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Université Paris-Sorbonne - SELFEE – B2 – 6 décembre 2014 Page 1 sur 14 SERVICE DES EXAMENS DE LANGUE FRANÇAISE RÉSERVÉS AUX ÉTUDIANTS ÉTRANGERS CENTRES DE GRÈCE - SESSION DU 6 DÉCEMBRE 2014 C E R T I F I C A T P R A T I Q U E D E L A N GU E F R A N Ç A I S E Module « COMPRÉHENSION ET EXPRESSION » Note sur 50 – durée : 2h30 I. Mettez les phrases suivantes au style indirect en faisant les transformations nécessaires : - 4 points - Philippe fait part à son père de sa décision de devenir notaire. a) « Je sais que vous n’êtes pas riche, en dépit des apparences qu’il faut toujours tenir. » Il lui a dit .................................................................................................................................. ................................................................................................................................................. b) « J’aurais désiré être médecin, comme vous, la plus belle des professions. » Il a ajouté.................................................................................................................................. ................................................................................................................................................. c) « Mais les cours sont trop longs, et en choisissant le notariat, je pense pouvoir défrayer moi-même le coût de l’université... » Il a terminé en disant ............................................................................................................... ................................................................................................................................................. d) « Tu le regretteras, mon garçon, mais fais à ta guise. » Son père lui a répondu ........................................................................................................... ................................................................................................................................................. II. Complétez par des pronoms relatifs, personnels ou possessifs. - 3 points - C’est à cette époque qu’il connut ce Dufort, .............. passa toujours pour le meilleur ami de Philippe, ................... aima sans doute Philippe à sa façon. Il ................... connut aux premières années du collège et Philippe passa tout son temps avec ................. . Cependant, d’abord, Philippe ne parlait pas à Dufort, parce que Dufort suivait une classe inférieure à ........................ Dans le tram, il le laissait accaparer par son cousin, avec qui ..................... revenait, et qui était de la même classe. I. A - ÉPREUVE DE LANGUE - 25 points -

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SERVICE DES EXAMENS DE LANGUE FRANÇAISE RÉSERVÉS AUX ÉTUDIANTS ÉTRANGERS

CENTRES DE GRÈCE - SESSION DU 6 DÉCEMBRE 2014

C E R T I F I C A T P R A T I Q U E D E L A N GU E F R A N Ç A I S E Module « COMPRÉHENSION ET EXPRESSION »

Note sur 50 – durée : 2h30

I. Mettez les phrases suivantes au style indirect e n faisant les transformations nécessaires : - 4 points -

Philippe fait part à son père de sa décision de devenir notaire.

a) « Je sais que vous n’êtes pas riche, en dépit des apparences qu’il faut toujours tenir. »

Il lui a dit ..................................................................................................................................

.................................................................................................................................................

b) « J’aurais désiré être médecin, comme vous, la plus belle des professions. »

Il a ajouté..................................................................................................................................

.................................................................................................................................................

c) « Mais les cours sont trop longs, et en choisissant le notariat, je pense pouvoir défrayer moi-même le coût de l’université... »

Il a terminé en disant ...............................................................................................................

.................................................................................................................................................

d) « Tu le regretteras, mon garçon, mais fais à ta guise. »

Son père lui a répondu ...........................................................................................................

.................................................................................................................................................

II. Complétez par des pronoms relatifs, personnels ou possessifs. - 3 points -

C’est à cette époque qu’il connut ce Dufort, .............. passa toujours pour le meilleur ami de

Philippe, ................... aima sans doute Philippe à sa façon. Il ................... connut aux

premières années du collège et Philippe passa tout son temps avec ................. .

Cependant, d’abord, Philippe ne parlait pas à Dufort, parce que Dufort suivait une classe

inférieure à ........................ Dans le tram, il le laissait accaparer par son cousin, avec qui

..................... revenait, et qui était de la même classe.

I. A - ÉPREUVE DE LANGUE - 25 poin ts -

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III. Complétez le texte suivant en conjuguant les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au plus-que-parfait de l’indicatif : - 10 points -

Dufort (avoir) ....................... des parents riches, dont le seul luxe était une saison à la mer.

