VOTEZ ET FAITES VOTER LISTE D'UNION POUR UNE GESTION SOCIALE

MODERNE DEMOCRATIQUE CONDUITE PAR Philippe GIOVANNINI , présenté por le Parti Communiste Françâis.

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MUNICIPALES 71 23

ANS AU

SERVICE DE LA

POPULATION SEYNOISE

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.GANE ~ la SE CTION du CNlM c!u PARTI COMMUNIST

FEVRIER 71 N~ 20

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L 1ENJEU DES ELECTIONS MUNICIPALES

CHERS AMIS,CHERS CAMARADES,

Dans quelques jours vont se dérouler les élections municipales.

Comme dans res 38.000 communes de France, les électrices et les électeurs · seynais sont appel és à se rendre au x urnes pour renouveler leur conseil munidpal.

Il s'agira,bien sûr,de se prononcer sur le résultat de la gestion municipale, ·et à ce su­jet,nous pensons que les pages qui suivent,comme l'e xposition qui s'est déroulée à !'Hôtel de Ville ,permettron t,s i cela était nécessaire,à chacune e t à chacun d'entre vous,de mesurer,à la fois, l'ampleur du chemin parcouru ainsi que les perspectives qui s 'affirment sur la base de pro­jets déjà réalisés ..

Mais il ne fait aucun doute qu'au-delà des problèmes locaux et en étroite liaison avec eux, le scrutin du · 14 mars aura une haute signification politique,car élire de bons administra­teurs communaux, et se prononcer pour une politique nationale de progrès démocratiques et so­ciaux, sont deux é lémen ts indissociables d'une bonne gestion municipale.

En vé rité, à La Seyne, comme ai lleurs,quel que soit le nombre de listes en présence,l 'en­jeu est le même.

En effet : D'un côté de ce lui de la majorité UDR centriste et autres réactionnaires , il s'agit de

permettre au x grands monopoles capita listes qui se sont rendus maîtres de l'éc onomie nationale, de faire main basse sur les communes de France dont les budgets e t les dépenses d'équipement sont loin d'être négligeables.

Et il s'agit,en même temps,pour le pouvoir,de rallier un nombre important de suffra ges sous le couvert de l'apol itisme pour ensui te les présenter comme un soutien à sa politique anti­soci ale et l'utiliser pour sa poursuite et son aggravation.

De l'autr e côté, du côté de notre Parti Communiste, c'est-à-dire, du côté des intérêts de la population laborieus e , l'objectif est tout autre.li s'agit pour nous de mettre e n échec ces visées réactionnaires,de condamne r cette politique dont sont victime s, à des degrés divers,toutes les couches de lo population lab orieuse, de renforcer nos positions dans les municipalit és que nous dirigeons co mme celle de Lo Seyne,pour y pour suivre une bonne gestion et l'am éliorer encor e, de gagner à la démocratie de nouvelles communes et faire,en sor te,que les é lections municipal es se traduisent par un succ ès de la politique d'union du Parti Communiste Français pour la démocratie e t pour le socia lisme .

C'est dans cet esprit et en fonction de l'inju ste scrutin bloqué, que le Parti Communiste Français a propos é à Lo Seyne,comme dans toutes les v illes de Fran ce de plusde30.000habi­tant s, la co nstitution,dès le 1er tour,d'une liste d'union de toutes les forces de gauche sur lo base de la représentation de choque formation.

Nous nous réjouissons,qu'à ce jour,de telles unions se sont réalis ées dans 112 grandes villes de Fronce,dont celles de Toulon et de Hyères.Ces unions,beoucoup plusnombreusesqu'en 1965,su sc itent un enthousiasme légiti me parmi les travailleur s e t les démocrates de not re pays; e l les contribueront, nous en sommes certains à de nouveaux e t importants progrès de la démo -cratie.

Nous devons, hé los, regr e tt er, que malgré tous nos efforts unitaires et nos propositions con­crè tes, la sec ti on soc ialist e seynoise ait refusé de faire une liste d'union de la gauche unie dons notre commune.

Comme vous le savez,ce n'est qu 'au dernier moment et après avoir utilisé toutes les possibilités d'y porvenir,que nous avons constitoé notr e liste "p our une gestion socia le moderne et démocratique" et que nous l'a vons large ment ouverte,comme chaque ann ée et plus encore,à

3

de nombreux autres démocrates croyants et non croyants. Nous poursuivrons dans ce tte voie, en continuant à réaffirmer notre volonté d'élections municipales à la proportionnelle ainsi qu'en constituant des commissions extra municipales,qui,aux côtés de nos élus,aideront à une gestion toujours plus démocratique de notre commune.

