Jean Baptiste Del Amo, Règne animal · 2016-11-25 · Jean Baptiste Del Amo, Règne animal « Une...

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Jean Baptiste Del Amo, Règne animal « Une fresque puissante, où le sort d'une famille d'éleveurs reflète la violence qui imprègne nos vies. », Télérama « Une œuvre littéraire qui convoque l’essentiel : la vie et la mort. Règne animal témoigne de ce que peut être la puissance de la littérature pour dire le monde. », Unidivers.fr Lauréat du « Premier prix de la rentrée littéraire 2016 » Lauréat du « Prix des libraires de Nancy » Règne animal retrace, du début à la fin du vingtième siècle, l’histoire d’une exploitation familiale vouée à devenir un élevage porcin. Dans cet environnement dominé par l’omniprésence des animaux, cinq générations traversent le cataclysme d’une guerre, les désastres économiques et le surgissement de la violence industrielle, reflet d’une violence ancestrale. Seuls territoires d’enchantement, l'enfance – celle d’Éléonore, la matriarche, celle de Jérôme, le dernier de la lignée – et l’incorruptible liberté des bêtes parviendront-elles à former un rempart contre la folie des hommes? Règne animal est un grand roman sur la dérive d’une humanité acharnée à dominer la nature, et qui dans ce combat sans pitié révèle toute sa sauvagerie – et toute sa misère.

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Jean Baptiste Del Amo, Règne animal

« Une fresque puissante, où le sort d'une famille d'éleveursreflète la violence qui imprègne nos vies. », Télérama

« Une œuvre littéraire qui convoque l’essentiel : la vie et la

mort. Règne animal témoigne de ce que peut être la puissance

de la littérature pour dire le monde. », Unidivers.fr

Lauréat du « Premier prix de la rentrée littéraire 2016 »

Lauréat du « Prix des libraires de Nancy »

Règne animal retrace, du début à la fin du vingtièmesiècle, l’histoire d’une exploitation familiale vouée àdevenir un élevage porcin. Dans cet environnement

dominé par l’omniprésence des animaux, cinqgénérations traversent le cataclysme d’une guerre, les

désastres économiques et le surgissement de laviolence industrielle, reflet d’une violence ancestrale.

Seuls territoires d’enchantement, l'enfance – celled’Éléonore, la matriarche, celle de Jérôme, le dernier de

la lignée – et l’incorruptible liberté des bêtesparviendront-elles à former un rempart contre la folie

des hommes? Règne animal est un grand roman sur la dérive d’une

humanité acharnée à dominer la nature, et qui dans cecombat sans pitié révèle toute sa sauvagerie – et toute

sa misère.

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La presse en parle

« Si le dernier roman de Metin Arditi semble particulièrement réussi, c’est peut-être parce que l’auteur y fait une synthèse heureuse entre sa formation scientifique – la physique fut, avant les affaires, son premier

amour – et son parcours, actuel, en littérature. » - Le Temps

« Derrière l'allure d'un feelgood book, le nouveau roman de Metin Arditi, L'enfant qui mesurait le monde, pétille d'intelligence et de sensibilité. » -Le Figaro

« L'enfant qui mesurait le monde, de Metin Arditi : une fable émouvante autour d'un jeune autiste »

-CultureBox

« Un bel hommage à la Grèce et des personnages attachants. Yannis, enfant autiste,rassuré par les chiffres qu'il mémorise et collectionne chaque jour, restaurantensuite l'ordre du monde avec des pliages plus ou moins élaborés. Maraki sa mère,

qu'il attend à dix heures, quand elle a fini la pêche, et Eliot l'architecte américain,venu sur l'île où sa fille Evridiki est morte il y a des années.

Ce trio cabossé par la vie va pourtant avancer ...Un roman original, une belle découverte. » -Babelio (critique de lecteur)

« Il y a longtemps que je voulais lire Metin Arditi , suite à beaucoup d'articles élogieux sur ses livres. Manifestement, je n'ai pas choisi le bon titre, parce que je m'y ennuie ferme. Les personnages sont

intéressants, les paysages itou, mais le tout traîne en longueurs... le romancier tourne en rond et fait tourner ses héros de la même manière -ce qui est fort logique, me direz-vous car tourner en carré, ce n'est guère aisé. Je ne parviens pas à m'intéresser aux vies décrites, ni aux relations entre les protagonistes, ni

au pays et aux modes de vie, ni même à l'écriture de Metin Arditi que je trouve classique -pour ne pas direbanale-, sans profondeur. Rien, absolument rien ne me retient dans cet ouvrage. Dommage, mais je n'ai

pas dit mon dernier mot avec cet auteur. » -Babelio (critique de lecteur)

À Kalamaki, île grecque dévastée par la crise, troispersonnages vivent l’un près de l’autre, chacunperdu au fond de sa solitude. Le petit Yannis, murédans son silence, mesure mille choses, compare leschiffres à ceux de la veille et calcule l’ordre dumonde. Maraki, sa mère, se lève aux aurores etgagne sa vie en pêchant à la palangre. Eliot,architecte retraité qui a perdu sa fille, poursuitl’étude qu’elle avait entreprise, parcourt la Grèce àla recherche du Nombre d’Or, raconte à Yannis lesgrands mythes de l’Antiquité, la vie des dieux, leurspassions et leurs forfaits... Un projet d’hôtel vamettre la population en émoi. Ne vaudrait-il pasmieux construire une école, sorte de phalanstère quiréunirait de brillants sujets et les préparerait àdiriger le monde ?Lequel des deux projets l’emportera ? Alors quel’île s’interroge sur le choix à faire, d’autresrapports se dessinent entre ces trois personnages,grâce à l’amitié bouleversante qui s’installe entrel’enfant autiste et l’homme vieillissant.