Pour Philippe, il (aller) ............................... qu’à une campagne proche. De là-bas, Dufort

lui (écrire) .................................... de longues lettres, avec des « fions » et des paraphes,

sans compter les descriptions qui sentaient à la fois Albalat, que Philippe lui

(faire) ....................................... lire, et les réclames de voyage dont il (faire)

........................... collection. Il (parler) ............................ de rencontres, d’excursions en

mer, et c’était Philippe maintenant le paria, avec ses livres et les cahiers où il (s’efforcer)

........................................... à des descriptions flaubertiennes. Dans ses promenades sous

les grands arbres, dans la chaleur trouble des repas, cet adolescent (compter)

................................ les jours qui lui restaient à passer. Non point qu’il ait hâte de revoir

Dufort, mais il lui (sembler) ................................. qu’un jour de moins pour lui au bord de la

mer, ce serait un jour de moins pour la supériorité que l’autre (acquérir) ..............................

IV. Complétez le texte suivant en choisissant pa rmi les mots proposés suivants : Quand, déjà, si bien que, ainsi que, rarement, toujours, n’avait que, plus, puisque. - 3 points - Le docteur vieillissait et il n’aimait .......................... aller aux malades seul. Philippe

l’accompagnait ........................... .

– Il faut que j’aille voir le père Lanteigne, il y a...................... deux semaines que je l’ai vu,

et ce n’est pas par téléphone que l’œil du maître peut décider : tu verras ça, ...................

tu seras médecin.

Le docteur avait ............................ voulu voir son fils médecin, Philippe le laissait dire :

cette fois, il n’avait qu’un mois pour se décider, il lui fallait se faire inscrire à

l’université, et ce n’était plus qu’une question de jours : Philippe avait réussi son

baccalauréat, et il avait éludé les questions de son père, ................................. l’autre avait

cru qu’il acceptait de devenir médecin.

V. Choisissez et entourez le mot correctement or thographié. - 5 points -

Il (fesait, faisait, faisêt) coupures des poésies que les journaux publiaient et il avait

proposé à sa (tante, tente, tonte) de vider lui-même, « pour l’aider (par, de, dans) son

ouvrage » le panier du docteur (où, ou, d’où ) se trouvaient des revues non (coupé,

coupés, coupées) et des prospectus médicaux : il fourrait (tous, tout, toutes) cela sous

son matelas, puis lisait sans bien (comprandre, conprendre, comprendre) dans le

tram : il mêlait dans (sont, son, s’on) sac livres de classes et publications de

médecine, avec la peur de se faire pincer par le (mètre, maître, maitre).

C’est à cette époque qu’il connut ce Dufort, qui passa (toujours, toujour, tousjours)

pour le meilleur ami de Philippe. Dufort était aussi timide que Philippe.

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Vous répondrez à ces questions avec vos propres mots et utiliserez des guillemets (« ») si vous citez le texte.

1. Cette histoire est racontée par : - 0,5 point -

Philippe, le jeune héros ���� Un narrateur extérieur ���� La tante de Philippe ����

2. Décrivez le père de Philippe, tel qu’il est pr ésenté dans cet extrait : - 1,5 point -

..............................................................................................................................................

..............................................................................................................................................

3. Expliquez pourquoi la tante de Philippe étai t attachée à son père ? (2 éléments de réponse – répondez par vos propres mots) - 1 point -

.............................................................................................................................................

.............................................................................................................................................

4. Expliquez pourquoi Philippe « avait eu l’enfan ce la plus solitaire ». - 1 point -

.............................................................................................................................................

............................................................................................................................................

5. Décrivez Philippe tel qu’il est présenté dans cet extrait : - 1,5 point -

.............................................................................................................................................

.............................................................................................................................................

6. Philippe s’intéressait-il à l’école ? - 1,5 point -

���� Oui ���� Non Pour quelles raisons ?

............................................................................................................................................

.............................................................................................................................................

7. Pourquoi voyait-il « toujours venir avec angoi sse les récréations » ? - 0,5 point -

..............................................................................................................................................

8. « Sa volupté était la lecture » : trouvez dans le tex te le verbe qui justifie cette expression. - 0,5 point -

..............................................................................................................................................

I. B- 1. ÉPREUVE DE COMPRÉHENSION ÉCRITE - 13 points -

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9. Expliquez les mots suivants en contexte par une phrase ou un synonyme :

- 2,5 points - - À qui elle prouvait : .............................................................................................................

- Inconsciemment sensible: ..................................................................................................

