HEG Genève - Journal MyAlumni Numéro 6

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N ° 6 Eté 2013 My Alumni LE JOURNAL DE L’ALUMNI HEG GENÈVE EVENEMENTS FLASHBACK REPORTAGE ALUMNI AUTOUR DU MONDE GROS PLAN MEILLEUR TRAVAIL BACHELOR + MASTER INFORMATIONS INFOTHEQUE/ NEWS HEG

Transcript of HEG Genève - Journal MyAlumni Numéro 6

Page 1: HEG Genève - Journal MyAlumni Numéro 6

n°6 Eté 2013

MyAlumniLE journaL dE L’aLumni HEG GEnèvE

eveneMents flashback reportage alumni autour du monde gros plan meilleur travail bachelor + master InforMatIons infotheque/ news heg

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cette saison 2012-2013 marque plusieurs nouvelles étapes dans la vie de l’alumni heg genève et le comité s’en réjouit.

Pour commencer, l’association intègre désormais parmi ses membres les diplômés de la formation continue. certains ont déjà émis le souhait de se joindre au comité, candidatures qui nous ont enthousiasmés.

ensuite, nous avons lancé le statut de membre+, membre cotisant bénéficiant d’avantages spéciaux (lire page 9). avec ce nouveau statut, l’Alumni HEG intègre officiellement FH Suisse ce qui confère à notre association une plus grande visibilité au travers d’un réseau national.

dans ce contexte, resserrer les liens avec l’ensemble de nos membres est essentiel et c’est ce que le comité a souhaité faire en vous présentant dans ce numéro les portraits d’alumni autour du monde. où que vous soyez, vous participez au rayonnement de nos diplômes.

l’ensemble du comité vous souhaite une agréable lecture, une belle suite d’été et espère vous retrouver nombreux la saison prochaine lors de nos événements.

nathalie turinPrésidente du comité

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EdiTEur : alumni Heg genève, c/o Haute Ecole de Gestion de Genève, Campus Battelle / Batiment F, 7 route de Drize, 1227 Carouge www. alumni-hesge.ch/heg - Email : [email protected]

rÉdaCTion : Nathalie Turin et contributeurs divers

GraPHiSmE : Alexandre Ramseier

imPrESSion : Imprimerie de Rive

éditoauTour du mondE

Som

mai

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page 4 EVENEMENTS 2012 - 2013

page 6 REPORTAGE Alumni autour

du monde

page 10 GROS PLAN

page 12 FORMATION CONTINUE

page 14 INFORMATIONS

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evénements2012-2013

Comme chaque année, la saison a débuté avec un « afterwork ». vous avez été nombreux à nous rejoindre et, contre toute attente, nous avons encore eu le plaisir de profiter de la terrasse dans une ambiance décontractée.

avec l’arrivée de l’hiver, nous vous proposions une « Fondue Party ». Malgré les agendas chargés de fin d’année, nous étions une quinzaine à partager ce moment de convivialité.

pour la première fois, la formation continue de la Heg organisait sa propre remise des diplômes. nous sommes heureux d’accueillir de nouveaux membres et nous réjouissons de les rencontrer lors de nos prochains événements.

l’afterwork de la rentrée a connu un succès mitigé. le froid étant de la partie, c’est en comité réduit que nous nous sommes retrouvés. et même si le proverbe dit « plus on est de fous, plus on rit », nous avons passé une bonne soirée et rencontré de nouveaux membres.

Depuis plusieurs années maintenant, le mois de mars sonne l’heure de la « pasta pizza party ». là encore, de nouveaux membres se sont joint à nous en plus d’un noyau de fidèles. Le repas fût excellents et les échanges vifs et intéressants.

la présence auprès des étudiants au cours de leurs études est essentielle pour créer le lien avec nos futurs membres. Un membre actuel et un ancien membre du comité ont donc mis sur pied deux soirées de conseils RH afin de les aider à aborder au mieux le monde du travail à leur sortie de la Heg. avec le soutien de deux nouveaux venus, ils ont accueillis et apporté des conseils personnalisés aux étudiants présents. vu le succès et les bons échos des particpants, l’expérience sera certianement renouvelée.

pour le dernier gros événement de la saison, nous nous sommes retrouvé autour de l’entrepreneuriat. retours d’expérience d’alumni et conseils d’experts étaient au programme pour cet événement ouvert à tous. nous avons accueilli une trentaine de personnes et des thèmes tels que le «crowdfunding», le transfert d’une innovation à l’entrepreneuriat ou encore les différents organismes de soutien aux entrepreneurs ont pu être abordés. le tout s’est terminé autour d’un cocktail dînatoire qui fut l’occasion de prolonger certains débats et échanges.

a la fin du mois, la cérémonie de remise des diplômes marquait l’entrée de la volée 2012 au sein de notre association. les nouveaux diplômés ont terminé cette cérémonie en se rejoignant tous sur scène pour célébrer la fin de leur bachelor. lors de la désormais traditionnelle « graduate night » c’est prêt de la moitié des diplômés qui nous rejoignait pour prolonger la fête.

