Flash Compta N°21

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Dans ce numéro FLASH COMPTA C O N S E I L S U P E R I E U R D E L A C O M P T A B I L I T E N°21 Février 2013 L’équipe de Flash Compta est heureuse de rencontrer ses fidèles lecteurs et leur souhaite une année de réussite dans ce qu’ils comptent entreprendre tout au long de cette année 2013. L’augmentation du nombre de lecteurs de ce bulletin d’information nous encourage à poursuivre nos efforts dans son amélioration, tant dans la diversité des articles que dans leur intérêt pratique. Nous comptons en effet parmi nos lecteurs, des professionnels de la comptabilité, des opérateurs économiques, des fonctionnaires, des étudiants, de simples citoyens... Les demandes, facilitées par la possibilité de la version on line, émanent également de l’étranger. Nous estimons que notre démarche nous permettra de nous acheminer lentement mais sûrement vers l’un de nos principaux objectifs : la culture de la comptabilité. Nous restons bien entendu à l’écoute de vos critiques et suggestions pour enrichir cet instrument de communication au service des lecteurs, et nous nous permettons de faire appel à vos compétences particulières pour participer à cet enrichissement en nous faisant parvenir des articles de votre choix, que nous nous ferons un plaisir de publier, ou en émettant vos avis sur les sujets que vous souhaitez trouver dans Flash Compta. Il est à noter que nous resterons dans un domaine purement technique et intéressant les lecteurs. D’ores et déjà, l’on peut affirmer que le projet CGA, qui nous a tenu à cœur toute l’année 2012, étant maintenant sur les rails, les actions se poursuivront et s’intensifieront dans ce domaine. En outre, et pour rester en phase avec la pratique internationale, le CSC en 2013 se penchera avec l’ensemble de ses partenaires sur les actualisations concernant le référentiel comptable. Le Secrétaire Général du CSC RAMELINA Victorine Dans ce numéro : Editorial 1 Le 67 ème Congrès de l’Ordre des Experts Comptables 2-3 Le Dr RAZAFINDRAVONONA Jean, habilité à diriger les recherches 3 Le nouveau représentant de l’APB entité membre du CSC 3 Le premier Atelier sur les CGA à Madagascar 4-6 Participation à des manifestations : - Journée PME organisée par la BNI CA - Célébration du 50 ème anniversaire de l’OECFM 7 Links Between the GDDS, the DQAF/ROSC, the PRSP, le PRGF and the HSDS 8 EDITORIAL EDITORIAL EDITORIAL EDITORIAL Information financière fiable et crédible, gage de confiance et outil de décision et de gestion pour l’ensemble des utilisateurs Nos vœux de bonheur, de santé et de prospérité pour cette année 2013

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Document du CSC

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Page 1: Flash Compta N°21

Dans ce numéro

FLASH COMPTA

C O N S E I L S U P E R I E U R D E L A C O M P T A B I L I T E

N°21 Février 2013

L’équipe de Flash Compta est heureuse de rencontrer ses fidèles

lecteurs et leur souhaite une année de réussite dans ce qu’ils

comptent entreprendre tout au long de cette année 2013.

L’augmentation du nombre de lecteurs de ce bulletin d’information

nous encourage à poursuivre nos efforts dans son amélioration, tant

dans la diversité des articles que dans leur intérêt pratique. Nous

comptons en effet parmi nos lecteurs, des professionnels de la

comptabilité, des opérateurs économiques, des fonctionnaires, des

étudiants, de simples citoyens...

Les demandes, facilitées par la possibilité de la version on line,

émanent également de l’étranger. Nous estimons que notre

démarche nous permettra de nous acheminer lentement mais

sûrement vers l’un de nos principaux objectifs : la culture de la

comptabilité.

Nous restons bien entendu à l’écoute de vos critiques et suggestions

pour enrichir cet instrument de communication au service des

lecteurs, et nous nous permettons de faire appel à vos compétences

particulières pour participer à cet enrichissement en nous faisant

parvenir des articles de votre choix, que nous nous ferons un plaisir

de publier, ou en émettant vos avis sur les sujets que vous souhaitez

trouver dans Flash Compta.