- Philippe tentait de vivre : .....................................................................................................

- Assuré : ...............................................................................................................................

- Il ne se liait pas : .................................................................................................................

10. Expliquez les phrases suivantes dans leur cont exte : - 2,5 points -

- Sa tante tenait la maison de son père : ..............................................................................

.............................................................................................................................................

- Ils ne se voyaient guère :.....................................................................................................

.............................................................................................................................................

- Philippe était l’intermédiaire le plus commode entre elle-même et le cousin Joseph :

.............................................................................................................................................

.............................................................................................................................................

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Traitez un de ces deux sujets au choix de 20 à 25 l ignes (indiquez le sujet choisi).

Sujet 1 : Vous intéressez-vous aussi, comme le jeune héros de l’histoire Philippe, à vos études ou à votre travail ? Ou au contraire cela ne vous intéresse-t-il pas ? Pourquoi ?

Sujet 2 : « Et tout à coup, la vie de Philippe a complètement changé » : écrivez la suite !

1……………………………………………………………………………………………………………....

2……………………………………………………………………………………………………………...

3………………………………………………………………………………………………………….......

4………………………………………………………………………………………………………….......

5………………………………………………………………………………………………………….......

6………………………………………………………………………………………………………….......

7……………………………………………………………………………………………………………....

8……………………………………………………………………………………………………………....

9………………………………………………………………………………………………………..….....

10……………………………………………………………………………………………………………....

11…………………………….………………………………………………………………………………...

12………………………………………………………………………………………………………….…...

13…………………………………………………………………………………….…………………….…..

14……………………………………………………………………………………………………………....

15………………………………………………………………………………………………………….…...

16……………………………………………………………………………………………………………....

17……………………………………………………………………………………………………………....

18……………………………………………………………………………………………………………....

19……………………………………………………………………………………………………………....

20……………………………………………………………………………………………………………....

21……………………………………………………………………………………………………………....

22……………………………………………………………………………………………………………....

23…………………………………………………………………………………………………………........

24……………………………………………………………………………………………………………....

25……………………………………………………………………………………………………………....

I. B- 2. ÉPREUVE D’EXPRESSION ÉCRITE - 12 points -

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Texte de l’épreuve de compréhension écrite

���� Lisez attentivement cet extrait et répondez aux qu estions de l’épreuve de compréhension écrite.

La folle expérience de Philippe

Philippe avait eu l’enfance la plus solitaire. Sa tante tenait la maison de son père : il

l’appelait ma tante, elle n’était que la cousine de son père, un timide à qui elle prouvait son amour en restant sa servante. Elle l’aimait justement parce que, seul de sa famille, il avait fait des études, qu’il était devenu docteur. Elle l’aimait parce que toute la famille se rachetait en lui. Quand elle le tutoyait, elle insistait, elle appuyait sur le tu, comme si les envieux l’entendaient, fut-elle seule avec lui : « C’est mon cousin, mon plus proche cousin, vous savez, nous sommes de la même famille. » Le père, inconsciemment sensible à cette fierté obséquieuse1, la traitait toujours avec un peu de condescendance2, une condescendance que doublait sa timidité : cet homme solennel se troublait pour un rien, et c’est pourquoi il trônait et posait avec un tel plaisir aux heures d’expansion de la famille.

La tante Bertha vivait pour le cousin Joseph, et Philippe tentait de vivre de lui-même. Les uns n’étaient que le prétexte des autres. Ils ne se voyaient guère , chacun était le prétexte et le sujet des pensées et des sentiments de l’autre. On aurait dit que la maison familiale, où ils passaient pourtant le plus clair de leur temps, n’était qu’un lieu neutre, un endroit de passage.

Philippe n’était pas fils unique, mais le petit frère n’avait pas d’importance, qui mourut tôt, ne laissant que des souvenirs niais.

Pour la tante Bertha, Philippe était l’intermédiaire le plus commode entre elle-même et le cousin Joseph . Voulait-elle qu’on s’aperçût de sa présence, elle disait :

– Ton père t’a montré à placer tes blocs l’un après l’autre, pas tous à la fois... Ton père t’a dit de marcher droit... Ton père te répète de ne pas regarder par-dessus tes lunettes (Philippe portait des lunettes à cinq ans).

Philippe faisait ce qu’on lui disait, assuré qu’on l’oublierait aussitôt.