Cette année enCore, noUs noUs soMMes retroUvés lors D’événeMents DIvers et varIés toUt aU long De l’année. noUs soMMes aUssI allés à la renContre Des noUveaUx DIplôMés et Des étUDIants.

petIt retoUr sUr Cette saIson 2012-2013.

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ConfÉrEnCE

Cérémonie de remise des diplômes

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reportageaLumni auTour du mondE

peux-tu nous décrire ton parcours jusqu’à ton départ à l’étranger?

Avant de commencer la HEG, j’avais travaillé durant 3 ans chez Procter & Gamble dans le secteur marketing. En revanche après mon diplôme, je souhaitais acquérir une compétence en finance et par conséquent, j’ai décidé de rejoindre le département Audit de KPMG à Genève. Au bout de quatre ans, j’ai eu l’occasion d’occuper un poste intéressant au sein de l’unité de contrôle de gestion de Yum ! Restaurants International, toujours à Genève. A peine lancée dans mes nouvelles fonctions, mon époux a reçu une offre pour une expatriation à Singapour et nous avons alors décidé que c’était malgré tout le bon moment pour vivre une telle expérience.

Quelle activité exerces-tu à l’étranger?

Notre arrivée à Singapour il y a six ans coïncidait avec la naissance de notre deuxième enfant. Le moment était donc venu pour moi de m’occuper de ma famille avant de me lancer dans un nouveau défi professionnel. Néanmoins, j’ai immédiatement voulu en apprendre plus sur l’Asie et, dans ce but, j’ai suivi des cours pour devenir guide bénévole dans deux musées locaux. En parallèle, je commençais l’apprentissage du chinois puisqu’il s’agit de la langue maternelle de la majorité des singapouriens. C’était une période passionnante, entrelacée par beaucoup de beaux voyages en famille dans la région.Il y a à peu près trois ans, j’ai été engagée par l’Ambassade de Suisse. Je travaille pour la section commerciale, le « Swiss Business Hub ASEAN », antenne extérieure de l’Osec, récemment rebaptisée « Switzerland Global Entreprise ». Mon travail consiste à aider des petites et moyennes entreprises suisses à s’établir à Singapour en leur fournissant notamment des informations sur le marché, des contacts ou encore en les aidant pour mener des activités de promotion. Je représente également mon organisation lors de nombreux événements visant à développer notre réseau avec le tissu économique à Singapour et en Suisse.

Quelle a été votre motivation à accepter cette aventure à l’étranger avec ton mari?

Avec Singapour, nous avons saisi l’opportunité d’être en Asie pendant une phase d’expansion fulgurante. De manière générale, aller vivre dans un autre pays nous confronte avec une

autre culture, d’autres réalités. J’aime beaucoup la Suisse, mais le fait de vivre à Singapour me permet de voir mon pays sous un autre angle. La comparaison entre les deux environnements me fait mieux apprécier la Suisse avec ses côtés positifs, mais également des aspects à améliorer.

Quelles ont été les différences culturelles qui t’ont le plus marquée ?

Comme mentionné, la plupart des singapouriens est d’origine chinoise, culture fondée sur la tradition confucéenne. Presque tout s’oppose entre nos deux cultures ! Par exemple, la hiérarchie est très marquée, il faut savoir garder la face et permettre à l’autre de la garder. La communication comporte beaucoup de messages indirects et on se préoccupe davantage des conséquences à long terme. J’ai dû apprendre à mieux contrôler mon impatience mais aussi à être plus stratégique dans ce que je dis et fais.

Comment ton parcours à la Heg t’a-t-il préparé à cette expérience?

Il m’a permis d’acquérir une base solide de généraliste qui m’a toujours été utile dans ma carrière. Je suppose que cela a changé depuis mais, en mon temps, il y avait peu d’éléments d’étiquette internationale ou des problématiques interculturelles. Je ne garde pas non plus un souvenir d’importantes analyses de zones économiques en dehors de la Suisse.

finalement, aurais-tu des conseils à donner à un étudiant ou alumni Heg qui souhaiterait partir travailler à l’étranger?

En dehors d’une envie d’apprendre et de s’adapter à un autre environnement, en tout cas en Asie, il faut disposer d’une bonne formation. Un diplôme de bachelor est indispensable, mieux vaut en plus un titre de master. Les singapouriens sont très compétitifs et adorent les « rankings ». Il convient donc de mettre en avant d’éventuelles mentions ou le rang de l’université ou l’école dans laquelle on a étudié. De plus, les CV sont rédigés sur un ton très vendeur, il ne faut donc pas être trop modeste.

Yvonne JanCloes

filière et année de diplôme : economie d’entreprise, 2001

Pays :singapour

Poste actuel :Senior Trade Officer auprès de l’ambassade de suisse, swiss Business Hub asean

reportageaLumni auTour du mondE

Quel a été ton parcours professionnel après la Heg et jusqu’à ton départ à l’étranger?

