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i"= - - - - - - - - - - t- "'" - - - - - - - - - - - - SOMMAIRE Actual ités p 2, 3, 4 Travauxp5 Actualité municipa le p 6 Sports p 7 Les moins de 20 ans p 8 Jeunesse p 9 Festivités - tourisme p 10 Au fil de la ville p 11, 12, 13 JI y a 1 OO ans p 14 Culture p 15 ·---- ----- le magazine de La Seyne sur Mer n°41 • Mars 2005 - - -' 1

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SOMMAIRE Actual ités p 2, 3, 4

Travauxp5

Actualité municipale p 6

Sports p 7

Les moins de 20 ans p 8

Jeunesse p 9

Festivités - tourisme p 10

Au fil de la ville p 11, 12, 13

JI y a 1 OO ans p 14

Culture p 15

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le magazine de La Seyne sur Mer n°41 • Mars 2005

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Hôtel de Villt • 83500 La SeynNur-Mer Tél : 04 94 06 90 OO E-Mail : [email protected]

Direcieur de publicarion : Dt Anhut Pnfch1.

maire de La Seyne-sur-Mer, preinièr via:­prcsidcni du Corucil générol du VJ1r, aucien

VÎCA!'présidem de I' A1stmhlé<: nn1ionalc.

Rédnction : Sylvcue llierron, Jean-Luc Palaélini. Jean-Chri11ophe Viln (Culture). Photos : Pr:m~ois l.a"i, P:iscal Sca1~na Mise en pages : Lis~ Kubli Imprimerie : H~misud • La Vttlem du Vat Dépôt légal : oc1obr~ 1999 Diffusion : 35 000 exemplaire,.

2 Fenêtre sur Seyne - n°41 - mars 2oos

11 33ft 73 € c'est le 71at montant des

chèques déposés par les Seynois dans l'urne placée à l'accueil de l'hôtel de vi lle. Le dépouillement s'est effectué le 3 février en présence du maire, Arthur Paecht, Françoise Pouchko déléguée aux affaires scolaires et à la petite enfan­ce, Yvette Bouvet, déléguée aux person­nes âgées et aux élections et Serge Daninos, délégué aux relations avec les commerçants, artisans et professions Libérales el festivités. 256 chèques ont été décomptés (voi r encadré). " je re111ercie le.s Sey11ois de leur gé11érasité. ,,

Où vont vos dons ?

ç:_~'!!-?<..:f!E' . .':!Jl.'!.. _________________ ~---------------------------'1-~'J}'_~_ Unicef 1 915 €

~'!~'?!:!..~!j_t;E'_~~-<?.{~ql:!_'! ______________________________________ ~_~}_q_~_

Actions contre la faim 1 365 €

~f!_C..<!.J:!.[!j_f!..<!.l'..':!]EI..Î.f'..'!. ________________ ~----------------------i'..~:i -~--Médecins sans frontières

Médecins du monde

Fondation de France

Secours islamique

lis représentent l'un des volets de l'ac­Lion générale que mène la municipalité en faveur des sin.istrés du tsunami. Arthur Paecht rappelait récemment « qu'il fallait avoir 1111 cœur de pierre

490€

160 €

130 €

20€

pour être indifférent c1 clc telles situa­tions ». Lensemble de la commune s'esc engagée clans une dynamique d'entrai­de : elle ne fait que débuter, el honore les Seynois .

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Une véritable politique de santé pour la ville

jean-Marie Reyre, conseiller municipal pour les actions relevant cle la santé publique

C ontrnirement aux pays anglo­saxons, la France affecte seule­

ment 5 % de ses dépenses de santé à la prévention. 68 % des Français estiment actuelle­ment ne pas être suffisamment infor­més sur les risques de cancers liés à l'environnement ou à une mauvaise hygiène de vie. Près de deux Français sur trois pen­sent qu'il conviendrait de développer des actions de sensibilisation et d'é­ducation à la santé. C'est dans l'esprit de cene attente partagée par la majo­

rité des Seynoises et des Seynois que la municipalité a décidé de conduire une véritable réflexion sur la politique de santé de la ville. Le projet majeur de la municipalité réside dans l'édification d'une véritable maison de santé sur un terrain situé en face de l'hôpital. Cette nouvelle structure traitera de la prévention du dépistage, de l'éducation sanitaire en continuant d'assurer les consultations de médecine générale. Adopté par le comité de pilotage du contrat de ville, ce projet de maison de santé sera vali­dé en fin d'année. La maison de santé ablitera le centre de santé médical municipal, le service dentaire de la mutualité française, la maison médicale de permanence des soins, le service commu­nal d'hygiène et de santé, ainsi que tout partenaire public ou privé qui viendrait s'inscrire dans le projet municipal.

Pas de fermeture du centre médico-social Contrairement aux rumeurs propagées, il n'y aura donc pas de fer­meture du centre médico-social municipal, mais modernisation et Lransfonnation de ce centre en un centre de santé médicale muni­cipal à vocation de santé publique. C'est donc la volonté clairement affichée de la municipalité de paràciper aux actions de prévention et <lt: dépC:;tagt: aiu:;i qu'aux actions d'éducation sanitaire. Un projet ambitieux qui portera sur deux missions : mission sociale, mission de service public. Le centre de santé médicale conservera ses cieux médecins généralistes avec pérennisation de leur activité. Ces cieux médecins travailleront clans des locaux sécurisés, aux normes, conformes aux bonnes pratiques médica­les et surtout agréés par la DRASS et la CPAM. Ce qui n'est pas le

cas actuellem ent puisque l'ancien centre médico-social n'est plus agréé par la DRASS et la CPAM depuis 1992. En partenariat avec le Conseil général du Var, la DRASS et la CPAM, ce nouveau cen­tTe médical municipal et ses deux médecins généralistes partici­peront aux programmes nationaux de prévention el de dépistage, par exemple : dépistage de masse du cancer du sein, du cancer du côlon rectal, des cancers cutanés, des cancers prostatiques. La municipalité entend, dans les faits , promouvoir une véiitable édu­cation à la santé. Cette éducation à la santé sera élargie à tous les âges pour améliorer les modes de vie.

La m aison médicale de perma nence des soins Le but de la maison médicale de garde est d'assurer la pennanen­ce des soins en dehors des heures ouvrables des cabinets libéraux, quand le secteur libéral est moins disponible. La maison médica­le sera ouverte de 19 heures à 24 heures les jours féliés et \veek­end. Elle sera sécrnisée, les entrées seront filtrées par le ce1me 15 qui prendra les appels et orientera les patients en fonclion de la gravité de leur situation. Elle sera en relation directe et en inter connexion étroite avec l'hôpital qui apportera ses compétences et son plateau technique. Cette maison située à proximité immédia­te de la cité Berthe sera un lien fort entTe le centre ville et les quar­tiers Nord. La maison médicale essaiera de résoudre partiellement les problèmes des urgences hospitalières en déchargeant l'hôpital d'une partie de ses urgences. En effet, il fau1 savoir que les urgences hospitalières sont victimes de leur succès. Nomrnlement, la vocation de l'hôpital est de trai­ter les détresses vitales. Or, 80 % des passages aux urgences ne relèvent pas de l'hôpital mais de la médecine libérale et d'une sim­ple consultalion libérale qui pourra donc être effectuée dans cette maison médicale de permanence des soins qui assurera aussi la continuité des soins.

Le service communal d 'hygiène et de santé Ce service sera spécialisé clans la prévention et le suivi de l'hygiè­ne publique (qualité des eaux de baignade ; qualité de l'air et aler­te pollution ; information et éducation de la population aux diffé­rents risques technologiques ; prévention des accidents domes­Liques etc.).

Le nouvea u centre dentaire Ce nouveau cenu·e dentaire sera situé clans la maison de santé, géré par la Mutualité Française du Var. Il sera constitué de 4 fau­teuils dentaires dont un fauteuil dentaire pour l'orthodontie, acti­vité dentaire absente dans le secteur public.

La cellule municipale de crise

Devoir de mémoire Le 60- anniversaire de la libération du camp de déportation d'Auschwitz a été comm€moré à La Seyne avec émotion et recueillement. Lors du conseil municipal du 27 janvier le docteur Arthur Paecht a demandé à l'assistance d'observer une minute de silence à la mémoire de millions de disparus dans les camps de concentration nazis.

assistance considérable, des asso­ciations patriotiques et de leurs porte-drapeaux. MM. Moha et Sananes au nom du Renouveau communautaire et du Centre israé­lite ont déposé une gerbe. Au nom du docteur Paecht retenu par les obligations de sa charge et du conseil municipal, Gabriel Jauffret, premier adjoint, a déposé une gerbe. La cérémonie s'est achevée par la sonnerie aux morts et une minute de silence.

Cette cellule va être créée pour faire face à une catastrophe majeure : tremblement de terTe, acte de terrorisme, accidents, plans grand froid, canicule, inondation, pandé­mie grippale etc. Dtctualité récente est là pour nous rappeler l'absolue nécessité de cette cellule de crise. Elle sera en liaison étroite avec les autres structures médico­sociales. 11 y aura clone un véritable plan de crise destiné à définir le rôle de chacun des acteurs concernés selon des procédu­res claires et bien fléchées. Car, c'est de notre responsabilité de pouvoir faire face à des situations imprévues et dramatiques. Toutes ces réalisations, qui commencent à prendre forme, démontrent à l'évidence que la santé des Seynoises et des Seynois est au centre des préoccupations de la municipalité. Le souci majeur de la muni­cipalité n'est pas de dépenser moins, mais de dépenser mieux, d'opter pour des choix judicieux garan ts d'une plus grande effi­cience des soins car la qualité ne coûte pas forcément plus cher.

En ouvrant la séance en termes émus, Il avait évo­qué cette période la plus sombre de l'histoire de l'humanité. Des cen­taines de milliers de victi­mes innocentes, victimes de la barbarie nazie et du concert des nations qui n'avaient pas su ou pas voulu faire triompher le droit à la vie, le droit à la différence. En fin d'après-midi, une sobre manifestation du souvenir s'est déroulée au monument aux morts en présence d'une

Ce nouveau pôle de santé agira en com­plémentarité. li évitera toutes redondan­ces, toutes concurrences. ce qu'apprécie­ront les contribuables seynois.