Jusqu’à quinze ans, Philippe n’eut pas de camarades. Il écoutait ses maîtres et s’intéressait à leurs leçons : l’école, le collège étaient pour lui le monde, le voyage, l’évasion. Il n’avait plus à souffrir de la timidité des autres, il n’étouffait que dans sa propre timidité. Cependant, il ne se liait pas , et il voyait toujours venir avec angoisse les récréations. Si le maître permettait, un quart d’heure, à toute la classe de causer, ce qui arrivait parfois, aussitôt, Philippe demandait la « permission de s’absenter » et, revenant, il restait près de la porte jusqu’au moment que se refaisait le silence.

Sa volupté était la lecture. Il avait commencé par dévorer les livres de classe, et les exemples de la grammaire l’avaient acheminé vers la littérature.

Berthelot BRUNET, Les Hypocrites, 1945.

1 Obséquieuse : exagérément prévenant et poli, servile. 2 Condescendance : comportement hautain mais bienveillant et aimable.

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SERVICE DES EXAMENS DE LANGUE FRANÇAISE RÉSERVÉS AU X ÉTUDIANTS ÉTRANGERS

CENTRES DE GRÈCE - SESSION DU 6 DÉCEMBRE 2014

C E R T I F I C A T P R A T I Q U E D E L A N GU E F R A N Ç A I S E MODULE « COMPRÉHENSION ET EXPRESSION »

Note sur 25 – durée : 30 minutes environ

II. ÉPREUVES ORALES COLLECTIVES

Vous allez entendre un enregistrement sonore.

A. Compréhension orale: deux écoutes. Vous écouterez attentivement une première fois le document sonore. Vous aurez ensuite 2 minutes pour commencer à répondre aux questions. Vous écouterez une deuxième fois l’enregistrement. Vous aurez encore 3 minutes pour compléter vos réponses.

B. Discrimination auditive : une seule écoute. Vous répondrez directement aux questions en écrivant l’information demandée ou en cochant d’une X la bonne réponse.

II. A- COMPRÉHENSION ORALE / 21

1. Complétez la phrase suivante : - 4 points -

Le Salon du livre de Paris version 2014, ouvre ses portes pendant

4 jours, du ....................................... au............................................

Cette année, un pays est à l'honneur, l'Argentine, et une ville chinoise,

Shanghai. .......................... ... éditeurs seront présents, .................................. représentants

des bibliothèques et médiathèques de France, ........................................... auteurs et bien

sûr les rédactions de LIRE et L'Express. ..................... rencontres sont prévues, ...............

pays représentés. Le tout pour accueillir quelque ................................... visiteurs.

2. Citez les thématiques qui y seront développées : - 4 points -

L'Argentine et sa....................................................

......................................................... : transformations de notre monde avec des chercheurs

et des intellectuels.

................................................................................ : des débats avec des écrivains.

................................................................................., une porte ouverte sur les bibliothèques

personnelles des écrivains.

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3. Choisissez la bonne réponse : - 1 point -

���� Vincent Monadé considère que les Français continuent à s’intéresser au livre et à la lecture. ���� Vincent Monadé pense que malheureusement les Français ne prennent plus plaisir à

la lecture. ���� Vincent Monadé déplore la diminution constante des lecteurs français.

4. Comment les librairies peuvent-elles poursuivre leur évolution ? - 2 points -

(Choisissez les bonnes réponses)

� en organisant des festivals littéraires � en proposant des activités variées � en proposant des livres à des prix réduits � en organisant des débats � en améliorant la qualité des livres

5. Vincent Monadé explique que l’action « Lire en fête », a connu un succès analogue

à : ..................................................................................... - 1 point -

6. Complétez la phrase suivante : - 3 points -

Surtout, on constate une ...................................... et une ........................................ envers le

livre : dans le sondage du Syndicat national de l’édition, ........................... des gens disent

qu’ils sont « tout à fait d’accord » pour lire des livres aux enfants, et ..................... qu’ils font

confiance au livre plus qu’aux autres ............................... tandis que chez les non-lecteurs,

......................... des personnes interrogées déclarent faire confiance à la télévision.

