International

Rapport d’activité2014-2015

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Édito

Implantations du Groupe

Présence Commercialedu Groupe Coopératif Maïsadour

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North America

L’implication croissante des différentes branches du Groupe Coopératif à l’international permet d’augmenter la part du CA international* dans un contexte économique plutôt morose en France et en Europe. Grâce à la qualité de ses produits, à son expertise reconnue sur les marchés et à ses partenaires, le Groupe confirme que l’international est un relais de croissance à la fois solide et prometteur.Portés par la dynamique générale du Groupe Coopératif Maïsadour, les efforts des différentes branches du Groupe pour son développement à l’international s’orientent dans deux directions.D’une part, les initiatives des branches pour diffuser leurs produits et leurs savoir-faire à l’international se multiplient. Sud-Ouest Aliment structure son service export et multiplie les territoires de prospection, Delpeyrat obtient son agrément pour le Bayonne aux États-Unis et en Asie, Fermiers Du Sud-Ouest ouvre plusieurs nouveaux marchés, Maïsadour Semences s’installe en Afrique…Mais la force du Groupe réside également dans les synergies qui se mettent en place entre les branches. Sur l’aval, MVVH-Delpeyrat et Fermiers Du Sud-Ouest mènent des actions de promotion en commun, échangent et s’assistent mutuellement pour cibler leurs prospections. Sur l’amont, la filiale Maroc (légumes frais au départ) se diversifie et intègre peu à peu les différents métiers du Groupe (semence, distribution, aliment). La semence et l’aliment se coordonnent en Afrique (Côte d’Ivoire…). Plus généralement, le savoir-faire clé du Groupe, de gestion et de valorisation des filières, « de la fourche à la fourchette » est un véritable atout pour l’ensemble des branches.Les services supports du Groupe évoluent aussi dans le sens d’une meilleure prise en compte des besoins nouveaux des branches : la communication devient multilingue, les ressources humaines prennent en compte la diversité des situations à l’international ou les contraintes de l’expatriation, la trésorerie gère différentes monnaies, l’informatique devient bilingue français-anglais…Le Conseil d’Administration du Groupe Coopératif Maïsadour est particulièrement moteur dans ce développement. Il veille bien sûr à ce que les projets soient menés dans le cadre des valeurs du Groupe, et qu’ils soient cohérents avec sa stratégie : promotion et valorisation des produits et des savoir-faire du Groupe, synergies business avec les filières et les métiers de base de la coopérative. Le développement international doit rester au service du développement du Groupe, de ses adhérents et de ses salariés.

Ce rapport d’activité présente les faits marquants à l’international de chacun des pôles du Groupe. Bonne lecture.

(*) compris comme la valeur de nos productions et services utilisés hors de France métropolitaine.

Sommaire

Régis FOURNIERDirecteur du Développement International

Edito p. 2

Le Groupe Coopératif Maïsadour à l’international p. 3

Le Pôle Agricole p. 4

Le Pôle Gastronomie p. 5

Le Pôle Volailles p. 6

Les services support du Groupe accompagnent p. 7son développement à l’international

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Présence du Groupe à l’international

Implantations du Groupe

Présence Commercialedu Groupe Coopératif Maïsadour

Iberica

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Iberica

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D e u t s c h l a n d

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Implantations du Groupe

Présence commercialedu Groupe Coopératif Maïsadour

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Les faits marquants à l’international

