Guido Young Starters Guide 2016

WORKAHOLICSEric Antoine

Dinner on the Road

ENFIN DIPLÔMÉ

YOUNG

STARTERS

JOBNEWS

DEVENIR

INDÉPENDANT

POSTULER

Move forward

La petite robe noire de Coco a changé la mode des femmes en 1926

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Playing the game or changing the game

Es-tu celui que nous recherchons, celui qui change la donne en tax, audit ou consulting ?

Chez PwC, nous recherchons des personnes qui osent remettre les choses établies en question, à la recherche des meilleures solutions. Des collaborateurs qui aiment les défi s et qui voient les diffi cultés comme des opportunités. Ce n’est qu’ainsi que de nouvelles tendances peuvent être établies. Souhaites-tu travailler au sein d’entreprises qui mettent toujours la barre plus haut? Pose ta candidature sur www.careers.pwc.be

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Enfin diplômé04 Stage06 À l’étranger10 Premiers pas

Postuler13 Apps14 Réseaux sociaux20 CV24 lettres de motivation28 Entretien d’embauche

Lieu de travail40 Salaire44 Check-lists48 Code vestimentaire50 Jobnews

Indépendant58 FAQ

Young Starters62 StoryMe65 Pulls Rhétos

Workaholics

36 Eric Antoine

54 Dinner on

the Road

GUIDO SABRUILOFTSTRAAT 1279050 [email protected]

RÉDACTIONSÉBASTIEN DALOZEHERBERT DE [email protected]

LAY-OUTMEINDERT PEIRENS

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De cette édition, rien ne peut être repro-duit et / ou rendu public, de quelque façon que ce soit, sans l’autorisation écrite préalable de l’éditeur

MEMBRE DE L’UNION DES ÉDITEURS DE LA PRESSE

PÉRIODIQUE. DEPUIS 2000, MEMBRE DU CIM, CENTRE

D’INFORMATION SUR LES MÉDIAS

Move forward


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Une première expérience avant de travailler? Fais un stage!

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ÉTAPE 1: Sois sérieux!

Trouver un stage ne se fait pas au petit bonheur la chance, tu dois avoir une certaine rigueur et une ligne de conduite à respecter.

Dans la plupart des études supérieures et universitaires, tu te verras obligé de faire un stage au cours de te dernière année. Tu ne sais pas par où com-mencer pour trouver le stage qui correspond le mieux à tes envies? Suis nos 4 étapes et tu trouveras le stage rêvé.

ÉTAPE 2: Parle avec les anciens

Les étudiants de l’année au-dessus de toi ont égale-ment dû passer par là et ont certainement quelques bons tuyaux et infos à te donner sur leur stage. Voici quelques questions à leur poser:

→ Es-tu content d’avoir fait ton stage dans cette en-treprise?

→ Comment as-tu effectué ta recherche?

→ Les tâches que l’on t’a données à effectuer étaient-elles intéressantes pour le cursus suivi?

→ As-tu reçu une propo-sition d’engagement à l’issue de celui-ci?

→ Me conseilles-tu un tel stage?

ÉTAPE 3: Surfe sur le net

Sur le Net, tu trouveras une pléiade de sites spécialisés dans la recherche de stage dans le cadre de tes études.

ÉTAPE 4: Envoie des candidatures spontanées

Tu rêves de faire ta carrière dans une entreprise bien précise? Il est alors intéres-sant d’envoyer une lettre de motivation à celle-ci en vue d’y réaliser ton stage de fi n d’études. C’est aussi intéressant pour toi que pour l’entreprise!

Pour l’entreprise → Tu es de la main

d’œuvre gratuite → Ils ont l’occasion de

te tester avant de t’engager

→ Cela représente un sérieux gain de temps et d’argent

Pour toi → Tu peux entrer dans l’entre-

prise par la petite porte → Tu as l’occasion de voir si

tu es vraiment fait pour ce domaine

→ Pas besoin de passer par le sempiternel entretien d’em-bauche si tu fais tes preuves

Yes! No!

Chercher un stage en rapport direct avec ses études

Essayer de se dégoter le stage planqué pour ne rien foutre de ses journées

Opter pour un secteur dans lequel tu aimerais faire carrière

Penser que c’est normal de faire des photocopies tout au long de la journée

Bien examiner les diffé-rentes propositions

Accepter la première op-portunité

Poser des questions lors de l’entretien sur les tâches à effectuer

Accepter tout de but en blanc sans réfl échir

Pour un stage dans n’importe quel secteur

www.stageshopping.be

Pour des stages dans le domaine de l’ICT

http://stages.ictjob.be

Pour un stage à l’étranger www.ef.comPour un stage dans la fi nance www.efi nancialcareers.bePour des stages dans l’armée www.mil.bePour un stage dans n’importe quel domaine

www.jobstoday.be

Pour un stage de langues www.cll.bePour un stage chez Electrabel www.electrabel.be

Étudier et travailler à l’étranger

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Tu as envie de partir pendant un an à l’étranger? N’hésite pas trop long-temps, car le meilleur moment pour le faire reste pendant (ou même avant) les études. Voici donc quelques conseils pour ceux qui veulent partir, étudier ou même bosser à l’étranger!

Je veux étudier à l’étrangerLe programme ERASMUS est fait pour toi!

Quoi?Un programme financé par l’Union Euro-péenne destiné à augmenter les échanges entre les universités de par le monde. Tu peux donc suivre des cours à l’étranger et te forger ainsi une expérience supplémen-taire et un renforcement de tes langues étrangères.

Qui?Les différentes conditions doivent être remplies pour participer au programme:

→ Être étudiant pour un diplôme universi-taire

→ Être citoyen d’un des pays participants → Avoir accompli avec succès au moins la

première année de tes études universi-taires

Comment?Tu peux contacter le bureau Socrates de ton unif, mais souvent tu trouveras une proposition l’année précédant le possible échange.

Où?Il y a 30 pays participants, chaque unif possède un certain nombre de places restreintes.

Je veux travailler à l’étrangerLe programme TRAVAIL ET VOYAGE est fait pour toi!

Quoi?Des tas d’organisations (WEP, AFS, YFU, …) peuvent t’aider à t’y retrouver. Elles sont le plus souvent axées sur des programmes ‘travail & voyage’ qui existent pour apprendre à mieux connaître le pays et la culture.

Qui?Si tu veux te lancer vers un job à l’étran-ger, tu dois en principe avoir au moins 18 ans.

Comment?À l’intérieur de l’EEE (Espace Economique Européen) règne la libre circulation des travailleurs, tu n’as donc pas besoin de permis de travail et tu peux t’inscrire dans les bureaux de placement habituels, comme le Forem chez nous.

Où?Les aventuriers qui veulent tenter leur chance à l’extérieur des frontières euro-péennes ont besoin d’un permis de travail ou d’un visa. Par exemple, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont pour les jeunes un accord spécial ‘working holiday’ avec la Belgique. Les conditions peuvent être demandées dans l’ambas-sade en question. Tu trouveras les adresses des ambassades sur www.diplomatie.be.

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Voici donc ce classe-ment des 15 destina-tions européennes préférées des étudiants, les raisons de leur choix et les villes les plus de-mandées par ceux-ci:

1. Espagne

Pourquoi? Les températures clé-mentes et le rythme fes-tif de la vie espagnole

Où? Barcelone, Madrid, Séville, Valence, …

2. Royaume-Uni

Pourquoi? Avantage linguistique et facilité d’accès

Où?Cambridge, Londres, Manchester, Oxford, …

3. Allemagne

Pourquoi? Proximité, attractivité et dynamisme de sa capitale

Où?Berlin, Munich, Stuttgart, Hambourg, …

4. Italie

Pourquoi?Charme, richesse culturelle et douceur de la vie italienne

Où?Bologne, Rome, Milan, Florence, …

5. Suède

Pourquoi? Paysages du Grand Nord et hospitalité de ses habitants

Où?Göteborg, Stockholm, Jönköping, …

6. Irlande

Pourquoi?Sens de la fête des habitants et sérieux de ses universités

Où?Dublin, Belfast, Carlow, …

7. Finlande

Pourquoi? Neige, sauna et vie culturelle animée

Où?Helsinki, Joensuu, Jyväskylä, …

Je veux perfec-tionner mon anglaisLe programme EF est fait pour toi!

Quoi?Tu suis des cours de langues dans le pays de ton choix et pour la période de ton choix. Une véritable immersion parmi des étudiants venant des quatre coins du monde.

Qui?Ces séjours s’adressent autant aux étudiants du supérieur qu’aux adultes.

Comment?Tu as le choix entre un stage de langues pouvant aller d’une à 52 semaines dans le pays de ton choix ou une année Multi-Lan-gues, un programme unique de 9 mois permettant d’étudier trois langues dans trois pays différents.

Où?40 destinations sont proposées, allant des Pays-Bas à Singa-pour en passant par le Canada, la France ou les États-Unis.

Les 15 destinations Erasmus préférées des étudiants

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8. Pays-Bas

Pourquoi? Permissivité néerlandaise et proximité

Où?Amsterdam, Rotterdam, Utrecht, Maastricht, …

9. Danemark

Pourquoi?Vikings et culture (Lars Von Trier et Andersen)

Où?Copenhague, Roskilde, Aalborg, Odense, …

10. Pologne

Pourquoi?Racines familiales et attrait pour les pays de l’Est

Où?Cracovie, Gdansk, Poznań, Varsovie, …

11. France

Pourquoi? Proximité et facilité de la langue

Où?Paris, Bordeaux, Rennes, …

12. Autriche

Pourquoi?Pays de Mozart, de la valse et de Klimt

Où?Vienne, Linz, Graz, Salz-burg, …

13. Norvège

Pourquoi?Engouement croissant pour ce pays méconnu

Où?Oslo, Bergen, Stavanger, …

14. République Tchèque

Pourquoi?Principalement grâce à sa capitale culturelle

Où?Prague, Brno, Kralove, …

15. Portugal

Pourquoi?Douceur du climat et richesses culturelles

Où?Lisbonne, Porto, …

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Tes premiers pas vers le marché de l’emploi

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Obtenir son diplôme t’a demandé de gros efforts? Ne te repose pas sur tes lauriers car une fois ton diplôme en poche, il te reste encore du pain sur la planche avant de te lancer sur le marché du travail. Suis donc notre itinéraire du jeune diplômé afin que tes paperasseries se déroulent sans encombre.

Primo: les paperasseriesImpossible d’y échapper: une fois ton di-plôme en poche, une montagne de papiers risque de s’empiler sur ton bureau. Si on compte les files aux guichets, les déplace-ments et autres, tu peux compter sur une journée entière de travail administratif.

Rends-toi ensuite…

… AU FOREMEn premier lieu, tu dois t’inscrire en tant que demandeur d’emploi dans ton agence locale du FOREM. Cela n’est pas obliga-toire si tu as décroché un contrat pendant tes études, mais si tel est le cas, tu peux tranquillement te passer de l’intégralité de cet article. S’inscrire en tant que deman-deur d’emploi donc, au plus tard pour dé-but août (première session) ou le premier jour ouvrable suivant le jour d’arrêt de tes études (deuxième session ou arrêt des études). Tu peux le faire plus tard, ce qui ne fera qu’allonger ta période d’attente.

… À LA MUTUELLEQue tu choisisses les rouges, les bleus, les catholiques ou les indépendants, cela ne nous regarde pas, mais il est impératif de s’affilier à la mutuelle de son choix. Jusqu’à présent, tu étais couvert par l’as-surance-maladie de tes parents (pour tous les étudiants jusqu’à 25 ans), mais une fois diplômé, tu dois t’affilier personnellement à une mutuelle, et le plus rapidement pos-sible. Cela ne présente que des avantages: pour un montant relativement minime (une septantaine d’euros par an), ton affi-liation te donne droit aux remboursements médicaux et aux possibles indemnités d’incapacité de travail.

… CHEZ TES PARENTSMets ces braves gens au courant qu’ils ne percevront bientôt plus d’allocations

familiales. Si tu es inscrit en tant que de-mandeur d’emploi, ils peuvent encore en profiter durant ta période d’attente de 180 jours calendrier, éventuellement prolongée de la période de contrat étudiant en juillet, août et septembre. Si tu commences à gagner ta vie, les allocations familiales ne sont plus que de l’histoire ancienne. Et une fois que tu as plus de 25 ans, tu n’as plus droit à des allocations familiales.

Chercher et trouver du travail…Très bien, maintenant que tu es en ordre avec ta paperasse, il est grand temps de chercher du travail. Ne te mets pas directe-ment à envoyer des lettres de motivation à tort et à travers ou à publier des CV sur tous les sites Internet existants, mais pose-toi et réfléchis quelques instants. Que veux-tu? Quels sont tes atouts? Qu’est-ce qui te différencie des autres? Pense donc bien à tes connaissances, tes capacités, tes préférences, ta personnalité et ton futur.

Tu as assez réfléchi? Il est donc temps de passer à l’action:

Réagis aux annonces → Tu les trouves dans les journaux et les magazines, mais également dans des publications spécialisées, sur le télé-texte et sur les sites d’emploi. Pour ré-pondre aux annonces qui t’intéressent, tu peux utiliser une lettre de motivation et un CV attaché. C’est également pos-sible par e-mail (jamais par fax, sauf si demande explicite), mais uniquement si une adresse e-mail spécifique est men-tionnée dans l’annonce.

Inscris-toi dans les agences d’intérim

→ Le travail intérimaire est une bonne option pour se faire une première ex-périence de travail et peut être un bon

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tremplin vers un emploi fixe. N’hésite pas à t’inscrire dans toutes les agences d’intérim de la région: miser sur plusieurs chevaux augmente tes chances de décrocher un emploi. De cette manière, tu peux tester temporai-rement différents types de travail sans avoir à signer un contrat de longue durée. En plus, l’intérim est très facile: les consultants cherchent le job idéal pour toi sans que tu doives t’en charger personnellement.

Envoie des candidatures spontanées → Toutes les offres d’emploi ne se trouvent pas via des annonces. Au contraire même! Envoyer des candidatures spontanées offre un tas d’avantages: tu fais preuve d’initiative, tu as moins de concurrence, tu montres immédiatement un intérêt pour l’entreprise et tu peux être la personne au bon endroit au bon moment. Dans le pire des cas, tu te retrouves dans une réserve de recrute-ment et cela ne peut pas te faire de mal. Ici aussi: joins un CV à ta lettre de moti-vation. Un coup de téléphone peut vite se révéler dérangeant pour le recruteur.

Postule en ligne → Rechercher des offres d’emploi sur des sites Internet peut en fait être comparé à l’épluchage des pages jobs des jour-naux et magazines, avec la différence que tu as ici la possibilité de placer ton CV sur une banque de données en ligne. Contrôle d’abord si le site en vaut la peine: tu ne veux évidemment pas te retrouver dans une banque de données de stars du porno par exemple! Encore un conseil: un CV en ligne doit être plus concis qu’un CV sur papier. Les em-ployeurs ne sont en effet qu’à un click de souris de tes concurrents, il est donc important d’attirer l’attention.

Entretien et tests d’embauche → Si tu as bien suivi nos conseils, tu as certainement été invité à un entretien d’embauche dans l’entreprise en ques-tion. Le moment de vérité! Ce n’est pas nécessaire d’investir dans un costume Armani et la nouvelle coiffure branchée, mais un style vestimentaire soigné et une apparence convenable sont conseillés. Confirme ton rendez-vous à l’avance et arrive bien à l’heure. Fais bien en sorte de savoir pour quel emploi tu postules, lis à l’avance de la docu-

mentation sur l’entreprise et pense au salaire que tu espères gagner. Ne sois pas nerveux: un entretien d’embauche n’est pas un examen, mais une discus-sion entre des personnes adultes. Ne te mets pas trop en avant, mais ne sois pas non plus trop timide.

→ OK, postuler n’est pas la même chose que passer un examen, mais parfois ça y ressemble quand même un peu. Surtout pour les emplois dans les grandes en-treprises, il t’est demandé de passer une batterie de tests (de connaissance, d’in-telligence, de compétences et de per-sonnalité). N’hésite pas à les passer: ils sont souvent chouettes t’en apprennent plus sur toi-même. N’hésite pas non plus, si tu n’es pas engagé, à demander au service du personnel quelles sont les raisons qui ont motivé leur choix et les lacunes observées dans tes tests.

