Joyeuses fêtes, santé et bonheur pour...

Décembre 2015

Mot du Président:

Le FBO nous a permis de tisser des liens avec les utilisateurs de l’aéroport et de

créer un rapprochement avec la Ville de St-Jean… et pour 2016, la Ville nous a

déjà signalé son intention de continuer avec nous. Le contrat FBO prenant fin le 31

décembre, il était très important que le Conseil d’administration de l’APPH reçoive

l’approbation et l’engagement des membres.

Le deuxième sujet concerne le développement aéroportuaire à moyen et long

terme. Il y a l’aménagement du secteur « E » qui comprend entre autres, les

clôtures, le stationnement extérieur d’avion, le bail (pour hangars nouveaux et

existants), tarification de location de terrain et la construction de hangars. Ensuite,

la sécurité à l’aéroport (accréditation et accessibilité), la venue d’une nouvelle

école de pilotage et l’utilisation des lieux prévus et non prévus pour 2016.

Comme vous pouvez constater, le succès de l’association est directement lié à

l’implication de ses membres… c’est notre Force. Bonne nouvelle, l’APPH compte

près de 170 membres actifs; une augmentation importante par rapport à l’année

dernière.

Le calendrier complet de toutes nos activités, ateliers, cours, rencontres, etc., est

publié sur notre site web et dans ce journal…. L’année prochaine s’annonce très

intéressante….

Robert Perreault

En présentant le bilan de l’année, et sans surprise, il y avait deux sujets qui ont

retenu notre attention : L’opération FBO et le développement aéroportuaire.

L’année 2015 tire à sa fin. Je vous remercie pour votre

vote de confiance lors de l’Assemblée générale du 4

novembre; je commence donc mon cinquième mandat de

président de l’association.

Joyeuses fêtes, santé et bonheur pour 2016

Membership et adhésion..............page 5

Le nouveau CA pour 2016.............page 3

Calendrier Activités 2016..............page 3

Mot de l’éditeur............................page 4

Finance APPH fin 2015..................page 6

Le RVA édition 2015......................page 11

La soirée de Noël..........................page 12

Pilots « n Paws.............................page 14

Le coin de l’instructeur..................page 18

Les nouvelles en vrac....................page 21

Nos commanditaires.....................page 23

Dans cette édition:

le FBO...........................................page 7

Lorsque CYJN n’est pas contrôlé....page 16

La cloche fée.................................page 17

Robert Perreault........PrésidentJacques Vallée.........Vice-président

Nicole Legault...........SecrétaireAndré Daigle…............TrésorierRichard Legault....AdministrateurPaul Laurin...........AdministrateurAline Gélinas.......Administratrice

Michel Drouin.......AdministrateurNicolas Mailloux...AdministrateurSylvain Simard…....Administrateur

Le Conseil d’administration de l’APPH....2016

Calendrier des activités 2016

Déjeuner Brunch hivernal

Dimanche 21 février 2016

Mise à jour de connaissancesà déterminer….mars 2016

Rendez-vous aérien St-Jean 2016Dimanche 14 août 2016

Souper cochon braiséSamedi 10 septembre 2016

Assemblée générale annuelleMercredi 02 novembre 2016

Soirée de NoëlSamedi 03 décembre 2016

Présentation: géologie des régionsà déterminer……avril 2016

Bonjour et bienvenue au "nouveau" Journal de Bord de l'Association

des Pilotes et Propriétaires de Hangar de Saint-Jean (APPHYJN).

Mon nom est Alain Pepin et j'espère rendre à notre publication sa régularité d'antan.

Je travaille au bureau d'arpenteur-géomètre de Yves Madore à Saint-Jean, et

propriétaire d'un Cessna 172 qui dort avec ses amis dans le secteur Écho. J'ai pres

de 600 heures de vol à mon actif.

J'ai fait mon cours de pilotage chez Devenir Pilote (qui au début était encore sous la

bannière CPAQ-AÉRO) en 2009. Si ce n'était pas de la fermeture de l'école à la fin

de 2014, il ne me manquait qu'un vol, puis le test en vol pour devenir instructeur.

