivité
parfois rémunératrices. À vos calculettes !
Source : Réussir grande culture
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Téléréalité
Les trois quarts des internautes ne se reconnaissent pas dans l’image véhiculée
sur l’agriculturePublié le mardi 17 juillet 2012 - 17h38
Les trois quarts des internautes ayant participé à notre sondage en ligne ne se retrouvent
pas dans l'image de l'agriculture véhiculée par la téléréalité. 42 % ont répondu ne pas s'y
retrouver « du tout » et 33 % « pas vraiment ».
A l'inverse, 20 % estiment s'y retrouver (3 % « tout à fait » et 17 % « en partie »).
Un peu plus de 4 % ne se sont pas prononcés.
1.194 personnes ont participé à ce sondage entre le vendredi 13 et le mardi 17 juillet
2012.Source : France Agricole
Moisson
La quantité, mais des craintes sur la qualitéPublié le jeudi 19 juillet 2012 - 16h58
Depuis le printemps, la météo, bienfaisante pour les rendements, a lésé la qualité.
Les récoltes d'orge d'hiver se terminent dans la moitié sud du territoire et débutent plus
au nord. Les rendements sont souvent bons à très bons (60 à 90 q/ha). Au nord-est, les
orges touchées par le gel affichent des rendements moindres. Pour le débouché
brassicole, le taux de protéines n'est pas trop élevé et le calibrage correct, bien qu'il reste
très lié aux variétés. Le poids spécifique (PS) est souvent jugé plus faible que d'habitude.
Après un début difficile à cause des nombreux épisodes de pluie, la récolte du blé dur
prend doucement fin dans le Sud et a débuté ailleurs. Elle a été marquée par la présence
de nombreux grains mitadinés. Toutes les régions productrices sont concernées et les
taux peuvent atteindre 50 %, ce qui grève d'autant la valeur semoulière. « Le rendement
important, le manque d'azote et les pluies à la récolte expliquent ce constat », précise un
opérateur.
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Le taux de protéines subit également les conséquences des bons rendements, avec un effet
dilution, mais reste au-dessus de la norme. Pour le poids spécifique, il y a un « avant » et un
« après » pluie, mais il reste au-dessus de 78 g/hl. Les rendements sont donc supérieurs
aux prévisions, à près de 60 q/ha dans le Poitou-Charentes, l'Aquitaine, le Midi-Pyrénées et
le Rhône-Alpes, 70 q/ha dans les Pays de la Loire.
En blé tendre, de sérieuses craintes se portent sur les mycotoxines. Les récoltes débutent
mais les rendements s'annoncent bons à très bons : 65 q/ha dans le Rhône-Alpes, de 70 à
85 q/ha en Auvergne, Aquitaine, dans le Poitou-Charentes, de 80 à 90 q/ha dans les Pays
de la Loire. Mais les rendements ayant « grignoté » l'azote, le PS et le taux de protéines sont
tout juste à la norme. Il n'y a donc aucune marge si les pluies devaient revenir interrompre
les moissons… En Alsace, les opérateurs incitent même les agriculteurs à rentrer le blé à 17
ou 18 % d'humidité pour préserver la qualité !
Les premiers résultats en colza sont hétérogènes, de 20 à 45 q/ha dans le Midi-Pyrénées et
en Aquitaine, où la récolte est terminée, de 30 à 35 q/ha en Auvergne, dans le Rhône-Alpes
et le Poitou-Charentes, 35 q/ha dans les Pays de la Loire et en Champagne-Ardenne, 35 à
45 q/ha en Bourgogne... pour les premières récoltes. Au nord-est, les zones touchées par le
gel ne sont pas encore récoltées et font craindre de moins bons résultats.Source : France Agricole
Tracteurs
La pénurie de jantes retarde les livraisons d'engins neufsPublié le jeudi 19 juillet 2012 - 18h04
C'est l'exemple parfait de l'effet papillon : la terre tremble dans le nord de l'Italie et toute la
filière de commercialisation des tracteurs en Europe s'en trouve bouleversée.
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Les agriculteurs qui attendaient leur nouveau tracteur pour cet été devront probablement
patienter encore un mois ou deux car la pénurie de jantes empêche les constructeurs de
livrer leurs concessionnaires.
En cause, le tremblement de terre en Emilie-Romagne (Italie) du 29 mai dernier, qui a
entièrement détruit les 33.000 m² de l'usine de jantes de Titan. Or cette dernière est la
principale source d'approvisionnement des tractoristes européens.
Les constructeurs américains, qui adaptent les roues au standard européen une fois les
tracteurs arrivés sur notre continent, sont aussi touchés de plein fouet.
Selon Titan, la production devrait retrouver prochainement un volume normal, avec le
transfert provisoire des activités du site italien vers les usines françaises et turques du
groupe.
De leur côté, les tractoristes se battent pour racheter les stocks de jantes des distributeurs
indépendants.Source : France Agricole
Italie/Sécheresse
Les agriculteurs voient leurs revenus fondre au soleilPublié le lundi 30 juillet 2012 - 16h14
La sécheresse et la canicule qui sévissent actuellement en Italie menacent la campagne
agricole.