Tu as trouvé du travail? → Un beau jour, cela finit par payer: tu décroches ton premier emploi. Tu signes un contrat de travail, tu remercies le FOREM pour leur aide précieuse (tu te désinscris donc en tant que demandeur d’emploi) et tu commences à travailler. Aussi simple que ça. Si tu ambitionnes de devenir indépendant ou de créer ta propre entreprise, c’est un peu plus compliqué.

… OU TU CONTINUES À POINTER?Malgré tous tes efforts, il est possible que tu ne trouves pas directement le job de tes rêves. Si tu es encore sans emploi après une période d’attente de 233 jours, tu as droit à des indemnités de chômage. La paperasserie associée à cette situation est relativement kafkaïenne, mais as-tu quelque chose de mieux à faire?

Ce n’est pas parce que tu es au chômage qu’il faut perdre tout espoir. Tu entres peut-être en ligne de compte pour un contrat de starter, tu peux faire usage des programmes de mise au travail, devenir membre de clubs de l’emploi, te recycler dans certaines matières, … Que des atouts additionnels sur ton CV. Plus d’infos au-près de ta personne de contact au FOREM.

FOREM - Service public wallon de l’emploi et de la formationwww.leforem.be0800/93.947

10 apps pour déstresser avant ton entretien d’embauche

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Godus (iOS et Android)

Prends-toi pour Dieu dans cette suite du légendaire Populous de 1989. Et oui, le graphisme a été amélioré.

Dark Echo (iOS)

De l’horreur minimaliste. Si cette com-binaison de mots a attisé ta curiosité, télécharge sans attendre ce jeu à succès.

TownCraft (iOS)

Une bonne application pour les nerds pur jus: Minecraft meets Farmville.

Plunder Pirates (iOS)

Défends ton île aux trésors et conquiers les sept mers dans ce jeu addictif.

Tsum Tsum (iOS et Android)

Ceux qui ont adoré Candy Crush doivent absolument essayer ce jeu de Disney. La peluche Tsum Tsum est en plus en vente à Disneyland.

Dots (iOS et Android)

Un jeu addictif dans lequel il faut relier un maximum de boules colorées. Le succes-seur de Tetris?

Retry (iOS et Android)

Un jeu de plus dans l’écurie des Angry Birds, avec un avion dans le rôle principal. Crash, crash & retry.

Swing Copters (iOS)

Le créateur du hautement addictif Flappy Bird est de retour. Transforme l’oiseau en hélicoptère, vole vers le haut plutôt que vers la droite et le tour est joué!

Sid Meier's Ace Patrol (iOS)

Joue aux combats aériens légendaires de la Première Guerre Mondiale dans ce fl ight simulator.

Dragon Quest IV (iOS et Android)

Ce jeu-culte des années 90 arrive sur ton petit écran.

PLUS D’APPS SUR W W W.GUIDO.BE

AFG

ESTUD

EERD

POSTU

LER

À LA RECHERCHE D’UN EMPLOI?

Utilise les réseaux sociaux intelligemment

BLOGS

Un CV solide, une bonne lettre de motiva-tion et un entretien réussi avec ton futur employeur. Voici encore et toujours les trois piliers de la recherche d’emploi des jeunes diplômés. Mais cela ne veut pas dire que les médias plus modernes ne te sont d’aucune utilité lorsque tu espères te faire embaucher. GUIDO présente donc sa série des do’s & don’ts sur les réseaux sociaux.

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DO’s sur FACEBOOK

1. Fais jouer ton réseauUn grand pourcentage des offres d’emploi (visibles ou non) sont comblées grâce à un réseau. Quelqu’un connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un d’autre, des noms sont communiqués, des personnes sont invitées. Ça te dit quelque chose? Évidemment, puisque c’est là la force de Facebook: tout ton réseau est présent au même endroit et peut donc t’aider dans ta recherche d’emploi.

2. Recherche les entreprisesIl n’y a pas que des personnes en chair et en os sur Facebook. Les entreprises aussi utilisent le plus grand réseau social du monde. Sur leur profi l Facebook, tu peux en apprendre plus sur l’entreprise et la culture qui y règne. Si tu épluches leurs amis et/ou fans, tu as alors une idée du type de personnes que tu côtoieras si tu es engagé.

3. Montre ton intérêt pour ton domaineCe n’est pas une mauvaise idée de poster une fois par semaine un statut sérieux et intelligent sur Facebook, en lien avec le domaine dans lequel tu postules. De cette façon, tu montres que tu es actif dans ta branche et que tu tiens à l’œil les derniers développements du secteur.

4. ‘Privatise’ tes données Les paramètres de Facebook ne sont pas toujours évidents à comprendre et mieux vaut en faire trop que pas assez dans ce domaine, surtout si tu cherches du travail actuellement. Sois subtil: si tu caches trop d’informations sur ton compte Facebook, un recruteur pourrait en déduire que tu as quelque chose à cacher. Mais laisser ton profi l entier en mode public est tout autant à déconseiller.

5. Tempère tes amis les plus délurésTout le monde compte dans ses amis des joyeux drilles qui ne peuvent s’empêcher de poster des inepties sur ton mur. Mets-les donc au courant que tu cherches du travail et que tu espères donc (temporai-rement) affi cher une image plus sérieuse sur Facebook. Ils devraient aisément le comprendre. Dans le cas contraire, tu peux toujours supprimer leurs commentaires les plus graveleux.

DON’Ts sur FACEBOOK

1. Ne sois pas désespéréDire que tu cherches un emploi est une chose; se présenter comme un chômeur dé-sespéré en est une autre. Évite de poster des généralités inconsidérées comme ‘Hey, quel-qu’un a un chouette boulot pour moi?’ ou ‘Je veux travailler, qui m’invite à un entretien d’embauche?’. Premièrement, ça ne marche pas, et deuxièmement ça donne l’impression que tu es désespéré et que tu ne sais pas le type de travail que tu recherches.

2. Ne sois pas trop enthousiasteCe n’est pas parce que tu postules que tu dois partager chaque détail positif de ta recherche d’emploi avec tes amis Facebook. ‘Youpie, j’ai un entretien chez Procter & Gamble’ est un statut pas très intelligent, car tu vends la peau de l’ours avant de l’avoir tué, et les recruteurs des entreprises concurrentes savent alors immédiatement que tu n’es pas uniquement intéressé par leur poste.

3. Ne laisse pas traîner tes photos de guindaillesTes années d’études sont derrière toi, le temps est donc venu d’enlever toutes tes photos de guindailles de ton profi l Facebook. N’oublie pas aussi de retirer les photos de toi à moitié nu sur la plage ou à la piscine, ou ce légendaire photorepor-tage de tous tes potes en train de montrer leur arrière-train lors d’un TD bruxellois.

4. Ne joue pas à des jeux idiotsLes petits jeux sur Facebook - tu sais: Farmville, Bejeweled et d’autres conneries du genre - ont pris l’habitude d’envoyer des comptes-rendus et/ou des requêtes automatisés à d’autres utilisateurs. Ainsi, tout le monde peut se rendre compte que tu n’as rien de mieux à faire que de planter des pommes de terre virtuelles ou empiler des pierres de couleurs, ce qui fait tout sauf professionnel.

5. Évite la politique

Nous vivons une époque politique légèrement perturbée. Naturellement, un chercheur d’emploi a le droit d’avoir ses propres opinions, mais ce n’est pas intelli-gent de les affi cher sur Facebook, car cela risque de fermer certaines portes. À moins que tu n’ambitionnes de travailler pour un certain parti politique, évidemment.

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DO’s sur TWITTER

1. Suis les entreprisesDeviens le follower des comptes Twitter des entreprises qui t’intéressent. On l’admet, les comptes des entreprises sont entretenus de manière artifi cielle par des ‘community managers’, mais cela ne veut pas dire que des choses intéressantes peuvent apparaître de temps à autre. Des offres d’emploi par exemple!

2. Utilise Twitt er comme tremplinIl y a beaucoup de futilités sur Twitter, mais heureusement les tweets sont obliga-toirement courts et concis. Cela ne veut pas dire que tu ne peux pas en dire plus que ce que les 140 caractères t’obligent à résumer. Un chercheur d’emploi futé peut utiliser Twitter comme tremplin vers d’autres médias où il peut se présenter plus en détails, comme un profi l LinkedIn.

3. Parle avec le bossTwitter est une plateforme ouverte où il n’existe pas de classes sociales. Le compte d’un CEO ou d’un manager n’est pas diffé-rent du tien: tout le monde est égal dans le monde de Twitter. Ce qui signifi e que tu as l’occasion sur Twitter de rentrer en contact direct avec des personnes haut placées dans le monde de l’entreprise, diffi cile-ment abordables dans le monde réel. Fais quand même en sorte de leur dire quelque chose de sensé.

4. Présente-toi de façon originaleSous la photo de ton profi l, tu as de la place pour te présenter en quelques phrases bien senties. Ne te rends pas la tâche trop facile, cette description doit être bonne. Après lecture de ces petites phrases, un recruteur doit penser: ah, voici quelqu’un qui est original et ne pense pas comme tous les autres.

5. Utilise les apps de recherchesIl existe des apps de recherches, spécia-lement développées pour Twitter, grâce auxquelles tu peux scanner la twittos-phère à la recherche d’offres d’emplois qui correspondent à tes attentes. Que ces apps amènent réellement à un job concret, c’est une autre paire de manches, mais vu qu’elles sont gratuites, il faudrait être fou pour ne pas les tester.

DON’Ts sur TWITTER

1. Fais plus que retweeterC’est toujours la même chose: les gens pensent qu’ils doivent embarquer dans le train de Twitter pour être ‘in’, mais en pratique n’ont pas grand-chose à dire et se contentent de retweeter des choses qu’ils trouvent sympas. Ce n’est pas une bonne idée si tu cherches un boulot, car les recruteurs sont justement à la recherche de personnes qui ont quelque chose à dire.

2. Ne sois pas qu’un chercheur d’emploiTrès bien, tu as décidé d’utiliser Twitter afi n de trouver un job. N’oublie pas pour autant que Twitter peut t’aider dans ta recherche, mais que ce média ne se restreint pas à ce domaine. Ne te comporte pas uniquement comme un chercheur d’emploi sur Twitter, au risque de rapidement irriter les autres utilisateurs. La première chose dont tu as besoin sur Twitter, c’est de la personnalité. Retiens bien ceci.

3. Tempère ton gros couUne petite dose d’autopromotion est nécessaire si tu veux te démarquer sur le marché du travail, mais n’exagère pas. Per-sonne n’a envie de se retrouver confronté à un gros cou, même sur Twitter, et les recruteurs n’apprécient pas quand certains dépassent les limites. Sois sûr de toi, mais relativise quand même tes exploits.

4. Évite le déferlement de hashtagsLe hashtag de Twitter est devenu tellement célèbre qu’il apparaît désormais aussi hors de la twittosphère. N’abuse pas de leur utilisation. Beaucoup de Twittos trouvent cela tellement marrant d’avoir trouvé un nouveau hashtag. #irritant #metlesnerfs #fousmoilapaix #certainementpasde-jobpourtoi

5. Tu es subitement devenu anglo-phone?Ce n’est pas parce que tu ambitionnes de faire une carrière internationale et que la connaissance des langues est importante pour un jeune diplômé que tous tes tweets doivent être rédigés en anglais. Au risque de passer pour un fayot. Essaie d’abord de rédiger tes tweets en bon français. Oui, c’est possible en 140 caractères.

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DO’s sur LINKEDIN

1. Crée un profil même sans expérienceEn tant que jeune diplômé, tu as peu ou même pas d’expérience professionnelle. Ce n’est pourtant pas une raison de ne pas créer un profi l LinkedIn. Considère celui-ci comme un CV en ligne dans lequel tu mentionnes tes études, ainsi que tes compétences et - pourquoi pas - tes jobs de vacances, ton expérience de comitard et des fonctions de dirigeant dans les mouvements de jeunesse par exemple.

2. Deviens membre de groupesLinkedIn est plus qu’un CV en ligne. C’est aussi l’endroit par excellence où tu peux développer des réseaux en ligne dans la branche qui t’intéresse. Cela peut se faire en devenant (stratégiquement) membre de groupes, car c’est là que se passe la véritable interaction. Si tu ne trouves pas immé-diatement un groupe avec les personnes adéquates, crées-en un toi-même!

3. Utilise la fonction de rechercheLes fainéants peuvent même laisser LinkedIn faire tout le boulot en cliquant de temps à autre sur ‘Carrières’ dans le menu. Mais si tu fais preuve d’intelligence, tu peux utiliser la fonction de recherche avancée. Joue un peu avec les différentes options de recherches, et très vite tu apprendras à effectuer de meil-leures recherches, afi n de dénicher une offre d’emploi qui te convient vraiment.

4. Soigne tes mots-clésDans le conseil 3, tu as déjà appris à effec-tuer une recherche, mais en même temps les recruteurs sont aussi à ta recherche. C’est pourquoi il est important de les attirer avec les mots-clés les plus percutants. Réfl échis bien. Sois aussi complet et concret que pos-sible et évite les généralités. Ne te laisse pas non plus aller au risque de frôler l’overdose: trop de mots-clés risquent de rendre ton profi l LinkedIn encore plus générique.

5. Place une photoSur un CV classique en papier, il est rarement nécessaire d’ajouter une photo. Si ce n’est pas spécifi quement mentionné, on te le dé-conseille même. Sur LinkedIn, c’est différent. Si tu ne postes pas de photo, ça peut donner l’impression que tu as quelque chose à ca-cher, car ton profi l sans photo détonnera par rapport aux autres. Choisis une photo neutre, un portrait sobre. Tu peux garder tes photos marrantes pour Instagram. Ou pas.

DON’Ts sur LINKEDIN

1. N’exagère pas tes compétencesSur ton profi l LinkedIn, tu peux cliquer sur certaines compétences ou aptitudes. Évite d’exagérer. Via leur liste de compétences, beaucoup de jeunes utilisateurs de LinkedIn apparaissent en effet comme des je-sais-tout omnipotents, ce qui ne jettera pas de la poudre aux yeux des recruteurs. Choisis bien tes compétences, plus ciblées, sans fausse modestie.

2. N’utilise pas seulement ton métier dans l’en-têteSous ton nom, tu as sur ton profi l LinkedIn 120 caractères à ta disposition. La plupart des utilisateurs y placent simplement leur métier ou leur fonction. Un peu de créativité, s’il vous plait? Surtout si tu es à la recherche d’un emploi, tu peux éventuellement créer un mini-CV en 120 caractères. Ce n’est pas facile, prends donc ton temps, fais plusieurs versions, propose-les à tes amis et à ta famille et choisis la plus percutante.

3. Ne laisse pas des champs non-remplisIl n’y a rien de plus énervant pour les utilisa-teurs des réseaux sociaux que de rencontrer des profi ls incomplets. Lors de la création de ton profi l, remplis tous les champs demandés et consulte-les chaque mois afi n de les mettre à jour. Tu as des problèmes avec certains champs que tu trouves trop intrusifs? Opte pour quelque chose de vague, une meilleure option que rien du tout.

4. Évite les trous dans ton CVUn CV avec des trous, ce n’est juste pas possible. Une année bissée, un burn-out, une année sabbatique, un mauvais choix d’études, une dépression, une maladie… On se sent souvent gêné de reprendre ce ‘temps perdu’ dans son CV, à tort. Le temps perdu n’existe pas: les expériences négatives font partie intégrante de ta carrière. Si tu ne les remplis pas, ça se transforme en trous dans ton CV, ce qui est encore plus suspicieux.

5. Ne néglige pas ton profilSi tu choisis de réaliser un profi l LinkedIn, fais en sorte que celui-ci soit up-to-date. Beaucoup de chercheurs d’emploi créent un profi l et, une fois qu’ils ont trouvé du travail, raisonnent de la manière suivante: je n’ai plus besoin de LinkedIn. Ce qui rend leur vieux profi l de plus en plus inconséquent. C’est une erreur. Dans ce cas, mieux vaut encore te désinscrire du réseau social.

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DO’s sur les BLOGS

1. Continue à bloguerN’arrête pas de bloguer parce que tu cherches un emploi. Un blog bien fait est justement une carte de visite sur laquelle tu peux te présenter plus en détails que sur n’importe quel CV. Et tu peux être certain que les responsables du personnel des entreprises dans lesquelles tu postules y jetteront un œil.