Au rendez-vous

de !'Histoire

On connaît les liens établis de longue date entre le collège Wallon et les anciens combat­tants, notamment avec l'association de Rhin et Danube. Visites, études de textes, rencontres avec les anciens combat­tants, autant d'étapes qui émaillent la scolari­té des jeunes élèves du collège. Une démarche qui répond non seule­ment au devoir de mémoire, mais aussi à la recherche d'une citoyenneté participa­tive, fondement de la République. A l'occasion de la com­mémoration de la libé­ration du camp d'Auschwitz, un groupe d'élèves du collège, conduit par leur profes­seur d'histoire Mme Fallers, s'est rendu à Aix-les-Milles, camp de rétention, où furent internés juifs apatrides et résistants avant d'être dirigés sur les camps de déportation. Au terme de cette visite, les élèves se sont rendus sur l'isthme des Sabletres devant la stèle qui commémore la reddition de l'amiral Ruhfus, la fin de la bataille de Teulon en avril 1944. Ils y ont rencontré un prestig-ieux témoin l'amiral Turc qui partici­pa aux débarqllements de Normandie et de Prnvence. Fami lier, pédagogue, l'amiral Turc retraça pour son auditoire juvénile les grandes étapes dtJ débar~uement en Provence et de la bataille de Toulon. Après avoir évoqué l'engagement du bateau où il servait, le "Georges Leygues" avec la !Datterie de Sail'lt­Elme, l'amiral Turc pres­sé de Gjuestiens eut fort à faire IDOUr rép0ndre à la curiosité des jeunes élèves.

Fenêtre sur Seyne - n °41 - mars 2005 3

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tu Générale des eaux

Un curage nécessaire La société va effectuer une opération de curage de l'émissaire appartenant au SIRTIEMEU (*)et allant de Châteaubanne à la station d'épuration AmphitriA. Un émissaire de 10 kilomètres qui collecte les eaux usées de 7 communes.

L es eaux usées des sept communes adhérentes

au SIRTTEMEU sont ache­minées à l'usine de dépollu­tion AmphitriA au Cap Sicié par un émissaire enterré. Une partie de cet émissaire, en amont de Chateaubanne est facilement accessible. [autre partie, située sous la forêt de Janas et le massi[ du cap Sicié, est enterrée à plus de 40 mètres sous terre. Au cours des années, les matiè­res transportées par l'émis­saire se déposent au fond de l'ouvrage. Le niveau de l'eau monte et les risques de débordement, avec leur lot de nuisances, augmentent.

Des économies d'eau et d'énergie Depuis 2003, Générale des Eaux a entrepris le curage de

la totalité de l'émissaire. En juin 2003, les 3,7 kms de canalisations reliant Lagoubran (commune de Toulon) à Chatcaubanne (commune de L1 Seyne) avaient pu être rapidement nettoyés, grâce à une nouvelle technologie : le camion hydrocureur à recyclage. Utilisant l'eau de la canalisation, ce procé­dé a permis, outre un gain de temps, des économies en eau et en énergie.

(*)Syndicat imercommunal de la région toulonnaise pour le traitement et l'évacua­

tion en mer des eaux usées de Toulon, le Revest. La Seyne. Saint-Mandrier, Ollioules et Six-Fours.

• Eml.uairc commun • p..dts Rbca.u orindoaJ

-.- Scadon d~ pompqo

INFORMATIONS COMPLtMENTAIRES

Une permanence physique sera ouverte prochainement une demi­journée par semaine. Une permanence téléphonique sera également mise en place. Pour les habitants résidant à proximité de l'émissaire (voir carte ci­dessus}, certains désagréments olfactifs voire un peu de bruit pen­dant la nuit sont à prévoir.

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Les travaux • UN CHANTIER SOUTERRAIN COMPLEX.E

Fin 2004, la Générale des Eaux a entrepris la réalisation du curage de la par­tie avale de l'émissaire. En raison de la complexité du chantier, elle a fa it appel à un spécialiste dans ce domaine : la société Bonna sabla. Le curage est effectué de l'accès à l'émissaire situé à Chateaubanne vers AmphitriA. Un véhicule spécialement dimensionné transporte, au fur et à mesure de l'avancement des travaux, une mini-pelle transformée ainsi qu'une benne pour accueil lir les matières enlevées. En raison du flux important d'eaux usées dans la journée, les travaux sont effectués de nuit, entre 22 heures et 6 heures du matin.

- UNE PHASE DE PRÉPARATION IMPORTANTE

Ce chantier sans précédent, sur 6 kms, dans un espace clos avec un seul point d'entrée et de sortie, nécessite une phase préparatoire très impor­tante, tant sur un plan technique qu'humain. Des mises au point du maté­riel sont effectuées grandeur nature avant le début des travaux. La galerie est équipée d'installations électriques et de communication. En terme de sécurité, le tunnel est constamment ventilé sur toute la longueur et les cabines des engins sont également ventilées par un air sain. Par ailleurs, il n'y a pas d'intervention les jours de pluie.

En surface Les déchets ramenés à la surface sont préalablement égouttés avant d'être transportés pour y être traités dans un centre d'enfouissement technique de classe Il. Ils sont composés essentiellement de sables et de filasses. l'usine de dépollution des eaux usées située en aval est également prépa­rée à recevoir plus de matières dans la journée, suite aux travaux de la nuit.

Le S.l.R.T.T.E.M.E.U. et Générale des eaux se·sont engagés en

2003 dans une démarche environnementale.

Elle se traduit aujourd'hui par la certification ISO 14 001

du système d'assainissement du S.l.R.T.T.E.M.E.U.

• Début des travaux : mi-mars •tii Durée du chantier : 1 an et demi E Horaires de travail : de 22h à 6h ::::J Quantité de déchets estimée : "' - 1 300 tonnes de filasses •ta> a.. • 1 300 tonnes de sédiments fins c - 2 ooo tonnes de sédiments

Ll.I moyens à grossiers

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Le souci majeur du docteur Paecht et de la municipalité est de répon­dre non seulement au devoir de mémoire mais aussi à la protection du patrimoine de la ville.

L es travaux de reslauraLion de la porte des chanliers onl débuté. l.'.ouvrage

conslÏlue l'un des plus anciens vesLiges des bâtiments des EC. M. (Forges et chantiers de la MédiLerranée) construits en 1906. Des milliers d'ouvriers om f ran­chi son arc de briques roses et de pierres de taille.

Restaurée à l'identique, en éLroite liaison avec les Bâliments de France, la porte va ' se trouver au cenlre névralgique du fu tur parc paysager dont les travaux ont aussi débulé.

Le docteur Paechl a fa il prendre les dispo­sitions nécessaires pour prolégcr les plaques de marbre fixées de pan et d'autre de la pon e des chantiers.

Patrimoine et devoir de mémeirt

D'excelleme facture, elles portent le nom des ingé­nieurs, des techniciens et des ouvriers des chantiers morts pour la patrie durant la grande guerre.

de l'établissement cinématographique et photogra­phique des armées, de la marine marchande afin que soient retrouvés les documents pho tographiques et les films qui attesteront du riche passé de La Seyne dom l'histo ire durant plus de deux siècles s'est iden­tifiée à la construcLion navale et à ses chantiers.

Depuis 1988, date de fermeture des chantiers navals, ces plaques étaicnL exposées aux injures des intempé­ries et des vandales. Elles n'ont pu être déposées pour des raisons de sécurité, mais une fo is les travaux achevés elles retrouveront tout leur lustre.

Des chantiers de réputation mondiale à qui l'on doi t des réalisations spectaculaires. Parmi elles la cons­trnction de la première tourelle d'un croiseur de bataille mue à l'élcctridté, et, plus près de nous, la construction des turbines il vapeur des paquebots " ville de Marseille " et " Lyautey ". Pour la première fois au monde, des navires marchands utilisaient de la vapeur 60 kglcm1 - 480°.

Des recherches ont été entreprises pour que le musée de la construclion navale soit à la hauteur des ambi­tions de la ville et de son riche passé historique. Des contacts ont été pris avec l'Institut national de l'au­diovisuel , les auachés de défense de Russie, du japon,

Aménagement de deux locaux à l'intérieur pour le PC de surveillance du parc et pour une salle d 'exposition. Fin prévue des travaux : juin 2005

,-----------------, Tous les mois, cette nouvelle rubrique vous infor-

mera sur les travaux en cours sur le site des anciens chantiers navals. Une photo aérienne du site

il lustrera l'avancée de ces aménagements qui vont 1 changer le visage de notre ville.

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'

Le nettoyage des terrains est terminé et 70 "b des travaux de terrassement ont été réalisés. Le modelage des deux buttes est en cours (Butte du levant et butte du couchant) . Les pre­miers arbres ont été choisis, marqués et réservés en pépiniè­re (237 pins parasols et 42 palmiers). Reste une vingtaine de pins d'Alep à choisir.

Le programme des travaux n'a pas pris de retard.

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Travaux en cours dans la vil le

Le pavage du cours Louis Blanc est en cours. Un ouvrage fait entièrement à la main et à l'ancienne.

Aménagement paysager au nouveau cimetière du Camp Laurent.

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~-· ~ ctu municipale

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Les élus assurent une permanence à l'hôtel de ville de 9h à 12h du 1" au 31 mars. Dans la plus stricte confidentialité, ils vous recevront sans rendez-vous au bureau du Service population. Renseignez-vous auprès des hôtesses d'accueil à l'hôtel de ville.

