Exercices de révision de Français Mme Godon · Ex : Les services rendus. - Il peut être...
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Exercices de révision de Français – Mme Godon
Dans ce dossier, tu trouveras :
Orthographe
Participes passés
Natures des mots
Structure
Expansions du nom
Les temps du récit + Rappel passé simple
Ecriture (selon le narrateur)
Lecture
Correctif du dossier
Orthographe
Bien écrit ou non ? Coche et corrige quand c’est mal orthographié.
Bien
écrit
Mal
écrit
Correction éventuelle
1) Vous êtes les bienvenus.
2) Elle est maline.
3) Arrivez plutôt la prochaine fois !
4) Nous devons travailler davantage.
5) Tu viens ? Biensur.
6) Cet exercice, je les compris.
7) Tu dois contrôler tes émotions.
8) Il ne faut guerre se faire d’illusions.
9) Je veux un peut de repos.
10) Je ne connais pas ce personnage de film.
11) Mon frère a mal au foi.
12) Ce siège est vraiment délica.
13) Maleureusement, je ne peux pas venir.
14) Deuxièmement, il faut préparer les valises.
15) Je m’enuie !
Participes passés
1. Entoure les formes verbales au participe passé.
finit – mangé – entendais – déçue – prix - ouvre – offert – choisit – choisis –
entourer – tenu – fondis - tient.
2. Observe les participes passés et souligne la bonne explication.
a. Ce soir, ils sont arrivés à l’heure.
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
b. Epuisée, ma mère peut maintenant se reposer.
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
c. J’ai réalisé de nombreux exercices pour m’entrainer.
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
d. Mes anciens amis ont changé !
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
e. Les chats que j’ai adoptés sont adorables !
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
RAPPEL : Comment puis-je reconnaître le participe passé ?
- C’est une forme verbale : Je peux le transformer en verbe.
Ex : les allées bordées Je borde mon lit.
- C’est comme un adjectif : Il précise un nom ou un pronom.
Ex : Les services rendus.
- Il peut être accompagné d’un auxiliaire conjugué (être ou avoir).
Ex : Je suis arrivé. / Tu as avalé ton bonbon.
3. Accorde le participe passé avec le mot auquel il se rapporte.
Aide-toi du modèle: livrer le charbon le charbon livré.
a) marquer le linge ………………………………………………………………………….
b) balayer la cuisine ………………………………………………………………………….
c) hacher le persil ………………………………………………………………………….
d) verrouiller la porte ………………………………………………………………………….
e) charger les chariots ………………………………………………………………………….
f) arracher les herbes ……………………………………………………..………………….
g) seller les chevaux ………………………………………………………………………….
h) fermer les fenêtres ………………………………………………………………………….
i) conduire les vaches ………………………………………………………………………….
j) connaitre des histoires ………………………………………………………………………….
k) faire les cuivres ………………………………………………………………………….
l) réussir les exercices …………………………………………………..…………………….
m) remettre une lettre ………………………………………………………………………….
n) peindre l'étagère ………………………………………………………………………….
o) ouvrir les bras ………………………………………………………………………….
p) battre la carpette ………………………………………………………………………….
q) choisir la cravate ………………………….…………………………………………….
r) prendre une décision ………………………………………………………………………….
4. 1° Dans les phrases suivantes, entoure l’auxiliaire. 2° Relie le participe passé
au mot auquel il s’accorde. 3°Accorde le participe passé correctement.
a) La voiture est (arrêté) au milieu de la route.
__________________________________________________________
b) Qu’elles soient (pris) dans un piège ne m’étonnerait pas.
__________________________________________________________
c) Ces trésors ont été (découvert) par des explorateurs.
__________________________________________________________
d) Mes examens, les professeurs les ont (corrigé) cette semaine.
__________________________________________________________
e) Les artistes ont (ébahi) les spectateurs.
___________________________________________________________
5. Écrivez le participe passé à la place du verbe en italique.
Sur la table carrée, je vis un cahier couvrir ....................... d'un parchemin jaunir.
.................... L'enfant piquait le flanc des bœufs avec une gaule longue et légère,
armer .................. d'un aiguillon peu acéré. La grand-mère entrouvre les tiroirs
d'une commode d'autrefois, une commode pleine de bibelots étranges : un sou
percer ................... comme tous les sous percer ..................... , une crécelle, un
citron sec et noircir .................... , ceindre ..................... d'une faveur déteindre
........................ , un petit papier remplir .................................. de cailloux.
Les leçons savoir ........... , l'enfant aidait aux menus travaux.
L'homme s'ennuie du plaisir recevoir ..................... et préfère de bien loin le
plaisir conquérir .................. Ce ne sont plus des coquilles abandonner
.............................. par les eaux que je cherche, ni même cette fontaine profonde
et tarir ................ couvrir ......................... d'un grillage enfouir .......................... sous
tant d'herbes folles.
6. Quelques exercices sur les cas particuliers. Entoure la forme correcte.
Avec un verbe pronominal.
a. Elle se sont lavé/lavée/lavées les mains.
b. Que de choses ils se sont imaginé/ imaginés/ imaginées !
c. Ma joie s’est évanoui/ évanouie / évanouies d’un coup !
d. Elles se sont rincé/ rincées/ rincés les cheveux.