2. Parle de ta recherche d’emploiIl n’y a pas de raison de se retenir de parler de ta recherche d’emploi sur ton blog. Encore mieux: ce serait encore plus bizarre de ne pas le faire. Fais en sorte que ton processus de sollicitation soit une histoire positive. Râler et faire part de ses décep-tions, mieux vaut le faire ailleurs.

3. Supprime tes vieux blogsTu as créé plus d’un blog et tu ne mets à jour que le plus récent d’entre eux? Sup-prime alors ces vieux blogs, ils n’ont plus rien à faire en ligne. Tu es trop émotionnel par rapport à ces blogs et tu ne veux pas les effacer? Donne-leur alors une nouvelle vie.

4. Renvoie vers des liens qui en disent long sur tes intérêtsUn bon blogueur distille quelques liens intéressants. Ou du moins des liens qu’il/elle trouve intéressants. Ou à propos des-quels il/elle pense que ses lecteurs seront intéressés. Les sujets auxquels renvoient ces liens peuvent se révéler intéressants pour les recruteurs qui veulent scanner tes centres d’intérêt.

5. Écris pour ton public fixe de lecteursAu minimum, quelques dizaines de personnes lisent ton blog, sinon tu aurais arrêté depuis longtemps. Ne perds pas ces lecteurs de vue parce que tu te rends compte que des employeurs potentiels peuvent te lire. Ils sont ton public-cible - tes fans, si tu veux - et tu dois les mériter.

DON’Ts sur les BLOGS

1. Ne laisse pas en ligne des ‘vieux’ blogsTu as blogué dans le passé, mais tu n’as plus rien posté depuis des mois par manque d’intérêt ou parce que tu en avais marre? Ne laisse pas ce blog en ligne car cela révèle un projet que tu n’as pas termi-né. Supprime-le! Mieux vaut aucun blog qu’un blog mort.

2. Ne néglige pas ta langue et ton orthographeChaque blogueur se doit de soigner sa langue et son orthographe. Pourtant, ça ne peut pas faire de mal d’y faire encore plus attention lors de ta recherche d’emploi. Rien ne fait plus perdre de temps à un recruteur que quelqu’un qui fait des fautes d’orthographe ou de grammaire.

3. Ne commence pas un nouveau blogTu n’avais pas de blog, et en lisant cet article, tu penses que tu en as besoin d’un pour impressionner les recruteurs et tu veux en mettre un en place au plus vite? À éviter! Ce sera très vite clair comme de l’eau de roche que ce nouveau blog existe uniquement pour ta recherche d’emploi.

4. Ne te plains des entretiens ratésComme mentionné plus tôt, tu peux poster des articles sur ta recherche d’emploi, mais un blog n’est pas l’endroit pour te défouler en cas de contretemps. Évite donc de mentionner que tu es dégoûté qu’une entreprise ait donné le job de tes rêves à un autre candidat.

5. Ne parle pas de politique ou de religionTout le monde a son idée sur la politique ou la religion. Ce sont pourtant juste-ment les sujets qu’il faut éviter lors de ta recherche d’emploi. Cela vaut pour tous les médias sociaux, et donc aussi pour ton blog. Tu as placé par le passé des posts politiques? Tu peux les laisser, car suppri-mer des posts est risqué, cela peut donner l’impression que tu as des choses à cacher.

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DO’s sur les FORUMS INTERNET

1. Choisis soigneusement tes forumsSi tu es à la recherche d’un job sérieux, ce n’est pas une bonne idée de donner ton avis sur des tas de forums Internet douteux. On n’est pas en train de te dire que tu dois éviter de discuter sur des fo-rums, mais de les choisir avec soin. Tu n’as pas envie qu’un recruteur tombe sur une discussion scabreuse dans la ‘poubelle’ d’Internet.

2. Tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de parlerTu veux poster une réaction sur un forum Internet? Tape ta réaction en premier lieu hors ligne dans un autre programme. Prends une bonne respiration. Relis ta ré-action. Lève-toi, fais le tour de ta chambre, inspire une bonne fois et relis ta réaction. Toujours content de ce que tu as écrit? Co-pie alors le texte et place-le sur le forum.

3. Essaie de savoir où ta réaction est stockéeTu as peut-être l’impression de poster une réaction sur un forum Internet privé, où les recruteurs et les employeurs futurs ne peuvent pas voir ce que trafi ques. Eh bien, n’en sois pas si sûr. Facebook et Google regardent tout le temps et partout au-dessus de ton épaule et avant que tu ne t’en aperçoives, la réaction apparaît autre part sur le net.

4. Joue la balle, pas l’hommePlacer une réfl exion sérieuse sur un thème social peut se révéler payant si le recruteur tape ton nom dans Google, mais attention de jouer la balle, et pas l’homme. Des attaques personnelles mesquines donnent une impression tout sauf sympathique et adulte.

5. Soigne ta langueUn seul coup d’œil sur le forum des lecteurs de la DH en dit long: les forums sont le repaire des analphabètes, à coup de fautes d’orthographe et autres phrases sans queue ni tête. Ce n’est pas parce que les autres utilisateurs ne connaissent pas leur grammaire qu’il faut en faire autant. Soigne ta langue.

DON’Ts sur les FORUMS INTERNET

1. Ne poste jamais rien sur les forums extrémistesNe te laisse pas avoir par des discus-sions avec des hooligans sur des forums extrémistes, qu’ils soient politiques ou religieux. Non, même pour donner un avis contraire, car cela n’apporte rien. Rien que ta présence sur un tel forum, quel que soit ton post, en dit assez pour un recruteur qui t’effacera immédiatement de sa liste de candidats.

2. Ne te laisse pas entraîner dans des discussions négativesSi une discussion génère uniquement de l’énergie négative, c’est qu’elle n’a pas de sens. Hélas, elles sont légion sur les forums Internet, car peu de gens maîtrisent l’art de la nuance quand ils se cachent derrière leur écran d’ordinateur. Une discussion s’enlise dans la négativité? Déconnecte-toi!

3. Ne commence pas à insulterL’utilisation d’un langage grossier ne sera certainement pas appréciée par ton em-ployeur potentiel. Ne commence donc pas à insulter tout le monde quand tu es sur un forum Internet, même si la personne visée par tes remontrances l’a bien mérité. Si tu ne peux pas donner ton avis poliment, c’est qu’il n’est peut-être pas fondé.

4. Ne réagis pas en ligne si tu as bu quelques verresL’alcool et les médias sociaux ne font pas bon ménage, tu as certainement déjà pu t’en rendre compte. Des photos gênantes sur Facebook, des tweets alcoolisés, des déclarations d’amour pathétiques par messages privés… Eh bien, c’est la même chose pour les forums Internet: évite de donner ton avis si tu as déjà bu quelques verres.

5. Ne t’occupe pas de discussions que tu ne maîtrises pasSur Internet, tout le monde a un avis sur tout, et encore plus. Un avis qui ne vaut pas grand-chose, très souvent, car les uti-lisateurs de forums se vantent de choses dont ils ne comprennent pas toujours les tenants et les aboutissants. Participe donc à une discussion seulement si tu as quelque chose à dire à ce sujet.

Le contenu du CV

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Un bon curriculum vitae donne une réponse à cinq questions: qui es-tu, que veux-tu faire, que peux-tu faire, qu’as-tu appris et qu’as-tu fait. L’ordre de ces cinq catégories n’est pas immuable. Tu peux les classer selon tes besoins et/ou ceux de ton employeur potentiel. Cinq questions, cinq réponses.

La p

rise

de

cont

act Obligatoire Éventuellement À éviter

nom et adresse (rue, code postal et ville)

pays si tu postules à l'étranger

Si tu crains que ton âge soit un point faible potentiel, ne le mentionne pas.

le numéro de téléphone auquel on peut te joindre (GSM de préférence)

une adresse e-mail, à con-dition que tu la consultes régulièrement

une adresse e-mail avec un surnom ridicule

Obje

ctifs

OUI! NON!

Explique ton but de carriè-re et quels intérêts peuvent t'y mener.

Ne t'étends pas sur le sujet, tu le feras dans la lettre de motivation.

Explique pourquoi tu es totalement adapté à l'en-treprise.

Ne sois pas vague et imprécis.

Montre que tu as une con-fiance en toi inébranlable.

Evite d'être trop spécifique afin de ne pas réduire ton potentiel de carrière.

Qui es-tu?

Que veux-tu faire?

Que peux-tu faire? Tes compétences

En quelques phrases qui font mouche, es-saie de mettre en avant les compétences qui sont intéressantes pour le job pour lequel tu postules.

→ les langues que tu maîtrises → tes compétences en informatique → l’expérience d’avoir travaillé avec

des personnes d’autres cultures → tes compétences sociales → tes qualités

de leader → ton talent

organisationnel

Qu’as-tu appris? Tes études

→ Commence par ton di-plôme le plus élevé, tout en haut en gras.

→ Si tu en dernière année, évite les termes comme ‘en espérant’, ‘probable-ment’ ou ‘normalement’ à côté de la date prévue pour la fin de tes études.

→ Si l’employeur demande explicitement ton di-plôme, mets-le au-dessus, en grand.

→ Si ton diplôme est de moindre importance, commence avec le nom de l’université ou de la Haute Ecole.

→ Au bas, tu peux aussi mentionner ton école secondaire (n’oublie pas ton orientation d’études), mais que tu aies suivi les cours primaires et ma-ternels, ton patron s’en doute, bien évidemment.

PLUS DE CONSEIL S P OUR TON CV SUR W W W.GUIDO.BE

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Pas d’expérience professionnelle?

Expérience professionnelle?

travaux de recherche classée de façon chronologique, en commençant par le job le plus récent

mémoireséjour Erasmusactivités au sein d’un cercle d’étudiants

classée de manière fonctionnelle, en faisant un classement selon tes compétences fonctionnellesjobs d’étudiants

cours extrascolaires

Qu’as-tu fait? Ton expérience professionnelle

Les différents types de CV

Curriculum vitae chronologique

DéfinitionUn CV chronologique est, comme son nom l’indique, construit selon une ligne de temps. Tu y dévoiles les différentes étapes de ta vie, les événements les plus récents étant placés en haut.

On y met l’accent sur?

→ les fonctions occupées → les employeurs → les diplômes → les établissements

scolaires AvantagesFacile à lire en un seul coup d’œil => il est donc aisé d’en conclure l’étendue de la carrière du postulant.

Les postulants intelligents savent qu’il existe plusieurs sortes de CV pour arriver à ses fins quoiqu’il arrive. Pas de panique, pas besoin de rédiger un curriculum spécial pour chaque offre d’emploi, mais cela ne peut pas faire de mal de faire une différence entre un CV chronologique et fonc-tionnel. Ils ont chacun leurs avantages et inconvénients.

Conseillé pour… Déconseillé pour…

Ceux qui savent ce qu'ils veulent atteindre et qui ont un parcours assez rectiligne et progressif vers le but qu'ils se sont fixés

Ceux qui veulent changer de secteur

Ceux qui ont beaucoup de diplômes et d'expérience

Ceux qui ont souvent changé d'employeur

Ceux qui ne veulent pas chan-ger de secteur et espèrent res-ter dans des environnements de travail plutôt traditionnels

Ceux qui ont un trou dans leur curriculum ou qui ne veulent pas mett-re l'accent sur leur âge

Pour ou contre?

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PLUS DE CONSEIL S P OUR TON CV SUR W W W.GUIDO.BE

Curriculum vitae fonctionnel

DéfinitionUn CV fonctionnel ne procède pas chronologiquement mais regroupe les expériences par caractéristiques ou compétences.

On y met l’accent sur? → les compétences → les prestations → le potentiel → des qualités positives qui ne res-sortent pas d’une expérience récente

AvantagesPratique si tu veux détourner l’attention d’un éventuel manque d’expérience ou d’irrégularités dans tes études.

Curriculum vitae combiné

Si tu le désires, tu peux combiner les éléments d’un CV chronologique et fonctionnel.

De cette façon, tu établis différentes catégories avec des qualifications de manière chronologique avec une ébauche de compétences qui donnent quand même tes progrès effectués au cours de ton cursus.

Conseillé pour… Déconseillé pour…

Ceux qui veulent changer radicalement de carrière ou faire leur entrée sur le marché du travail

Ceux qui postulent au sein d'une grande entreprise structurée de manière très hiérar-chique

Ceux qui ont effectué du bénévolat et du travail associatif et qui ont développé des compétences grâce à différentes expérien-ces, des cours ou des intérims qui n'ont pas de rapport les uns avec les autres

Ceux qui recherchent une entreprise où une carrière linéaire avec des promotions et des progrès selon des échelons est très appréciée

Pour ou contre?

→ Ceux qui veulent stratégi-quement mettre la lumière sur leurs qualités et compé-tences les plus “vendeuses”.

Ce type de CV est conseillé pour:

→ Ceux qui veulent chan-ger de job à l’intérieur du même secteur

8 lettres de motivation qui te mèneront à coup sûr vers le job de tes rêves

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Écrire une lettre de motivation requiert un certain talent. Et on attend de toi plus qu’une succession de louanges et de stéréotypes placés les uns après les autres. Les chercheurs d’emploi qui veulent mettre toutes les chances de leur côté doivent en effet maîtriser les huit types de lettres de motivation. En voici un aperçu.

À utiliser quand? Que doit-elle contenir?

C'est la lettre dont tu peux trouver des tas d'exem-ples dans les manuels de recherche d'emploi.

Le but de cette lettre est simple: faire en sorte que le recruteur t'invite à un entretien d'embauche.

Pour réagir à des offres d'emploi et des postes vacants.

Présente-toi en quelques mots et montre à l'aide de mots-clés de ton CV que tu es l'homme ou la femme de l'emploi.


C'est le type de lettre de motivation utilisée par les personnes avec beaucoup d'expérience et/ou des compé-tences uniques.

Ici, on ne porte pas son attention sur le fait de remplir une fonction précise, mais plutôt sur la richesse de ton bagage, ta connaissance et tes savoirs, et pourquoi ceux-ci ont une plus-value significative pour l'entreprise.

Ce n'est pas le type de lettre idéale pour les débutants.

En bref, tu as tant de talent que ton CV parle pour lui.


Avec cette lettre, tu vas à la pêche aux jobs qui ne se re-trouvent pas souvent dans les journaux. Les offres d'emploi cachées en quelque sorte.

Cette lettre est plus standardisée que la lettre de motivation pure et dure.

Elle vise plutôt des réserves de recrutement et une car-rière à long terme.

Ne tombe pas dans le piège du recopiage intense avec ce type de lettre: fais en sorte que chaque lettre soit personnalisée selon l'entreprise à laquelle elle est adressée.

1. La lettre de motivation classique

2. La lettre- CV

3. La lettre de pros-pection

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Que tu le veuilles ou non, un large pourcentage d’employés trouve un job parce qu’ils ‘connaissent quelqu’un quelque part’:

→ un membre de la famille dans une entreprise

→ un ami qui est au courant d’une offre d’emploi cachée

→ une connaissance qui a reçu une offre de job plus intéressante pour toi que pour lui

Par celle-ci, tu ne postules pas pour un job (tu peux y ajouter ton CV si tu le dé-sires), mais tu te présentes et tu demandes plus d’infos sur les possibilités de carrière. En Belgique, ces lettres de motivation ne sont pas com-munes, profites-en alors et sois un des pionniers.


Envoie celle-ci à toutes les per-sonnes qui t’ont aidées dans les 24 heures suivant un entretien d’embauche.

De cette manière, tu leur montres que tu es toujours intéressé et tu renforces ta candidature. Tu peux aussi y ajouter des sujets qui ont été abordés durant l’entretien, comme précision ou accentuation.


Quand tu as décidé d’accepter une autre offre d’emploi. De cette façon, tu laisses en quelque sorte la porte ouverte. Tu ne sais en effet pas de quoi l’avenir sera fait.

Dans cette lettre, tu expliques pourquoi tu n’as pas choisi leur poste et remercies la personne pour l’attention accordée à ton dossier.


Quand tu reçois la nouvelle que tu as été choisi pour le job – cela se passe souvent par téléphone.