Après la HEG, j’ai réalisé une étude de marché pour un cabinet de recrutement qui désirait mieux estimer les chances de succès du lancement d’un service innovant à destination des entreprises étrangères implantées sur l’arc lémanique. Suite à cela, j’ai cherché un environnement qui me permette de conjuguer autonomie et responsabilités à une approche de service. J’ai donc choisi de travailler en tant que consultant chez la société de conseil financier AWD. Après presque une année très enrichissante et formatrice, j’ai décidé de partir sur un emploi plus stable en matière de rémunération. C’est à ce moment qu’un ami m’a parlé de la société Fits.me en Estonie et m’a proposé de lui envoyer mon dossier. Conquis par le concept réellement novateur de l’essayage virtuel de vêtements pour les achats en ligne et son potentiel de marché, j’ai donc décidé de tenter ma chance.

Dans quel type de structure évolues-tu et quel est ton poste ?

Je travaille pour une startup de 70 personnes (35 à mon arrivée en août 2012) en tant que Business Development Manager pour les pays germanophones. Mon travail consiste à bien connaître le marché, ses différents acteurs et préparer l’arrivée de la société sur ces marchés. Mes tâches vont de la création et la gestion d’une base de données prospects, à la participation à l’organisation d’événements et autres actions marketing, en passant par des meetings avec les clients potentiels. Dans quelques mois, je quitterai l’Estonie pour m’installer en Allemagne afin d’être au plus près du marché.

Qu’est-ce qui t’as motivé à quitter la suisse?

D’une part, j’ai toujours été attiré par une expérience internationale, tant au niveau professionnel (bénéfice pour la carrière) que personnel (multiculturalisme). D’autre part, j’ai réalisé qu’il était plus facile de faire le pas durant les premières années après l’obtention du diplôme car c’est à ce moment que l’on est souvent le plus flexible : motivation fraîche, moins de contraintes (on a souvent pas encore fondé de famille) et grande adaptabilité. Quoiqu’il arrive, si jamais l’expérience est un « échec », la possibilité de revenir existe toujours. En somme, pour moi, c’était « maintenant ou (probablement) jamais » !

Quelles sont les principales différences culturelles auxquelles tu as dû faire face?

Sept nationalités sont représentées au sein de ma société, et donc, sept cultures relativement différentes. Par exemple, la culture estonienne est très différente de la britannique. En termes de communication le fossé culturel est frappant : l’anglo-saxon a tendance à être direct pour faire passer ses messages, tandis que l’estonien préfère ne pas déranger et communique plus facilement par écrit. Cela mène parfois à des situations cocasses où les deux parties se rendent compte que ce qui paraissait évident pour l’un ne l’est pas du tout pour l’autre. Heureusement, ces différences ne nous empêchent pas de travailler ensemble et faire grandir la société !

Comment ton parcours à la Heg t’a-t-il préparé à cette expérience?

Dans une société jeune en plein développement, il faut savoir s’adapter très vite et être flexible. Par exemple, en tant que personne travaillant dans la vente, il faut des connaissances pratiques de finances et statistiques pour pouvoir convaincre plus facilement les prospects en leur précisant l’impact financier de notre solution sur leur situation, avec leurs données propres.Même si je n’utilise pas chaque jour tous les outils acquis à la HEG, je reste convaincu que l’approche de la HEG – généraliste et pratique à la fois, convient bien au monde professionnel d’aujourd’hui où il faut se montrer toujours plus flexible et agile.

pour conclure, aurais-tu des conseils à donner à un étudiant ou alumni Heg qui souhaiterait partir travailler à l’étranger?

Le principal conseil que je peux donner est le suivant : n’hésitez pas trop longtemps, faites le pas et partez ! En effet, j’ai souvent été étonné de la passivité de beaucoup d’habitants en Suisse face à une expérience à l’étranger : ils encouragent les autres à essayer quand bien même ils pourraient en faire de même. C’était notamment le cas lorsque j’en discutais avec mes anciens collègues de classe à la HEG au moment de partir en échange Erasmus. Oui, la situation en Suisse est bonne, même exceptionnelle en termes de qualité de vie! Cependant, pour en être vraiment certain et le constater par soi-même, rien ne vaut une expérience à l’étranger.

stepHane taUrIan

filière et année de diplôme : economie d’entreprise, 2010

pays :estonie

Poste actuel :DaCH Business Development Manager chez fits.mewww.fits.me/fr

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aLumni auTour du mondE fH SuiSSSE

Quel a été ton parcours professionnel après la Heg et jusqu’à ton départ à l’étranger ?

Avant d’arriver à la HEG, j’ai effectué un stage d’un an au sein d’EFG Bank pour m’assurer que je souhaitais travailler dans la finance. J’y suis donc assez logiquement retourné après mon bachelor et, après quelques mois, on m’a offert l’opportunité de partir à Miami pour effectuer une revue de certains départements opérationnels. J’ai donc été confronté très rapidement à une autre culture.

Que retiens-tu cette première expérience aux etats-Unis ?

Je dirais que l’environnement de travail anglo-saxon est très axé sur les résultats, vers l’action et sur la réalisation et la prise de décision, on a l’impression que le court terme compte pour eux. Les relations sont également très différentes et le tutoiement s’impose avec tout le monde, peu importe la position hiérarchique, la langue veut également cela. J’ai eu du plaisir durant cette première mais, alors que je m’atten-dais à une grande mixité, j’ai été marqué par une sorte de communautarisme entre les différents groupes de sud-améri-cains ayant immigrés

après cette première expérience tu es donc revenu à genève ?