La liste que le Parti Communiste Françoi s présente à La Seyne est donc, malgré tout ,une liste de large union qui est restée ouverte jusqu'au dernier moment à tous les démocrates sey­nois et sur loque lie ont eu la possibilité de se présenter toutes les forces et les formolions clai­rement opposées à la politique anti-sociale du pouvoir et qui veulent,avec nous, administrer, démocratiquement, les offoires communales dans l'intérêt de La Seyne et de so population lobo­r,euse.

Nou s poursuivrons no; efforts unitaires, cor ils sont la solution de tous changements fon­damen taux dons notre poys. Nous saluons les nombreux socialistes et sympathisants socialistes de toutes familles qui ont déjà donné leur nom pour le soutien de lo liste d'union conduit por notre camarade Philippe GIOVANNINl,et nous tendons une main fraternelle à tous les démo­crates qui,comme nous ,aiment profondément La Seyne,à porticiper,à nos côtés,ou succès de lo démocratie.Pas une seule voix,pos une seule bonne volonté,pos un seul démocrate,ni un seu l républicain croyant ou non croyant, rie doivent. être, un seul instant, en dehors . du grand et du véritable combat qui est actuellement en cours contre lo gauche et la droite,entre les intérêts du peuple et ceux du copitol,entre une gestion sociale moderne et démocratique et une ges tion rétrograde soumise ou pouvoir.

Ainsi quel que soit le nombre de listes, la situation à La Seyne est clair e : i I y a d'un côté la gauche représentée par la liste d'union pour une gestion sociale moderne et démocrati­que conduite par notre camarade Philippe GIOVANNINl,maire sortant,et de l'autre tous ceux qui n 'o nt pas voulu se situer à gauche et qui,plus ou moins consciemment,participent à l' of ­fensive de lo droite contre l'actuelle gestion démocratique de notre Cité.Le corps et l'espritde ce tte offensive est la liste NICOLI qui groupe, en son sein, tous les éléments les plus réaction -noires de notre ville des totalitaires de l'UDR au fascjste de Tixier VIGNANCOURT en passant par les O.A.S. de SOUSTELLE. . .

11 ne nous appartient pas de juger les candidats des différent es listes opposées à lo mv­nicipalité sortante,mois une brève analyse vous permettra de constater qu'aucun ne s'est jamais manifesté dons aucune lutt e, que ce soit pour lo démocratie, pour la défense de liberté ou pour la Paix, pos plus que pour le progrès social, la défense de l'emploi de lo lal 'ci té ou de l ' intérêt communal.

Le seu l cho ix qui s'offre aux travailleurs des C.N.I.M. et à la population labori euse seynoise se situe entre le maintien d'une équipe municipale sortante, rajeunie et renforcée, qui a fo it la preuve de sa haute compétenc ·e administrative, de son dévouement à la défense des in­térêts de la population,de son amour de notre cité et frayer la voie à une co aliti on conduite par H.NICOLI dont le seul objectif commun clair~ment avoué est "de tair e cert aines diver­gences à l'occasion des é lectio ns municipales et qu e toutes les tendances se rassemblent, dans ce but unique: enlever au Parti Communiste la mairie de La Seyne" (paru dans le bulletin imprimé "La Seyne démocrate" d'avri 1 1970 .) .

Quel intérêt les travailleurs ouroient-ils à voter co ntre la municipalité sort ante; Quel­les perspect ives offrirait une tell e éventualité ?

Les seyno ises et les seynois bénéf icient depuis 25 ans d'une municipalité démocratique qui a su transformer la petite ville seynoise d'alors cons idérée avec dédain et ironie par les communes voisines en cette grande ville sociole,industrielle,touristique et moderne que nous connaissons aujourd'hui et qui ne suscite plus le dédain,mois ou contraire l'envie.

Le choi x se situera donc aussi entre le sér ieux et le concret que nous possédons e t l'a­venture que nous propose l'équipe N ICOLI, entre le maintien et lo poursuite de ces vastes réa ­lisati ons, et le retour au passé dont Lo Seyne a trop souffer t e t dont souffrent en core beaucoup de communes de notre déportement et de notr.e Poys qui aspireraient bien à bén_éfic ier d'une te lle municipalit é que lo nôtre.

Nous sommes certai ns que le choix des trovoi lleurs des C.N.I.M. et de lo population seynoise est déjà foit et que le 14 MARS,ils é liron t ,mossivemen t,l o liste d'union "pour une ges tion sociole,modern e et démocratiqu e " conduite por Philip pe GIOVANN INl , po ur le succès de lo gauche, pour lo souv egorde des réoli soti ons seyn oises e t le développem ent, pour lo rec on ­noi sson ce de l 'honnê te e t le tri omphe de lo démocrat ie.

4

Luci en CONAC Sec ré taire de la section au CNIM du

Parti Communiste Fronçais.

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EN 1947, 26.172 hahltnnts (a vec St-Mnndrlcr qui faisait en • core partie de La Seyne)

or ès de 50 .000 ac tuellement. Deux chif fre s qui donnent it

réfléc hir. Pour une période d e 26 ans allant de 1921 à 1947 la population scvnolse n'a aultlllen • té que de 3.000 habitant s.