Tu mentionnes encore une fois les modalités convenues. Une telle lettre n’a aucune valeur légale, mais elle installe un climat de confiance et des mésententes possibles peuvent ainsi être balayées avant de signer le contrat.


Il est possible que tu reçoives deux offres d’emploi au même moment. Tu seras alors obligé d’en refuser une.

Ne fais pas cela d’une manière triomphante. La prudence est en effet de mise. Explique-leur que la décision fut difficile à prendre, mais que l’autre offre satisfaisait plus tes espérances. Tu n’as pas à spécifier les détails de cette meil-leure offre.

4. La lettre de réseau

5. La lettre de remer-ciement

7. La lettre d’annonce

6. La lettre d’accep- tation

8. La lettre de refus

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Comment se distinguer lors d’un ENTRETIEN D’EMBAUCHE?

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L’entretien d’embauche est l’une des étapes les plus cruciales du parcours du chercheur d’emploi. Les jeunes diplômés les voient souvent comme une rémi-niscence de leurs examens oraux alors qu’un tel entretien a ses propres règles à respecter. On t’aide à y voir plus clair grâce à notre série en cinq chapitres.

1. HabillementLa préparation de ton entretien d’embauche commence dès le matin quand tu te retrouves en sous-vêtements devant ta garde-robe à te demander quels vêtements tu vas porter au cours de cette journée. Dress to impress, mais quant à savoir exactement quels vêtements enfi ler, il n’existe pas de réponse toute faite à cette question. Tout dépend du secteur pour lequel tu postules.

Hommes Femmes

Un costume deux pièces Un tailleur pas trop voyantBien rasé Bas nylonsCheveux coupés courts Talons

Hommes Femmes

Un costume chic Tenue chicCravate Pas de basPas de T-shirt Orteils vernisPas de jeans Chemise déboutonnée

Hommes Femmes

Look nerdy Look nerdyVêtements soignés Vêtements soignésPas trop voyant Pas trop voyant

Hommes Femmes

Éviter les vêtements criards Ajouter un bijou à sa tenueCostume non obligatoire Éviter le bling-blingUn look business casual soigné

Secteur bancaire

Vente

Fonction publique

Ingénieurs, techniciens et informaticiens

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2. Éthique de l’entrepriseÀ toi donc de te demander si tu aspires à travailler pour cette entreprise. En effet, il n’y a rien de plus déprimant que de travailler dans une firme avec une culture d’entreprise qui ne te convient pas.

→ La façon dont tu es traité pendant l’entre-tien peut te donner une indication des relations entre l’entre-prise et son personnel.

→ Fais attention au ton avec lequel le recruteur pose les questions.

→ Regarde autour de toi: te sens-tu à l’aise dans cet environnement?

→ As-tu été reçu à temps ou t’a-t-on fait poi-reauter pendant une demi-heure dans la salle d’attente?

→ Es-tu bien accueilli au sein de cette entre-prise ou te sens- tu plutôt comme un intrus, ou pire encore: un prisonnier recher-chant au plus vite la sortie de secours?

→ As-tu été reçu poli-ment, de façon joviale ou plutôt de manière renfrognée?

Hommes Femmes

Audacieux AudacieuxBoucle d'oreille Diamant dans le nezTatouage qui dépasse de la manche du T-shirt

Tatouage

Vêtements vintage Vêtements vintageT-shirt avec imprimés Jupe courteLongs cheveux et barbe de trois jours

Chaussures hyper colorées

Pas de short ou de tongs Pas de tenue trop légère

Secteur créatif

CONCLUSIONEssaie d'adapter ton style vestimentaire au secteur pour lequel tu postules. En cas de doute, habille-toi avec un peu plus de soin de ce que tu portes d'habitude.

Suis-je fait pour cette entreprise?

Un entretien d’embauche est une occasion idéale de s’imprégner de cette culture d’entreprise. En pratique, il est pratiquement impossible de trouver un environnement de travail avec une culture d’entreprise qui remplisse en-tièrement tes attentes et aspirations. Pourtant, il est important qu’il y ait une concordance, un truc entre l’entreprise et ta personnalité. Tu peux t’en rendre compte en faisant attention à un certain nombre de choses:

Pose des questions

Tu ne dois pas seulement mettre en œuvre ici tes qualités d’observation. Il est parfaitement acceptable que tu poses toi-même des questions sur la culture d’entreprise. De cet-te manière, tu montres ton intérêt et le recruteur constate immédiatement ton sérieux:

→ Comment le management gère-t-il les situations de conflits à l’intérieur de l’entreprise?

→ Que recherchent-ils précisément chez leurs collaborateurs?

→ L’entreprise possède-t-elle un code éthique?

→ Quelles sont les valeurs sur lesquelles est basée la straté-gie de l’entreprise?

→ Quelles qualités possèdent les meilleurs employés de l’entreprise?

→ Quelles sont les possibilités d’apprentissage et de pro-motion?

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EN BREFUn entretien d'em-bauche est une chance unique de vivre de près la culture d'entreprise. Fais-en donc bon usage.

3.Questions fréquentes

→ Dites-m’en plus sur vous-même.

→ Quels sont tes points forts?

→ Quels sont tes points faibles?

→ Avec quel genre de personnalité te vois-tu le mieux collaborer?

→ Pourquoi souhaites-tu ce job?

→ Où veux-tu être dans cinq ans?

→ De quoi es-tu le plus fier?

→ Si tu devais décrire toi-même le contenu de ton job, comment le ferais-tu?

→ Arriverais-tu à travailler si tu avais l’impression d’être plus intelligent que tes chefs?

→ Te décrirais-tu comme quelqu’un d’entreprenant?

→ Quel est ton but dans la vie?

→ Quel titre de fonction souhaite-rais-tu voir imprimé sur ta carte de visite?

→ Si tu pouvais choisir, dans quel genre de voiture aimerais-tu rouler?

→ Comment réagis-tu en situation de conflit?

Durant un entretien d’embauche, tu peux t’attendre à un feu nourri de questions. Si elles sont parfois spontanées, elles viennent le plus souvent de bouquins. Tu as donc l’occasion de t’y préparer de mani-ère adéquate. Voici donc quelques questions classiques qui reviennent souvent dans les entretiens d’em-bauche:

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→ Quel est le titre du dernier livre que tu as lu?

→ À quel(s) magazine(s) et/ou journaux es-tu abonné?

→ Pourquoi devrions-nous te don-ner le job?

→ Que penses-tu de mon, en tant qu’intervieweur?

→ As-tu des questions à me poser?

→ Que peux-tu nous apporter que d’autres candidats n’ont pas?

→ Donne trois caractéristiques positives de ton ancien patron.

→ Quelles caractéristiques néga-tives les autres voient-ils en premier chez toi?

→ Quel animal aimerais-tu être?

→ Combien aimerais-tu gagner?

→ Comment espères-tu t’amé-liorer?

→ Que sais-tu de notre entreprise?

→ Que sais-tu de notre secteur?

→ Combien de temps va s’écouler avant que tu n’apportes une contribution substantielle à notre entreprise?

→ Es-tu prêt à déménager?

→ Que ferais-tu si tu gagnais au Lotto?

→ Où se situe la limite de tes capacités?

→ Qu’as-tu appris de tes erreurs passées?

→ De quoi as-tu le plus peur?

→ Quelle est la chose la plus importante que tu aies apprise à l’école?

→ Si ton meilleur ami devait te décrire en trois mots, que dirait-il/elle?

→ Quelle a été ta réalisation la plus importante en dehors de la sphère professionnelle?

→ Raconte-moi quelque chose à ton sujet que tu n’aimerais pas que je sache.

→ Quelle est la différence entre bien et parfait?

→ Es-tu prêt à suivre des formations?

→ Quel est le meilleur fi lm de l’année écoulée?

→ Donne dix choses que je peux faire avec mon crayon, à part écrire.

CONSEILIl n’existe pas de bonne ni de mauvaise réponse à la plupart de ces questions. La seule faute serait de rester silencieux devant l’une d’entre elles. Ou de raconter n’importe quoi. En d’autres mots: par-cours cette liste avant l’entretien et entraîne-toi à y répondre correcte-ment.

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4.Langage du corpsUn entretien d’embauche est en premier lieu un jeu de l’offre et de la demande. Ce n’est pas pour autant qu’il faut sous-estimer la force du langage du corps. Aussi bien les signes que tu envoies que la communication non-verbale que tu reçois de la part du re-cruteur peuvent être riches en enseignement pour les deux parties.

À faire À éviter

Se tenir bien droit. Les jambes écartées comme un bourrin.Maintenir les épaules en arrière. Pour les femmes, dévoiler ses sous-vêtements.Placer ses jambes l'une contre l'autre. Se tenir debout comme un sac de patates tout affaissé.Poser ses mains sur les genoux. Croiser les bras.

À faire À éviter

Montrer sa confiance en soi par une poignée de mains assurée.

Broyer les doigts du recruteur.

Passer aux toilettes se laver les mains. Maintenir la poignée pendant trop longtemps.Garder son GSM éteint pendant la conver-sation.

S'essuyer la main sur son pantalon après celle-ci.Chipoter avec un stylo.Tapoter sur le bureau avec ses doigts.Tripoter son visage ou ses vêtements.

À faire À éviter

Sourire pour montrer sa confiance en soi. Fixer ses pieds pendant la conversation.Trouver le juste milieu entre trop ou trop peu de contact visuel.

Fixer sa feuille de papier pendant la conver-sation.

À faire À éviter

Adapter son volume sonore. Marmonner de façon incompréhensible.Faire attention à la manière de dire les choses.

Parler d'une voix tonitruante ou irritante.

Posture

Mains

Contact visuel

Volume sonore

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5.Feedback et évaluation personnelleIl va de soi que chaque entretien d’embauche ne mène pas directe-ment à un job. Postuler n’est pas chose aisée. Cela ne veut pas non plus dire qu’un entretien ‘raté’ soit une perte de temps. Au contraire, il y a matière à apprendre de chaque entretien d’embauche.

Feedback

Demande POURQUOI, selon le recru-teur, tu n’es pas le candidat idéal pour le job.

→ La compétition était-elle trop rude?

→ Est-ce la faute de tes compé-tences?

→ Ne possèdes-tu pas le bon di-plôme?

→ Quelque chose dans ton com-portement a-t-il déplu à l’inter-vieweur?

Essaie de formuler ces questions DE MANIÈRE CONSTRUCTIVE.

→ Ne demande pas la lèvre trem-blante et des larmes dans les yeux pourquoi tu n’as pas été choisi et évite de déclencher la guerre.

→ Montre que tu es un bon perdant qui veut s’améliorer et effacer ses points faibles.

→ Si tu ne te sens pas assez confiant pour demander directement un feedback ou si tu ne sais que plus tard que le job ne t’a pas été dévo-lu, n’hésite pas à poser des ques-tions par téléphone, de préférence auprès de la personne qui a mené l’entretien d’embauche. Toutes les questions sont les bienvenues.

Évaluation personnelle

Même si tu n’as pas reçu un feedback profession-nel du recruteur, tu peux tirer des conclusions d’un entretien d’embauche en faisant ta propre évaluation personnelle.

→ Quelles sont les raisons de ton échec?

→ As-tu postulé pour la fonction adéquate?

→ T’es-tu bien préparé?

→ N’étais-tu pas trop nerveux lors de l’entretien?

→ Y avait-il un hic dans ton comportement ou tes vêtements?

→ Es-tu content des réponses que tu as données?

→ As-tu pu lutter contre le stress inévitable d’un entretien d’embauche?

→ Étais-tu assez confiant et sûr de toi?

Pour faire mieux la prochaine fois, il existe diffé-rentes techniques susceptibles de t’aider.

→ FILME-TOI quand tu réponds à quelques ques-tions au sujet desquelles tu n’étais pas content au cours du précédent entretien et qui risquent de revenir dans le futur. En regardant le film par la suite, il est plus facile de détecter tes fai-blesses et d’y remédier.

→ Un autre type de préparation: jouer à un JEU DE RÔLES avec un ami ou un membre de ta famille. Evite que cela dégénère en une crise de rires incontrôlable et demande-leur de donner des critiques constructives et sensées. Évite aussi de t’emporter quand les critiques commenceront à fuser. Note-les, emmagasine-les et essaie d’en faire quelque chose de constructif.

→ S’il te reste un peu d’argent, tu peux aussi louer les services d’un CAREER COACH qui te prépare de façon professionnelle à l’entretien d’embauche.

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GUIDO: Quel est le point de départ de votre spectacle Magic Delirium?ERIC ANTOINE: Il a pour sujet les croyances. Toutes les formes de croyances, pas seulement celles de types religieuses ou encore la foi, mais je parle aussi du pourquoi les enfants croient leurs parents, le fait de croire aux médias, pourquoi nous croyons aux réseaux sociaux ou encore pourquoi croyons-nous en nous tout simplement? Ça touche les croyances de manière générale.

GUIDO: Vous étiez en début d’année à Forest National. Est-ce différent pour vous de jouer en Belgique?ERIC ANTOINE: C’est même plus que ça, on peut diviser le pays en régions. En Belgique, il y a également des publics différents. Je ne retrouve pas les mêmes spectateurs à Bruxelles qu’à Liège. Je vais même sûrement me faire mal voir, mais le public belge est meilleur qu’en France (rires). J’aime le public belge, car je suis fan de l’absurde et de l’humour anglo-saxon, que je retrouve en Belgique et non en France. Et comme beaucoup d’humoristes le disent, le Français se la pète un peu, surtout le Parisien (rires)!

GUIDO: D’où vient cet amour du public belge?ERIC ANTOINE: Il y a un rapport plus di-rect avec lui. Je trouve que c’est assez exo-tique, il y a un esprit de fête en Belgique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs.

GUIDO : En parlant de la Belgique, que connaissez-vous de ce pays?ERIC ANTOINE: Je connais le Carré de Liège, où j’adore me balader (rires). Je suis fort ami avec des gens d’ici, en particulier des humoristes, comme Virginie Hocq ou les Frères Taloche. Je connais plus les gens que les villes en réalité, car quand tu es sur scène, tu n’as pas le temps de visiter le coin où tu te produis. Maintenant, j’ai de

très bons souvenirs de la ville de Rochefort par exemple!

GUIDO: Vous avez déjà joué plusieurs fois votre spectacle en France. Comment cela se passe-t-il jusqu’à présent?ERIC ANTOINE: Vraiment très bien! C’est le troisième spectacle que je fais. À chaque fois, je prends une page blanche et je recommence une nouvelle aventure. Il n’y a donc jamais un numéro identique au précédent. Le moment où je sais que le spectacle est prêt, c’est quand les gens viennent me voir et me disent que ce nu-méro-là est meilleur que le précédent.

GUIDO: C’est votre troisième grand spectacle, vous avez fait des centaines de représentations dans toute la France. Le trac est-il malgré tout toujours présent?ERIC ANTOINE: Oui, toujours. Car chaque représentation est un nouveau défi. Tu ne sais pas si le public va être conquis. Avant, j’étais une sorte d’outsider, je ne

ERIC ANTOINEL’ILLUSIONNISTE AU GRAND CŒUR!

L’illusion et l’humour sont les deux grandes passions d’Eric Antoine. L’humo-riste français, qui manie aussi bien les cartes que les rires de son public, s’est entretenu avec nous pour partager son vécu, ses envies mais aussi ce qui le touche au quotidien…

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«Le public belge est meilleur. Le Français se la pète un peu!»

© Laurent Seroussi

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savais pas si les gens allaient aimer ce que je leur proposais. Je suis quelqu’un de fou et les gens savent à présent à quoi s’attendre en venant me voir, ce qui me fait encore plus peur.

GUIDO: Chaque soir, c’est une nouvelle histoire que vous écrivez avec votre public…ERIC ANTOINE: Oui, c’est aussi une histoire d’amitié. J’espère juste que je ne vais pas les saouler. (rires)

GUIDO: Par le passé, vous faisiez également des interventions dans des hôpitaux… ERIC ANTOINE: J’en réa-lise encore actuellement. À la base, je proviens d’une famille de méde-cins. Dès mes 18 ans, je montais des spectacles avec des familles de pa-tients. Cela permettait de créer des liens, car il faut savoir que ces milieux-là sont hyper pyramidaux. Puis après, j’ai fait beaucoup d’interventions artistiques en sortant ces gens-là du train-train quotidien. Maintenant, je suis également parrain de deux associations, ‘Rien que pour guérir’ et ‘Magie à l’hôpital’, pour lesquelles je réalise des visites hospitalières.