Les branches du Groupe, tant dans l’amont agricole que dans l’aval agroalimentaire, ont jeté en 2014-15 les bases d’une accélération du développement international du Groupe.La présence terrain a été renforcée afin de mieux connaître les marchés de demain et être acteur de leur développement. C’est notamment le cas en Afrique de l’Ouest avec un représentant commercial qui travaille pour l’activité semences et l’activité aliments du bétail depuis Abidjan en Côte d’Ivoire. Le pôle Volailles de son côté a recruté un commercial export terrain qui propose aux clients, dans leurs pays, les produits avicoles du Groupe.Poursuivant la stratégie de la coopérative, la construction de partenariats durables avec nos clients étrangers a permis à l’activité céréales de commercialiser l’importante collecte de maïs de cette campagne.Enfin, Delpeyrat a notamment œuvré fortement pour l’obtention d’agréments pour l’exportation de jambon de Bayonne sur plusieurs nouveaux marchés. Les périodes d’affinage arrivant à leur terme, des exportations vers ces nouvelles destinations (États-Unis, Taïwan, Chine…) seront réalisées sur l’exercice suivant.Le renforcement de l’ouverture à de nouveaux marchés du Groupe rend son modèle de développement robuste et fiable. Il permet de développer de nouvelles productions et de valoriser les savoir-faire des adhérents et des salariés du Groupe Coopératif Maïsadour et de ses partenaires.

> LE PÔLE AGRICOLE

SemencesLes ventes de semences sont réalisées dans 36 pays hors France avec une hausse moyenne des volumes à l’international de près de 3 %. Ces hausses compensent les importants effets de dévaluation observés en Russie et Ukraine. Au final sur le périmètre international de Maïsadour Semences, le chiffre d’affaires est en retrait de 3 %.La destination russe a baissé significativement cette année (-40 %), du fait des incertitudes pesant sur le marché, entraînant une dévaluation du rouble face à l’euro. Les commerciaux, dans ce contexte changeant, ont préféré réduire les ventes pour être moins exposés en cas de difficulté. L’Ukraine, bien que dans un contexte également difficile, connaît un rebond après une année difficile en 2013-14 (+10 %). Les pays du Nord de l’Europe sont en croissance tandis que ceux de l’Europe de l’Ouest et du Sud sont plus stables. Les marchés tiers, bien qu’ils représentent des volumes faibles, sont également en croissance. Enfin le marché

licence a doublé en un an.En Afrique, Maïsadour Semences développe des projets « agro-semences », avec soit des projets d’agro-distribution avec comme activité-cœur les semences (Maroc) ou avec un démarrage d’activité par une présence locale en CEDEAO (Côte d’Ivoire) tant en semences (marketing, essais, partenariat R&D) qu’en alimentation du bétail avec Sud-Ouest Aliment. Des réflexions sont en cours au Burkina Faso et au Sénégal pour amorcer une production de contre-saison pour les marchés européen et une production pour les marchés locaux.Les offres « produits-services » telles Nutriplus et Agroplus connaissent un succès croissant hors de nos frontières. Pour la deuxième année du partenariat avec Jouffray-Drillaud, sur ces types de produits, les objectifs du business plan sont atteints.

CéréalesLa campagne 2014-15 a été marquée par une compétitivité accrue du maïs d’origine française sur la première partie de campagne, et également par une collecte en nette hausse. La seconde partie de la campagne a été plus mouvementée, notamment du fait d’une offre de maïs d’origine Mer Noire agressive et d’une parité euro/dollar très volatile. Dans ce contexte, l’activité céréales réalise son volume record à l’export, en augmentant fortement ses ventes à destination du Royaume-Uni et en maintenant sa place de leader sur le marché espagnol. Le Groupe Coopératif Maïsadour tire les profits de sa stratégie mise en place depuis quelques années : privilégier des relations durables avec ses clients dans un portefeuille équilibré entre l’export maritime et le marché espagnol. Ainsi, les partenariats établis avec différents clients nous ont permis d’exporter aisément les volumes de collecte du Groupe. L’excellente qualité sanitaire de l’année a également permis de renforcer l’image de l’origine Sud-Ouest auprès des industriels.

Le Groupe Coopératif Maïsadour à l’international

Le site de production de Moguilev.