De 1947 ü 1970 d ie a presque doublé. Cc n'est pas par ha sard.

A ce propos, rappelons qu'u n des thèmes des adversaires d" la municipalité, lors des campa cne11 électorales municipale s éta it : « La municipalité co111 munlste fait peur, elle fait fui, les gens ». Un ar1tument • s é . rleux » comme on peut le con s­tater, sér ieux comme la pluparl des argun 1cnt s que ces ad versal res ont voulu utiliser contre J.i municipalité et que la popula 1 ion, elle, dans sa c:randc nrn loril é, n'a pas pris au séricu· car elle iuc:e sur pièces. En 1947 tout était à faire

Oui. cc n'e s t pas par hasar ,I s i le chiffre de la populnti o :i sevnois e a presque d oub lé d-~­ouis que la gestion de la vil-le a ét é confiée à une munici· pallié d 'union démocratique à direction conmmnls te.

Sa ns doute est-D nécessaire lie r .-,pp clcr pour les Seyno ls ayant moins de 30 an s , et · pour ceux Qui on1 choisi de venir d·~meu­rer dans notre ville Il y a peu de tem ps , cc qu'était La Seyne 1:n 1947.

Une ville, certes, sinistrée à 60 pour cent du fait de la guer• rc. mals aussi wi c ville très en rel ard clans son équhJcm•~nt.

Qu'on en iu ge : L'a limentation { ' Il eau était

très Insuffisante et rare é taient les loc:emcnts aya nt l 'eau à l'évier. L'été l'eau manquait aux fontaines dans les quartiers du littoral. aux Sablet tes et à Fa­bréc:as not amme nt, qui de cc fai t ne pouvai ent prétendre rivaliser a\'ec d'autres pla i:es du litt ora l varois .

L 'assa ini sseme nt ! On en par • lait depuis des décades. mais rien n'e xis ta it.

Les œ uvres socia les étai ent inexis tant es, les personnes âgées n'étaient pas secourues. la 1Jr o­tcction mat cnll.!lle et infantile était inconnue, de même que les i:;1rclcrics d'enfant s , crèches et Jardins. Il n'y avait pas de cen· 1 rc médico • socia l ni de cen -1 rc médico . scolair e ou médic n­spo rtif ; pas d'école de plein air, ni de gymnastiqu e corre c­tive ; pas de maison de vacan­ces pour les aac icns ni de cen· t rcs de vacances en Is ère. Sur le plan du loc:emen t pas un seuJ loc:ement HLM cl évidem m ent pas d'orr1cc HL:\1.

L'équip em ent s1>ortif se limi• tait à un n1auvai s terra in de footba ll à la Canourgue et à celui du stade V. Marquet qui se tr ansformait en marécac:o l'hiver.

En ce qui concerne Ja vie cul. 111relle et artistique. rien n 'cxis• 1ait.

Sur le plan scolaire, une seu­le maternelle et peu d'écol-.?s pri , maires. Pas de lycée, ni de CET. Dans une telle situation l'on comprend que le chiffre de la population restait stable mall!ré les nombreux terrains à bâtir.

Qui, en effet pouvait songer à bâtir d·~s immeubles moder­nes ou des villas dans ces io­lis quartiers à flanc de colline ou au bord de la mer , alors qu'il n'y avait ni eau ni assai­nissement ?

Octobre 1947 un tournant dans l'histoire de la cité

En octobre 1947, les électeurs scv nois ont donné la ma .lorité à une liste d'union démocrati­que à direction communiste, conduite par le regretté Tous­s:iint M.!rlc.

Les élus communistes et leurs alliés allaient ainsi pouvoir fal· re la preuve que Jeurs prames• ses n 'étalent pas de la poudre aux yeux. La preuve a été faj. te .

Cette date du 29 octobre 1947 allait marquer un tournant dans l 'hlstolro de la cité.

Tout était à faire et les élus ont pris à bras le corps les Immenses problèmes Qui se po· saicnt.

Il fallait faire un choix et commencer par ce qui était le plus ur1tent : le lo11:ement avec la création de l 'offi ce en 1948 ; le social, pour l'aide aux vieux et la lutte contre la maladP! et la misère ; l'équipement en eau et assainissement : les éco ­les .

L'œuvre accomplie en Quelques mois troubla à tel point les hommes du pouvoir · de l'épo- . que que la dlssolutlon du conseil municipal fut décidée en 1950 sous le prétl!Xte d'érister Saint­Mandrier en commwie ( ce QuJ aurait l>U se faire tout aussi bien lors des élections munici­pal es de 1953 ).

On espéra it, à l'occasion de cette élection pnrtlclle, faire bas ­culer la majorité du Conseil municipal.