Suivi d’un verbe à l’infinitif.
a. Les champignons qu’ils ont voulu/voulus/voulues manger sentent bon !
b. Les garçons que j’ai vu/vus/ vues jouer sont doués.
c. Les batteurs que tu as entendu/entendus/ entendues jouer habitent à
Paris.
d. Voici les élèves que vous avez dû/ dus/ dues punir…
Avec un verbe de valeur.
a. Que d’efforts cette leçon m’a coûté/ coûtée/ coûtés !
b. Les deux cents euros que cet objet m’a coûté/ coûtée/ coûtés en valaient
la peine !
c. Les kilomètres qu’elle a couru/ courus/ courue l’ont fatiguée.
d. Quels dangers avez-vous couru/ courus/ courue ?
Les natures des mots
Aide-toi de ta fiche-outil dans ton cours et de ton dictionnaire pour trouver la nature de tous
les mots de ces phrases.
Natures possibles : nom propre (NP), nom commun (NC), déterminant (dét.), adjectif
(adj.), pronom (pron.), verbe (V), adverbe (adv.) , mot de liaison ou mot-lien (ML).
A. La carte représente le continent africain.
1 2 3 4 5 6
B. Tokyo est la capitale du Japon.
1 2 3 4 5 6
C. Il a encore emprunté mon livre.
1 2 3 4 5 6
D. La Volga est le nom de fleuve qui me fait vraiment rêver.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
E. Berlin est redevenue la capitale de l’Allemagne.
1 2 3 4 5 6 7 8
F. Un affreux accident s’est produit car le conducteur roulait trop vite.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
G. Les prédateurs ont peur de ces horribles yeux.
1 2 3 4 5 6 7 8
H. Le crapaud-buffle se gonfle si on le touche.
1 2 3 4 5 6 7 8
Phrase A
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
Phrase B
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
Phrase C
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
Phrase D
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
7 : .............................................................
8 : .............................................................
9 : .............................................................
10 : .............................................................
11 : .............................................................
12 : .............................................................
13 : .............................................................
Phrase E
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
7 : .............................................................
8 : .............................................................
Phrase F
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
7 : .............................................................
8 : .............................................................
9 : .............................................................
10 : .............................................................
11 : .............................................................
12 : .............................................................
13 : .............................................................
14 : .............................................................
15 : .............................................................
Phrase G
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
7 : .............................................................
8 : .............................................................
Phrase H
1 : .............................................................
2 : .............................................................
3 : .............................................................
4 : .............................................................
5 : .............................................................
6 : .............................................................
7 : .............................................................
8 : .............................................................
Structure
Entoure les erreurs de construction de phrases, la concordance des temps ou les
accords. Recopie chaque phrase de manière correcte.
a. Si je pourrais venir, je viendrais avec plaisir.
……………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………
b. Mes parents souhaitent que je leur rends un service.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
c. Ces enfants sont jamais contents !
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
d. Il est tombé malade donc il courait sous la pluie.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
e. Je préfèrerais qu’il y aurait encore des véhicules qu’on peut conduire seul et
non un véhicule constitué de plusieurs modules.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
f. Les bâtiments seront en marbre, elles seront composées d’organismes vivants.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
g. L’histoire de Cédric que je vous parle me satisfait beaucoup.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
h. C’est moi qui a préparé ce repas délicieux !
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………….…
Expansions du nom
1. Voici plusieurs phrases contenant des expansions du nom. Entoure le type
d’expansion utilisée.
a. Un employé se promenait sur le quai de la gare.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
2. Le cheval qui court est celui de ma copine.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
3. Des tableaux de couleurs vives ornent les murs.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
4. La jeune fille joue avec son frère.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
5. Flaubert, un écrivain de talent, est mort au XIXe siècle.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
6. Cette personne dont je n’avais jamais entendu parler est venue chez moi.
Adjectif Groupe nominal Groupe nominal prépositionnel Proposition relative
2. Dans les titres suivants (phrases non verbales), encadre le centre.
Souligne la (ou les) expansion(s), identifie leur nature.
L’étrange métamorphose ……………………………………………………………….
Le vieux qui lisait des romans d’amour ……………………………………………………………….
Le voleur de médaille ……………………………………………………………….
Grève sauvage ……………………………………………………………….
Le secret de Mandre ……………………………………………………………….
Lassie, chien fidèle ……………………………………………………………….
3. Complète les titres suivant par l’expansion demandée.
a. Un GNP : L’enfant ……………………………………………………………………………..
b. Un adjectif : les oiseaux ………………………………………………………………….
c. Un GN : Bruxelles, …………………………………………………………………………….
d. Une Prop.rel. : La maison ………………………………………………………………….
Les temps du récit
Rappel des temps dans un récit au passé :
Quelques verbes importants à conjuguer au passé simple :
1. Marcher 2. Aller 3. Finir Je J’ Je
Tu Tu Tu
Il Il Il
Nous Nous Nous
Vous Vous Vous
Ils Ils Ils
4. Dire 5. Venir 6. Tenir Je Je Je
Tu Tu Tu
Il Il Il
Nous Nous Nous
Vous Vous Vous
Ils Ils Ils
7. Savoir 8. Pouvoir 9. Vouloir Je Je Je
Tu Tu Tu
Il Il Il
Nous Nous Nous
Vous Vous Vous
Ils Ils Ils
10. Faire 11. Etre 12. Avoir Je Je J’
Tu Tu Tu
Il Il Il
Nous Nous Nous
Vous Vous Vous
Ils Ils Ils
Conjugue les verbes au temps adéquat du passé : imparfait ou passé simple ?