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Quatrième de couverture :

La presse en parle :

« Avec finesse et acuité, Laurent Mauvignier explore les liens - la tendresse impossible et lescolères rentrées - entre Sybille et son fils Samuel, qu'elle a emmené dans les montagnes duKirghizstan. »

Camille Thomine, le magazine littéraire, septembre 2016

« Une mère et son fils entament un voyage au Kirghizistan. Une magnifique expédition intime, »

Mohamed Aïssaoui, Le Figaro, 8 septembre 2016

« Dans Continuer, Laurent Mauvignier entraîne une mère et son fils en rupture dans le lointainKirghizistan. Un roman entre intimiste et aventure qui s’affirme comme une œuvre politique. »

Christophe Kantcheff, Politis, 8 septembre 2016

« Chevauchée de la dernière chance pour une femme et son ado paumé dans la splendeursauvage des montagnes kirghizes. Epoustouflant. »

Télérama, septembre 2016

Les lecteurs en parlent :

« L'ado n'a pas d'envie. Ces grands espaces paraissent ne pas le toucher. Et pourtant, nous aussi voulons continuer, ne pas abandonner cette femmequi navigue entre l'héroïsme et la démence. »

Babelio

« Un livre magistral ! »

Babelio

Sibylle, à qui la jeunesse promettait un avenir brillant,a vu sa vie se défaire sous ses yeux. Comment en est-elle arrivée là ? Comment a-t-elle pu laisser passer sa vie sans elle ? Si elle pense avoir tout raté jusqu’à aujourd’hui, elleest décidée à empêcher son fils, Samuel, de sombrer sans rien tenter.Elle a ce projet fou de partir plusieurs mois avec lui àcheval dans les montagnes du Kirghizistan, afin desauver ce fils qu’elle perd chaque jour davantage, etpour retrouver, peut-être, le fil de sa propre histoire.

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Cannibales

4 ème de couverture :

Critiques :

Dans la presse : Le Figaro :Ce roman épistolaire, Cannibales, est une sorte de Liaisons dangereuses déglinguées où la Merteuil etla Tourvel voudraient bouffer Valmont.

Bibliobs :A mi-chemin entre « les Liaisons dangereuses » et « le Silence des agneaux », ce roman, qui réconciliela Marquise de Merteuil et Hannibal Lecter, est savoureux de férocité, onctueux et préciosité […] etdélicieux d'absurdité.

Des lecteurs :Sur « Babelio » :

- J'aime beaucoup les romans épistolaires donc j'ai tout de suite accroché avec ce livre.On se retrouve au milieu d'une "guéguerre" familiale, entre la mère, le fils et l'ex du fils. Tout lemonde s'aime, se déteste, fait des complots de meurtre, est schizophrène,...tout y passe. C'est lapremière fois que je lis un livre dont le sujet de la séparation d'un couple est abordé de cette façon. Cen'est pas la séparation qui dérange Noémie (qui en est d'ailleurs l'auteur) mais le fait que Geoffroy (de30 ans son aîné) n'ait jamais essayé de la reconquérir, le fait qu'il accepte si facilement d'être congédié.

- Si le résumé était prometteur, j'ai été un peu déçue par ce nouveau roman de Régis Jauffret.Dans un premier temps il est vrai que les échanges entre Noémie et Jeanne sont jouissifs. Levocabulaire est fleuri, la phrase claquante, le verbe cru. Mais très vite on s'ennuie. L'intrigue, qui partcomme un boulet de canon, s'essouffle très vite et traîne en longueur sur des lettres beaucoup tropétirées. Dommage.

Noémie est une artiste-peintre de vingt-quatre ans. Elle vient derompre avec un architecte de près de trente ans son aîné aveclequel elle a eu une liaison de quelques mois. Le roman débute parune lettre adressée par Noémie à la mère de cet homme : elle s’yexcuse d’avoir rompu. Une correspondance s’amorce alors ets’affermit entre les deux femmes, qui finissent par nouer des liensdiaboliques et projeter de se débarrasser du fils et ex-amant. Ellesimaginent même de le dévorer cuit à la broche au cours d’uninfernal banquet. En réalité, ce roman parle d’amour. Les deuxfemmes sont des amoureuses passionnées. La vieille dame a appeléson fils du nom du seul homme qu’elle ait jamais aimé, et qui estmort accidentellement avant leur mariage. Noémie, elle, est une« collectionneuse d’histoires d’amour », toujours à la recherche del’idéal. Au fil des lettres que, de son côté, il échange avec les deuxprotagonistes, le fils et ex-fiancé exprime toute la passion qu’iléprouve toujours pour Noémie. Un roman d’amour épistolaire,donc, dans la plus belle tradition du genre.