Le nord de la péninsule est le plus touché, malgré son système d'irrigation. Le
développement du maïs est compromis. Le sorgho réputé plus résistant à la sécheresse
forme ses épis à 30 cm du sol. La pollinisation des tournesols est également limitée du fait
de la faible activité des abeilles.
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Les vaches laitières souffrant de la chaleur ont réduit leur production de 100.000 tonnes,
depuis un mois, soit 10 % à 20 % de moins que la normale. Les éleveurs laitiers sont
particulièrement inquiets entre une baisse de leur production laitière
et fourragère, la recrudescence de coûts de production
(électricité pour les ventilateurs et brumisateurs, eau) et
l'augmentation des cours des céréales, ils regardent, impuissants, leurs revenus fondre au
soleil.
« Le changement climatique est à nos portes. Il est temps de revoir nos plans d'irrigation et
d'investir dans des retenues collinaires », affirme Giuseppe Politi, président du syndicat
agricole CIA.Source : France Agricole
Fête du Cassoulet à Castelnaudary
En 1999, la Grande Confrérie du Cassoulet garante de la qualité des cassoulet, le CROC
(association sportive), les agricultrices de la FDSEA de l’Aude et la Ville de Castelnaudary
ont été les créateurs de la Fête du Cassoulet, qui accueille plus de 30 000 personnes
chaque année.
La FDSEA de l’Aude, membre du Comité d’organisation de la Fête du Cassoulet, participe à
cet évènement, et met en place diverses animations destinées à promouvoir le métier
d’agriculteur ainsi que ses différentes filières.
Ainsi, les 25 et 26 Août prochain à Castelnaudary, la FDSEA ainsi que ses bénévoles
proposeront diverses animations : une ferme vivante, un marché de producteurs audois,
des ateliers de fabrication de pain et de fromage, des jeux pour enfants sur les plantes
agricoles, une exposition de matériel agricole ancien, des balades gratuites à dos d’ânes
pour les enfants…
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Un repas sera servi le dimanche 26 août à midi par les agricultrices avec un menu consacré
aux produits du terroir (1600 places disponibles).
Contactez la FDSEA au 04 68 94 44 59 pour plus d’informations.Source : Plein champs
Récolte
La production de céréales à paille en hausse de 13 % (ministère de l’Agriculture)Publié le mardi 31 juillet 2012 - 17h26
« Les conditions climatiques humides à partir du mois d'avril 2012 ont été propices aux
rendements des céréales à paille, contrairement au printemps très sec de 2011. Des
interrogations demeurent toutefois sur la qualité des moissons en raison de pluies
persistantes », indique mardi le service de la statistique et de la prospective (SSP) du
ministère de l'Agriculture.
Selon les estimations du SSP au 31 juillet 2012, la production de céréales à paille
atteindrait 53,2 millions de tonnes (Mt), soit 13 % de plus que le bas niveau de 2011.
La production de blé tendre, estimée à 36,6 Mt pour 2012, augmenterait à la faveur de
rendements en hausse. Parallèlement à un repli des surfaces de plus de 100.000 hectares
à la suite des dégâts du gel de février, les rendements gagneraient 7 q/ha par rapport au
faible niveau de 2011 pour s'établir à 75,2 q/ha, supérieurs de 4 q/ha à la moyenne de
2007-2011. Ils progresseraient nettement dans le Centre (71 q/ha), la Picardie (88 q/ha), le
Poitou-Charentes (73 q /ha) et les Pays de la Loire (75 q/ha). En Lorraine et Champagne-
Ardenne, touchées par le gel, le rendement serait en légère baisse par rapport à 2011 (-6 %
et -2 % par rapport à la moyenne de 2007-2011).
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La production de blé dur serait abondante mais inférieure au niveau record de 2010
avec 2,4 Mt, soit 11 % de plus que la moyenne de 2007-2011. Elle resterait toutefois
inférieure aux records des années 2010 et 1991. Les rendements seraient stables par
rapport à 2011 dans la région Centre (62,5 q/ha), mais progresseraient nettement dans
le Midi-Pyrénées (57,5 q/ha).
Avec 11,3 Mt, la récolte d'orge progresserait grâce à de meilleurs rendements qu'en
2011 et des surfaces en augmentation à la suite des ressemis en orge de printemps.
Comparé à l'an dernier, la sole s'étendrait de 133.000 hectares et le rendement moyen
de l'orge s'établirait à 67,4 q/ha.
Avec 6,9 Mt, la production d'orge d'hiver dépasserait la faible récolte de 2011 mais
resterait nettement inférieure (-10 %) à la moyenne de 2007-2011. Le rendement moyen
atteindrait 69,3 q/ha (+5 q/ha par rapport à 2007-2011). Il se situerait à 73 q/ha dans le
Centre, première région productrice. Dans les régions du Nord-Est touchées par le gel,
la récolte de 2012 diminuerait par rapport à 2011 à la suite des destructions de surfaces,
et en dépit de l'amélioration des rendements.