4/03 André Momave, conseiller municipal délégué aux personnes handicapées

7/03 Alain Ajello, adjoint au maire délégué aux sports et à la jeunesse

8/03 Florence Cyrulnik, adjointe au maire déléguée à la conservation, protec­tion et développement du patrimoine

9/03 Yvette Bouvet, adjointe au maire, déléguée aux personnes âgées et aux élections

11/03 Claudette Madec, conseillère municipale

14/03 Fatih Bousbih, adjoint au maire délégué à la politique de la ville

15/03 Jean-Pierre Lassignardie, conseiller municipal délégué à/' éveil des enfants et à la citoyenneté

16/03 Françoise Pouchko, adjointe au maire déléguée aux affaires scolaires et à la petite enfance

17/03 Sabine Baroux, conseillère municipale déléguée pour les questions rela­tives au tourisme -------18/03 Denise Peuchot, conseillère municipale déléguée à la politique sociale

21/03 Sylviane Graux, conseillère municipale

22/03 Jean-Bernard Carrere, adjoint au maire délégué aux finances, aux contentieux et à /'informatique

23/03 Marie-Ange Marcillat, conseillère municipale déléguée pour les ques· tions relatives aux archives historiques

24/03 Jean-Marie Reyre, conseiller municipal délégué pour les actions relevant de la santé publique

25/03 Lucienne l!Hegarat, conseillère municipale

29/03 Robert Morini, adjoint au maire délégué à la prévention des risques et au comité hygiène et sécurité

30/03 Jacques Marcellin, conseiller municipal délégué au plan de circulation de la ville et à la 11.réventfQn routière

31/03 Christian Batlle, adjoint au maire délégué aux relations avec la populo· tion et les acteurs économiques

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Démocratie locale

Quatre adjoints de quartier bientôt à votre écoute Conformément aux dispositions de la loi de démocratie de pro­ximité<» qui vise à associer davantage les citoyens aux décisions locales, le maire a proposé de nommer quatre adjoints de quartier : Lucienne L'Hégarat, Marie Ange Marcillat, André Mornave et Jean-Marie Reyre.

C onsciente de l'importance pour les citoyens d'avoir un lien direcL avec leurs représentants, la municipalité a voté, lors du Conseil municipal

du 27 janvier dernier, la nomination de quatre adjoints de quartier repré­sentant quatre secteurs de la commune (nord, centre-est, centre-ouest, sud). Le Lerritoire de La Seyne est étendu et répond souvent à des exigences diver­sifiées entre le nord et le sud, l'est et l'ouest. Il a été découpé en quatre péri­mètres déterminés en fonction de leurs facteurs démographiques, de la spé­cificité de chacun el de leur réalité socio-économique. 11 La loi impose ces 1wmi1iaLions aux villes cle plus de 80 000 habita11ts. Et même

si nous ne faisons pas partie de cette catégorie, nous avons trouvé l'idée i11léres­sante. Mais il est hors de question d'en faire des maires de quartier» explique Arthur Paecht. Ces derniers, en effet, auront des missions bien déterminées. Leur rôle consultatif sera essentiellement de recueillir les avis et proposi­tions des habitants et de faire remonter les éventuels dysfonctionnements auprès des services municipaux concernés. 11 Il ne s'agit auc1111e111ent cle régler des problèmes de loge111e11t, d'emploi 011 de subventions aux associations par exemple » précise Arthur Paecht. Ceue " clécenLralisation au quotidien " sera mise en place très prochaine­ment. Nous vous tiendrons régulièrement informés de leur action. {*) votée le 2ï révrier 2002.

Consultation du Programme Local de !'Habitat

Le Programme local de l'habitat (PLH) vient d'être approuvé par la commu­nauté d'agglomération. Il expose des grandes orientations sur les possibili­tés d 'améliorer le marché du logement dans les 5 prochaines années. Il est possible de le consulter à :

Mairie annexe - service technique - Av. P. Mendès France Service urbanisme et action foncière - 4;,,,. étage.

... ................. .... ........ •.• ..... • • • • Un tarif social pour l'électricité •

• • • • • • Depuis le 10 janvier 2005, les personnes bénéficiant de la CMU (couver- • • ture maladie universelle) peuvent prétendre à une réduction de leur fac- • • • • ture d'électricité dans la mesure où leur revenu est inférieur ou égal à • • 5 520 euros/an. Un courrier a été adressé par EDF à tous les bénéficiaires • : potentiels qui doivent impérativement retourner leur formulaire de : • demande sous peine de perte des aides correspondantes. • • • • 0

• • • •

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Insertion par le sport "1 oo ceintures noires

1 1 • ,, vers 'emp 01

De dmiic cl gauche, Cathy Calvel, conseillère â la direction départementale jeunesse et sports, Be ma rd Delctang, directeur départemental jeunesse cl sports, Alain Ajello, adjoint délégué à la jeunesse cl aux spons et Anlmr Paccht, maire de La Seyne sur 1\ller.

Cette opération initiée par Thilo Firchow, président du tribunal pour enfants de Toulon, permet à des jeunes issus de quartiers difficiles de pratiquer le Judo. Une discipline connue pour transmettre de nombreuses valeurs morales et ainsi prévenir les risques de marginalisation et de délinquance. Après Marseille, où ce programme existe depuis 1998 et affiche de bons résul­tats, la Ligue PACA de Judo, la municipalité, le Dojo des Arts martiaux et les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Toulon en partenariat avec l"'APEA" et "Femmes dans la cité" ont décidé de mener l'opération "1 OO ceintures noires vers l'emploi" à La Seyne.

L a promotion des fonctions éducatives et sociales du spon est une priori­té de l'action du ministère d e la jeunesse, des sports el de la vie associa­

tive. Le 26 janvier dernier, dans les nouveaux locaux du service des Sports installé depuis peu rue jules Guesde, le maire Arthur Paecht et Alain Ajello, adjoint délégué à la jeunesse et aux sports recevaient Thilo Firchow accom­pagné d'une délégation de magistrats du TGI de Toulon, Bernard Deletang, directeur départementa l j eunesse el sports et Joël Canapa, conseiller régio­nal pour leur présenter officiellement la mise en place de l'opération "100 ceintures noires vers l'emploi" sur la commune. Ce projet d'insertion par le judo sera mené en partenariat avec le Dojo des Arts martiaux pour l'aspect sportif, I' "A PEA" e1 "Femmes dans la cité" pour l'aspect social. " Les deux associalio11s auront une 111issio11 cle repérage du public, d'accompag11eme11L et de suivi pédagogique, explique Alain Ajello. Le Dojo des Arts martiaux accueille­ra les j eunes, les e11cadrera et les guidera clans la pratique de ce sport_ qui est 1111 formidable vecteur de respect des règles et cle respect de l'autre ».'Celte opéra­tion concernera 20 filles c l garçons de 8 à 17 ans, issus du quartier Berthe mais aussi des autres cités J-1 LM de la ville. La prise en charge financière des besoins sera assurée par la mairie via le service des Sports.

De la pré-prévention 11 Chaque fois que 11011s po11vo11s do1111er 1111e clta11-ce de réimerlio11, 11011s le faiso11s déclarait le maire Arthur Paechl. Avec l'ad/1 ésio11 ci l'opéralio11 " J OO cei11l11res noires vers l'emploi da11s le ~rr", 11ous 11ous plaçons en amo11t, praliq11a11t ai11si de la pré­prévention. Le j11do esr 1111e véritable promotion de la civilité et sa pratiq11e permer à des je1111es en ma11q11e de repères éducatifs d'être acrneillis au sein d'une cellule familiale où le respect est de mise. De plus, celle actio11 q11i co1111ail 1111 succès i11co111estable sur Marseille favorise large111c11t l'ac­cès des jrn11es a ww pratique sportive régulière '" Et M. Cazenave, procureur de la République du TGI de Toulon de conclure : " Relrouvfr ccrtai-11es valeurs est la mcille11rc des i11scrtio11s pour que ces je1111es évitent de 11011s rc11co11t rcr '"

Dojo des Arts Martiaux : 04 94 87 96 65 Femmes dans la cité : 04 94 06 66 60 APEA : 04 94 94 88 06

Les magistrms varois, les rcprésemants de la police na1iOJ1ale, les responsables des sentices jeunesse et S/IOrts de la Ville, réunis autour d'Alain Ajello c'l la base nautique pour lancer l'opérarion " /OO ceintures \'CtS l'emploin.

.! Marche athl~tique : DIMANCHE 6

MARS DE 9H À 12 H se déroulera au stade Scaglia le championnat du Var FSGT et le critérium de printemps à la marche toutes catégories, licenciés et non licenciés. Contact : 04 94 06 52 81

.! Raid multisports : DIMANCHE 13 MARS

(8h/16h) de Janas à Saint Elme, organi­sé par l'association Azimut Outdoor. Contact : 06 76 01 26 61

.! Athlétisme : SAMEDI 26 MARS au stade Scaglia, (13h/20h) meeting de Pâques d'athlétisme.

Contact : 04 94 30 Bo 69

./ Biathlon k ayak VTT l SAMEDI 9 AVRIL,

entre Saint Elme et le Mai, organisé par la société nautique La Méduse.

Contact : 04 94 94 95 42

.! Marche At hlét ique : SAMEDI 2 AVRIL,

stade Scaglia, Championnat du Var FFA à la marche et course de distance, organisés par l'ASMAS.

Contact : 04 94 06 52 81

.! Aïkido : DIMANCHE 3 AVRIL, au gymna­se Langevin, (8h30/ 12h), 1"' rencontre régionale d 0Â1l<ido organisée par l'Ârl<ido club Seynois. Contact : 04 94 87 46 37 ou 06 09 67 58 97

.! Judo : DIMANCHE 3 AVRIL, salle Baquet, 2""' Trophée International de Judo organi­sé par le Dojo Cap Sicié (9h/19h).

.! Cyclisme : SAMEDI 2 ET DIMANCHE 3

AVRIL, Grand Prix cycliste de la Ville organisé par le Vélo sport seynois.

Contact : 04 94 63 JO 39

.! Voile : Samedi 2 et DIMANCHE 3 AVRIL,

les 1 OO milles de La Seyne à la voile organisés par la Société nautique des Mouissèques (samedi 2 à 1 Oh et diman­che 3 à 1 Sh). Contact : 04 94 87 20 07

.! Cross La comiche varo ise : DIMANCHE 3

AVRIL, organisé par le CSMS Athlétisme de La Seyne au Mai. Départ à 9h30.

