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« L’AME EN TROMPE L’ŒIL » KARINE SAPORTA PARIS-MEP (MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE) LILLE MP (MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE) CRÉTEIL MAC-FIFF (SCÈNE NATIONALE-FESTIVAL DE FILMS DE FEMMES) SNCF GARES & CONNEXIONS

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« L’AME EN TROMPE L’ŒIL »KARINE SAPORTA

PARIS-MEP(MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE)

LILLE MP(MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE)

CRÉTEIL MAC-FIFF(SCÈNE NATIONALE-FESTIVAL DE FILMS DE FEMMES)

SNCF GARES & CONNEXIONS

CAENIGDA 2.0

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« L’AME EN TROMPE L’ŒIL »  KARINE SAPORTAMars - Septembre 2018 MEP- Paris, MP-Lille, MAC-FIFF-Créteil, SNCF Gares & Connexions, IGDA 2.9 CAEN

Cette grande exposition met à l’honneur l’œuvre photographique de Karine Saporta. De mars et septembre 2018, l’événement se déroule dans de nombreux lieux emblématiques de la photographie et du spectacle vivant : MEP (Maison Européenne de la Photographie -Paris), MP (Maison de la Photographie-Lille), MAC de Créteil-Scène Nationale (Festival International de Films de Femmes), SNCF Gares & Connexions. Un volet (installation-performance-exposition) s’inscrivant dans le cadre de « L’âme en trompe l’oeil » intitulé « Comm(e)union » sera visible du 23 mars au 5 avril à la galerie IGDA 2.0.

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« COMM(E)UNION »KARINE SAPORTA23 mars - 5 avril 2018 Galerie IGDA 2.0 - Caen

S’inscrivant en partenariat avec l’événement « L’âme en trompe l’œil », la galerie IGDA 2.0 propose à Karine Saporta d’investir son petit espace. L’artiste a donc imaginé pour la galerie caennaise une adaptation de sa création : « Comm(e)union », proposant une installation et deux performances exceptionnelles les 23 mars et 4 avril à 19h .

La création photographique et plastique de Karine Saporta « L’enveloppe » a fait l’objet d’une commande du Festival d’Avignon en résonnance avec le spectacle de Jan Fabre « Je suis sang ». Ce travail a été rebaptisé par l’artiste elle-même : « Comm(e)union » ,au moment de sa reprise . Sous ce titre, l’œuvre a été montrée dans le cadre de la Nuit Blanche à Paris, au CDA-Centre des Arts d’Enghien, à la galerie Le Simoun à Paris, au TAP-Théâtre des Arts de Poitiers-Scène Nationale. La présence Karine Saporta du 23 mars au 5 avril à la galerie IGDA 2.0 représente une occasion rare de revoir le travail de l’artiste à Caen.Récemment de retour dans la région, avec la création de « La Mue-Centre International pour l’art et la pensée en Normandie » et l’arrivée du « Dansoir Karine Saporta », Karine Saporta n’était pas encore revenue présenter son travail dans notre ville.

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Copyright Geneviève Heuzé

KARINE SAPORTAL’incandescente  Tremblée et délicate, foudroyante et flamboyante, douloureuse et transfigurée, la démarche créatrice de Karine Saporta, qu’elle soit celle de la chorégraphe ou de la photographe, témoigne d’un rapport à l’intimité cassée, à la fois d’une intense actualité, mais d’une poignante immortalité.Ce qui donne une œuvre si forte et si singulière portée par une narration visuelle d’une discrétion et d’une pudeurexemplaires.Nous reverrons avec bonheur dans le cadre de cette rétrospective sept expositions différentes de l’artiste:- « 1 et millions » commande du Musée national de l’Histoire de l’immigration, avec ce philtre épuré et anti conformiste de l’artiste pionnière- « La cérémonie des fleurs », exposition réalisée au Centre d’Art et de Nature de Chaumont sur Loire, contemplation onirique et  - vertitudes – translucides , miroirs de l’âme et des plans d’eau