La récolte d'orge de printemps se placerait à un niveau non enregistré depuis plus de
vingt ans, le bond des surfaces étant conjugué à des rendements supérieurs de 5 q/ha à
la moyenne de 2007-2011. Le tiers de la production serait concentré en Champagne-
Ardenne, déjà première région productrice en 2011. La récolte atteindrait un niveau
élevé en Lorraine (23 % du total), ainsi qu'en Bourgogne. Pour ces trois régions, le
rendement moyen serait autour de 65 q/ha.
Avec une sole en hausse, la production de triticale est, quant à elle, estimée à 2,4 Mt
pour 2012.
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La production de colza, avec 5,3 Mt, perdrait 100.000 tonnes par rapport à 2011 en raison
d'une baisse des rendements et malgré une progression des surfaces. Les surfaces
s'étendraient dans les régions du Centre-Ouest mais reculeraient dans l'Est (principalement
en Lorraine) à la suite des dégâts du gel.
La production des protéagineux continuerait de s'effondrer avec un nouveau recul marqué
de la sole. Des rendements en hausse ne parviendraient pas à combler la forte érosion des
surfaces en protéagineux, qui reculent pour la seconde année consécutive après le niveau
élevé de 2010 lié à l'aide européenne aux protéagineux. La sole de pois protéagineux se
replierait de 47.000 hectares, en baisse de 30 % dans le Centre et en Picardie. La récolte se
situerait à 618.000 tonnes, soit cinq fois moins que la production moyenne de 1990-1999.Source : France agricole
Grandes cultures
Vers l’interdiction de l'épandage aérien des pesticides
Des associations et un syndicat ont demandé "une réelle interdiction" des épandages aériens
de pesticides, tandis que le député PS Gérard Bapt applaudissait les déclarations de la
ministre de l'Écologie Delphine Batho qui a souhaité qu'il n'y ait "plus du tout" de dérogations.
Le ministère de l'Agricultre prévoit une remise à plat des critères d'octroi de ces dérogations et
M. Bapt a fait part de sa "satisfaction" à la suite des déclarations de Mme Batho confirmant
cette refonte des critères.
Il a souligné que les dérogations autorisées par les préfets sont "pratiquement
systématiquement accordées", alors que les conditions imposées par la directive européenne
sont "très strictes".
Celles-ci requièrent une "urgence de santé publique ou des circonstances particulières en
rapport avec le relief", selon lui.
Une campagne d'épandage aérienne vient d'être autorisée, en particulier dans le sud-ouest,
provoquant des réactions locales.
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En Haute-Garonne, département dont M. Bapt est député, les conditions imposées de
sécurité, "notamment informations des mairies et des riverains, respect des distances
d'épandage par rapport aux habitations, aux cours d'eau ainsi qu'aux installations d'élevage",
ne sont souvent "pas respectées" au vu de "l'incapacité de l'Etat d'avoir les moyens de
contrôle adéquats", a-t-il affirmé.
L'épandage aérien interdit par la loi Grenelle II
Quatre ONG - Union nationale de l'apiculture française, Agir pour l'environnement,
Fédération nationale de l'agriculture biologique, Générations futures - et la Confédération
paysanne ont demandé "une réelle interdiction" des épandages aériens de pesticides. Sur
certains territoires "l'exception devient la règle", ont-ils dénoncé alors que la loi Grenelle II
avait fixé le principe de l'interdiction des épandages aériens avec des "dérogations
exceptionnelles".
Leur communiqué cite des dérogations dans plusieurs départements pour le maïs -Haute-
Garonne, Lot-et-Garonne, Gers, Loiret...- et pour la vigne en régions Rhône-Alpes et
Bourgogne.
Il souligne les risques sanitaires réels pour les riverains avec "des matières actives
cancérigènes, des perturbateurs endocriniens ou des substances entraînant un risque
d'effets néfastes pour le développement prénatal de l'enfant".
Sans oublier les risques pour les abeilles, "d'autant plus en pleine floraison du tournesol", et
pour l'agriculture biologique, qui risque "le déclassement des cultures".Source : AFP
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Volailles / lapins
Le gouvernement rassure la profession du foie gras face aux anti-gavages
Le ministre délégué à l'agroalimentaire, Guillaume Garot, est venu dans le Gers pour assurer
aux professionnels du foie gras un soutien du gouvernement face à la guerre engagée dans le
monde anglo-saxon par les lobbys anti-gavage au nom du bien-être animal.
Face à la loi californienne interdisant depuis le 1er juillet la production et la vente de foie gras,
le ministre a exclu un recours devant l'OMC mais a promis à l'interprofession une bataille
"politique économique et culturelle" après ce "signal d'alerte" pour convaincre des bienfaits du
foie gras et gagner des marchés à l'exportation.
M. Garot a consacré toute sa journée à cette oeuvre de réconfort et de promotion des
professionnels en commençant par la visite d'une usine de transformation de foie gras à
Samatan. Il a ensuite réuni élus et représentants de la filière à la préfecture d'Auch.
