Journal de bussy numéro 126

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Buss Buss LA FOULE AU FORUM DES ASSOCIATIONS PAGE 4 LA FOULE AU FORUM DES ASSOCIATIONS PAGE 4 SYCOMORE: PAS PLUS DE 3000 LOGEMENTS PAGE 16 SYCOMORE: PAS PLUS DE 3000 LOGEMENTS PAGE 16 LE PROJET ÉDUCATIF LOCAL SE MET EN PLACE PAGES 18 & 19 LE PROJET ÉDUCATIF LOCAL SE MET EN PLACE PAGES 18 & 19 LES 10 ANS DU BUSSY BASKET CLUB PAGE 23 LES 10 ANS DU BUSSY BASKET CLUB PAGE 23 LE MAGAZINE MUNICIPAL DINFORMATIONS - OCTOBRE 2010 LE MAGAZINE MUNICIPAL DINFORMATIONS - OCTOBRE 2010 y y n°126 n°126 Saint-Georges Saint-Georges La vérité sur le budget 2010 La vérité sur le budget 2010

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BussBussLA FOULE AU FORUM DES ASSOCIATIONS

PAGE 4LA FOULE AU FORUM DES ASSOCIATIONS

PAGE 4SYCOMORE:

PAS PLUS DE 3000 LOGEMENTSPAGE 16

SYCOMORE:PAS PLUS DE 3000 LOGEMENTS

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LE PROJET ÉDUCATIF LOCAL SE MET EN PLACE PAGES 18 & 19

LE PROJET ÉDUCATIF LOCAL SE MET EN PLACE PAGES 18 & 19

LES 10 ANS DU BUSSY BASKET CLUB PAGE 23

LES 10 ANS DU BUSSY BASKET CLUB PAGE 23

LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS - OCTOBRE 2010LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS - OCTOBRE 2010 yyn°126n°126

Saint-GeorgesSaint-Georges

La vérité sur lebudget 2010La vérité sur lebudget 2010

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Consulter le site de la ville: www.ville-bussy-saint-georges.frEcrire au Maire : [email protected]

21. Devenez conseillère Natura Brasil

25. Tribunes26. Nouvelles installations27. Professions médicales

Vie de la cité

Dossier

Vie municipale

Magazine

Pratique

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10 à 14. Mises au point sur le budget 2010

Sport22

15. L’intercommunalité en débat16. 3000 logements pour le Sycomore17. Canal Coquelicot change de canal18 & 19. Le Projet Educatif Local se dévoile20. Hôtel d’entreprises: c’est complet!

4. Associations et brocante: un cocktail gagnant5. Des Virades qui ne manquent pas de souffle6 & 7. L’actu de la médiathèque8. La statue « Le Rêve de la Mère » inaugurée9. La première pierre de la mosquée

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Sommaire - Edito 3

L e titre de cet éditorial résume à lui seul les efforts, notam-ment symboliques, que la municipalité entend menerface à la situation budgétaire et de trésorerie catastro-

phique que nous rencontrons. Nous avons choisi de ne réduirenos dépenses qu’aux seuls services indispensables à la popula-tion: crèches, écoles, centres aérés, restauration scolaire, policemunicipale, entretien des espaces verts, des voiries, des bâtimentscommunaux.Cet effort qui se traduit par des sacrifices suffira-t-ilpour autant à écarter la crise? Je n’y crois guère etnous tendons à le démontrer dans un dossier argu-menté de ce journal. Sans visées électoralistes (je nesuis pas candidat aux cantonales et je ne suis guèretenté par une nouvelle candidature municipale si laréforme des collectivités territoriales visant à sup-primer presque tous les pouvoirs du maire allait jus-qu’au bout), il n’a pour but que de dire la vérité.D’abord en stigmatisant le désengagement total de l’Etat. Partout en Europe – j’ai en tête lesexemples anglais et hollandais – et aussi en France dans les années 70 et 80, les villes nouvellesse sont développées avec un soutien des pouvoirs publics. Il est évident que soumises de par leursstatuts à une croissance forte et n’étant souvent au départ que des villages, elles ne disposent pasdes fonds propres nécessaires pour assumer ce développement qui coûte, notamment les infra-structures et superstructures générées par l’afflux de population supplémentaire. Le statut quinous érigeait « ville nouvelle » en 1985 prévoyait précisément que nous bénéficierions jusqu’àce que notre réalisation soit arrivée à terme de subventions exceptionnelles. Elles ont été en 1999puis 2007 supprimées. Cette année il nous manque 4 millions pour faire face à nos échéances.Somme qui précisément nous a été enlevée il y a 3 ans. Et depuis plus jamais versée.Alors que les pouvoirs publics tournent le dos à la notion de ville nouvelle s’ajoute une difficultésupplémentaire avec, depuis 2008, la crise du crédit. La réforme du système bancaire interna-tional après l’effondrement de grandes institutions américaines ou européennes a amené unchangement d’analyse radical par les banques de leur capacité de prêter. Aujourd’hui, Bussy n’estplus en mesure d’emprunter. Et la Chambre Régionale des Comptes, à travers une analyse pru-dentielle que je juge excessive car notre endettement n’est pas plus important que celui des autresvilles nouvelles en France ou à l’étranger, n’arrange pas les choses en prônant de ne recourir qu’ànos fonds propres pour payer l’investissement. Cette situation absurde qui tendrait à régler«cash» pour des gymnases ou des routes, dont la durée d’amortissement dépasse plusieurs décen-nies, revient à nous étrangler financièrement.Chacun comprendra que, dans ces conditions, même si nous réduisons considérablement nosdépenses, nous ne serons pas en mesure de pallier par le seul impôt l’effondrement de nos res-sources. Surtout que la situation ne fait qu’empirer. Après la disparition en 2008 de la subven-tion d’équilibre, un coup fatal nous a été porté avec le remplacement de la taxe professionnellepar la contribution économique territoriale (C.E.T.). Enfin, le gouvernement a annoncé débutoctobre dernier qu’il gelait les dotations aux collectivités locales pour au moins 3 exercices. A Bussy,plus encore qu’ailleurs car notre population augmente d’année en année, cette dernière mesureest de nature à nous déstabiliser. Devrions-nous pour autant baisser les bras? Ce n’est pas dansmon habitude. Je propose donc d’agir en 3 phases.La première consiste à optimiser au mieux les sommes que nous engageons. Il n’est pas un eurod’argent public qui ne doive faire l’objet d’une attention particulière de notre part. Par des mesuresque je qualifierais de symbole, nous taillons dans nos dépenses de représentation, de communi-cation.Deuxièmement, je vais tenter de toutes mes forces de lever l’emprunt. Je refuse complètementle scénario ubuesque qui nous oblige à payer l’investissement par le fonctionnement. Ce seraitune solution idéale dans un monde idéal mais strictement impossible compte tenu de la faiblessede notre autofinancement. Presque aucune commune en France n’y parvient. Pourquoi impo-ser un tel régime à Bussy Saint-Georges? Je continue de toutes mes forces à démarcher tous lesétablissements de crédit que je connais et j’entends bien, conseil municipal après conseil muni-cipal, faire voter lignes de trésorerie et emprunts.Enfin, je reste persuadé que si l’Etat est absent, il revient à Bercy de laisser son bras armé qu’estl’EPAMARNE casser sa tirelire et partager avec nous les fruits d’un marché de l’immobilierencore florissant. Oui, n’en déplaise à certains élus chagrins des autres secteurs de Marne-la-Vallée, il est temps que l’Etablissement Public substitue par des participations les subventions etdotations évanouies.Ce programme se place sous le signe de l’opiniâtreté. Il passera parfois par des parties de bras defer avec l’Etat et sûrement par le recours aux tribunaux lorsque ce sera nécessaire. Je n’écarteaucune voie afin de maintenir Bussy Saint-Georges tel l’unique modèle résidentiel de Marne-la-Vallée et ceci dans un climat économique apaisé où nous puissions enfin disposer des res-sources suffisantes pour que notre développement soit harmonieux.

Hugues RONDEAUVotre Maire

Il n’y aura pas d’illuminationspour Noël

22. Le Prodal Boran en stage au Cambodge23. Le Bussy Basket Club a 10 ans

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Vie de la cité4

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Nicole Bezoulle, Conseillère municipale déléguée à la Prévention routière, animait un stand de simulation de conduite. Elle conseille ici soncollègue Dominique Bijard.

De futurs pêcheurs au sein de l’association? Pascale Sabotier, du Pêcheur de Marne-la-Vallée est à l’affût des nouvelles recrues…

Nathalie Lupi, la présidente de Bussy Gyms, montre à Stéphane Barnier les nombreuses activités proposées tout au long de l’année par son club.

Sur le stand d’un vide-greniers, on trouve de tout : les amateurs de lecture peuvent par exemple y dénicher quelques livres rares, alors que d’autrespréfèrent se pencher sur les vêtements !

Un petit creux? Pas de panique : le Club des Aînés avait préparé quelques petites douceurs pour satisfaire les appétits.

Forum des associations et brocante du village: depuis des années, ces deux temps forts de la vie localerythment le début du mois de septembre. De nombreux Buxangeorgiens n’auraient manqué pour rienau monde ces deux rendez-vous. La preuve…

Les incontournables du mois de septembre

FORUM DES ASSOCIATIONS ET VIDE-GRENIERS DU VILLAGE

Vous avez été une nouvelle fois fortnombreux à vous rendre au Forumdes associations, dont c’était cette

année la quinzième édition. Activités gra-phiques et plastiques, sports, activités cul-turelles ou manuelles : il y en avait pour tousles goûts, toutes les passions et tous les âges !A Bussy, vous n’avez en effet que l’embarrasdu choix pour occuper votre temps libre.Dès le vendredi soir, le gymnase Maurice-Herzog a donc fait le plein. Devant lesstands, c’étaient de véritables files d’attentequi se formaient pour valider des inscrip-tions ou obtenir de précieux renseignementsauprès des responsables d’associations. Bref,ce Forum est l’évènement incontournablede la rentrée à Bussy.

Des associations toujours aussi populaires!

Le vide-greniers du village fait recette A près ce quinzième Forum des associations, rendez-vous était pris

une semaine plus tard sur la place de Verdun pour le vide-gre-niers du village. Bien que plus petite que celle du mois de juin

dans le centre-ville, cette brocante n’en conserve pas moins son charme,et on y fait également quelques bonnes affaires…

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Les percussions de Ka Fraternité ont résonnélors de la traditionnelle soirée dansante dusamedi.

Déjà venu à Bussy lors du Festival du rire, lefacétieux Tex était de nouveau au gymnaseHerzog le 24 septembre, en tant que chan-teur, dans le spectacle « La Télé qui chante ».

Au concours intercommunal de baby-foothumain, on a joué avec les pieds, mais aussiavec la tête !

A l’intérieur de la salle, une quantité de standsattendait les nombreux visiteurs, dont celui deChantal Hamet, de l’atelier de poterie Kan AnDouar, qui proposait aux enfants un ateliermanuel.

Installé sur le parvis du gymnase, l’élasto-trampoline a fait le bonheur de nombreuxenfants.

Dominique Bijard, Claude Louis et StéphaneBarnier figuraient dans le cortège de laGrande Marche de l’Etoile, dont l’arrivéeétait fixée au gymnase Herzog.

Malgré une météo peu clémente, toute l’équipe des Virades de l’Espoir des Portes de la Brie était présentepour animer cette douzième édition, dont le programme était comme de coutume très copieux.Quatre jours de fête et d’animations dans toute la ville, afin de lutter contre la mucoviscidose. Retour sur les grands moments de ce long week-end.

Les Virades de l’Espoiront soufflé fort à Bussy!

Si vous souhaitez faire un don en faveur de la recherche contre la mucoviscidose,rendez-vous sur le site : www.vaincrelamuco.org

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Il est des rendez-vous qu’on ne devrait man-quer sous aucun prétexte. Parmi ceux-ci, lamanifestation sur l’astronomie, organisée en

partenariat avec l’Association Française d’Astro-nomie (AFA), l’Uranoscope d’Ile-de-France et laMédiathèque de l’Europe figure en bonne place.Elle aura lieu durant tout le mois de novembre àla médiathèque, et plus particulièrement entre le13 et le 20novembre, lors de la Fête de la Science.Rendez-vous annuel des chercheurs et de tousceux qui sont désireux de découvrir les enjeuxscientifiques et les défis technologiques dedemain, cette manifestation aura pour but defaire découvrir l’astronomie, de partager dessavoirs et savoir-faire et de permettre à tous demieux appréhender les enjeux éthiques et socio-économiques de la recherche.L’exposition intitulée « Ciel, miroir des cul-tures » réalisée par l’AFA avec lesoutien du Ministère de laCulture montre la diver-sité des représentationsdu ciel à travers lesâges et les cultures,et l’évolution desc o n n a i s s a n c e sastronomiques.En parallèle, lescollections de lamédiathèque, quisont en rapportavec le ciel, serontmises à votre disposi-tion. Vous pourrez soitconsulter les documents surplace, soit les emprunter.