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- « Ludwig ad L… »,commande de  l’Institut Français de Munich, mise en scène de personnages de fiction inspirés par la figure et le climat décadent de la cour du roi Ludwig de Bavière, confirmant son art de la mise en lumière propre à exalter le corps- « Le Goût de la vie », commande du Conseil Général de Seine et Marne au Château Blandy – les tours, sur le thème universel de l’allaitement- « Le Bal des portraits", commande dans le cadre de « Normandie impressionniste 2016 » portraits bouleversants d’humanité avec les habitants de Normandie dans une fiction intimiste  et onirique.- « Lettre à un ami d’Afrique » Images réalisées à Madagascar en partenariat avec le Centre Culturel Albert Camus et le festival Uzès-Danse-« Comm(e)union »,commande du festival d’Avignon en résonnance avec le spectacle Jan Fabre « Je suis sang » . Images puissantes, métaphysiques et révoltées. En exergue de cette exposition ces mots de Karine Saporta : « A celui qui dit je suis sang, je réponds je suis lait. »

Geneviève Heuzé - Commissaire de « L’âme en trompe l’œil »

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BIOGRAPHIEKARINE SAPORTA

Chorégraphe de notoriété internationale, Karine Saporta est aussi extrêmement investie dans la transmission. C’est à elle que la danse européenne doit l’émergence d’une part importante de ses forces vives. L’aura de la chorégraphe, sa passion mais aussi sa science de la composition se révèlent communicatives au sein-même de sa compagnie… En sortent très vite des danseurs qui deviennent chorégraphes. Parmi eux, François Verret, Alain de Raucourt, Claude Brumachon, Benjamin Lamarche, Anna Ventura, Jesus Hidalgo, Hervé Robbe, Pedro Pauwels, Nasser Martin-Gousset, Ollivier Dubois, Alban Richard et tant d’autres... Le phénomène est d’ampleur : la sensibilité baroque mais aussi la recherche musicale tournée vers le vertige et la transe transmise par Karine Saporta imprègne une part importante de la création chorégraphique contemporaine.

Karine Saporta est Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier des Arts et des lettres. Elle a été à l’initiative de la création de l’Association des Centres chorégraphiques Nationaux dont elle a assuré la Présidence. Elle a été élue par deux fois, Présidente de la Commission Danse, vice-présidente de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD).Après avoir assuré la direction du Centre Chorégraphique National de Caen Basse-Normandie, elle

retrouve la direction de la Compagnie Karine Saporta laquelle prend résidence à la Bibliothèque nationale de France. Elle vient de fonder un Centre international pour l’art & la pensée en Normandie : « LA MUE ». « LA MUE » (en partenariat avec des collectivités, l’Université et la Caisse des dépôts et consignations )a pour vocation les échanges artistiques et intellectuels internationaux en Normandie.

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Formation

Après des études de danse classique, elle poursuit à l’université Paris X –Nanterre un cursus en philosophie et en sociologie (doctorat). Elle passe ses années de maîtrise/doctorat aux Etats-unis où, après avoir acquis ses deux licences, elle décide de partir pour développer ses travaux universitaires. En outre, à cette période, elle s’inscrit à Columbia College où elle étudie la photographie, le cinéma, la vidéo, la télévision et la chorégraphie. Elle côtoie tous les grands photographes américains et obtient un BA de « Communication Arts » tout en terminant sa maîtrise puis son doctorat de philosophie. Elle complète sa formation aux techniques de la composition chorégraphique américaine chez Merce Cunningham, Alwin Nikolaïs, Steve Paxton, Bonnie Cohen, Joan Woodburry.

Chorégraphie

A son retour des Etats-Unis, elle fonde un groupe de recherche d’où sortiront plusieurs personnalités artistiques qui marqueront le paysage chorégraphique français.

C’est au Centre chorégraphique National de Caen/Basse-Normandie qu’elle dirige pendant seize ans et aujourd’hui, au sein de sa compagnie, que Karine Saporta confirme son goût pour l’investigation et sa quête incessante d’innovation.

Dès le début, Karine Saporta a su défendre au plus haut niveau des valeurs artistiques qui l’ont fait reconnaître et apprécier comme l’une des figures majeures de l’art contemporain français. Elle est, depuis de nombreuses années, régulièrement accueillie dans des institutions prestigieuses de la danse et du spectacle vivant en France comme à l’étranger (Festival d’Avignon, Théâtre National de Chaillot, Festival Paris Quartier d’été, Théâtre de la Ville de Paris, Cité de la Musique/Philharmonie de Paris, Festival Montpellier-Danse, Festival Monaco Danse etc.).