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Présentation de l'éditeur

Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants,décide malgré les réticences de son mari dereprendre son activité au sein d'un cabinetd'avocats, le couple se met à la recherched'une nounou. Après un casting sévère, ilsengagent Louise, qui conquiert très vitel'affection des enfants et occupeprogressivement une place centrale dans lefoyer. Peu à peu le piège de la dépendancemutuelle va se refermer, jusqu'au drame. À travers la description précise du jeunecouple et celle du personnage fascinant etmystérieux de la nounou, c'est notre époquequi se révèle, avec sa conception de l'amour etde l'éducation, des rapports de domination etd'argent, des préjugés de classe ou de culture.Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, oùpercent des éclats de poésie ténébreuse,instaure dès les premières pages un suspenseenvoûtant.

La presse en parle :

RTLC'est le titre le plus trompeur, le plus pervers de cette rentrée. Chanson douce, deuxième livre de la jeune ettalentueuse romancière Leïla Slimani, n'a rien à voir avec une comptine ou une berceuse. Il y a pourtant bien unenourrice dans ce roman publié chez Gallimard. Apparemment idéale, Louise, va tuer les deux enfants du couple quil'emploie. Le plus fort, c'est que l'écrivaine raconte ce double infanticide dès le début du livre, avant de remonter lefil du temps et de révéler comment elle en est arrivée là. Chanson douce est la lecture la plus terrifiante et la plusensorcelante du moment, à l'écriture aussi tranchante et froide que la lame d'un couteau.

ParisMatch Dans une «Chanson douce», Leila Slimani raconte comment l’influence malsaine d’une nourrice va finir pardétruire une famille. Un roman aussi saisissant qu’audacieux.

Babelio ( avis d'une lectrice)

La scène inaugurale décrit un tableau aussi horrible qu'irréparable digne des meilleurs scénarios de films d'horreur,en totale contradiction avec le titre du roman qui laisse présager une paisible histoire. Dans les chapitres suivants,Leïla Slimani dévoile l'implacable chronologie des événements qui ont abouti à cet épilogue.

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MAGYD CHERFI

C’est l’année du baccalauréat pour Magyd, petit Beur de la rue Raphaël, quartiers nord de Toulouse. Une formalité pour les Français, unévénement sis mi que pour l’“indigène”. Pensez donc, le premier bac arabe de la cité. Le bout d’untunnel, l’apogée d’un long bras de fer avec la fatalité, sous l’incessante pression énamourée de latoute-puissante mère et les quolibets goguenards de la bande. Parce qu’il ne fait pas bon passer pourun “intello” après l’école, dans la périphérie du “vivre ensemble” – Magyd et ses inséparables, Samirle militant et Momo l’artiste de la tchatche, en font l’expérience au quotidien.Entre soutien scolaire aux plus jeunes et soutien moral aux filles cadenassées, une génération joue lesgrands frères et les ambassadeurs entre familles et société, tout en se cherchant des perspectivesd’avenir exaltantes. Avec en fond sonore les rumeurs accompagnant l’arrivée au pouvoir deMitterrand, cette chronique pas dupe d’un triomphe annoncé à l’arrière-goût doux-amer capture unrendez-vous manqué, celui de la France et de ses banlieues.Avec gravité et autodérision, Ma part de Gaulois raconte les chantiers permanents de l’identité et lesimpasses de la république. Souvenir vif et brûlant d’une réalité qui persiste, boite, bégaie, incarné parune voix unique, énergie et lucidité intactes. Mix solaire de rage et de jubilation, Magyd Cherfi est ceproduit made in France authentique et hors normes : nos quatre vérités à lui tout seul !

«Ce roman est pour moi une grande déception [...]Jedirais même que j'ai été gênée par la hargne et laviolence qui ont jailli de cette lecture [...] L'idée dedépart est pourtant bonne: raconter comment, lui, petitbeur des quartiers Nord de Toulouse, tabassé parce qu'iltravaille bien à l'école, réussit malgré tout à obtenir sonbac, tout en cultivant son goût pour l'écriture de poèmeset de pièces de théâtre, puis à devenir célèbre enintégrant un groupe de musique connu (Zebda). […] » -Critique de lecteur Babelio

«Un récit passionnant, à la fois drôle et grave. Dans celivre il y a de l’autodérision, mais il y aussi une très belleréflexion sur la France, la langue, le désordre desidentités, les banlieues, le lien social, le violences faitesaux femmes. Tout le monde, je dis bien tout le mondedevrait lire ce livre ! » - François Busnel,La GrandeLibrairie, France 5

« Sans angélisme mais non sans humour, Magyd Cherfiraconte ce quartier de Toulouse où il sera le premier filsd'immigré maghrébin à décrocher le bac. ll ne cache rien

[...] Surtout, Magyd Cherfi écrit du même coup unehistoire politique française des années 1980,vue depuisune cité. » - Les inrockuptibles