Flash Compta N°21
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Dans ce numéro
FLASH COMPTA
C O N S E I L S U P E R I E U R D E L A C O M P T A B I L I T E
N°21 Février 2013
L’équipe de Flash Compta est heureuse de rencontrer ses fidèles
lecteurs et leur souhaite une année de réussite dans ce qu’ils
comptent entreprendre tout au long de cette année 2013.
L’augmentation du nombre de lecteurs de ce bulletin d’information
nous encourage à poursuivre nos efforts dans son amélioration, tant
dans la diversité des articles que dans leur intérêt pratique. Nous
comptons en effet parmi nos lecteurs, des professionnels de la
comptabilité, des opérateurs économiques, des fonctionnaires, des
étudiants, de simples citoyens...
Les demandes, facilitées par la possibilité de la version on line,
émanent également de l’étranger. Nous estimons que notre
démarche nous permettra de nous acheminer lentement mais
sûrement vers l’un de nos principaux objectifs : la culture de la
comptabilité.
Nous restons bien entendu à l’écoute de vos critiques et suggestions
pour enrichir cet instrument de communication au service des
lecteurs, et nous nous permettons de faire appel à vos compétences
particulières pour participer à cet enrichissement en nous faisant
parvenir des articles de votre choix, que nous nous ferons un plaisir
de publier, ou en émettant vos avis sur les sujets que vous souhaitez
trouver dans Flash Compta.
Il est à noter que nous resterons dans un domaine purement
technique et intéressant les lecteurs.
D’ores et déjà, l’on peut affirmer que le projet CGA, qui nous a tenu
à cœur toute l’année 2012, étant maintenant sur les rails, les actions
se poursuivront et s’intensifieront dans ce domaine.
En outre, et pour rester en phase avec la pratique internationale, le
CSC en 2013 se penchera avec l’ensemble de ses partenaires sur les
actualisations concernant le référentiel comptable.
Le Secrétaire Général du CSC
RAMELINA Victorine
Dans ce numéro :
Editorial 1
Le 67ème
Congrès de l’Ordre des
Experts Comptables
2-3
Le Dr RAZAFINDRAVONONA Jean,
habilité à diriger les recherches
3
Le nouveau représentant de l’APB
entité membre du CSC
3
Le premier Atelier sur les CGA à
Madagascar
4-6
Participation à des manifestations :
- Journée PME organisée par la
BNI CA
- Célébration du 50ème
anniversaire de l’OECFM
7
Links Between the GDDS, the
DQAF/ROSC, the PRSP, le PRGF and
the HSDS
8
EDITORIALEDITORIALEDITORIALEDITORIAL
Information financière fiable et crédible,
gage de confiance et outil de décision
et de gestion pour l’ensemble des
utilisateurs
Nos vœux de bonheur, de santé et de prospérité
pour cette année 2013
ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF ET 67ème
CONGRES DU CSOEC
Le Président du CSC et le nouveau Président de la FIDEF
Le CSC, représenté par son Président, a participé à la
réunion d’Assemblée Générale de la Fédération
Internationale Des Experts comptables et commissaires
aux comptes Francophones (FIDEF) tenue le 2 octobre
2012 au siège du Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts
Comptables (CSOEC) au 19 rue Cognacq-Jay 75341 Paris.
La FIDEF est une structure d’échange et de coopération
au sein de la communauté linguistique française, qui a
comme objectifs de :
- Garantir la reconnaissance et l’autorité de la
profession comptable francophone ;
- Promouvoir la normalisation comptable et
professionnelle dans les pays francophones ;
- Traduire les normes d’audit et de comptabilité, ainsi
que tous les textes et dispositifs utiles à l’exercice de
la profession ;
- Assurer aux professionnels francophones de la
comptabilité et de l’audit un niveau de compétence
technique homogène, reconnu sur le plan
international, en adéquation avec les besoins des
économies des pays ;
- concourir à la réflexion sur l’harmonisation
internationale dans le domaine de l’audit et de la
comptabilité ;
- Représenter la profession comptable francophone
auprès des institutions internationales.
A ce titre, la FIDEF est une organisation comptable
reconnue par l’IFAC (International Federation of
Accoutants).
En 2012, la FIDEF réunit environ 100.000 professionnels
comptables ressortissants de 35 pays, dont Madagascar.