Contact : 04 94 JO Bo 69

Pour plus d'informations, renseignez-vous auprès du Service des Sports au 04 94 1 O 81 40

., 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

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-fa Q. ·o ·-c :s E ·; en c 0 u

s moins de 20 ans

A la rentrée de ja11 vie1; Françoise Pouc/1ho, adjointe au maire délêguée aux affaires scolaires et à la petite cnfa11cc, a partagé le déjeuner dans le rwuveau self, avec les élèves de l'école.

Jean-Jacques Rousseau se met au self Le programme de transformation de tous les restaurants scolaires des écoles de la ville en self-services se poursuit. Un projet initié, concrétisé et suivi depuis 3 ans par le Conseil municipal des enfants.

" C'est super, on peut manger à /' heure qu'on veut et avec qui on veut, et en plus on peut choisir ce qu'on va manger ". Malaury, Eva, Priscilla et Cassandre n'aimaient pas trop " manger à la cantoch ". Depuis début janvier, elles ont changé d'avis. Tout comme l'ensemble des demi-pensionnaires de ce groupe scolaire qui apprécient dé­sormais de déjeuner au self. Une formule qui ravit d'autant plus Marcel Djian, le directeur de l'école et le personnel du res­taurant scolaire : " Il y a beaucoup moins de bruit, les enfants sont plus calmes parce qu'ils mangent à leur rythme " se réjouit le directeur. "Nos conditions se sont vraiment améliorées grâce au self ", assure le per­sonnel. Pour Françoise Pouchko, adjointe au maire déléguée "un bon déjeuner est déterminant pour appréhender une après-midi studieuse. Il est primordial que les enfants se sentent bien dans leur école, c'est un des freins à /'échec scolaire ".

Vérifier l'équilibre nutritionnel Souhaité et initié il y a 3 ans par le Conseil municipal des enfants, le programme de transformation de toutes les cantines en self est bientôt terminé. Fin 2005, grâce à l'énergie des " élus juniors " guidés par Jean-Pierre Lassignardie, conseiller munici­pal délégué à l'éveil des enfants à la citoyenneté, tous les élèves des écoles pri­maires de la ville déjeuneront bientôt dans un self. De quoi satisfaire Nicole Sarrey, diététicien­ne et responsable municipale de la restau­ration scolaire : " le self permet au person­nel de vérifier l 'équilibre nutritionnel de chaque plateau. Pour l'apport en calcium par exemple, l'élève a le choix entre un fro­mage et un yaourt. La formule permet aussi aux enfants de découvrir de nouveaux goûts comme la soupe maison que nous mettons au menu une fois par semaine ".

Ecopol

Les policiers à l'école Depuis 1998, sous l'égide du programme Ecopol, les policiers du commissariat seynois vont régulièrement à la rencontre des élèves du primaire afin de sensibiliser les enfants aux pro­blèmes de sécurité quotidienne. Le 25 janvier dernier, ils informaient les élèves d 'une clas­se de CM2 à l'école Malsert.

L e commissaire Casteldaccia, commandant le commissa1iat de La Seyne-St Mandrier, le capitaine Baeza , son second et Je brigadier Beccaria ont rencon tré les élèves d'une classe de l'école Malsert le 5 janvier dernier.

Une rencontre placée sous le signe du dialogue et de la prévention : « L'.objectif est d'infonner el de prévenir les élèves des dangers auxquels ils pe11ven1 être confmntés comme la violence, le rachet 011 encore les agressions sex11el­les » explique le commissai­re. « Ces rencontres les aident à mieux comprendre /'insécurité quotidienne à l'é­cole et en dehors, précise Michel Martinez, conseiller pédagogique au bureau de l'inspection académique, et les informenl sur les moyens d'agir contre la violence ver­bale, la violence physique, le rad1eL et Lo111es a11Lres fonnes d'incivismes. Des clélits qui, s'ils ne sont pas clénoncés peuvent c/urement marquer certains élèves el parfois même, les mener à l'échec scolaire ». Et d'ajouter : « cela permet a ussi aux enfants de mieux connaître le rôle des policiers 11. Le pro­gramme Ecopol est tout aussi bénéfique pour les for­ces de police qui , par le biais de ces renconlres, s'imprè­gnent du ressenti des enfants. Elles délient les lan­gues en donnant la possibi­lité aux enfants de dévoiler aux forces de police les types d'agressions q uïls subissent au quotid ien.

Article écrit avec le concours d'Hélène Guaddacha (élève de f 1"".. . "stagiaire" à la rédaction de F-s-S)

8 Fenêtre sur Seyne -n°4 l - mars 2oos

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Après des années d'attente, l'ensemble du personnel encadrant les jeu­nes dans les 5 structures de la Ville est aujourd'hui d iplômé. Un gage de qualité qui permet aux différents points d 'accueil désormais agréés Jeunesse et Sports de s'engager dans de réelles actions pédagogiques et éducatives. Bilan de 3 années d'actions en faveur des jeunes avec Alain Ajello, adjoint au maire délégué à la jeunesse et aux sports.

l'I .ra11 teric tr lîso! Alifu d'écriture hip hop ~1vc.c . 11; •

pendant les vawnccs de Jcvncr.

L e service jeunesse n'est pas une "garderie (( pour ados". Depuis 2001, cl la demande de monsieur le maire, 111011 prédécesseur Fathi Bousbi/1 el 1110i-mên1e avons mené une réelle poli­tique.feu11esse. Il faut dire qu'auparavant la majeu­re partie des animateurs encadra11t /es jeunes des 5 s1n1clures (* ) cle la ville n'était pas diplômée. llinimalion est une vocalio11 qui cloil s'inscrire au sein d'une politique éducative jouanl 1111 rôle péda­gogique prépondérant. L.animation, ce n'est pas simplemeul de /'e11cadre1ne11t et le service jeunesse n'est pas qu'un distributeur de loisirs.

Des com11romis entre l'étl11cntif et le l11diq11e On essaie de monter des projet.s dans le cadre du respect de la citoyermeté et de l'enviro11neme11l (NDLR : voir notTe édicion de décembre dernier : « les jeunes de L1 Maurelle se mettent au tri sélectif et montrent l'exemple » ). Nos animateurs sont désormais fonnés avec /'objectif de donner aux jeunes des repères st111cturar11s en développa11t sans cesse des compromis entre l'édu­catif el le lt1clique comme l'aide aux devoirs par exemple. En lien avec le PEL ( •·*) qui fixe les objectifs territoriaux, le service jeunesse monte pour chaque stucture w1 projet d'animation qui lui est propre. Par ailleiirs, nous avons n1is en place 1111 véritable travail e11 réseau avec différents partenaires institutio1111e/s comme la MlAj c~, ... ;) et associatifs comme / 'APEA et SOll Poi11t Santé jeunes avec qui 11ous lravaillo11.s quand nous détectons des jeu11es en difficulté.

Des subve11tio11s s11bte11tielles Grâce cl tous ces efforts de professionnalisaLion, louces les structures j eunesse cle la Ville sont dé­sonnais agréées jeunesse et Sports. En 2001 , sur les 4 slrnctures exista11tcs (NDLR: en 2003, la nouvelle structure Loro a vu le jour à côté de l'espace municipal Tisot) seule une était agréée j eunesse el Sports. Ces liabilitalions ont pennis au service de monter de 1w111/m:u.x dossiers de demandes de subve11Uons el ai11si obtenir des crédits supplémentaires. Dans ce cadre, la Ville est liée d la CAF qui 1101LS awibue une s11bventio11 par jeune insetil selon des ta11x très précis el au Co11seil général par /'intermédiaire clu progrnrnrne Temps Libre (NDLR : 33 000 € de subven­Lions en 2004). Ces subventions 11ous pen11e1te11t de monter de nombreux projets pour l'ave11i1: Aussi, nous développons de nouvelles activités comme la balle ovale au F111ctidor q11i co1111aîl 1111 réel succès puisque cieux des débuta11ts de l'a11 dernier sont désonnais intégrés dans une équipe du club de la ville. Nous édi terons bientôt un journal j eunesse et Sports. Nous allons enfin pou­voir démolir les algécos du Mo111 cles oiseaux el aménager les excérieurs. Une nouvelle st111cture verra le jour en ceul.re ville, 111e Evenos. Elle remplacera celle de la rue Fra11cl1ipa1111i, devenue trop exigfie.

Trois concerts œ t été MaLs par dessus toue , ce que nous souliaito11s c'est loutfaire pour que le service ]e1111esse soit par­faitement intégré cl la Ville el à ses activités. En projet dans ce carlre: 3 dates co11œ rls de musiques actuelles cet élé el 11ne parc icipatio11 active m1 léléthon et à la fête de la 11wsique. Nous ferons aussi en sorte que /'Espace Accueil jeunes des Sablettes, qui est lwbilité pour /'hébergeme11C, soit actif to111e /'w111ée. Les jeunes sont l'avenir de noire ville. et dans 1111e société oi1. hélas. ils ont de plus en plus de difficultés à intégrer une société qui souvenc les r~jettc, nous avons le devoir de tout faire pour le11r dor111er des repères sln1ct11ra11ts '!fÏ" q11'i/s p11issc11t intégrer le 111011de des adultes dans les meilleures co11dilio11s possibles. »

(* ) t:espace accueil jeunes des SabletleS, Seyne jeu nesse 6. La Maurelle, le Mont des o iseaux.

Cl au Fruc1idor-l .. oro. place Ban olini. Pour wus renseignements contacter le service municipal

de la jeunesse au 04 94 30 04 5 .1

( • > Plan éducarir local. (**" ) Mission intercommunal actions jeunes.

lnfos du BIJ Bureau information jeunesse

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L'hiver tire bientôt sa révérence ... A l'heure où Dame météo se fait plus douce, nous avons voulu donner à cette édition du "mois des fous" un petit avant­goût d'été. En attendant de vous annoncer le programme définitif des réjouis­sances, voici quelques mises en bouche. Bon appétit !