GUIDO: Quand vous est venu cet amour pour la magie?ERIC ANTOINE: Je pense que c’est venu par la volonté de changer la réalité. Mon-trer que le réel n’est pas forcément ce qu’il est et qu’on peut finalement l’influencer. C’est très fort selon moi de transformer la réalité.

GUIDO: Gérer autant de représentations, c’est probablement fatigant. Comment arrivez-vous à tenir le coup? ERIC ANTOINE: En effet, c’est très fatigant. Mais c’est la motivation qui

te pousse à aller sur scène et vivre des choses vibrantes. Ne fut-ce que par respect pour les personnes qui viennent te voir.

GUIDO: Quel spectacle retenez-vous en particulier?ERIC ANTOINE: Le mois passé à l’Olym-pia. C’est mythique! Quand j’étais plus jeune, j’allais voir des groupes de musique dans cet établissement. Et maintenant, sa-voir que je m’y produis et que je suis dans le même univers qu’eux me transporte. Et le meilleur moment, c’était de voir mon fils courir seul deux heures avant le spectacle à travers les rangées de la salle, un mo-ment vraiment magique!

«L’amour de la magie m’est venu par la volonté de changer la réalité»

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GUIDO: Vous jouez avec votre femme. Cette cohabitation sur scène est-elle toujours facile à vivre?ERIC ANTOINE: C’est à la fois compliqué et plaisant. Lorsque ça fonctionne bien, tout va bien, nous partageons ces bons moments ensemble. Mais quand ça ne va pas, ce sont des moments pas évidents. Mais nous avons une relation très forte et nous sommes très unis!

GUIDO: Si vous aviez des conseils à donner à des jeunes voulant se lancer dans une carrière d’humoriste, quels seraient-ils?

ERIC ANTOINE: Il faut s’intéresser à l’en-semble des arts. Et surtout ceux qu’on n’a pas envie d’aller découvrir. La curiosité est très importante. Ce qui fait un artiste, c’est avoir un nouveau regard sur le monde et tout ce qui l’entoure.

GUIDO: Que peut-on encore vous souhai-ter pour la suite?ERIC ANTOINE: D’être un fou ‘équilibré’. Que je trouve une paix intérieure en quelque sorte. Je suis fou, mais pour l’être, il faut également être bien équilibré.

Comment calculer ton salaire?

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Comment fonctionnent les salaires en Belgique? C’est assez compliqué, c’est pour cette raison qu’on t’aide à y voir plus clair.

Avantages extralégauxAfin d’éviter les charges importantes sur le salaire, les employeurs proposent des avantages à leurs employés, sur lesquels ils ont moins d’impôts ou de charges sociales à payer, mais que l’employé peut fortement apprécier.

25 exemples d’avantages extralégaux (par ordre alphabétique):

SALAIRE BRUT

moins 13,07% de SÉCURITÉ SOCIALE

moins la COTISATION SPÉCIALE pour la sécurité sociale

moins le PRÉCOMPTE PROFESSIONNEL (avance mensuelle sur les impôts)

moins les COTISATIONS DE L’EMPLOYÉ sur les avantages extralégaux

= SALAIRE NET

Différence entre salaire brut et netLors des négociations de salaire pendant les entretiens d’embauche, on parle toujours de salaire brut. Pourtant, le montant qui arrivera au final dans ton portefeuille est un peu moins important.

Avantages extralégaux

abonnement à un club de sport abonnement aux transports en commun accueil d'enfants assurance-groupe (hospitalisation) assurance-groupe (pension complémentaire…) carte-essence chèques-cadeaux chèques-culture chèques-repas compensation vélo connexion Internet crédit d'appel excursions d’entreprise fêtes d'entreprise GSM indemnité forfaitaire des frais indemnités de logement jours de congé supplémentaires ordinateur portable prime pour expatriés

Il existe pourtant aussi des DÉSAVANTAGES. La pension légale, par exemple, est calculée sur base du salaire, sans les avantages extralégaux. Au plus ces avantages sont nombreux, au plus le salaire est bas, et donc au moins tu es payé, au plus bas ta pension sera calculée. L’employé a aussi moins de flexibilité à utiliser son salaire comme il l’entend. Ces inconvénients ne pèsent pourtant pas beaucoup face aux avantages multiples.

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Comment négocier son salaire?

Avant* Il est important de ne pas arriver à un entretien d’embauche en ignorant complètement tes envies de salaire.

* Essaie de connaître les salaires minimaux de ton domaine:

→ via les conventions collectives de travail (www.meta.fgov.be)

→ les syndicats → les chambres du commerce → d’autres organisations.

* Cela ne peut pas faire de mal non plus de demander à tes amis et à ta famille combien ils gagnent, même si tout le monde n’est pas prêt à te donner une réponse honnête.

* Ne donne jamais de montant concret quand tu postules par écrit. Réserve la négociation de salaire pour le moment où tu te retrouveras entre quatre yeux avec ton futur employeur.

* Si on te demande une indica-tion de salaire sur le formulaire d’embauche, tu peux y donner des mots comme:

→ ‘ouvert’ → ‘compétitif’ → ‘négociable’

Pendant* En Belgique, dans neuf cas sur dix, on négocie un salaire brut. Et ce n’est pas toujours facile d’estimer quel pourcentage du salaire brut restera dans le salaire net.

* La part enlevée par le fisc est environ de 30% pour un salaire de débutant.

* Ce que tu peux oublier de calculer dans celui-ci sont les avantages extralégaux qui te sont proposés en plus du salaire, comme les chèques-repas, une voiture de société, une assurance de groupe, …

* Pose-toi la question au préalable: de com-bien d’argent par mois as-tu besoin pour vivre décemment et épargner un minimum? Retiens ce montant, mais ne le mets pas sur la table pendant les négociations. C’est juste une base de référence. Essaie ensuite d’estimer tes besoins par rapport à ta valeur, basée sur tes compétences et ce qu’elles peuvent signifier pour l’employeur.

* Une fois que la négociation en tant que telle a commencé, le recruteur ne manquera pas de te demander ton précédent salaire (si tu en avais un évidemment). Cela n’a aucun sens de mentir ou d’exagérer car l’information donnée n’aura aucun mal à être vérifiée. Si ton précédent salaire était plus bas que tu ne l’aurais voulu, explique alors honnêtement pourquoi c’était ainsi et pourquoi tu penses que tu vaux désormais plus.

* Quand le moment est venu de donner un nombre concret, ajoute quelques centaines d’euros au montant que tu souhaiterais obtenir. Ne t’attends pas à recevoir ce montant, mais c’est parfaitement normal de négocier sur plus d’avantages extralé-gaux afin d’arriver à un salaire acceptable pour les deux parties.

AprèsEncore une chose pour conclure: ne sois pas déçu si ton salaire de débutant est plus maigre que tu l’avais espéré. En tant que young starter, tu as encore beaucoup de chances de promotions devant toi, ce qui signifie souvent une augmentation de salaire. The future is bright!

Avantages extralégaux

restaurant d’entreprise service de nettoyage service de repassage voiture de société

Tous ces avantages - et beau-coup d’autres - offrent comme avantage à l’employé et à l’employeur de moins payer d’impôts.

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Check-lists pour ta première semaine de travail

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Tu as enfin trouvé un premier emploi, l’heure est donc venue de déboucher le champagne! Bien que tu sois très heureux, le stress commence à s’emparer de toi. Comment va se dérouler cette première semaine de travail? Ne te fais pas trop de soucis, car GUIDO a décidé de t’accompagner lors de ce crucial moment. Coche un maximum de cases pour cette première semaine et tout se déroulera comme sur des roulettes.

❑ Coche les propositions

❑J’ai averti le Forem qu’ils peuvent me supprimer de la liste des chercheurs d’emploi.

❑ J’ai averti l’ONEM que j’ai trouvé un travail.

❑Si j’ai reçu une ou plusieurs allocations d’attente en tant que chercheur d’emploi, je les ai stoppées.

❑ Je me suis inscrit à une mutuelle.

❑

J’ai fait en sorte que le Service des Contributions Directes soit au courant que je suis désormais employé dans une entreprise afin qu’il m’envoie ma feuille d’impôts en temps voulu.

❑

Mes parents ont communiqué aux services compétents que je ne suis plus financièrement à leur charge. Ils ne reçoivent donc plus d’allocations fami-liales pour moi.

❑Je pense que j’en sais assez sur ce que je devrai accomplir comme tâches demain.

❑

Je connais mes horaires par cœur, mais je suis également conscient qu’une bonne dose de flexibilité est importante et que mes heures supplémen-taires seront rarement payées.

❑

Je ne vais pas au café ce soir pour fêter la fin de mes années d’étudiant. Car une gueule de bois est fortement déconseil-lée lors d’un premier jour de travail.

❑Je mets mon réveil bien à l’heure avant de m’endormir.

DIMANCHE LUNDI MARDI MERCREDI JEUDI VENDREDI

Ton dernier jour de repos. Demain, les vacances sont finies: tu com-mences à travailler.


Ca y est, ton premier jour de travail est arrivé. Le début du reste de ta vie.


❑ J’arrive à l’heure au boulot.

❑ Je m’adresse à la réception.

❑Je retiens immédiatement où se trouvent les toilettes, afin de ne pas devoir le demander plus tard dans la journée.

❑

J’ai emporté des tartines, car il est possible que je n’aie pas encore la carte de paiement adaptée pour manger au res-taurant de l’entreprise.

❑Je me suis habillé de manière classique: pas trop formel, pas trop voyant, mais pas non plus de façon trop débraillée.

❑

Je m’adresse à mes nouveaux collègues par ‘monsieur’ et ‘madame’. C’est ensuite à eux de te dire s’ils préfèrent que tu utilises leur prénom.

❑Je pose des questions, mais je n’exagère pas afin de ne pas taper sur les nerfs de mes collègues dès le premier jour.

❑ Je vérifie que ma nouvelle adresse e-mail fonctionne bien.

❑ J’apprends à travailler avec une centrale téléphonique.

❑Je demande poliment une rapide visite des lieux et je salue ainsi tous mes nouveaux collègues.

❑Je signe mon contrat avec mon employeur.

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❑

J’envoie un mail à mon promo-teur, mon doyen ou mon an-cien directeur d’école pour leur annoncer que j’ai trouvé du travail. Cette nouvelle risque en effet de leur faire plaisir.

❑

Hier, j’ai bien regardé autour de moi. Je sais maintenant quels sont les vêtements de ma garde-robe que je peux porter au boulot.

❑J’apprends à me débrouiller avec les imprimantes du bureau.

❑ Aujourd’hui, je m’occupe de mon premier dossier concret.

❑

J’ai appris à connaître de nouvelles personnes, mais je n’en déduis pas (encore) qu’ils feront partie de mon réseau social. On verra cela plus tard, les collègues ne deviennent pas toujours des amis.

❑

J’entame une première tenta-tive afin de mettre de l’ordre dans les piles de livres, papiers et fichiers que j’ai ‘hérités’ de mon prédécesseur.

❑Je sais pourquoi l’entreprise m’a engagé et quelle stratégie se cache derrière la création de ma fonction.

❑

Cette semaine, on attend peut-être de moi que je joue l’’ombre’ d’un collègue afin de mieux savoir en quoi consiste mon nouveau job. Ton credo doit être le suivant: observer, et non imiter.


Ta première journée est passée, mais la semaine ne fait que commencer.


Te voilà bien engagé dans ta première semaine de travail. Tu commences à te sentir à l’aise?


❑ Je connais déjà par cœur les prénoms des collègues directs.

❑J’apprends à me débrouiller avec les imprimantes du bureau.

❑

Je montre de l’initiative, mais je n’exagère pas. Ce n’est que mon troisième jour de travail, j’ai encore beaucoup à apprendre.

❑

J’essaie discrètement d’en savoir plus sur mon prédéces-seur, quel genre de personne c’était et la façon dont il travaillait.

❑

Je ne me fais pas de souci si mes collègues directs n’arrêtent pas de parler de la personne que je remplace. Une fois qu’ils me connaîtront mieux, cela deviendra de moins en moins fréquent.

❑

Je commence doucement à sa-voir si mon entreprise propose des possibilités de formations. C’est souvent très simple: plus l’entreprise est petite, moins elle propose de formations.

❑

Je suis conscient que je suis en période d’essai pendant six mois, période pendant laquelle mon patron peut facilement me renvoyer s’il n’est pas content de moi. Je fais donc de mon mieux pour l’impressionner.

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❑Entre-temps, je me suis fami-liarisé avec le système informa-tique de l’entreprise.

❑

Je ne me fais pas de soucis si on me demande souvent des choses qui n’ont rien à voir avec ma fonction. Même les surdiplômés ne sont pas, sur-tout au début de leur carrière, immunisés contre le travail administratif.

❑

Même si ça me démange de draguer la secrétaire ou un as-sistant craquant, je vais quand même attendre un petit peu avant d’entamer une relation amoureuse sur mon lieu de travail.

❑

Je commence doucement à déceler quelques points faibles dans le fonctionnement de l’entreprise, mais je formule ma critique de manière diplo-matique.

❑Je reste courtois envers ce collègue qui me nie depuis lundi, même si je ne le porte pas dans mon cœur.

❑

Si, jusqu’à présent, personne ne m’a montré la marche à suivre, je ne m’en plains pas, mais vois plutôt cela comme une opportunité de travailler de manière plus indépendante.

❑ Je commence à cerner les buts à court et long terme de ce job.

❑

J’ai aussi compris que mon planning quotidien ne dépend pas seulement de moi, mais aussi des plannings de ma direction et parfois même de collègues indirects. En bref, je consulte les autres avant de planifier quelque chose.


Tu es déjà parti pour ta quatrième journée de travail, tout commence à rentrer dans l’ordre.


Ta première semaine de travail touche à sa fin.


❑Je prends rendez-vous avec le directeur de ma banque, étant donné que je reçois maintenant un salaire fixe.

❑ Je connais les prénoms de tous les collègues à mon étage.

❑

J’évalue les tâches que j’ai dû effectuer au cours de ma première semaine de travail. S’il y en a certaines qui ne satisfont pas à mes attentes, j’en parlerai avec mon patron la semaine prochaine.

❑

Si mes collègues m’invitent à aller boire un verre après le travail, j’accepte leur proposi-tion. Mais ce n’est pas moi qui le propose.

❑

Je suis fier d’avoir réussi à cacher mon égo pendant une semaine et d’avoir travaillé en équipe au sein d’une nouvelle équipe.

❑

S’il apparaît qu’aucune forma-tion ne me sera proposée au sein de l’entreprise, j’indique poliment à mon patron l’exis-tence de Cefora, un centre de formations qui propose des cours gratuits aux entreprises.

❑

J’ai maintenant une idée plus claire de mon paquet de tâches à réaliser et je fais en sorte de réaliser un planning détaillé des deux prochaines semaines.

❑

Pendant cette première se-maine, je n’ai pas déjà explosé mes batteries. Il n’y a rien de mal à travailler dur, mais un burn-out précoce n’est pas recommandé.

❑

J’ai bien mérité d’être en week-end, mais je ne vais pas direc-tement dépenser 500 euros en une seule journée car je réalise que mon salaire ne me sera payé qu’en fin de mois.

PLUS DE CONSEIL S P OUR TES PREMIERS JOURS SUR W W W.GUIDO.BE

Code vestimentaire et étiquette au travail

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1. Il va de soi que tu dois te présenter BIEN À L’HEURE à la porte de ton entreprise lors de ton premier jour de boulot. Prévois assez de marge. Au besoin, prends un train plus tôt et bois encore un café à la gare. Pour ceux qui viennent en voiture: tiens compte des fi les possibles.

2. Même si tu sais précisément où se situe ton bureau, on te conseille cependant de t’annoncer à la RÉCEPTION lors de ton pre-mier jour de boulot. Ce n’est pas seulement poli, c’est aussi pratique car de cette façon, tu recevras un petit discours d’introduction de la part du chef ou de sa secrétaire.

