HOTEL DIEU : “ Ne me quitte pas…...
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N° 17 / mai 2010 HOTEL DIEU : “ Ne me quitte pas… ” Michel EVREUX Un hôtel ! Des commerces ! Les projets de réhabilitation de l’Hôtel-Dieu sont-ils en passe de trahir la mémoire des généreux bienfaiteurs dont les noms restent gravés dans la Cour d’Honneur, d’oublier de grands noms de la médecine lyonnaise et les services rendus pendant des siècles à la population ? Pour des raisons budgétaires, on peut comprendre le transfert des lits d’hospitalisation vers d’autres sites bien que de nombreuses métropoles reviennent à des hôpitaux de proximité à la grande satisfaction des usagers. Il est donc capital de conserver un lieu de santé et de culture. Sa localisation centrale est un atout majeur : connu de tous, il est facile d’accès par son réseau de transports en commun et ses capacités de parking. Il est fort regrettable qu’un projet cohérent ayant reçu il y a une dizaine d’années l’aval de toutes les parties semble oublié : création de consulta- tions externes pluridisciplinaires avec orientation si nécessaire des patients vers des sites d’hospitalisa- tion, pérennisation des Services d’Urgence et des Unités de Jour . C’est le souhait de la population lyonnaise. Des locaux existent et fonctionnent parfaitement. A l’heure des réseaux « public- privé », une collaboration avec la ville peut s’envisager. L’installation d’une Maison Médicale de Garde recevrait sans aucun doute l’approbation générale renouant ainsi avec sa vocation originelle d’accueil à l’époque de Rabelais : celle du quai Sarrail pourrait être transférée à l’Hôtel-Dieu, bel exemple de Permanence des Soins au cœur de la ville.
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N° 17 / mai 2010
HOTEL DIEU : “ Ne me quitte pas… ”
Michel EVREUX
Un hôtel ! Des commerces !
Les projets de réhabilitation del’Hôtel-Dieu sont-ils en passe detrahir la mémoire des généreuxbienfaiteurs dont les noms restentgravés dans la Cour d’Honneur,d’oublier de grands noms de lamédecine lyonnaise et les servicesrendus pendant des siècles à lapopulation ?
Pour des raisons budgétaires, onpeut comprendre le transfert des litsd’hospitalisation vers d’autres sitesbien que de nombreuses métropolesreviennent à des hôpitaux deproximité à la grande satisfaction desusagers.
Il est donc capital de conserver unlieu de santé et de culture.
Sa localisation centrale est un atoutmajeur : connu de tous, il est faciled’accès par son réseau de transportsen commun et ses capacités deparking.
Il est fort regrettable qu’un projetcohérent ayant reçu il y a une dizained’années l’aval de toutes les partiessemble oublié : création de consulta-tions externes pluridisciplinairesavec orientation si nécessaire despatients vers des sites d’hospitalisa-tion, pérennisation des Servicesd’Urgence et des Unités de Jour.
C’est le souhait de la populationlyonnaise.
Des locaux existent et fonctionnentparfaitement.
A l’heure des réseaux « public-privé », une collaboration avec la villepeut s’envisager.
L’installation d’une Maison Médicalede Garde recevrait sans aucun doutel’approbation générale renouant ainsiavec sa vocation originelle d’accueil àl’époque de Rabelais : celle du quaiSarrail pourrait être transférée àl’Hôtel-Dieu, bel exemple dePermanence des Soins au cœur de laville.
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Un centre multidisciplinaire depromotion de la santé regrouperaitles programmes de prévention et lesexpertises en santé publique : ilpermettrait de renforcer le liensocial avec les usagers et l’installationd’Associations ou leur persistancecomme celle de l’Internat avec sacélèbre bibliothèque.
Le Musée de l’Hôtel-Dieu, l’un desplus riches d’Europe, groupé aveccelui de l’Histoire de la Médecine etcelui de l’Anatomie, donnerait le jourà un superbe Musée de la Santé.
La Communauté Médicale nesortirait-elle pas renforcée par
l’implantation des ConseilsDépartemental et Régional del’Ordre ? Le Grand Réfectoire de laCommunauté permettrait deperpétuer des Réunions Scientifiqueset la prestation du Sermentd’Hippocrate par 200 jeunesmédecins chaque année.
Il n’est pas trop tard pour revoircertains projets de cet édifice chargéd’histoire qui depuis plus de 8 sièclesa fait preuve de son adaptabilité auxévènements et au progrès médicaux.
N’oublions pas les Lyonnais !