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Les faits marquants à l’international

Sud-Ouest Aliment Sud-Ouest Aliment poursuit son développement international avec de nouveaux flux d’affaires vers le Maghreb et le Moyen-Orient. Au Maroc, à Abu Dhabi et Dubaï, les aliments pour chevaux à destination des élevages sportifs haut de gamme ont rencontré un écho favorable et les premiers containers ont été expédiés dans les haras locaux. Au Liban, plusieurs tonnes d’aliments pour les élevages cunicoles sont envoyées tous les mois.Les opérations commerciales initiées il y a deux ans en Côte d’Ivoire, principalement sur de l’aliment volailles, se poursuivent dans un contexte où la demande en viande de poulet est en augmentation très forte et où la production locale de maïs et donc d’aliments n’est pas suffisante (en qualité et en régularité).Les ventes dans les Dom-Tom se sont maintenues (Martinique, Ile de la Réunion) pour cet exercice. Un partenariat avec une union de coopératives guyanaises est en cours de mise en place. Un premier container panachant des aliments volailles et porcs a été envoyé, afin d’être testé dans un réseau de fermes-pilotes au sein des adhérents de l’union de coopératives. L’objectif est de valider la qualité technique des produits Sud-Ouest Aliment en Guyane afin de développer les ventes.

Afin d’accompagner le développement commercial et d’identifier de nouveaux marchés porteurs, des déplacements des équipes techniques et de direction ont été réalisés au Maroc, dans les Dom-Tom, en Côte d’Ivoire et à Dubaï. Ces missions de terrain ont permis de prospecter de nouveaux clients et renforcer les liens commerciaux existants.

Génétique animaleLa génétique Sasso poursuit son développement international, renommée sur les continents européen, asiatique et sud-américain. Elle amorce son développement en Afrique. Au Burkina Faso, en collaboration avec l’un de ses partenaires de longue date (Ceva Santé Animale), la Sasso participe à un projet d’amélioration génétique des volailles locales dédiées aux petites fermes. Le projet consiste à améliorer les caractères génétiques des coqs locaux via à un programme de sélection locale et à les croiser avec des femelles Sasso adaptées à la production de chair et d’œufs.

Sasso collabore également avec une coopérative québécoise, la Coop Fédérée, afin de l’accompagner dans le développement d’une production et d’une commercialisation de volailles de qualité sur l’Amérique du Nord.Enfin, suite à la visite en juillet 2014 d’une délégation d’industriels chinois spécialisée dans la production de poulets fermiers, Sasso a réalisé plusieurs missions en Chine afin de construire un partenariat centré sur l’amélioration génétique avec le leader local en production de volailles fermières.

Légumes L’implantation au Maroc de l’activité légumes frais poursuit son objectif : fournir à nos clients européens des fruits et légumes en contre-saison par rapport aux productions françaises. L’année 2014-15 marquera un record de productions contractualisées, et notamment en maïs doux pour alimenter le marché, avec notamment des épis de maïs doux frais sur la période de novembre à mai. Maïsadour Maroc élargit son développement en réalisant une prestation de service agricole auprès de la ferme Lait Plus (ferme de Danone au Maroc) et en continuant à explorer les opportunités de marché pour d’autres métiers et expertises du Groupe.

> LE PÔLE GASTRONOMIE

MVVH/DelpeyratC’est en toute fin d’année 2014 (décembre) que le marché taïwanais s’est ouvert pour les foies gras et jambons de Bayonne produits et commercialisés par Delpeyrat suite à l’obtention des agréments. Les premières commandes et ventes ont eu lieu dans le courant de l’année 2015. C’est également le cas pour le marché américain en jambon de Bayonne, les premières exportations ont été réalisées en juillet 2015. Enfin, le marché chinois devrait démarrer en fin d’année 2015 grâce à l’agrément obtenu courant 2014.Le délai relativement important entre l’obtention de l’agrément et les premières expéditions s’explique par la durée d’affinage minimale de 9 mois qui débute une fois l’agrément obtenu. En effet, un principe de non-rétroactivité des agréments s’applique.Au niveau de l’Europe, les tensions diplomatiques entre l’Union Européenne et la Russie, avec la mise en

Pierre HONTANG (Sud-Ouest Aliment) lors du salon Dubaï Horse Fair.

Lors d’un salon à Shanghaï en 2015.