Ces 35 pays sont représentés au sein de la FIDEF par 46
organisations comptables membres réparties en deux
catégories :
• Membres actifs
Les Ordres, Associations ou Instituts représentant la
profession d’expert-comptable ou de commissaire aux
comptes dans leur pays. A ce titre, l’Ordre des Experts
Comptables et Financiers de Madagascar (OECFM) est
membre actif de la FIDEF représentant Madagascar.
• Membres associés
Les organisations publiques ou privées partageant les
objectifs de la FIDEF comme les institutions de
normalisation comptable ou les institutions
d’enseignement de comptabilité et d’audit. Le CSC fait
partie de cette catégorie de membre.
Récemment, l’OECCA de l’Union des Comores a été
accueilli comme membre associé de la FIDEF.
L’évènement marquant de cette Assemblée Générale a
été l’élection de M. Siaka TRAORE, Président de l’Ordre
National des Experts-Comptables et Comptables Agréés
du Burkina Faso, au poste de nouveau Président de la
FIDEF. Il succède ainsi à M. Michel DE WOLF, Président
de l'Institut des Réviseurs d'Entreprises de Belgique.
RAMANAMPANOHARANA Andry
F L A S H C O M P T A N°21
FEVRIER 2013 Page 02/08
ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF
COMMISSION FISCALE
Comme chaque année depuis sa réactivation, le CSC a
honoré l’invitation du Président du Conseil Supérieur de
l’Ordre des Experts Comptables (CSOEC) français à
participer au Congrès annuel de cette institution.
Le Président du CSC et le Directeur de la Régulation du
Secteur Privé ont donc participé au 67ème Congrès du
CSOEC dont le thème principal a été « L’Expert
comptable Entrepreneur : une marque, une offre ». Près
de 6000 experts comptables se sont rassemblés au Palais
des Congrès de Paris autour de ce thème principal
durant les 3, 4 et 5 octobre 2012.
Plusieurs invités de marque se sont succédés pour
développer divers sujets en rapport avec le thème
principal, lors des séances plénières tenues durant le
congrès :
� La séance plénière d’ouverture
intitulée « L'expert-comptable entrepreneur », a
vu l’intervention de MM. Alexandre BOMPARD,
Président Directeur Général de la FNAC et Pierre
MOSCOVICI, Ministre de l'Economie et des
Finances du Gouvernement français ;
� La deuxième séance plénière intitulée « L'expert-
comptable partenaire de la croissance » a été
animée par les dirigeants même du CSOEC ;
� La séance plénière de clôture, intitulée de la
même manière que le congrès « L'expert-
comptable entrepreneur : une marque, une
offre » a vu la participation de M. Erik ORSENNA,
Membre de l'Académie Française.
Le prochain Congrès du CSOEC se tiendra à Dijon les 2, 3
et 4 octobre 2013.
RAMANAMPANOHARANA Andry
Le Dr RAZAFINDRAVONONA Jean a soutenu son dossier
pour l’obtention du diplôme de « Habilitation à Diriger
les Recherches » (HDR) devant un Jury
multidisciplinaire, multilingue et de nationalités
différentes le 16 janvier 2013 à l’Université
d’Antananarivo.
L’impétrant a présenté les résultats de ses recherches
effectuées plusieurs années portant sur le thème
« Statistic System and Poverty dynamic in Madagascar »
devant un Jury composé de 6 membres.
Voici la composition des membres du Jury :
Président (e)s : Emilienne RAPARSON,
Professeur Emérite
Mamy RAVELOMANANA
Professeur Agrégé des Universités en Sciences
Economiques
Rapporteur externe : David STIFEL,
Associate professor (Professeur Agrégé)
Rapporteur Interne : Eric Thosun MANDRARA,
Professeur
Examinateur : François RAJAOSON,
Professeur Titulaire La HDR permet notamment d’être candidat à l’accès de
corps des Professeurs d’Université.
La HDR est le plus haut diplôme reconnu décerné par
l’université. Aucune mention ou titre n’est attribué au
candidat ayant obtenu son HDR.
Toutefois, l’impétrant a reçu verbalement les
félicitations du Jury.
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M. Patrick RAPONTCHOMBO, Directeur Administratif et
Financier de la Banque Gabonaise et Française
Internationale (BGFI), succède à M. Benjamin
ANDRIAMBOAVONJY.