L'examen écrit était déjà accompli.

Ce n'est pas la première fois que j'écris ou que je m'occupe d'une publication.

Nombre d'entre vous se souviendront que de Septembre 2013 jusqu'à la toute fin, je

publiais une fois par semaine l'Info qui Plane, à environ 150 abonnés, en général

clients et personnel de la défunte école de pilotage. La plus grande partie des

textes étaient de mon cru, dont des extraits sont déjà parus dans Le Journal de

Bord. J'espère pouvoir mettre autant d'énergie dans la présente publication. J'ai

déjà écrit dans le Canada Français au siècle dernier des rubriques sur la réception

radio longue distance, et la plongée sous-marine.

J'espérais obtenir d'autres articles. J'aimerais bien voir revenir les contributeurs

réguliers du Journal de Bord. Il y a certainement des membres qui voudraient

partager leurs aventures, leurs techniques, leurs connaissances. S'il y a un sujet

que vous aimeriez élaborer, mais que vous n'avez pas la plume facile, on peut s'en

parler. J'ai déjà publié au rythme d'un journal par semaine, je pourrais aisément en

produire quatre ou six par année. Ça s'écrit très bien pendant un jour de pluie à

l'accueil de l'Aéroport pendant mon bénévolat.

POUR ME REJOINDRE

Alain Pepin

[email protected]

(450-346-4625

Pour ceux qui se demandent pourquoi ma

signature me décrit comme étant:

“Cascadeur sous-marin devenu pilote”.

Voici une page de mon passé: tirée

du magazine L'Actualité publiée

le 15 juin 2000.

Mot de l’éditeur......................Alain Pepin

Le coût d’adhésion simple (annuel) est 25$ Le coût d’adhésion familiale (annuel) est 40$ Le coût membre corporatif (annuel) est 500$

Les membres peuvent maintenant payer pour (2) ans leur renouvellement; soit comptant, chèque ou carte de crédit.

Un nouveau membre doit obligatoirement remplir le formulaire et le posté avec chèque à

Louise Prenoveau

[email protected]

À la fin octobre, l’APPH comptait 167 membres soit: 55 familiale 104 simple et 8 membres honoraires

On constate que l’opération du FBO a contribuéà l’augmentation, ainsi que huit (8) avions de plusmaintenant en permanence à l’aéroport.

Membership & frais d’adhésion 2016

À noter pour 2016, l’adhésion à l’APPH augmentera...

État financier de l’APPH.......APPHYJN

Le FBO

Bientôt un an que l’APPH gère le poste d’accueil et l’avitaillement à

l’aéroport. Comme en témoigne l’état financier du FBO, c’est grâce ànotre dévouement que les opérations roulent plutôt bien.

Le contrat qui nous lie à la Ville prend fin le 31 décembre prochain. Noussomme présentement à la table de négociation avec la Ville afin decontinuer notre engagement pour l’année 2016. Nous sommesconscients que la rentabilité de l’opération ne peut être assurée que parune participation bénévole.

À date nous avons une trentaine de personnes qui ont eu la formationet qui sont déjà dans l’action. Cependant, la disponibilité de chaquebénévole est peut-être le facteur le plus important à notre réussite;c’est pourquoi nous avons besoin de plus de bénévoles et plus departicipation de tous et chacun.

Nous préparerons des séances de formation prochainement (en janvieret février) afin d’augmenter notre population de participants. Nousavons besoin de votre implication; S.V.P. n’hésitez pas à communiqueravec André Daigle ([email protected]) et à vous s’inscrire pour2016.