Mais la population avait dé ­ja pu apprécier que les élus communistes transformaient Jeurs promesses en acte5 et e ll e leur renouvela sa confian ­ce.

Depuis Il en fut toujours ah, ­sl parce qu'à la fin de cha• que mandat les é lecteurs ont pu constater que Je programme soumis à Jeurs suffrages avait été non seulement réalisé à 100 pour cent , mais déoas5é sur bien d es points.

5

LOGEMENTS

Groupe "LE MESSIDOR" Bt A2

6

Gpe LE FLOREAL : 706 logements, l centre commercial, 1 Halte d'enfants.

Gpe BERTHE : 552 logements, centre so•cial et culturel, 1 cen­tre commerci.il.

Gpe PLEIN SUD 52 logements, 26 garages.

Gpe MOUISSEQYES 39 lo ge ments.

Gpe MARQUET : 28 loge me nt s .

Gpe LE GERMINAL 460 lo gements.

Gpe GAI VERSANT 80 lo ge me nt s.

Gpe FRUCTIDO R 426 l ogements.

. ;

Vue d'ensemble des Groupes , BERTHE, FLOREAL et MESSIDÇ)R

Nbrc <le l o pt s construits depuis 1947

1

-1

17382

1947 1954 196 2 1968 1970

0 F F I CE PU r.L IC MUNICIPAL U'HLM

1952

o gt s a l' ét ude

1955

426

1960 1965

Logts en constr u c tion

Logts dont l e finan ce- 1 ment est dem a nd é e n 7îl 442

2 2 9 :!

19 7n

1282

Gpe LA PRESENTA­'.!' ION : 140 logements, 50 chambres tra­vailleurs céliba­t aires, 1 centr e social et cultu­rel, 1 terrain de sports.

Gpe LA ROUVE 238 logemen ·ts.

Extension du Gpe MONT DES OISEAUX 154 logements .

Gpe Mt PLAISANT 60 logements.

Gpe St ANTOINE 48 logements.

Gpe MONT DES OISE AUX : 84 logements.

Gpe LA MAURELLE 262 lo ge ments.

Gpe LA LUNE : 27 logements.

Gpe MAX BARREL 108 logements.

Gpe LE MESSIDOR 236 lo ge ments.

Gpe accession à la propriété : 46 lo ge me nts.

Gpe LE VALLON 28 l ogeme nts .

Ex t e n sio n LE MESSIDOR : 134 l oge ment s .

Gpe LE MESSIDOR 246 l ogements .

7

SANTE

Lo Metern i té

Lo réception HOPITAL Entrée Centre Médi co-Soci a 1 ...

CENTRE MEDICO-SOCIAL

C .M.S.: Nbre de clients et d'actes

LE BUREAU D 1HYGIENE

Prothèses dent aire! Bloc opératoire

1954 1970 8 9

HALTE GARDERIE Cr é at i on en 1970 . ~ o mbre d ' en f ant s r eç u s en 197 0 : 7 471 .

JARDINS D1ENF ANTS

19 54 19 70

2 5 e nfant s 70 e n f ant s

CENTRE MEDICO SCO LAIR E

· 1· j t ~.;,,;_,~.(;,.

_,.,.,...,.,-,nm,O,,J• · 1,umau1rrfHdlUllJI• • - · ·

10

PROTE CTIO N MATE RNE LLE

ET INFANTILE

Cr éa tion e n 1950. Nb de c on s ult a tion $ heb­domadaires : 195 0 : 3 1970 9 ~e con s ultant s ·1970 : 1 154 Nh d e v i s it ~ s et ex a me n s 1 970 : 3 967

CRECHE

Cr éa tion e n 19 59 .

1960 Ï97o

1960 Nb de 1970 Nb de

:

Nb d' e n fa n ts Nb d'en fants

jo ur nées 5

jour n ées 9

1 1 7

7 68

35 55

ORTHO P HONIE

COLO NIES DE VACANCES ~ : P as de l o ­ca u x muni c ip a ux. Ec h a n ges ave c l es Fé d é r a ti o n s d e s Oeuv res La ï ques de l ' Ard èc h e , d e l'I sère , et des Basses - Al pes. 4 ce ntr es : Le Pe rr o n, Ver ­noux , -Aut r an s, Dig n e : 3 6 0 l·nfan t s .

1970 : 3 p r op r 1e ­lés comm u na l es . Pres l es ·achetée e n 1957 . Le Tou­vet ac h etée en 1958. La Mot te ­les- Ba i ns ac he t ée e n 196 2 . 1 imme u­ble l o ué e n 195 3 Bel l ecombe par Ch ap ar ei l lan . 2 camps d ' ado l es­cen t s : 11 34 e n fants .