Privilégier un travail de conviction
A Auch, le ministre a d'emblée indiqué aux défenseurs du foie gras que la lutte judiciaire
n'aurait pas de sens contre la loi californienne. "Déposer un recours devant l'Organisation
mondiale du commerce (OMC) ne serait pas la bonne solution, on risquerait de le perdre et
d'avoir des mesures de rétorsion", a déclaré M. Garot.
La France représentant près de 90% de la production et de la consommation mondiale, il serait
illusoire de "faire valoir un préjudice" dû à l'interdiction californienne: "Ce serait se tirer une
balle dans le pied" a-t-il déclaré.
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Face aux lobbys anti-foie gras et anti-viande "extrêmement puissants aux USA et dans le monde
anglo-saxon", M. Garot privilégie un travail de "conviction".
"Nous devons d'abord convaincre nos amis américains qu'ils font fausse route et éviter une
contagion à tous les Etats-Unis", a déclaré M. Garot en annonçant une prochaine rencontre
avec l'ambassadeur américain.
Le ministre a souhaité une action de promotion similaire dans l'Union européenne et a précisé
qu'il participerait le 16 octobre à une "exposition pédagogique" organisée à Bruxelles au
Parlement Européen.
Il a aussi promis de faire rapidement "un inventaire des barrières sanitaires à l'exportation" et a
indiqué qu'il aiderait la filière, forte de 35.000 emplois, "à gagner des marchés d'exportation".Source : AFP
Élevage
La sécheresse s'intensifie aux États-Unis
La sécheresse qui touche les deux tiers des États du centre des États-Unis s'intensifie à un
rythme "sans précédent", a déclaré un expert du Centre américain de surveillance de la
sécheresse.
Au cours de la semaine dernière, le centre a annoncé un quasi-triplement des zones touchées
par une sécheresse extrême dans les neuf États du Midwest où les trois quarts du maïs et du
soja américains sont produits.
"Nous assistons à beaucoup d'événements sans précédent, en particulier la vitesse à laquelle
cette sécheresse se développe", a estimé Brian Fuchs, du Centre de surveillance de la
sécheresse. "Les choses se sont vraiment dégradées au cours des deux derniers mois".
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La zone aujourd'hui touchée est la plus importante depuis la création du centre en 1999.
Aux États-Unis, il s'agit "sans doute de la situation la plus grave depuis 25 ans", avait
affirmé le secrétaire américain à l'Agriculture, Tom Vilsack, après avoir rencontré le
président Barack Obama pour évoquer cette catastrophe qui touche près de 61% des
États-Unis, premier producteur mondial de soja et de maïs.
En 1988, la sécheresse avait coûté des dizaines de milliards de dollars à l'économie
américaine.
Mercredi, le département de l'Agriculture a publié ses prévisions de prix au détail pour
2013. Ceux-ci suggèrent déjà un impact de l'actuelle sécheresse : les consommateurs
pourraient payer l'an prochain leurs provisions 3 à 4% plus cher.
"Les chiffres pour 2013 reflètent une inflation plus importante qu'habituellement, qui est
due en partie à la sécheresse et aux prix plus élevé des récoltes", a expliqué Ephraim
Leibtag, du service de recherche économique du département de l'Agriculture.
"Les effets commencent à se faire ressentir au niveau des fermes. Mais cela peut prendre
entre 2 et 12 mois pour se diffuser dans toute la chaîne. Il y aura donc sûrement des
conséquences (sur les prix) dès l'automne dans les épiceries ou les restaurants, puis plus
tard dans l'année et jusqu'en 2013", a-t-il expliqué.Source : AFP
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Doux : la justice prolonge la période d'observation et liquide le pôle frais
Le tribunal de commerce de Quimper a donné une chance de relance au groupe Doux,
en permettant le maintien de la période d'observation du volailler breton jusqu'au 30
novembre, tout en mettant en liquidation le pôle frais, déficitaire, qui emploie 1.700
personnes sur près de 4.200.
Cependant, le tribunal a fixé au 10 août la date de dépôt des offres de reprises de
"Doux frais", l'une des 23 sociétés du groupe, et au 10 septembre la fin de la période
d'activité.
Une audience d'étape se tiendra le 9 octobre pour les 22 autres sociétés du groupe.
"Nous espérons que le plan de continuation auquel travaille Charles Doux pourra être
déposé entre les mains du tribunal à la rentrée de septembre", a-t-on expliqué.
Le tribunal a également refusé « l'indivisibilité » de l'offre présentée sous l'égide
de Sofiprotéol
Les sociétés et coopératives qui avaient présenté une offre sous l'égide de Sofiprotéol
ont la possibilité de déposer de nouvelles offres "dans les meilleurs délais", a-t-on
précisé.
"Nous avons sollicité et obtenu le maintien de la période d'observation (...). C'est
l'étape nécessaire pour nous permettre d'élaborer" le plan de continuation, a déclaré
l'avocat de Doux.
Le plan de continuation de Charles Doux prévoit l'entrée majoritaire au capital de
la banque britannique Barclays
"Malheureusement, nous n'avons pas de solution pour Doux frais (...). Nous espérons
des candidats repreneurs pour ce pôle frais" d'ici le 10 août, a ajouté Me Gourvès.