Il est à noter que nous resterons dans un domaine purement

technique et intéressant les lecteurs.

D’ores et déjà, l’on peut affirmer que le projet CGA, qui nous a tenu

à cœur toute l’année 2012, étant maintenant sur les rails, les actions

se poursuivront et s’intensifieront dans ce domaine.

En outre, et pour rester en phase avec la pratique internationale, le

CSC en 2013 se penchera avec l’ensemble de ses partenaires sur les

actualisations concernant le référentiel comptable.

Le Secrétaire Général du CSC

RAMELINA Victorine

Dans ce numéro :

Editorial 1

Le 67ème

Congrès de l’Ordre des

Experts Comptables

2-3

Le Dr RAZAFINDRAVONONA Jean,

habilité à diriger les recherches

3

Le nouveau représentant de l’APB

entité membre du CSC

3

Le premier Atelier sur les CGA à

Madagascar

4-6

Participation à des manifestations :

- Journée PME organisée par la

BNI CA

- Célébration du 50ème

anniversaire de l’OECFM

7

Links Between the GDDS, the

DQAF/ROSC, the PRSP, le PRGF and

the HSDS

8

EDITORIALEDITORIALEDITORIALEDITORIAL

Information financière fiable et crédible,

gage de confiance et outil de décision

et de gestion pour l’ensemble des

utilisateurs

Nos vœux de bonheur, de santé et de prospérité

pour cette année 2013

Page 2: Flash Compta N°21

ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF ET 67ème

CONGRES DU CSOEC

Le Président du CSC et le nouveau Président de la FIDEF

Le CSC, représenté par son Président, a participé à la

réunion d’Assemblée Générale de la Fédération

Internationale Des Experts comptables et commissaires

aux comptes Francophones (FIDEF) tenue le 2 octobre

2012 au siège du Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts

Comptables (CSOEC) au 19 rue Cognacq-Jay 75341 Paris.

La FIDEF est une structure d’échange et de coopération

au sein de la communauté linguistique française, qui a

comme objectifs de :

- Garantir la reconnaissance et l’autorité de la

profession comptable francophone ;

- Promouvoir la normalisation comptable et

professionnelle dans les pays francophones ;

- Traduire les normes d’audit et de comptabilité, ainsi

que tous les textes et dispositifs utiles à l’exercice de

la profession ;

- Assurer aux professionnels francophones de la

comptabilité et de l’audit un niveau de compétence

technique homogène, reconnu sur le plan

international, en adéquation avec les besoins des

économies des pays ;

- concourir à la réflexion sur l’harmonisation

internationale dans le domaine de l’audit et de la

comptabilité ;

- Représenter la profession comptable francophone

auprès des institutions internationales.

A ce titre, la FIDEF est une organisation comptable

reconnue par l’IFAC (International Federation of

Accoutants).

En 2012, la FIDEF réunit environ 100.000 professionnels

comptables ressortissants de 35 pays, dont Madagascar.

Ces 35 pays sont représentés au sein de la FIDEF par 46

organisations comptables membres réparties en deux

catégories :

• Membres actifs

Les Ordres, Associations ou Instituts représentant la

profession d’expert-comptable ou de commissaire aux

comptes dans leur pays. A ce titre, l’Ordre des Experts

Comptables et Financiers de Madagascar (OECFM) est

membre actif de la FIDEF représentant Madagascar.

• Membres associés

Les organisations publiques ou privées partageant les

objectifs de la FIDEF comme les institutions de

normalisation comptable ou les institutions

d’enseignement de comptabilité et d’audit. Le CSC fait

partie de cette catégorie de membre.

Récemment, l’OECCA de l’Union des Comores a été

accueilli comme membre associé de la FIDEF.

L’évènement marquant de cette Assemblée Générale a

été l’élection de M. Siaka TRAORE, Président de l’Ordre

National des Experts-Comptables et Comptables Agréés

du Burkina Faso, au poste de nouveau Président de la

FIDEF. Il succède ainsi à M. Michel DE WOLF, Président

de l'Institut des Réviseurs d'Entreprises de Belgique.