ORN ON : clas ses de ne ige

LA MOTTE Camp d'adolescents

Château de. LA MOTTE-LES-BAINS

1967 : 28 élè v e s 1970 : 88 élèves Prix de r e­vi e nt d ' u n é l ève e n 197 0 : 640 F Part i c ipa ­t io n 197 0 par élève : Etat 7:r Fami ll e r4 1F Commu n e 322 F

ORNON : classes de neige

11

ANCIENS ET ECONOMIQUEMENT

En 1950 Institu tion de la carte municipale des "Economiqueme ·nt Faibles" pour les personnes âgées. A ce jour, 7 5 0 bénéficiaires pro fittent des avan­tages suivants

FAIBLES

!colis de denrées alimentaires et friandises à Noël et à Pâques. Dis­tribution de vête ments chauds et chaussures. Se­co urs de 40 F oo po ur le chauffage .. Sortie, excursion annuelle avec , re­pas champêtre. Banquet à l'occa­sion des fêtes

Foyer du _Combattant

1 oc a 1 es -.

Repas des anciens, le 14 Juillet

12

En 1947 11 exis­tait un bureau de pien fa isance qu_i délivrait seule­ment des bons de pain, de viande, de lait, de char­bon.

Dès 194 8 Rempla cernent des bons par des secours mensuels e n espè­ce. Création d'un vestiaire appro­visionné en lai­na ges, chaussures mant eaux, sous­vêtements .

L'Hospice

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Repas à ('Hospice

Construction de logements foyer des per;onnes âgées.

Depui s 196 1 Ser vice d'aide ména­gè reeà domicile. En 19 6 1 872 H. d'aide ménagère effectuées. En 1970 : 8 396 H d'aide ménagère effectuées.

Depuis 1963 :· 2 séjo urs de vac an ­cances entière ­me nt gratuits, à l ~Hôtel Beausé­jour, à La ~otte­les-Bains (Isère) 86 bénéficiaires

Depuis Nov. 1968: Un Foyer restau­rant pour les per sonnes âgées.

En 1970 17 949 repa s ont été ser vis contre un e mod este contri­butîon allant de 1

~,50 F à 2 , 70 F.

13

ECOLES

Ecole primaire Berthe

FOURNITURES SCOLAIRES

CAI-IIERS 99170

Maternelle du Pont de Fabr e 38940

1947 1970

Ecole des Plaines (en constr ucti on)

.... Q)

.,. .,. :::>

:il CO

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'41 u >.. _. Q) _.

14

ETABLISSEMENTS SCOLAIRES LOCAUX

52 SCOLAIRES GROUPES 20

8

1947 1970

CANTINES SCOLAIRES

Soupe et

,2

1947 1970

EFFECTIFS

579

SECONDAIRE 4305

1970

Ecole du Pont de Fabre (réfectoire) C . E.S. Berthe

PRIX D'UN REPAS COMPLET EN l970

2, 00 F Ecoles primaires et maternelles 2 , 40 F Ecoles Beaux-Arts et CES Berthe 3,00 F Ecole de plein air

15

GYMNASTIQUE CORRECTIVE

ECOLE DE PLEIN AIR

CREDIT AGRICOLE

UN ORGANISME FINAN CIER POUR TOUS

Quoi Gabriel PERI LA SEYNE

16

MOIS DES ARTS

Activités : Expositions - Salon des Peintres

Seynoi:s, - Peintres témoins de

leur temps, - Exposition Daumier, - Biennale des Mé-

tiers d'Art. Concerts - Galas chorégraphi-

ques, - Théâtre, - Conférences, - Spectacles de varié

tés. Sociétés adhérentes - Amicale de l'Ecole

Municipale des Beaux-Arts,

- Amicale de l'Ecole Municipale de Musi­que, Amis de l'orgue de La Seyne et de la côte vai;oise, Centre d'Entraîne­ment a ux méthodes d'éducation active (C.E.M.E.A.),

- Centre socia l cultu­r e l Berthe,

- Cigaloun Segnen, Ciné-club des Jeunes

- C 1 u b An t a·r è s , Club d'art musical,

- Club des radio-ama ­teurs de La Seyne et d e l'Ouest varois,

- Comité per~anent des fêtes locales,

- Connaissance du mon­de,

- Eclaireurs de F~ance - Entente philatéli-

que CNIM et locale, Foyer laïque François Durand,

- France-U . R.S.S.,

CULTURE

Exposition Pignon (Mois des Arts 69). Mois des Arts 65

BIBLIOTHEQUE

Nb d'ouvrar,es e n 1947 2 341 e n 1970 : 6 530

Nb <l'ab o nn c'-s {'TI 194 7 2 11

{'Il 1971' : 11R

17

CENTRE CULTUREL BERTHE

Gro upe artisti q ue s eynois, Jeun ësses Musicales de Franc e (J.M.F.),

- La Seynoise , Les Amis de La Seyne Ancienne et Moderne,

- L'Es colo de la Souco Loisirs et Culture des C.N.I.M . Loisirs et Sports du Var ,

- Parents d'élèves du Lycée Beaussier, So·c ié té Méd ite rr an­néenne de Philoso- · phie,

- Théâtre Moder ne de la Jeunesse (T.M . J.)