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Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône
Suite au Congrès du 25 mars dernier sur la «Souffrance du Médecin» qui aconnu un vif succès avec 600 inscrits, nous vous proposons deuxcommunications (Dr. Georges Granet et Pr. Jean-Louis Terra). Pour les autresinterventions, merci de vous connecter sur le site de l’Ordre Départemental.
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Le Conseil Régional de l’Ordre desMédecins Rhône-Alpes a décidé deretenir parmi ses actions prioritairesla mise en place d’un dispositifrégional d’aide aux médecins endifficulté.
Tout au long du colloque du 25 mars2010 à Lyon, les différents orateursont fait avec pertinence et précisionl’état des lieux de la souffrance dumédecin dans son exerciceprofessionnel.
La prise de conscience de laprofession est réelle, elle met enévidence un problème de santépublique et elle impose un devoir deconfraternité.
L’entraide confraternelle fait partiedes missions de l’Ordre. Les struc-tures ordinales départementales,régionales et nationales représententun maillage permettant d’atteindrel’ensemble des médecins en exercice.
Le Conseil Départemental est lastructure professionnelle la plusproche du médecin, il dispose d’unecellule de veille confraternelle.
Le Conseil Régional a une mission decoordination, c’est à son niveau quesiègent la Formation Restreinte et la
Chambre Disciplinaire de PremièreInstance où comparaissent desconfrères qui n’ont pas pu faire faceà des difficultés qui auraient parfoispu être prises en charge en amont.
L’Ordre est garant de la plus stricteconfidentialité de cette prise encharge.
C’est au niveau régional qu’il paraîtpertinent de mutualiser les moyens.
Comment mettre en place unsystème de prise en charge ?
Il est indispensable de procéder partrois étapes successives.
L’information
Faire connaître et expliquer le projetà toutes les structuresprofessionnelles :
► URML► CME des établissements publics etprivés
► Syndicats de médecins libéraux etsalariés
► Structures de FMC/DPC
La formation
La fonction ordinale et l’empathie nedonnent pas la compétence pour
Avancer vers des propositionsconcrètes pour aider les médecins en difficulté Georges Granet
Président du CROM
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prendre en charge un confrère ensituation difficile.
Des formations spécifiques serontproposées à tous les acteursordinaux en charge du système etseront faites par des experts.
La prise en charge
Elle nécessite la création d’une« interface » entre les structuresordinales et le médecin en difficulté.Elle pourrait être confiée à un expertspécialisé en addictologie et dans lesproblèmes de souffrance au travaildes cadres à haute responsabilité.
Quelles portes d’entrée dans lesystème ?
Le confrère en difficulté pourrait êtrepris en charge, soit après repéragepar une structure ordinale ou unestructure « partenaire » (URML,CME, FMC, syndicats), soit après unedemande directe de sa part auprèsdes mêmes structures.
Le Conseil Régional de l’Ordre desMédecins organise alors unerencontre confraternelle avec leconfrère en difficulté, accompagné s’ille souhaite, d’un membre de la cellulede veille confraternelle, il lui estproposé une aide à déterminer selonles cas.
La situation est ensuite soumise àl’expert consultant qui fera despropositions adaptées auxproblèmes : syndrome d’épuisementprofessionnel, addictologie, patholo-gies dépressives.
Un réseau de soignants formés seramis à la disposition du confrère endifficulté et il pourra bénéficierégalement d’une prise en charge pardes spécialistes en gestion du stress,en organisation du travail et engestion financière.
Il sera possible de prévoir unehospitalisation dans une structuredédiée à la prise en charge dessoignants.
Il sera également proposé desservices d’ordre « social » encollaboration avec la CARMF, lamédecine du travail, les assureurs.
La prochaine étape est d’organiser lacoordination des actions entre lesConseils Départementaux qui sont àl’origine des demandes et le ConseilRégional.
Ensuite, sera constitué le groupe detravail regroupant les différentsintervenants de façon à êtreopérationnel début 2011.
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Que nous le voulions ou non, noussommes en tant que médecins desmodèles vivants de prévention et desoins pour nos patients. Le « Queferiez-vous à ma place ? » indique queles meilleures stratégies de santénous sont prêtées. Le cas de laprévention du suicide brise un peucette image.
D’abord au niveau des chiffres. Lesmédecins devraient avoir un taux desuicide inférieur à la populationgénérale : nous avons fait des étudeslongues, sommes souvent mariés ouen couple, avec des enfants, des amiset avec un emploi où nous rendonsdes services avec un sentimentd’appartenance et d’utilité. Or derares études, au premier plan celle del’Ordre départemental du Vaucluse,montrent qu’il n’en est rien. Etremédecin serait un facteur de risquede suicide avec un risque relatifsupérieur à 2.