RAMANAMPANOHARANA Andry

F L A S H C O M P T A N°21

FEVRIER 2013 Page 02/08

ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF

Page 3: Flash Compta N°21

COMMISSION FISCALE

Comme chaque année depuis sa réactivation, le CSC a

honoré l’invitation du Président du Conseil Supérieur de

l’Ordre des Experts Comptables (CSOEC) français à

participer au Congrès annuel de cette institution.

Le Président du CSC et le Directeur de la Régulation du

Secteur Privé ont donc participé au 67ème Congrès du

CSOEC dont le thème principal a été « L’Expert

comptable Entrepreneur : une marque, une offre ». Près

de 6000 experts comptables se sont rassemblés au Palais

des Congrès de Paris autour de ce thème principal

durant les 3, 4 et 5 octobre 2012.

Plusieurs invités de marque se sont succédés pour

développer divers sujets en rapport avec le thème

principal, lors des séances plénières tenues durant le

congrès :

� La séance plénière d’ouverture

intitulée « L'expert-comptable entrepreneur », a

vu l’intervention de MM. Alexandre BOMPARD,

Président Directeur Général de la FNAC et Pierre

MOSCOVICI, Ministre de l'Economie et des

Finances du Gouvernement français ;

� La deuxième séance plénière intitulée « L'expert-

comptable partenaire de la croissance » a été

animée par les dirigeants même du CSOEC ;

� La séance plénière de clôture, intitulée de la

même manière que le congrès « L'expert-

comptable entrepreneur : une marque, une

offre » a vu la participation de M. Erik ORSENNA,

Membre de l'Académie Française.

Le prochain Congrès du CSOEC se tiendra à Dijon les 2, 3

et 4 octobre 2013.

RAMANAMPANOHARANA Andry

Le Dr RAZAFINDRAVONONA Jean a soutenu son dossier

pour l’obtention du diplôme de « Habilitation à Diriger

les Recherches » (HDR) devant un Jury

multidisciplinaire, multilingue et de nationalités

différentes le 16 janvier 2013 à l’Université

d’Antananarivo.

L’impétrant a présenté les résultats de ses recherches

effectuées plusieurs années portant sur le thème

« Statistic System and Poverty dynamic in Madagascar »

devant un Jury composé de 6 membres.

Voici la composition des membres du Jury :

Président (e)s : Emilienne RAPARSON,

Professeur Emérite

Mamy RAVELOMANANA

Professeur Agrégé des Universités en Sciences

Economiques

Rapporteur externe : David STIFEL,

Associate professor (Professeur Agrégé)

Rapporteur Interne : Eric Thosun MANDRARA,

Professeur

Examinateur : François RAJAOSON,

Professeur Titulaire La HDR permet notamment d’être candidat à l’accès de

corps des Professeurs d’Université.

La HDR est le plus haut diplôme reconnu décerné par

l’université. Aucune mention ou titre n’est attribué au

candidat ayant obtenu son HDR.

Toutefois, l’impétrant a reçu verbalement les

félicitations du Jury.

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FEVRIER 2013 Page 03/08

M. Patrick RAPONTCHOMBO, Directeur Administratif et

Financier de la Banque Gabonaise et Française

Internationale (BGFI), succède à M. Benjamin

ANDRIAMBOAVONJY.

L’activité bancaire de la BGFI Bank est destinée aux

clients particuliers, aux grandes entreprises, aux

institutions et aux PME à fort potentiel.

LE NOUVEAU REPRESENTANT DE L’APB

ENTITE MEMBRE DU CSC

ASSEMBLEE GENERALE DE LA FIDEF ET

67ème CONGRES DU CSOEC (suite)

67EME

CONGRES DU CSOEC

LE Dr RAZAFINDRAVONONA JEAN,

HABILITE A DIRIGER LES RECHERCHES

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F L A S H C O M P T A N°21

FEVRIER 2013 Page 04/08

25 NOUVEAUX EXPERTS COMPTABLES

ET FINANCIERS ASSERMENTES

Le premier Atelier sur les CGA à Madagascar s’est tenu

les 15 et 16 novembre 2012 à l’Espace Dera

Antananarivo. En organisant cet atelier, le CSC a visé

quatre objectifs spécifiques : dresser l’état des lieux des

CGA, partager les expériences des uns et des autres,

inventorier les problèmes, apporter ensemble avec les

participants des propositions de solutions, harmoniser

les actions des différents partenaires.