Oui mais ce fût à nouveau très court puisqu’après 8 mois je repartais déjà pour le Luxembourg ! Là-bas j’ai participé à la création d’une nouvelle entité durant 3 ans. J’y occupais le rôle de responsable de projet et risques sous la direction générale. C’était un environnement de travail très européen avec des français, des belges, des allemands, mais aussi beaucoup de scandinaves. J’y ai découvert d’autres traits culturels : chez les belges et les français, la notion de hiérarchie prime et les réunions suivent rarement le plan établi alors que les allemands eux s’en tiennent à l’ordre du jour et se concentrent sur l’essentiel. De plus, alors que les uns valorisent le savoir-être et les études, les autres attachent plus d’importance au savoir-faire. Finalement, après avoir fait croitre le bureau pour arriver à environ 100 personnes, j’ai souhaité me lancer de nouveaux défis et c’est dans ce cadre que je suis parti sur une troisième expérience à l’étranger, à Paris plus exactement.

on dit souvent que les français sont nos cousins, comment as-tu vécu cette nouvelle expérience ?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les différences sont aussi présentes ; en imageant, je dirais qu’il faut faire attention à la partie cachée de l’iceberg. Il est primordial d’être très attentif lorsqu’on arrive quelque part afin de comprendre les différents codes présents et identifier la partie subjective.En France, il est important de prendre le temps de connaître ses collègues, « nos cousins » privilégient souvent la qualité du rapport avec leur manager, il faut créer un lien fort avec ses équipes. Dans un environnement anglo-saxon on prend rarement le temps de dire bonjour alors qu’en France, il ne faut surtout pas oublier de dire bonjour et la poignée de main ou même la bise sont fréquentes. Comment est-ce que ton parcours à la Heg t’a-t-il préparé à ces aventures internationales ?

Je pense que cela a été une bonne base pour aborder le monde du travail. Cependant, au moment où j’y ai effectué mon bachelor, il n’y avait pas de cours qui mettait l’accent sur les différences culturelles. Je pense en effet qu’il serait bien d’être sensibilisé au fait que l’on sera tôt ou tard confronté à des modes de fonctionnement différents et d’avoir quelques clés et s’y préparer.

aurais-tu des conseils à donner à un étudiant ou alumni qui souhaiterait partir travailler à l’étranger ?

Il faut prendre le temps d’identifier les différences potentielles, de se documenter et si possible ne pas rentrer trop souvent chez soi dans les premiers mois pour se détacher de sa propre culture et ne pas altérer notre jugement. Mais finalement, il est essentiel de garder en tête qu’il n’y a pas une culture meilleure ou moins bonne qu’une autre, il s’agit surtout des personnalités auxquelles on aura à faire Il faut donc laisser ses éventuels préjugés et remettre la personne au centre des échanges.Sur un plan privé, je ne peux que les encourager à participer à des activités sociales car c’est un très bon moyen de faire connaissance et de s’adapter à son nouvel environnement. Et finalement, si cette expérience est partagée avec son partenaire, il est essentiel d’être attentif à son intégration, car son épanouissement est aussi un facteur de réussite de sa propre émigration.

nIColas CHerBUIn

filière et année de diplôme : economie d’entreprise, 2005

pays :france

poste actuel :Coo chez Meeschaert gestion privée

reportage Membres +

 

 

 

 

 

Depuis juin 2012, le statut de « Membre + » te permets de bénéficier de nombreux avantages. valable durant 1 année académique, il regroupe les prestations suivantes :

• entrée libre à l’événement conférence du printemps (20.-)• Cotisation à l’association faîtière fH suisse et prestations y relatives (25.-)• envoi par poste du magazine Myalumni• et quelques surprises encore à venir.

La cotisation annuelle s’élève à 50.- et ton statut sera effectif dès réception du paiement.

toutes les coordonnées à la rubrique « Contact » de notre site web : www.alumni-hesge.ch/heg

reJOins nOus et beneFiCie D’AvAntAges exClusiFs

fH sUIsse est l’association faîtière nationale des diplômé-e-s de tous les domaines des hautes écoles spécialisées. actuellement fH sUIsse compte plus de 44’000 membres, issus de deux groupes nationaux et 33 groupes régionaux.

le travaIl polItIQUe

FH SUISSE s’engage pour la marque «HES» dans le monde politique, économique et la société en générale. Elle s’engage pour une reconnaissance des titres, un profil clair ainsi que pour une qualité et une transparence dans les formations de base et continues. Le conseil FH SUISSE composé de personnalités du monde politique et de l’économie, portent les revendications de FH SUISSE dans les commissions et organes concernés.

les servICes

FH SUISSE propose de nombreux services aux associations membres et à leurs membres. Par exemple une action de flyer qui permet à l’association de se rendre plus connu auprès de ces membres potentiels. Ou encore le catalogue de prestations qui permet à chaque membre de l’association de profiter de produits et services à moindre prix et des offres parfois exclusives. Toutes les prestations sur le site de FH SUISSE : http://www.fhschweiz.ch

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mEiLLEur TravaiL dE baCHELor

tItre DU travaIl De BaCHelor :

toUrIstIC. les teCHnologIes De l’InforMatIon et De la CoMMUnICatIon ont-elles réInventé le voYage?

tItre DU travaIl De Master : le rôle Des CollaBoratIons stratégIQUes aU seIn Des pMe roManDes

gros plan

pour commencer, peux-tu rappeler à nos lecteurs en quoi consiste la formation de Bachelor en Informatique de gestion (Ig)?