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Réactions…
"Si on lève cette indivisibilité" de l'offre Sofiprotéol,"il y aura moins de casse et je pense que,
le 10 août, il y aura beaucoup de dossiers sur la table pour reprendre les sites" de Doux
frais, a de son côté déclaré Jean-Luc Guillard, délégué central CFDT au sein du groupe
Doux."Il faut tourner la page", selon lui.
"Les deux solutions (Doux et Sofiprotéol) n'étaient pas bonnes", a estimé pour sa part
Véronique Rives, déléguée CGT. "Comment imaginer autant de personnes au chômage
alors que le secteur est porteur", s’est-elle interrogée.
"Pour moi, ce n'est plus Doux mais la Barclays qui nous dirige", a déclaré pour sa part
Nadine Hourmant, déléguée FO. "Je considère que le groupe est anglais et que nous
sommes dirigés par des financiers".
"La liquidation du pôle frais me préoccupe énormément», a déclaré Xavier Beulin, président
de la FNSEA, principal syndicat agricole, mais également PDG de Sofiprotéol. "Ma
préoccupation ce soir, c'est de savoir si nous aurons ou non des opérateurs qui vont se
porter candidats sur le pôle frais", a ajouté. Beulin. Le «consortium » Sofiprotéol avait fait
une offre globale de reprise du groupe Doux. Ce consortium regroupait pour l'occasion des
acteurs français du secteur volailler, privés et coopératives : Glon Sanders (filiale de
Sofiprotéol), Duc, LDC,Terrena, Tilly-Sabco et Triskalia.Source : AFP
Le Foll veut limiter l'impact de l'augmentation du prix des céréales
Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, veut « limiter l'impact négatif » de
l'augmentation du prix des céréales sur la production animale et envisage des décisions à la
rentrée, a-t-il déclaré mardi devant l'Assemblée nationale.
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La sécheresse qui sévit actuellement aux États-Unis « aura des conséquences sur le prix des
céréales et donc sur le coût de l'alimentation, pour l'élevage en particulier », a-t-il rappelé.
Cela nécessite que l'« on réfléchisse, ici en France, aux relations » que doivent entretenir les
acteurs de la filière, des producteurs de céréales à la grande distribution, a-t-il souligné.
« Tous ces éléments sont aujourd'hui pris en compte par le ministère pour trouver une
solution qui limite l'impact négatif que pourra avoir l'augmentation du prix des céréales sur la
production animale », a précisé Stéphane Le Foll. Des décisions pourraient être prises « pour
la rentrée », a-t-il indiqué.Source : AFP
e-Pub : le taux d'engagement des vidéos en fonction des sites
Dans son rapport du premier trimestre 2012, Vindico, adserver vidéo, a mesuré 30 milliards
d'impressions vidéo publicitaires et comparé les taux de clics avec les taux de finition de
visionnages des pubs en fonction des sources des vidéos. Ainsi, si les taux clics plafonnent
à moins de 1% (sauf pour les portails vidéo), le taux de finition va de 63% pour les vidéos
issues d'adnetworks à 89% pour les émetteurs premium.
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Taux de finition et de clic en fonction de la typologie des sites. © Vindico
Source : http://www.journaldunet.com
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Les investissements pub online ont chuté de 7,4% en mai
En mai 2012, les investissements pub Internet bruts ont plafonné à 298,5 millions
d'euros, en baisse de 7,4% par rapport au même mois, l'année précédente.
Publié le 20 juin 2012, 18h58
Dans la tendance du marché global, les investissements bruts en publicité online sont
en repli de 7,4% au mois de mai 2012, par rapport à l'année précédente, selon l'Adex
Report de Kantar Media. Ils plafonnent ainsi à 298,5 millions d'euros contre 322,5
millions d'euros l'année précédente.
C'est le secteur de la culture et des loisirs qui représente la baisse budgétaire la plus
pénalisante pour ce média, avec une chute des investissements de 38,3%. Autres
secteurs qui ne sont pas au mieux : la finance et les assurances (-16,3%), le tourisme (-
26,2%), les télécoms (-39,1%) et l'hygiène / beauté (-32,8%).
Evolution des investissements publicitaires bruts sur Internet entre janvier 2011 et mai 2012. © Données Kantar Media / Réalisation JDN
Nicolas JAIMES, Journal du Net
Actualité Web MarketingActualité Web MarketingE-pub : Les dépenses ont augmenté de seulement 1,9% au 1er semestre
En juin 2012, les investissements pub Internet bruts ont atteint 371,5 millions d'euros. Une
hausse par rapport au même mois de l'année précédente qui ne suffit pas à masquer la
morosité du marché.
Publié le 20 juillet 2012, 15h28
Confirmant son statut de levier de croissance, le display présente à nouveau une hausse de
ses recettes légèrement supérieure à celle du marché pluri-média, avec une hausse de 6%
des investissements bruts entre juin 2012 et juin 2011, contre 4,1% pour le secteur, selon
l'Adex Report de Kantar Media.
Cette belle performance au cours du mois de juin ne saurait toutefois combler un début
d'année très poussif et la faible évolution de seulement +1,9% des investissements entre
janvier-juin 2012 et janvier-juin 2011.