De gauche à droite :

M. RASOARAHONA Solofo, Directeur de Cabinet du MFB, Dr

RAZAFINDRAVONONA Jean, Président du CSC,

M. RAJAONARIMAMPIANINA Hery, Ministre des Finances et du

Budget,

Mme ANDRIAMBOLOLONA Vonintsalama, Secrétaire Général du

Ministère des Finances et du Budget

Mme RAMELINA Victorine, Secrétaire Général du CSC

CGA : FORMULE DE DEVELOPPEMENT

INTEGRANT LES MPME

Son Excellence Monsieur le Ministre des Finances et du

Budget, avec son staff, est venue présider la cérémonie

d’ouverture de l’atelier. Il a particulièrement insisté sur

l’importance du rôle du CSC garant des normes

comptables à Madagascar.

C’est à lui que l’Etat a conféré, en tant qu’organe de

normalisation, la conception, le suivi et la mise à jour de

ces normes comptables. Le bon fonctionnement des

marchés financiers est garanti par la transparence et la

fiabilité des informations financières et comptables.

Un des initiateurs du projet CGA, M. le Ministre s’est

déclaré « réconforté de constater que le relais fut bien

passé » au sein du CSC. Les réalisations, à savoir quatre

CGA opérationnels et quatre autres en cours

d’installation, sont encourageantes.

Les micros et petites entreprises, réalisant un chiffre

d’affaires inférieur à 200.000.000 Ar, membres

bénéficiaires des CGA, constituent une composante

importante de l’économie et sont un vivier d’innovation

et d’emplois. D’autres attentes devraient également se

réaliser dans le cadre du projet : le développement de la

culture de la tenue de comptabilité, la contribution au

développement des micros et petites entreprises et

notamment la facilitation de leurs accès au crédit et

enfin et non la moins importante, l’insertion du Secteur

Informel.

Mentionnons que le Service de la Promotion des

PME/PMI et des Coopératives de la Vice Primature

chargée de l’Economie et de l’Industrie a pris une part

active aux travaux.

PARTICIPANTS MOTIVES DE DIFFERENTES REGIONS

Présidents des CGA et responsables des organismes partenaires

Ce premier Atelier a vu la participation :

- des huit (08) CGA représentés par les présidents, les

directeurs exécutifs et des adhérents

- des représentants des Chambres de Commerce et

d’Industrie

- les différents partenaires techniques et financiers

- des membres de l’Ordre des Experts Comptables et

Financiers de Madagascar (OECFM)

- des représentants des établissements financiers et de

micros finances

- des représentants de la Direction Générale des Impôts

- le Président du CSC et des Membres de l’Assemblée

- l’ensemble du Staff du CSC.

LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES

A MADAGASCAR

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FEVRIER 2013 Page 05/08

Les participants répartis en deux groupes ont traité

respectivement des sujets ci-après :

1. Production d’informations financières fiables, cadre

règlementaire et relations institutionnelles,

2. Mise en place des CGA, appuis et pérennisation.

Les séances de travail se sont déroulées dans une

atmosphère de coopération et de compréhension

mutuelle ayant pu permettre de recueillir les

préoccupations de tout un chacun, celles des membres

de CGA, celles des Bailleurs de fonds en tant que

partenaires techniques et financiers, celles des Experts

comptables, celles de l’Administration Fiscale et

également celles du CSC.

Les documents de travail issus des travaux de groupes

constitueront des pistes de réflexion pour la

consolidation ou l’amélioration de l’ensemble des

mesures prises jusqu’ici. Elles feront l’objet d’études

approfondies qui permettront de tracer les lignes

directrices de la politique de développement futur des

CGA.

Propositions et Recommandations

Volet 1 : Cibles des CGA

1- Notion de micro petites et moyennes entreprises

(MPME), cibles des CGA : critères basés sur des

principes objectifs pour assurer une stabilité (textes

juridiques sur les sociétés commerciales, effectif,

capital social, responsabilité publique).

