Journal interne septembre 2015 - SSR...

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Le projet d’établissement 2016 - 2020 Les différents objecfs généraux de l’établissement pour les cinq prochaines années ont été élaborés dans le cadre du nouveau projet d’établissement. Ils seront présentés au Conseil de l’UGECAM d’Aquitaine au cours du dernier tri- mestre de cee année. Les nouvelles orientaons stratégiques choisies réaffir- ment la volonté de l’établissement de proposer une offre de soins de qualité qui réponde aux objecfs du Pro- gramme Régional de Santé (PRS) ainsi qu’aux obligaons réglementaires. Elles sont dans la connuité de celles du précédent projet d’établissement et constuent la base et le fondement de toute prévision d’adaptaon des moyens. Si le projet médical constue l’ossature du projet d’établis- sement, il n’en demeure pas moins que d’autres domaines sont concernés, le tout étant le fruit d’une démarche rai- sonnée. En ce qui concerne le projet immobilier, il constue un projet ambieux qui condionne le devenir de l’établisse- ment à moyen terme. Pour aeindre l’ensemble de ces objecfs, l’engagement et l’implicaon de tous seront nécessaires. Bonne lecture, J.M LAGARDE Edito * Page 7 - Le DMP, suite - Viatrajectoire - Le projet d’établissement 2016-2020 - Sensibilisaon à la tabacologie - Mise en place du COPIL * Page 8 - La sasfacon des paents - La consommaon des SHA - La producon de DASRI Sommaire * Pages 2 et 3 Ressources Humaines * Page 4 Qualité et Geson des risques * Page 5 La vie de l’établissement et des instances * Pages 6 Développement durable * Pages 7 Par ailleurs ... * Page 8 Les indic’acteurs Année 2015 n° 7 Septembre 2015 Le nouveau journal CSSR CHATEAUNEUF Acvité au 31 août 2015 (vs 2014) Nombre de journées : 27 046 (27 725) Nombre d’admissions : 805 (817) Taux d’occupaon : 95,12 % (97,51 %) Durée moyenne de séjour : 33,59 jours (33,93 jours) Invesssements 2015 réalisés : 105 K€ dont : Aménagements : 67 K€ Matériel : 38 K€ Dans ce numéro : * Pages 2 et 3 - Les mouvements du personnel - Formaons internes DPC - Formaons internes bientraitance - Le plan de formaon 2016 - Mutualisaon des services comptables - Organisaon des kinésithérapeutes - Formaons OSIRIS - Actualisaon du DUERP - Projet thérapeuque DPI - Aménagement de la bibliothèque * Pages 4 et 5 - Les non-conformités majeures - Les soluons hydroalcooliques - Les nouvelles fonconnalités AptaWeb * Page 5 - La stomathérapie à Châteauneuf * Page 6 - L’hypnose en santé durable - Parcipaon au réseau du C2DS - La semaine européenne du DD - Sensibilisaon au bruit

Transcript of Journal interne septembre 2015 - SSR...

Le projet d’établissement 2016 - 2020

Les différents objec�fs généraux de l’établissement pour

les cinq prochaines années ont été élaborés dans le cadre

du nouveau projet d’établissement. Ils seront présentés au

Conseil de l’UGECAM d’Aquitaine au cours du dernier tri-

mestre de ce&e année.

Les nouvelles orienta�ons stratégiques choisies réaffir-

ment la volonté de l’établissement de proposer une offre

de soins de qualité qui réponde aux objec�fs du Pro-

gramme Régional de Santé (PRS) ainsi qu’aux obliga�ons

réglementaires.

Elles sont dans la con�nuité de celles du précédent projet

d’établissement et cons�tuent la base et le fondement de

toute prévision d’adapta�on des moyens.

Si le projet médical cons�tue l’ossature du projet d’établis-

sement, il n’en demeure pas moins que d’autres domaines

sont concernés, le tout étant le fruit d’une démarche rai-

sonnée.

En ce qui concerne le projet immobilier, il cons�tue un

projet ambi�eux qui condi�onne le devenir de l’établisse-

ment à moyen terme.