Les études en informatique de gestion développent des compétences en ingénierie logiciel et en systèmes d’information. Au terme de la formation, nous sommes à même de réaliser et coordonner toutes les phases du cycle de vie d’un système d’information informatisé. Ce cursus intègre également une formation en gestion, communication et management.

Quel était le titre de ton travail de Bachelor et comment as-tu choisi ton sujet ?

« TourisTIC. Les Technologies de l’Information et de la Communication ont-elles réinventé le voyage? ». Pour ce travail de diplôme, j’ai fusionné deux de mes principaux centres d’intérêts : le voyage et les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Je souhaitais les expliquer et les partager, non seulement avec les informaticiens et les économistes, mais aussi avec une population plus large qui utilise de plus en plus les outils de l’e-tourisme. Je souhaitais aussi faire l’étude d’un sujet faisant le pont entre les différentes branches étudiées en bachelor IG, qu’elles soient informatiques ou économiques.

Quelles ont été les conclusions principales de ton travail ?

J’ai constaté que l’industrie du tourisme est un secteur des plus dynamique et complexe. Grâce à Internet, le voyageur a désormais accès à énormément (trop) d’informations, qu’il s’agisse de contenus produits par des professionnels ou d’avis émis par les internautes à l’aide de médias sociaux. En ces temps de crise économique globale, le budget des entreprises, comme des particuliers, est serré et profiter de ces informations n’a jamais été aussi important. Ce qu’il faut déduire de cette étude, c’est que les Technologies de l’Information et de la Communication ont bel et bien réinventé le voyage depuis l’arrivée du Web 2.0 collaboratif et des dispositifs mobiles. Ce constat vaut d’ailleurs pour les professionnels de l’industrie touristique que pour les voyageurs.

Quelle a été ta réaction au moment de l’annonce du prix ?

Honnêtement, j’espérais vraiment recevoir un prix, mais je ne m’attendais vraiment pas à celui-là... Je n’ai d’ailleurs pas compris tout de suite le sujet du prix, car je savais que je n’avais pas eu la meilleure note de la classe pour le travail de bachelor... J’ai donc été surpris, intrigué et très heureux ! Pour moi, c’est une récompense pour mon travail acharné durant trois ans (et à 40 ans, ça n’a pas été facile du tout !). Je tiens à remercier l’association Alumni (que je souhaite rejoindre à mon retour de voyage) pour m’avoir décerné ce prix.

le Bachelor en poche, que fais-tu actuellement ?

J’ai décidé de (re-)faire un tour du monde (j’en avais fait un entre 2001 et 2006), tout d’abord pour faire une pause entre les études et un futur emploi. Le but est aussi de mettre en pratique les outils et notions apprises et expliquées dans mon travail de bachelor (bonne excuse pour voyager !).Pour vous faire rêver (ou pas...), vous pouvez suivre mon voyage sur le blog suivant : http://tourduglobe2013.wordpress.com/Je ne peux malheureusement pas le mettre à jour depuis la Chine, où je me trouve au moment de cette interview, car passablement de sites web y sont indisponibles, comme Facebook, Twitter et Wordpress (où est hébergé le blog de mon voyage).

et tes projets pour la suite ?

Mon retour en Suisse est prévu fin août 2013 et mes projets les plus urgents sont de trouver un appartement et un travail très rapidement ! Je vais commencer les recherches par Internet un mois avant de rentrer. Je n’ai pas encore décidé si je vais revenir sur Genève ou si je vais retourner dans mon canton d’origine (Vaud). Je n’ai pas non plus décidé dans quel secteur économique et quel type d’entreprise je souhaite travailler. Ce qui est sûr c’est que je souhaite que l’entreprise qui m’engagera et mon futur poste soient en accord avec mes valeurs.

e-portfolio : http://serradaniel.wordpress.com/

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mEiLLEur TravaiL dE maSTErgros plan

peux-tu expliquer à nos lecteurs ton parcours avant ta formation de master à la Heg et en quoi consiste le programme que tu as suivi à genève ?

J’ai choisi de suivre un programme de bachelor en management à l’université de Toulouse. Après cette expérience académique à l’étranger, je souhaitais me diriger vers une formation plus axée autour de la pratique. C’est alors que j’ai découvert la Master HES-SO en Business Administration. Afin de me diversifier, j’ai choisi l’orientation en management et ingénierie des services. Du mode d’enseignement à la matière enseignée, tout était donc nouveau ! Ce master spécialisé m’a donné des bases complètes en abordant de nombreux aspects tels que la gestion de projet, les statistiques du management, etc. Cependant, il s’agit avant tout d’outils et rien ne vaut la confrontation au monde pratique ; on ne peut pas faire du « copier/coller » de ses classeurs.