3. Si on te fait faire un tour de l’entreprise, ouvre bien les yeux et essaie de t’ORIENTER. Essaie de repérer où se situent les toilettes (de préférence celles de ton sexe) afi n de ne pas déjà déranger ton collègue après deux heures afi n de savoir où tu peux aller te vider.

4. Si l’entreprise où tu travailles fonctionne avec un service de livraison de sand-wichs ou un autre système de catering, n’en conclus pas trop rapidement que tu pourras en faire usage dès le premier jour. Souvent, cela implique des démarches ad-ministratives, par exemple la mise en place d’un compte ou d’une carte de recharge. Prends donc pour les premiers jours des TARTINES DE RÉSERVE.

5. Comment S’HABILLER pour son premier jour? Pas trop chic ni décontracté. Porte simplement des vêtements distingués et discrets et regarde autour de toi afi n de constater le dress code de ton entreprise. Tout le monde porte des T-shirts colorés et des jeans déchirés? Tu peux alors te le permettre. Tout le monde porte le costume? Fais-en de même aussi.

6. En tant que nouveau, est-il indispensable de dire ‘monsieur’ et ‘madame’ tout au long de la journée? Cela ne fera pas de

mal, surtout au tout début. Petit à petit, un prénom sera utilisé POLIMENT et tes collègues proches te diront certainement très vite de les appeler Paul ou Marie. Ne commets pas la faute d’appeler des jeunes collègues par leur prénom tandis que tu continues les monsieur et madame aux plus vieux, car le patron n’est pas nécessairement le mec le plus grisonnant de l’entreprise. Ou alors, tu traites tout le monde de manière formelle, ou personne. Bien que ce soit risqué.

7. Essaie de ne pas non plus rester dans ton coin. N’hésite pas à POSER DES QUES-TIONS, mais n’harcèle pas trop tes collègues avec des questions idiotes. Pour eux, ton premier jour est un jour comme les autres, au cours duquel ils doivent prester leurs heures et effectuer leur boulot.

8. Établis une liste avec les PRÉNOMS de tes collègues et essaie de les apprendre par cœur. Il n’y a rien qui fasse plus mauvaise impression que d’encore pointer quelqu’un en tant “monsieur machin, le chauve avec ses lunettes” à la fi n de la journée.

9. TOMBER AMOUREUX d’un collègue? Happens all the time! Pourtant, en tant que nouvel employé, il n’est pas conseiller de draguer dès les premières heures. Comment l’entreprise réagit face aux personnes qui tombent amoureuses d’un de leurs collègues dépend selon les fi rmes. On te conseille quand même de garder tes sous-vêtements sur toi pendant ta période d’essai!

10. Les réglementations vestimentaires ne concernent pas seulement les cravates, les costumes et les jupes courtes, mais aussi les foulards, les kippas et les croix. On se souvient en effet du débat animé sur le port du voile dans les administrations il y a quelques mois. Il est recommandé d’adop-ter un PROFIL BAS, même si les cueilleurs de fruits ont encore le droit de porter un turban orange pendant leur travail!

À Wimbledon, les tennismen sont obligés de porter des vêtements blancs, les musiciens d’un orchestre classique du noir. Une prostituée porte le moins possible et le flic une moustache. Mais que doivent porter les personnes qui travaillent dans les autres secteurs et comment faut-il se comporter au bou-lot? Voici 10 conseils afin de ne pas mett re les pieds dans le plat.

TOUS LES CODES DU TRAVAIL SUR WWW.GUIDO.BE

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JobnewsCombien de temps dois-tu travailler pour gagner le salaire d’Eden Hazard?

Tu te tues à la tâche pour gagner 10 € de l’heure si tout va bien avec ton job d’étudiant de chez Colruyt. Eh bien, Hazard gagne la même somme en à peine 15 secondes. Tu veux savoir combien de temps tu devrais travailler pour gagner le salaire d’Eden Hazard et des autres grandes stars du ballon rond? Il suffi t de te rendre sur le site de la BBC, qui propose depuis peu de temps de mesurer ton salaire à celui des plus grandes stars du football mondial. Messi, Ronaldo, Neymar

ou même notre Diable rouge Eden Hazard sont disponibles. Pour ce faire, c’est très simple, tu encodes ton pays, ton salaire annuel brut (ou ce-lui qui tu penses recevoir quand tu seras diplômé) et la star avec laquelle tu souhaites te mesurer et le tour est joué. Si tu veux donc bien gagner ta vie, va taper dans un ballon!

INFOS: www.bbc.com

Une application pour les étudiants jobistes

Tu bosses dans un supermarché ou encore dans le centre culturel de ta ville? Cette information va alors devenir très intéressante pour toi! Les étudiants “jobistes” peuvent à présent contrôler le nombre de jours pendant lesquels ils peuvent encore travailler grâce à une application pour smartphone. Ces jeunes travailleurs pouvaient déjà depuis 2011 consulter un compteur per-sonnel sur le site www.studentatwork.be pour connaître leur solde restant de jours à travailler. Cette consultation sera désormais facilitée par cette toute nouvelle application. Sur un total de 450.000 travailleurs étudiants, près de 200.000 d’entre eux l’ont déjà téléchargée. Un total de 335.000 consultations du nombre de jours de travail restants a déjà également été effectué. La ministre des Affaires sociales, Maggie De Block, a inauguré cette application lors d’une visite sur le campus de la VUB à Bruxelles.

INFOS: www.studentatwork.be

Ictjob: le site pour les professionnels IT

Devenu rapidement le site d’emploi numéro 1 dans le domaine de l’IT en Belgique, Ictjob SPRL a été repris par StepStone. Alors que ces deux entités vont continuer à travailler séparément et offrir leurs services à leurs clients respectifs, ils vont dès à présent partager leur expertise dans le but d’optimiser les solutions technologiques des deux sociétés et offrir toujours plus de résultats pour les différents recruteurs et candidats. Avec cette acquisition, StepStone envisage de gérer des portails d’emploi leaders sur leurs marchés. D’ailleurs selon Ralf Bauman, CEO du groupe StepStone, cela représente une étape importante pour la croissance de l’entreprise possédant maintenant Ictjob SPRL.

INFOS: www.ictjob.be/fr

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Le Belge veut travailler en France

Prendre son billet pour l’étranger dans le cadre du travail est devenu un souhait pour énormément de Belges. Eh oui, une étude de The Boston Consulting Group, StepStone et The Network nous montre que sur 1282 Belges interrogés, 39% des travailleurs belges souhaitent partir dans un autre pays pour aller y travailler. Non dans un but lucratif, mais plus pour élargir leurs horizons et acquérir de nouvelles expériences. La destination qui sort gagnante est la France devant le Canada et le Luxembourg. Les Belges sont avant tout désireux d’un emploi attrayant. Effectivement, pour eux, le fait de vivre dans une autre culture, d’accumuler de nouvelles expériences, de relever un défi pour soi-même et bien d’autres critères sont les raisons pour lesquelles ils sont prêts à partir travailler dans un pays étranger.

INFOS: www.stepstone.be

L’Alliance for Youth vient en aide aux étudiants!

Huit employeurs (Adecco, Axa, EY, IBA, IBM, Nestlé, Securex et Sodexo) au sein de l’Alliance for Youth veulent donner un tremplin sur le marché pour les jeunes qui en ont besoin. Didier Gosuin, ministre en charge de l’Économie, de l’Emploi et de la Formation professionnelle en Région bruxelloise, estime que la situation des jeunes est dramatique. Il soutient l’action lancée par ces huit employeurs dont le but est de donner une première chance à plusieurs centaines de personnes âgées de moins de 30 ans. Ces huit employeurs veulent avant tout donner la possibilité à ces jeunes de pratiquer des stages afin d’emmagasiner ce manque d’ex-périence. Quelque 2600 emplois ou stages devraient donc être proposés dans les deux années à venir.

INFOS: www.nestle.be/fr

Tweeter au travail augmente la productivité!

Que celui qui n’a jamais tweeté pendant un cours, un stage ou un job me lance la première pierre! Désormais bien intégré dans le quotidien des jeunes adultes, Twitter est devenu un tel phénomène que les patrons ont de plus en plus de difficultés à empêcher leurs employés d’utiliser le réseau du petit oiseau bleu. Que ceux-ci se rassurent et les laissent ga-zouiller tranquillement car une étude vient de démontrer que tweeter au travail boostait la productivité du travailleur! Profiter de son smartphone pendant de courtes pauses pour poster sur Facebook ou checker son fil sur Twitter donne une perception positive de leur bien-être à la fin de la journée de travail, ce qui les rend plus heureux. On pourrait expliquer cela à nos profs allergiques à toute forme de nouvelle technologie?

INFOS: www.twitter.com

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Un questionnaire pour trouver ton futur métier!

Tu ne sais pas quoi faire plus tard comme métier? Tu aurais voulu devenir footballeur professionnel, mais tu étais meilleur au poste de supporter? Nous te comprenons, la vie n’est pas facile… Cependant, un test sur Internet te permet de savoir quel métier tu pratiqueras dans ta vie future. En effet, ce test d’orientation est totalement gratuit et il est proposé par L’Étudiant. Ce questionnaire te donne quelques pistes et t’aide à défricher le terrain de ton orientation. Difficile de sortir de la fameuse rengaine du «qu’est-ce que j’vais faire? J’sais pas quoi faire!». Car trouver sa voie exige évidemment de s’interroger sur soi-même. Qui suis-je? De quoi suis-je capable? De quoi ai-je envie?… Pour t’aider à entrouvrir sereine-ment l’immense boîte aux questions que tu n’as pas forcément envie de te poser, tu as à ta disposition une approche ludique, celle du test d’orientation. Donc à présent, si tu te poses des questions sur ton avenir professionnel, tu sais ce qu’il te reste à faire.

INFOS: www.letudiant.fr

Les jobs d’étudiants en Belgique causent des inégalités sociales!

Tu as déjà certainement connu cette situation. Ton CV est parfait et tu as toutes les chances de ton côté pour obtenir enfin ce job d’étudiant dans le supermarché situé juste à moins de 200 mètres de chez toi. Mais le souci, c’est que le fils du gérant veut aussi cette place. Et lui, il l’aura, car c’est le ‘fiston’ du patron… C’est pour cette raison que le Conseil économique et social de la région bruxelloise tente depuis un an d’en finir avec ce qu’il considère comme une pratique qui accroit les inégalités sociales. Patrick Charlier, directeur adjoint du Centre interfédéral pour l’égalité des chances, parle d’une vraie «discrimination» plus que d’un avantage. «Les jobs étudiants réservés aux en-fants des employés accroissent les inégalités sociales, mais de manière inconsciente,» constate-t-il. S’il pointe du doigt un pro-blème social important et répandu, Patrick Charlier n’a pas pour but de sanctionner ces entreprises: «Le problème est beaucoup plus complexe puisque c’est un problème structurel et ancré dans les mœurs, donc non intentionnel». Pour ce spécialiste des discriminations, il existe deux raisons qui freinent l’arrêt de cette pratique. «C’est tout d’abord devenu un réel avantage en entre-prise, comme le sont les tickets restaurants par exemple. Même les syndicats ne veulent pas en entendre parler. Deuxièmement, cela pose problème aux entreprises publiques, entre autres, car elles devraient s’occuper de gérer beaucoup de candidatures à l’approche de l’été.» Si tu veux la place, tu n’as plus qu’à te faire adopté par le patron du supermarché…

INFOS: www.diversite.be

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Les 20 meilleurs métiers au monde!

Un classement reprenant les 20 meilleurs métiers au monde va t’aider à trouver peut-être l’emploi à exercer plus tard dans ta vie professionnelle!Les professions dans lesquels on jongle avec les chiffres restent récom-pensées. C’est en effet le métier de mathématicien qui se place en pole position de ce palmarès du meilleur job. Celui de statisticien s’octroie la troisième place. Entre les deux, les professeurs d’université s’arrogent la seconde place. On retrouve également dans ce top 20 différents ingé-nieurs, des métiers scientifiques et quelques professions médicales. Pas nécessairement de salaires mirobolants ou de carrières particulièrement exaltantes, mais des emplois confortables à tout point de vue. Comme quoi, l’argent n’est pas forcément un critère indispensable dans le choix d’un très bon métier à pratiquer…

INFOS: www.careercast.com

Si tu finis tes études cette année, le Forem est là pour toi!

Si tu es en as fini avec les études en ce mois de juin, n’oublie pas de t’inscrire au Forem! Le Forem te propose un accompagnement person-nalisé pour que tu sois le plus vite possible en contact avec le monde du travail. Leurs conseillers te proposeront des pistes pour trouver un

job: des stages en entreprise en Belgique ou à l’étranger, des formations en langues, des essais métiers, des conseils pour rédiger ton CV et te préparer à un entretien d’embauche, créer ta propre activité, … Tu peux dès lors aller t’inscrire en ligne sur www.leforem.be dans l’es-pace ‘Particuliers’ - ‘S’inscrire comme demandeur d’emploi’.

INFOS: www.leforem.be

Le salaire, un facteur important dans le choix de ses études?

Et si le choix de ses études se faisait en fonction de la rémunération qui y sera jointe? Cette dernière est bien souvent méconnue de tous lorsque l’on effectue tel ou tel type d’études. Une récente enquête montre, par exemple, que travailler dans le domaine de l’industrie pharmaceutique est plus avantageux au niveau du salaire que de bosser dans le milieu de la logopédie. De plus, une personne diplômée en sciences pharma-ceutiques sera d’autant mieux rémunérée que son diplôme la prépare à travailler dans un secteur lui-même très porteur. Tout ceci est confirmé par une enquête réalisée par l’ULg auprès de ses anciens élèves. En effet, des différences entre diplômés après plusieurs années d’expérience restent observables. Les étudiants d’aujourd’hui seraient pourtant plus éclairés par une meilleure connaissance de la rémunération qu’ils pourraient percevoir après leurs années d’études.

INFOS: www.ulg.ac.be

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Dans les locaux de son agence de communication (Hakuna Matata), nous rencontrons David Ghysels, l’une des têtes pensantes derrière le fructueux concept de Dinner in the Sky, lancé il y a bientôt dix ans en Belgique. C’est lors d’un brainstorming visant à trouver une communication étonnante pour les Jeunes Restaurateurs d’Europe que l’idée d’organiser un repas sur une table suspendue a été évoquée. Sa pre-mière réaction? «C’est complètement débile, cette histoire». Pourtant, après y avoir réfléchi à tête reposée, le publi-citaire se dit qu’il y a peut-être quelque chose à creuser. «Dans notre métier, quand le message est dans l’objet, il y a quelque chose. Le fait de voir des gens en l’air, ça donne un message de croissance, d’aller vers le haut, de gran-dir, … C’est positif comme message de regarder vers le haut.»

The sky is not the limit

Avoir une idée, c’est bien, la mettre en place, c’est une autre histoire! «Ça a été évidemment compliqué à mettre en place. J’ai ramé pendant un an pour trouver la meilleure façon de faire.» Après avoir demandé une structure à des ferronniers, c’est une société hollandaise organisant des attractions avec des grues qui sera leur planche de salut. Et ce qui devait normalement se résumer à un événement unique s’est

transformé en succès de foule qui dure maintenant depuis neuf ans. Grâce no-tamment au classement Forbes des dix restaurants les plus hors du commun du monde qui a assis la popularité de Dinner in the Sky dans le monde entier. «On s’est ainsi retrouvé du jour au lendemain sous les feux des projec-teurs. Il m’a fallu plus de six mois avant de réaliser le potentiel de notre idée. Mais on a eu tellement de demandes et réactions positives de sociétés que je me suis dit à un moment qu’il était peut-être intéressant de se pencher davantage là-dessus.» Aujourd’hui pré-sent dans cinquante-deux pays, Dinner in the Sky jouit de la popularité qu’on lui connaît et ne semble plus vouloir s’arrêter en si bon chemin.

Très vite, l’engouement des chefs s’est fait ressentir et des dizaines de chefs étoilés se sont maintenant succédés sur cette plateforme de cuisine inédite. «Ça les amuse de sortir de leur cuisine, d’aller au contact des gens. Ce qui est extraordinaire avec Dinner in the Sky, plus que le fait d’être en hauteur, c’est la relation unique entre le chef qui cuisine au centre des clients qui séduit principalement.» Des participants qui sont aussi enthousiastes que les chefs qui les nourrissent. David Ghysels se souvient de tables où personne ne se connaissait au départ et qui, une fois qu’ils descendent après un repas d’une heure et demi, donnent l’impression

DINNER ON THE ROADAPRÈS LE DÎNER DANS LES AIRS, VOICI LE PREMIER RESTAURANT

SUR ROUES!