UN ORAGE.
Le soir (approcher)……………………………. le soleil (décliner) ………………………………….., le ciel
(être) …………………………………. magnifique. Je (regarder) ………………………………………. les
collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir)
……………………………………. à moitié... Tout à coup je (voir)………………………………………. un
cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour
s'abriter dessous. Puis la voiture (passer)……………………………………. près d'un troupeau
d'oies qui (bavarder)…………………………………. joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau,
(dire) ………………… le cocher." En effet, je tournai la tête : la moitié du ciel derrière
nous (être)…………………………… envahie par un gros nuage noir, le vent
(être)………………………………….. violent, les ciguës en fleur (se courber)
…………………………………. jusqu'à terre, les arbres (sembler) ………………………………….. se
parler avec terreur, de petits chardons desséchés
(courir)………………………………………….. sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de
nous (voler)………………………………………… de grandes nuées. Un moment après (éclater)
………………………………………… un des plus beaux orages que j'aie vus.
(Victor Hugo, Le Rhin.)
Lis ce résumé de récit policier. Conjugue les verbes aux temps demandés.
L'affaire Crale ? Un procès qui (faire, indicatif passé simple)
……………………………………………. du bruit parce que la victime (être, à toi de choisir le temps
qui convient !!) ……………………………………………. un peintre en renom, Amyas Crale,
empoisonné par sa propre femme, Caroline, condamnée pour ce crime à la détention
perpétuelle et morte un an après. Oh ! elle (avoir, indicatif plus-que-parfait)
……………………………………………. l'excuse de la provocation : Arayas était amoureux d'un
ravissant fruit vert nommé Elsa Greer qu'il (amener, indicatif plus-que-parfait)
……………………………………………. chez eux à Alderbury pour exécuter son portrait et il
(parler, indicatif imparfait) ……………………………………………. de divorcer pour l'épouser.
Caroline innocente ? Impensable - et sauf sa demi-soeur qui l'(estimer, indicatif
passé simple) ……………………………………………. incapable d'avoir versé le poison et
n'(expliquer, indicatif passé simple) ……………………………………………. la mort d'Amyas que
par un suicide également impensable. Nul n'y (croire, indicatif passé simple)
…………………………………………….. de toute évidence... Une évidence éclatante dans le
témoignage des cinq personnes présentes au moment du drame, que le détective
Hercule Poirot (interroger, indicatif passé simple) ……………………………………………. seize
ans après et, du récit qu'il (demander, à toi de choisir le temps qui convient !!)
……………………………………………. ensuite à chacun de rédiger…
LE STATUT D’UN NARRATEUR
1. Voici un passage tiré du livre « Vilain crapaud cherche jolie grenouille » de VAN
ACKER Christine. Prends-en connaissance et réponds aux questions.
« Le lendemain, à la récréation, je suis passé près du groupe de Chloé ; je me suis
penché comme si je ramassais quelque chose ; j’ai d’abord vérifié la couleur de ses
sandales : pas de doute, c’était bien elle. Je pouvais alors lui demander de mon air
« indifférence feinte » :
- Ce n’est pas toi, par hasard, qui aurais perdu ce bout de papier ?
Chloé a levé les yeux sur moi et elle s’est mise à rougir, à rougir, tant que ses yeux
paraissaient encore plus grands, et ses lunettes plus brillantes.
Elle a pris le papier et l’a rangé machinalement dans sa poche tout en continuant à
parler avec ses copines. »
a. Qui est le narrateur ? Quel est son point de vue ?
……………………………………………………………………………………………………………………….…………………………………
b. Quels sont les indices du texte qui le prouvent ?
……………………………………………………………………….…………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………….………………………………………………………………………………
c. Que sais-tu sur lui ? Sur ses sentiments ?
…………………………………………………………………………………………………………………………..……………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
d. Quel système temporel est utilisé ? Le présent ou le passé ? Entoure les verbes
de la narration.
……………………………………………………………………………………………………….…………………………………………………
e. Quel est le cadre spatio-temporel ?
………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………
2. Transforme cet extrait en adoptant le point de vue d’une personne extérieure à
l’histoire.
a. Quel point de vue vais-je utiliser ?
………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………
b. A quelle personne sera écrit mon texte ?
………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………
c. Quel système temporel vais-je employer ?
………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………….………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………….………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………
Lecture
Voici une nouvelle. Prends connaissance des questions. Munis-toi d’un fluo pour
surligner les éléments importants et lis l’histoire.
Evelyne Wilwerth, Six morts.
- Salut, Nestor!
- Salut, Titane et Valentin! Hé, vous savez quoi ?
-Non!
- Quelqu'un a égorgé... - Égorgé ? - Oui, égorgé ! Égorgé des poupées... - Ah... Et Nestor nous raconte en détails. Il a un ami qui tient une échoppe rue Marché-
aux-Poulets et qui vend des poupées de chiffons. Ça s'est produit en quelques
secondes. Quel drame ! Deux filles au cou entaillé par un couteau...
- Mon ami n'a rien vu... Et voilà, ça fait deux morts. Valentin et moi on a envie de rire. Mais on l'aime bien, Nestor. Drôle de personnage!
