Journal N°10

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The European Court ~ Tribune The European Court ~ Tribune Dimanche 23 Novembre 2008 Dimanche 23 Novembre 2008 Journal Hebdomadaire officiel de la Cour Européenne n° 10 Journal Hebdomadaire officiel de la Cour Européenne n° 10 Panic à la Cour Panic à la Cour Recrutement Recrutement terminé terminé Commission des Finances Commission des Finances Ce lundi Marie-Amélie de Saxe, La Reine de Naples, qui était allée faire ses emplettes dans le Duché de Lorraine, avant de ce rendre à la Cour, c’est s’aperçue avec stupeur que sa bourse remplie d’écus avait disparue. Après avoir vérifié dans tous les replis de ses robes, Marie-Amélie de Saxe, retourna sur les lieux où elle avait fait ses achats afin de vérifier qu’elle n’y avait pas laissée sa bourse, mais sans succès. Heureusement, plus de peur que de mal, car en fait, la bourse fut retrouvée par son amie Désirée Clary dans une de ses poches, Marie- Amélie l’y ayant mise par erreur sans s’en apercevoir. Cette fois, c’est fait ! Le Pape, Léon XII a reçu ce mardi les deux dernières souveraines à avoir été retenues pour venir renforcer l’accueil et le diagnostique auprès des pèlerins désireux de partir en Terre-Sainte. Il s’agit de la Reine de Hongrie, Élisabeth de Brunswick qui fera sont entrée à la cour Européenne le Ier janvier prochain. Lundi c’est tenu la dernière Commission des finances de l’année avec la logistique actuelle (nous vous rappelons que la nouvelle logistique, dont les dernières mises au point ne sont pas tout à fait faites, va entrée en vigueur lundi prochain). Cette Commission présidée par la Comtesse de la Ferté-Beauharnais, qui a mené cette commission tambour battant, c’est terminée à 15h30 à la grande surprise de tous, car compte tenu du nombre de dossiers à examiner ont s’attendait à ce qu’elle ne se termine pas avant 17 h00. Pierre III et Jean IV étaient présents, ainsi que la Princesse Marie- Joséphine de Savoie. Mais ce qui surpris le plus les membres de cette com- mission c’est l’absence du Pape Léon XII qui ne fit que de brefs passages. Il est certain que le Pape Léon XII n’a jamais caché son manque d’enclin à participer à ces commis-sions, mais beaucoup s’interrogent sur cette soudaine disparition. Est-ce le fruit d’un long processus qui mis du temps à ce mettre en place, ou est-ce le regain de tension entre lui et le Baron du Rhin qui ont généré cette situation. En tout cas, lors du déjeuner, le pape Léon XII et le Baron du Rhin était assis, à la table, à l’opposé l’un de l’autre. Exclusif ! Logistique toujours Stanislas aux abois Attestations L’Impératrice Marie- Louise a eut la gentillesse d’accorder à notre journal une interview exclusive, et cela à l’occasion de la visite stupéfiante du Régent, Philippe II de France, venu s’excuser personnellement, pour sa mauvaise conduite auprès de l’Impératrice, Une fois de plus, la nouvelle logistique, qui doit être mise en place la semaine prochaine fait couler beaucoup d’encre ! Entre les paramétrages mal faits, les mises à jour incomplètes et le manque de formation de la plupart des monarques de la cour Malgré un week-end prolongé pour Stanislas Ier, roi de Pologne, le monarque semble las et beaucoup ont remarqués son exaspération face aux demandes des uns et des autres. Enervé, grin- cheux re-chignant devant les sollicitudes de chacun, ont sent bien Après bien des tergiver- sations et plusieurs mois d’attente, le Pape à enfin répondu favorable-ment à la demande conjointe du Régent de France Philippe II et du Roi de Portugal Jean IV à propos de la nécessité de changer les documents de suivis des

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Journal du 23 Novembre 2008

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Journal Hebdomadaire officiel de la Cour Européenne n° 10Journal Hebdomadaire officiel de la Cour Européenne n° 10

Panic à la CourPanic à la Cour Recrutement terminéRecrutement terminé Commission des FinancesCommission des FinancesCe lundi Marie-Amélie de Saxe, La Reine de Naples, qui était allée faire ses emplettes dans le Duché de Lorraine, avant de ce rendre à la Cour, c’est s’aperçue avec stupeur que sa bourse remplie d’écus avait disparue. Après avoir vérifié dans tous les replis de ses robes, Marie-Amélie de Saxe, retourna sur les lieux où elle avait fait ses achats afin de vérifier qu’elle n’y avait pas laissée sa bourse, mais sans succès. Heureusement, plus de peur que de mal, car en fait, la bourse fut retrouvée par son amie Désirée Clary dans une de ses poches, Marie-Amélie l’y ayant mise par erreur sans s’en apercevoir.

Cette fois, c’est fait ! Le Pape, Léon XII a reçu ce mardi les deux dernières souveraines à avoir été retenues pour venir renforcer l’accueil et le diagnostique auprès des pèlerins désireux de partir en Terre-Sainte. Il s’agit de la Reine de Hongrie, Élisabeth de Brunswick qui fera sont entrée à la cour Européenne le Ier janvier prochain.

Lundi c’est tenu la dernière Commission des finances de l’année avec la logistique actuelle (nous vous rappelons que la nouvelle logistique, dont les dernières mises au point ne sont pas tout à fait faites, va entrée en vigueur lundi prochain). Cette Commission présidée par la Comtesse de la Ferté-Beauharnais, qui a mené cette commission tambour battant, c’est terminée à 15h30 à la grande surprise de tous, car compte tenu du nombre de dossiers à examiner ont s’attendait à ce qu’elle ne se termine pas avant 17 h00. Pierre III et Jean IV étaient présents, ainsi que la Princesse Marie-Joséphine de

Savoie. Mais ce qui surpris le plus les membres de cette com-mission c’est l’absence du Pape Léon XII qui ne fit que de brefs passages. Il est certain que le Pape Léon XII n’a jamais caché son manque d’enclin à participer à ces commis-sions, mais beaucoup s’interrogent sur cette soudaine disparition. Est-ce le fruit d’un long processus qui mis du temps à ce mettre en place, ou est-ce le regain de tension entre lui et le Baron du Rhin qui ont généré cette situation. En tout cas, lors du déjeuner, le pape Léon XII et le Baron du Rhin était assis, à la table, à l’opposé l’un de l’autre.

Exclusif ! Logistique toujours Stanislas aux abois AttestationsL’Impératrice Marie-Louise a eut la gentillesse d’accorder à notre journal une interview exclusive, et cela à l’occasion de la visite stupéfiante du Régent, Philippe II de France, venu s’excuser personnellement, pour sa mauvaise conduite auprès de l’Impératrice, ces derniers jours à la cour. Il faut dire, que le Régent, comme vous le savez, traverse une phase difficile et il est plutôt d’humeur bougonne et s’emporte parfois sans trop réfléchir. L’impératrice lui accorde son pardon.

Une fois de plus, la nouvelle logistique, qui doit être mise en place la semaine prochaine fait couler beaucoup d’encre ! Entre les paramétrages mal faits, les mises à jour incomplètes et le manque de formation de la plupart des monarques de la cour européenne, rien ne vas vraiment comme on pourrait le souhaiter. Bien sur ce n’est qu’une mise en route et tous les problèmes devraient être bien-tôt résolus, mais en attendant, un regain de tension se fait sentir chez certain exaspérant les autres.

Malgré un week-end prolongé pour Stanislas Ier, roi de Pologne, le monarque semble las et beaucoup ont remarqués son exaspération face aux demandes des uns et des autres. Enervé, grin-cheux re-chignant devant les sollicitudes de chacun, ont sent bien qu’il est fatigué par tous les changements à venir qui semble parfois le dépasser totale-ment. Plus grave, il semble ne plus savoir où donner de la tête entre les travaux demandés par le Pape Léon XII, par l’évêque de Beaune et par le moine Charon.

Après bien des tergiver-sations et plusieurs mois d’attente, le Pape à enfin répondu favorable-ment à la demande conjointe du Régent de France Philippe II et du Roi de Portugal Jean IV à propos de la nécessité de changer les documents de suivis des pèlerins pendant leurs pérégrinations vers la Terre-Sainte. C’est Jean IV qui s’est attelé à la fabrication du prototype, et après en avoir discuté avec le Régent de France et le Roi Stanislas Ier l’a soumis à l’approbation du Pape.

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Les Bureaucrates de Grève à la Cour Les Pérégrinations du RégentVendredi le clergé représentant les bureau-crates de Grève, proba-blement en manque de reconnaissance de la part des membres de la cour Européenne, ont été reçus au Vatican après avoir demandé audience, au préalable, auprès de Pierre III, Tsar de Russie, et émissaire spécial du Pape Léon XII. Nombreux monarques faisant partie de l’alliance de Pierre III étaient présent, à vrai dire tous, plus Jean IV, représentant exceptionnellement l’alli-ance du Roi de Pologne Stanislas Ier. Désireux de se faire bien voir auprès de la plupart des belligérants, pour ne pas dire tous, l’Abbesse Clément se fit

un devoir d’exposer à tous les participants les bons résultats qu’ils avaient obtenus les années précédentes et que par conséquent ils étaient dignes de la confiance que l’ancien Pape Pie VII leur portait, justifiant du même coup les sommes impor-tantes versées à l’abbaye de Grève. De nombreuses questions furent posées et les abbesses de Grève ne se firent pas prier pour y répondre. Pierre III qui avait prévu que cette visite ne dure pas plus d’une heure, afin de ne pas perturber, plus que nécessaire les travaux de la cour Européenne fut fort désappointé de voir le temps s’écouler aussi rapidement.

Décidément le Régent est incorrigible, et se laisse toujours embarquer sur des pentes savonneuses, entraînant toujours dans son sillage tous ceux qui sont autour de lui. En effet, nous avons appris de source sur que le Régent Philippe II en compagnie de sa femme Marie-Françoise de Bourbon, dites mademoiselle de Blois, se sont retrouver dans une position plus que délicate, à la suite d’une visite chez leur ami l’Empereur du Mexique, Fabrisio Ier. Le couple régissant le royaume de France a dîné chez l’Empereur du Mexique comme ils ont l’habitude de le Faire, le vin y coula à flot, tout c’est très

bien passé, jusqu'à ce que l’Empereur du Mexique eut la mauvaise idée de demander au Régent et à sa femme s’ils désiraient l’accompagner chez une amie qui venait d’ouvrir une affaire, afin d’y finir la soirée. Il s’agissait a priori d’une au-berge d’un nouveau genre ou seul des personnes fortunés pouvaient se rendre. Philippe II de se méfia de rien jusqu’à l’arrivée devant la dites «auberge» qui en fait ressemblait à tout autre chose. Après une brève entrée qui leur coûta la modique somme de 1500 écus Marie-Françoise en sortie outré laissant le Régent au désarroi.

Déjeuner Mexicain haut en couleur Ah le Cochon !C’est dispersés que les monarques de la cour Européenne arrivèrent chez l’Empereur du Mexique Fabrisio Ier. Les plus pressés furent : l’impératrice Marie-Louise, et Marie-Thérèse suivi des Reine Désirée Clary et Marie-Amélie de Saxe accompagnés par le Régent Philippe II et le Roi de Pologne Stanislas Ier. La Reine d’Espagne, Marie-Louise, le Tsar Pierre III et le Roi de Portugal Jean IV avaient été retenu au près des Abbesses représentant les Bureaucrates de Grève. Celle-ci étant arrivée bien après tout le monde,

car elle voulait avoir plus de renseignement sur les activités du monastère de Grève. Le déjeuner se passa dans la joie et la bonne humeur, chacun plaisant sur tout et parfois au détriment de certains, mais tous cela dans une ambiance potache qui ravie le maître des lieux l’Empereur du Mexique Fabrisio Ier. Ont eut même la surprise de voir le Tsar Pierre III, d’habitude si réservé et si enclin à une diplomatie à toute épreuve, se lâcher à quelques bons mots quelques peu acerbes qui en firent rire plus d’un.

Après ce déjeuner mexicain, où tous semblais s’être détendu, évacuant un peu du stress accumulé ces derniers jours, par le changement imminent de la logistique, en vue de la Croisade vers la Terre-Sainte, la Reine de Suède, Désirée Clary c’est permise d’envoyé un message au Roi du Portugal Jean IV. Celui-ci lui signifiait que compte tenu, que ces derniers travaux n’étaient pas centraient comme elle le souhaitait, qu’elle estimait qu’il avait fait un travail de cochon. Le Roi du Portugal eut beau expliquer que cela ne tenait pas de son fait

mais de celui de son imprimeur, rien n’y pu y faire, la Reine de Suède resta sur sa position. Mais quand plus tard, elle eut besoin du Roi du Portugal pour un problème qui semblait insoluble, ce dernier lui envoya une fin de non recevoir, en justifiant cela, par le fait que comme il ne savait faire que du travail de cochon, il ne pouvait la secourir. Voilà ce qui se passe lorsque l’on veut manger du jambon sans vouloir tuer le cochon, on se retrouve à la disette. C’est sans doute un dicton que devra méditer Désirée Clary.

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