Vous savez sans doute repérer la Grande Oursedans le ciel, mais savez-vous trouver les autresconstellations? Dès la nuit tombée, les instru-ments d’observation seront pointés vers lesétoiles pour une soirée d’observation. Des astro-nomes seront présents pour répondre aux ques-tions du public. La veillée aux étoiles est

proposée aux adultes et auxenfants par l’Uranoscoped’Ile-de-France le samedi13 novembre à 18h (surinscription). Si le ciel et lamétéo ne sont pas favo-rables à l’observation, vous

pourrez écouter une conférence sur les constel-lations du ciel en hiver.Une conférence tout public sur l’astronomie sera,en outre, donnée par un éminent scientifique le

vendredi 19 novembre à 19h.Par ailleurs, les enfants pour-

ront participer à diversesanimations selon leur

âge. Les 7-10 anspourront s’inscrire àdes ateliers artis-tiques le mercredi17 novembre à14h ou 16h.A c c o m p a g n é sd’un artiste plasti-

cien, ils travaillerontautour de l’art et des

sciences, tout en exer-çant leur imagination, leur

créativité et en appliquantdiverses techniques graphiques.

Les enfants de plus de 10 ans, quant à eux, pour-ront pratiquer une série d’expériences et demanipulations, telles que réaliser une constella-tion en 3 dimensions, savoir lire l’heure à partirdu Soleil, le samedi 20 novembre à 14h et 16h.Enfin, les enfants à partir de 8 ans pourront par-ticiper à des ateliers informatiques sur le thème« expose tes connaissances astronomiques » lesmercredis 3 et 17 novembre de 10h à 12h.Amateurs, passionnés, professionnels, toutes lesanimations seront comme des fenêtres permet-tant de s’évader dans l’espace…

ANIMATIONS GRATUITES SUR INSCRIPTIONPour plus de renseignements ou pour vous inscrire:Médiathèque de l’Europe6 Avenue du Général-de-GaulleTel : 0164663085Courriel : [email protected] : www.mediathequebussy.net

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Actualité encore très chargée à la médiathèque del’Europe, où il sera question, en novembre, d’astro-nomie, avec une série d’animations qui raviront lesscientifiques en herbe ! Quant aux adeptes du neu-vième art, en attendant la deuxième édition du fes-tival « Bussy Dingue de BD », un petit retour s’impose

sur la venue à Bussy de l’auteur Laurent Maffre lors d’un apéro BD fort intéressant. Le mois deseptembre était celui des tout-petits : avec la collaboration du relais assistantes maternelles, les bibliothécaires avaient concocté, à destination des bambins, quelques jolis rendez-vous…

L’astronomie en fête!

L’ACTUALITÉ DE LA MÉDIATHÈQUE

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Les tout-petits à l’honneur !

Les formations informatiquesont repris leur cours

Retour sur l’apéro BD de la Médiathèque

A l’occasion du Mois des tout-petits, qui s’est déroulé du 4 au 29 septembre, la médiathèqueet le relais assistantes maternelles de Bussy se sont associés. Vous avez pu découvrir une expo-sition sur la lecture avec bébé de l’association ACCES et une autre sur les activités du RAM.

Deux temps forts, le samedi 11 et le mercredi 15 septembre, ont réuni petits et grands. Des coups decœur et d’autres livres sur les doudous, l’école, la propreté ont été présentés par les bibliothécaires etune éducatrice du RAM. Et tous ont pu se régaler d’histoires savoureuses avant de terminer ces mati-nées par un petit-déjeuner.Rappelons que les jeudis des tout-petits ont lieu une fois par mois à 10h et 11h, et que les Histoiresdu mercredi, destinées aux 0-3 ans sont programmées tous les deux mois à 10h30.N’oubliez pas, enfin, le samedi 20 novembre à 10h30 le « samedi des lecteurs », un comité de lec-ture adolescent. Vous découvrirez les nouvelles de l’auteur Jean-Noël Blanc, des nouveautés et surtout,vous pourrez partager vos lectures…

Renseignements et inscriptions auprès de la médiathèque au 01 64 66 30 85

P our son premierApéro BD, laMédiathèque de

l’Europe a eu l’honneur derecevoir Laurent Maffre,auteur de bande dessinéereconnu par ses pairs.Celui-ci est non seulementprofesseur d’arts plas-tiques, mais aussi scéna-riste et illustrateur de BD.En guise d’introduction àcette rencontre, ThomasGabison, responsable de la collection Actes Sud BD, a lu un extrait de «L’hommequi s’évada», le premier album de l’auteur. Un échange entre le responsable BDde la médiathèque et l’auteur lui a permis d’évoquer son parcours artistique, lagenèse de ses différents albums et sa vision de la BD contemporaine.Echange qui a permis au public de découvrir son univers graphique au traversdes ouvrages qu’il a écrit: « L’homme qui s’évada », d’après le roman d’AlbertLondres, album qui lui permit d’obtenir une nomination dans la sélection officielledu festival BD d’Angoulême en 2007, et d’autre part, « Les chambres du cerveau », adapté d’une nouvelle de Robert Louis Stevenson paru en 2008.Par cette animation, la médiathèque a souhaité faire découvrir au public, à tra-vers un auteur, un univers graphique particulier afin d’aller au-delà de la simple lec-ture de l’ouvrage et ainsi mieux appréhender ce genre littéraire à part entière.Une séance de dédicaces a clôt ce chaleureux rendez-vous et un verre de l’ami-tié a réuni l’auteur et le public présent.La municipalité tient particulièrement à remercier Laurent Maffre pour sa disponi-bilité et sa gentillesse et Actes Sud BD au travers de son Directeur de Collection,Thomas Gabison.Pour celles et ceux qui n’ont pas pu assister à l’Apéro BD, sachez que les albumsde Laurent MAFFRE sont à votre disposition dans les rayons de la médiathèque,qui vous donne d’ores et déjà rendez-vous les 11 et 12 juin 2011 pour sondeuxième Festival « Bussy Dingue de BD »: moment de rencontre avec le 9e Art,au travers d’expositions, de conférences et d’ateliers…Des romans graphiques, des comics, de la BD asiatique, franco-belge et indépendante vous attendent dans le secteur BD… Avis aux amateurs!

Des séances d’initiation à l’informatique sont proposées plusieurs fois parsemaine à un public de tout âge, afin de se familiariser avec l’outil infor-matique, l’utilisation d’Internet, les logiciels et les périphériques multi-

médias. L’animateur vous accueille en petit groupe (jusqu'à 6 personnes) et il vouspropose des formations selon votre niveau (débutant, avancé et perfectionne-ment). Elles constituent une première étape vers une pratique autonome et per-mettent d’acquérir les bases nécessaires à la réalisation d’un projet multimédia.Le programme des ateliers pour adultes a débuté le mardi 21 septembre et lesateliers jeunes (à partir de 8 ans) ont, quant à eux, repris le mercredi 6 octobre.Il est disponible sur le site internet de la médiathèquewww.mediathequebussy.netou à la médiathèque.Pour pouvoir vous inscrire à ces cours d’initiation, il vous suffit d’êtreabonné à la médiathèque; vous pourrez en plus profiter de votre abon-nement pour pouvoir emprunter des documents : 4 livres, 3 revues, 4 cd,3 partitions et 1 DVD (un seul DVD par famille). Vous pouvez le fairesur place à la médiathèque, par téléphone ou par mail.En dehors de ces séances d’initiation, le personnel de la médiathèquereste à votre disposition pour vous orienter, vous informer et vous guiderdans vos recherches.

TARIFS D’INSCRIPTION POUR UNE ANNÉE :

POUR BUSSY SAINT-GEORGESEnfant/étudiant/Demandeur d’emploi : 6 eurosAdulte : 14 euros

POUR LES AUTRES COMMUNESEnfant/étudiant/Demandeur d’emploi : 8 eurosAdulte : 16 euros

Un autographe de Laurent Maffre, c’est quelque chose!

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

L’Amicale des Vietnamiens de Bussy pro-pose des cours de vietnamien, de danseset de chants folkloriques. Le cours de viet-

namien est ouvert aux enfants à partir de 7 ans,notamment ceux qui savent déjà lire et écrire lefrançais, afin d’éviter toutes confusions, car l’écri-ture actuelle de la langue vietnamienne est uneécriture latinisée.L’objectif de cet apprentissage est avant tout portévers l’oral. Il s’agit de familiariser l’enfant au lan-gage courant et de la politesse, sans pourtantoublier l’importance de la langue vietnamienne.Cette dernière est reconnue par la Maison desExamens – Arcueil comme la première ou ladeuxième langue pour ceux qui veulent prendre levietnamien au baccalauréat. « Nous voulons éga-

lement rappeler à la jeune génération vietna-mienne l’intérêt de connaître sa langue maternelleet garder en mémoire un extrait tiré de la chanson« Vien Khuc Vietnam » de l’auteur compositeur Han

Le Nhan », souligne la responsable des coursMme NGUYEN Thi Xuan Mai : « Je ne suis jamaisallé à Hanoi, je n’ai jamais passé à Saigon, jen’ai jamais visité Hué, je n’ai jamais connu le Viet-nam… Mais je suis vietnamien ».Le cours de vietnamien a démarré le 19 septembreau centre de loisirs Louis-Braille. Les cours ont lieu tousles dimanches (sauf vacances scolaires) de 10h30à 12h. Ambiance ludique assurée par des jeux derôle et chansons. « Nous terminons toujours notrecours par une note de musique » conclutMme NGUYEN Thi Xuan Mai.

CONTACTChez M. NGUYEN Hoai Thanh - 26, promenade AndréJacquemin - 77600 Bussy Saint GeorgesEmail: [email protected] – Tél.: 0612052957

Une statue à la mémoire des Boat PeopleInauguration du « Rêve de la Mère »

La magnifique statue « Le Rêvede la Mère » a été inaugurée ledimanche 12 septembre sur le

rond-point de SaiGon. A travers cetouvrage, rappelons que la commu-nauté vietnamienne de Bussy a vouluexprimer sa profonde gratitude enversla France, pays libre et démocratique,qui a accueilli de nombreux BoatPeople et leur a permis de se recons-truire dans la dignité et l’espérance.« En retour, dans le respect des lois etde la citoyenneté, nous participons à lavie collective, économique et sociale dela France, et particulièrement à cellede Bussy, car nous sommes tous Buxan-georgiens et fiers de l’être, souligne leprésident de l’association BussySaiGon, Christophe Nguyen. Nousavons dédié cette œuvre artistique à lacommune pour sa beauté, avec unmessage que nous espérons transmettre:le devoir de mémoire, pour que lesjeunes générations nées en France n’ou-blient pas les sacrifices de leurs parentsqui ont choisi l’exil. »Au nom de toute la communautévietnamienne et notamment des Boat

People, l’association Bussy SaiGon,renforcée par l’Amicale des Vietna-miens de Bussy, remercient le mairede Bussy, Hugues Rondeau, la Dépu-tée Chantal Brunel, les élus de la com-mune, le très Vénérable Thich MinhTam de la pagode KHANH ANH,ainsi que tous les donateurs et sympa-thisants à Bussy, en France et à traversle monde, d’avoir contribué à l’édifi-cation et à la réussite de cet ouvragecommémoratif.

C’est à Hugues Rondeau et Chantal Brunel qu’est revenu l’honneurde couper le ruban.

MINH HIEU, qui avait été repêchée dans les années soixante-dix enmer de Chine, a rendu hommage à l’amour maternel dans cette chan-

son interprétée lors du défilé de l'offrande des Fleurs des enfants.

Hugues Rondeau a salué l’investissement de Christophe Nguyen etde tous les membres de l’association Bussy SaiGon, qui ont menéce projet à bien.