Depuis qu'il est pensionné, il est devenu balayeur amateur. Il passe ses journées à
nettoyer les trottoirs du quartier. Et comme la ville de Bruxelles est plutôt crasseuse...
*
On est le 4 juillet. La canicule s'installe sur la Belgique. Valentin et moi, on
commence à s'ennuyer. Mais voici Nestor.
- Hé, Titane et Valentin, vous savez quoi ? - Non... Il y a de nouveaux morts ? - Oui! - Ah ! Intéressant ! - Au théâtre de Toone ! - Le directeur ? Un spectateur ? - Non ! - Tous les spectateurs ? - Une marionnette ! Une vieille marionnette ! Le cou tranché !
Et Nestor s'éloigne. Il en oublie de balayer, tant il est remué. Valentin et moi on se
regarde.
- Ça fait trois morts... - L'été va saigner ! - Tu as une petite idée sur la question, toi ? - Je commence à réfléchir.
*
Trois jours plus tard, nouveau drame. Nestor est bouleversé. Cette fois, c'est la
vieille dentellière qui a été victime : coup de couteau dans le cou.
- Cinquante ans qu'elle travaillait là, sur le trottoir rue au Beurre. C'est ignoble. Et la
police ne fait rien!
Valentin et moi nous allons voir sur place. C'est vrai que cet espace semble tout
vide, sans l'automate... Et le magasin de dentelles est fermé. Pour cause de décès ?
On va s'asseoir sur les marches de la Bourse, à l'ombre.
- Ce serait quand même intéressant de savoir qui s'amuse à...
- On se lance dans une enquête, Titane ? J'attends trois secondes avant de répondre.
- D'accord. Mais très pro, hein ? - Évidemment !
*
8 juillet. Première réunion. On est presque sûrs qu'il va y avoir escalade, que
«l'assassin » va bientôt s'en prendre à des êtres humains. C'est sans doute un malade,
un sadique, un obsédé. On a deux pistes sérieuses : l'artiste fou et le travesti. Deux
personnages de notre quartier.
Bart Duivel, l'artiste fou, est Hollandais. On a été deux ou trois fois dans son atelier.
Il ne peint que des femmes, de préférence décapitées !
- Et tu te rappelles ses minuscules Barbies ? - Oui ! Dans des éprouvettes... - Un rien cinglé, le gars. - On commence par lui ? - Oui.
*
On sonne à son atelier. Pas de réponse. On sonne à son appartement à côté. Pas
de réponse. On va se renseigner dans le bistrot le plus proche. Le barman nous dit
que Bart a été hospitalisé. Problème au foie, problème d'alcool !
On file à l'hôpital Saint-Pierre pour vérifier. Information exacte. L'artiste y a été admis
le 15 juin. Ce n'est donc pas lui, « l'assassin ».
*
Le travesti est introuvable. Bizarre, car il rôde toujours autour de la Bourse. En
attendant, Valentin et moi on passe des heures à observer les gens, notamment les
marginaux.
- Tu as pensé à Nestor ? - Nestor ? Mais tu es fou ! C'est la crème des hommes ! - Il ne faut écarter aucune hypothèse. - Surveillons-le quand même, discrètement.
On ratisse une nouvelle fois le quartier, en repérant de possibles futures victimes :
marionnettes au Roy d'Espagne, mannequins dans des magasins de fringues. Et
petites vieilles qui avancent à pas de souris en tremblant...
J'ai accroché à mon cou une poupée de chiffon. Ça va nous servir de révélateur !
Et du coup on observe plus encore la réaction des gens... Mais jusqu'à présent,
personne n'a brandi un couteau.
*
Des cris dans la rue de la Fourche... On se précipite.
- Mon mannequin ! Foutu, mon mannequin qui m'a coûté cinq cents euros ! Encore
un fou ! Marre de ce quartier ! Marre !
Le commerçant est rouge de rage. Il montre à tout le monde le cou de sa longue
poupée : plusieurs entailles profondes.
- Et vous n'avez rien vu ? - Non ! J'étais dans ma boutique... Pour une fois que j'avais placé le mannequin sur
le trottoir... Marre. On s'éloigne.
- Si Nestor savait ça...
-Il est parti en vacances depuis deux jours... Ce n'est pas lui le coupable !
*
Valentin et moi on a repéré d'autres personnages bizarres. Notamment un type qui
se balade en pyjama et parle tout seul. Mais aucune poche pour camoufler un couteau!
Un matin, la rumeur se répand : une petite vieille a été attaquée rue des Bouchers,
à 8 heures 30. Quelqu'un a voulu l'égorger et elle est tombée à la renverse. Et
l'agresseur ? On parle d'un homme à cheveux blancs. On parle aussi d'une grande
silhouette noire et cagoulée... Bref, tout et n'importe quoi. Mais la petite vieille n'est
pas décédée.
- Titane... - Oui ? - Je pense que nous ne sommes pas de très brillants enquêteurs... - On ne va pas renoncer ! - Non, mais je trouve qu'il y a de plus en plus de personnages étranges dans le coin. - Oui, étranges et même inquiétants... Société un peu déglinguée? - Sans doute. - Regarde, là... Cette clocharde qui traîne une voiture d'enfant... Elle a déjà disparu dans la foule.