Pour a&eindre l’ensemble de ces objec�fs, l’engagement

et l’implica�on de tous seront nécessaires.

Bonne lecture,

J.M LAGARDE

Edito

∗ Page 7

- Le DMP, suite

- Viatrajectoire

- Le projet d’établissement 2016-2020

- Sensibilisa�on à la tabacologie

- Mise en place du COPIL

* Page 8

- La sa�sfac�on des pa�ents

- La consomma�on des SHA

- La produc�on de DASRI

Sommaire

∗ Pages 2 et 3

Ressources Humaines

∗ Page 4

Qualité et Ges�on des risques

∗ Page 5

La vie de l’établissement et des

instances

∗ Pages 6

Développement durable

∗ Pages 7

Par ailleurs ...

∗ Page 8

Les indic’acteurs

Année 2015

n° 7

Septembre

2015

Le nouveau journal

C S S R C H A T E A U N E U F

Ac�vité au 31 août 2015

(vs 2014)

Nombre de journées :

27 046 (27 725)

Nombre d’admissions :

805 (817)

Taux d’occupa�on :

95,12 % (97,51 %)

Durée moyenne de séjour :

33,59 jours (33,93 jours)

Inves�ssements 2015 réalisés :

105 K€ dont :

• Aménagements :

67 K€

• Matériel :

38 K€

Dans ce numéro :

∗ Pages 2 et 3

- Les mouvements du personnel

- Forma�ons internes DPC

- Forma�ons internes bientraitance

- Le plan de forma�on 2016

- Mutualisa�on des services comptables

- Organisa�on des kinésithérapeutes

- Forma�ons OSIRIS

- Actualisa�on du DUERP

- Projet thérapeu�que DPI

- Aménagement de la bibliothèque

* Pages 4 et 5

- Les non-conformités majeures

- Les solu�ons hydroalcooliques

- Les nouvelles fonc�onnalités AptaWeb

* Page 5

- La stomathérapie à Châteauneuf

∗ Page 6

- L’hypnose en santé durable

- Par�cipa�on au réseau du C2DS

- La semaine européenne du DD

- Sensibilisa�on au bruit

L’UGECAM Aquitaine a reçu un avis favorable de

la commission scien�fique para-médicale.

Les premières sessions de forma�on ont été

dispensées au mois de juin :

- « Manuten�on Gestes et postures », animée

par Mathilde Fort

- « Hygiène hospitalière », animée par Nathalie

Deligne&e

Les prochaines sessions sont prévues au mois

d’octobre.

Formations internes DPC

Ressources Humaines

Page 2

Le plan de forma�on 2016 sera élaboré d’ici le 23 octobre 2015, et présenté au Comité d’Entreprise pour consulta�on et avis le

15 décembre.

L’UGECAM Aquitaine poursuit les 3 orienta�ons pluriannuelles 2015 - 2016 - 2017 :

∗ L’adapta�on des compétences et des pra�ques professionnelles

∗ Le management

∗ La santé et la sécurité au travail

Les orienta�ons de la forma�on professionnelle sont construites dans le cadre de 3 objec�fs généraux :

∗ Développer les forma�ons intra établissement ou intra UGECAM, c’est-à-dire des ac�ons qui seront réalisées à des�na�on

exclusive des salariés d’un établissement ou de l’UGECAM.

∗ Développer les forma�ons internes, c’est à dire des ac�ons de forma�on réalisées par des salariés de l’UGECAM à des�na-

�on d’autres salariés de l’UGECAM Aquitaine.

∗ Développer l’achat de presta�ons groupe ou le recours à des prestataires communs.

Lancement du plan de formation 2016

Formation interne sur la bientraitance De par la volonté ins�tu�onnelle d’accompagner

les soignants pour maintenir et développer le

« prendre soin dans la bientraitance », des ses-

sions de forma�on interne sur la bientraitance

seront animées par Angéline Camou à par�r du

mois de septembre.