Des cours de vietnamien, de chants et de danses folkloriques avec AVB

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Bussy Saint-Georges N° 126 - Octobre 2010

L e dimanche 29 août, une délégationbuxangeorgienne emmenée par le prési-dent de l’Amicale des Anciens Combat-

tants de la ville, Robert Msili, Claude Louis,Adjoint au Maire, et Dominique Bijard,Conseiller municipal, s’est rendu à Villeneuve-Saint-Denis pour une importante commémoration,en hommage aux onze membres des Forces fran-çaises de l'intérieur (FFI) fusillés le 25 août 1945.Cette cérémonie commémorative a lieu chaquedernier dimanche du mois d’août. Ce même jour,

une seconde cérémonie s’est tenue en forêt deFavières, au lieu-dit le Poncelet, devant la stèleélevée à la mémoire du sergent Raymond Robert,aviateur abattu dans la forêt le 3 juin 1940 àl’âge de 22 ans. Comme de coutume, l’Amicaledes Anciens Combattants de Bussy a déposé unegerbe devant les deux stèles.Robert Msili et l’Amicale donnent d’ores et déjàrendez-vous le jeudi 11 novembre à 11h auMonument aux Morts de Bussy pour la célébra-tion de l’Armistice de la Grande Guerre.

Portes ouvertes de Notre-Dame du Val

Robert Msili et ses collègues de l’Amicale des AnciensCombattants de la ville répondent toujours présentspour préserver le devoir de mémoire.

L a pose de la première pierre du centreculturel et cultuel musulman de Bussys’est déroulée le dimanche

10octobre. L’associationTAWBA, qui pilotece projet, souhaite au travers de ce centrefaire connaître les vraies valeurs de l’Islam,avec la volonté de rassembler au sein d'un

même espace les différentes cultures présentes à Bussy, et permettre ainsides échanges interculturels dans le respect mutuel. L'association a prisle soin, avec l'aide de ses responsables et des autorités publiques, deconcevoir un ouvrage moderne, ouvert à tous et s’intégrant totalementdans le paysage de la ville. «Ce sera un lieu où l’on pourra prier digne-ment et apprendre la culture musulmane», soulignait dans son discoursDriss Abouri, le président de TAWBA, qui a tenu à remercier toutes lesfemmes et les hommes qui ont contribué à mener à bien ce projet.Avec son espace culturel ouvert à tous composé de salles de cours,d'une bibliothèque, d'une salle de conférence, d’une salle d’exposi-tion et son espace cultuel (la mosquée), avec une salle de prière, unecuisine, des salles d'ablutions et un bureau, le centre offrira une archi-tecture moderne, s'insérant harmonieusement dans le parc du Géni-toy. Hugues Rondeau notait quant à lui dans son discours qu’il étaitimportant que la communauté musulmane ait un lieu de culte. « Nous posons la première pierre d’un édifice qui va satisfaire la com-munauté musulmane de Bussy, a-t-il déclaré. Un édifice qui est d’ailleurségalement positif pour l’ensemble de la ville, puisque ce lieu rayonneraau-delà de la communauté musulmane. Je formule le vœu que les musul-mans de Bussy puissent vivre pleinement leur foi dans une France auxracines chrétiennes. Je prie à l’occasion de la pose de cette première pierrepour que les trois religions du Livre, le judaïsme, le christianisme et l’islamsoient plus que jamais des sources d’amour et de paix. »

La première pierre du centre culturel et cultuel

musulman est posée!

Cérémonie commémorativeRecueillement en forêts de Villeneuve-Saint-Denis et de Favières

Les Portes Ouvertes de la ParoisseNotre-Dame du Val se sont dérou-lées le samedi 11 septembre, dans

l’église et sur le parvis, sous un soleil estival.Organisée par le groupe Louis-Guibertdes Scouts et Guides de France, cettejournée d’échanges et de rencontres a étéune belle réussite. Environ 220 per-sonnes ont ainsi pris part au repas pré-paré depuis le matin par les scouts. « LesPortes Ouvertes, c’est très bien, ça permetde connaître les paroissiens et d’échanger,d’entrer en contact avec des personnesqu’on ne connaît pas, confiait l’une desparticipantes. Je me suis rendue disponiblepour la journée et j’ai pu tranquillementinscrire mes enfants au catéchisme, auxscouts, et me renseigner sur les groupesbibliques. C’est un bon moment dedétente ». « L’organisation par les scouts,c’est bien, ça fait partie de l’esprit scout :partage, échange, et ça amène de la jeu-nesse, renchérissait sa voisine. Pour les

parents, ça permet de voir dans quelcontexte les enfants ont leurs activités, dia-loguer avec les responsables et avec les autresparents ». Toute l’équipe de la paroisseest désormais mobilisée pour la mani-festation « Le Monde en fête », program-mée le samedi 26 février 2011 augymnase Herzog. C’est une grande fêtequi a lieu tous les deux ou trois ans afinque se rencontrent, se connaissent, seréjouissent ensemble les habitants denotre secteur, de toutes origines, cou-leurs, langues, traditions, et même reli-gions. Rendez-vous est pris !

Driss Abouri, le président de l’association TAWBA, a eu l’honneur de poser la première pierre du centre culturel et cultuel, aux côtés du maire de Bussy.

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

10 Dossier

BUDGET 2010Cours des Comptes, arrêté préfectoral… La hausse des impôts locaux 2010 à Bussy Saint-Georges est devenue ces temps-ci le sujet de tous les débats, de toutes les conversations et, hélas,de toutes les contre-vérités… Bussy serait au bord du gouffre à cause de son endettement, lerecours à l’emprunt en deviendrait impossible, et seule une hausse des impôts de 50 % s’avère-rait être la solution. Qu’en est-il ?

Comment réagissez-vous aux préconisations dela CRC, vous contraignant à une hausse des tauxd’imposition de 50 %

‚ Hugues RONDEAUDepuis 5 ans et plus, nos budgets sont régulièrement soumis à l’avis de laChambre Régionale des Comptes. Cette dernière se contente le plus sou-vent de prendre acte des baisses de dotations et subventions de l’Etat et nepropose, pour seule solution, que de relever la fiscalité et de supprimer desservices aux habitants. Cet état de fait s’est révélé cruellement d’actualitécette année. Le Conseil municipal, par sa séance du 7 septembre, a pro-posé une solution pratique et immédiate aux difficultés financières structu-relles que nous connaissons. Nous avons préconisé, par le biais de ladécision modificative n° 2, un relèvement de l’imposition locale de 8 % parrapport à ce que nous avions voté avant l’été 2010. Ce qui porterait à 20 %l’augmentation de nos impôts locaux. Nous savons, bien évidemment, qu’il

s’agit là d’un sacrifice très difficile pour les Buxangeorgiens. De son côté, laChambre Régionale des Comptes a proposé une augmentation de 50 %de nos impôts locaux. Il serait inique et insupportable d’augmenter de plusde 20 % les impôts locaux en une seule fois, surtout en 2010, où la réces-sion frappe de plein fouet nombre de nos concitoyens. Une augmentation

en finir avec les contre-vérités

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de 50 % des impôts locaux est donc totalement insupportable. C’est pour-quoi, après une rencontre avec le Sous-préfet puis au cours d’une auditiondevant la Chambre Régionale des Comptes, j’ai demandé une fois de plusde prendre en considération nos propositions contenues dans la décisionmodificative n° 2. Dans cette décision modificative, nous reprenons les pro-positions de la CRC dans le chiffrage des charges à caractère général etde personnel. Nous reprenons également le montant de déficit budgétairequ’elle préconise pour 2010. Là où notre proposition diffère, c’est dans lefinancement. La chambre propose une augmentation des impôts locaux de50 % et aucun recours à l’emprunt.

En quoi le recours à l’emprunt est-il essentiel?‚ Hugues RONDEAULa municipalité a très rapidement répondu à la Chambre qu’il existait d’autresmécanismes que de frapper nos concitoyens au portefeuille, et notammentnous autoriser à contracter un emprunt pour l’année 2010. Ce dernier recoursn’a rien à voir avec une aggravation démesurée de la dette – du reste sen-siblement égale à toutes celles des autres villes nouvelles en France – maisavec l’impératif de régler nos dépenses d’investissement en tenant comptede la notion d’amortissement et la nécessité impérieuse de régler ces mêmes

dépenses grâce à des financements adaptés. Il est normal de financer desinvestissements par le recours à l’emprunt. Notre commune, du fait de sonexceptionnelle croissance démographique, a un besoin crucial d’investirdans des équipements collectifs. A de très rares exceptions, aucune ville nepeut financer ses investissements sur fonds propres. La logique budgétaire etcomptable veut que l’investissement soit financé par du crédit long terme.Priver une ville de tout recours à l’emprunt n’a pas de sens. Ces dernièresannées, nous n’avons pu emprunter pour plusieurs raisons : la crise financièremondiale nous a privés de financement bancaire, comme de nombreusesautres villes. Comment, dès lors, évoquer les équipements

C’est la question pri-mordiale. L’État alui-même imposé à

Bussy son statut particulier…Depuis 1985, dans le secteur 3 de Marne-la-Vallée, dit « Val-de-Bussy», Bussy Saint-Georgesest à elle seule support d'agglo-mération nouvelle. Elle a quittéainsi son statut de droitcommun pour devenir uneOpération d’Intérêt National etpermettre, par une urbanisationexceptionnelle, de construire denouveaux logements attenduspar la population d’Ile-de-Franceet de créer des emplois grâce àl’aménagement de zones d’acti-vité économique. Bussy a

assumé cette responsabilité aveccourage et détermination, maisavec également une dépendancecroissante à l’égard des finance-ments de l’État. Dans ce cadre,sa population a plus que décuplédepuis 10 ans, avec une mixitésociale qui fait sa richesse. Elles’est embellie de parcs et de jar-dins, elle accueille des zones d’ac-tivités de premier plan avec desentreprises de renommée inter-nationale et fait du développe-ment durable son mode de vie.Depuis, la ville se voit contrainted’assumer ses obligations statu-taires alors que les dotationsd’Etat ont pour la plupart étésupprimées.

LA QUESTION DU STATUT

HABITANTS POLICE MUNICIPALENOMBRE D’AGENTS

CRÈCHESNOMBRE DE BERCEAUX

NOMBRE DE CENTRE DE LOISIRS

NOMBRE DE GROUPES SCOLAIRES

EQUIPEMENTS SPORTIFS

BUSSY SAINT-GEORGES 20289 42 315 9 9 4

CHAMPS SUR MARNE 24333 Pas de PM 300 10 10 8

TORCY 22117 7 150 6 10 8

CHELLES 51528 35 355 11 17 12

suite p.12

TABLEAU COMPARATIF

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Avec cette croissance exceptionnelle voulue par l’État, la villes’est vue contrainte, et cela est bien sûr positif lorsque les finan-cements suivent, à aller toujours de l’avant, à mettre en place

les infrastructures nécessaires (voiries, espaces verts, crèches, écoles, équi-pements collectifs…), avant même d’avoir les rentrées fiscales des entre-prises et des habitants. Les services d’aide à la population se sont mis enplace, particulièrement performants, pour que Bussy, avec sa gare RER,ne devienne uniquement une ville-dortoir et les zones d’activités ontété aménagées afin que les Buxangeorgiens puissent travailler près dechez eux. Or, que constate-t-on aujourd’hui? Tout d’abord, tous lesfinancements qui accompagnaient cette croissance ont fondu commeneige au soleil avec la disparition de toute une série de subventions:

la subvention d’équilibre, pourtant promise comme pérenne au momentoù Bussy est devenu support unique d’agglomération nouvelle, a été sup-primée en 2007; la dotation globale d’équipement spécifique s’est volati-lisée il y a dix ans, la modification des mécanismes de calcul du Fonds desolidarité de la Région Île-de-France et de la dotation de solidarité urbaineen ont réduit les montants à peau de chagrin. Ce sont plus de 10 millionsd’euros qui se sont ainsi évanouis en 5 ans! La dotation globale de fonc-tionnement n’en finit pas de diminuer, alors que la population augmente,et s’élève aujourd’hui à seulement 187euros par habitant. Toujours du côtédes recettes, les effets de la réforme de la taxe professionnelle, avec la miseen place de la Contribution Économique Territoriale, entraîneront d’oreset déjà un manque à gagner de 1 million d’euros en 2011…

DES DOTATIONS EN PERDITION

qui seraient rendus nécessaires par la croissance de la ville et se désoler deleur absence de financement? Comment peut-on à la fois résorber la dette,ne pas emprunter en suivant les raisonnements de la CRC, et en même temps,rendre possible la construction des édifices que nous attendons, tels que leskate-park, l’école et son centre de loisirs, la salle de spectacle, le stade ouencore les crèches qui nous manquent? Pour cela, je préfère jouer la cartede la vérité avec les Buxangeorgiens et évoquer le fait que depuis 1985 etquels que soient les maires en place, nous ne sommes jamais parvenus - etc’est là bien la faute à notre statut – à générer des fonds propres suffisantspour ne pas avoir recours aux banques afin que surgissent les groupes sco-laires, les centres aérés, la médiathèque, ou encore le conservatoire, quiconstituent une part importante de notre cadre de vie.Plus récemment, nos difficultés financières propres, aggravées par les sai-sines de la CRC, ont conduit les banques à adopter une position frileuseà notre égard. Aujourd’hui, j’appelle les autorités tutélaires a bien vouloirsuivre notre raisonnement afin de ne pas faire peser sur les foyers de notreville une charge disproportionnée, qui n’est que la traduction immédiatedu désengagement de l’Etat et de réformes politiques qui aboutissent à lafaillite des collectivités territoriales. Les Buxangeorgiens n’ont pas à payerde leur poche un développement voulu dès 1985 par l’Etat qui, en nous

érigeant ville nouvelle, affirmait répondre au besoin francilien de loge-ments. J’affirme solennellement que ce n’est pas dans nos poches qu’ilconvient de trouver les sommes qui nous ont été, pendant plus de 20 ans,promises et en partie acquittées, et qui aujourd’hui, sous l’effet de la décon-fiture générale du budget de l’Etat, s’évanouissent.