Quittant parfois sa propre structure, elle crée des œuvres pour d’autres compagnies au sein d’Opéras ou de Théâtre Nationaux tels que la Comédie Française, l’Opéra de Paris, l’Opéra de Lyon,

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l’Opéra du Caire, le Théâtre Mariinsky, l’Opéra de Tirana etc…

Son art est fait d’univers charnels oniriques façonnés à l’aide de techniques corporelles et scéniques qui lui sont propres. Le vertige des sens que procure chacune des œuvres de manière différente se fonde sur une rigueur et une exigence compositionnelles extrêmes.

A celles-ci s’ajoute une relation entre la danse et la musique spécifique. 

La chorégraphe, continue d’ailleurs sans relâche ses recherches en matière de rythme et de traitement du temps. Cet intérêt pour la musique la conduit à travailler fréquemment au sein de cultures non-occidentales. Associant à sa création des musiciens venus du monde entier, elle suscite aussi régulièrement de fructueuses collaborations avec des orchestres ou compositeurs contemporains (Ensemble Inter contemporain, IRCAM, Ars Nova, Michael Nyman, Steve Reich, Thierry Pécou etc).

La danse dans le paysage (qu’il soit urbain ou non-urbain) intéresse aussi grandement la chorégraphe. Celle-ci intègre à ses équipes des paysagistes lorsqu’elle crée notamment ce qu’elle nomme des « Danses paysagères ».

Photographie

Elle réalise ses cinq premières expositions photographiques personnelles avec la Fnac dans son circuit de galeries photo :

L’interdit

La Chambre d’Elvire

L’or ou le cirque de Marie

Mondes

Hurlante et Douce Antigua

Le Festival d’Avignon lui commande une installation-performance “L’Enveloppe“ au cours de laquelle le public se voit remettre une publication sous forme d’enveloppe contenant des textes et des photos signées d’elle. Les photographies de « L’enveloppe »

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donneront naissance à une série de grands formats exposée au Centre des Arts d’Enghien-les-Bains :

Comm(e)union

Se succèdent chaque année de nombreuses commandes dont récemment celles de :

Ludwig ad L. / Institut Français de Munich

1 et millions / Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration à Paris (exposition de 75 grands formats accrochés ensuite sur les quais de la Seine à Paris)

Le goût de la vie / Conseil Général de Seine-et-Marne au Château Blandy (sur le thème de l’allaitement) qui donne lieu à une exposition itinérante qui tourne toujours actuellement

« Le bal des portraits » dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste 2016

« La cérémonie des fleurs » en partenariat avec le Centre d’Art et de Nature de Chaumont-sur-Loire

« L’âme en trompe l’œil » – Rétrospective de l’œuvre photographique de Karine Saporta Maison de la Photographie de Lille ,Maison Européenne de la Photographie-Paris, Gares et Connexions SNCF, Festival International de Films de femmes de Créteil-Maison des Arts de Créteil, Galerie Igda 2.0-Caen

Parallèlement à la diffusion de ces expositions, elle devient photographe associée au Festival International de Films de femmes de Créteil pour lequel elle réalise chaque année une mise en scène photographique destinée à l’affiche ainsi qu’à tous tous les supports de communication du festival. Elle remporte de la part de la Fondation Philip Morris pour le cinéma, le prix de la meilleure série d’affiches de Festival de cinéma.

Ses images sont montrées dans de nombreux magazines ( Karine Saporta réalise, entre autres, pour le magazine “ Le Monde 2 “, une série photographique avec les acteurs de la troupe de la Comédie

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Française à l’occasion de sa création pour cette troupe : « Feu le Music-hall » ).

Cinéma et télévision/radio

Karine Saporta aime l’image au point que le Festival de Cannes s ‘adresse à elle pour lui commander un spectacle sur un siècle de cinéma qui se nommera « Le bal du siècle ».Appelée par de nombreux réalisateurs de cinéma et de télévision, elle signe les chorégraphies de plusieurs long-métrages dont “Prospero’s Books” de Peter Greenaway, « Travaux » Brigitte Rouan (où elle chorégraphie l’actrice Carole Bouquet), “Clara” de Helma Sanders-Brahms , « Chat noir, chat bleu » de Jean-Louis Lorenzi, «Cuba si,Cuba no »  de Gérard Mordillat et Caroline Chomienne. .Son premier court-métrage en tant que réalisatrice “Les Larmes de Nora” a été sélectionné dans de nombreuses manifestations en France et à l’étranger. Il est paru dans une édition vidéo avec deux autres films dont elle est l’auteur.