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Les faits marquants à l’international

place d’un embargo sur certains produits européens par les autorités russes ont impacté négativement les ventes de foies gras dans la zone.Sur ses marchés export matures, Delpeyrat a initié une adaptation marketing de ses produits. La logique de co-branding est en développement afin d’apporter plus de valeur aux produits. Cela passe par l’association d’un produit gastronomique emblématique de la France à des saveurs du patrimoine gastronomique local donnant ainsi lieu à un nouveau produit original.

MVVH/Comtesse du BarryAprès avoir refondu la gamme et le concept en France en 2014, Comtesse du Barry a créé cette année un nouveau dispositif dédié à l’export, relais de croissance majeur des années à venir. Avec la création d’une gamme export foie gras dédiée à la distribution dans les aéroports (marché dit du « Travel Retail »), ainsi qu’une gamme adaptable aux différents marchés à l’international, la marque met

en place des partenariats stratégiques avec des distributeurs, en s’adaptant aux contraintes sanitaires et culturelles des pays.En Espagne par exemple, la marque déploie actuellement du mobilier spécifique dédié aux cavistes indépendants, permettant une offre complémentaire sur ce marché de niche où ce type de distributeur qualitatif était en demande.En Angleterre, l’entreprise mise sur une stratégie orientée « cadeau », le point fort de la marque, en entrant via les « department stores », comme Harrod’s où elle est distribuée depuis 2015. La stratégie export vise maintenant le déploiement de 3 types de canaux : Travel Retail / grands magasins / réseaux spécialisés, via des importateurs-distributeurs en cours de recrutement. La structure export, en évolution, s’appuie notamment sur les forces du Groupe Coopératif Maïsadour, en mettant en œuvre des synergies avec Delpeyrat sur la production et la logistique par exemple, dans un souci d’optimisation des moyens et des connaissances.

> LE PÔLE VOLAILLESFermiers Du Sud-Ouest

L’exercice 2014/2015 confirme le développement continu de l’activité export depuis 2010. Cet axe prioritaire pour les années à venir est conforté par un plan à long terme construit par le Service Export et validé par la Direction de Fermiers Du Sud-Ouest. Ces douze derniers mois ont été marqués par la confirmation de la place de leader français du pôle Fermiers Landais pour l’exportation de volailles Label Rouge et Bio avec près de 45 % de parts de marché sur ce segment.

L’essentiel des ventes est réalisé en frais en Europe de l’Ouest où la demande est croissante pour des volailles de qualité. La grande distribution, qui représente 75 % des débouchés à l’export, continue à tirer les ventes notamment sur de nouveaux marchés prometteurs tels que le Danemark ou la Suisse. En parallèle des marchés « grande distribution », les volailles du Groupe sont également référencées chez des distributeurs haut de gamme tel que Harrod’s en Angleterre et chez certains grossistes tournés vers la restauration fine comme au Pays-Bas et en Allemagne.L’activité surgelée reste modeste mais poursuit son développement en Asie grâce à l’obtention de nouveaux agréments (agrément pour le marché taïwanais récemment obtenu).Enfin le pôle Gers débute également son activité d’exportateur !Ces résultats très positifs sont également liés à la mise en place de nouveaux moyens au sein de Fermiers Du Sud-Ouest, avec notamment le recrutement d’un commercial export terrain. Ce dernier va à la rencontre des acheteurs dans leurs pays, que ce soit lors de salons ou pendant des rendez-vous ciblés. La gamme de produits et les techniques employées s’adaptent progressivement aux marchés export afin de proposer des références adaptées à la demande locale.Enfin un renforcement des synergies commerciales, technologiques et règlementaires a été mis en place avec les autres industries agro-alimentaires des actionnaires de Fermiers Du Sud-Ouest (Gastronome) et avec Delpeyrat.