Aussi, même si des secteurs significatifs soutiennent encore ce canal, 2 secteurs
historiques s'en désengagent largement : la culture et loisirs (-20% entre S1 2012 et S1
2011) et la finance (-12,4%).
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Evolution des investissements online
entre janvier 2011 et juin 2012.
© Kantar media
Nicolas JAIMES, Journal du Net
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1 Toujours plus d’exploitations bio en SuisseBas du
formulaire
Le canton suisse des Grisons, le plus « vert », rassemble 22 % des fermes bio du pays. DR
Une exploitation agricole sur dix est désormais biologique en Suisse. Le nombre de fermes «
vertes » a progressé d’une centaine l’an dernier, atteignant 5 760. Mais cette progression ne
dissimule pas le recul constant des exploitations traditionnelles.
Avec 57 600 exploitations paysannes, la Suisse a enregistré en 2011 un recul de 1 450 unités,
a indiqué hier l’Office fédéral de la statistique (OFS). Pourtant, la surface agricole utile est
restée pratiquement stable. Le recul du nombre de petites et moyennes fermes (-1 720) a été
compensé par une progression de 270 unités dans la catégorie des grandes (30 hectares et
plus). Au niveau cantonal, la baisse a frappé surtout Berne (-258 à 11 700 unités), le Valais (-
173 à 3 730), Saint-Gall (-143 à 4 450) et Fribourg (-116 à 3 100).
Les Grisons font pour leur part figure de leader en matière d’agriculture bio. Ils totalisent 22 %
des exploitations « vertes du pays », qui cultivent près de la moitié de la surface agricole utile
du canton.
Dans toute la Suisse, la surface agricole se compose de 612 400 hectares de prairies
naturelles et pâturages et de 269 500 hectares de terres ouvertes, le reste étant occupé par
des prairies artificielles et des cultures pérennes telles que des vignes et des vergers.
Affichant une progression de près de 6 %, les cultures maraîchères de pleine terre couvrent
10 000 hectares. Depuis 2000, le potager suisse a ainsi gagné 1 550 hectares.
Le cheptel bovin est resté quasiment stable avec 1,58 million. En revanche, les volailles ont
connu une progression fulgurante de près d’un demi-million en un an, à 9,5 millions. Cette
augmentation est surtout due à l’accroisse- ment des poulets de chair.
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2 L'agriculture allemande
Le secteur primaire occupait 3 p. 100 de la population active et fournissait 1,1 p. 100 du PIB
au début des années 2000. L’agriculture allemande n’assure pas l’autosuffisance du pays,
contraint d’importer près du tiers de ses denrées alimentaires. En 1994, le déficit de la balance
agricole s’élevait à 22,4 milliards de dollars.
Près de 35 p. 100 des terres sont cultivées. À l’Ouest, malgré une politique de remembrement
entamée dès le XIXe siècle et poursuivie au XXe siècle, 75 p. 100 des exploitations agricoles
couvrent une superficie inférieure ou égale à 20 ha, soit au total 37 p. 100 de la surface
agricole utile (SAU). La plupart conservent une structure familiale. Bien que beaucoup moins
nombreuses, les grandes exploitations (entre 20 et 100 ha) exploitent 63 p. 100 de la SAU.
Dans l’ancienne Allemagne de l’Est, la grande propriété, aux mains de l’aristocratie foncière
(Junker), prédominait avant 1939. Les terres, confisquées par le gouvernement communiste,
ont été ensuite exploitées dans le cadre de coopératives socialistes et de grandes fermes
d’État.
Le cheptel porcin est le plus important (26,5 millions de têtes en 2004, 4e rang mondial). Le
cheptel bovin (13,4 millions de têtes) régresse depuis plusieurs années, la part des vaches
laitières ayant fortement diminué en raison des quotas laitiers imposés par l’Union
européenne.
Les principales cultures sont la betterave à sucre (25,5 millions de tonnes en 2004, 3e rang
mondial), la pomme de terre (13 millions de tonnes, 7e rang mondial) et les céréales (50,8
millions de tonnes en 1995, 8e rang mondial) dont principalement le blé (25,3 millions de
tonnes, 6e rang mondial), qui occupe 20 p. 100 des surfaces cultivées, l’orge (13 millions de
tonnes, 3e rang mondial), et le seigle (3,8 millions de tonnes, 3e rang mondial). L’Allemagne a
produit également en 2006 1 million de tonnes de vin.
Les meilleures terres se concentrent dans les régions lœssiques des Börde, de Magdebourg
et de Halle-Leipzig, où domine la culture intensive de la betterave et des céréales. Le bassin
souabe-franconien, le Bade et la Bavière sont des régions de polyculture.
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L’élevage domine dans le Schleswig-Holstein, les Marschen et les régions de moyenne
montagne. La vallée du Rhin quant à elle produit des vins réputés.