Les objec�fs sont d’améliorer les pra�ques en

apportant un éclairage théorique sur les situa-

�ons du quo�dien, et d’aider les soignants à

prendre du recul par rapport aux situa�ons de

soins.

Mouvements du personnel

Les départs

• Myriam Magnaudet, IDE jour, le 9 juillet

• Cyndie Darnacule&a, assistante ressources humaines, le 12 juillet

• Sylvie Banquet, aide-soignante de jour, le 12 août

• Mélissa Naze, aide-soignante de jour, le 6 septembre

Les nouveaux salariés

• Géraldine Fort, IDE de jour, est en CDI depuis le 6 avril

• Sophie Almon, IDE de nuit, est en CDI depuis le 4 mai

• Eva Tourancheau, IDE jour, est en CDI depuis le 15 juillet

• Delphine Laversanne, assistante ressources humaines, est en CDI depuis le 20 juillet

• Maryline Delanoë, aide-soignante de jour, est en CDI depuis le 29 août

• Marie-Paule Hernandez, aide-soignante de jour, est en CDI depuis le 14 septembre

Autres informa�ons

- Mathilde Fort travaille à temps plein de-

puis le 21 septembre.

- Docteur Mestre travaillera à temps plein

à compter du 5 octobre

Ressources humaines

Page 3

De nouveaux meubles ont été installés afin de me&re à disposi�on des pa�ents et de leurs

visiteurs une bibliothèque et un espace café agréables et confortables.

Page 3

Le projet de mutualisa�on des services comptables au sein de l’UGECAM Aquitaine

est amorcé.

Il répond aux orienta�ons fixées par le Contrat Pluriannuel de Ges�on 2014-2017. En

effet, celui-ci promeut la poursuite de la dynamique engagée au cours de la COG

2010-2013 sur la centralisa�on des fonc�ons supports au niveau des sièges pour

perme&re aux établissements des UGECAM de se centrer sur la prise en charge des

personnes accueillies.

En Aquitaine, la mutualisa�on de la fonc�on comptable a pour principaux objec�fs

d’op�miser la ges�on comptable et de renforcer la maîtrise du risque financier.

Une forma�on de remise à niveau des soignants a été

assurée par l’équipe de la Direc�on du Système d’Infor-

ma�on du siège aux mois d’août et de septembre. Ce&e

forma�on de réactualisa�on des connaissances sera

renouvelée chaque année.

Formation OSIRIS

Projet de mutualisation des services comptables

Depuis le 13 août 2015, la répar��on des lits pour les kinésithérapeutes intervenant à Châteauneuf est

la suivante :

• Roseline AVICE : Chambres 1 à 30, et 305 à 309

• Joudi ACAKPOVI TALEB : chambres 101 à 131, 303, 304 et 612 à 618

• Florian PONS : chambres 201 à 231, et 601 à 611

Nouvelle organisation des kinésithérapeuthes

Réalisation du DUERP Le Document Unique d’Evalua�on

des Risques Professionnels est en

cours de mise à jour. Il liste les situa-

�ons de risques iden�fiées (chute,

manuten�on…), ainsi que les solu-

�ons en cours ou déjà apportées. La

version actuelle est consultable sur le

répertoire partagé.

Un groupe de travail a été cons�tué afin de développer

les projets thérapeu�ques des pa�ents sous OSIRIS.

Projet thérapeutique DPI

Aménagement de la bibliothèque et de l’espace café

Qualité et Gestion des risques

Page 4

La consommation des SHA et les mathématiques

Les non-conformités Le nombre de Non Conformités majeures

est en augmenta�on par rapport aux années

précédentes. En effet, sur les 9 premiers

mois de l’année, on compte 11 Non Confor-

mités majeures.

Pour rappel, la prépara�on des é�que&es se

fait à l'infirmerie, en quantité suffisantequantité suffisantequantité suffisantequantité suffisante et

au bon nombon nombon nombon nom.

Puis une nouvelle vérifica�on de la concor-

dance é�que&es / ordonnance avant le pré-

lèvement sanguin est réalisée.