2- Tenue obligatoire de la comptabilité des membres

par le CGA dont c’est la mission première.

3- Instauration de mesures transitoires pour les

adhérents approchant le seuil des 200 millions MGA

pour les préparer à la nécessité de faire appel aux

services d’un professionnel de la comptabilité une

fois le seuil dépassé.

4- Sensibilisation des membres qu’ils seront amenés à

quitter le CGA lorsque le seuil de 200 millions MGA

de chiffre d’affaires sera dépassé.

Volet 2 : Production d’informations financières fiables

1- Définir la mission exacte de l’expert-comptable dans

le CGA (mission de compilation ; examen limité, full

audit…) ;

2- Doter les experts-comptables de moyens nécessaires

pour l’exécution de leurs tâches, l’Administration

Fiscale de tenir compte des travaux des experts-

comptables dans les CGA en admettant la qualité et

la force probante de ces informations comptables

estampillées (expert-comptable : professionnel

assermenté)

Volet 3 : Structure, Organisation et Fonctionnement des

CGA

1- L’expert comptable assurant la tenue de

comptabilité des membres ne devrait pas être

membre du conseil d’administration du CGA

2- Pour assurer son fonctionnement, son

autofinancement et sa pérennisation, chaque

CGA devra établir un business plan et un tableau

de bord et les appliquer, avoir des ressources

permanentes, calculer les montants des

cotisations suivant les montants des chiffres

d’affaires, élargir ses services.

3- Appuyer les CGA en difficulté par le biais de

financement type Fonds National d’Insertion du

Secteur Informel.

4- Faciliter l’installation d’un expert comptable

dans les régions d’implantation des CGA.

5- Voir la possibilité pour les CGA d’obtenir des

compensations en tant qu’apporteurs d’affaires

aux experts-comptables.

6- Trouver des solutions d’urgence pour le CGA ne

disposant pas d’expert-comptable.

Volet 4 : Relations avec l’Administration Fiscale

1- S’informer sur

� les dispositions du PCG sur les

consolidations (scission des activités

économiques d’un même opérateur

pour adhérer ou rester dans un CGA)

� la compétence régionale des CGA par

rapport aux centres fiscaux implantés

dans d’autres régions

� la possibilité pour les PME n’ayant pas

de CGA dans leur région d’adhérer aux

CGA déjà existants

2- Dans les centres fiscaux, prévoir des agents

dédiés aux CGA.

3- Tenir compte des états financiers des adhérents

pour l’établissement des impôts à payer

(abandonner l’imposition forfaitaire dans le cas

où le contribuable dispose d’états financiers).

4- Demander à l’Administration Fiscale de

sensibiliser l’ensemble de ses agents sur

l’existence et les services offerts par les CGA.

5- Assouplir les exigences de régularité des pièces

comptables (documents tenant lieu de

factures...).

6- Mettre le CGI à disposition dans les CGA.

LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES

A MADAGASCAR (SUITE)

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F L A S H C O M P T A N°21

FEVRIER 2013 Page 06/08

ASSERMENTES LES PARTENAIRES ACCORDENT LEUR

CONFIANCE AU CSC ET AUX CGA

LE PREMIER ATELIER SUR LES CENTRES DE GESTION AGREES

A MADAGASCAR (SUITE ET FIN)

7- Afficher les informations sur les CGA dans les

centres fiscaux.

8- Pour Analamanga, instaurer un guichet unique

CGA qui répartira les dossiers des adhérents vers

leur centre fiscal de rattachement.

9- Publier une revue périodique et spécifique dédié

aux CGA .

10- En cas de redressement, demander à

l’Administration Fiscale de s’adresser d’abord au

CGA, à charge pour ce dernier de demander les

pièces et informations nécessaires au membre

concerné.

11- Harmoniser les délais de déclaration.

12- Demander à l’Administration Fiscale de tenir

compte des travaux des experts-comptables dans

les CGA en admettant la qualité et la force

probante des informations comptables

estampillées par ceux-ci (expert-comptable :

professionnel assermenté).