Voici une journée typique auposte d’accueil. Le poste est ouvert à chaque jour de la semaine de 10H00 à 15H00.Les tàches a accomplir sont:Inspection des pistes; ensuite faire le

rapport d’inspection à retransmettre à la Ville; vente de carburant;porter assistance pour le ravitaillement et la facturation. La présence auposte d’accueil est une belle opportunité de ‘jaser’ avec des passionnésd’aviation. On y fait même des « 5 à 7 » très agréables.

mailto:[email protected]

État financier du FBO page 1

La journée débute lentement;

à 7h30, un épais brouillard enveloppel’aéroport. Déjà, quelques montgolfièresont quitté le sol, et à 200 pieds, on nevoit que les nacelles sous la couche denuage... et ce, sous le regard des inspecteursde Transport Canada... ça commence mal!!!

Nos bénévoles commencent les préparatifs en espérant que le soleilse manifeste. Finalement, vers 11h30, les avions arrivent...ouf

Mais le mal est fait. Les pilotes nous disent que la navigation était un peu difficile avec un plafond de 800 pieds à l’ouest.Vers 13h00, le ciel est finalementbleu et la visibilité excellente, un temps chaud et humide.

Le compte final est de 36 avions et 75 pilotes/passagers; on peut affirmer que le RVA a connu encore cette année le succès. C’est un incontournable pour les passionnésd’aviation de loisir au Québec.

Le RVA de St-Jean est reconnu comme un événement où cordialité, plaisir et sécurité vont de pair. C’est peut-être le meilleur RVA duQuébec.Merci encore à tous ceux qui font de cette activité un succès.

Le RVA de 2015

La soirée de Noël 2015……en photos

Plus de soixante-cinq membres s’étaient réunis pour fêter lafin de l’année.

Les convives ont eu l’occasion de déguster un excellent repas selon 4 choix disponibles

La soirée de Noël 2015………en photos

Félicitations aux douze gagnants des prix deprésences

Quelques-uns des gagnants;

Lundi le 12 octobre dernier j'ai participé à ma

quatrième mission pour cet organisme, dont l'objectif

est de déplacer des animaux abandonnés d'où il y a

surpopulation à des endroits où ils ont de meilleures chances d'être

adoptés. L'an dernier je suis allé trois fois à l'aéroport Billy Bishop de

Toronto où nos pauvres chiens québécois ont été accueillis

chaleureusement par nos voisins de l'Ouest. Ces vols sont faits

bénévolement par tout pilote qui veut bien les faire, le coût du voyage

pouvant être déclaré au rapport d'impôt comme don de charité.

Cette fois, c'est la SPCA de Sept-Îles, sur la Côte Nord du Québec qui

était aux prises avec 18 chiens de plus que leur capacité

d'hébergement. L'hiver dernier, Jean-Sébastien Dominique est allé à

une mission à laquelle je n'ai pas pu participer à cause du givrage sur

les ailes. Cette fois, cinq avions, les autres étant de Bromont et

Drummondville, se sont entendus sur un départ matinal en espérant de

bonnes conditions climatiques pour permettre le transport des chiens

vers Québec, Trois-Rivières et Lachute.

Onze pilotes se sont donc retrouvés à la tâche ce lundi de l'Action de

Grâce. J'ai rencontré d'autres équipes à Bromont et j'ai eu l'impression

d'être le vétéran parmi eux. Je me suis occupé du plan de vol. Seule la

dernière partie pouvait causer problème... soit l'approche à Sept-Îles.

La prévision défavorable de la veille laissait place ce matin à une

possibilité d'accès à notre destination en début d'après-midi, avec un

plafond à 1500 pieds, et peu de vent. Le départ de Bromont s'est fait à

8h00 (1200z). Un remarquable vent de dos nous a rendus à Rivière-du-

Loup peu avant 10h00, et nous sommes atterris pour se ravitailler. Les

METAR et TAF de Sept-Îles cependant, ne présageaient maintenant

rien de bon. Le brouillard colle au sol et semble vouloir rester.

par Alain Pepin

Nous attendons ici les deux prochains rapports. On prendra une décision

à midi (1600z). Bien que les observations ne laissaient pas entrevoir

grand potentiel, on décide quand même de se rapprocher... au cas où.