Suite de l’entretien avec Hugues RONDEAU

UNE DOTATION GLOBALE DE FONCTIONNEMENT EN CHUTE LIBRE

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10 millions d’euros: c’est la facture, à la charge de la ville, du derniergroupe scolaire construit à Bussy.

En quoi le retrait de l’Etat est-il si décisif dansles difficultés financières touchant la ville?

‚ Hugues RONDEAUDans un passé encore récent, nous recevions de l’Etat, chaque année, unesubvention très conséquente, de l’ordre de 3000000€ afin d’équilibrer noscomptes, l’Etat étant parfaitement conscient de notre spécificité d’Opérationd’Intérêt National et des contraintes financières résultant d’une très forte pro-gression démographique. Cette subvention nous était versée par le Secréta-riat Général aux Grandes Opérations d’Urbanisme (SGGOU) du Ministèrede l’Équipement. Ce dernier participait ainsi à l’effort exceptionnel consentipar notre ville en matière de logements. Aujourd’hui, notre croissance démo-graphique continue. Mais l’Etat s’est retiré. Le déficit actuel de notre communereprésente précisément le montant de cette subvention que nous ne recevonsplus de l’Etat. Plus généralement, la question qui se pose pour bon nombrede communes françaises est, au cœur de Marne-la-Vallée, plus crucialequ’ailleurs: comment pallier aux nouvelles issues en matière de dotations d’Etataux collectivités, notamment le gel annoncé de la DGF et la mise en placede la CET, dont la péréquation dessert largement des cités comme Bussy? Aujourd’hui, chacun s’accorde à considérer les villes nouvelles comme ayantatteint l’âge adulte et achevé leur développement, la situation de Bussy pré-sente un caractère cruellement unique. Néanmoins, conscient que cette situa-tion financière ne peut être améliorée sans des mesures particulièrement forteset rigoureuses, que notre collectivité, bien que ville nouvelle, est maintenantjugée comme une commune de droit commun, et que notre population ne peutassumer à elle seule les lourdeurs de notre statut qui lui demeure, j’appelle àune prise de conscience similaire de l’ensemble des acteurs publics concer-nés par le développement buxangeorgien.A l’heure où la Chambre Régionale des Comptes doit statuer sur notre déci-sion modificative, la situation économique et financière de Bussy-Saint -Georges mérite que l'on s'y attache avec sérieux et pragmatisme afin quecette dernière puisse sortir du cercle vicieux actuel. Outre les efforts consen-tis par la commune, le déblocage réel et complet de la situation relève engrande partie de la position des partenaires institutionnels.

Et maintenant?‚ Hugues RONDEAULa municipalité entend demeurer force de proposition et maintient sa postured’ouverture et de collaboration avec les autorités tutélaires en vue de faire émer-ger une solution pérenne et acceptable par tous afin de soutenir le développe-

ment de l’Opération d’Intérêt National. Ainsi, auditionnés récemment par laCRC, nous avons plaidé pour une augmentation progressive de la pression fis-cale, fait état de nos mesures de rigueur dont l’aboutissement naturel sera un plande redressement voté au plus tôt par le conseil municipal dans le cadre du budgetprimitif 2011. Pour le moment, force est de constater que la logique qui nousest imposée, structurée par l’arrêté préfectoral portant à 50% l’augmentation desimpôts, a été tout autre. Face à cela, il ne s’est pas agi pour nous de contesterou même de valider l’avis rendu par la Chambre Régionale des Comptes, maissimplement, de façon pragmatique et responsable, de proposer une approcheprospective du budget qui serait à même d’obtenir notre totale adhésion tant dansson exécution que dans son suivi. Notre volonté s’est bornée à vouloir proposerune approche budgétaire respectueuse des motifs de la Chambre, totalementcompatible avec le fonctionnement de la collectivité et pouvant ainsi être scru-puleusement respecté, sans pour autant contraindre les Buxangeorgiens à unehausse insupportable de l’impôt. Mais je ne veux pas en rester là! S’il devaitêtre maintenu, la ville se tient prête à attaquer en justice l’arrêté du Préfet au motifqu’il la prive de toute faculté d’emprunt, contrairement au principe constitution-nel de liberté des collectivités territoriales: les contrats, signés en toute légalitéavant le dit arrêté pour l’obtention des prêts seraient bafoués et dans quelle situa-tion absurde se trouverait-on si les fonds étaient versés à notre commune?

L’ équipe majoritaire tente detoutes ses forces de réduireau mieux les dépenses et

d’optimiser les recettes. Il nousappartient donc de veiller à jugu-ler nos dépenses, non par des arti-fices politiciens, évoquant teldéplacement, ou tels frais deconseils qui ne constituent qu’unepart extrêmement marginale denotre budget. Mais bien enrevoyant, ensemble, les coûts struc-turant notre budget: les écoles, lescrèches, la police municipale, l’en-tretien et le fonctionnement desbâtiments et de la voirie.Pour tenter de retrouver l’équilibre,du côté des dépenses, l’équipemunicipale manifeste toute sabonne volonté pour participer àl’effort de redressement en propo-sant un budget de rigueur sans pré-cédent, en « réduisant la voilure »pour passer ce cap difficile. Toutd’abord, des dépenses au coût mar-ginal mais symboliques sontréduites, tels la communication(plaquettes, guides, plans sont sup-primés cette année) et l’événemen-tiel (open de golf, salons…). En cequi concerne la masse salariale, lesélus de la majorité ont souhaitéremettre à plat une partie durégime des primes, de façon à lerendre le plus égalitaire possible et

en diminuer l’impact budgétaire.Les exemples de mise en route duplan sont multiples et significatifs.On évitera, sauf exception, de rem-placer un agent qui part en retraite.Chaque cas est bien sûr examinéavec soin. Hugues Rondeau insistepour mettre en avant la conscienceavec laquelle l’ensemble des ser-vices et des employés municipauxà tous niveaux a pris à cœur cetteobligation, maintenant autant quepossible la qualité du service avecmoins d’heures et moins demoyens. Chaque chef de servicepratique à son niveau une «auto-censure » avant de présenter sesprojets d’économies. La totalitédes marchés a été revue à la baisseet chacun d’entre eux a été rené-gocié autant que faire se peut, un comité d’audit fonctionneainsi qu’un comité de reporting,donnant ainsi un sens du travailqui anticipe déjà l’organisationpour 2 011. Ces mesures neconstituent malheureusementqu’une goutte d’eau par rapportau phénomène général de replide l’Etat, sensible par une baissedes dotations, et surtout demainen raison de la difficulté quenous aurons à appréhenderencore une fois la suppression dela taxe professionnelle.

LA MISE EN PLACE D’UN PLAN DE RIGUEUR

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Un budget fidèle à la sociologie de la ville

B ussy Saint-Georges est la seule commune de France à être dotéedu statut spécifique d’agglomération nouvelle. Bien sûr, nous nesommes pas les seuls en ville nouvelle, mais tous les autres sont

constitués en syndicats regroupant plusieurs communes, ce qui signifieavant tout qu’ils partagent les charges au sein d’un syndicat intercom-munal, laquelle structure s’endetteelle-même au profit des collectivitésadhérentes. Du coup, ces dernières,en sus de leur propre dette respec-tive, cumulent de nouveauxemprunts supra-communaux. Or, sil’on veut comparer objectivement, ilfaut bien additionner les deux mon-tants, avant de le comparer à notredette. Et là, les chiffres, une foisconsolidés, sont saisissants, car l’onvoit bien que les communes du sec-teur II de Marne-la-Vallée nousdépassent largement pour ce qui estdes sommes dues à l’État et auxbanques. Plus de 5000€ par habi-

tant pour chacune des villes concernées pour environ 3200€ à Bussy.On pourrait évoquer également le secteur IV, où il est annoncé un endet-tement de 10000€ par habitant pour une dette globale du SAN Val-d’Europe s’élevant à 170 millions d’euros. En somme, quand BussySaint-Georges et ses 23000 habitants comptent une dette de 75millions

d’euros, le secteur IV et ses 28000habitants ont à leur passif 170 mil-lions d’euros de dette. Le fait mérited’autant plus d’être signalé, que nousavons dû faire face à une augmenta-tion exponentielle de la population,conformément aux objectifs quel’Etat nous avait assignés, entraînantun besoin de plus en plus patent enéquipements publics qu’il nous fautbien financer par un moyen ou unautre. La municipalité a fait le choixde l’emprunt, préféré à la pressionfiscale, afin de préserver le dévelop-pement de la ville et de ses habitants.Là est le débat actuel…

Le budget de fonctionnement, c’est celui qui permet d’assurer les services renduspar la mairie à la population: entretien du patrimoine communal, de la voirie etdes équipements sportifs, financement des écoles, soutien aux associations. Il s’ap-

parente à un budget de dépenses courantes à court-terme. Sauf qu’à Bussy, spécificité

structurelle encore, ce budget est deux fois supérieur à la moyenne des villes de 20000habitants. La sociologie de Bussy Saint-Georges, constituée de classe moyenne relati-vement jeune avec souvent des enfants en bas-âge, génère une consommation impor-tante en matière de services. Exemple: la restauration scolaire. A Coulommiers, pour13000 habitants, ce sont 300 élèves qui fréquentent quotidiennement la cantine. Pour24000 habitants, Bussy Saint-Georges devrait donc en compter plus de 500. Or, nousservons 2800 repas par jour! A ce sujet, il faut savoir ainsi que la municipalité n’a jamaisfacturé aux bénéficiaires de ces prestations le coût réel du service. La prise en chargecommunale est une réalité qui ne se dément pas plus aujourd’hui qu’hier. Par exemple,entre ce que la commune paie au prestataire de la restauration scolaire et ce qu’elleperçoit en recettes des familles, le différentiel s’élève quasiment à 2,5millions d’euros!Les chiffres sont là pour le prouver, puisque les recettes des foyers buxangeorgiens s’élè-vent au total à 1million d’euros, alors même que le coût total de ce que la collectivitépaie au prestataire de la concession se chiffre à 3,4 millions d’euros. Le principe estbien entendu valable pour les centres de loisirs. La collectivité ne crée donc aucun béné-fice sur le dos des administrés. C’est même tout le contraire, puisque personne ne paiele prix réel du repas fixé en moyenne à 9,25 euros. Cela signifie que pas un seulenfant sur les 2500 inscrits n’est facturé au coût réel du service. Un simple examende la grille des quotients en témoigne, puisque le repas le plus élevé est facturé à7,19 eurospour les ménages les plus aisés pour un minimum de 2,16 euros pourceux qu’il convient d’aider au maximum. Quant aux centres de loisirs, ils coûtent à lacollectivité 3200000 euros par an et ne « rapportent » que 500000 euros.En réalité, le budget de Bussy Saint-Georges n’a rien d’anormal à partir du momentoù nous comptons près de 335 places de crèches-, l’un des ratios les plus importantsdu département à raison de 10000 euros par berceau-, où nous avons 65000enfants (forfaits jours) accueillis dans les centres de loisirs et 3311 enfants dans les écolesavec 47 ATSEMS! C’est bien la jeunesse extrême de notre ville, et c’est une chance,qui structure le budget communal.