LE MEHU DE L'ÉTÉ 2005 EST CONCOCTÉ PAR LE SERVICE FESTIVITÉS, LE

SERVICE CULTURE ET PATRIMOINE ET LE SERVICE JEUNESSE. Ces TROIS

SERVICES ET LEURS ÉLUS DE TUTELLE, SERGE DANINOS, DOMINIQUE

BAVIERA ET ALAIN AJELLO QUI TRAVAILLENT EN RÉSEAU SUR UN

PROJET COMMUN, PEAUFINENT ENCORE LEUR PROGRAMME.

~ AU MENU DES JUILLETISTES :

V En centre-ville - La 3'''" édition du festival des Arts de rue

"Les journées particulières" du 7 au 10 j uillet. Organisées par le service Culture et patrimoine en partenariat avec /' association seynoise Théâtre Europe. - La 2•nx édition' des "Nocturnes du commer­ce équitable" du 13 au 26 juillet. Organisée par le service festivités en partenariat avec la Jeune chambre écono· mique de Toulon et sa région. Ce marché unique en son genre proposera cette année encore des produits labelisés et issus d'une économie solidaire où chaque intermédiaire est assuré de gagner correctement sa vie. • La 3•mc édition du fest ival des danses et musiques du monde du 22 au 26 juillet fera la part belle au Costa Rica, à la République des Tchouktches, au Vanuatu, à la Tchouvachie et à la Bouriatie (deux Etats de l'Oural) . - Deux concerts de musiques actuelles les 10 et 11 juillet. Organisés par le service Jeunesse en partenariat avec le PIM' 5 ( le Point d'information musicale installé au BIJ, quai Hoche). • La 6'.,. édition du "Cubain" du 15 au 20 juillet, qui, succès oblige, quitte les murailles du fort Napoléon pour le square Arist ide Briand et le quai de la Marine. Un festival organisé par le service Culture et patrimoine en partenariat avec/' association seynoise Théâtre Europe.

- Ambiance brésilienne aux Sablettes le 29 juillet avec la samba de Jainero Verde. • Le fest ival de Jazz fêtera cette année ses 20 ans au fort Napoléon pendant la dernière semaine de juillet. A cette occasion la galerie de la Tête d'Obsidienne présentera les œuvres de Gérard Fromanger. Par ailleurs, un hommage posthume sera rendu au peintre Jean Berthier. Quant aux apéros jazz ils investiront l'ensemble de la ville durant le festival. - Sans oublier le feu d 'art ifice du 14 juillet et un grand bal Disco

• qui sera assuré par Vitamix sur le port.

.é AU MENU DES AOÛTIENS :

'W' Aux Sablettes · Le Brésil, encore et toujours, avec Santa

Esméralda, une animation de plage le 6 août. · Une animation de plage autour des musiques

actuelles (Hip Hop, R'B, House et Techno) début août avec les DJs de l'association seynoise Les Mackiz'Arts, un concert de Hip Hop de l'infanterie, des danseuses, un atelier mix pour s'essayer au Djing, des stands de disques et de fringues l'après-midi. En soirée un gros " dance-floor " sur le sable avec aux plat ines un échantillon des meilleurs Djs de la région.

· Les "Nocturnes Littérai res" organisées par la Ville et le Conseil général du Var, réunissent les

auteurs du moment. · Le 15 août, un grand concert surprise sur la plage

(indice : ils ont passé 4 mois dans un château) et un feu d'artifice qui devrai t comme l'an passé ravir toute l'aire

toulonnaise.

Terre, mer, massif •.. 3 atouts pour La Seyne~

Nul doute, not re commune possède des valeurs sûres dans le OC domaine touristique, des valeurs humaines, historiques, géo­graphiques et économiques qui en font sa richesse. ~ L'orientation de la politique touristique entreprise par la::• municipalité depuis trois ans a mis en marche un des moteurs V• importants de l'économie. a

l a ville est en marche ». Sabine A (( Baroux, conseillère municipale déléguée pour les questions relatives au tourisme, rappelle qu'il n'est pas ques-t ion de faire du " tout tourisme " mais de tabler sur un choix judicieux et harmo­nieux de différentes composantes, pour accompagner résidants et touristes. Mixité sociale, activités pluri-industrielles, p luri-commerciales, activités tertiaires (dont le tourisme), développement durable, diversité des fonctions urbaines, tous ces paramètres doivent s'imbriquer

pour répondre à " la réappropriation du territoire par la popu­lation". Ils sont partie prenante du Plan Local d 'Urbanisme, élé­ment moteur de la politique d'orientation touristique. Concrètement, l'aménagement du site des anciens chantiers, l'hôtel, le parc paysager et le port ainsi que sa future extension sont un exemple " d'une bonne conjugaison entre la municipa-lité, ses partenaires économiques privés et la population ".

Des atouts multiples Station balnéaire et climatique de fait, la ville double en nombre d 'habitants durant la saison estivale. Depuis trois ans, les acteurs du tissu économique et touristique sont sensibilisés aux orientations politiques du maire : faire de La Seyne une ville multi-facettes. Ainsi, des efforts ont été réalisés en matière d'accueil, de service et de formation des personnels. Le changement d'image de la ville est désormais perceptible. Les habitants des communes avoisinan­tes et les touristes réguliers perçoivent cette mutation. Une ville plus propre, une revalorisation des habitations, un marché pro­vençal bientôt plus attractif, sans oublier 25 km de littoral, la baie des Sablettes, la corniche de Tamaris, des criques ou encore le massif du cap Sicié concourent à valoriser la commune comme une destination diversifiée, accueillante et abordable qui a l'intelligen­ce_de préserver son âme. Par ailleurs, la communauté d'agglomération Toulon-Provence­Méditerranée (TPM) a compétence pour la mise en valeur du patrimoine touristique de la commune notamment au sein de l'ag­glomération où elle tient une place prépondérante de par ses atouts. Autre structure, !'Office de tourisme intercommunal des Sablettes, devenu Epic(I>, dont la mission consiste à la valorisation du territoire via des actions ponctuelles ou à long terme de pro­motion et d'accueil. La destination La Seyne se construit au quoti­dien et joue la carte de la différence.

(1) Etablissement public à caractère Industriel et commercial

L'édition 2005 du guide touris­t ique commun à La Seyne, Six­Fours et Ollioules, réunis au sein de l'offi­ce de tourisme intercommunal a été présen­tée à la presse le 27 janvier par Jean-Sébastien Vialatte, président de cette structure. 70 000 exemplaires sont à la disposition du public et disponibles dans les offi­ces de tourisme, les mairies concernées et chez certains professionnels du tourisme . Un ensemble de services : p la­ges, matériel nautique, monuments, artisanat, restaurants, hôtels, gîtes, locations et autres prestataires sont réperto­riés pour rendre les vacances plus accessibles à tous. Dans le même ordre d'idée, le guide des locations saisonnières est paru. Tiré à 10 000 exemplaires, il complète l'offre esti­vale sur les trois communes.

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e la ville

Cèntre national dès "Arts du cirque

Le CNAC fait son cirque à Berthe

Le chapiteau accueille une classe de l'école Renan venus développer leur projet de conte musical avec les intervenants du CNAC.

L'orientation de la Ville sur le cirque contemporain a contri­bué à maintenir le lien et l'intérêt pédagogique et artis­tique sur les Arts du cirque. Et le chapiteau installé devant l'hôpital devrait devenir à terme une véritable école du cirque. Un projet du Centre national des Arts du cirque soutenu par la Ville de La Seyne-sur-mer, la communauté d'agglomération TPM et le Conseil général du Var.

L e Comrat de ville et le Grand pro­jet de ville (GPV) ont défini il y a 4

ans le cadre des programmes d'inter­ventions dans des quartiers ciblés. Objectif : développer les initiatives individuelles et collectives, les projets innovants visant à améliorer les con­ditions de vie des habitants. Le parte­nariat entre le CNAC et la Ville sous l'égide de Dominique Baviéra, adjoint au maire délégué aux affaires culturel­les et animation de quartiers, s'inscrit dans cette volonté d'offrir à un large public la possibilité de vivre des expé­riences riches d'enseignements à tra­vers des activités ludiques et stntctu­rantes pour les enfants. A terme, l'am­bition de la Ville et de ses partenaires<» est de prolonger cette action, de l'ins-... .

taller dans la durée afin que " les strnc­t11res associatives se l'approp1ie11t, l'intè­grent ple-i11e111e11t à leurs activités. Par ailleurs cette action s'insc1it dans le pro­jet global cle préfiguration du pôle théâ­tral», précise Dominique Baviéra. «La

mise en place des ateliers "Arts du ciir1ue" vise également à favoliser la venue à Berthe des populations issues des autres </Uartiers de la ville pennettant ainsi wie réelle mLYilé sociale. Elle se distingue par 1111 fort volet social qui place l'individu au centre des réalisations et lui pennet de s'exzHimer » précise Fathi Bousbih, adjoint au maire délé­gué à la poliliquc de la Ville. Pour Caroline Depallens, conseillère géné­rale « la culture fait partie i11tégra11te de l'éclucatio11. Le CNAC évolue à w1 très

ltaut niveau, c'est 1me chance pour La Seyne cle mobiliser toutes les générations par la culture. En pmfait acco1d avec le programme "Lieux de vie" du Conseil général, ces ateliers vont pennettre d'ou­v1ir le quartier sur la ville. »

Décloisonnement et proj ets intergénérationnels « Cette action sur le quartier Berthe fait apparaître w1 bilan très positif au regard des retours des acteurs locaux et des populations concernées, se réjouit Alexandre Del Perugia, codirecteur du CNAC intervenant pour le ministère de la Culture et de la Communication. A l'heure actuelle, le chapiteau a accueilli 1 500 enfants et adultes et une dizaine d'établissements scolaires. 011

peut noter des moments privilégiés avec 1111 groupe de mamans du centre Nelson Mandela, 1111 groupe de person­nes âgées, des enf a11ts el des adolescents venus librement participer mL"< ateliers. On a constaté, dès les premiers jours de l'action que des prolo11ge111ents se tissent avec des projets transversaux issus de l'Ed11catio1111alionale par exemple». Mais au-delà de tous ces aspects tech­niques de jeux, pédagogiques, de psychomotricité et d'apprentissage corporel, il faut lire dans les yeux des enfants la joie lorsqu'ils évoluent sur un trapèze ... Et c'est bien là toute l'es­sence de ce projet.