C’est, l’identitol’identitol’identitol’identito----vigilancevigilancevigilancevigilance.

Ces contrôles perme&ent d’éviter :

• un nouveau geste agressif pour le pa�ent

• le risque infec�eux encouru lors du geste.

• Une charge de travail supplémentaire.

Le suivi de la consomma�on des solu�ons hydro-alcooliques (ICSHA2) fait par�e des indicateurs qualité

règlementaires dans la lu&e contre les infec�ons nosocomiales. Le calcul se fait tous les mois en fonc�on

du nombre de flacons de SHA délivrés par la pharmacie, de leur volume, du nombre de fric�ons selon l’ac�-

vité de l’établissement et du nombre de journées d’hospitalisa�on.

Afin d’être maintenu en « A » sur cet indicateur, l’objec�f à a&eindre est de consommer à minima 80% de

l’objec�f personnel quan�fié.

Rappel de bonnes pra�ques :

La personne qui met en place le nouveau flacon note la date d’ouverture du flacon lors de son implanta-

�on. A par�r de ce&e date, le temps théorique nécessaire à l’u�lisa�on d’un flacon pompe dans chaque

chambre est calculé en se basant sur le nombre minimal de fric�on à effectuer pour la spécialité si le taux

d’occupa�on est de 100% (en tenant compte du volume du flacon).

Pour un SSR, par chambre :

Objec�f : 7 fric�ons par jour et par pa�ent, sachant qu’1 fric�on = 3ml de SHA

Par jour, la consomma�on est donc de 7x3= 21ml de SHA

L’établissement dispose de flacons pompe de 500ml, le flacon doit donc être consommé en environ 24 jours

� (500/21 ≈ 24 jours)

Réaliser une hygiène des mains est

un des gestes fondamentaux de la

préven�on des Infec�ons Associées

aux Soins. Différentes études ont

montré que le taux d’IAS diminue

lorsque l’observance de l’hygiène des

mains augmente. D’autres études

ont montré la supériorité de l’u�lisa-

�on des produits hydro-alcooliques

par rapport au savon doux.

La consommation des SHA, pour aller plus loin

Il est impéra�f de réaliser une hy-

giène des mains par fric�on avec une

SHA entre 2 actes, entre 2 pa�ents,

avant de me&re des gants, après

avoir re�ré des gants et après la ma-

nipula�on des déchets.

Des controverses existent au sujet de

la supposée dangerosité des SHA. Il

est à préciser que l’Aniosgel NPC 85

11

u�lisé à Châteauneuf ne con�ent pas

de Bisphénol A.

Un ar�cle du Docteur Pierre

Parneix, médecin de santé

publique, Responsable du

Cclin du Sud-ouest et Prési-

dent de la Société Française d’Hy-

giène Hospitalière donne de plus

amples informa�ons sur les SHA et le

bisphénol A :

h&ps://\hleblog.wordpress.com/

Qualité et Gestion des risques

Page 5

La stomathérapie à CHATEAUNEUF

L’évolution de la stomathérapie

En France, l’Associa�on Française d’En-

térostoma-Thérapeute a été fondée en

1978 sous l’impulsion de Suzanne

Montandon.

Suzanne Montandon, alors surveillante

à L’Hôtel Dieu de Lyon est allée suivre

aux Etats-Unis une forma�on dispen-

sée par chirurgien Rupert Turnbull et

sa pa�ente iléostomisée.

Suzanne Montandon en est revenue

avec le �tre et la compétence d’infir-

mière entérostoma-thérapeute (E.T.)

et a ouvert à Lyon la première consul-

ta�on puis la première école de stoma-

thérapie. Les quatorze infirmières qui

composaient ce&e promo�on se réuni-

rent en associa�on et fondèrent

l’A.F.E.T.

La stomathérapie peut se définir

comme étant la maîtrise des connais-

sances techniques et des principes de

la rela�on d’aide, perme&ant au pa-

�ent porteur de stomie de retrouver

au plus vite après son interven�on

chirurgicale, son autonomie ainsi

qu’une vie personnelle professionnelle

et sociale adaptée à sa situa�on.