MISE AU POINT SUR LA DETTE

Dossier

2800 enfants fréquentent chaque jour les restaurants scolaires.Un chiffre bien supérieur à bien des villes d’une taille équivalente à Bussy

COMPARATIF ENDETTEMENTS

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Vie municipale 15

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Ce n’est qu’à une courte majorité de six voixque le Sénat a adopté, en juillet dernier, le projet de loi de réforme des collectivi-

tés territoriales (RCT)au terme d’un examen hou-leux. Ainsi, la plupart des articles constitutifs du«volet intercommunal» (hors métropoles) du projetde loi sont désormais stabilisés. Le principal chan-gement auquel nous allons être confrontés est notreintégration obligatoire dans une communauté decommunes ou d’agglomération. En effet, les préfetsont déjà reçu consigne de dessiner la carte de l’in-tercommunalité de leur département pour le1er janvier 2011 pour une mise en application au1er janvier 2012. A cette date, toutes les communesde France seront intégrées dans une communautéde communes ou une communauté d’aggloméra-tion. Et Hugues Rondeau, de commenter: « Au-delà, alors que la réforme territoriale nous pousse àadopter une position sur le sujet, nous voulons faire decette contrainte une chance pour Bussy. Puisque nousne pouvons plus demeurer seuls, la municipalité entendêtre à l’initiative dans ce dossier et proposer aux com-munes, collectivités voisines et établissements parte-naires, un pacte de développement harmonieux etambitieux au bénéfice de Bussy Saint-Georges et deMarne-la-Vallée. L’Etat nous pose un défi, relevons-leet faisons de ce volet territorial la clef de voûte d’unenouvelle identité pour le Val-de-Bussy, alliant crois-sance partagée et développement exemplaire. »Ainsi, la question aujourd’hui n’est pas de savoir sioui ou non nous devons intégrer une intercommu-nalité, mais bien dans quel projet de territoire BussySaint-Georges va devoir s’inscrire. Il s’agit ici d’an-ticiper au mieux et de se positionner dans la cartede l’intercommunalité qui est en train de se dessi-ner, afin d’être un élément moteur d’un projet deterritoire en devenir.Ainsi, une réunion publique aura lieu, le25 novembre, à la Médiathèque de l’Europe,salle Victor-Hugo, à 20h30, afin de débattre surcette question, avec les élus de la ville, des représen-tants des différentes collectivités voisines, Sous-pré-fecture et parlementaires, pour sensibiliser le plusgrand nombre, partager les différents scenarii pos-sibles et participer ensemble à la définition de ceprojet prépondérant pour l’avenir de Bussy.

L’intercommunalité en débatRéunion publique le 25 novembre à 20h30

QU’EST-CE QUE L’INTERCOMMUNALITÉ?L’intercommunalitéest une structure qui permet auxcommunes de se regrouper au sein d’un Etablisse-ment Public de Coopération Intercommunal (EPCI)pour mutualiser certaines prestations (ramassagedes ordures ménagères, assainissement, trans-port,…) et pour élaborer de véritables projets dedéveloppement économique, culturel, d’aménage-ment et d’urbanisme au niveau d’un territoire élargi.Cet EPCI est administré par un conseil communau-taire. Les délégués de chaque commune seront élusen même temps que les conseillers municipaux lorsdes prochaines échéances de 2014.

QU’IMPLIQUE UNE INTÉGRATION DANS UN EPCI?Un transfert de certains services sera réalisé de lacommune vers l'EPCI. Ce transfert de charges peutêtre accompagné d'un transfert de personnel. Il serachiffré et s'opèrera en fonction du domaine de com-pétences de l'EPCI concerné. La structure collecteradirectement certaines taxes, comme la contributionéconomique territoriale (CET, l’ancienne taxe pro-fessionnelle versée par les entreprises), les autresressources fiscales restant en général au bénéficede la commune.

POURQUOI INTÉGRER UN EPCI MAINTENANT?Par obligation. Les objectifs induits par la récenteréforme territoriale, votée en juin dernier, sont l’obli-gation d’intégrer toutes les communes indépen-

dantes comme la nôtre dans un EPCI d’ici 2014.Si la décision n’est pas prise par notre commune,le préfet pourra nous imposer une structure intercom-munale de son choix.Intégrer un EPCI c’est se regrouper pour être plusforts ensemble, plus solidaires, élaborer et conduireensemble des projets communs de développementéconomique et d’aménagement du territoire.Pour évaluer le transfert de charges et le calcul ducoût de ces transferts, une année entière est à consi-dérer pour ce travail.

QUELS CHOIX S’OFFRENT À NOUS?Il faut savoir qu’une commune ne peut intégrer qu’unEPCI ayant une continuité territoriale avec elle. DoncBussy Saint-Georges a, a priori, 5 possibilités: Intégrer la communauté de communes de laBrie Boisée Intégrer la communauté d’agglomérationMarne-et-Gondoire (CAMG) Unir la communauté de communes de la BrieBoisée, la communauté d’agglomération Marne-et-Gondoire (CAMG) et Bussy Saint-Georges pourcréer un nouvel ensemble intercommunal Unir le Secteur III (Bussy Saint-Georges, laCAMG) et le Secteur IV (SAN VAL d’Europe) pourcréer un nouvel ensemble intercommunal Unir le Secteur III (Bussy Saint-Georges, laCAMG), le Secteur IV (SAN VAL d’Europe) et lacommunauté de communes de la Brie Boisée pourcréer un nouvel ensemble intercommunal

PETITS RAPPELS :

RÉUNION PUBLIQUE SUR L’INTERCOMMUNALITÉ, le jeudi 25 novembre à 20h30

à la médiathèque de l’Europe (salle Victor-Hugo)

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Le Sycomore16

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

SYCOMORE :3000 logements et pas plus !

La concertation est un pointessentiel dans la définitiond’un écoquartier. Celui-ci,

pour être « durable », doit répondreaux contraintes du territoire et del’ensemble des ses acteurs. Durantplusieurs mois, suivant les sujetsabordés, différents acteurs se sontmobilisés : les élus de la ville, lesacteurs du territoire (Région,Département, Syndicats de trans-ports, d’assainissement…), les ser-vices de la mairie (technique,urbanisme, social…), les associa-tions et, bien sûr, les Buxangeor-giens. Les grandes thématiquesabondent, en effet, concernant lavie quotidienne dans cette nouvelleopération et dans la ville dans sonensemble: quelle place donner à lanature, aux espaces naturels et àl’agriculture dans ce nouveau quar-tier qui se construira autour de laferme du Génitoy? Quels équipe-ments publics, commerciaux etculturels devrait-on trouver dans cequartier pour ses habitants et tousles Buxangeorgiens pour améliorer

la qualité de vie à Bussy ? Mais,avant tout, il est une question préa-lable, un engagement primordialsur lequel repose tout le reste : lenombre de logements et du tauxd’habitations à loyer modéré. Unequestion essentielle sur laquelle lemaire de Bussy a négocié d’arrache-pied auprès des autorités concer-nées. Résultat ? « J’ai exigé que lafuture ZAC du Sycomore soit plafon-née à 3000 logements, avec un seuilmaximal de 20 % de logementssociaux (habitat étudiant, jeunes tra-vailleurs, personnes âgées.), le toutaccompagné d’une exigence environ-nementale et d’un sceau architectu-ral dans la lignée du caractèrerésidentiel pour lequel je me suisbattu ces 12 dernières années »,affirme Hugues Rondeau. LeConseil municipal, dans sa der-nière réunion, a voté cette décision.Dans le cadre de l’article R. 311-8du Code de l’urbanisme, les élusémettent ainsi un avis défavorableà un programme des équipementspublics du dossier de réalisation de

la ZAC du Sycomore répondant àune programmation supérieure à3000 logements.« L’habitat que je prône pour Bussydemeurera humain, la gestion desZAC se veut responsable et raisonnée,en atteste l’obtention du groupe sco-laire n° 10, qui sera financé à hau-teur de 80 % par l’aménageurpublic, premier équipement du Syco-more obtenu par négoce et premierengagement tenu », poursuit lemaire de Bussy. Nous pesons detout notre poids pour que ce futurquartier soit un plus pour la com-mune, et qu’il soit assumé commeil se doit par l’aménageur. Les dis-cussions sont actuellement encours entre nos deux entités. Il resteeffectivement beaucoup de ques-tions à trancher et nous comptonsne rien lâcher : transports, finance-ment des équipements publics,architecture… » Contrairement àce qui a pu être conclu par le passéavec la ZAC du centre-ville, la villeagit sur ce dossier en amont. Leséquipements publics ne seront

cette fois-ci, par exemple, pasfinancés sur l’endettement de lacommune. L’Etat a déjà promisune enveloppe de 10 millions d’eu-ros, une somme d’ailleurs insuffi-sante au regard des besoins futursin situ. D’autres négociations avecl’aménageur public sur le finance-ment sont donc actuellement encours. « Contrairement à ses dérivespassées, l’EPAMarne semble plusouvert aux réalités du terrain, mais lecas échéant, nous pourrions bloquerl’écoquartier et étendre le parc urbainen lieu et place, conclut le maire deBussy. Nous tentons par tous lesmoyens de rester maîtres de la situa-tion, et ce malgré la pression de l’Etat.Nous avons exigé de la part de l’amé-nageur public la création d’unedeuxième gare RER entre Bussy et Jos-signy, ainsi que des engagements surla construction d’un futur échangeurdu Génitoy, reliant l’A4 au futurquartier. Il y a aussi les thématiquesde liaisons douces, de stationnementqui sont aussi dans la balance et âpre-ment négociés. »

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Vie municipale 17

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Un nouveau local pour leSecours Populaire Français

Deux réunions publiquessur l’étude urbaine du

village et la révision du PLU

L’antenne du SPF de Bussy déménageet s’installe dans de nouveauxlocaux près du RER. Vous pouvez

rencontrer les bénévoles les lundis et vendre-dis de 9h30 à 11h30. Ces permanencesd’accueil permettent de faire connaissanceavec les familles, d’apporter écoute, soutienet aide, de proposer en collaboration avec le

comité du SPF de Noisiel, des colis alimentaires, des vêtements et chaus-sures, des sorties (loisirs, culture, sport), des initiatives telles que fête du livre,braderies… Le Secours Populaire organise également, en collaborationavec la fédération SPF de Seine-et-Marne, des séjours vacances familiales,seniors et colonies pour les enfants.

SPF de Bussy - 4, Passage Carter - Tél : 06 87 53 19 60

Vous pouvez désormaiscapter Canal Coquelicot77 sur le canal 97 de

Numéricâble. La chaîne d’informa-tion de proximité diffuse également ses reportages et magazines sur la vielocale, sur son site internet : www.canalcoquelicot.fr. Depuis la rentrée, lejournal quotidien est un journal tout en images, le 7’ACTU. Il est suivi le lundidu journal des sports, le mardi d’une rencontre avec une personnalité locale,le mercredi du magazine ECoSphère, dédiée à la vie économique et àl’emploi. Le jeudi Iris, le magazine culturel prend le relais et le vendredil’agenda propose une sélection de sorties week-end. Attentive aux préoc-cupations des habitants, la rédaction reste à l’écoute des informations desparticuliers et leurs suggestions de reportages.

CANAL COQUELICOTPlace des Rencontres 77200 TorcyCourriel: [email protected]

L’a s soc i a -t i o nJ'Buss et

le comité de jume-lage israélien orga-nisent des coursd'hébreu modernetous les mercredissoirs de 20 h 30 à22h, dans de nouveaux locaux asso-ciatifs situés juste à côte de la mairieannexe, au 2, passage Carter. Il estencore temps de s’y inscrire! Crééeen 2000, l'association J'Bussregroupe plus d'une centaine defamilles de Bussy et de ses environs.