3 L'agriculture urbaine produit-elle des légumes de bonne qualité ?
Des chercheurs de l'Université technique (TU) de Berlin ont récemment mesuré des taux de
concentration élevés de métaux lourds dans certains légumes produits au coeur de la capitale
allemande. L'agriculture urbaine, en plein essor dans plusieurs grandes villes à travers le
monde, présente de nombreux avantages pour les citadins[1], mais la qualité alimentaire des
produits pourrait ne pas être aussi avantageuse pour la santé.
Une étude réalisée par l'Institut d'écologie de la TU Berlin vient d'être publiée dans la revue
scientifique "Environmental Pollution", et montre que les fruits et légumes cultivés au centre
ville peuvent être considérablement enrichis en polluants, tout particulièrement ceux produits
dans les zones où le trafic routier est élevé.
Ina Säumel, responsable de l'étude, explique que les résultats ont été étonnamment clairs.
"Les légumes issus des jardins urbains peuvent être, en comparaison avec des productions
standard des supermarchés, pollués par de multiples métaux lourds. Certains ont même
dépassé les limites fixées par l'Union européenne pour l'alimentation". D'après les analyses
scientifiques les taux de concentration varient considérablement pour une même espèce. De
fait il est très difficile, voir impossible, d'identifier quelles seraient les espèces sensibles aux
polluants et quelles seraient les plus résistantes. Selon les chercheurs de la TU, le plus
important semble être le lieu de culture, là où les végétaux ont été mis en terre.
Les résultats pour la ville de Berlin montrent que les échantillons qui présentent un taux de
polluants moins élevé correspondent à des plantations localisées dans des zones urbaines où
se trouvent certains obstacles limitant la contamination par les métaux lourds, tels que des
bâtiments, la présence d'une végétation dense, des plantations régulières d'arbres le long des
allées ou une quantité non négligeable de jardins privés.
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Très bon résultats dans l’export pour les machines agricoles « Made in Italy »
Les données positives du marché diffusées à
Bologne dans le cadre de L‘assemblée générale
Feder Unacoma , - la Fédération au sein de la Confindustria qui
représente les constructeurs agricoles - confirme la bonne
dynamique aperçue en 2011 : au cours du trimestre
Janvier-Mars 2012 . En fait, L’institut de sondages « ISTAT » indique une augmentation en
valeur de l’export de 24,8% pour les tracteurs, de 11,2% pour les machines agricoles et
29,6% pour le matériel TP.
La croissance des exportations fait du bien aussi au secteur de la production, qui en 2011 a
marqué une augmentation significative: le nombre de tracteurs produits a atteint environ 68
000 unités, soit une augmentation de 11,3 % par rapport à 2010, et une valeur de 2,22
milliards d'euros (+12%).
En contre-tendance à ces données positives, le marché voit le nombre total des
immatriculations de tracteurs (2011) s’arrêter à 23 431, une progression de 0,46% par
rapport à l'année précédente (qui cache des anticipations d’achat dues à la prime à la casse
qui s’est terminée en fin 2010), avec des données négatives qui s’accentuent en début
d’année (-25% sur les tracteurs).
Pour le matériel TP, 2011 se termine avec une baisse de 21,2% par rapport à l'année
précédente, une dynamique négative qui s’ajoute à la diminution de 8 à 9% en 2010 et à
l’effondrement (-37%) de 2009.Source : http://agronotizie.imagelinenetwork.com/agrimeccanica/2012/06/21/macchine-agricole-l-export-
rilancia-il-made-in-italy/15891
Marché espagnolMarché espagnol
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Juin Janvier – Juin2012 2011 % 2012 2011 %904 910 -0.66 4466 5162 -13.48
Ventes de tracteurs Espagne
Source Ministro de Agricultura y Pesca
L'emploi dans l'agriculture a diminué de près de 6% au deuxième trimestre
L'emploi dans l'agriculture a chuté de 5,66% et de 44.000 personnes entre Avril et Juin, au
cours du trimestre précédent, selon l'Enquête sur la population active (EPA) Institut national
de la statistique (INE), un total de 732,300 employés.
Il s'agit de la plus forte baisse de l'emploi en chiffres absolus de toutes les industries, en
raison de l'achèvement de certains travaux agricoles saisonniers.
Toutefois, au cours du même deuxième trimestre de l'année dernière, l'emploi dans
l'agriculture a diminué de 9.000 personnes (-1,21%).
Alors que l'occupation a diminué, le chômage a augmenté l'agriculture. Le deuxième
trimestre a augmenté de 11.400 personnes, 4,25% au cours du premier trimestre, un total
de 280 700 chômeurs. Dans l'année écoulée, le nombre de chômeurs a augmenté de
36.200 personnes ont aussi, un plus de 14,79% par rapport à la période Avril-Juin 2011.
Marché espagnolMarché espagnol
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Au trimestre précédent, les actifs a chuté de 3,12% dans l'agriculture et 32.600 personnes,
tandis qu’ au contraire, et comme une conséquence de la crise économique qui a
transféré des actifs à d'autres industries (construction, industrie, services) ce secteur a
augmenté de 2,76% et de 27.200 personnes dans le deuxième trimestre en 2011 (985
800). Source Eumedia
Espagne: l'incendie en Catalogne est "contrôlé"
Les pompiers assurent que le feu qui s'est déclaré dimanche dernier est sous contrôle,
mais que la région reste placée sous alerte.