Volet 5 : Mise en place des CGA

1- Héberger les CGA dans les Chambres de

Commerce de Madagascar.

2- Inciter les coopératives et leurs membres à

adhérer aux CGA.

3- Orienter les membres des centres de service

agricole à intégrer les CGA.

4- Informer et sensibiliser les groupements et leurs

membres : FIVPAMA, CONECS… sur le CGA.

5- Insérer des liens sur le CSC/CGA via les sites web

des partenaires.

6- Renforcer et intensifier les actions de

sensibilisation : mise à disposition de supports

nécessaires à tous les CGA.

7- Organiser des descentes au niveau des centres

fiscaux pour informer les autres opérateurs non

membres de CGA à y adhérer.

8- Diffuser et communiquer des informations sur les

CGA à partir des différents supports médiatiques.

9- Organiser des réunions d’échanges et de

communication entre les départements

ministériels œuvrant pour le développement et la

promotion des MPME.

10- Engager l’Ordre des Experts Comptables et

Financiers de Madagascar – OECFM - à couvrir les

22 régions.

Volet 6 : Facilitation de l’accès au crédit

1- Fonds de Garantie et SOLIDIS : octroi de la

garantie basé sur la viabilité du projet et des flux

des opérations, projet bancable et non

nécessairement sur des garanties matérielles.

2- Multiplier les relations de partenariat avec les

Etablissements Financiers et les Institutions de

Micro Finances affiliées Coordination Nationale

des Micro Finances.

Volet 7 : Pérennisation des CGA

1- Organiser chaque année des échanges

d’expériences entre les CGA.

2- Multiplier les offres de service.

3- Déterminer les montants de cotisation par paliers

en se référant aux chiffres d’affaires réalisés.

4- Mettre en place un système de gestion privée au

CGA : toutes prestations rémunérées.

5- Accepter l’adhésion des entreprises ayant

dépassé le chiffre d’affaires de 200.000.000 Ar à

rester au CGA : paiement de cotisations (montant

différent) et bénéfice des services offerts autres

que la tenue de comptabilité SMT.

6- Organiser des formations et renforcer les

capacités du personnel et des membres du

Conseil d’Administration des CGA.

7- Organiser un forum des CGA et dans un futur

proche, prévoir la Fédération des CGA.

8- Formaliser le partenariat avec le projet Vohikala

du Ministère de la Télécommunication, Postes et

Nouvelles Technologies/CGA.

9- Former les membres des CGA à travers le pack

PME (SME Toolkit) par la Société Financière

Internationale.

10- Prospecter des partenariats avec d’autres

organismes œuvrant pour le développement des

MPME.

11- Chercher d’autres formules de collaboration avec

des organismes œuvrant pour le développement

des MPME

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F L A S H C O M P T A N°21

FEVRIER 2013 Page 07/08

M. RAJAONARIMAMPIHANINA Hery, Ministre des Finances et

du Budget et Mme RAMAHOLIMIHASO Madeleine visitant le

stand du CSC

Le 22 novembre 2012 au Carlton Madagascar, l’Ordre

des Experts Comptables et Financiers de Madagascar

(OEFCM) a célébré son 50ème

anniversaire d’existence.

Différentes conférences, notamment sûr la profession

comptable à Madagascar, la formation et le cursus

menant au diplôme d’expertise comptable ont été

données par les membres de la profession.

CELEBRATION DU 50EME

ANNIVERSAIRE

DE L’OECFM

Comme les années précédentes et dans le cadre de la promotion des CGA, le CSC n’a pas manqué le rendez-vous

annuel de la Journée PME organisée le 21 novembre 2012 par la BNI CA traditionnellement tenue dans le Hall de la

Gare de Soarano Antananarivo.

Le stand du CSC a reçu plusieurs visiteurs dont des opérateurs et hommes d’affaires malagasy et étrangers

majoritairement mais également des étudiants, des journalistes, des fonctionnaires, des responsables de projets et de

groupements.