Ses activités sontmultiples et organi-sées autours de plu-sieurs thèmes :apprentissage del'Hébreu pour lesenfants et adultes,animation dujumelage avec la

ville de Kiryat Ekron, sorties cultu-relles pour les adultes, organisationsd'activités cultuelles…

Pour plus de renseignements, vouspouvez contacter Myriam Rosilio au06 80 34 42 21.Courriel :[email protected]

Dans le cadre de la révision duPlan Local d’Urbanisme,la commune a lancé une

étude urbaine sur le village. L’objectifde cette étude était de permettrel’adaptation du règlement du PlanLocal d’Urbanisme avec des perspec-tives à la fois de préservation et devalorisation du village. Afin de vousprésenter le travail effectué par lesbureaux d’études missionnés, uneréunion sera organisée le mardi16novembre à 20h en salle Victor-Hugo de la Médiathèque de l’Eu-rope.En première partie il vous seraexposé le diagnostic territorial réa-lisé sur la Commune et plus parti-culièrement sur le village et lesgrands enjeux qui en découlent. Endeuxième partie, il vous sera soumisles grandes orientations retenues parles élus. Un débat sera ensuite ouvertafin d’échanger sur ces différentesthématiques.Une seconde réunion est program-mée le mardi 7décembre concernantla révision du Plan Local d’Urba-nisme. La municipalité a en effetengagé, par délibération en date du

2mars 2010, la révision de son PLU.Afin d’échanger avec la populationavant l’arrêt de projet du Plan Locald’Urbanisme, la Commune souhaiteprésenter à la population son Pland’Aménagement et de Développe-ment Durable (PADD). Le PADDest le document central du PLU, il traduit le projet communal pour lesannées à venir et définit les principalesorientations d’urbanisme. Son élabo-ration découle directement desenjeux émis lors de la phase consa-crée au Diagnostic Territorial. Ceséléments vous seront donc présentéslors d’une réunion publique, quiaura lieu le mardi 7décembre à 20hdans l’amphithéâtre du lycée Mau-rice-Rondeau.

Pour plus de renseignements, contactez le service urbanisme au 01646624 24

Un nouveau canal pour la télévision locale

Urbanisme

Les cours d’hébreuont repris à J’Buss !

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Vie municipale

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

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Quel est le rôle duprojet éducatif local?

Il permet la réunionet la concertationde l'ensemble des

acteurs éducatifspublics et associatifsdans le but d'aména-ger, d'équilibrer, de

rendre cohérents les moyens et les actions en direc-tion des enfants et des jeunes de la commune. Plusqu’un outil supplémentaire de l’Etat, le PEL consti-tue un enjeu de première importance, en réunissantl’ensemble des dispositifs contractuels: le Contratéducatif local (CEL), le Contrat local d’accompagne-ment à la scolarité (CLAS), le Programme ville, vie,vacances (VVV), le Contrat enfance/jeunesse (CEJ),l’Accompagnement éducatif (AE), le Programme deréussite éducative (PRE), et des partenaires concer-nés: la DDJS, la Caisse d’allocations familiales(CAF), l’Agence de la cohésion sociale et de l’égalitédes chances (ACSE), l’Inspection d’académie (IA),mais aussi l’ensemble des acteurs de la communautééducative au plan local, autour d’objectifs communsfaisant écho à la notion d’éducation partagée. Un cahier des charges

déjà bien fourniLors des rencontres départementales organiséespar la DDJS de Seine-et-Marne, en partenariatavec la FOCEL et les FRANCAS, sur la mise enœuvre d’un PEL, il a été clairement exprimé parles élus et les coordonnateurs responsables des ser-vices enfance/jeunesse, le souhait d’un accompa-gnement méthodologique pour la mise en œuvrede ces projets.Ce cahier des charges du diagnostic spécifique auPEL est donc un premier outil qui a pour vocationde répondre à cette attente. Il permet dans un pre-mier temps de proposer des repères et des pistes detravail aux acteurs responsables du PEL, qui se trou-vent en situation de diagnostic. Ce cahier descharges soulève un ensemble de questionnementsrecensés sur le département seine-et-marnais quantaux priorités sur lesquelles il est essentiel de s’arrê-ter pour le développement d’un PEL.

Pour réaliser ce document, un groupe de travaildépartemental a été créé. Constitué de plusieurscoordonnateurs PEL du département (Bussy Saint-Georges, Jouarre, Noisiel, Le Mée-sur-Seine, Lési-gny, Savigny-le-Temple et Vaux-le-Pénil), deconseillers techniques et pédagogiques en chargedu suivi territorial de la DDJS de Seine-et-Marneet du Cabinet d’Etudes Socio-Démographiques(CESOD), le groupe s’est réuni à trois reprises entreoctobre et décembre 2009.Le service Jeunesse de la ville de Bussy, en chargede la coordination de ce dispositif, a égalementorganisé une rencontre avec les parents élus AAPE,FCPE et indépendants. Une présentation du dis-positif Projet Educatif Local a ainsi été faite le 15mars 2010, lors de laquelle les parents élus (écolesprimaires, collèges et lycées) ont fait remonter plu-sieurs observations qui serviront dans l’améliora-tion des actions à mener. D’autres réunions etenquêtes auront lieu afin de mieux percevoir leressenti des familles.

Le CEL est mort, vive le PEL ! Le projet éducatif local vise à mettre en œuvre unedémarche éducative en direction des enfants et des jeunes de 6 à 18 ans sur l'ensembledes temps périscolaires et extrascolaires. Il prend acte du caractère partagé de la fonc-tion éducative (parents, institutions, associations).

Le Projet Educatif Local :plus qu’un label, un engagement qualitatif!

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N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Vie municipale 19

Lors du comité de pilotage du 29 mars dernier, les axes de travail et les actionsont été validés.

Les principaux objectifs sont les suivants:

Favoriser l’épanouissement chez l’enfant et le jeune. Favoriser la réussite scolaire. L’apprentissage de la vie sociale. Permettre une meilleure arti-

culation entre les différentstemps de vie de l’enfant.

Favoriser la diversité desmodes d’apprentissage

Permettre l’élargissement de l’horizon culturel et éducatif.

Forte de tous ses éléments constructifs, la ville de Bussy va poursuivre sesdémarches afin de finaliser son diagnostic de territoire dans le cadre de salabellisation dans le dispositif PEL.

C réé en 2000, le CONTRAT LOCAL D’ACCOMPAGNEMENTÀ LA SCOLARITÉ (CLAS) contribue à soutenir, année aprèsannée, et en dehors du temps de l’école, environ 170000

enfants et jeunes dans leur travail personnel scolaire. L’accompagnementà la scolarité a pour mission de favoriser la réussite scolaire des enfantset des jeunes, mais également de renforcer l’implication des parents dansleur rôle éducatif au regard de la scolarité de leurs enfants. Le contratlocal d’accompagnement à la scolarité (CLAS), dispositif unique de l’ac-compagnement à la scolarité, s’adresse aux élèves de l’école primaire,des collèges, des lycées, en priorité dans les zones urbaines sensibleset les réseaux d’éducation prioritaire. Les actions ont lieu en dehors dutemps scolaire. Chaque groupe ne peut excéder 15 participants.Les multiples actions qui ont prouvé depuis quelques années leur effi-cacité : atelier percussions avec Fola percussion, expressions verbaleet vocale avec l’atelier chant et théâtre « La Grande Ourse », expres-sion créative avec des ateliers dessins. Ces activités très enrichissantespour l’ensemble des élèves se déroulent durant la pause méridienneet après les cours.

Contrat local d’accompagnement à la scolarité

Un dispositif qui a déjà fait ses preuves

Du nouveau dans les restaurants scolaires des collèges avec l’Espace Jeunes

L’ équipe de l’Espace Jeunes/FOCEL met enplace quatre actions pour les 11/15 anspendant le temps de la restauration sco-

laire (de 11h45 à 13h30 jusqu’à la fin du moisde juin) sur les trois collèges de la commune deBussy. Quatre modules sont proposés:

AUTOUR DU JEU Développer le lien social par le biais du jeu Amener les jeunes à la réflexion de manièreludique Jeux de rôle, jeux d’équipes, jeux deréflexion, jeux de lettre

ART EN SCÈNE Vivre le plaisir de monter un spectacle Offrir la possibilité de se dépasser Interprétation, photos de scène, représenta-tion éventuelle

« LE SPORT EST UN LIEN SOCIAL » Développer les capacités physiques Valoriser le jeune dans l’effort Favoriser l’entraide, l’échange et le partage Activités proposes: rink hockey, handball,tennis de table…

ATELIER EXPRESSION CORPORELLE Permettre aux jeunes de réaliser leur Choré-graphie Amener les jeunes à créer ensemble Finalité selon le choix des jeunes et du principal Ces ateliers à thème seront proposés en fonctiond’un planning d’intervention sur les différents temps.

Pour plus de renseignements, vous pouvezcontacter le service Jeunesse au 0164666001ou vous rendre sur le site de l’Espace Famille :www.bussy-saint-georges.espace-famille.net

Page 20: Journal de bussy numéro 126

Actuellement implantés dans le 6e arrondissement de Paris, le cabinet SCM AVOCAP a choisi d’étendre ses activités en s’ins-tallant à Bussy, dans des bureaux d’une superficie de 50 m2.

Idéalement située, la ville offre à cette société des perspectives de déve-loppement importantes. Elle souhaitait ainsi se déployer en Seine-et-

Marne, un département au potentiel démographique très intéressant pource cabinet qui traite les différentes spécialités du droit français. L’installa-tion de professions libérales est un plus également pour le territoire et seshabitants, car la demande est forte sur le secteur dans ce domaine. Une piste à explorer de près pour l’avenir…

Vie municipale

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Pourquoi ils ont choisi Bussy?

Situé au quatrième étage du3bis Grand’Place dans deslocaux récemment rénovés,

l’Hôtel d’entreprises porté par lamunicipalité, via l’Agence de Déve-loppement Economique de Bussy(ADE), est désormais en passe d’êtreoccupé à 100 %. Le groupe indus-triel chinois BBCA, spécialisé dansla chimie et la biochimie, ainsi quele cabinet de recrutement de cadresHigh Potential Recruitments’étaient déjà installés ennovembre 2009 sur le premier pla-teau d’environ 250 m2 en tantqu’entreprises nouvelles (premièresociété commerciale en France pourl’un, et nouveau cabinet pour lesecond). «Une première étape impor-tante pour cette structure », note le

maire de Bussy, Hugues Rondeau,qui peut aujourd’hui se réjouir d’unréel succès pour l’occupation de cesbureaux. Quatre autres entités vontainsi bénéficier d’un bail pour inté-grer le second plateau de cet Hôteld’entreprises, sur une superficie dequelque 290 m2. Il s’agit d’un cabi-net d’assistance conseil pour lesparents d’élèves, d’une société deconseils à l’international, d’un cabi-net d’avocats parisien, pour dispo-ser d’une antenne à Bussy, et enfind’une entreprise de conseils et degestion de parcs de voiture dans uneoptique de développement durable.L’installation de professions libéralesest un plus également pour le terri-toire. « Avec une structure comme cetHôtel d’entreprises, notre objectif pre-

mier est d’aider des entreprises ou desauto-entrepreneurs à se développer,leur mettant en quelque sorte le pied àl’étrier, en leur accordant des condi-tions d’accueil favorables », souligneHugues Rondeau. « L’immobilierd’entreprises a subi de plein fouet lacrise internationale, mais on sentactuellement un frémissement indé-niable dans ce domaine, nous laissantespérer une reprise durable », pour-suit le maire de Bussy, qui multipliedepuis de nombreuses années lescontacts afin de promouvoir la villede Bussy aux investisseurs.Force est de constater égalementque les efforts de l’ADE ont portéleurs fruits, puisque l’Hôtel d’en-treprises s’est rempli en quelquesmois seulement. Une différence

notable avec les nombreux m2 debureaux inoccupés autour de lagare RER, qui devraient faireréfléchir promoteurs et autres ser-vices d’EPAMarne, chargés deleur commercialisation. « Quandon offre des locaux adaptés et desconditions d’accueil privilégiées, onparvient plus facilement à attirer desinvestisseurs », constate HuguesRondeau, qui tient à mettre enavant l’expérience des servicesmunicipaux dans ce domaine. Un savoir-faire qui va pouvoir sedémontrer de nouveau à l’avenir,puisque la mise en place d’undeuxième Hôtel d’entreprises estenvisagée dans la ZAC Léonard-de-Vinci, en partenariat avec unpromoteur.

Hôtel d’entreprises3bis Grand’PlaceTéléphone ADE: 0160947263

BBCA, une société chinoise, et HP Recruitment sont installésdepuis quelques mois dansces locaux flambant neufs du3bis Grand’Place.Hôtel d’entreprises :

c’est quasi complet !