L’activité bancaire de la BGFI Bank est destinée aux
clients particuliers, aux grandes entreprises, aux
institutions et aux PME à fort potentiel.
LE NOUVEAU REPRESENTANT DE L’APB
ENTITE MEMBRE DU CSC
ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF ET
67ème CONGRES DU CSOEC (suite)
67EME
CONGRES DU CSOEC
LE Dr RAZAFINDRAVONONA JEAN,
HABILITE A DIRIGER LES RECHERCHES
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25 NOUVEAUX EXPERTS COMPTABLES
ET FINANCIERS ASSERMENTES
Le premier Atelier sur les CGA à Madagascar s’est tenu
les 15 et 16 novembre 2012 à l’Espace Dera
Antananarivo. En organisant cet atelier, le CSC a visé
quatre objectifs spécifiques : dresser l’état des lieux des
CGA, partager les expériences des uns et des autres,
inventorier les problèmes, apporter ensemble avec les
participants des propositions de solutions, harmoniser
les actions des différents partenaires.
De gauche à droite :
M. RASOARAHONA Solofo, Directeur de Cabinet du MFB, Dr
RAZAFINDRAVONONA Jean, Président du CSC,
M. RAJAONARIMAMPIANINA Hery, Ministre des Finances et du
Budget,
Mme ANDRIAMBOLOLONA Vonintsalama, Secrétaire Général du
Ministère des Finances et du Budget
Mme RAMELINA Victorine, Secrétaire Général du CSC
CGA : FORMULE DE DEVELOPPEMENT
INTEGRANT LES MPME
Son Excellence Monsieur le Ministre des Finances et du
Budget, avec son staff, est venue présider la cérémonie
d’ouverture de l’atelier. Il a particulièrement insisté sur
l’importance du rôle du CSC garant des normes
comptables à Madagascar.
C’est à lui que l’Etat a conféré, en tant qu’organe de
normalisation, la conception, le suivi et la mise à jour de
ces normes comptables. Le bon fonctionnement des
marchés financiers est garanti par la transparence et la
fiabilité des informations financières et comptables.
Un des initiateurs du projet CGA, M. le Ministre s’est
déclaré « réconforté de constater que le relais fut bien
passé » au sein du CSC. Les réalisations, à savoir quatre
CGA opérationnels et quatre autres en cours
d’installation, sont encourageantes.
Les micros et petites entreprises, réalisant un chiffre
d’affaires inférieur à 200.000.000 Ar, membres
bénéficiaires des CGA, constituent une composante
importante de l’économie et sont un vivier d’innovation
et d’emplois. D’autres attentes devraient également se
réaliser dans le cadre du projet : le développement de la
culture de la tenue de comptabilité, la contribution au
développement des micros et petites entreprises et
notamment la facilitation de leurs accès au crédit et
enfin et non la moins importante, l’insertion du Secteur
Informel.
Mentionnons que le Service de la Promotion des
PME/PMI et des Coopératives de la Vice Primature
chargée de l’Economie et de l’Industrie a pris une part
active aux travaux.
PARTICIPANTS MOTIVES DE DIFFERENTES REGIONS
Présidents des CGA et responsables des organismes partenaires
Ce premier Atelier a vu la participation :
- des huit (08) CGA représentés par les présidents, les
directeurs exécutifs et des adhérents
- des représentants des Chambres de Commerce et
d’Industrie
- les différents partenaires techniques et financiers
- des membres de l’Ordre des Experts Comptables et
Financiers de Madagascar (OECFM)
- des représentants des établissements financiers et de
micros finances
- des représentants de la Direction Générale des Impôts
- le Président du CSC et des Membres de l’Assemblée
- l’ensemble du Staff du CSC.
LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES
A MADAGASCAR
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FEVRIER 2013 Page 05/08
Les participants répartis en deux groupes ont traité
respectivement des sujets ci-après :
1. Production d’informations financières fiables, cadre
règlementaire et relations institutionnelles,
2. Mise en place des CGA, appuis et pérennisation.
Les séances de travail se sont déroulées dans une
atmosphère de coopération et de compréhension
mutuelle ayant pu permettre de recueillir les
préoccupations de tout un chacun, celles des membres
de CGA, celles des Bailleurs de fonds en tant que
partenaires techniques et financiers, celles des Experts
comptables, celles de l’Administration Fiscale et
également celles du CSC.