Les opérateurs se sont surtout informés sur la présence de CGA dans les différentes Régions de Madagascar. Les

résidents de la Région Analamanga ont posé des questions très précises notamment sur le montant des cotisations, les

membres de bureau, les contacts) au représentant du CGA Analamanga , présent au stand sur invitation du CSC. Ainsi,

ce jour-là, les opérateurs venus au stand n’ont plus eu à se déplacer au bureau du CGA Analamanga lequel se trouve au

rez-de-chaussée de la Chambre de Commerce et de l’Industrie d’Antananarivo pour formaliser leur adhésion.

Les résultats immédiats enregistrés à la fin de la journée ont été satisfaisant : des opérateurs convaincus et demandant

l’adresse du bureau du CGA Analamanga, des demandes d’envoi par courriel de la version électronique du Flash

Compta.

RAKOTO Patricia

PARTICIPATION DU CSC AUX EVENEMENTS NATIONAUX

PARTICIPATION A LA JOURNEE PME

ORGANISEE ANNUELLEMENT PAR LA BNI CA

A titre d’information, le nombre d'experts comptables

est passé de 6 au départ, à 25 en 1992, pour arriver à

une centaine, en 2012, nombre ne couvrant pas encore

les besoins de Madagascar.

Pour remédier à cette carence, des actions de

sensibilisation seront menées auprès des jeunes pour

les encourager à s’orienter vers la profession d’expert

comptable.

Lors de son discours d’ouverture, M. le Ministre des

Finances et du Budget, Hery RAJAONARIMAMPIANINA, a

souligné l’importance du rôle joué par les experts

comptables et financiers dans la modernisation et le

développement économique.

En tant que partenaire important de l’OECFM, le CSC a

tenu un stand et a exposé l’ensemble de ses travaux : le

référentiel comptable national, les plans comptables

sectoriels et les guides comptables, et a présenté sa

mission, sa structure et ses activités.

RAKOTO Patricia

Page 8: Flash Compta N°21

CSC

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Directeur de la publicationDirecteur de la publicationDirecteur de la publicationDirecteur de la publication

Le Secrétaire Général du CSC

RAMELINA Victorine

Directeur de la rédactionDirecteur de la rédactionDirecteur de la rédactionDirecteur de la rédaction

Le Directeur de la communication et

du suivi des projets

RAKOTO Patricia

Comité de rédactionComité de rédactionComité de rédactionComité de rédaction

Le Staff du CSC

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F L A S H C O M P T A N°21

FEVRIER 2013 Page 08/08

PRSP (PovertyProfile)

Macroeconomic framework - Real sector - Fiscal sector - Monetary sector - Balance of payments Social and Demographic sectors - Education data - Health data - Agricultural data - Gender equality - HIV/AIDS Monitoring - Objectives and targets - Census and surveys - Other data needs (International trade statistics…) - Plan for improvement

NSDS

GDDS Macroeconomic data profile and action plan ------------------------ Social demographic data profile and action plan

IMF : PRGF Structural reforms Budget line - Social Sector -Statistical Reforms?

IBRD : PRSC Social and poverty reduction targets including MDGs

DQAF/ROSCs Prerequisites for and five dimensions of data quality ----------------------- Staff recommendations TA needs

Links Between the GDDS, the DQAF/ROSC, the PRSP, le PRGF and the HSDS

“The link between the data standards and the DQAF/ROSC

reflects the historical developments in the IMF’s response to the

crises in emerging market countries of the 1990s.

On data transparency issues, the first phase of this effort was the

SDDS/GDDS dissemination initiative, followed by a more

comprehensive second phase to further develop international

best practice as a means of strengthening the global financial

architecture, thus leading to broader data quality issues that go

beyond the dissemination of data.

These subsequent efforts led to the introduction of a more

comprehensive framework for data quality, which could be used

in assessing a member country’s observance of standards and

codes (the data ROSC), hence, the DQAF.”

Source : IMF Abbreviations : IMF : International Monetary Fund

PRSP : Poverty Reduction Strategy Papers

NSDS : National Strategy for the Development of Statistics

GDDS : General Data Dissemination System

PRGF : Poverty Reduction and Growth Facility

IBRD : International Bank for Reconstruction and Development

DQAF : Data Quality Assessment Framework

ROSC : Report on the Observance of Standards and Codes