Quel était le titre de ton travail de Master et comment as-tu choisi ton sujet ?

Le titre était « Le rôle des collaborations stratégiques au sein des PME romandes ». J’ai eu l’idée de mon sujet alors que j’effectuais un stage au sein d’une très petite PME active dans le conseil aux entreprises et l’ingénierie. A mes débuts dans l’entreprise, j’ai commencé par reprendre la partie marketing avec notamment une refonte du logo et du site web. Ensuite j’ai eu à entretenir de plus en plus de rapports avec des personnes externes à l’entreprise et j’ai alors pris consciences du peu de poids que je pouvais avoir face à des « monstres » actifs dans le même domaine. C’est à ce moment que j’ai eu l’idée de mon travail et que j’ai envisagé la création de partenariats afin de faciliter les activités des plus petits. J’ai choisi le terme de « collaborations stratégiques » car je me suis concentrée sur les partenariats indispensables à la prospérité de la PME.

Quelle méthodologie as-tu choisi d’adopter ?

Au début, j’ai eu de la peine à me distancer de la matière apprise en cours et j’ai abordé les choses de façon très scolaire. J’ai donc suivi la méthodologie type proposée par l’école. J’ai effectué une revue de la littérature afin d’affiner mes hypothèses puis j’ai réalisé des interviews afin de confirmer ou infirmer celles-ci. J’ai donc rencontré des patrons de PME en leur posant une dizaine de questions et ces rencontres m’ont peu à peu donné de nouvelles idées et un nouveau point de vue sur la situation des PME romandes.

Quel est le développement principal auquel tu es arrivé ?

Au fur et à mesure de mes entretiens, j’ai commencé à modéliser les interactions des PME. Au final, j’ai proposé un modèle d’influence concentrique au centre duquel on retrouve les relations humaines. La couche la plus éloignée du centre (du patron) représente l’environnement dans lequel la PME a le moins d’influence et de pouvoir de négociation. De plus, j’ai aussi émis l’hypothèse qu’au fur et à mesure des années à venir, la tendance sera au « tout externalisé » et il faudra donc compter sur une multitude de partenaires. Pour les PME, il sera donc essentiel de mettre en place les bonnes collaborations afin d’asseoir crédibilité et stabilité.

tu as reçu le prix de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de genève. Comment s’est passé la remise de ton prix ?

Tout d’abord, j’ai reçu un appel téléphonique suivi d’un email qui m’informait que j’étais la lauréate et m’indiquait la date et le lieu de la remise du prix. Le jour J, je me suis donc rendue sur place et, alors que je n’y étais pas préparée particulièrement, on m’a demandé de présenter mon travail en 10 minutes. Heureusement, tout était encore frais dans ma tête et cela s’est très bien passé. Après la cérémonie j’ai encore eu l’occasion de rencontrer des professionnels avec lesquels j’ai pu échanger autour de mon travail.

Quelle est ton activité professionnelle actuelle ?

Depuis octobre 2012, je travaille dans le domaine des ressources humaines et plus spécifiquement dans la mobilité internationale. Encore une fois je me retrouve au sein d’une PME prestataire de service. Mon rôle est de gérer une population d’expatriés de grands groupes et d’assurer différentes tâches liées au métier des ressources humaines, comme la gestion des paies par exemple. C’est très intéressant et j’apprécie énornément le contact avec des personnes occupant des postes à responsabilités et d’horizons très différentes.

daniEL SErra kaTErina korCakova

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formation Continue

Mais au fait, qu’est-ce que l’intelligence économique dont on entend de plus en plus parler en suisse ? Certains l’assimilent à l’investigation privée et on compare un peu vite les spécialistes en Intelligence économique aux James Bond de l’information. Détrompez-vous ! Dans le domaine de l’intelligence économique, on ne pose pas de micros et les actions entreprises sont toujours en accord avec la loi. Alors qu’est-ce que l’intelligence économique?

L’intelligence économique, c’est une démarche qui implique la maîtrise de l’information stratégique et qui a pour objectif la compétitivité des entreprises. Globalement, elle permet de comprendre son environnement et d’anticiper le changement.

Maîtriser l’information stratégique, c’est identifier l’information stratégique utile à l’atteinte des objectifs de l’entreprise dans le but d’améliorer sa position dans son environnement concurrentiel par exemple: Quelles sont les principales avancées technologiques dans mon domaine d’activité ? Quelle est ma position sur le marché ? Mon principal fournisseur est-il fiable ? Quelles sont les nouvelles réglementations dans mon domaine d’activité? etc.Mais savoir maîtriser son information stratégique implique également de savoir protéger son patrimoine informationnel, ainsi que savoir communiquer, savoir influencer les décideurs, identifier le plus tôt possible les rumeurs nous concernant pour pouvoir les contrer/en tirer partie, et savoir maîtriser sa e-reputation pour pouvoir réagir suffisamment en amont. L’intelligence économique concerne tous les secteurs d’activités confondus, tous les types d’organisations. Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises prennent conscience de l’importance de faire de l’intelligence économique et de surveiller son marché. Les spécialistes du domaine sont encore rares et prendre part au DAS en IEVS peut devenir pour vous une réelle opportunité d’évolution au sein de votre entreprise.