Ensuite notre analyse sur le planscientifique. Un risque relatif à 2 esttrès faible dans le domaine du suicide.Si l’on considère que c’est 28 pour letrouble bipolaire, 20 pour ladépression, 20 pour la dépendanceou l’abus d’alcool et que des dizainesde facteurs ont été identifiés, être
médecin est un petit facteur derisque, mal classé et non modifiablequi plus est !
Notre réflexion sur le plan social. Lerisque de stigmatiser une profession,une institution ou encore uneentreprise, par son taux de suicideexiste, que ce sur-risque soit avéréou simplement supposé. Considérerl’exposition des médecins auxprincipaux facteurs de risque pourlesquels une de suicide est lapremière tâche avant de déterminerla part résiduelle, si elle existe,attribuable au métier. Il est possibleque la connaissance et l’accès auxmoyens de suicide joue un rôle dansce sur-risque.
Il ne reste plus qu’à appliquer à nous-mêmes ce que nous préconisons auxautres. Protéger les patients estnotre mission première qui ne peutêtre réalisée que si nous allons bien.Un psychiatre suicidaire peut-ilrecevoir des patients suicidaires ? Laréponse va de soit. Que faisons-nousen pratique pour que cela arrive lemoins souvent possible ?
Pour cela, emparons-nous de laprévention du suicide comme de plusen plus d’organisations profession-
La prévention du suicide : protéger et se protéger.
Jean-Louis TERRAPr. de PsychiatrieUniversité Lyon 1
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nelles. Nous avons une expertisedans le domaine car beaucoup depays ont réduit leur taux de suicidepar l’action des généralistes endétectant et traitant mieux la dépres-sion. La journée organisée par leconseil de l’Ordre départemental du
Rhône et régional de Rhône-Alpes le25 mars 2010 est un pas importantqui a aussi contribué à déstigmatiserla demande d’aide : être fort c’estaccepter l’idée d’être faible parmoments, être fort c’est demanderde l’aide à temps.
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Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône
Hospitalisation à la demanded’un Tiers
Une personne atteinte de troublesmentaux ne peut être hospitaliséesans son consentement surdemande d’un tiers, que si :1. ses troubles mentaux appréciés
par un médecin rendentimpossibles son consentement,
2. son état impose des soinsimmédiats avec surveillanceconstante en milieu hospitalier. LePréfet peut mettre fin à l’HDT siles conditions ne sont pas réunies.
Hospitalisation d’Office
En cas de danger imminent pour lasûreté des personnes, le mairearrête à l’égard des personnesprésentant des troubles mentauxmanifestes, toutes les mesuresprovisoires nécessaires, et en réfèredans les 24 heures au Préfet, quistatue sans délai et prononce s’il y alieu un arrêté d’Hospitalisationd’Office au vu d’un certificat médicalcirconstancié.
Henry CHASSAGNON
Ordre des Médecins du Rhône94, rue Servient - 69003 LYONTél. : 04 72 84 95 60 - Fax : 04 72 84 95 69E-mail : [email protected] - www.conseil-departemental-69.medecin.fr
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La régulation demeure la pierreangulaire de la permanence de soins.
Le centre de réception et derégulation des appels (CRRA) assurede façon permanente la régulation desappels téléphoniques du numérod’appel téléphonique 15. Laparticipation des médecins libéraux àla régulation des appels relevant de lamédecine libérale est organiséependant les horaires de permanencede soins au Numéro d’appel04.72.3.00.33. La régulation du 15 et larégulation libérale gèrent les appelsdans les mêmes locaux.
A la suite d’un travail récent quiprésente l’activité du CRRA, par jours,par tranches horaires… la sousdotation actuelle en médecinsrégulateurs par rapport aux besoinsréels est largement mise en évidence.Il apparait ainsi que pour la période18-19 h de semaine ou de 8-12h lesamedi matin le taux d’appel parmédecin est supérieur à 18 appels parheure alors qu’un taux optimal deréponse se situe autour de 9 appelspar heure.
Le nombre de médecins régulateursva donc être augmenté.
Pour la garde libérale :
Du lundi au dimanche deuxrégulateurs libéraux de 20 heures àminuit, puis un régulateur libéral deminuit à 2 heures + un régulateur de2 heures à 8 heures.
Les dimanches et jours fériés : troisrégulateurs de 12 heures à 20 heures.
En dehors des horaires de la PDS maispour répondre à un besoin réel 3régulateurs libéraux seront mise enplace (Le problème du financementpar l’URCAM n’est pas acquis pourcette tranche horaire).