Tu as certainement entendu parler du concept Dinner in the Sky qui permet à des chefs de cuisiner pour une poignée de convives installés sur une plate-forme dans les airs. Derrière cette idée se cachent David Ghysels et Stefan Kerkhofs qui remettent le couvert avec un autre concept innovant axé autour de la gastronomie ludique: Dinner on the Road, le premier restaurant mobile au monde.

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d’être copains depuis des années. Sur Bruxelles, il y en a même qui reviennent d’année en année avec les gens qu’ils ont rencontrés sur l’événement. «On n’a encore jamais eu de retour négatif d’un participant jusqu’à présent - touchons du bois!»

Sur la route…

Pratiquement dix ans après Dinner in the Sky, David Ghysels refait aujourd’hui parler de lui avec un nouveau concept qui risque de faire fureur auprès des

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gastronomes en recherche de sensa-tions toujours plus inédites: Dinner on the Road, permettant aux clients de savourer un bon repas dans un véhicule futuriste entièrement équipé comme un véritable restaurant, tout en admirant le paysage. Comment cette nouvelle idée a-t-elle germé dans l’esprit bouillonnant de notre créateur de concepts? «Les idées, ce sont souvent des accidents, en fait. Des éléments qui viennent de l’un, de l’autre et d’un seul coup, tu remets tout ensemble et c’est là que le processus de création s’enchaîne.» Dès qu’ils ont vu le camion, ils ont été à ce point séduits, autant par son allure que par la convivialité qu’il permet, qu’ils ont dit «Banco»!

Ce camion, parlons-en justement. Avec son physique futuriste et ses lignes épurées, il risque bien de faire sensation sur les routes de Belgique et d’ailleurs. D’une capacité de seize personnes, avec un arrière entièrement vitré, une cuisine ouverte et profes-sionnelle, un tapis roulant où le chef peut envoyer les plats ou encore une table (a priori digitale) au plafond qui descend une fois que les gens sont installés, ce resto mobile multiplie les atouts pour flatter les envies des accros aux expériences gastronomiques inédites, mais ne se réduit pourtant pas à un concept sans âme. «À côté de cet aspect futuriste et technologique, le point le plus fondamental est ce côté humain et convivial que l’on recherche dans toutes nos activités. On cherche à

procurer de l’amusement à nos clients, à leur faire simplement passer un bon moment. La table ne sert pas unique-ment à satisfaire un besoin primaire - celui de manger -, mais à encourager la convivialité.»

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PLUS D’ INFOS SUR W W W.DINNERONTHEROAD.BE

Une table sur roues

Dinner on the Road entend donc faire voyager tout un chacun autant dans son assiette que par les paysages que le ca-mion traversera lors du périple choisi par les participants. Que ce soit un itinéraire préétabli proposé au client (comme la Vallée de la Meuse ou un city-tour dans Bruxelles) ou la mise à disposition du camion pour un trajet décidé par le client: la route vers un concert, une fête d’anni-versaire en Champagne, des conférences de presse, … Cela reste assez ouvert et modulable selon les désirs du client. «Din-ner on the Road, c’est une table sur roues. Après, on peut faire tout ce que l’on veut avec cette table mobile. Ce qui est formi-dable avec ce nouveau concept, c’est qu’il est possible 360 jours par an, qu’il permet d’aller chercher les gens où ils veulent et de les emmener où ils veulent; on est ainsi totalement libres de nos mouvements.»

À quelques jours du lancement de son nouveau projet, est-il aisé de garder la tête froide? «Il faut à la fois garder son enthousiasme et sa passion, mais aussi avoir du recul et un œil extérieur.» Le but de David Ghysels est en effet de se mettre à la place des gens, d’être à leur écoute afin de savoir ce qu’ils attendent réellement d’une telle expérience. Sans oublier la sécurité, le maître-mot d’activi-tés telles que Dinner in the Sky ou Dinner on the Road. Même s’il est encore un peu tôt pour tirer des conclusions et présager d’un succès précoce pour ce nouveau concept, le nombre de pré-réservations encouragent David à être confiant et positif sur l’accouchement à venir de son prochain bébé! «L’important, dans la vie comme en cuisine, c’est de réunir les bons ingrédients. Si tu as les bons ingrédients et un peu de talent, le plat qui va sortir sera bon, et les clients l’appré-cieront.»

«L’important, dans la vie comme en cuisine, c’est de réunir les bons ingrédients. Si tu as les bons ingrédients et un peu de talent, le plat qui va sortir sera bon, et les clients l’apprécieront.»

DEVENIR INDÉPENDANT? LANCER SA PROPRE ENTREPRISE?

Toutes les réponses à tes questions

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Reprendre une entreprise après une faillite, est-ce une bonne idée?Oui. Reprendre une entreprise n’est pas

aussi compliqué qu’il n’y paraît. C’est même plus simple que démarrer sa propre entreprise. Lorsqu’une entreprise est en faillite, un acquéreur potentiel peut être intéressé par reprendre tout ou une partie de l’actif de cette entreprise. Lorsque cette reprise d’actif s’accompagne d’une reprise de certains travailleurs de cette entreprise en faillite, il y a une reprise d’actif après faillite au sens du droit du travail qui déter-mine les droits et obligations de chacune des parties concernées.

En tant qu’indé-pendant, quand est-ce que je dois payer mes cotisa-tions sociales?En tant que tra-

vailleur indépendant, tu dois payer des cotisations sociales tous les trimestres. Ces cotisations doivent être créditées sur le compte de la caisse d’assurance sociale au plus tard le dernier jour du trimestre. Si tu enregistres un retard de paiement, tes cotisations seront majorées de 3% par trimestre, et il existe également une majoration annuelle de 7%.

J’ai entendu dire qu’un indépendant devait s’attendre à une pension dérisoire en fin de carrière. C’est vrai?

C’est un fait que la pension légale des indépendants est plus basse que celles des salariés. Tu veux des exemples concrets de ce fossé légal entre les pensions? Les voici: après une carrière de 45 ans, on constate une différence de 22,64 euros par mois pour une pension familiale, 60,41 euros pour un célibataire et 43,31 euros pour une pension de survie.

Mon partenaire aimerait démar-rer sa propre entreprise, dans laquelle je vais col-laborer. Est-ce une

bonne idée de se marier avant?Tous les couples indépendants n’en sont pas convaincus, car ils ne sont pas considé-rés comme égaux par la loi à l’intérieur de l’entreprise. Il existe cependant le statut de ‘conjoint aidant’, sous lequel beaucoup se sentent en tant qu’aide pour l’indépendant avec qui ils collaborent. Le conjoint aidant n’a pas de statut complet d’indépendant. Il est donc bon d’en parler entre partenaires afin d’éviter toute possible frustration.

J’aimerais monter un commerce de gadgets et autres bibelots. Jusqu’à quelle heure je peux rester ouvert le soir?

Normalement, tu peux rester ouvert jusqu’à 20 heures, et les vendredis et veilles de jours fériés jusqu’à 21 heures. Ajoutes-y un quart d’heure afin de per-mettre aux derniers clients de finir leurs achats. Il existe évidemment quelques exceptions à cette règle, mais c’est telle-ment complexe qu’on ne pourrait pas te l’expliquer ici en trois lignes.

J’aimerais devenir indépendant, car cela permet de déduire un maxi-mum de dépenses des impôts?

Il vaut mieux faire attention à cela. Oui, un indépendant peut déduire un certain nombre de frais relatifs à son travail, mais uniquement relatifs à son travail. Certains starters pensent en effet qu’ils peuvent également déduire des frais d’ordre privé, mais ce n’est pas le cas. Encore mieux: le fisc a l’intention d’être encore plus sévère sur ce point dans les années qui viennent. Les frais qui sont clairement d’ordre privé,

Tu rêves d’une carrière d’indépendant, en profession libérale ou de lancer ta propre entreprise? Tu te poses alors certainement beaucoup de questions. Toutes les réponses se trouvent ici!

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ou desquels aucune preuve complète et correcte ne peut être présentée, peuvent être punis d’une ‘application plus rigou-reuse de l’impôt sur les commissions secrètes’ de 309%.

Jeune et dyna-mique, j’ambi-tionne de devenir indépendante, mais je voudrais aussi rapidement

des enfants. Est-ce facile à combiner? Heureusement pour toi, les jeunes mamans indépendantes reçoivent une indemnité de maternité plus conséquente. Ce n’est pas pour autant que tu peux prendre un congé de maternité pendant des mois tout en continuant à être grasse-ment payée, comme les employées, mais une mère indépendante peut quand même prendre huit semaines de repos de mater-nité (obligatoirement une semaine avant et deux semaines après l’accouchement, le reste peut être pris plus librement), durant lequel elle reçoit une indemnité de 431,96 euros par semaine.

J’ai entendu dire que le gouver-nement tenait certains indépen-dants plus à l’œil que les autres.

Quels sont les ‘secteurs à risque’?Evidemment, on conseille aux starters de tous les secteurs de rester honnêtes et d’éviter tout type de fraudes. Ceci dit, on peut tout de même dévoiler que les sec-teurs suivants sont davantage surveillés que les autres: le secteur de la surveil-lance, de l’entretien, des chèques-services, de l’horeca, du commerce de viande et de la construction.

Les voitures de société sont désor-mais davantage taxées et les trans-ports en commun ne satisfont pas

mes besoins d’indépendant. N’y a-t-il pas d’alternative?As-tu déjà pensé à acheter une mobylette ou un scooter? Si tu peux prouver que tu en as vraiment besoin et que tu l’utilises dans l’exercice de ton métier (pour visiter tes clients par exemple), le pourcentage lié

au travail peut même atteindre les 100%. Contrairement aux voitures, la consom-mation d’essence, la taxe de circulation et les primes de l’assurance sont totalement déductibles. Même ton casque et ta tenue peuvent être déduits de tes impôts!

Je compte ouvrir prochainement un petit magasin et hésite encore à y installer un termi-nal Bancontact/

Mister Cash. N’est-ce pas trop cher?Pour l’achat d’un tel appareil, tu paies en une seule fois quelques centaines d’euros, en effet. Chaque transaction effectuée par Bancontact/Mister Cash coûte aussi quelques cents de plus. Cela coûte de l’argent donc, mais d’un autre côté, le paiement électronique est plus sécurisé que l’argent cash, tu ne dois pas garder constamment de la petite monnaie et il y a plus de chance pour que les clients dé-pensent plus d’argent que s’ils avaient dû payer en cash. À toi de faire le bon choix.

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Je suis devenu indépendant l’année passée et accouché la semaine dernière. Ai-je mainte-nant droit à des

titres-services?En effet: une mère indépendante a droit à des titres-services d’une valeur d’environ 800 euros. Attention cependant, car ces titres-services ne sont pas automatique-ment envoyés. Jusqu’à 15 semaines après l’accouchement, tu as le temps de les de-mander à la caisse d’assurances sociales à laquelle tu es affiliée. Tu as dépassé ce délai? Tant pis pour toi!

Je vends des vêtements et j’ai-merais proposer des soldes à une période où les autres ne le font

pas. J’en ai le droit?Non, les périodes de soldes dans notre pays sont soumises à des lois auxquelles il faut se tenir, au risque de se voir infliger une amende. Durant les semaines précé-dant les soldes traditionnelles de juillet et de janvier, il existe une période d’attente durant laquelle il est interdit d’annoncer des diminutions de prix. Une exception peut être accordée lors des braderies, des fêtes de quartiers, des fêtes foraines et autres festivités locales.

Je suis kinésithé-rapeute indépen-dant. Pratique-ment un tiers de mes patients ne vient pas ou alors

très en retard à leur rendez-vous. Je peux quand même leur compter la consultation?C’est possible, et en théorie tu pourrais même exiger une indemnisation juridique de la part des patients qui ne se pointent pas à leur rendez-vous, mais cela vaut-il vraiment le coup? Cela impliquerait en ef-fet de la paperasserie et des coûts supplé-mentaires ainsi qu’une désaffection d’une partie de ta clientèle. Installer une affiche demandant cordialement de venir à temps (ou de téléphoner en cas d’empêchement) nous semble une bien meilleure option.

Comment savoir si je suis fait pour devenir indépen-dant?Une première exi-gence pour démarrer sa propre entreprise

est d’être bon dans sa branche. Une bonne connaissance du statut d’entrepreneur n’est pas non plus superflue. On parle ici de la gestion d’entreprise, la comptabilité et les aspects administratifs. Il y a aussi un nombre de compétences personnelles que tu dois avoir en tant qu’entrepreneur. L’indépendant idéal n’existe pas, mais ce n’est pas une mauvaise idée de voir au préalable quels sont tes points forts et tes points faibles.

Est-il possible de s’assurer contre une éventuelle faillite? C’est possible. Si leur commerce

prend l’eau, les assurés (donc ceux qui ont contracté au préalable une assurance-fail-lite pour indépendants) reçoivent une al-location à partir du mois suivant la faillite, et cela pendant une année si nécessaire. En plus, durant cette période, les droits aux soins médicaux et aux allocations familiales sont garantis.

J’ai créé mon propre magasin de bonbons. Le plus souvent, mes clients ont des notes de moins de

5 euros. Ai-je le droit de refuser les billets de 50 euros ou plus?Tant que l’on te propose un billet valable, tu dois en principe l’accepter. Un billet de 50 euros n’est pas un si gros billet, en fait. Si demain quelqu’un envisage de payer un paquet de cuberdons avec un billet de deux-cents ou de cinq-cents euros, tu peux le refuser, et ceci pour deux raisons. Premièrement, la valeur du billet n’est pas proportionnelle à la valeur de l’achat, et deuxièmement, ce serait plutôt suspicieux qu’un client veuille payer un si petit achat avec un si gros billet, ce qui pourrait laisser supposer qu’il s’agit en fait d’un faux billet.

TOUTES LES INFOS P OUR STARTERS SUR W W W.C TRL-ALT-START.BE

Young StartersSTORYME & PULLS RHÉTOS

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GUIDO: Si tu devais pitcher le concept de StoryMe en une minute chrono, comment le ferais-tu? LORENZO: StoryMe est une société spécialisée en animations vidéo d’une minute, pour expliquer très facilement des concepts très compliqués pour des socié-tés. Les entreprises utilisent nos vidéos pour diverses raisons: le lancement d’un nouveau produit par exemple, comme le système de bracelets utilisé il y a deux ans pour payer ses achats à TomorrowLand (voir encadré).

Pour ne plus perdre de temps

GUIDO: Vos vidéos sont-elles exclusive-ment des animations? LORENZO: On ne filme jamais, on reste donc dans le domaine de l’animation. La meilleure façon selon nous d’expliquer fa-cilement des choses compliquées. En ani-mation, il y a en effet moyen d’expliquer un maximum de choses en un minimum de temps.

GUIDO: Comment se déroule concrète-ment la création d’une vidéo de A à Z? LORENZO: Concrètement, le client nous appelle pour nous faire part de sa

demande. Après un briefing, on essaie de comprendre le concept et on écrit un script et un story-board. Ensuite viennent la voix-off (disponible dans plus de trente langues différentes), l’animation et le marketing lié à la vidéo.

GUIDO: Est-ce toujours possible de concentrer l’information voulue par les clients dans une vidéo d’une minute? LORENZO: Beaucoup de clients nous disent qu’ils ont besoin de deux ou trois minutes pour expliquer leur concept. On leur répond toujours de la même façon: dans la communication en ligne, au-dessus de la minute, la plupart des gens zappent. On oscille souvent entre des vidéos de 60 et 90 secondes. Ces vidéos peuvent aussi être vues comme des teasers qui encou-rageront les gens à se renseigner plus en détails par après.

GUIDO: StoryMe est donc symptomatique de cette époque où tout va toujours plus vite… LORENZO: Actuellement, les gens ont de moins en moins de temps, ils veulent donc le consacrer de la manière la plus intelli-gente qui soit. Ils veulent perdre moins de temps et avoir directement l’information

StoryMeVotre concept en une minute chrono

Dans leur grand loft de Gand, plusieurs esprits créatifs se sont rassemblés pour créer StoryMe, une société qui aide ses clients à expliquer leur concept en une minute chrono, à l’aide de vidéos rapides et simples. Nous avons rencontré Lo-renzo Bown, le CEO de l’entreprise qui a déjà charmé des illustres entreprises telles que Coca-Cola, TomorrowLand, Delhaize ou Unilever.