L’œuvre et le travail de Karine Saporta ont fait l’objet de très nombreuses réalisations radiophoniques, télévisuelles et cinématographiques. Karine Saporta a, de plus, réalisé un documentaire sur sa propre démarche dans le cadre de sa création “Les Guerriers de la Brume“ ainsi qu’une captation de son spectacle équestre et chorégraphique «  Wild ».

Elle est l’auteur de nombreuses réalisations radiophoniques pour la chaîne France-Culture et en 2016 pour ma chaîne France-Musique (chroniques estivales « Ça porte à danser » par Karine Saporta).

Programmation

L’expérience institutionnelle à la tête d’un Centre Chorégraphique National, l’a conduite à appréhender parfaitement les différents aspects de la logique territoriale. Ce qui fonde et motive pour partie son action au sein de sa Compagnie, c’est le dialogue avec un environnement choisi .

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Aussi, depuis que le Festival d’Avignon lui confie, au début de sa carrière, une carte blanche pendant toute la durée du festival, Karine Saporta a le goût de la programmation. Elle a organisé plusieurs festivals à Caen ainsi que dans d’autres villes et programmé plusieurs saisons.

Elle a été maîtresse d’oeuvre de nombreuses cartes blanches dans les domaines du spectacle vivant et du cinéma.

Dans le cadre de ses fonctions à la SACD elle a créé le Festival “Faits d’hiver” à Paris et programmé pendant six ans le “Vif du sujet” et « Le sujet à vif » aux Festivals d’Avignon, Montpellier Danse et Paris Quartier d’été.

Sa compagnie s’est trouvée de 2006 à 2017 en résidence à la Bibliothèque nationale de France. C’est dans cette institution que la chorégraphe, après avoir réalisé l’installation sur l’esplanade François Mitterrand d’un magnifique équipement semi-mobile prioritairement consacré à la danse et la musique Le Dansoir, qu’elle s’est vue confier une carte blanche annuelle dans les foyers & auditoriums. Egalement de 2013 à 2017, avec le Dansoir, en résidence dans le Val-de-Marne : à Fontenay –sous -bois.

Le Dansoir est actuellement installé en Normandie à Ouistreham dans le cadre d’un partenariat avec La Mue, Centre international pour l’Art et la pensée en Normandie, dont Karine Saporta est la fondatrice et la présidente.

Transmission

Karine Saporta considère la transmission comme faisant partie intégrante de sa démarche créatrice. A travers cet aspect de son activité, elle s’efforce montrer les liens fondamentaux qui unissent selon elle la danse et la philosophie.

C’est pourquoi elle consacre une partie de son temps à l’écriture (articles, essais), à la mise en place de rencontres ou de débats (aujourd’hui dans le cadre de la résidence de sa compagnie à la BnF) ou même à la réalisations d’émissions radiophoniques (séries sur la chaîne France Culture en particulier). C’est peut-être

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ce qui explique que de très nombreux chorégraphes contemporains français soient passés par le travail de Karine Saporta : parmi eux François Verret, Claude Brumachon, Hervé Robbe, Nasser Martin-Gousset, Pedro Pauwels, Olivier Dubois, Alban Richard, Benjamin Lamarche, Anna Ventura, Jesus Hidalgo et bien d’autres.

De plus, la démarche de la chorégraphe est à ce point analytique qu’elle communique à ceux qui la fréquentent de réels outils d’investigation.

A l’extérieur de la compagnie, Karine Saporta s’est aussi toujours efforcée de répondre le plus favorablement possible aux demandes de master-class, stages, résidences pédagogiques en France et dans le monde. Elle a enseigné sur la durée dans de nombreuses universités (Saint-Denis, Evry, Caen etc.). Elle s’intéresse en particulier à certains publics dits en difficulté sociale ou mentale.

Son travail pédagogique en direction des professionnels porte sur la composition chorégraphique et l’accompagnement de chorégraphes. Il ne cesse de se développer à Paris, en Ile-de-France et en Normandie où elle a conçu à l’Université un Diplôme Universitaire « Chorégraphe :un métier ». Elle est actuellement membre du Conseil de l’Ecole Doctorale de Normandie.