7. Quant à la lecture des livres numériques, Vincent M onadé est d’avis : - 1 point -

� qu’elle constitue une menace pour le livre papier � que cela constitue une différente manière de lire � que le livre numérique contribue à l’augmentation des autres loisirs

8. Il explique enfin - 2 points -

Qu’il faut toucher les plus ........................................., à l’égal du jeu vidéo, qui n’est pas un

................................................... mais un ................................................. . Leur montrer que

la lecture, c’est la ........................................................ de ne jamais s’ennuyer.

9. Qui s’affronte chaque semaine, sans détour su r l'actualité dans l’émission « Le Clash » ? - 1 point -

� les journalistes du « Nouvel Observateur » et du « Figaro Magazine » � les lecteurs du « Nouvel Observateur » et du « Figaro Magazine » � les rédactions du « Nouvelle Observateur » et du « figaro Magazine »

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10. Selon Jean-Christophe Buisson du « Figaro Ma gazine » - 1 point -

L’idée qu’il y ait une fois par an, à Paris, ............................................................ librairie

où les gens se promènent et découvrent le livre, pour certains qui

........................................................... entrer dans les librairies, c’est formidable.

11. Grégoire Leménager du « Nouvel Observateur-B ibliObs » - 1 point -

� est du même avis que Jean-Christophe Buisson. � est d’un avis différent par rapport à Jean-Christophe Buisson. � n’est ni pour, ni contre le salon du livre. � s’exprime de manière assez imprécise sur la question.

B. DISCRIMINATION AUDITIVE / 4 points

Attention, vous n’entendrez ce document sonore qu’u ne seule fois.

Écoutez le document sonore et répondez directement en écrivant l’information demandée ou en cochant d’une X la bonne réponse.

1. Complétez les phrases suivantes en fonction d e ce que vous avez entendu :

- 2 points -

a. La lecture, c’est ..........................................de ne jamais s’ennuyer.

b. Une croissance réelle du ................................................................

c. Cela montre bien où se situe ............................................à mener.

d. Il ne faut pas considérer le livre ......................................................

2. Cochez ce que vous avez entendu : - 2 points -

1. � Il fallait simplement, ce qu’a été fait. � Il fallait simplement, ce qui a été fait.

2. � La croissance démographique, additionnée à celle de l’éducation, concourt forcément

� La croissance démographique, additionnée à celle de l’éducation, concourt faussement

3. � Cela s’est fait progressivement

� Cela se fait progressivement

4. � on y mettait les lecteurs au centre, auteurs de la manifestation. � on y mettait les lecteurs au centre, acteurs de la manifestation.

Fin de l’épreuve orale collective.

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Corrigé des épreuves écrites

A - Épreuve de langue

B.1 - Épreuve de compréhension écrite

Corrigé des épreuves orales collectives

Texte de l’épreuve orale collective II. A- Compréhension épreuve orale collective

II. B - Discrimination auditive

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Corrigé des épreuves de Langue et de compréhension écrites

I. A - ÉPREUVE DE LANGUE

I. Mettez les phrases suivantes au style indirec t en faisant les transformations nécessaires : a) Il lui a dit qu’il savait qu’il n’était pas riche, en dépit des apparences et qu’il fallait toujours tenir. b) Il a ajouté qu’il aurait désiré être médecin, comme lui, la plu s belle des professions.

c) Il a terminé en disant que les cours étaient trop longs et, qu’en choisis sant le notariat, il pensait pouvoir défrayer lui-même le coût de l’université.

d) Son père lui a répondu qu’il le regretterait, mais qu’il fasse/de faire à sa guise.

II. Complétez par des pronoms relatifs, personnel s ou possessifs. C’est à cette époque qu’il connut ce Dufort, qui passa toujours pour le meilleur ami de Philippe, qui aima sans doute Philippe à sa façon. Il le connut aux premières années du collège et Philippe passa tout son temps avec lui .

Cependant, d’abord, Philippe ne parlait pas à Dufort, parce que Dufort suivait une classe inférieure à la sienne . Dans le tram, il le laissait accaparer par son cousin, avec qui il revenait, et qui était de la même classe.