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voulue. StoryMe s’inscrit donc totalement dans cette époque du click et des réseaux sociaux.

PlayStation, sieste et piscine

GUIDO: Votre mascotte est Freddy le pingouin! D’où vient-il? LORENZO: Dès le départ, on a fait en sorte que tout soit simple et léger. Dans notre communication, aussi. Un pingouin, c’est simple et léger, ça sourit tout le temps. On avait vraiment envie d’avoir cette image de simplicité.

GUIDO: La moyenne d’âge de StoryMe est de 24 ans, est-ce là votre principale force? LORENZO: Je ne pense pas que ce soit réellement ça, notre force. Notre force, c’est de choisir les bonnes personnes au bon endroit, sans accorder trop d’impor-tance à leurs diplômes, leur expérience, … Ce n’est qu’un hasard si les gens efficaces dans ce domaine sont principalement des jeunes. Par contre, on a remarqué récemment qu’aucun d’entre nous n’avait eu d’expérience dans une grande boîte avant d’être embauché ici, ce qui est un atout selon moi.

GUIDO: Vous travaillez au sein d’un loft, vos pauses sont rythmées par des parties de PlayStation, vous cuisinez tous ensemble à midi… C’est un peu le Club Med ici en fait! LORENZO: (rires) C’est vrai, c’est comme ça que ça se passe! Dans notre loft, tout est horizontal, aéré, on essaie de donner envie aux gens de venir travailler. Trois à quatre fois par semaine, on cuisine ensemble des repas sains, équilibrés. On accorde aussi beaucoup d’importance au temps de repos le midi, pendant lequel nos employés peuvent faire la sieste, par exemple.

GUIDO: Il y a même une piscine sur le toit de votre immeuble! LORENZO: En effet! Mais cela ne nous détourne pas de notre boulot tellement on est tous focalisés sur nos différentes tâches. Quand on ne se sent pas bien dans son boulot, on y reste le minimum de temps possible. Par contre, si on aime son environnement de travail, on est plus propice à faire davantage d’efforts. Si on se sent mieux mentalement, on fait obliga-toirement du meilleur boulot.

GUIDO: Après un sales office à Londres, le rêve ultime serait-il de conquérir la Silicon Valley? LORENZO: La Silicon Valley, ça fait surtout rêver pour les filles! (rires) Parce qu’en Californie, elles sont tout le temps en bikini vu qu’il fait beau la plupart du temps. Ceci mis à part, ce n’est pas notre préoccupa-tion première. Je pars du principe qu’il faut créer quelque chose de très fort ici (ainsi qu’à Londres où nous sommes également présents) et pas rêver à tout prix de la Silicon Valley.

GUIDO: Après un an et demi d’existence, StoryMe a déjà une liste impressionnante de clients réputés. Tu es donc un CEO satisfait? LORENZO: Oui, même si je trouve que ça pourrait encore aller plus vite! Quoique, c’est très bien comme ça finalement. Mieux vaut grandir petit à petit sereine-ment plutôt que rencontrer des problèmes de croissance.

DE TOMORROWLAND AUX ABATTOIRS!

«UNE DE NOS PLUS GRANDES FIERTÉS RESTE LA VIDÉO QUE NOUS AVONS CONÇUE POUR TOMOR-ROWLAND; ELLE A EN EFFET ÉTÉ VUE PAR PLUS D’UN MILLION DE PERSONNES. TOMORROWLAND EST UNE LOVE BRAND QUI MATCHE TOTALEMENT AVEC NOS PROPRES VALEURS. LEUR PROBLÈME ÉTAIT DE FAIRE CONNAÎTRE DE MANIÈRE TRÈS SIMPLE LEUR NOUVEAU SYSTÈME DE BRACELETS, C’EST POUR CETTE RAISON QU’ILS ONT FAIT APPEL À NOUS. DANS UN REGISTRE MOINS SEXY, ON A ÉGALEMENT TRAVAILLÉ POUR LES ABATTOIRS DE MOUSCRON OÙ CHAQUE EMPLOYÉ DOIT BIEN CONNAÎTRE LES CONSIGNES D’HYGIÈNE ET DE SÉCURITÉ. ON A DONC REMPLACÉ LEUR PDF DE SEPT PAGES PAR UNE COURTE VIDÉO.»

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GUIDO: Devenir entrepreneur a-t-il tou-jours fait partie de tes rêves?TOLGA: Une partie de moi a toujours su que j’entreprendrais un jour. Cependant, je ne pensais pas que je démarrerais aussi tôt. Il est vrai que j’ai toujours eu cet attrait vers l’entrepreneuriat, notamment en participant aux ‘mini entreprises’. Ce fut vraiment une expérience révélatrice pour moi!

GUIDO: Pourquoi la personnalisation de sweat-shirts?TOLGA: Lors de mon Erasmus en Turquie, j’ai rencontré une jeune et talentueuse créatrice turque, Kübra Kaçmaz. Ensemble, nous avons lancé La Loba, une marque de prêt-à-porter (www.lalobaofficial.com). Ce projet m’a permis d’en apprendre énormé-ment sur l’univers du textile et de me créer un réseau solide auprès des producteurs locaux. Lorsque je suis rentré et que j’ai fait part de mes aventures à mon ami de toujours et désormais associé Milan Debrulle, celui-ci a immédiatement pensé aux pulls rhétos: nous y compris, nous ne connaissions personne qui avait eu une expérience positive avec son pull rhéto. Nous y avons vu une opportunité à saisir!

GUIDO: Explique en quelques mots ton concept…TOLGA: Faire un pull rhéto est une tradi-tion des étudiants secondaires consistant à personnaliser un vêtement à leur image, en symbole et mémoire de ces années.

Malheureusement, nous avons constaté qu’il n’existait pas de solution adaptée à cette demande. C’est sur ce constat que nous avons créé Pull-Rhéto.be: la solution la plus simple et spécialisée pour les étudiants voulant faire un vêtement personnalisé (nous ne nous limitons pas aux hoodies). Notre designer en ligne permet de facilement personnaliser son hoodie et de faire sa commande, après quoi on se charge du reste: c’est vraiment super simple!

GUIDO: Le statut d’étudiant-entrepreneur est-il facile à porter?TOLGA: Dans mon expérience, le statut d’étudiant-entrepreneur est très bien re-connu. Les gens sont souvent impression-nés lorsqu’on leur fait part de notre entre-prise et de ce qu’on fait. Cependant, il est vrai que certaines personnes ont tendance à ne pas nous prendre au sérieux.

GUIDO: Ce projet n’empiète-t-il pas trop sur tes études?TOLGA: Il est clair qu’il n’est pas toujours aisé d’équilibrer les deux. Personnelle-ment, en cas de choix, je donne toujours la priorité à mes études. Par ailleurs, les pics d’activités de l’entreprise (grandes vacances, rentrée de septembre et après les vacances de janvier) ne sont pas exactement les mêmes que ceux de nos études. Cela simplifie aussi beaucoup le problème, même si ça veut dire que nous sommes sous pression pendant des

Pull-Rhéto.beCet étudiant veut révolutionner

Alors que l’étudiant moyen n’a pas vraiment le temps de se consacrer à autre chose qu’à ses études (ou à ses sorties, accessoirement!), Tolga Bayrak (22 ans), étudiant ingénieur de gestion à l’ULg (HEC), n’a, lui, pas chômé et espère bien concrétiser son projet de pulls personnalisables pour les rhétos dans les mois à venir. Rencontre avec un étudiant-entrepreneur qui a de l’avenir.

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périodes prolongées. Typiquement, j’orga-nise toutes mes activités professionnelles autour de mes cours. Après, on jongle un peu pour pouvoir faire tous les rendez-vous que nous voulons et toujours garder du temps pour travailler sur le projet ou faire de la vente. Ce n’est pas toujours facile et ça requiert beaucoup d’autodiscipline.

GUIDO: Quelles ont été les différentes étapes néces-saires au lancement de ton projet?TOLGA: La première étape fut d’évaluer le potentiel réel de notre idée: les étudiants cherchent-ils vraiment une meilleure solution que celles qui existent pour faire leurs pulls rhétos? Avons-nous la capacité de répondre à cette demande? Après cela, il faut réellement développer l’idée et la mettre en place de manière concrète: faire des arran-gements avec les fournisseurs, mettre en place un site web, réfléchir à une stratégie de promotion, etc.

GUIDO: Quand pourras-tu voler de tes propres ailes grâce à ton entreprise?TOLGA: Pour le moment, nous en sommes à un stade de développement et de mise en place. Même si je pense que notre projet arrive tout doucement à maturité, nous sommes toujours en train de travailler sur notre business plan en le raffinant ou en ‘pivotant’. Si je regarde sur l’année qui vient de s’écouler, je pense que nous avons changé de stratégie ou modifié notre approche significativement au moins cinq ou six fois! Et je ne vois pas ça comme une mauvaise chose: au contraire, c’est le signe que nous apprenons de nos erreurs et nous adaptons à notre environnement.

GUIDO: C’est ton souhait de devenir ton propre patron dans le futur?TOLGA: C’est certain que cette idée est très alléchante! Mais pour le moment, nous nous concentrons sur le développe-ment du projet. Je sais que notre idée a du potentiel, mais il faut voir si nous arri-verons à grandir suffisamment pour faire

vivre au moins deux personnes. Dans ma vision des choses, nous ferons le point dans un an lorsque nous serons diplômés afin d’évaluer les possibilités.

GUIDO: Quelles sont tes principales satisfac-tions à l’heure actuelle?TOLGA: Cela peut paraitre bête et très stéréotypé, mais une de

mes grandes sources de motivation est la satisfaction de nos clients. Depuis le début, notre projet s’est construit autour d’un problème que nous avions nous-mêmes vécu et que nous voulions résoudre. Voir que les solutions que nous proposons satisfont nos clients est très exultant, car c’est beaucoup de travail et on s’investit beaucoup personnellement.

GUIDO: Quelle est ton ambition pour la suite?TOLGA: Tout d’abord, finir mes études! La dernière année à HEC n’est pas facile avec le stage et le mémoire en fin d’année. En parallèle, nous allons continuer à développer Pull-Rhéto.be et nous verrons bien où nous en sommes dans un an. Il est clair que maintenant que j’ai vécu la vie d’entrepreneur, je ne sais pas si j’ai envie de faire autre chose!

«Certaines personnes ont tendance à ne pas nous prendre au sérieux»

VENTURE LAB: UN INCUBATEUR POUR LES ÉTUDIANTS-ENTREPRENEURS

COMME BEAUCOUP D’AUTRES ÉTUDIANTS, TOLGA A FAIT APPEL À VENTURE LAB, QUI S’EST DONNÉ COMME MISSION D’AIDER ET D’ACCOMPAGNER LES ÉTUDIANTS-ENTREPRENEURS DES PROVINCES DE LIÈGE ET DE LUXEMBOURG, NOTAMMENT VIA UN INCUBATEUR DE PROJETS D’ÉTUDIANTS-ENTREPRENEURS ET UN ESPACE DE COWORKING. «LE VENTURE LAB APPORTE UN SOUTIEN IMPORTANT À NOTRE PROJET À TRAVERS LEUR COACHING (EFFECTUÉ PAR DES EN-TREPRENEURS AGUERRIS), LES CHÈQUES ENTREPRENEURS ET LES CONFÉRENCES ORGANISÉES, ENTRE AUTRES. CELA NOUS PERMET AUSSI DE RENCONTRER D’AUTRES ÉTUDIANTS ENTREPRE-NEURS ET DE PARTAGER NOTRE EXPÉRIENCE, CE QUI EST MUTUELLEMENT BÉNÉFIQUE.» CE QUI CRÉE, SELON LUI, UN ENVIRONNEMENT ET UNE AMBIANCE PROPICES À LA CRÉATIVITÉ ET AU DÉVELOPPEMENT DES PROJETS.

Plus d’infos sur www.venturelab.be

Inscris-toi au Forem ou à ActirisTu peux te tourner vers le Forem ou Actiris si tu es à la recherche du job de tes rêves. Ils s’assurent que tu peux prétendre aux alloca-tions d’insertion profession-nelle si tu es longtemps au chômage. Viens en savoir plus sur www.leforem.be ou www.actiris.be.

Affilie-toi à une mutualitéAffilie-toi à une mutua-lité aussitôt que tu trouves un emploi, es au chô-mage ou te lances en tant qu’indépendant. Tu ne seras alors plus à la charge de tes parents. Par contre, tu restes encore à leur charge si tu ef-fectues un stage d’insertion professionnelle.Une fois ceci réglé, tu es cou-vert par l’assurance maladie belge, qui est légalement obligatoire. Une grippe, le contrôle annuel chez le dentiste, un accident… l’assurance maladie veille à ce que ces frais médicaux restent abordables. Si tu en-tres en incapacité de travail à cause d’une maladie ou d’un accident, l’assurance mala-die te permet de bénéficier d’une indemnité.

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EXPÉRIENCE REQUISE: aucune: Oui Non minimum 1 an: Oui Non minimum 1 an: Oui Non minimum 1 an: Oui Non minimum 1 an: Oui Non

PROFILS RECHERCHÉS EN PERMANENCE:Bachelor en Comptabilité ou Fiscalité ou Technologies d’Information. Master en Tech-nologies d’Information - Economie (Appliquée) - Ingénieur Commercial, Industriel ou Civil - Sciences Commerciales - Gestion - Fiscalité - Droit - Notariat - autre orien-tation fi nancière ou économique avec intérêt en Accountancy & Controlling, Audit, Consulting, Corporate Finance, Legal, Risk Advisory, Tax ou Technology.

NIVEAU D’ÉTUDES REQUIS:Bachelor, Postgraduat, Master

ADRESSE POSTALE: Berkenlaan 8B, 1831 Diegem

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CONNAISSANCES LINGUISTIQUES:Néerlandais, anglais et français

COMMENT POSTULER?Via le formulaire de demande sur www.jetaircareer.be


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NIVEAU D’ÉTUDES REQUIS:En fonction de l’emploiMin. A2

ADRESSE POSTALE: Aéroport National de Bruxelles 40 PBox 1

E-MAIL: JAF_RS@jetairfl y.be

SITE INTERNET: www.jetaircareer.be


SECTEUR:Tourisme


NOMBRE DE PERSONNEL EN BELGIQUE:900-1000


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LANGUES UTILISÉES:Néerlandais, anglais et français











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COMMENT POSTULER?Uniquement en ligne via www.careers.pwc.be


PROFILS RECHERCHÉS EN PERMANENCE:Audit, Tax Services, Legal Services, HR Consulting, Accounting, IT Consulting, Finance Consulting, Forensics Consulting, Supply Chain Consulting, Systems & Process Con-sulting, Mergers & Acquisitions Consulting, Treasury Consulting, Actuary

NIVEAU D’ÉTUDES REQUIS:Baccalauréat, Master, Diplôme complémentaire

ADRESSE POSTALE: Woluwedal 18 - 1932 Sint-Stevens-Woluwe


SITE INTERNET: www.careers.pwc.be

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SECTEUR:Tax, Audit & Consulting


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CONNAISSANCES LINGUISTIQUES:Vu l’environnement de travail, la connaissance du néerlandais est un atout.

COMMENT POSTULER?Selor est la porte d’entrée pour un emploi dans l’administration fédérale. Pour de nom-breux jobs dans l’administration, aucune expérience n’est demandée. Vous pouvez d’ail-leurs déjà postuler pendant votre dernière année d’études. Vous devez postuler en ligne pour les offres d’emploi disponibles sur Selor.be, grâce à votre page personnelle ‘Mon Selor’. Conseil: inscrivez-vous à la mailinglist hebdomadaire de Selor, vous serez ainsi au courant de toutes nos offres d’emploi.


PROFILS RECHERCHÉS EN PERMANENCE:Selor pour plus de 150 employeurs.Nos clients recherchent régulièrement des: juristes, profi ls IT, ingénieurs (civils et industriels), profi ls médicaux (médecins, infi rmiers,…), calltakers, comptables, …

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