Les documents de travail issus des travaux de groupes
constitueront des pistes de réflexion pour la
consolidation ou l’amélioration de l’ensemble des
mesures prises jusqu’ici. Elles feront l’objet d’études
approfondies qui permettront de tracer les lignes
directrices de la politique de développement futur des
CGA.
Propositions et Recommandations
Volet 1 : Cibles des CGA
1- Notion de micro petites et moyennes entreprises
(MPME), cibles des CGA : critères basés sur des
principes objectifs pour assurer une stabilité (textes
juridiques sur les sociétés commerciales, effectif,
capital social, responsabilité publique).
2- Tenue obligatoire de la comptabilité des membres
par le CGA dont c’est la mission première.
3- Instauration de mesures transitoires pour les
adhérents approchant le seuil des 200 millions MGA
pour les préparer à la nécessité de faire appel aux
services d’un professionnel de la comptabilité une
fois le seuil dépassé.
4- Sensibilisation des membres qu’ils seront amenés à
quitter le CGA lorsque le seuil de 200 millions MGA
de chiffre d’affaires sera dépassé.
Volet 2 : Production d’informations financières fiables
1- Définir la mission exacte de l’expert-comptable dans
le CGA (mission de compilation ; examen limité, full
audit…) ;
2- Doter les experts-comptables de moyens nécessaires
pour l’exécution de leurs tâches, l’Administration
Fiscale de tenir compte des travaux des experts-
comptables dans les CGA en admettant la qualité et
la force probante de ces informations comptables
estampillées (expert-comptable : professionnel
assermenté)
Volet 3 : Structure, Organisation et Fonctionnement des
CGA
1- L’expert comptable assurant la tenue de
comptabilité des membres ne devrait pas être
membre du conseil d’administration du CGA
2- Pour assurer son fonctionnement, son
autofinancement et sa pérennisation, chaque
CGA devra établir un business plan et un tableau
de bord et les appliquer, avoir des ressources
permanentes, calculer les montants des
cotisations suivant les montants des chiffres
d’affaires, élargir ses services.
3- Appuyer les CGA en difficulté par le biais de
financement type Fonds National d’Insertion du
Secteur Informel.
4- Faciliter l’installation d’un expert comptable
dans les régions d’implantation des CGA.
5- Voir la possibilité pour les CGA d’obtenir des
compensations en tant qu’apporteurs d’affaires
aux experts-comptables.
6- Trouver des solutions d’urgence pour le CGA ne
disposant pas d’expert-comptable.
Volet 4 : Relations avec l’Administration Fiscale
1- S’informer sur
� les dispositions du PCG sur les
consolidations (scission des activités
économiques d’un même opérateur
pour adhérer ou rester dans un CGA)
� la compétence régionale des CGA par
rapport aux centres fiscaux implantés
dans d’autres régions
� la possibilité pour les PME n’ayant pas
de CGA dans leur région d’adhérer aux
CGA déjà existants
2- Dans les centres fiscaux, prévoir des agents
dédiés aux CGA.
3- Tenir compte des états financiers des adhérents
pour l’établissement des impôts à payer
(abandonner l’imposition forfaitaire dans le cas
où le contribuable dispose d’états financiers).
4- Demander à l’Administration Fiscale de
sensibiliser l’ensemble de ses agents sur
l’existence et les services offerts par les CGA.
5- Assouplir les exigences de régularité des pièces
comptables (documents tenant lieu de
factures...).
6- Mettre le CGI à disposition dans les CGA.
LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES
A MADAGASCAR (SUITE)
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ASSERMENTES LES PARTENAIRES ACCORDENT LEUR
CONFIANCE AU CSC ET AUX CGA
LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES
A MADAGASCAR (SUITE ET FIN)
7- Afficher les informations sur les CGA dans les
centres fiscaux.
8- Pour Analamanga, instaurer un guichet unique
CGA qui répartira les dossiers des adhérents vers
leur centre fiscal de rattachement.
9- Publier une revue périodique et spécifique dédié
aux CGA .