*
Il est revenu ! Le travesti ! On l'observe discrètement. Il est à sa place habituelle,
devant le salon de coiffure. Il chantonne, ouvre sa valise, la referme, esquisse
quelques pas de danse. Il porte de longs cheveux, une jupe orange et ses lèvres sont
maquillées. Il semble dans sa bulle. Il paraît qu'il a été comédien et qu'il a travaillé
dans une boîte de travestis. On dit qu'il se drogue.
Nous nous approchons lentement. Soudain il me fixe... et fonce sur moi ! Je suis
paralysée. Et il fond sur ma poupée ! Aïe !
- Oh, qu'elle est mimi... oh qu'elle est mimi... Comment elle s'appelle, dis ?
Ses longs doigts caressent la poupée, moi je tremble de la tête aux pieds, un
couteau va surgir, je vais être... Et lui s'éloigne en balançant les hanches ! Et Valentin?
Il est là, pâle et raide comme un piquet !
- Bravo, Valentin ! On peut compter sur toi dans la vie !
*
On a réussi à capturer le coiffeur entre deux clients. Il porte une crinière blonde.
- L'homme à la valise ? Tonino ? Il est franchement adorable ! Il ne ferait pas de mal à un puceron !
- Et la drogue ? - Là, ça peut provoquer des dégâts... Mais Tonino n'a jamais été agressif. C'est un
ange. Nous sortons du salon et nous nous cognons presque à l'artiste fou ! Bart Duivel est
sorti de l'hôpital ! À surveiller.
Valentin et moi nous sommes en pleine réunion.
- On est déjà le 13 juillet et on n'a pas le moindre indice. Enquête au point mort. - Et si on essayait d'établir le profil de notre tueur en série ? - D'accord. Après trente minutes d'intense activité cérébrale, on aboutit à ce portrait. C'est un
homme. Il connaît très bien le quartier. Un homme qui a eu énormément de problèmes
avec les femmes. Un homme qui est capable de gestes rapides. Donc pas un vieillard!
- Je veux qu'on réussisse, chère demi-sœur. - Je le veux aussi, cher demi-frère. Cinq ans qu'on vit ensemble. Cinq ans de complicité totale !
- Dis, j'ai tout à coup une idée... - Tiens, moi aussi... et si c'était la même ?
*
Nous tombons brutalement sur la clocharde... Elle est affalée contre la façade de la
Bourse, presque sous la boîte aux lettres... On est tellement saisis qu'on se fige. Elle
a la tête enveloppée dans un tissu sombre. Et elle pleure. Elle baisse les paupières.
Elle pleure sans bouger. Elle porte un manteau loqueteux. Elle est pieds nus. Ses
orteils sont noirs de crasse. Et elle pue. Un vrai débris. Un vrai déchet.
On finit par décamper, en heurtant la voiture d'enfant d'où dépasse un rouleau de
mousse qui doit servir de matelas.
On rentre vite chez nous.
- Tu as vu, Valentin ? - Quoi ? - Son bas enroulé autour du cou... - Oui. Bizarre, hein ? - Oui, mais tu as vu ? - Quoi ? - Des taches brunâtres... ou rougeâtres. Comme du sang séché.
*
Place du Jeu de Balle. On furète dans tous les coins du marché aux puces.
- Moi qui pensais qu'on allait trouver en une minute... - Il faut dire qu'on n'a que douze euros... On est prêts à renoncer quand soudain on pousse un cri en même temps. Là,
adossée à une camionnette, une Bécassine en caoutchouc ! Ronde comme un ballon!
Et on dirait qu'elle nous sourit !
- Combien, la Bécassine gonflable ? - Dix-huit euros. - Trop cher pour nous... Après un quart d'heure de marchandage, on l'achète pour douze euros. Et Valentin
la saisit dans ses bras, comme un énorme bébé. On a du succès dans la rue et dans
le métro.
*
Il est déjà minuit et le résultat est nul. On commence à sentir la fatigue ! Quatre
heures qu'on est là, penchés à nos fenêtres, à guetter... Pourtant il est beau et
astucieux notre piège : ce bouquet de ballons et Bécassine devant la porte de notre
immeuble. Comme si c'était une fête d'anniversaire.
Une heure du matin. Toujours pas d'assassinat. Deux heures. Toujours rien et la
ville se vide. Je jette un coup d'œil sur les marches de la Bourse. Plus que quelques
fêtards.
- On va se relayer toutes les heures, propose Valentin. - Excellente idée. Il est cinq heures vingt. Je bâille à mon poste. Et il fait toujours chaud ! Soudain
j'aperçois une silhouette épaisse... un manteau foncé... un drap sur la tête... la
clocharde est entrée dans notre rue, elle marche régulièrement, s'approche, tend un
bras, geste très vif, s'éloigne déjà à pas plus rapides...
- Valentin ! Je crois que Bécassine a été égorgée ! - Hein ? Par qui ? Nous dévalons les marches. Sur le trottoir, Bécassine nous sourit toujours. Mais elle
a une longue entaille dans le cou. Et son corps commence déjà à se ramollir.
Nous tenons « l'assassin ».
*
Après cette découverte, tout a été très vite. J'ai alerté ma tante Violette. Elle est
intervenue avec beaucoup de délicatesse. Et la clocharde est entrée à la Clinique
Saint-Jean, là où travaille Violette. À l'unité médico-psychologique.
La clocharde s'appelle Laure. Elle a accepté immédiatement d'être prise en charge.