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Magazine 21

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Implanté en France depuis 2005, NaturaBrasil n’en finit pas de se développer.Cette marque de beauté a une belle

devise: le bem estar bem. Traduit littérale-ment, le bem estar bem, c’est le bien-être-bien. Natura entend ainsi aiderchacun à cultiver de meilleuresrelations avec soi-même (bien-être), avec les autres, avec lanature, avec le cadre de vie etavec tout l’environnement, jus-qu’à la planète entière…Natura Brasil propose une largegamme de produits destinés aussi bien auxfemmes qu’aux hommes. Julie Lee, uneBuxangeorgienne qui souhaitait se recon-vertir professionnellement, a découvertNatura il y a environ un an. Après avoir suivi

une formation gratuite aux techniques com-merciales, Julie est devenue conseillèreNatura, comme cinq autres habitantes deBussy. Séduite par les valeurs humaines dela société, elle vante désormais la qualité et

les bienfaits de ces produitsnaturels pour la peau. Elle orga-nise d’ailleurs régulièrement desréunions de vente chez des par-ticuliers. Si vous souhaitezdécouvrir la gamme de pro-duits Natura Brasil, n’hésitezdonc pas à la contacter pour

prendre part à ces deux heures de détente,de découverte et de voyage au Brésil. Juliepeut également vous faire un diagnostic depeau afin de vous suggérer les produits lesplus adaptés à votre sensibilité.

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statut de Conseillère Senior et ainsi d’animer une équipe.

DES PROGRAMMES ANNUELS DE FIDÉLISATION Chaque année, les Conseillères Natura qui ont le mieux intégré et dif-

fusé les valeurs de la marque sont récompensées.

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Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter Julie Lee au 0627928975 ou par courriel à [email protected]

Installé depuis 2007 à Bussy, boulevard Antoine-Giroust, Samsara Fleurs s’est forgé une fidèleclientèle, qui apprécie les compositions et autres

bouquets préparés avec soin dans ce magasin defleurs. Ses clients ont aujourd’hui une bonne raisonde se réjouir, car un deuxième magasin vient d’ou-vrir avenue Jacques-Cartier, à quelques encabluresde la place de la Marne. Avec une surface de 87m2,cette boutique offre plus d’espace que sa devancière.Lorsqu’on y pénètre, notre œil est forcément attirépar les splendides orchidées qu’on y trouve, ainsique par la grande variété de roses, dont les fameusesroses Équateur, deux des grandes spécialités de Sam-sara. A noter que, pour célébrer l’ouverture de cetteseconde boutique, Samsara propose actuellementquelques promotions sur certains produits, commeles fameuses orchidées ou les chrysanthèmes avec,

en sus, la livraison gratuite. Inauguré le dimanche10 octobre, Samsara, deuxième du nom, n’attendplus que vous pour assurer la floraison!

Lors de l’inauguration, le dimanche 10 octobre, denombreuses personnes s’étaient déplacées pourdécouvrir ce nouveau magasin.

Samsara ouvre un second magasin à Bussy

Découvrez le bien-être avec Natura Brasil

Samsara Fleurs - 8 av. Jacques-Cartier - Tél.: 0160213200/Fax: 0160213203 - Courriel: [email protected]

Page 22: Journal de bussy numéro 126

Activités sportives

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

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Mois de juillet chargépour 12 jeunesboxeurs français de la

région parisienne, de province etrésidents en Asie qui ont participéau Cambodge à un stage de KunKhmer (Boxe khmère) organisépar la FAMK (Fédération des ArtsMartiaux Khmers). Ce stage étaitencadré par le directeur techniquefédéral et son adjoint, MM. FélixHOUR et SAY, entraîneurs duclub Prodal Boran de Bussy.Conformément au cahier descharges fédéral, au-delà de l'aspectsportif, le Directeur Techniquefédéral, Félix HOUR, a tenu àdonner au stage le tour culturel etpédagogique attendu, afin que lesjeunes pratiquants français décou-vrent les incontournables duCambodge (Angkor Wat, SiamReap, la mer à Sianoukville). Ilsont aussi pu se rendre compte pareux-mêmes du mode et des condi-tions de vie des jeunes sportifscambodgiens en s'entraînant dansles clubs nationaux.

« Ces séances d'entraînement mêlantles stagiaires avec des boxeurs cam-bodgiens, dans les clubs locaux, sonttrès importantes, confie FélixHOUR, responsable du ProdalBoran de Bussy. Même les jeunesFrançais de parents d'origine cam-bodgienne ont pu réaliser par eux-mêmes les différences de conditions

de vie par rapport à la France. L'ex-trême dénuement qu'ils y ont vu amarqué les esprits des stagiaires. »Ce séjour mémorable s'est ter-miné en apothéose par une ren-contre à Phnom Penh, diffusée surle réseau télévisuel national, entresix boxeurs français confirmés(dont deux ont déjà boxé lors de

galas organisés à Bussy) et leurshomologues cambodgiens. Lesjeunes "keilakors" (boxeurs) deBussy seront prochainement invi-tés à participer à une émission devariétés sur une chaîne de télévi-sion cambodgienne. Car au Cam-bodge comme en France, toutfinit par des chansons !Pari largement tenu et réussi pourles responsables du club ProdalBoran en charge de la réalisationde ce stage. Tous attendent impa-tiemment l’été 2011 pour repartirà l’aventure…

Le Prodal Boran en stage au Cambodge

Félix Hour en pleinentraînement face à l’unde ses élèves boxeur.

Au Cambodge, les combats de boxe khmère, sport national, attirent toujoursun nombreux public.

Entraînement matinal à base d’étire-ments et de jeu de jambes dans unparc de Phnom Penh.

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Créé en 2000, le Bussy Basket Club soufflera donc en fanfare cetteannée sa dixième bougie. Depuis sa création, le club a évolué spor-tivement pour devenir l’un des fers de lance du basket seine-et-

marnais. L’équipe Seniors 1 franchit même une nouvelle marche en cettenouvelle saison, puisqu’elle accède au championnat de Promotion d’Ex-cellence Régionale. En 9 saisons, cette équipe est d’ailleurs parvenue à

monter de divisions à six reprises : qui dit mieux? Les autres équipes duclub ne sont pas en reste avec des résultats également à la hausse. Pour lapremière fois dans sa jeune histoire, une équipe cadets a ainsi gagné ledroit de représenter la ville au plan régional, au terme d’un tournoi qui avu s’opposer les 12 meilleures formations de Seine-et-Marne. Les autreséquipes engagées dans les différents championnats départementauxauront à cœur de suivre l’exemple de leurs aînés.Du spectacle en perspective dans les tribunes de Jazy, et peut-être quelquessurprises à la clé…Pour poursuivre sur sa belle lancée, le club recherche des partenaires sou-haitant s’associer à son projet de développement. Si vous êtes intéressés,vous pouvez envoyer un mail à cette adresse : [email protected] saison à tous !

Site web: www.bussybasketclub.com

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23Activités sportives

En pleine forme pour ses 10 ans !Bussy Basket Club

Les cadets évoluent cette saison au niveau régional, une première dansl’histoire du club.

Une nouvelle saison démarre pour Sylvie SAVOYet ses élèvesgymnastes du lycée Martin-Luther-King. Une saison que l’onespère aussi florissante que la précédente. Il sera d’ailleurs

difficile de faire mieux, puisque la dernière a été marquée par deremarquables résultats. Après avoir été championnes départemen-tale et académique, les jeunes filles s’étaient qualifiées pour le cham-pionnat de France UNSS de gymnastique acrobatique, qui avait lieuà Perpignan au mois de mai dernier. « Le niveau était très relevé et ila fallu à ces jeunes filles un mental à toute épreuve, se souvient SylvieSavoy. Quatre académies étaient susceptibles de gagner: Amiens,Créteil, Dijon et surtout la Guadeloupe sur les 15 présentes en finale.Mais mes élèves, portées par une motivation extrême, sont parve-nues s’imposer devant cette forte adversité ». Bravo à Julia SAVOY,Olympe MARECHAL, Céline MINSK, Claire BERTHOMIER, MélèneTORTRAT, Caroline ROGNANT et Anaïs ROTH, pour leur perfor-mance, mais aussi à Anaïs SAGONA, la jeune juge nationale del’association. Reste désormais à faire aussi bien cette année. Ce nesera pas une mince affaire!

Gymnastique acrobatique UNSS

Un titre national à défendre pour Luther-King

La gymnastique acrobatique offre quelques figures assez spectaculaires, à l’instar decette chaîne impressionnante.

Les huit gymnastes ont dignement représenté le lycée Luther-King au championnatde France.

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Tribunes 25

Nos missions:informer, proposer, agir!

La rentrée à Bussy fut loin d’être sereine, aucontraire de ce que titrait le dernier JdB.La majorité s’est fait censurer son budget par

le Préfet, avec pour effet la progression de +50 %du taux des taxes d’habitation et foncier bâti.La Chambre régionale des Comptes a des motsdurs sur la gestion de la Commune (omissions,erreurs graves, insincérité) et pointe la dangerositédes choix budgétaires.Le Maire a beau défendre son bilan et ses montagesfinanciers innovants, ce sont les Buxangeorgiens quivont payer au prix fort l’insuffisance de l’équipe

municipale. L’absence d’anticipation dans la ges-tion génère des coûts qui pourraient être évités(aucune prévision d’investissement permettant decaler l’emprunt et la fiscalité; vidéosurveillance ins-tallée, mais non utilisée, vu un fonctionnementhumain non évalué, etc.).Tout ce gâchis aurait pu être évité si, dès 2004, lamajorité avait accepté avec courage les préconisa-tions de la CRC.Bussy Gagnant a voulu sensibiliser les habitants surcette augmentation afin qu’il y ait une prise deconscience. Auriez-vous eu cette information sansnotre tract? Non. Auriez-vous eu la possibilité dedire stop à la gestion budgétaire calamiteuse sansnotre pétition? Non.

La réaction du Maire à cette situation: un droit deréponse empreint d’autojustification et un courrieraux Buxangeorgiens résumant ce n’est pas moi, c’estla faute aux autres…Il ne s’agit pas ici de politique politicienne: nous avonsdes solutions concrètes pour redresser la situation.L’élan citoyen de notre pétition symbolise l’expressioncollective d’un ras-le-bol des contribuables matraquéspar les impôts locaux, ou encore par les tarifs de can-tines scolaires qui viennent à nouveau d’augmenter.N’hésitez pas à nous rejoindre: nombreux, nousferons bouger Bussy!

Blog : www.yanndubosc.comMail : [email protected]

LE GROUPE « BUSSY GAGNANT »Yann DUBOSC, Nabia PISI, Xuan-Son KOU

LE GROUPE « UNE NOUVELLE QUALITÉ DE VILLE »Aubin-Dominique LENGHAT, Monique CHENOT, Gwenaël FOURRE

Urbanisme : des décisionsqui peuvent changer levisage de notre ville.