18

ECOLE DES BEAUX-ARTS ·

1961 Créa tion de l'école de dessin (cours du jeudi). 1965 Cr éa ti o n de l'école municip ale d es Beaux Arts 3° ca t égo rie (co ur s du je udi et te mps comp l et,-. 197 0 Pa ss age d e l ' éco l e municipale des Beaux Arts en 2° c até gorie Co ur s du Jeudi fréquenté s par des é lèv es scolarisés dans des é tabl i sse­ments primaires o u . secondaires.

Enseignement à temps comp 1 e ·t Disciplines ensei­gnées 1° cycle Graphisme, Couleur, Volume. 2 ° cycle Peinture, Sc ulpture, Gravure, ' Illustration, Mise en page.

1961 1962 1965 1966

1 professeur 2 professeurs 4 professeurs 6 professeurs

LE CLUB ANTARES

ECOLE DE

MUSIQUE

Ouverture en 1966 .

Effectifs 1966 120 élèves 1970 276 élèves

Disciplines 1966 1 1970 10

So lfè ge, Pliîte, Ha u t b ois, Cl ar in ette, Saxophone, Basso n, Corn et à piston, Tromp ette, Violon, Piano , Musiqu e d'e nsembl e

19

Inaugurat ion de la Sa lle M. Baquet

OFFICE MUNICIPAL DES SPORTS DISC IPLIN ES PRATIQUEES

L'office municipal des sports : .. Rassemble 23 Assoc1at 1ons Sportives p,roupant enseMble 3 2 4 4 1 i c en .ci é s . Liste des Asso cia tions Boule enchan t ée Boule Saint-Jea n Bo~ le Laurentaise Boule St. F.lmoise Ch~mino ts Seynois Comité Bouliste Ouest v.1 r ois Co mmission sportive des C~! T" Club spor~if municipal scyn­nois Enseigna nts d'education ph~•sif'(ue et sportive ~ootRal l Clu~ s!ynois JeuResse sportive seyno i sc .Joyeux hou l or,anes seynoi s Joyeux de la l{ouve J oyeux de J.i Lun e La Provc -nç:i 1 c ~oto - cluh sevnois l'i n~ - ponr. c: 1 ;.h sevno i s Skati nr. hou l o~:incs Union bouliste seynoise U.S.-S. CN['-' Vieux ho11l0Mancs se vnnis "élo-sports scvnn i s y., C h t -c 1 u h d (' s " ,1 , , 1 (' t t t ' s

20

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SPORTS

Sta de Hubidos

PROJET

DE

PISCINE Manifesta tio n sport ive

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~~ ~ ~ ~ ~ ~ - ~ . 1

Gymnase Berthe 21

ECOLE .MUNICIPALE DES SPORTS

22

DISCIPLINES PRA TIQUEES

1951 : 1 école ( "'" o o t - 1-a 1 l ·1

1970 12 école~ Esë'rime Lutte Rur,by Voile Tennis Basket-ball "'oot-ball Hand-ball Gyrnnas ti qut! .,rt i~ r.ymn ·moderne .-\thl é tisre Boxe é d u c ., t : ·: .?

PROGRESSION DES PRATIQUANTS

1951 1953 1957

Gy mnase RENAN

804

1.

1964 1966 1970

EAU

SERV ICE DES EAUX Nbre d 'abonnés_

14756

1947 1950 1955 1960 1965 1970

RESERVES EN EAU POTABLE

C ~ -C_ ::,

7800 m3

947 m3

1947 1970

Inaugurat ion du réservoir de 2000 m3 aux Gabriel les.

Stat ion de pompage de Berthe

- ~ .......

12800 m3

1971 23

24

ASSAINISSE ME NT

NOMBRE DE RACCORDEMENTS A L'EGOUT PUBLIC 2618

1970 : Couverture du ruisseau de la Donicorde.

1947 1950 1955 1960

Statio n des eaux usées de Fabrégos

1965

J ·-~

r.. -.J

ENLEVEMENT DES

ORDURES MENAGERES

25

26

ECLAIRAGE PUBLIC

• >

Le nouvel éclairage du

Quai Saturnin Fabre .

ECLAIRAGE, :PUBLIC

--

C 0\1\1 1 " I.U

1. \ :-il. \.\1.