On lui donne des calmants légers. Le seul problème, c'est qu'elle ne parle pas. Elle
est complètement muette.
Et on a découvert des blessures au cou. Comme des coups de couteau.
*
On est le 22 juillet. C'est toujours la canicule. Nestor est rentré de vacances et a
repris son travail de balayeur amateur.
La clocharde est toujours muette. Nous, on a envie d'aller lui rendre une petite visite.
Mais c'est interdit par la direction : nous ne sommes pas des proches et nous sommes
mineurs...
*
26 juillet. On a réussi à convaincre le directeur de Saint-Jean ! Il faut préciser que
la clocharde ne reçoit personne...
Une porte blindée. On sonne. Violette vient nous ouvrir. Un long couloir, on croise
un jeune gars qui parle tout seul, une femme au regard hagard...
Chambre 13.
- Je vous laisse et je ferme la porte, chuchote Violette.
Laure est dans son fauteuil et elle penche la tête. On découvre ses cheveux
grisonnants, une robe propre, des pantoufles...
Je m'approche doucement.
- On vous a apporté un petit quelque chose... Et Valentin lui tend un paquet cadeau.
- Un minuscule cadeau. Laure finit par lever la tête. Mais elle regarde obstinément devant elle.
- Un petit cadeau.
On dirait que ce mot a fait un chemin en elle car elle nous regarde, soudain. Tous
les deux. Elle a des yeux gris très clairs. De beaux yeux. Un visage pas si vieux que
cela.... Elle n'est plus épouvantable.
Il y a un silence particulier dans la chambre. On devine qu'elle a besoin de beaucoup
de douceur.
- C'est pour vous. Pour vous.
Elle paraît très étonnée. Comme si on ne lui avait plus rien offert depuis longtemps.
Ses doigts se dénouent enfin et déballent très lentement le paquet. Une poupée
surgit, habillée de rose. Laure tressaille, sa respiration s'accélère, elle se crispe, puis
se calme, fixe longuement la poupée, la hume, palpe sa robe, la serre soudain contre
elle. Moi j'ai le cœur qui bat. Elle baisse les paupières, garde la même position, ses
lèvres tremblent, puis un mot sort d'elle :
- Poupée.
J'ai envie de pleurer tant je suis émue.
- Poupée. Ça a commencé dès ma naissance. Mes yeux picotent. On a réussi à débloquer la parole... Et sa voix est nette, bien
timbrée, sa diction très bonne... Surprise.
- Oui, dès ma naissance. Mes parents étaient très déçus car ils désiraient un garçon
après ma sœur. Ma sœur mignonne comme une poupée. Et moi, bébé assez moche
en plus... Et j'ai grandi dans l'ombre de ma très jolie sœur, leur enfant préférée, et j'ai
porté ses vêtements et j'ai joué avec ses poupées dont elle ne voulait plus. La seule
exception, ce fut Mousseline, offerte par mon oncle...
Elle se crispe à nouveau.
-Et un jour, ma mère a piqué une colère contre moi. Et elle a jeté Mousseline dans
le feu de jardin... Ça me fait encore mal aujourd'hui.
Laure serre plus fort encore le cadeau contre elle.
- Puis tout s'est succédé. Je me suis mariée. J'ai été obligée d'avorter parce que
mon mari ne voulait pas d'enfant. Mort d'une poupée vivante. Puis il est parti avec une
jeune nana, une vraie poupée. Hop, sans crier gare. Et ce fut le début de la
dégringolade. Il suffit de si peu de chose... J'étais gérante d'un magasin de jouets.
Hop, mise à la porte parce que mon chiffre d'affaires ne grimpait pas assez vite. Puis
un gros problème de santé m'est tombé dessus. Ensuite j'ai été expulsée par mon
propriétaire. Alors j'ai chaviré, je suis tombée dans le marasme.
Elle se tait. Je jette un coup d'œil à Valentin : il est pâle. Nous ne bougeons pas.
Soudain elle se redresse et nous dévisage.
- C'est vraiment pour moi ce cadeau ? - Mais oui ! Pour vous ! On sourit. La porte s'ouvre et Violette apparaît. Elle devine immédiatement que
quelque chose d'important vient de se produire.
*
31 août. Laure est méconnaissable : coiffée et maquillée ! Elle est franchement
belle! Et ses yeux se mettent à pétiller quand elle nous voit.
- J'ai un petit quelque chose pour vous... Pour chacun, en fait.
Et elle nous fourre un paquet dans la main.
- Cadeau ? - Oui !
- Mais pourquoi ? Elle nous lance un regard profond. Comme si elle voulait nous dire « C'est grâce à
vous que je remonte la pente... »
Valentin déballe et découvre un renard en terre glaise.
- J'adore les renards !
Puis je déballe à mon tour et je découvre un écureuil.
-J'adore les écureuils !
- J'ai fait ça à l'atelier de sculpture.
Une heure plus tard, on la quitte. On reviendra dans une semaine.
Dans l'ascenseur, Valentin et moi on se fixe longuement. On a les yeux un rien
humides. Il faut dire que Laure est toujours muette. Complètement muette. Sauf avec
nous. Guérira-t-elle ?
Rem : Cette nouvelle était offerte par la Communauté française sous forme de
plaquette lors d’une opération « Fureur de lire ».