Au CSSR CHATEAUNEUF, la recherche

du confort et de l’autonomie garants

d’une meilleure qualité de la vie, sont

les deux principaux objec�fs de l’IDE

référent stomathérapeute et des

équipes qui vont prendre en soins un

pa�ent porteur de stomie.

L’IDE stomathérapeute est ainsi appe-

lée à intervenir dans le choix de l’ap-

pareillage et dans l’éduca�on des

pa�ents.

Ceci nécessite une bonne connais-

sance des différents modèles d’appa-

reillage mis à disposi�on par les labo-

ratoires perme&ant des solu�ons «

techniques » aux problèmes d’appa-

reillage les plus fréquents étant les «

fuites » et les problèmes d’irrita�on

cutanée.

La prise en charge sur le plan psycho-

logique est fondamentale pour ac-

compagner le pa�ent à accepter ce&e

nouvelle situa�on, et ainsi faciliter

l’appren�ssage des soins et l’appro-

pria�on des gestes des�nés à recou-

vrir une autonomie op�male. Les soi-

gnants s’emploient à aider le stomisé

à vivre dans les meilleures condi�ons

ce&e épreuve difficile et raccourcir la

période de deuil d’une fonc�on capi-

tale pour tout être humain.

Pour tout cela, le pa�ent bénéficie

d’une première prise en charge dans

le service de soin avec la recherche de

l’appareillage le plus adapté et une

éduca�on aux soins vers une autono-

misa�on.

Le rôle de l’IDE référente en stomathérapie

Qu’est-ce qu’une stomie ?

Il s’agit de l’abouchement d’un organe creux à la peau, opéra�on qui consiste à

dériver momentanément ou défini�vement les selles ou les urines, voire les

deux dans certains cas. Les stomies sont de tailles et de formes différentes, ainsi

l’appareillage sera personnalisé pour chaque pa�ent.

Il existe 2 grandes familles de stomies :

- Les stomies diges�ves

- Les stomies urinaires

La vie de l’établissement et des instances

Connectez-vous avec vos iden�fiant et mot de passe et visualisez

les derniers documents publiés (qui n’ont pas encore fait l’objet

d’une consulta�on de votre part) en cliquant sur :

Nouveaux documents (n).

ici

Gestion documentaire, nouvelle fonctionnalité !

Développement Durable

Page 6

Entre préven�on et soins

Une idée forte s’impose en

médecine contemporaine : il

est tout aussi important de

susciter la santé et de cher-

cher à la préserver que de

soigner un trouble lorsqu’il se

présente.

Le problème grave de santé

ne devrait être que l’excep�on dans un parcours où

chaque humain possède en lui et dans son environne-

ment les ressources pour s�muler et préserver son capi-

tal vital.

C’est la no�on de santé durable, qui entraîne que le rap-

port du citoyen à sa santé change : il en devient l’acteur

central.

Dans ce&e approche en santé durable, l’hypnose pos-

sède une place de plus en plus affirmée. Les études mon-

trent qu’elle peut soutenir l’état de santé voire l’amélio-

rer, accroître la qualité de vie, réduire l’impact d’une

pathologie ou de certains effets secondaires des traite-

ments et s�muler certains processus de rémission.

Place à l’hypnose en santé durable

Ar�cle extrait du site internet de « L’Ins�tut Français d’Hypnose » IFH

Semaine de sensibilisation au bruit

Ce&e année, la semaine du développement durable s’est te-

nue du 30 mai au 5 juin. L’établissement a une nouvelle fois

par�cipé à cet évènement en proposant un affichage sur le

thème de la maîtrise énergé�que dans le bâ�ment.

Ce&e semaine a également été l’occasion pour les personnels

d’exprimer leur ressen� vis-à-vis du développement durable à

CHATEAUNEUF au travers d’un ques�onnaire spécifique. 60

personnes ont répondu aux 9 items proposés. 68 % des ré-

pondants considèrent que le développement durable est un

atout pour l’établissement. 93 % es�ment qu’il y a encore

trop de gaspillage, cependant, pour près de 52 % d’entre eux,

c’est inévitable.