_:.:::::::=:=:!= _ , __ ...,

VOIRIE

CIRCULATION CREATION DE VOIES

Percée Renaude 1

Le nouv ea u Quai Saturnin Fabre

27

Le Quoi Hoche,, 2ème phas e

Le parking Che valier de la Barre

28 Le parking de l 'é glise à Mor -V ivo

Les pompiers en action

Une réanimation

EFFECTIFS

1947 1970

14 hommes 32 hommes

CASERNE

19.47 1970

Néant l case rne

Gr . Marquet

LES POMPIERS

29

LE REBOISEMENT DE . LA FORET de JANAS

CORNICHE V AROISE

30

AMENAGEMENT

DES PORTS

ET QUAIS

Le Port de S"t Elme

Le Port de Lo Seyne

31

Plage de Fobrégàs

'1---- -~ ! ·. ,

32

TOURISME.

de Janas

ET POURTANT , , ,

POPULATION

1962 1968 1974

TOURISTIQUE

13022 57912 75280

33

AVEC-LA POPULATION

POUR LA DEFENSE

DES LIBERTES COMMUNALES

ET DE L'EMPLOI

CES GRANDES LUTTES QU,I SAUVERENT LES CHANTIERS

EN 1966 ET ASSURERENT SON DEVELOPPEMENT D'AUJOURD'HUI

Manifestation pour la défense de l'école ldlque

35

L'AVENIB

DE

GIOVANNINI Philippe,Moire

Le pro chain mandat marque­ra un e nouvelle et import an te éta in pour l'e xpa nsion et la mo­dernisation de la ville.

Les ba ses de cette 11ou,·ellc étape ont élé posées au cours de ces dern ières années.

" Gouverner, c 'est prévoir "· dit-on souvent.

Or on es time que dans 10 ans la population de La Sevnc at­ldndra les 65.000 hablt aitt s .

!\Tous avons demandé au mai­re M . Philippe Giovann inl co que son conseil rAunicipa l a prévu en fonctio n de l 'au1?1T1en-1ation de la populat ion et des besoins nouveaux ; comment avec so n conseil municipal il en· vfsagealt l'avenir de La Seyne

L'habi tat

• Cett e question pose- un cer­ta in nomb re de problèmes am­qi.;cls rJpond le programme que nou s allon s soumet! re aux élcc tcurs.

L'habitar esr u r des prin rr ­oaux, 9 à 10.000 logemen ts sont JCtuellemr.nt en r.roie 1 ou en 1 oie de réa lisation. Au cour s clcs quatre années à l'l:nir !'of fice municipa l d'HLM co nstru i­ra. 1800 '.ogemc nts. Nous pcn· sons ouc cela nerm-.:cti-a de fai­re face t l'augme -n•:i:ion de la oonulation

L'équipement

Les ~qu ipcmen1s sero nt :iu~~i 111dis oc:nsabh: s c l ,·11 n i-c1111.:r lieu l'ea u et l'ass inisscmcnt.

Afin de sati sfai re les besoins fu turs nous avons signé avec la soc i~té du canal de Provence un e con\'cnti on pour la fournitur .: d'eau soit un supplé ment de 2 millio ns de mètr es cub es nar raooort à cc que nou s a,·011s

36

ac tuellement, ~oit une augme -11-tation de pius de 50 pou r cent

La construction de -1 110 11-

1·ca ux 1·.:ser\'o irs de 2.000 m3 cha­cun est inscrite dans notre n ro• 1:ramme.

En ce q11i concerne l'.:1ssa in is­sement t9u t un programm e de r.:mplaecm ent ou cle doub lem,·111 des stati on s ~st prévu. Ce pro ~r;:immc a d'Jillc urs clé ii, CO! ll · lll C'llL L'.

De nou, ·l'llcs éco les seront n,•. ce~sa ire,s et aprè s ,woir tenni-

. né les groupes de Vigne longue e t de s Plaines. aous avons pré • ,·u un nouv eau groupe à J'E s1 de la zone à urbaniser du quar tier Berthe, Lill ~roupe nrim .1i rc cr mat ernell e aux Sablett t·, ainsi que l'ex tension des mat er nc lles Renan. la Rom·c J L:,u r1..•nt.

Pour le s,·com l,1i1·.: la con ~-1 ruc tion de troi s CES dont un .,u.~ Sab let tes . un dans le crn-1 rc ville . et un dans la zone ., urbani ser.

Enfin la cons truction d 'une ci­té technique avec CET de 540 places et J\·cée de 32-1 nlac es .

Su·r le Plan des Jois irs cultu­re ls nou s voulons fac ilite;:- l 'ac­cès à la lec tur e pa r la décc 1r trali sa tion de la bibliothèqu e. la mise en se rvice d'un biblio bu s

. fa ciliter tout es les act ivit és cu l-11,re lles nar l'am éna~e mcn t de fovcrs rue J . Laurent ,'tc·n­dr c nos écol es de s 13.·: :" . .\.rt s et de Mu·siqu c. c1·écr un e école èc d ;111sc et de chant : aména­~.:r clt:fini t ive111ent le mu sée de Balag uie r

Pour ks s portil s . ,1111.: 11:t• 1:cm.:nt cl 'cn;e mbles sportil s pour la cité te;;hni que, du fu­t:lr CES ,ks Sabl.:t tes . du ~r-ou· rie scolair e T. Merle : n:a lisa -

LA SEYNE

tiun d'un s tade dan s la zone à urbani,cr : création d'un cc-n­tn· nauti que ti Sa int-Elme et ,·nfin con;trnclion d 'une piscirre J U cent re \'ilh.:.