III. Complétez le texte suivant en conjuguant les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au plus-que-par fait de l’indicatif : Dufort avait des parents riches, dont le seul luxe était une saison à la mer. Pour Philippe, il n’allait qu’à une campagne proche. De là-bas, Dufort lui écrivait de longues lettres, avec des « fions » et des paraphes, sans compter les descriptions qui sentaient à la fois Albalat, que Philippe lui avait fait lire, et les réclames de voyage dont il faisait collection. Il parlait de rencontres, d’excursions en mer, et c’était Philippe maintenant le paria, avec ses livres et les cahiers où il s’efforçait à des descriptions flaubertiennes. Dans ses promenades sous les grands arbres, dans la chaleur trouble des repas, cet adolescent comptait les jours qui lui restaient à passer. Non point qu’il ait hâte de revoir Dufort, mais il lui semblait qu’un jour de moins pour lui au bord de la mer, ce serait un jour de moins pour la supériorité que l’autre avait acquise. IV. Complétez le texte suivant en choisissant parm i les mots proposés suivants :

Quand, déjà, si bien que, ainsi que, rarement, toujours, parfois, plus, puisque Le docteur vieillissait et il n’aimait plus aller aux malades seul. Philippe l’accompagnait parfois. – Il faut que j’aille voir le père Lanteigne, il y a déjà deux semaines que je l’ai vu, et ce n’est pas par téléphone

que l’œil du maître peut décider : tu verras ça, quand tu seras médecin. Le docteur avait toujours voulu voir son fils médecin, Philippe le laissait dire : cette fois, il n’avait qu’un mois

pour se décider, il lui fallait se faire inscrire à l’université, et ce n’était plus qu’une question de jours : Philippe avait réussi son baccalauréat, et il avait éludé les questions de son père, si bien que l’autre avait cru qu’il acceptait de devenir médecin.

V. Choisissez et entourez le mot correctement orth ographié :

Il faisait coupures des poésies que les journaux publiaient et il avait proposé à sa tante de vider lui-même, « pour l’aider dans son ouvrage » le panier du docteur où se trouvaient des revues non coupées et des prospectus médicaux : il fourrait tout cela sous son matelas, puis lisait sans bien comprendre dans le tram : il mêlait dans son sac livres de classes et publications de médecine, avec la peur de se faire pincer par le maître .

C’est à cette époque qu’il connut ce Dufort, qui passa toujours pour le meilleur ami de Philippe. Dufort était aussi timide que Philippe.

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I. B- 1. ÉPREUVE DE COMPRÉHENSION ÉCRITE

1. Cette histoire est racontée par :

⌧⌧⌧⌧ Un narrateur extérieur.

2. Décrivez le père de Philippe, tel qu’il est pré senté par cet extrait : C’était le seul qui avait fait des études dans la f amille ; il exerçait la profession de médecin. C’était un homme sérieux, timide, réservé et di stant. 3. Expliquez pourquoi la tante de Philippe était attachée à son père ?

C’était son seul parent. C’était le seul dans la famille qui avait fait des études.

4. Expliquez pourquoi Philippe « avait eu l’enfance la plus solitaire » Il n’avait pas de frères et sœurs, il n’avait p as d’amis, il vivait avec son père et sa tante qui ne s’occupaient

pas de lui. 5. Décrivez Philippe tel qu’il est présenté dans cet extrait : C’était un enfant timide et réservé, curieux, obéis sant sage et studieux.

6. Philippe s’intéressait-il à l’école ? ⌧⌧⌧⌧ Oui Pour quelles raisons ? « l’école, le collège étaient pour lui le monde, le voyage, l’évasion » - cela lui permettait de connaître le

monde/d’autres mondes, de s’évader de la réalité, d e voyager. 7. Pourquoi voyait-il « toujours venir avec angois se les récréations » ?

Il n’avait personne avec qui discuter. 8. « Sa volupté était la lecture » Trouvez dans le texte le verbe qui justifie cette expression : Dévorait 9. Expliquez les mots suivants en contexte par une phrase ou un synonyme :

• à qui elle prouvait : à qui elle montrait • inconsciemment sensible : involontairement – sans s’en rendre compte • Philippe tentait de vivre : essayait de vivre • Assuré : sûr, certain • Il ne se liait pas : il ne s’attachait pas – il ne se faisait pas d’amis

10. Expliquez les phrases suivantes dans leur conte xte :

• Sa tante tenait la maison de son père :

Sa tante s’occupait de la maison de son père. Elle s’occupait des tâches ménagères.

• Ils ne se voyaient guère : Ils se voyaient très peu – ils se voyaient presque rarement

• Philippe était l’intermédiaire le plus commode entre elle-même et le cousin Joseph : Elle se servait de Philippe comme lien pour parler de son père ou pour se faire remarquer par son père.