exeCUtIve Master of BUsIness aDMInIstratIon (eMBa)- Management Communication Orgnisation

Master of aDvanCeD stUDIes (Mas)- Management du Luxe- Management de la Sécurité des Systèmes d’Information

DIploMa of aDvanCeD stUDIes (Das)- Commodity Trading- Gestion des Risques d’Entreprise- Management Durable

CertIfICate of aDvanCeD stUDIes (Cas)- Audit Interne- Management de Projet Appliqué- Business Analyse

Quant à la veille, celle-ci fait partie intégrante de l’intelligence économique et permet de surveiller de manière régulière un thème spécifique. Que ce soit un cas d’actualité, une technologie, un brevet ou encore les offres proposées par la concurrence, la veille permet d’avoir une vision globale et régulière d’un thème bien défini et permet d’agir rapidement en prenant des décisions en amont.

pour en savoir davantage sur cette formation qui débutera le 29 août 2013, rendez-vous sur la page web du programme à la rubrique «formation continue» du site de la Heg.

voUs soUHaItez apprenDre à Connaître votre envIronneMent D’affaIres? Mettre en plaCe Une CellUle De veIlle oU toUt sIMpleMent savoIr CoMMent troUver l’InforMatIon stratégIQUe QUI voUs ManQUe poUr ClôtUrer Un DossIer CapItal ? le Das en IntellIgenCe éConoMIQUe et veIlle stratégIQUe (Ievs), l’UnIQUe forMatIon De Ce tYpe en sUIsse, voUs perMettra De DevenIr Un spéCIalIste DU DoMaIne et De poUvoIr évolUer aU seIn De votre entreprIse en Devenant Un vérItaBle pIlIer De l’InforMatIon stratégIQUe

diPLoma of advanCEd STudiES (daS) inTELLiGEnCE ÉConomiquE ET vEiLLE STraTÉqiquE (iEvS)

La formaTion ConTinuE, C’EST auSSi

formation Continue

Cette nouvelle structure fonctionne sous la direction du Professeur Andrea Baranzini. En plus de ses activités d’enseignements en bachelor, master et formation continue, il assume donc un rôle managérial à hauteur de 10% de son taux d’engagement.

Anne-Claude Hirschy occupe dorénavant le poste d’assistante administrative à 100%. Son rôle consiste à coordonner les différentes missions du service, développer la promotion, effectuer le suivi financier des programmes conjoints avec l’Université, mais aussi le suivi statistique. Elle gère également l’établissement des diplômes et relevés de notes de la formation continue, la gestion du site WEB, ainsi que l’établissement et la mise à disposition des documents de référence.

Pour l’accompagner dans ces tâches, Anne-Claude peut compter sur deux ressources complémentaires. Florence Belet-Beux a sous sa responsabilité la gestion administrative des trois formations conjointes avec l’Université ainsi que des formations courtes et les réservations de salles.

C’est également elle qui répond aux questions des personnes intéressées par les formations continues proposées à la HEG. Finalement, Jennifer Tambe Ebot effectue actuellement son stage de maturité professionnelle et commerciale. Elle assiste donc l’ensemble du secrétariat dans les diverses tâches qui lui incombent.

Afin de pouvoir renforcer encore un peu plus le secrétariat de la formation continue, un poste de comptable à 50% a été ouvert en juin 2013. Parmi ses différentes tâches figurent notamment l’établissement d’indicateurs qui aideront à une gestion optimale de la structure de la formation continue.

Nous profitons de l’occasion pour vous rappeler qu’en tant qu’Alumni HEG, vous bénéficiez d’un rabais de 10% sur les différentes formations. N’oubliez donc pas de le signaler au moment de votre inscription.

DepUIs septeMBre 2012, et poUr réponDre à la CroIssanCe DU seCteUr De la forMatIon ContInUe à la Heg genève, Une noUvelle organIsatIon DU servICe est MIse en plaCe. C’est DésorMaIs Un « seCrétarIat De la forMatIon ContInUe » QUI aIDe et sUpporte les prInCIpaUx aCteUrs Dans leUrs tâCHes et CoorDonne CertaIns aspeCts.

orGarniSaTion du SErviCE

De gauche à droite: Jennifer tambe ebot, andrea baranzini, florence belet-beux et anne-claude hirschy

Page 8: HEG Genève - Journal MyAlumni Numéro 6

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InformationsMUltICUltUralIté : Une vIsIon lIttéraIre

L’Infothèque est toujours accessible aux anciens étudiants de la HEG ! Elle l’est d’ailleurs à toute personne intéressée par les domaines d’études de la HEG que sont l’économie d’entreprise, l’information documentaire et l’informatique de gestion. Espace de travail, de recherche et de conseil, l’Infothèque propose à ses utilisateurs-trices différents outils et services de qualité, mais aussi, plusieurs espaces de travail, 3 postes réservés à la consultation des catalogues, 1 scanner et 1 imprimante/photocopieuse. Depuis ce semestre, vous pouvez également profiter de l’Infothèque les samedis de 9h à 13h (sauf vacances académiques).