La régulation libérale au sein duCRRA est gérée par l’associationARMEL 69. Cette dernière varecruter des médecins libéraux poureffectuer des vacations. La demandede candidature peut être faite auprèsdu Docteur Jean-Paul PERRON au06 60 13 82 86, qui informera le futurrégulateur sur les modalitésd’adhésion et en particulier sur laformation que requiert cette fonction.
La prise en main par l’ARS de la PDSlui donne la compétence pour définirles territoires et fixer lesrémunérations.
En cas de dysfonctionnement desgardes, l’ARS se réserve le droit dedemander au Préfet une réquisition.
Jean DEPASSIOPermanence de soins
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Par Arrêté du 8 Mars 2010, laCommission départementale dequalification de 1ère Instance enMédecine Générale est prolongéejusqu'au 1er octobre 2012. Aprèscette date, il faudra passer par lacommission nationale.
A ce jour, près de 27 000 médecinsgénéralistes ont été qualifiésspécialistes en France et 521 dans leRhône.
Pour ce faire, il suffit d'adresser undossier téléchargeable sur le site duCDOM au 94 rue Servient 69003LYON. La commission statue sur descritères objectifs de pratique de laMédecine Générale en référence à la« WONCA 2002 ».
La Médecine Générale, médecine defamille, est une discipline scientifique
et universitaire, avec son contenuspécifique de formation, derecherche, de pratique clinique et sespropres fondements scientifiques.C'est une spécialité clinique orientéevers les soins de premier recoursdéfinis dans la Loi HPST.
Il est nécessaire, tant pour se mettreen adéquation avec les nouveauxdiplômés, qu'avec l'Europe, que lamajorité des médecins pratiquant lamédecine générale valide ainsi leurspécialité.
En rejoignant ainsi les autresspécialités médicales, le spécialiste enmédecine générale pourra prétendreà la cotation CS et à l'accès à laCCAM dans le systèmeconventionnel.
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Vincent LIBOUREL
Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône
Spécialistes en médecine générale et CS
• Directeur de la publication :Patrick ROMESTAING
• Rédacteur en chef : Michel EVREUX
• Tirage : 9000 exemplaires
• Conception et réalisation :REY Communication 6 rue du Périgord - 69330 MEYZIEU
• Publicité : Christine BENITAHTél. 04 37 44 30 00 - Fax : 04 37 44 30 10Mail : [email protected]
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La recherche de preuves scientifiquesdans les meurtres et les crimes est lapierre angulaire d'une justerecherche de la vérité.
Les méandres judiciaires avecrecherche de preuves ou perte depreuves ont émaillé les affaires dites"Robert BOULIN", "LUSSET" et"KALINKA", française de 15 ans dontl'histoire est revenue à la une desjournaux à la suite de l'enlèvementpar le père de la victime dumeurtrier supposé.
Sous l'égide de l'lNPS, il y a eu uneprésentation, début octobre 2009, del'élaboration d'un protocole relatif àla preuve scientifique dans les affairesde viol et d'agression sexuelle.
Les différents acteurs intervenantdans les dossiers de violence sexuelleont constaté des difficultés dans lachaîne de traitement de ces affaires,notamment dues à une absence deprotocole.
De ce fait, un groupe de travail, issudu séminaire du 17/03/09, s'est réunipour établir un protocole régionaluniformisé du recueil et del'exploitation des preuvesscientifiques dans le cadre desaffaires de violence sexuelle.
Ce protocole a donc été finalisé dansle rapport final du groupe de travail. Ila pour objet de résoudre localementles difficultés qui ont été pointées etpour objectif d'être le point dedépart d'une réflexion nationale surce sujet.
Les éléments pertinents de cesdocuments pourront être vus sur lesite du CDOM 69. En particulier,seront accessibles les numéros detéléphone 24H/24, des précisions surles différentes façons de procéder. LeMédecin de premier recours, leMédecin de famille, le Gynécologueou le Médecin légiste sont enpremière ligne mais ces donnéesmaintenant accessibles sur le sitepermettront à n'importe quelmédecin de réaliser les prélèvementsnécessaires pour permettre auxfutures victimes d'être moinsdémunies dans leur recherche de lavérité.
Pour en savoir plus : ► Rapport final du groupe de travail del'INPS présenté en octobre 2009 ► La Gazette du Palais 2009, N° 1-2sur le dommage corporel, aspectsmédico-légaux concernant les victimesde viol. ►Contact téléphonique :
06 14 61 51 84 (INPS)
Bruno MAZENOD
La recherche de preuves scientifiques dans les meurtres et les crimes
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Le site
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La mise en page peut être person-nalisée mais doit rester sobre. Toutmoyen promotionnel, commercial oupublicitaire sont interdits.