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TEXTE DE L’ÉPREUVE ORALE COLLECTIVE

A. COMPRÉHENSION (deux écoutes)

34e édition du Salon du livre de Paris Le Salon du livre de Paris version 2014, ouvre ses portes pendant 4 jours, du vendredi 21 au lundi 24 mars.

Cette année, un pays est à l'honneur, l'Argentine, et une ville chinoise, Shanghai. 1200 éditeurs seront présents, 3500 représentants des bibliothèques et médiathèques de France, 4500 auteurs et bien sûr les rédactions de LIRE et L'Express. 500 rencontres sont prévues, 45 pays représentés. Le tout pour accueillir quelque 200 000 visiteurs.

Voilà pour les chiffres. Côté programme, cinq grandes thématiques seront développées. L'Argentine et sa

littérature. Une immersion culturelle au cœur de l'infatigable et lumineuse métropole-monde de Shanghai. Savoir et Connaissance : des discussions autour des transformations de notre monde avec des

chercheurs et des intellectuels. Lettres au féminin : des débats avec des écrivains sur l'égalité, la diversité, les femmes... Et « Le livre qui a changé ma vie », une porte ouverte sur les bibliothèques personnelles des écrivains,

artistes et éditeurs pour dévoiler les intimes secrets de leur inspiration... De grands entretiens, des débats, des rencontres ou des conférences avec des spécialistes seront

également organisées. Entretien avec Vincent Monadé président du Centre national du livre : « La lecture, c’est la garantie de ne

jamais s’ennuyer ». Vincent Monadé rappelle l’attachement très fort des Français au livre et une fréquence de lecture toujours

élevée, mais souligne la nécessité d’une action forte en faveur de la lecture. Comment soutenir concrètement la lecture ? Vincent Monadé : Il faut dire aux gens que la lecture, c’est du plaisir, du bonheur. Les librairies doivent

poursuivre leur évolution, en offrant d’autres services, en devenant de vrais lieux de vie, avec des cafés, des débats, tandis que le Centre National du Livre doit renforcer les grands festivals littéraires, leur permettre d’attirer des lecteurs. Il faut aussi réfléchir à réinventer une action nationale en faveur de la lecture comme ce fut le cas avec « Lire en fête », qui a longtemps connu un succès analogue à la Fête de la musique : on y mettait les lecteurs au centre, acteurs de la manifestation.

Pourtant, les deux sondages publiés pour le Salon du livre montrent un recul de la lecture… V. M.: Je refuse de tirer des conclusions négatives de ces résultats faisant état d’un léger tassement des

grands lecteurs. Je pense au contraire qu’il y a globalement de plus en plus de lecteurs en France. Je veux souligner la très forte résistance des « petits » lecteurs, et une croissance réelle du livre numérique.

Surtout, on constate une adhésion et une confiance envers le livre : dans le sondage du Syndicat national de l’édition, 76 % des gens disent qu’ils sont « tout à fait d’accord » pour lire des livres aux enfants, et 40 % qu’ils font confiance au livre plus qu’aux autres médias, tandis que chez les non-lecteurs, 30 % des personnes interrogées déclarent faire confiance à la télévision. Cela montre bien où se situe le combat à mener.

La lecture des livres numériques est-elle une menac e, comme certains observateurs le suggèrent ? V. M.: Non, c’est une autre façon de lire. Il fallait simplement, ce qui a été fait, sécuriser l’environnement

juridique, afin que les éditeurs et les libraires puissent en vendre avec les mêmes garanties que sur le livre papier. Le livre numérique attire des publics différents et des personnes non lectrices de livres papier. Là aussi, la tendance va vers plus de lecteurs et plus de lecture !

Il ne faut pas considérer le livre comme démodé, et pour cela, il faut toucher les plus jeunes, à l’égal du jeu vidéo, qui n’est pas un concurrent mais un complément. Leur montrer que la lecture, c’est la garantie de ne jamais s’ennuyer.