Dans le cadre du réseau animé par le C2DS, une rubrique

« qui veut répondre ? » fait part des ques�ons des éta-

blissements sur des sujets ayant traits au développement

durable. A ce �tre, CHATEAUNEUF a présenté son expé-

rience de l’hypno-analgésie suite à une ques�on posée

par le Centre de Rééduca�on Fonc�onnelle « Les Feuil-

lades » (13) qui demandait : « Dans le cadre de la prise en

charge de la douleur, avez-vous orienté votre a&en�on

sur les techniques comme le yoga, l’hypnose, le reiki, la

lithothérapie, la médita�on, les soins par les plantes, la

biokinésiologie, l’aromathérapie ou autres pra�ques/

disciplines du bien et du mieux- être ? »

La pra�que de l’hypnose possède également une influence

sur les déterminants de santé publique : lu&e contre le taba-

gisme, le surpoids, la douleur, la sédentarité, les risques asso-

ciés au stress, aux facteurs de vulnérabilité trauma�que, etc.

L’hypnose met de plus en plus l’accent sur l’éduca�on en

santé, la préven�on et, le cas échéant, l’importance d’avoir

une approche de réhabilita�on opérante et qui s’inscrive

dans la durée. Si les études d’impact en termes économiques

sont encore balbu�antes, les premières conclusions mon-

trent un bénéfice pour l’hypnose (réduc�on des coûts par un

retour plus rapide à un équilibre de vie).

En cela, l’hypnose prend part de façon incontestable dans le

troisième axe des objec�fs de développement durable :

« Donner aux individus les moyens de vivre une vie saine et

promouvoir le bien-être de tous à tous les âges ».

L’hypnose : une pra�que citoyenne !

Bilan de la semaine Européenne du DD

Participation au réseau du C2DS

Les résultats de l’enquête menée ont été remis aux res-

ponsables de service et affichés à l’infirmerie centrale.

Pour le public, un établissement de santé signifie bien souvent convalescence, repos, donc silence.

Mais en s’approchant de cet univers, on constate que la réalité est tout autre.

Les ques�onnaires de sa�sfac�on remis par les pa�ents men�onnent fréquemment une gêne,

voire une insa�sfac�on liée au bruit.

Il a donc été acté qu’une semaine de sensibilisa�on au bruit serait proposée aux professionnels

dès la fin d’année 2015. L’objec�f de ce&e semaine sera d’iden�fier les sources sonores les plus

importantes et de trouver des solu�ons perme&ant de retrouver un paysage sonore plus serein.

Par ailleurs ...

Page 7

L’alimenta�on du DMP est effec�ve pour tous les pa�ents

ayant un DMP à l’entrée de l’établissement.

Dès septembre, les prochaines étapes concerneront :

• la consulta�on du DMP par les médecins. Ce&e étape

nécessitera l’acquisi�on de lecteurs de carte

• la créa�on de DMP

Le DMP, suite ...

Il s’ar�cule autour de 4 orienta�ons stratégiques :

• renforcer la poli�que de qualité et ges�on des risques dans une constante recherche d’amé-

liora�on des prises en charge

• renforcer la posi�on de l’établissement CHATEAUNEUF en maintenant le volume d’ac�vité

actuel

• poursuivre le développement de la prise en charge de la personne âgée polypathologique

dépendante ou à risque de dépendance

• assurer une con�nuité des soins aux pa�ents et garan�r une prise en charge pluriprofes-

sionnelle coordonnée

Le projet d’établissement a été rédigé entre avril et septembre 2015. Il a été validé par la CME

du 15 septembre et sera présenté au conseil d’ici fin 2015.

Le projet d’établissement 2016-2020

Viatrajectoire, personnes âgées Après avoir u�lisé TRAJECTOIRE en qualité de structure

d’aval (demandes d’admission en provenance des établis-

sements CHU, MCO, SSR), cet ou�l web sera prochaine-

ment u�lisé en qualité d’établissement adresseur pour les

EHPAD ou les USLD.