10- En cas de redressement, demander à
l’Administration Fiscale de s’adresser d’abord au
CGA, à charge pour ce dernier de demander les
pièces et informations nécessaires au membre
concerné.
11- Harmoniser les délais de déclaration.
12- Demander à l’Administration Fiscale de tenir
compte des travaux des experts-comptables dans
les CGA en admettant la qualité et la force
probante des informations comptables
estampillées par ceux-ci (expert-comptable :
professionnel assermenté).
Volet 5 : Mise en place des CGA
1- Héberger les CGA dans les Chambres de
Commerce de Madagascar.
2- Inciter les coopératives et leurs membres à
adhérer aux CGA.
3- Orienter les membres des centres de service
agricole à intégrer les CGA.
4- Informer et sensibiliser les groupements et leurs
membres : FIVPAMA, CONECS… sur le CGA.
5- Insérer des liens sur le CSC/CGA via les sites web
des partenaires.
6- Renforcer et intensifier les actions de
sensibilisation : mise à disposition de supports
nécessaires à tous les CGA.
7- Organiser des descentes au niveau des centres
fiscaux pour informer les autres opérateurs non
membres de CGA à y adhérer.
8- Diffuser et communiquer des informations sur les
CGA à partir des différents supports médiatiques.
9- Organiser des réunions d’échanges et de
communication entre les départements
ministériels œuvrant pour le développement et la
promotion des MPME.
10- Engager l’Ordre des Experts Comptables et
Financiers de Madagascar – OECFM - à couvrir les
22 régions.
Volet 6 : Facilitation de l’accès au crédit
1- Fonds de Garantie et SOLIDIS : octroi de la
garantie basé sur la viabilité du projet et des flux
des opérations, projet bancable et non
nécessairement sur des garanties matérielles.
2- Multiplier les relations de partenariat avec les
Etablissements Financiers et les Institutions de
Micro Finances affiliées Coordination Nationale
des Micro Finances.
Volet 7 : Pérennisation des CGA
1- Organiser chaque année des échanges
d’expériences entre les CGA.
2- Multiplier les offres de service.
3- Déterminer les montants de cotisation par paliers
en se référant aux chiffres d’affaires réalisés.
4- Mettre en place un système de gestion privée au
CGA : toutes prestations rémunérées.
5- Accepter l’adhésion des entreprises ayant
dépassé le chiffre d’affaires de 200.000.000 Ar à
rester au CGA : paiement de cotisations (montant
différent) et bénéfice des services offerts autres
que la tenue de comptabilité SMT.
6- Organiser des formations et renforcer les
capacités du personnel et des membres du
Conseil d’Administration des CGA.
7- Organiser un forum des CGA et dans un futur
proche, prévoir la Fédération des CGA.
8- Formaliser le partenariat avec le projet Vohikala
du Ministère de la Télécommunication, Postes et
Nouvelles Technologies/CGA.
9- Former les membres des CGA à travers le pack
PME (SME Toolkit) par la Société Financière
Internationale.
10- Prospecter des partenariats avec d’autres
organismes œuvrant pour le développement des
MPME.
11- Chercher d’autres formules de collaboration avec
des organismes œuvrant pour le développement
des MPME
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M. RAJAONARIMAMPIHANINA Hery, Ministre des Finances et
du Budget et Mme RAMAHOLIMIHASO Madeleine visitant le
stand du CSC
Le 22 novembre 2012 au Carlton Madagascar, l’Ordre
des Experts Comptables et Financiers de Madagascar
(OEFCM) a célébré son 50ème
anniversaire d’existence.
Différentes conférences, notamment sûr la profession
comptable à Madagascar, la formation et le cursus
menant au diplôme d’expertise comptable ont été
données par les membres de la profession.
CELEBRATION DU 50EME
ANNIVERSAIRE
DE L’OECFM
Comme les années précédentes et dans le cadre de la promotion des CGA, le CSC n’a pas manqué le rendez-vous
annuel de la Journée PME organisée le 21 novembre 2012 par la BNI CA traditionnellement tenue dans le Hall de la
Gare de Soarano Antananarivo.
Le stand du CSC a reçu plusieurs visiteurs dont des opérateurs et hommes d’affaires malagasy et étrangers
majoritairement mais également des étudiants, des journalistes, des fonctionnaires, des responsables de projets et de
groupements.