À quoi sert le Salon du Livre ? Chaque semaine, dans l’émission « Le Clash », les rédactions du Nouvel Observateur et du Figaro Magazine s'affrontent sans détour sur l'actualité. Le Salon du Livre sert-il à quelque chose ? C'est la question dont débattent Jean-Christophe Buisson du Figaro Magazine et Grégoire Leménager du Nouvel Observateur-BibliObs. « Tout ce qui peut contribuer à sauver le livre en France est bon à prendre. L’idée qu’il y ait une fois par an, à Paris, une immense librairie où les gens se promènent et découvrent le livre, pour certains qui n’osent pas entrer dans les librairies, c’est formidable », estime Jean-Christophe Buisson du Figaro Magazine. « Il faut voir de quels livres et de quels auteurs on parle », tempère Grégoire Leménager du Nouvel Observateur-BibliObs . « Ce n’est pas une librairie, c’est un supermarché. Ce dispositif, avec son immensité finit par être contre-productif dans la promotion des auteurs. C’est une fête du livre dans laquelle, au final, la littérature se retrouve perdue ».

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Corrigé des épreuves orales collectives

II. A - COMPRÉHENSION ORALE

1. Complétez la phrase suivante :

Le Salon du livre de Paris version 2014, ouvre ses portes pendant 4 jours, du vendredi 21 au lundi 24 mars. Cette année, un pays est à l'honneur, l'Argentine, et une ville chinoise, Shanghai. 1200 éditeurs seront présents, 3500 représentants des bibliothèques et médiathèques de France, 4500 auteurs et bien sûr les rédactions de LIRE et L'Express. 500 rencontres sont prévues, 45 pays représentés. Le tout pour accueillir quelque 200 000 visiteurs.

2. Citez les thématiques qui y seront développées :

L'Argentine et sa littérature . Savoir et Connaissance: transformations de notre monde avec des chercheurs et des intellectuels. Lettres au féminin : des débats avec des écrivains. « Le livre qui a changé ma vie » , une porte ouverte sur les bibliothèques personnelles des écrivains.

3. Choisissez la bonne réponse : ⌧⌧⌧⌧ Vincent Monadé considère que les Français continuent à s’intéresser au livre et à la lecture.

4. Comment les librairies peuvent-elles poursuivre leur évolution ?

⌧⌧⌧⌧ En proposant des activités variées ⌧⌧⌧⌧ En organisant des débats

5. Vincent Monadé explique que l’action « Lire en fête », a connu un succès analogue à :

la Fête de la musique

6. Complétez la phrase suivante : Surtout, on constate une adhésion et une confiance envers le livre: dans le sondage du Syndicat national de

l’édition, 76 % des gens disent qu’ils sont « tout à fait d’accord » pour lire des livres aux enfants, et 40 % qu’ils font confiance au livre plus qu’aux autres médias , tandis que chez les non-lecteurs, 30 % des personnes interrogées déclarent faire confiance à la télévision.

7. Quant à la lecture des livres numériques, Vincen t Monadé est d’avis :

⌧⌧⌧⌧ que cela constitue une différente manière de lire

8. Il explique enfin Qu’il faut toucher les plus jeunes , à l’égal du jeu vidéo, qui n’est pas un concurrent mais un complément . Leur

montrer que la lecture, c’est la garantie de ne jamais s’ennuyer.

9. Qui s’affronte chaque semaine, sans détour sur l 'actualité dans l’émission « Le Clash » ? ⌧⌧⌧⌧ les rédactions du Nouvel Observateur et du Figaro Magazine

10. Selon Jean-Christophe Buisson du Figaro Magazine

L’idée qu’il y ait une fois par an, à Paris, une immense librairie où les gens se promènent et découvrent le livre, pour certains qui n’osent pas entrer dans les librairies, c’est formidable.

11. Grégoire Leménager du Nouvel Observateur-BibliObs

⌧⌧⌧⌧ Est d’un avis différent par rapport à Jean-Christophe Buisson.

II. B - DISCRIMINATION AUDITIVE

1. Écrivez ce que vous avez entendu :

a. La lecture, c’est la garantie de ne jamais s’ennuyer. b. Une croissance réelle du livre numérique . c. Cela montre bien où se situe le combat à mener. d. Il ne faut pas considérer le livre comme démodé .

2. Cochez ce que vous entendez :

1. ⌧⌧⌧⌧ Il fallait simplement, ce qui a été fait. 2. ⌧⌧⌧⌧ La croissance démographique, additionnée à celle de l’éducation, concourt forcément 3. ⌧⌧⌧⌧Cela s’est fait progressivement 4. ⌧⌧⌧⌧ on y mettait les lecteurs au centre, acteurs de la manifestation.