Nous irons donc à Baie-Comeau. Le Piper Seneca du groupe, avec son

pilote IFR, ira au devant de nous comme éclaireur. Dès notre arrivée à

Baie-Comeau, peu après 13h15 (1715z), le bi-moteur est revenu

bredouille, incapable de se poser là bas. Nous devrons attendre. Ici c'est

calme et ensoleillé, au pire un peu plus frais que chez nous.

La météo à Baie-Comeau n'avait rien à voir avec celle de Sept-Îles

Pilots ‘n Paws.....2

ET LORSQUE CYJN N'EST PAS CONTRÔLÉ ………… par Jean Gosselin

Alors que je profitais d’une belle journée ensoleillée en travaillant au FBO, un

contrôleur de la tour de St-Jean est venu me piquer une jasette et tout bonnement la

conversation a bifurquée sur les curiosités que les contrôleurs observent

régulièrement, généralement légales mais d’une étiquette douteuse.

À titre d’exemple, qui se serait dérouler avant que la tour de contrôle ne soit en

opération, par une journée VFR dont le vent ce matin-là avait une force constante de

10 nœuds SWS (200 degré magnétique) . Le pilote, qui préparait son départ, bien

sûr s’annonçait sur 118.2, dictait ses intentions qui ont été entendues comme suit : ici

XXXX, circule Charlie, Alpha, X 2 4, Bravo, 2 0 pour décollage sur 2 9, départ 15 cent

pieds vers Bromont. Jusqu’à cette étape tout est bien acceptable, même si

curieusement la piste 20 aurait dû être celle choisie, mais enfin, peut être voulait-il

pratiquer un départ par vent de travers. Là où l’étiquette en prend pour son rhume,

c’est que le pilote a décidé de faire un point fixe sur la piste 20 à proximité de la piste

29. Or la piste en usage basé sur le vent était la piste 20. Ce qui fait donc, quoi que

légal, ce pilote bloquait la piste en usage pour les avions qui normalement choisiraient

cette piste; bien sûr, ça prenait un avion en vol dans les parages, ce que l’histoire ne

nous dira pas. Toutefois, ce que le contrôleur venait noter, c'est l'étiquette. Si je

résume, le pilote bloque la piste active pour ses besoins personnels sans vraiment

informer qu'il ferait sont point fixe sur la piste en usage !

Toujours selon mon interlocuteur, le point fixe aurait dû se faire sur Charlie pour éviter

de bloquer la piste en usage. Il aurait aussi dû s’annoncer en utilisant la piste 2 0 et

surtout signaler qu’il y ferait un point fixe mais qui, de toute façon, aurait dû être déjà

complété à cette étape. Mieux encore, il aurait sans doute été plus profitable à ce

pilote d’utiliser la piste 11 car il aurait eu exactement le même vent de travers et il

aurait déjà pointé dans la bonne direction; ceci aurait évité de circuler sur la piste en

usage et le point fixe aurait été fait à l’écart de toutes les pistes.

Dans un autre exemple, la piste en usage est la piste 29, selon les vents. Toujours

durant une période de jour ou l’aéroport est non contrôlé, le pilote remonte la piste 29

puis sort sur 02 pour y faire son point fixe avant de repartir, tout ceci en annonçant ses

intentions sur 118.2. Encore une fois ici, notre contrôleur nous indique que l’étiquette

suggérerait de faire son point fixe avant de circuler et de circuler via Charlie, Alpha,

X24, Bravo , 20 puis avant de s’engager sur la piste 29 de refaire un dernier appel

pour s’assurer que tout est libre et que vous soyez entendu. Utiliser la piste en usage

et la remonter pourrait peut-être empêcher un autre aviateur de pouvoir poser ses

roues sans faire un détour ou un ralentissement de son aéronef.

Un dernier exemple d’étiquette qui me semblait justifié ! Lorsque l’on fait une

inspection de piste, le « personnel 5 » devrait utiliser la fréquence de St-Jean Sol

121.7 et non pas 118.2. Il semblerait que c’est un oubli fréquent mais la fréquence tour

est réservée aux aéronefs sur le point de s’envoler ou qui sont en vol.