> EXPERTISE TRANSVERSEApexagri

En 2014-15 le bureau d’études a réalisé deux missions d’expertise sur le terrain. Au total, 7 experts du Groupe Coopératif Maïsadour, accompagnés de 3 experts partenaires ont réalisé ces missions. La première étude avait pour objectif d’auditer la production végétale d’une ferme de grande taille au Maroc (3 500 vaches laitières) et de proposer un plan d’action opérationnel devant conduire à une hausse du rendement. L’enjeu de la ferme était de tendre vers l’autosuffisance alimentaire en fourrage tout en augmentant la taille de son troupeau. La mission d’une semaine sur place avec les équipes locales a permis de comprendre le fonctionnement de la ferme et d’identifier les leviers d’actions. Un rapport technique et financier a été présenté à la Direction Générale à Casablanca.

Hendrik HUIJSER lors d’un salon à Singapour pour FSO.

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Les faits marquants à l’international

Chiffres

19%de l’activité du Groupe

680 salariés à l’international

11%de l’effectif Groupe à l’international

+ de 80pays dans lesquels sont commercialisés les produits du Groupe

COMPOSITION DU COMITÉDE PILOTAGE

Régis Fournier,Directeur Développement International

Bernard Bugat, Xavier de Castelbajac, Christophe Cazalis, Christelle Chabasse, Annabelle Danieau, Dominique Duprat, Frédéric Faillières, François Harambat,

Pierre Hontang, Hendrick Huijser, Michel Montet, Camille Moreau,

Tassadit Moucer, Julien Naudeau, Bernard Perna, Louis Perrault,

Stanislas Salembier, Jean-Louis Zwick

La deuxième mission, réalisée en Côte d’Ivoire avait pour but d’établir un diagnostic des filières maïs et soja dans les principales zones de production du pays. Une phase de collecte de données d’une durée de 3 semaines s’est déroulée en octobre 2014. Elle a mobilisé 2 experts techniques qui ont rencontré plus de 100 acteurs locaux.Cette collecte a été suivie d’une analyse des données permettant d’établir un diagnostic des deux filières. Celui-ci a mis en évidence les forces et faiblesses qui doivent permettre d’accélérer leur développement. Un modèle prospectif à horizon 2020 a été construit afin d’évaluer les besoins en maïs et soja des prochaines années et donc quantifier les enjeux de surfaces et de rendements auxquels doivent faire face les agriculteurs locaux et leurs institutions.Enfin, un plan d’action opérationnel composé de fiches actions thématiques a été proposé afin de concrétiser quel pourrait être le chemin de développement de ces deux filières.L’ensemble de l’étude a été restitué lors d’un atelier de 2 jours à Yamoussoukro durant lequel une cinquantaine de participants ont pu échanger avec les experts Apexagri.Fort de ces deux missions, appréciées par les clients, Apexagri est entré dans une phase de prospection active afin d’identifier de nouveaux projets. A ce jour, le bureau d’études est positionné sur une dizaine de projets principalement en Afrique et en Europe de l’Est, portés par des institutions publiques et des opérateurs privés.

> LES SERVICES SUPPORT DU GROUPE ACCOMPAGNENT SON DÉVELOPPEMENT

À L’INTERNATIONALLe service des ressources humaines a mis en place un outil dédié à la mobilité interne, tant en France que dans les filiales à l’étranger du Groupe. L’objectif est d’accompagner les métiers dans l’identification de candidats internes à l’entreprise souhaitant prendre des responsabilités dans le cadre d’une expatriation.Le recrutement de profils externes pour les filiales françaises et étrangères s’appuie maintenant sur une plus forte présence sur les réseaux sociaux français et internationaux.Le développement des cours d’anglais (près de 2 000h de formation dispensées en 2014-15) est un signe évident de la motivation des salariés du Groupe pour accompagner l’expansion internationale du Groupe.Depuis le début de l’année 2015, le service juridique du Groupe a nommé un référent international qui, en plus de participer au Comité de Pilotage International, apporte un appui aux métiers dans leurs problématiques en lien avec l’export ou l’activité à l’étranger.

En Côte d’Ivoire.

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Directeur du Développement InternationalRégis FOURNIER

Chargé de mission Développement InternationalCamille MOREAU

c-moreau@maisadour.com+33 6 78 84 85 60