La forma�on à la ges�on des demandes sera organisée par

Télésanté Aquitaine en fin d’année 2015.

est un outil web par lequel sont trans-est un outil web par lequel sont trans-est un outil web par lequel sont trans-est un outil web par lequel sont trans-mises toutes les demandes d’admissionmises toutes les demandes d’admissionmises toutes les demandes d’admissionmises toutes les demandes d’admission

Travaux et aménagements • Le changement des portes fenêtres des

chambres (45)

• L’aménagement de la bibliothèque et du coin

des machines à boissons

• L’aménagement de la pièce de dérochage

Reconnaissance vocale Un logiciel de reconnaissance vocale a été présenté aux mé-

decins et aux secrétaires médicales en septembre. Il sera

testé au mois d’octobre. Il permet d’op�miser la saisie des

courriers (gain de temps).

Liste des projets

Projet médical

Projet de soins

Projet social

Projet hôtelier

Projet qualité

Projet du système d’informa�on

Projet développement durable

Poli�que de communica�on

Projet immobilier

A l’occasion de la « Journée Mondiale

Sans Tabac » qui a lieu chaque année

le 31 mai (un dimanche ce&e an-

née…), une journée de sensibilisa�on

a été organisée le mardi 23 juin 2015.

Au programme : des stands pour éva-

luer son tabagisme (mo�va�on, dé-

pendance, monoxyde de carbone),

des ateliers diété�ques, une anima-

�on de préven�on proposée par

l’associa�on ANPAA 33, et le point

fort de ce&e journée, une démonstra-

�on d’hypnose médicale sur 3 volon-

taires mo�vés au sevrage tabagique.

Ce&e journée, à des�na�on du per-

sonnel fumeur et non-fumeur, s’est

déroulée dans la bonne humeur, sans

jugement ni tabou.

Toutefois, et sans compter les nom-

breuses personnes de passage sur la

journée ou venues par�culièrement

pour assister aux séances d’hypnose,

nous avons accueilli 14 personnes sur

les stands, tous services confondus, et

nous les remercions pour leur intérêt.

En espérant que ce&e journée leur

aura permis de répondre à leurs ques-

�onnements et d’avancer dans leur

cheminement personnel.

Journée de sensibilisation à la tabacologie

La mise en place du COPIL Le CSSR CHATEAUNEUF va s’engager dans

la 4ème itéra�on de la procédure de cer�fi-

ca�on : la V2014.

La visite des experts de la HAS aura lieu au

premier semestre 2017.

Il est donc temps pour l’établissement de

réac�ver son comité de pilotage qui est en

charge de l’organisa�on de la démarche

(planifica�on, valida�on des orienta�ons

de travail, …).

La première réunion du COPIL V2014 s’est

tenue le 23 septembre dernier.

la DGOS vient d’accorder la somme de 306

K€ pour la mise en œuvre du DMP au sein

de l’établissement (un premier acompte

de 84 K€ avait déjà été versé).

Félicita�ons à tous les acteurs qui ont par-

�cipé à la réussite de ce projet (secrétariat

médical, médecins, cadres de santé) sous

la houle&e de Laure CAMBOURS, Chef de

projet.

Hôpilal Numérique

Les indic’Acteurs

Comité de rédac�on

Ressources Humaines

M. BAREAU

Qualité / Gestion des risques

C. BERNIES, N. DELIGNETTE

& S. DIDIER-GRENON

Développement Durable

S. DIDIER-GRENON & A-F. ROLAND

Par ailleurs ...

J-M. LAGARDE

La vie de l’établissement

A. CAMOU, M. FERIE & A-F. ROLAND

Les indic’Acteurs

C. BERNIES, N. DELIGNETTE & S.

DIDIER-GRENON

70 %

La satisfaction des patients

Taux de retour des QSP

(du 1er

janvier au 31 août 2015)

La production de DASRI

Quantité de DASRI produite par semaine

La consommation de SHA

Des mains désinfectées,

des risques évités !