Bientôt la fin des flammes. L'incendie qui a fait quatre morts et ravagé 14.000 hectares de
la végétation dans le nord-est de l'Espagne en début de semaine est "contrôlé", ont
annoncé vendredi les pompiers, précisant que la région restait placée sous alerte.
Le feu s'était déclaré dimanche du côté français, près de la frontière avec l'Espagne, puis
s'était propagé très rapidement vers le sud, sur une vingtaine de kilomètres, en Catalogne
du côté espagnol, attisé par un vent violent, la chaleur et un air très sec.
Marché polonaisMarché polonais
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John Deere fait des promotions pour son marché polonais
A l’occasion de 175ème anniversaire d’existence le constructeur John Deere propose des
prix attractifs pour ses clients polonais. Le tracteur choisi est le modèle 5083 E qui coûtera
à un agriculteur polonais 108 575 PLN HT (27 144 euros HT) pour toute commande
passée avant le 26/10/2012.
Depuis des années ces sont les tracteurs John Deere de puissance de 80 cv qui ont plus
de succès auprès des agriculteurs polonais. Le tractoriste s’adapte de façon régulière aux
besoin et moyens de son marché polonais qui compte aujourd’hui 5000 clients.
Sources : site polonais d’actualité agricole www.wrp.pl
Salon Vert en Pologne : POLSKIE ZBOŻA – ZIELONE AGRO SHOW 2012
Du 1er au 3 juin 2012 il y a eu lieu le salon vert annuel à Kąkolewo en Pologne.
Pour la 1ere fois la manifestation a regroupé les 2 salons : le salon vert – Zielone Agro
Show et Le blé polonais – Polskie Zboża. Edition de cette année a eu lieu sur la surface de
45 ha et a enregistré 16 milles visiteurs. Parmi les 152 exposants il y avait des sociétés
polonaises et étrangères.
Sur le salon les visiteurs pouvaient voir les machines agricoles, les produits et accessoires
pour la production agricole, ainsi que les animaux d’élevage.
Durant le salon il y a eu lieu des démonstrations de machines telles que : les
pulvérisateurs, les semoirs et le matériel de fenaison. Les visiteurs pouvaient également
faire connaissance avec les variétés des plantes les mieux adaptées possible aux
conditions rudes du climat.
Egalement les éleveurs polonais de bovins ont témoigné beaucoup d’intérêt envers la
rase Limousine, Charolaise les 2 races françaises présentes sur le salon.
Sources : site polonais d’actualité agricole www.wrp.pl
Marché polonaisMarché polonais
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KUHN fait les démonstrations de ses machines chez les agriculteurs polonais
Depuis 2007 le constructeur Kuhn fait les démonstrations de ses machines chez les
agriculteurs français et allemands.
Cette année le constructeur a fait l’expérience chez les agriculteurs polonais.
C’est le cultivateur STRIGER, qui a été choisi dans le cadre de la nouvelle technologie de
culture maïs : strip-till. Pour la journée de démonstrations les journalistes agricoles ont été
également conviés. Kuhn a informé également que prochainement il mettra en place une
action spéciale avec le cultivateur STRINGER pour la culture des betteraves et du colza.
Sources : site polonais d’actualité agricole www.wrp.pl
CASE IH Démo Tour en Pologne
Le tractoriste CASE IH vient de terminer son action de la présentation de ses machines
dans les champs polonais. En tout il y a eu 14 démonstrations dites DEMO TOUR dans
toute la Pologne.
Les agriculteurs et concessionnaires conviés à cette manifestation ont eu la possibilité de
tester par eux mêmes les machines, ainsi que de participer aux rencontres avec les
spécialistes de machines qui présentaient les nouvelles technologies.
Suite au lancement par Case IH la nouvelle série de machines avec technologie Efficient
Power, c’était cette nouvelle technologie écologique qui primait lors de ce Démo Tour.
Lors de ce Démo Tour les tracteurs Case IH choisi pour la démonstration ont été les
suivants : la série : Quadtrac, Magnum, Puma, Maxxum, Farmall et la large gamme de
moissonneuse batteuse CASE IH Axial-Flow*.
Sources : site polonais d’actualité agricole www.wrp.pl
Marché irlandaisMarché irlandais
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Taux de participation élevé à Céréales 2012
L’événement de la culture agricole. Un total de 25.800 agriculteurs, agronomes et autres
professionnels du secteur ont traversé les portes de Boothby Graffoe, Lincolnshire, les 13 et
14 Juin.
C est un excellent résultat compte tenu de la météo a déclaré le réalisateur Jon Day
événement de Haymarket Expositions.
La participation a baissé d'environ 4% par rapport à l'an dernier, mais il est mieux que 2010.
Mr Day a ajouté: «Les agriculteurs professionnels sont plus affamés que jamais de
connaissances, 493 exposants, le plus grand nombre d’exposant jamais eu à Céréales, une
fourmilière de renseignements pour aider les professionnels à mener leur business vers
l’avant.