(*) Conseil général du Var, Conseil régio­

nal PACA et l'Etat)

f'" . AsS()ÇÏ~~i~ry_,"Bibliot~~~: J'.our tous" 1 Pour l'amour éi~s · hvres>'· · ·· ' ' 1 La "bibliothèque pour tous" de la rue Messine vient d 'acquérir de nouveaux ouvrages (romans, : biographies ... ). Avec un accueil chaleureux et des tarifs très abordables, cette bibliothèque est

" Au plaisir des sens "

Mélanger les genres

ouverte toute l'année (vacances scolaires comprises). Elle lance aujourd'hui un appel aux volon-

taires amoureux des livres pour assurer les permanences. Bibliothèque pour tous : rue Messine. (Pas de téléphone). Horaires d'ouverture : les mardis, vendredis matin de 9h à uh et les mercredis après-midi de

14h30 à 16h30. Adhésion : 9€ l'année et o,90€ par livre.

Aux cimaises du PMU Les toiles de Nicole Gix En mars, Stéphane Codaccioni accueille au Grand Bar PMU les toiles colorées, mi­abstraites, mi-figuratives de la cuersoise Nicole Gix. Le vernissage aura lieu le 18 mars à partir de 19h. Nicole Gix au Grand Bar PMU, rue Cyrus Hugues. Tél : 04 94 94 84 45·

la t3oite a t3ùoux "7-

Josépha tire sa révérence La dame chapeau de la rue Franchipanni part en retraite bien méritée. Elle cède sa boutique à Patricia qui continuera d'en­chanter les passantes avec sa vitrine aux milles et un chapeaux. "Je remercie ma fidè­le clientèle qui va me manquer. Je souhaite longue vie à la boutique mais aujourd'hui j'ai envie de profiter de ma maison et surtout de partir en vacances. Première destination : la Corse. " Au revoir Josépha, bon voyage et bonne retraite !

C'est un plus pour la place Perrin, pittoresque et populaire, avec ce nouveau concept de restaurant-salon de thé-galerie d'art. Comment lier les saveurs de la table aux subtilités de la peinture ? C'est ce que propose Gregory Teramo, le propriétaire de cet espa­ce atypique aidé par deux personnes récemment embauchées.

Un chef cuisinier et une serveuse officient depuis l'ouverture, le 6 janvier dernier. Ils ont respective-ment 30 et 20 ans et j usqu' alors étaient demandeurs d'emploi. Ces deux seynois ont saisi cette oppor-tunité offerte par ~ Gregory Teramo, " deux professionnels qui concourent à faire de cet endroit une réussite ". L'ambiance, il est vrai, flirte avec le côté cosy et confortable, teintée de couleurs chaudes, grenat et jaune clair, rehaussée de boiseries, le tout sur fond d'airs jazzy. C'est dans ce décor que tous les deux mois des peintres viennent exposer leurs toiles. Depuis l'ouverture et jusqu'au 15 mars, Jacqueline Sudrie a prêté 28 tableaux. Cette ancienne élève des Beaux-Arts propose des œuvres modernes. Portraits, r:>aysages, scè­nes de vie, tantôt méditerranéens tantôt africains, tous reposent sur deux teintes, l'ocre et le bleu. Dès le 16 mars, un artiste togolais prendra la relève en partenariat avec la Galerie des arts contempo­rains et les Chantiers de la lune.

Au plaisir des sens, 7 p lace Perrin/ Tél . 04 94 63 41 96

Fenêtr~ sur Seyne - n°4 1 - mars 2005 11

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-11· - - - -· - - - - . ·~ ~ · u fil de la ville

Quartier Berthe

Ouverture d'un point cyberbase Loin d'être un effet de mode, ponctuel et éphé­mère, l'ouverture prochaine de la cyberbase, au cœur du quartier Berthe, représente un nouvel ensemble d'accès aux technologies de la commu­nication, au service de la mixité sociale et dans le cadre du Contrat de ville.

E xit la supérelle, place de Berthe. tlfape* va la transformer en cyberbase constiluée de trois espa­ces dédiés à la formation aux nouvelles technologies, au multimédia/internet et enfin à l'initia­

tion/libre accès. D'un coQt de 45 L 000 €, l'Agcnce nationale pour la rénovation urbaine (Anru) prend en charge 225 000 €. Le reste est financé par la ville de La Seyne, la communauté d'agglomération Toulon­Provence-Mécliterranée, le conseil régional et la Caisse des dépôts et consignations. Le futur centre conforte le quartier dans sa recherche de la qualité et de la performance. " Faire de l'excellence èi Berthe ne doi t pas i11te1pc/ler >> précise Fathi Bousbih, délégué à la politique de la ville. La cybcrbasc sera l'une des plus importantes en France et son rayon de compétence dépassera lar­gement les limites de Berthe. Cinq personnes animeront la structure dotée notamment de 25 pos­tes informatiques, cl' accès ADSL et de logiciels Pao. Du matériel pcrfonnant donc pour aider jeu­nes et moins jeunes à s'intéresser à d'autres mondes thématiques (culturel, scientifique, musical, etc.) qui concourent à l'épanouissement personnel et collectif. Et à mieux s'insérer dans la société. *lnitialive formation appui pédagogique emploi

Renseignements au 04 94 10 96 20

LA MARINE AU SECOURS DES VICTIMES DU TSUNAMI

La marine nationale a engagé de très nombreux moyens de secours pour porter aide et assistance aux victimes du terrible raz-de-marée qui a affecté le sud-est asiatique.

Aux Maldives, la frégate Dupleix au cours d'une mission de 23 jours a distribué 180 tonnes de fret humanitaire et 500 kg de médicaments Ses marins ont distribué 5 000 litres d'eau

Un second porte-avions

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre de la défense, a lancé le 24 janvier la phase de conception du porte-avions inscrit dans la loi de programmation militaire 2003-2008 dont la livraison à la marine

à Loamu et effectué 13 interventions techniques. Le personnel embarqué du Service de Santé des Armées a réalisé 370 consultations médicales.

Y nationale est prévue en 2014.

Les équipes du ministère de la défense et les industriels, en particulier les maîtres d'œuvre DCM et Thales, peuvent maintenant engager la définition du bâtiment pour préparer les travaux de réalisation qui devraient débuter en 2006.

La Jeanne d'Arc et le • Georges Leygues " déployés en Indonésie ont été engagés dans des opérations humanitaires de premier plan. Au 1" février le bilan de l'opération Beryx s'établi~­sait comme suit : 8 600 enfants indonésiens vaccinés contre la rougeole, 1 000 consultatio

médicales, 51 tonnes de fret humanitaire distribuées par hélicoptère dans les zones

les plus reculées ayant nécessité 166 heures de vol.

Opération " Garage propre "

La mairie signe la Charte d'engagement Démarches Administratives :

Une erreur s'est glissée le mois dernier dans le numéro réservé aux informations administratives. Il faut donc composer le 3939 pour obtenir tes renseignements

concernant tes formalités, la consommation, la santé, le logement, l'environnement, l'emploi, la justice, te travail, etc.

Société Nationale de Sauvetage en Mer Soirée musicale le 6 avril La SNSM est composée de bénévoles chargés d'assurer les missions de secours au large de nos côtes. Cette soirée de solidarité baptisée • Esprit de mer • a pour but de contribuer au financement d'une nouvelle vedette de sauvetage. Au pro­gramme de cette soirée, chants liturgiques traditionnels, orthodoxes et marins avec la participation du cœur d'hommes Cantadis.

" Esprit de mer " église St Paul de Toulon. Le 6 avril à 20h30

12 Fenêtre sur Seyne - n°4 t - mars 2oos

Le service Parc autos de la Ville joue la carte environnementale. Concilier obligations réglementai­res sur la manipulation et l'élimination des produits pouvant por­ter atteinte à l'envi­ronnement et la ges­tion des déchets automobiles (huiles usagées, pneus, bat­teries, filtres, etc ) constitue l'essence même de la signature par la mairie de la Seyne de ta " Charte d'Engagement ". Sous la maîtrise d'ouvrage de la Chambre régionale de métiers Paca, l'opé­ration " garage propre " était à l'o­rigine réservée aux garages privés.

Elle s'étend aujourd'hui au service public et fait de La Seyne la pre­mière collectivité territoriale à

s'engager dans cette opération. Il s'agit donc d'une étape supplémentaire pour la Ville, sensibili­sée au respect de son environnement. Ainsi, dans le cas du Parc autos, des véhicules à énergie propre (Gpl et électrique) sont

progressivement introduits. Par ailleurs, d 'autres mesures de sen­sibilisation pérennisent l'action. Elles conduisent à des économies sur les postes entretien, carburant et accident.

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La Seyne récompensée dans la catégorie Innovation 14- cérémonie des "Camions d'or'' de la sécurité routière Le 29 janvier, au palais du Luxembourg à Paris, s'est déroulée l'édition 2005 des •camions d'or". Cette manifestation récompense particuliers, entreprises, institutions et collectivités qui se distinguent par le respect des règles et de l'éthique en matière de sécurité routière. La ville de La Seyne ainsi que la pré­fecture du Var et la ville de Toulon ont reçu la distinction "Camions

La troupe Daniel Paganelli

d'or" 2004, catégorie innovation pour une action commune de sen­sibilisation auprès des chauffeurs de poids lourds conduite par l'associa­tion • les pro de la route •. Retenu par des engagements pris de longue date, Arthur Paecht s'é­tait fait représenter par Denise Peuchot, conseillère municipale déléguée à la politique sociale. Jacques Marcellin, conseiller muni­cipal délégué au plan de circula­tion de la ville et à la prévention

routière a rappelé que " la Ville est impliquée dans toutes les actions de sécurité routière en partenariat avec la préfecture du Var ". Et d'a­jouter " nous organisons ou mois d'octobre la semaine nationale de la s écurité routière dont le but est de sensibiliser le public à un certain nombre de règles de conduite, de sécurité ou d'entretien du véhicule. L'impact de cette manifestation est significatif".