Voilà ! Ma mission de transmettre ces curiosités est accomplie !

La cloche fée…………………….Alain Gélinas

Je brette dans le garage, je mefais de belles petites bouffesavec Francine et je suiscomblé.

La vie est vraiment belle...HOUPI… HOUPI… HOUPI !!!

À bientôt

Alain

Voici ma Cloche Fée,

Celle que l'on fait sonner à la fin dutraitement oncologique.

Quant je l'ai sonnée, ça été un peuémotif, en plus de quatreinfirmières dans les bras... OUF !!!

Je vais bien... enfin un peu marinéde chimio, mais les mois quiviennent vont estomper tout ça.

Le coin de l’instructeur…………………par Michel Drouin

Les plans de vol VFR au Canada(tiré des statistiques de Nav Canada)

Dans le numéro 3/2006 de Sécurité aérienne — Nouvelles (p.33),Michael Oxner a rédigé un excellent article sur la façon selon laquelleles pilotes VFR peuvent profiter du « suivi de vol » lorsqu’ils évoluent

au Canada. Les services de la circulationaérienne (ATS) surveillent aussi l’état des volset la position des aéronefs pour lesquels despilotes ont déposé une proposition de plan devol VFR. De cette façon, il est possible

d’alerter un centre de coordination de sauvetage (RCC) des Forcesarmées canadiennes en cas où un aéronef serait en retard. Nousparlerons ici de suivi SAR (recherche et sauvetage).Même si les plans de vol IFR et VFR sont traités de façonsemblable, des différences existent. Le présent article seconcentrera sur les pratiques entourant les plans de vol VFR.

Tout d’abord, il faut dire que la plupartdes pilotes suivent les bonnesprocédures pour le dépôt des plans devol VFR. Cependant, certains imposentune charge de travail inutile et font àl’occasion un mauvais usage desressources très limitées parce qu’ils necomprennent pas les procéduresappropriées de mise en vigueur, demodification ou de fermeture de plansde vol VFR, ou n’en tiennent


simplement pas compte. Par conséquent, il semble utile de passer enrevue les étapes qui devraient être suivies lorsqu’un pilote dépose unplan de vol VFR.Tout d’abord, le pilote dépose un plan de vol VFR renfermant uneheure de départ proposée et la durée estimée en route. Au Canada,comme dans de nombreux autres pays, les ATS entament un suiviSAR en fonction de l’heure de départ proposée. On procède ainsiparce dans certains cas, le pilote décolle d’un endroit éloigné sansque les ATS ne connaissent l’heure de départ réelle.C’est différent aux états-Unis où laFederal Aviation Administration (FAA)n’entame pas de suivi SAR avant que lepilote ne mette son plan de vol envigueur au départ. Remarquez qu’auCanada le suivi SAR pour un plan de vol

VFR commence à l’heure de départ proposée et se termine à l’heured’arrivée prévue (ETA) indiquée dans le plan de vol ou une heureaprès. À ce moment précis, si l’on ne sait pas où se trouve l’aéronef,il est déclaré « manquant » et des recherches sont lancées. Les RCCdes Forces armées canadiennes un peu partout au Canada sont alorsinformés qu’un aéronef est porté manquant. Il est déjà arrivé quedes aéronefs SAR partent à la recherche d’un aéronef « manquant »alors que le pilote a en fait décidé de ne pas effectuer le vol proposé,mais n’a pas annulé, clôturé ou modifié son plan de vol VFR.