Pour ce numéro MyAlumni, une sélection de livres a été choisie sur le thème de la multiculturalité. Que l’on travaille à l’international ou non, aujourd’hui il devient rare de ne pas être confronté à la diversité culturelle de nos interlocuteurs-trices. Aussi est-il important de s’informer sur le sujet, notamment afin d’éviter de mettre bêtement un pied dans un plat dont on ignorait même l’existence !

Cela faisait des années que la HEG l’attendait, plusieurs fois qu’elle pensait être à bout touchant mais cette fois c’est la bonne ! Les travaux d’expansion de l’école avec un nouveau bâtiment ont débuté fin 2012. Situé au centre du campus de Battelle, ce nouvel édifice permettra notamment de disposer d’un auditorium de 400 places mais aussi de toutes les infrastructures modernes actuelles. Il comblera également les besoins croissants de salles de classes et d’espaces de travail qui ne cessent de progresser avec les effectifs de la HEG. En effet, si à ces débuts l’école comptait quelques centaines d’étudiants, à la rentrée 2012, ils étaient près de 1200 inscrits dans les formations de base. De plus, tout l’espace autour de l’école sera aménagé afin que cette nouvelle organisation se fasse en harmonie avec les habitations alentours.

vous pouvez suivre l’évolution du chantier sur le blog de la Heg : http://www.campus.hesge.ch/heg-blog

noUveaU BatIMent Heg

sYMposIUM Heg le 14 noveMBre 2013

Comme chaque année, la HEG organise un symposium. Le thème de cette 10ème édition est « Réinventer la place financière: solutions et cas pratiques». Professeur-e-s de la HEG et expert-e-s reconnus du domaine discuteront des différents enjeux liés aux profonds changements en cours et leur impact.

plus d’informations: www.hesge.ch/heg/la-heg/symposium2013

séleCtIon

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réUssIr aveC les asIatIQUes

Dans une optique internationale, il n’est pas rare de s’adresser à des personnes venant du continent d’Asie. Ces échanges sont souvent essentiels pour une ouverture de marché, ou encore une possibilité d’agrandir sa société. Toutefois, malgré toute la bonne volonté et le grand respect pour autrui, il est rare de connaître tous les éléments culturels importants pour bien négocier avec l’Asie. Ce livre, vous permet d’éviter des ruptures dues à une incompréhension. L’Infothèque vous encourage à le lire, car l’auteur a observé de multiples pays et il met en évidence les questions importantes à se poser avant de se lancer dans l’aventure. BRUNO, Marion. Réussir avec les Asiatiques : business et bonnes manières : Chine, Inde, Japon, Corée, Thaïlande, Malaisie, Indonésie, Singapour….3e éd. Rev. Et complétée. Paris : Eyrolles, 2012. 248 p. (Livres outils. Efficacité professionnelle)

gérer les DIfférenCes CUltUrelles

Il y a des cultures où les personnes parlent fort, d’autres qui parlent avec des gestes, d’autres sont plus souriants, bref autant de différences à connaître et à surmonter, afin de gagner la confiance de vos interlocuteurs-trices. Joseph Aoun donne dans son livre des moyens de comprendre les enjeux des différences culturelles et aussi des techniques concrètes pour améliorer ses compétences dans le domaine.

CAOUN, Joseph. Gérer les différences culturelles : pour communiquer plus efficacement avec les diverses cultures du monde. Sainte-Foy (Québec) : MultiMondes, cop. 2004, 145 p.

InterCUltUral CoMMUnICatIon

La communication, même au sein d’une seule culture, n’est pas si évidente qu’il paraît. Il n’est pas rare de mal se comprendre. Imaginez maintenant ces difficultés de compréhension dans un contexte interculturel. Un geste très amical pour l’un est déplacé pour l’autre. Alors, il est clair que la communication devient un défi énorme. Voilà un livre en anglais qui parle de la communication interculturelle avec une approche plutôt relation internationale. Ce livre parle également d’expression faciale ou encore des « parures physiques » tel que le tatouage. Il permet d’éviter des conflits dus à une mauvaise compréhension et aide à se faire comprendre.

SADRI, Houman A. Intercultrual communication : a new approach to international relations and global challenges. New York : continuum, 2011. 317 p.

InformationsinfoTHèquE nEwS HEG

http://www.hesge.ch/heg/infotheque/

aGEnda

le BaCHelor en InternatIonal BUsIness ManageMent est arrIvé

Dans le numéro 4 de notre magazine, nous vous présentions l’orientation « International Business Administration » qui propose des cours exclusivement en anglais au sein de la filière économie d’entreprise. Depuis, les choses ont passablement évolué et la direction de l’école ainsi que la HES-SO auront le plaisir de proposer dès septembre 2013 le premier cursus de Bachelor en International Business Management (IBM). Ce programme sera dispensé uniquement en anglais et reconnu par la Confédération et en Europe. Il combinera l’étude de sujets propres à la gestion d’entreprise, tout en mettant plus particulièrement l’accent sur la dimension internationale et multiculturelle de ces matières. L’Alumni souhaite plein succès à ce nouveau Bachelor, ainsi qu’à Alexandre Caboussat, son responsable de filière.

http://www.hesge.ch/heg/

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