23 seniors sur la scène du Zénith Galette

des rois En clôture de la journée des associations de quartier (29 janvier), la troupe D. Paganelli s'est produite une heure durant sur la scène du Zénith Oméga de Toulon. 400 personnes ont applaudi " le bar de Marinette ". Cette comédie, mise en scène par Muriel Segon, raconte les aventures sentimentales de Marinette au travers d'une kyrielle de chansons à succès. 23 personnes dont 4 hommes ont déployé leur talent, "Je suis ravie de leur prestation scénique, dira Yvette Bouvet adjointe au maire déléguée aux personnes âgées et aux élections, ajoutant, leur talent est manifeste et leur engagement en tant que béné-voles est louable ".

La Bourse du travail affiche complet

CI étai t le 26 janvier dernier 1., th . d d fond de galeues des . . e ansant e l'année sur

amical pour 210 personnes ~lS. Ce fu t un moment récréatif et Licipation de plus en ?lus r. . t .comme la tendance est ,, à la par­cige " soulign " l JOl'te d hommes aux manifestations du J -

era ivette Bouvet* chacun . par les airs de l'orchestre "D . 1's 1' a pu se la1Sser conduire · , ame Y vestre" Quoi 'il · a 1 affluence de cette prem·è ·r . qu en son, face 1 re mam1estatio · personnes n'a pu avoir de 1 D n, une trenta ine de sur la liste des réservatio: s ~ce.th ~ ~oup, elles_ om été inscrites

février. Un après-midi· h u e ansant qui a eu lieu le 23 aut en couleurs J •

thème du carnaval des seniors ! ' p ace sous le

• adjointe au maire déléguée aux personnes âgées et aux élections

et Marie Balli11i, da11s 1111c création théâtrale, 11111sicalc cr cl10régrapli iq11e d'Alc1i11 Gw11bi11, inspirée des 111é111oi res d'1111e s11rviva 11 tc de la Scco11dc Guerre 111011dialc.

Carnaval des seniors . . . h. 1 23 février dernier la Bourse du travail a

210 personnes avaient enva i e

l'occasion du c~rnaval : . able our celles et ceux sensible~ aux Rendez-vous desormais_ 1~contou~~ée I~ partie musicale était assuree déguisements. Com11_1e a 1 accout e Pa; ailleurs, vu le succès constant des par l'orchestre .de Michel Sylve~~ de s'inscrire au plus tôt. En effet, le thés dansants, il est re~om~an ~ des raisons de sécurité. nombre de places est 11m1te pou

Fenêtre sur Seyne . n°41 • mars 2oos 13

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...__-- -= ---------------

y a 100 ans

C'était en mars 1

La guerre russo-japonaise continue à mobiliser l'opinion ainsi que la

question austro-hongroise. Les événe­ments qui secouent la Russie sont l'ob­jet de toutes les conversations ainsi que le service militaire qui pourrait être ramené à une durée de deux ans.

La crise oléicole, et la crise viticole qui se dessine sont un sujet d'inquiétude à La Seyne alors grande commune agri­cole. Les vignerons s 'indignent devant les nouvelles taxes qui frappem les bouilleurs de cru et réclament l'inter­diction d'un cépage le jacquez. Ce cépage teinturier dit encore " essence de vin " serait utilisé par les fraudeurs pour la coloration de vins artificiels.

l " mars : des vols de poudre ont été constatés à la batterie de la Piastre à Saint-Mandrier. l'.opinion publique s'étonne que les batteries côtières puis­sent être laissées sans gardien alors que 300 per­sonnes postulent à ce poste. La grippe sévit. De larges placards publicitaires invitent la population à faire usage de la poudre Louis Le Gros. Ce médicament a obtenu la plus haute récompense à l'exposition universelle. Qualifié de précieux il calme la souffrance, l'op­pression, la toux et a raison des vieilles bronchites et de l'asthme. Son prix : 2 F 10 la boîte.

11 mars : l'opposition municipale tonne contre l'augmentation des impositions. Toute demande de réclamation concernant une imposition au­dessus de 30 francs doit être faite sur une feuille timbrée à 0 F 60. Un patron pêcheur essuie un coup de feu alors qu'il pêchait au tartanon à proximité d'un parc à moules. Blessé par des plombs il porte plainte.

13 mars : le conseil municipal tente de trouver 65 000 francs pour boucler son budget et la somme nécessaire pour amorlir et payer l'intérêt annuel d'un emprunt de 150 000 francs.

19 mars : le parti ouvrier fait savoir qu'il n 'est pas hostile au versement de primes à la cons­truction de navires mais il demande qu'il soit subordonné à l'amélioration des conditions de

• >(pre$SlOlil m1nor1te • Batteries Bonaparte. La justice a déddé : le riverain plaignant a gagné son procès eontre la ville. ())one, plus de centre de loisirs pour adolescents sous responsabilité de la JE>Olice ; plus de studio musical de répétitions et d'enregistrement. Certes, d'imp0r­tants travaux avaient été réalisés pour l'insonorisa­tion du studio portes fermées. Mais comment, éga-

14 Fenêtre sur Seynç n°4 l - mars 2005

CoNSTRUCTro Ns M A RITIM ES

VOLT AIRE - .M. ise en place d'une tourelle de 2 40

5

salaire des ouvriers des F.C.M.

20 mars : le parti ouvrier fête avec éclat le 34'"" anniversaire de la commu­ne. Au cours de la réu­nion organisée à cet effet on recormaîl le président de la Ligue des droits de l'homme, Je président du cercle des travailleurs, le président de la jeunesse laïque, le président du groupe ami-militariste, M. Autran ancien communard. l'.intemationale est reprise en chœur par

l'assistance. ::~::•lllÏÎllllliililli---~.:~~=~i~~i::~~=~~g Route de Tamaris le conducteur d'une charrette heurte par maladresse une voiture à

pétrole conduite par une femme. la conductrice lui demande de décliner son identité. La charretier rduse et lui assène des coups de poing. Plainte est déposée.

23 mars : les membres du parti ouvrier envoient au "prolétariat russe, /'expression de leur sympathie en lui souhaita111 de triompher de l'autocralie slave ". lis félicitent M. Allard, député du Var "pour l'éner-

lement avec le centre de loisirs, éviter les eruits de véhicules, etc ? Les deux activités, soulignons-le, se déroulaient en faveur de la jeunesse. Il reste à espé­rer qu'il n'y ait pas un plaignant qui intente un pro­cès à la ville au sujet <:les nuisances que provoque l'école maternelle Eugénie Cotton, ou Edouard Vaillant, ou ... ! ce qui conduirait à la même c0nsé­quence (de fermeture de la structure). Une ques­tion demeure : à quoi va être destiné l'espace important et très bien placé des Batteries Bonaparte ? Espace pr0tégé ? Patrimoine public ?

Terrain pour bâtir, et quoi, et par qui ?

gie do11t il a fait preuve en déposant son projet de séparation de l'Eglise et cle l'Etat".

27 mars : l'escadre de la Méditerranée simule une attaque des forts de Toulon. Le canon tonne. Les croiseurs ripostent avec vigueur. Les torpilleurs s'acharnent contre les bâtimems "ennemis". « La 1111i1 très noire a donné d l'exercice w1 aspect tcnible »

assure un témoin .

• Le stationnement des véhicules, faisant l'objet d'une délégation de service public de la ville à une soeiété privée, devrait prochainement entrer en vigueur (excusez le mot voisin de rigueur): réhabili­tation de la structure Jean-Baptiste Martini, e0nstruc­tion de nouvelles structures verticales de stationr:ie­ment, gestion du stationnement horizontal et autres formes. La recherche du " rationnel et du civisme " passera certainement par la voie pécuniaire pour les automobilistes (et peut-être" deux roues"). 1 Solar6e ANOR!EU, Syivle GUERIN, Raphaële LEGUEN, Jean Luc BRUNO,

Marc VUlu.EMOT, Charles BOT, FranclsqJe !.UM'NET

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Papiers de riz et harmonies Trahissant une forte sensibilité, les oeuvres de Sylvie Sénéchal surprennent à la fois par leur dou­ceur et par la grande rigueur qui ressort de ces compositions. Les matériaux acceptent un geste que l'on suppose précis et ajoutent, par leur fragi­lité, du mystère à la contemplation. Il y a en effet quelque chose de sacré et de solennel dans ce travail. On imagine l'instant qui précède l'acte de

-Ocres, aquarelles et papiers caracté1isent /'œuvre de Sylvie Sênéchal

création, silencieux voire monacal. Peu à peu, les ocres s'installent, le fusain trace son chemin et le papier de riz reçoit avec sérieux cette (divine ? ) comédie. A l'image de l'artiste, les séries exposées à la Galerie de la Tête d'obsidienne se préservent du monde comme pour mieux vivre ce qu'elles recèlent, sans doute une vraie profondeur que révèle du reste le titre de cette exposition, " Conehoïdes ''. Voilà qui nous renvoie à la coquille dans laquelle on souhaiterait toutes et tous trou­ver refuge. SYLVIE SfNÉCHAL, " CONCHOi'oES ", GALERI E LA TfTE

D'OBSIDIENNE, FORT NAPOL{ON, DU 18 MARS AU 14 MAI, VERNISSAGE LE 17, 18H00, ENTRf E LIBRE.