Entre février 2005 et février 2006, 96 incidents relatifs à des plans devol VFR ont été enregistrés, incidents dont les raisons varient et quise répartissent comme suit :


• 26 vols transfrontaliers sont arrivés au Canada en provenance desEtats-Unis sans plan de vol (pour des raisons inconnues, mais il sepourrait que les pilotes aient omis d’ouvrir un plan de vol VFR);• 43 vols n’ont pas transmis de comptes rendus d’arrivée;• la durée de vol dans neuf cas a été modifiée sans que personne nesoit averti;• trois vols ont fait l’objet de plans de vol déposés par télécopieur,mais les pilotes n’ont pas vérifié si les plans de vol avaient bien étéreçus;• trois vols ont été effectués à bord d’aéronefs différents de ceuxprévus sans que les plans de vol ne soient modifiés;• 12 vols n’ont jamais eu lieu sans que les pilotes n’annulent lesplans de vol.

pour tous les incidents. Quand je pense à l’hiver qui approche, celame rassure de savoir que quelqu’un veille sur moi et alertera unRCC si je suis forcé de me poser ou si je m’écrase en route et n’arrivepas à destination à l’heure prévue. Malheureusement, en raison deressources très limitées, il se pourrait que l’aéronef SAR ne soit pasen mesure de rechercher un aéronef réellement en difficulté parcequ’il est à la recherche de l’un des aéronefs « manquants » décritsci-dessus.Nous avons la chance au Canada d’avoir un service d’activation etde suivi SAR efficace et efficient. Dans certains pays, il revient aupilote de l’aéronef « manquant » de payer les coûts de l’opérationSAR. Ménageons donc notre service SAR!

Certaines des erreurs mentionnées ci-dessus avaient peut être de bonnes raisons de se produire, mais ce n’est probablement pas le cas

École de pilotage à St-Jean:La Ville procède par voix d’appel d’intérêt pour l’implantationd’une école de pilotage permanente à St-Jean. À date, six (6)écoles ont démontré un intérêt de s’établir ici. Le processusdevrait débuter sous peu. Une décision devra être prise finprintemps 2016 ……à suivre

Opération temporaire à St-Jean:CARGAIR de St-Hubert a fait une demande à la Ville de St-Jeanafin d’opérer temporairement une partie de leur école depilotage ici à St-Jean. Ceci est dû à la fermeture de la piste24D/06G à CYHU du mois d’avril au mois octobre 2016. À date,seul Cargair en a fait la demande.

Construction nouveaux hangars:L’étude de sol a récemment été faite ainsi que le plan d’architecture. Les discussions concernant le bail ont ralenti quelque peu le projet. Une rencontre avec le maire de la ville a eu lieu le 4 novembre dernier. La rencontre fut excellente et le bail de longue durée est sur le point d’être signé. Le groupe d’investisseurs espère commencer les travaux au printemps 2016.

Plan d’affaire de l’aéroport:La Ville a mandaté une firme de spécialistes pour produire un « Plan d’affaire de l’aéroport ». L’ APPH sera consulté dansle processus. Le rapport sera remis au Conseil de ville vers la fin janvier 2016.... c’est à suivre.

Exploitation aéroportuaire:

Les nouvelles en vrac

Exploitation aéroportuaire:

Tarification et stationnement avion:La ville nous annonce qu’a partir de janvier 2016, les tarifs destationnement extérieur pour avion à l’aéroport augmenteront.Le directeur de l’aéroport a accepté de faire deux (2) zones detarifs: soit la zone « C » et la zone « E ». Également, les stationnementsqui ont accès à l’électricité vont devoir payer un surplus.... à suivre.

L’aménagement du secteur « E » demeure un sujet épineux. Lavenue éventuelle d’une école de pilotage, l’opération temporaire deCargair durant l’été 2016 et la construction de nouveaux hangarsvont compliqués le déménagement des avions vers le « E » pendantle festival des Montgolfières, à moins que la ville aménage ce secteurde façon plus permanente et ordonnée. Présentement, c’est le chaosà chaque année… à suivre

Les nouvelles en vrac.......cont

Page22

Il n’y a pas de moment mieux choisi pour vous dire

merci de la confiance que vous nous avez témoignée

tout au long de l’année. Les membres du CA vous

souhaitent de Joyeuses Fêtes et une Bonne Année!

Nos commanditaires

Joyeuses fêtes, santé et bonheur pour...

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