L a ZAC du Sycomore est un dossier capi-tal pour l’avenir de notre ville. Ce nou-veau quartier de 10 000 à

15000 habitants, suivant le nombre de loge-ment réalisé, verra l’achèvement de la ville nou-velle. Il est désormais prévu un nombre delogement maximum fixé à 3 000 au lieu des5000 souhaités par l’Etat avec 20 à 30 % delogements sociaux. C’est un doublement dunombre de logement par rapport au projet ini-tial (1 600) mais un progrès par rapport auxobjectifs que l’Etat voulait imposer. Quant aux

logements sociaux, nous restons favorables àleur réalisation à la condition que ces derniersne soient pas concentrés dans un seul quartier.Le choix de la municipalité de privilégier lelogement étudiant nous rassure. Il reste néan-moins que nous n’avons toujours aucunegarantie sur l’engagement financier de l’Etatpour la réalisation des équipements publics dece quartier. Nous avons d’ailleurs demandé quela délibération fasse référence à la motionadoptée à l’unanimité par le conseil enmai 2008 et qui stipulait que la ville s’oppose-rait à la réalisation du quartier du Sycomore siles équipements publics n’étaient pas suffisam-ment financés.Nous avons voté contre la modification du PLUqui conduisait à l’augmentation des limites de

hauteur des immeubles et au renforcement de ladensification dans certains quartiers. Nousconsidérons que le caractère particulier de Bussydoit être préservé.Dernière modification importante aux docu-ments d’urbanisme : la ferme du Génitoy. Ils’agissait de permettre la mise en? uvre du projetde réhabilitation de la ferme du Génitoy, pro-priété de France Pierre qui souhaite en faire unerésidence hôtelière de « luxe ». Notre positionn’a pas variée. Cet équipement aurait du deve-nir un lieu culturel de référence pour notre ville.Pour notre part, nous préférons voir se réaliserun projet de réhabilitation plutôt que de laissernotre patrimoine à l’abandon.

www.bussyenaction.fr

LE GROUPE « BUSSY EN ACTION »Pierre LAFAYE, Christine ARANDA

Le Groupe "Une Nouvelle Qualité de Ville" n'a pas fait parvenir son texte à la Rédaction

Page 26: Journal de bussy numéro 126

Vie pratique

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

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LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONSDE BUSSY SAINT-GEORGESN° 126 - Octobre 2010Réalisation: Service communication, Hôtel de Ville, place de la Mairie, 77600 Bussy Saint-Georges. DIRECTEUR DE LA PUBLICATION: Hugues Rondeau.DIRECTEUR DE LA COMMUNICATION: Florent Perez.RÉDACTEURS: Fabienne de Fromentel, Fabien Jambart, Roman Wu, [email protected]: Stéphane Brame. PHOTOGRAPHES: Thierry Labonne, Muriel Roux, Maud Foldesi, Magali Destobbeleir,Marcel du Soleil,D.R., Tout en photo 0687252300.MAQUETTE, MISE EN PAGE: Eric Stetten, E-Medi@ - 0140802233.IMPRESSION: le Reveil de la Marne.DÉPÔT LÉGAL: Octobre 2010. ISSN: 1284-1978.

CHANGEMENT D’ENSEIGNELE RESTAURANT « L’ASIAN »EST REMPLACÉ PAR L’ORCHIDSpécialités thaïlandaises (buffet à volonté ou carte)+ soirées karaokéHoraires d’ouverture: tous les jours de 12 heures à 14 heures et19h à 22h13, Bd. Pierre-Mendès-France

NOUVELLES INSTALLATIONS

LAURENCE CARRETChirurgien-dentiste75, boulevard Antoine-Giroust - Tél. 0160944102

VINCENT JAUBERTChirurgien-dentiste (Sur rendez-vous)2, place Fulgence-Bienvenüe - Tél. 0164662779

MME FOUBERT BERLETSophrologue à domicileTél.: 0662326169

ANNE TECHEROstéopathe9, Bd Pierre-Mendès-France - Tél.: 0632662411Courriel: [email protected]

ALEXANDRA ADELAÏDEPsychologue spécialisée dans le domaine de l’orientation, du travail et de l’éva-luation psychologique.Bilan d’orientation, bilan professionnel, tests et bilan psychologique, entretienconseils, soutien et suivi psychologique (enfants/adolescents, adultes)Consultation sur rendez-vous2, place Fulgence-BienvenüeTél.: 0625466661 ou 0160359875Courriel: [email protected]

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STÉPHANE DESCROIXPraticienne de Shiatsu et de massage indienMembre de la Fédération Française de Shiatsu traditionnelRééquilibrage énergétique, relaxation profonde, harmonie du corps et de l’esprit20 % de réduction sur votre premier rendez-vousSur rendez-vous au 0680333678 - Courriel: [email protected]

LA RUCHE À FRUITSPrimeur, vente de fruits et légumes, composition decorbeille de fruits pour idées cadeaux8 avenue Paul-Delouvrier (à deux pas de la gare RER)Horaires d’ouverture: du mardi au vendredi de 9hà 14h et de 15h30 à 20h, le samedi de 9h à 20h

et le dimanche de 9h à 13h30 - Tél.: 0160279993

AVS, SERVICES À LA PERSONNEPrestations: ménage, repassage, bricolage et jardinage.Horaires d'accueil: du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 19h9, boulevard Pierre-Mendès-FranceTél.: 0164664433 - Courriel: [email protected]

Page 27: Journal de bussy numéro 126

N° 126 - Octobre 2010Bussy Saint-Georges

Vie pratique 27

LE SERVICE SOCIAL EFFECTUE:Le lundi matin de 9 h 00 à 12 h 00, une permanence sur rendez-vous.Elle sera assurée à tour de rôle par Mme DELASSUS et Mme MOAL, (assistantes sociales).Pour prendre rendez-vous, vous pouvez contacter le secrétariat, Mme TAVERNIER, au 01 69 67 44 04.

CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALESPlus de permanences en mairie.Accueil sans rendez-vous au 4, rue Saint-Hubert à Chelles, du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 14h à 16h30.Tél. 0164724686Permanences à Lognes, lundi, mardi et mercredi de 9h à 11h30 sur rendez-vousau 0164724686

PSYCHOLOGUE POUR ENFANTS ET ADOLESCENTSMelle Binot vous reçoit: mercredi de 9h à 13h et de 14h à 18h, jeudi etvendredi de 14h30 à 18h30 et un samedi par mois de 9h à 13h.Sur rendez-vous uniquement au 0684514242

CONCILIATION – ASLsur rendez-vous uniquement le mercredide 9h30 à 12h30. Tél : 01 64 66 68 16

NOTAIREPermanence notaire le mercredi matin en mairieSur rendez-vous uniquement au 01 64 66 68 16

AVOCATPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 16h à 18h. Sans rendez-vous.Renseignements au 0164662424

AIDE JURIDIQUEUn consultant juridique du CCASen partenariat avec l’AVIMEJ assureune permanence et proposeune information générale sur les droits et obligations.Il vous reçoit sur rendez-vous uniquement auprès du CCAS au 0164666192

EGEE (ENTENTE DES GÉNÉRATIONS POUR L’EMPLOI ET L’ENTREPRISE)Vous avez un projet de reprise d’entreprise, de création d’une structure de typeartisanal, commercial ou industriel,le conseiller de l’association EGEE peut vous accompagner dans votre approche.Sur rendez-vous uniquementau 0164666879

PETITE ENFANCEDes permanences et consultations du Service SantéPetite Enfance (anciennement PMI) vous sont proposéesau Relais Assistante Maternelles (11 rue de la Pyramide)avec Mme Brault, infirmière puéricultrice, sur rendez-vousau 01 64 77 28 85 ou 01 69 67 44 51 ou 52, et/ou le DocteurLe Calvez, sur rendez-vous au 01 64 77 28 85.En cas d'urgence, vous pouvez contacter le secrétariatdu Service Santé Petite Enfance à Noisiel au 01 69 67 4451 ou 52.Consultation de planification par le Docteur Marinier,du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h (ferméau public le mardi après-midi) avec ou sans rendez-vous. Renseignements auprès du secrétariat au 01 69 67 31 68

DES PROFESSIONNELS À VOTRE SERVICE

MÉDECINS GÉNÉRALISTESDr Apithy au 0164667488Dr Blin au 01 45 14 66 00Dr Bachelard-Coppin au 0164660133Dr Hoffmann-Raveloson au 0164668888Dr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Klein au 0164660609Dr Le Bozec au 0145146600Dr Porro au 0164663333Dr Renaud au 0145146600Dr Taïfor-Bencheikh au 01 64 77 59 04Dr Ternon au 0164663333Dr Thao au 01 64 76 67 12Dr Zaghlan au 0164667682Dr Seing au 0164772954MEDECIN MESOTHERAPEUTE Dr Taïfor-Bencheikh au 06 08 78 64 80MÉDECIN ACUPUNCTEURDr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Seing au 0164772954MÉDECIN ALLERGOLOGUEDr Taïfor-Bencheikh au 01 64 77 59 04MÉDECINS HOMÉOPATHESDr Gozlan au 0160176964Dr Hoffmann-Raveloson au 0164668888Dr Ternon au 0164663333MÉDECINS NUTRITIONNISTESDr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Jugie-Rongier au 0164660450CARDIOLOGUESDr Peyrot au 0164764742Dr Lussato au 0164764742Dr Jeunet-Hurreesing au 0164669121ENDOCRINOLOGUEDr Jugie-Rongier au 0164660450CHIROPRATICIENDr Mau Minh Huynh au 01437021 62IRIDOLOGIEM. Khalsi au 06 37 86 45 14NATUROPATHE M. Huygue au 06 07 09 66 17

DENTISTESDr Carret au 0160 94 41 02Dr Dang au 0164660860Dr Dang-Vo au 0164668264Dr Daviaux au 01 64 66 95 95Dr Fourcade au 01 60 21 01 27Dr Jaubert au 01 64 66 27 79Dr Lu au 0164669595Dr Naili au 0164662525Dr Solinhac au 0164662525Dr Vernier au 0164662525

ORTHODONTISTESDr Ho Vo Tuan au 0164661000Dr El Moumi au 0164661000Dr Si au 01 64 77 50 08Dr Ho Bich 01 64 77 25 51

DIÉTÉTICIENNEMme Bertrand au 0164770142

GYNÉCOLOGUES-OBSTÉTRICIENSDr Séguret au 0164668659Dr Barbotin au 0164763737Dr Hozer au 0164660789

MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTESMme Barbé au 0164661012M. Barthos au 0164660036M. Champrobert au 0164660902M. Jacquesson au 0164660036M. Lemaire au 0164661012M. Martin au 01646609309MM. Menigoz et Reichenbach au 0160941284

OSTÉOPATHESM. Coste au 0164660143M. Faverolle au 0164667927M. Khalsi au 06 37 86 45 14M. Lieuré au 01 60 94 13 63M. Martin au 0164660939Mme Rosamond au 06 15 86 40 10Mme Techer au 06 32 66 24 11M. Teissedre-Dalou au 0616303738Mme Trecul au 0164662892

THÉRAPEUTE MANUELM. Morin au 0164660143OPHTALMOLOGISTEDr Bokobza au 0164772279Dr Rabah-Benabbas au 01647749 61ORTHOPHONISTESMme Bertrand au 0164662009Mme Duchaussoy au 0164772428Mme Facundo au 0164668935Mme Grangeard au 0164662009Mme Oudin-Joly au 0164662009Mme Lemaire au 0164668935PÉDIATRESDr Buzot au 0164662716Dr Séguret au 0164664280

PÉDICURES-PODOLOGUESMlle Chardaire au 0160431692M. Dessaux au 0164667862Mme Olier au 0164661484

CENTRE DE RADIOLOGIECentre Galilée au 0164768094

PSYCHOTHÉRAPEUTES, PSYCHOLOGUES, PSYCHANALYSTESMme Adelaïde au 0625466661Mme Antok au 0664009061Mme Aubard au 06 25 04 81 39Mme Auzias au 0683087138Mmes Ferreira & Jouannaud au 0164663399Mme Ferrieu au 0608426201Mme Hidalgo au 0686284143Mme Lachkar au 0663779741Mme Rodier au 0164663069Mme Sirica au 0164775159M. Stecher au 0164660420Mme Truchet au 0603208057

GRAPHOTHÉRAPEUTEMme Sirica au 0668607036

SAGES-FEMMESMme Jacobee et Mme Bret au 0164662283Mme Aliénor Nestile au 0164 771374

ORTHOPTISTEMme Anne-Lise Munch au 0673611446

INFIRMIÈR(E) SMme Corneil et Mme Vesseronau 0164661731Mme Dozias-Maerte, Mme Dhouadiet Mme Publier au 0164661133Bussy Soins Infirmiers au 0164660577Mmes Ajzenberg et Pietrobon au 01 64 66 42 46

VÉTÉRINAIRESDr Leroux au 0164668484Dr Lacaze-Masmonteil au 0164668484

PHARMACIESPharmacie Ancel au 0164772950Pharmacie de la Croix Saint-Georgesau 0164661796Pharmacie de la Gare au 0164669007Pharmacie Thibaut au 0164668569Pharmacie O Vert au 01 64 76 30 82Pharmacie du RER au 0164669084

LABORATOIRES D’ANALYSES MÉDICALESDr Harrabi au 0164662727Dr Rostoker au 0164772121

RELAXOLOGUEMlle Stéphanie Baudouin au 06 43 93 50 65Mme Fayada au 0164763117M. Luchez au 0954772224

SOPHROLOGUESM. Degrincourt au 0671757416Mme Foubert Berlet au 0662326169

ENERGÉTIQUE TRADITIONNELLECHINOISEM. Baldin au 0164661279Mme Meyer au 0660588050

PROFESSIONS MÉDICALES - PARA-MÉDICALES - BIEN-ÊTRE

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