ô temps suspends ton vol ••• Peintre et sculpteur autodidacte, Muriel Desambrois inscrit sur la toile et le draeJ'emprein­te fugitiye des corps. t:artiste travaille selon une technique directement dérivée de celle du monotype, c'est à dire l'impression sur du papier à partir d 'une plaque de métal. Cette façon de procéder lui permet de témoigner du passage éphémère des pauvres âmes que nous sommes. C'est vrai que les images ainsi reportées sur la

toile font penser à un suaire, impression confirmée notamment lors de l'une de ces dernières exposi­tions (2004) à la chapelle St Jean-Baptîste de Saint-Jeannet au dessus de Vence. Muriel Desambrois se consacre également à la sculpture, un travail autour de poupées plus ou moins" mar­tyrisées " présentées dans des tiroirs ou des volets de bols patinés par le temps, pierre angulaire de cet œuvre singulière. MURI EL 0 ESAMBROIS, L ES GALERIES DU FORT

NAPOLf ON, EXPOSITION DU 17 MARS AU 9 AVRIL, VER·

NISSAGE LE 16 À 18H00, ENTRfE LIBRE

Patrick Moquet, retour sur dix ans de création Avec l'exposition consacrée au peintre Patrick Moquet, c'est à un parcours visitant dix années de création (1994 - 2004) que nous convie le centre d'art seynois. Pour les amateurs, l'artiste qui enseigne les arts plastiques à l'Université d'Aix-en-Provence n'est pas un inconnu dans notre cité. A deux reprises, ces pinceaux ont déjà donné de la couleur sur les

l ulture

pierres irrégulières du Fort Napoléon. En 1990, il fait l'honneur de la Galerie de la Tête d'obsidienne pour une exposition personnelle " Solution de continuité " qui l'inscrit naturelle-ment dans le champ des artistes pour qui créer ne peut s'envisager que dans la recherche et l'exploration de chemins nouveaux. En 1996 - et partageant cette fois ce même lieu avec Jean Arnaud - Patrick Moquet montre avec ses vaches peintes que le sujet ne peut faire oublier le discours autour de la peinture, caractéristique fondamentale de son travail. Nous retiendrons de 2005 à la Villa Tamaris l'éclair de ses soixante­dix moyens et grands formats, comme un trait plongé au cœur de la couleur. VILLA TAMARIS CENTRE D'ART, EXPOSITION DU 12

MARS AU 24 AVRIL, VERNISSAGE LE 11 MARS À 18H00.

L'exposition David Seifert, peintre de !'Ecole de Paris, est encore à l'affiche jusqu'au 12 mars, dans les Galeries du Fort Napoléon.

De gauche à droite, Arthur Paec/11, A1111ick el Anatole Seifert, Dominique Bavicra adjoint délégué à la wlture, lors de l'inau­guration de l'exposition.

r---------- ------ ------------------------- - ------- - - - - - --, I e Mardi 8 mars " La légende noire e Vendredi 18 mars e Mercredi 30 mars 1

du soldat 0 " " Tango, verduras y otras yerbas " de Jorge " KOPICODOS ", 1 Par le Théâtre Rodriguez et Fantaisie visuelle 1 de la Camilla Saraceni. pour jeunes et Méditerranée ..._ l e chapiteau tout public, par ....._ Théâtre (sur te ~ite le Théâtre de la

Apollinaire des anciennes Lune. à 20h45 menuiseries des ....._ Théâtre (14€ / 12€ - chantiers) à Apollinaire à réservation 2oh45 (14€ / 14h30 (8€ / 5€ conseillée) 12€ - réservation - réservation 04 94 06 84 oo conseillée) conseillée -

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~--------------------------~ Fenêtre sur Seyne - n°4 t - mars 2oos 15

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Aee~ fl\A'' programmes, dotes et lieux susceptibles de modi{icotions;fnis à jour te 23/o2

TOUS LES MERCREDIS SOIRS Restallal1t La Table de Bacchus Kcrnitl. Centre Scx:IOI et Culttre Assoc1auon corps sonore VENDREDI 1 B MARS ha1tée) ().1 94 06 02 52 JEUDI 24 MARS

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21h 04 94 62 39 38 Café ThéAtre 7 ... Vague à CONTREE ET CRÎPE PARTY par le groupe Klostro. Café Vagueà . :'i30 (réserv.) Antarès à 21h ( 1,50€ NJ. / citayen : 04 94 3117 04

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Ja'd':ns dlsis. 21h les Ombers de la l.llle à 21h. MITED : 4 FU1Tî5 ET 1 Awt:. Coco Verde. Clwlœts de M 8op : 0660 71 5340 ANTOINE PALMA ET CIE TliEATRAU, Théâtre

04 94623938 04 94064926 CONTREBASSE " OO:re la l.llle à 21 h. 04 9-1 06 49 26 SAMEDI 19 MARS Ombers de la l.llle à 21h. Apollire1e. AssooatJoo

TOUS LES SAMEDIS SOIRS SAMEDI 5 MARS Apollinaire à roi (entrée iltxe). DIMANCHE 13 MARS ,, CONCERT LYRIQUE 04 94 06 4926 mirdrs: 04 94 06 19 07

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14h30 04 94 87 68 88 même helre). 04 94 30 77 77 ., HOMMAGE À DJANGO FARON " pâf le doctru des gcumelS : 04 94 98 01 ti:J Salle Apollrare à 17h45 <sra- ,, JAIZ À L'AFFICHE AVEC

LE DERNIER VENDREDI JEUDI 10 MARS fat Napoléal à 21h30. IW!Yœ. MlllOOttans. OOtre ,, POESIE À L'AFFICHE luit~ les coocens classiques LE FESTOU TRIO

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Mendes France de PJ1 à 12h30

LES VEl'IDREDIS MATINS (selon météo)

• MARCHÉ FORAIN

Ille Hem M:Jtisse aux Sablettes

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- VISITE DE LA BATTERIE DE PfYRAS

Ouvert dJ mardi au samedi 14h-18h.

• PEIMTURES DE DAVID SEJFtRT

jusqu'au 12 mars

Les visites pei..vent être pr~ peu

des groupes ou de plus de 10 peis. le week-

end uniquement sur rendez -'vtlUS (ruée

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GALERJE IA TÊTE D'OBSIDIENNE

Fat Napoléon -Chemin N-arc Sangnier TéL 04

94 87 83 43. Ü\Neil du mardi au samedi 14h-

18h. Entrée hbre.

• PEIHTURE.S DE SYLVIE SÉNÉCHAL du 18

mars au 14 mai (vernissage le 17/03à 18h)

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Corniche Georges Pompidou - Les Sablettes -

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Lm, Zhu Ming, Lu Pang, Xu Yihu1, Xu Song

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à 18h30)

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12 mars au 24 avril (vemissase le 11 mars à 18h30)

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vendredi de 9h à 16h au 04 94 06 9713

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La coordinatrice du Clic Inscriptions

au 04 94 06 97 04 ouvertes depuis le

16 Fenêt re sur Seyne • n°41 - mars 2005

1" mars. Il est indispensable de se munir d'un justificatif de domicile

Universi té du t emps libre. Si vous désirez découvrir ses activités, parti­cipez gratuitement et sans engage­ment à une séance dans l'atelier de votre choix jusqu'au 30 juin. Renseignements auprès du service Animation 31

- âge.

et d'une pièce d'i­dentité. - 13 avril. Sortie au Lavandou.

et 04 94 06 97 65

Restaurant Le Parma. Prix : 24,50 € Inscription obligatoire à partir du 21 mars. .

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0-194 06 49 26

• Alcoolique Anonyme (La Seyne-Six-Fours-Toulon) : 04 9-1 23 24 99

• Ambulance Var Assistance : 04 9-1 10 22 22 • Bibliothèques municipales: ·, ....la1uar~.:.O-l...\H.Oll.&l.O-L.... ___ _

Crn.1rr-1illc: 04 94 06 95 52 Bibliobus : 04 91 06 93 )8

• Centre médico-social municipal : 10. pJ.1cc Gc:rnuin lon.l,

04 9-1 9-1 63 'iO ou 04 91 Sï 30 02 • Centre d'appel taxi:

rue GJbrid Péri : 04 9-1 9-1 i 1 80

• Chirurgiens-dentistes : (dimanches cl

jours [cries): 04 98 01 62 63 • CLIC : (Centre local dïnfonnations, de coordina1ion gcron1ologiqur) 0-! 9-1 06 97 31 • Commissariat : 0-! 98 OO Si OO ou k 17 • Cross-Med: 04 9-1 61 7l 10 • Ecole des Beaux-Arts: 04 9-l 10 83 09 • •

• Ecole de musique : 04 94 3ll 09 06 • EDF-GDF : 0 810 083 100 • Enfants maltraités : O Sll() 10 I0 83

• Fenêtre sur Seyne : Hô1cl \lodcmc. 2. rut Lton Blum : !H 9-1 06 91.1 OO • Fédération nationale du logement:

01 9191 01 09AH 9-1 30 i2 19 • Hopital : Oi 9-1 11 30 OO

• Les Encombrants : o soo 20 23 OO • Mairie-Hôtel de Ville : 0194 06 95 OO,. · ­

' Mairie sociale : 04 94 06 97 L1() •Services techniques: 04 94 06 93 OO • Maison des services publics : Qu;mirr

llathc. Germinal A4 : 04 9-110 93 50

(P\11, UTS. CCAS. CAF. OP\lllL\!, \llAJ. PLIE. ANPE. AFP:\. EDF-GDF S("f"licr \\Ir)

• Maison de la justice et du droit : Le ~rr­

minal rH - quanier Bcnhr 04 94 l0 93 50 • Office de tourisme : 01 Q8 OO 25 itl • Pédiatre de garde : s.1mtdi tirs lOh cl

jo11r5 kri~s : 1}194 06 ii 4ll

• Pharmacie de garde : o 892 iô i5 ·15

• Office HLM : 0494 Il Oi OO

• Police : 0-194 J 1 16 OO ou k 17 • Police municipale : L\.I 91 06 95 28

• Pompiers : 04 94 10 Sil 30 ou Ir 18

• SAMU : 1H 94 2ï Oï Oi ou 1; •Service propreté :04 9-110 51 O'i • Sida lnfo Service : o &\1 }(> 66 36

• SNCF : lnfo 1upgcur> : œ 92 35 35 35

tlu1res scmm : l\.I 91 Q-l 80 Oi

• SOS Médecin : l\4 9·1 li 33 33