Questionnaire : Compréhension d’un récit de fiction :
E. Wilwerth, Six morts.
Epoque et espace
1. Où se passe l’histoire ?
......................................................................................................................................................
2. A quelle époque se déroule-t-elle ?
......................................................................................................................................................
L’espèce de récit
3. Voici quatre résumés qui expliquent les différentes espèces de récit. Lequel
des quatre convient le mieux à la nouvelle que tu viens de lire ? Justifie ton
choix en utilisant les définitions du tableau.
1 Le récit de vie est un récit où l’histoire racontée est vraie, s’est
réellement déroulée
2 Un récit fantastique se déroule dans un environnement familier. Dans cet
univers apparaît un phénomène inexplicable, qui n’est pas compatible avec
les lois de la réalité
3 Le récit policier est un récit contenant une énigme, une enquête criminelle,
un vol, un crime, ….
4 Un récit exemplaire contient une histoire qui sert à faire admettre une
leçon, un enseignement, une morale. Les rebondissements et le
dénouement du récit consistent à persuader le lecteur qu’il doit agir dans
le sens de la leçon tirée par l’histoire
« Six morts » est un récit ……………………
Reprends un élément de la définition et justifie-le-en utilisant tes mots.
Elément : .............................................................................................................................
Justification : ...........................................................................................................................
......................................................................................................................................................
4. Tu peux dire que :
Cette histoire est invraisemblable.
Cette histoire est vraisemblable.
Intention de l’auteur
5. Dès lors, quelle est l’intention dominante de ce texte
Coche la proposition exacte.
Nous divertir.
Nous persuader.
Nous informer.
Nous enjoindre (faire agir).
Le narrateur
Qui est le narrateur ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Contenu du récit
6. Indique si les propositions suivantes qui expliquent certains passages du
récit sont vraies ou fausses. Entoure la mention exacte. Ensuite, justifie-
toi en recopiant un extrait du récit.
Laure est complètement muette. VRAI / FAUX
Extrait : .....................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
Les victimes de Laure ne sont pas des êtres humains. VRAI / FAUX
Extrait : .....................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
Bart Duivel a un bon alibi. VRAI / FAUX
Extrait : .....................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
Nestor n’a aucun alibi. VRAI / FAUX
Extrait : .....................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
7. Comment les deux héros vont-ils découvrir l’identité du coupable ?
......................................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
8. Quel est le fait précis qui, dans l’enfance de Laure, a été à l’origine de
ses problèmes ?
......................................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
9. Quels sont les différentes victimes et les suspects que Valentin et Titane
ont mis sur leur liste ?
Les victimes Les suspects
Etat d’âme.
Comment pourrais-tu qualifier l’état d’âme dans lequel se trouve
Laure avant sa rencontre avec les jeunes et après? Pourquoi as-tu choisi
cet adjectif ?
Avant sa rencontre avec les jeunes, Laure est ……………………………………………………………
parce que ...................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
Après sa rencontre avec les jeunes, Laure est ………………………………………………………………
parce que ...................................................................................................................................
......................................................................................................................................................
Correctif
Bien
écrit
Mal
écrit
Correction éventuelle
1) Vous êtes les bienvenus. X
2) Elle est maline. X maligne
3) Arrivez plutôt la prochaine fois ! X plus tôt
4) Nous devons travailler davantage. X
5) Tu viens ? Biensur. X bien sûr
6) Cet exercice, je les compris. X l’ai
7) Tu dois contrôler tes émotions. X
8) Il ne faut guerre se faire d’illusions. X guère
9) Je veux un peut de repos. X peu
10) Je ne connais pas ce personnage de film. X
11) Mon frère a mal au foi. X
12) Ce siège est vraiment délica. X délicat
13) Maleureusement, je ne peux pas venir. X malheureusement
14) Deuxièmement, il faut préparer les valises. X
15) Je m’enuie ! X ennuie
Participes passés
1. mangé / déçue / offert / choisis / tenu
2.
a. Ce soir, ils sont arrivés à l’heure.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « être » qui s’accorde avec le nom auquel il se
rapporte.
b. Epuisée, ma mère peut maintenant se reposer.
- P.P. employé seul qui s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
c. J’ai réalisé de nombreux exercices pour m’entrainer.
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car le CDV est placé
après le P.P.
d. Mes anciens amis ont changé !
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il reste invariable car il n’y a pas de
CDV.
e. Les chats que j’ai adoptés sont adorables !
- P.P. employé avec l’auxiliaire « avoir », il s’accorde avec le CDV car il est placé
avant le P.P.
3.
a. Le linge marqué
b. La cuisine balayée
c. Le persil haché
d. La porte verrouillée
e. Les chariots chargés
f. Les herbes arrachées
g. Les chevaux sellés
h. Les fenêtres fermées
i. Les vaches conduites
j. Des histoires connues
k. Les cuivres faits
l. Les exercices réussis
m. Une lettre remise
n. L’étagère peinte
o. Les bras ouverts
p. La carpette battue
q. La cravate choisie
r. Une décision prise
4.
a) La voiture est (arrêté) au milieu de la route. arrêtée
b) Qu’elles soient (pris) dans un piège ne m’étonnerait pas. prises
c) Ces trésors ont été (découvert) par des explorateurs. découverts
d) Mes examens, les professeurs les ont (corrigé) cette semaine. corrigés
e) Les artistes ont (ébahi) les spectateurs. ébahi
4. Sur la table carrée, je vis un cahier couvert d'un parchemin jauni. .L'enfant
piquait le flanc des bœufs avec une gaule longue et légère, armé d'un
aiguillon peu acéré. La grand-mère entrouvre les tiroirs d'une commode
d'autrefois, une commode pleine de bibelots étranges : un sou percé comme
tous les sous percés , une crécelle, un citron sec et noirci, ceint d'une faveur
déteinte , un petit papier rempli de cailloux.