Le., œ111-rcs soci, 1les et la ;an , t~ ont t ou jou rs .Sté une de nos oréoccunat ions cs~entiellcs.

~- ,us cnl'i~a~eons dans cc do• m,line l'ex tens ion et la mod, ·r­nôs:ition de J'hôni tal. la création d '1,;n deuxième c<:ntre mé<lico · su, i:11 : d' une nou, ·cllc cr~chc .:t 11:olte d'enfant s .

Pour ks anc:i~•ns une second nro!::rammc de loi:?emcnts-rovcrs e t pour les enfants l:i construc­tion en Isère .1 Ornon d'un éta­blissemen t pouvant serl'i r de ce ntre de vacanc es l'été et de classes de neige l'hiver.

Le probli:mc de la collecte et de la dest ru ction des ordures ' ménagères se pose aussi et c'e s t pourquo i nous avons prévu de cons truire en commun a, ·ec Tou­

. Ion une usine moderne• d 'inci ­n.:rat ion 01.:i sera implant ée sur l'a ncien hippodrome de Lago u­bran .

Et pui s il faudra aus si faire face à l'import ant problème de la c ircu-lation.

S i la circu lation routière a ét é co11sidérablcm en t am é liorée a 1-c<: l'ou, ·erturc de la sortie Nord. J;, do ub le voie du oort, notre 1n r ras tructurc rout ière ne corr c,­nond pas aux besoins d'un oro c hc a ven ir.

D'important s proj e ts sc:ronr réal isés : l' éla r l!isscme nt de la rout e nationale 559 : la b re te lle de désenc la\'cmcnl vers l'au to . route Toulon - Auba!!ne ain si que la ,·o ie d' évi tcme nr rel ian t cette au toroute aux Sab le ttes sans passe r oar le ce ntre vil, le.

Le tron çon de la Corn iche \'a· roi se pe rm e ttant de débouc her à Fabrégas sera termin é.

Un nou .,·cau pro g ra mm e d 'a· ménagemen t e t de ré fect ion des voies communa les sera é tabli.

Pour le s tationn crn.:-nt la cons­t n: c r ion de nom ·ca 11x nar k in~, est nr..:n 1e cr no tamm e nt pour le cent ,·ç l'ille . l:i const ru ction de oarkin~s .i0ricn~ »

L'extension des cha nt iers + 4600 emplois

Industrie et Tourisme

Cette longue énumération. pour aussi importantes que soient . les réalisations qu'elll' contient ne saurait dérlnlr - tou­,cfols cc que s-~ront les 2ran­dcs options pour la ville de dema in .

La Scvnc a une vocation in• dustriclle et touri sti que . Il nou s faut développe r ces deux activi· tés économ iques orincipales.

La construction de l' autorou­te et de la bretelle de désen­clavement aidera considérable­ment pour faire démarrer la zo­ne à industri aliser de Piedar­dan.

Le transfert du Port marchand de Toulon à La Seyne e t la créa tion d'une zone industrielle autour de ce port sera ua atoi.; t non nél!ligeabl c.

Mais plus imp orta nt encore ~c­ra l'about isse ment du p ro iet d'exte nsion des chantiers CNI.\1 nue nous appuierons al'ec tous les mov cns dont nous nou, ·ons d isnosi..'r

En cc qi.;1 com:crn-: t'111dus1nc touristi9,ue nou s cncou1 ageons et aido ns admini stratil•cment et techniquement les promoteurs du nroict « Les Marines • des Sablettes vaste complexe tou ris · tique mod erne , comprenant un port de plaisance POU\'ant abri­te r 800 bateaux . nous aidons de même les promoteurs du oro­iet de Tama r is. Ces oro ict s fc. ront des Sablettes et de Tama­ris des sta tions po uvan t ri va­liser al'cc les meilleures du lit ­toral médit erran éc-n

Voila et nue- nou s nou, nro po.,o ns k r0aliscr, d' imnu lsc r s1 ks Scvnois nous reno u, ·eJlent Ja c-t1nfianec- qu'ils nou s accordent d,•nuis 23 .rns.

Pour cette tàche immcn,c. 110 11s aurons besoin du con cou rs 11.:: tous et c'est pou rQuoi nous 110 11s efforcerons de fa ire en sor­te qu e la gestion de la commu­ne devienne l'affaire de tous et de chac un pour assure r à cha­qu e citoven le 1nicux être et à notr e dlle un avenir radieux.

Moquette marine des Sablettes

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