Le médecin ► Son identité : nom*, prénom*, date
de naissance, n° d’inscription autableau* et RPPS*
► Sa situation au regard de laconvention médicale*
► Ses principaux honoraires*, ► Son appartenance à une AGA* ► Les conditions de réalisation d’un
devis lorsque la loi l’impose*► Une photo d’identité ► Ses titres et qualifications
professionnelles et sonappartenance à une société savante
► Ses travaux et publicationsscientifiques avec l’indication desorganes les ayant acceptés avecmentions, s’ils existent, de conflitsd’intérêts
► Les langues parlées ► Ses distinctions honorifiques
reconnues par la Républiquefrançaise.
Le lieu d’activité
► L’adresse*, le téléphone*, le fax,l’adresse courriel (précédé d’unavertissement si absence deconfidentialité), le plan du quartier,les moyens de transport pouraccéder au cabinet, les facilitésd’accès (handicapés, ascenseur,parking).
► Jours et heures de consultation etde visite.
► Les moyens de réponse auxurgences et à la permanence dessoins (médecin de garde,organisation locale, le 15)*.
► Les dates de congés, l’informationde la présence d’unremplacement, d’un collaborateurou le renvoi vers un ou desconfrères peuvent être précisés.
► Les lieux d’exercice autorisés.
L’activité
Cf. www.conseil-national.medecin.fr
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Aude BONNARD
Publication de l'Ordre des Médecins du Rhône
Le site web du médecin(*) = mentions obligatoires
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• ADVENIER Louis 25 février 1926
• ASTREOUD René 28 février 1926
• BENYAMINE Gilbert 21 juin 1923
• BLANC Edmond 2 avril 1916
• BLUM Jacques 13 juillet 1919
• BRESSE Pierre 28 août 1945
• BUSSY Louis 25 mai 1923
• COLOMB Daniel 16 novembre 1923
• DAVID Philippe Fernand 22 octobre 1953
• DUTHY Eric 19 juillet 1960
• GAUJARD Michel 9 mai 1922
• GAUTHIER Denis 10 décembre 1948
• LEHMANN Marcel 5 octobre 1922
• LYONNET Denis 5 octobre 1943
• MICHELON Jean Louis 4 décembre 1921
• MOREL Paul Louis 28 mars 1944
• PELTAT Simon 5 janvier 1922
• ROMAN Marcel 31 janvier 1931
• ROMERO Gil 30 décembre 1957
• SHIRWALKER Govind 4 juillet 1927
• TERRIEN Jean Pierre 2 mai 1948
• VALLERY DEVAUX Aimée 11 décembre 1918
• VITTEAUT Serge 3 décembre 1953
• ZERBIB Fred 23 septembre 1927
Ils nous ont quittés
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Association Générale des Médecins de France
Un esprit mutualiste Notre groupe s’est construit sur le socle solide de la confraternité et de l’entraide.
Entraide et Assistance : telle était notre devise initiale et elle n’a jamais été un vain mot. Nous mettons en effet à disposition de nos adhérents un véritable service d'entraide qui prend
en charge un nombre croissant d'adhérents.
L’entraide confraternelle, au-delà des aides financières, c’est aussi :
- un soutien moral et psychologique aux adhérents en situation de détresse ou de précarité (maladie ou handicap, problèmes d'installation, réduction ou cessation d'activité,
surendettement, retraite ou décès) mais aussi à toutes les personnes qui en expriment le besoin,
- Une aide et un soutien administratifs, - La liaison avec les organismes de retraite, les organisations représentatives de chaque
profession…
L’entraide en chiffres : Depuis 15 ans, l’entraide c’est :
- plus de 1 000 dossiers traités, - plus d’un millions d’euros d’aides versées aux adhérents en difficultés.
Confraternité : la vocation déclarée de « secourir les médecins tombés dans l'infortune et fortifier la profession » est à l'origine de la création de l'AGMF, Association Générale des
Médecins de France en 1858. Cette vocation ne s'est pas démentie depuis et le groupe s'est donné au fil du temps de plus en plus de moyens pour la faire vivre.
Mutualité : organisme à but non lucratif, nous cherchons en permanence à offrir les
meilleures prestations au meilleur prix en veillant à l'équilibre des comptes, dans un esprit mutualiste de partage des risques et d'équité.
Tel : 0810 229 505 (prix d'un appel local)
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