Les leçons sues, l'enfant aidait aux menus travaux.
L'homme s'ennuie du plaisir reçu et préfère de bien loin le plaisir conquis Ce ne
sont plus des coquilles abandonnée par les eaux que je cherche, ni même cette
fontaine profonde et tarie couverte d'un grillage enfoui sous tant d'herbes
folles.
5.
Avec un verbe pronominal.
Il faut remplacer « se + être » par « avoir » et appliquer la règle du
P.P. avec l’auxiliaire « avoir ».
a. Elle se sont lavé/lavée/lavées les mains.
b. Que de choses ils se sont imaginé/ imaginés/ imaginées !
c. Ma joie s’est évanoui/ évanouie / évanouies d’un coup !
d. Elles se sont rincé/ rincées/ rincés les cheveux.
Suivi d’un verbe à l’infinitif.
Le P.P. s’accorde si le CDV fait l’action de l’infinitif.
a. Les champignons qu’ils ont voulu/voulus/voulues manger sentent bon !
b. Les garçons que j’ai vu/vus/ vues jouer sont doués.
c. Les batteurs que tu as entendu/entendus/ entendues jouer habitent à
Paris.
d. Voici les élèves que vous avez dû/ dus/ dues punir…
Avec un verbe de valeur.
Le P.P. s’accorde au sens figuré.
a. Que d’efforts cette leçon m’a coûté/ coûtée/ coûtés !
b. Les deux cents euros que cet objet m’a coûté/ coûtée/ coûtés en valaient
la peine !
c. Les kilomètres qu’elle a couru/ courus/ courue l’ont fatiguée.
d. Quels dangers avez-vous couru/ courus/ courue ?
Les natures
Phrase A
1 : dét.
2 : NC
3 : V
4 : dét.
5 : NC
6 : adj.
Phrase B
1 : NP
2 : V
3 : dét.
4 : NC
5 : dét.
6 : NP
Phrase C
1 : pron.
2 : V
3 : adv.
4 : V (participe passé)
5 : dét.
6 : NC
Phrase D
1 : dét.
2 : NP
3 : V
4 : dét.
5 : NC
6 :ML (prép.)
7 : NC
8 : pron.
9 : pron.
10 : V
11 : adv.
12 : V
Phrase E
1 : NP
2 : V
3 : V (participe passé)
4 : dét.
5 : NC
6 : ML (prép.)
7 : dét.
8 : NP
Phrase F
1 : dét.
2 : adj.
3 : NC
4 : pron.
5 : verbe (auxiliaire)
6 : verbe (participe passé)
7 : ML (conj.de coord.)
8 : dét.
9 : NC
10 : V
11 : adv.
12 : adv.
Phrase G
1 : dét.
2 : NC
3 : V
5 : ML (prép.)
6 : dét.
7 : adj.
4 : NC 8 : NC
Phrase H
1 : dét.
2 : NC
3 : pron.
4 : V
5 : ML (conj.de sub.)
6 : pron.
7 : pron.
8 : V
Structure
a. Si je pourrais venir, je viendrais avec plaisir.
pouvais
b. Mes parents souhaitent que je leur rends un service.
rende
c. Ces enfants sont jamais contents !
ne sont jamais
d. Il est tombé malade donc il courait sous la pluie.
car il courait
e. Je préfèrerais qu’il y aurait encore des véhicules qu’on pourrait conduire seul
et non un véhicule constitué de plusieurs modules.
qu’il y ait … que l’on puisse
f. Les bâtiments seront en marbre, elles seront composées d’organismes vivants.
il seront
g. L’histoire de Cédric que je vous parle me satisfait beaucoup.
dont je vous parle
h.C’est moi qui a préparé ce repas délicieux !
C’est moi qui ai préparé ...
Expansions du nom
1.a.Groupe nominal prépositionnel
b. Proposition relative
c. Groupe nominal prépositionnel
d. Adjectif
e. Groupe nominal
f.Proposition relative
2.
L’étrange métamorphose adjectif
Le vieux qui lisait des romans d’amour proposition relative
Le voleur de médaille groupe nominal prépositionnel
Grève sauvage adjectif
Le secret de Mandre groupe nominal prépositionnel
Lassie, chien fidèle groupe nominal
3.(Plusieurs possibilités)
a.Un GNP : L’enfant des ombres préposition (à,de,…) + nom commun avec ou
sans son déterminant
b.Un adjectif : les oiseaux bleus / géants/ …
c.Un GN : Bruxelles, la capitale de la Belgique / cette ville immense …
e. Une Prop.rel. : La maison qui est face à moi doit commencer par un pronom
relatif (qui, que, dont, …)
Temps du récit
1)
Jours précédents
Aujourd’hui
Prochains jours
1) Il est en classe et il observe Samia.
2) C’et jeudi.
3) Ligne du temps :
1 8 7 5 3 2 10 9 4 6 11
Passé Présent Futur
1. