N ° 2 Janvier 2009

L'ours polaire : un animal en voie de disparitionL'ours polaire est un animal fragile, qui disparaît principalement à cause de la fonte de

l'Arctique.

L’ours polaire est le plus grand des animaux carnivores. Sa fourrure est toute blanche et épaisse : elle mesure 30 cm. Ses oreilles sont très petites pour éviter la déperdition de chaleur ; il est sourd et myope. Debout, il atteint plus de 3 mètres et sur 4 pattes, il mesure entre 1 et 1,5 m, pour une longueur de pattes de 30 cm et une largeur de 23 cm. Le poids de l’ours mâle peut al-ler de 500 à 750 kg, et celui de la femelle peut varier de 230 à 320 kg. Il se déplace à la vitesse de 3 à 6 km/h. Sa durée de vie est de 20 ans.

L'ours vit dans les régions polaires : l'océan Arctique, le grand-nord canadien et le nord de la Russie. Son milieu de vie est le froid et l'eau. Il s'alimente essentiellement de phoques et parfois de bébés morses et de pois-sons. Il est omnivore, mais en hiver il est principalement carnivore. En été, il suit les phoques à l'intérieur des terres.

Les ours polaires sont confrontés à l'extinction de leur espèce, à cause de la fonte de l'Arctique qui s'accélère. La banquise disparaît de plus en plus vite. Une étude de Jet Propulsion Laboratory, en Californie, montre que la banquise s’est réduite de 14% en seulement 12 mois, entre 2004 et 2005. Une autre étude, c’est celle du Goddard Space Flight Centre, dans le Maryland, montre que la vi-tesse de la fonte des glaces éternelles, qui a été en moyenne de 0,15% par an depuis 1979, s'est soudainement accélérée de façon considérable. Lors des deux derniers hivers, ce taux s'est accru de 6% par an. La réduction générale de la couver-ture glaciaire en une année a été de 720 000 km² ; c'est une surface proche de la taille de la Turquie.

La banquise a déjà diminué de 56%. La fonte des glaces continentales fait varier le niveau de la mer d’environ 100 mètres (- 120 m lors du dernier maximum glaciaire, + 80 m si le Groenland et l'Antarc-tique fondaient). La banquise devrait disparaître totalement d'ici 2050...

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B U S T I N F O SB U S T I N F O S

Source: naturendanger.canalblog.com

Source: www.campus-colmar.com

Au sommaire de ce numéro : la disparition des ours polaires, la sortie au musée du Louvre des étudiants de BTS, le club d'escalade de Condé sur Escaut, une petite histoire du tennis et un résumé de la carrière de Steve Savidan.

Bustinfos

Les BTS de sortie au Louvre

Les BTS du lycée de Vieux-Condé sont allés au musée du Louvre, et ont profité de l'occasion pour observer des monuments parisiens dans le cadre d'un travail sur l'architecture en cours de français.

Le 10 novembre les BTS MAI 1 et 2 ont visité le musée du Louvre. Ils sont partis à 6 h 30 pour re-venir à 19 h 30. Comme professeurs accompagnateurs, il y avait Mesdames Kimpe, Wepierre, Dell'Aira, Laug et Legrand, Messieurs Jackowski, Moulin, Bimal, Duchêne. Le matin, ils ont visité le musée du Louvre qui est le plus grand musée de France et du monde, où on peut contempler des peintures, des sculptures et des objets d'art.

C'était une première pour les élèves de Vieux-Condé. Certains étudiants ont trouvé que c'était plus intéressant de regarder les oeuvres en vrai que sur une feuille de papier. L'après-midi, le chauffeur de bus les a emmenés voir des monuments comme la Tour Eiffel, l'Assemblée Nationale, l'Opéra de Paris, les Invalides, le Trocadéro et l'Arc de Triomphe.

Ils sont allés au musée du Louvre dans le cadre de leur épreuve de français à l'examen, et pour vivre une expé-rience culturelle, car le français en BTS est très axé sur la culture générale. C'est dans le cadre du projet d'intégration des BTS que cette sortie au Louvre s'est effectuée. Cette an-

née, les enseignants ont proposé des activités extra-scolaires pour partager des moments profs/élèves dans un autre cadre, pour mieux se connaître et casser l'image des uns et des autres. Le 24 septembre, l'intégration des BTS a commencé par une journée de défis par équipes mixtes (étudiants de 1ère et 2ème année et profs). Le premier décembre, les gagnants ont organisé un pot de la Saint-Eloi.

Cette journée à Paris a apporté aux étudiants des moments agréables, intéressants, enrichissants et passionnants. « Ça m'en a mis plein la vue » a dit Andy (BTS 1) en sortant du Louvre. Pour Sébastien (BTS 2), c'était une très belle journée, à renouveler.

A.D

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La journée d'intégration

Les journalistes de 2 2Benjamin Dequeker, Aurélien Desoubry, Thomas Lobry,

Mickaël Osseman, Nicolas Piedeloup

Bustinfos

Peut-on faire de l'escalade à Condé ?

OUI !!! A Condé-sur-l'Escaut, le club Condé Escalade dis-pose d'un très beau mur pour s'entraîner.

Le club d'escalade de Condé-sur-l'Escaut existe depuis 1996, il accueille toute personne à partir de 7 ans. Le club est dirigé par le président Dominique Hequin (éducateur sportif, initiateur fédéral, arbitre régional, équipeur régional) et possède deux structures :- une tour à la base de loisir de Chabaud-Latour mesurant 7 mètres de haut, présentant 4 profils (un de-vers, un toit, une dalle et un vertical)- un mur artificiel dans la salle Henri Bois de 250 m2, équipé de 2 400 prises modulables sur 26 m d'em-prise au sol, et 24 voies de tout niveau. Le mur possède aussi un bloc permettant de grimper sans corde ; bref, il y a de quoi bien s'amuser.

Le club est présent sur toutes les compétitions et opens. Le club accepte que les membres viennent simplement pour évoluer en loisir ou pour participer à des compétitions. Il y a une très bonne ambiance, un état d'esprit décontracté. Le club est affilié à la FFME (fédéra-tion française de la montagne et de l'es-calade). Des sorties sont possibles en milieu naturel (Landelies-Dave-Beez). Des stages en Ardèche et dans le Gard sont proposés aux amateurs d'escalade extérieure.

Les entraînements ont lieu les lundi, mardi, vendredi de 17 h 30 à 19 h 30, le mercredi de 15 h 30 à 17 h 00, les samedi et dimanche (si la salle est disponible) de 14 h à 18 h. La licence coûte 50 € à l'année pour un enfant et 60 € pour les adultes. Le club prête tout le matériel (sauf les chaussons). L'adresse de la salle est rue de la Chaussiette, complexe sportif Jean Monnet, 59163 Condé-sur-l'Escaut.

°0.VIRUS.0°

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Source : http://thirion.e.free.fr

http://images.google.fr/imgres

Bustinfos

Du jeu de paume au tennis ...

Né au 19ème siècle, le tennis a connu une évolution matérielle importante et est devenu un sport pro-fessionnel.

Le mot « Tennis » vient du mot « tenetz » que prononçait le serveur quand il envoyait la balle et qui vou-lait dire « prends-la » ou « joue ! ».

L'ancêtre du tennis est « le jeu de paume » pratiqué au Moyen Age. Les joueurs devaient renvoyer une balle au-dessus du filet à l'aide de la paume de la main. La balle pouvait rebondir contre les murs pour que le joueur trompe son adversaire. Le terrain était en forme de sablier avec un rétrécissement au niveau du filet.

Avant, la balle était faite en laine de mouton ou de poils d'animaux pressés et recouverts de cuir de chèvre. Elle mesurait environ 6 centimètres de diamètre et pesait environ 71-78 grammes. Maintenant, la balle est envelop-pée de caoutchouc rempli d'air puis recouvert de feutrine. Elle mesure entre 6 à 7 centi-mètres de diamètre et pèse 57 à 58 grammes.

Le tennis professionnel est apparu en 1913 avec la création de la fédération in-ternationale de tennis qui a organisé de nombreux tournois (Roland Garros, Wimble-don, Flushing-meadow ...). Il existe aussi un championnat du monde par équipe : la coupe Davis. En 1896, le tennis est une épreuve olympique mais la discipline sera sup-primée en 1924. Il faudra attendre les jeux de Séoul en 1988 pour que le tennis réin-tègre les jeux olympiques.

Thomaslob

Steve Savidan : parti de rien, arrivé au sommet

Savidan, issu d'un milieu modeste, est devenu un grand footballeur.

Steeve Savidan est né le 29 juin1978 à Angers. Il habitait avec sa famille de condi-tion modeste, dans le quartier de la Rosseraie. Son père était routier, et sa mère femme de ménage. Ses parents habitent toujours dans ce quartier, et il va les revoir régulière-ment.

Au début de sa carrière, il a fait plusieurs petits boulots à mi-temps, son salaire de footballeur n'était pas suffisant. Ses journées se ressemblaient : il commençait à 5 h du matin comme éboueur jusque midi, après il allait s'entraîner sur le terrain de foot. Puis il travaillait comme barman dans les soirées.

Aujourd'hui il est marié avec Karine qui était factrice et aussi femme de ménage. Ils ont acheté un restaurant à Valenciennes : le « K 9 » qui signifie Karine et 9 pour le numéro de son maillot.

Sa carrière a été très difficile, il a régulièrement changé de clubs de 1997 à 2004 (An-gers, Angoulême, Châteauroux...). En 2004, il intègre le club de Valenciennes, le club qui l'a soutenu dès le début. Avec ce club, il a vécu des moments magiques comme les montées de division (2004/2005 en ligue 2, 2006/2007 en ligue 1). Pendant toutes ces années à Valenciennes, il portait le surnom de « SAVIGOL ».

Aujourd'hui, il joue dans le club de Caen.

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www.paris-photos.org

http://vafc-en-l2.over-blog.com

http://www.football365.fr

M O