Les opérateurs se sont surtout informés sur la présence de CGA dans les différentes Régions de Madagascar. Les
résidents de la Région Analamanga ont posé des questions très précises notamment sur le montant des cotisations, les
membres de bureau, les contacts) au représentant du CGA Analamanga , présent au stand sur invitation du CSC. Ainsi,
ce jour-là, les opérateurs venus au stand n’ont plus eu à se déplacer au bureau du CGA Analamanga lequel se trouve au
rez-de-chaussée de la Chambre de Commerce et de l’Industrie d’Antananarivo pour formaliser leur adhésion.
Les résultats immédiats enregistrés à la fin de la journée ont été satisfaisant : des opérateurs convaincus et demandant
l’adresse du bureau du CGA Analamanga, des demandes d’envoi par courriel de la version électronique du Flash
Compta.
RAKOTO Patricia
PARTICIPATION DU CSC AUX EVENEMENTS NATIONAUX
PARTICIPATION A LA JOURNEE PME
ORGANISEE ANNUELLEMENT PAR LA BNI CA
A titre d’information, le nombre d'experts comptables
est passé de 6 au départ, à 25 en 1992, pour arriver à
une centaine, en 2012, nombre ne couvrant pas encore
les besoins de Madagascar.
Pour remédier à cette carence, des actions de
sensibilisation seront menées auprès des jeunes pour
les encourager à s’orienter vers la profession d’expert
comptable.
Lors de son discours d’ouverture, M. le Ministre des
Finances et du Budget, Hery RAJAONARIMAMPIANINA, a
souligné l’importance du rôle joué par les experts
comptables et financiers dans la modernisation et le
développement économique.
En tant que partenaire important de l’OECFM, le CSC a
tenu un stand et a exposé l’ensemble de ses travaux : le
référentiel comptable national, les plans comptables
sectoriels et les guides comptables, et a présenté sa
mission, sa structure et ses activités.
RAKOTO Patricia
CSC
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FLASH COMPTA périodiquement
Directeur de la publicationDirecteur de la publicationDirecteur de la publicationDirecteur de la publication
Le Secrétaire Général du CSC
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Directeur de la rédactionDirecteur de la rédactionDirecteur de la rédactionDirecteur de la rédaction
Le Directeur de la communication et
du suivi des projets
RAKOTO Patricia
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Téléphone : 22 383 14
MessagerieMessagerieMessagerieMessagerie : [email protected]: [email protected]: [email protected]: [email protected]
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FEVRIER 2013 Page 08/08
PRSP (PovertyProfile)
Macroeconomic framework - Real sector - Fiscal sector - Monetary sector - Balance of payments Social and Demographic sectors - Education data - Health data - Agricultural data - Gender equality - HIV/AIDS Monitoring - Objectives and targets - Census and surveys - Other data needs (International trade statistics…) - Plan for improvement
NSDS
GDDS Macroeconomic data profile and action plan ------------------------ Social demographic data profile and action plan
IMF : PRGF Structural reforms Budget line - Social Sector -Statistical Reforms?
IBRD : PRSC Social and poverty reduction targets including MDGs
DQAF/ROSCs Prerequisites for and five dimensions of data quality ----------------------- Staff recommendations TA needs
Links Between the GDDS, the DQAF/ROSC, the PRSP, le PRGF and the HSDS
“The link between the data standards and the DQAF/ROSC
reflects the historical developments in the IMF’s response to the
crises in emerging market countries of the 1990s.
On data transparency issues, the first phase of this effort was the
SDDS/GDDS dissemination initiative, followed by a more
comprehensive second phase to further develop international
best practice as a means of strengthening the global financial
architecture, thus leading to broader data quality issues that go
beyond the dissemination of data.
These subsequent efforts led to the introduction of a more
comprehensive framework for data quality, which could be used
in assessing a member country’s observance of standards and
codes (the data ROSC), hence, the DQAF.”
Source : IMF Abbreviations : IMF : International Monetary Fund
PRSP : Poverty Reduction Strategy Papers
NSDS : National Strategy for the Development of Statistics
GDDS : General Data Dissemination System
PRGF : Poverty Reduction and Growth Facility
IBRD : International Bank for Reconstruction and Development
DQAF : Data Quality Assessment Framework
ROSC : Report on the Observance of Standards and Codes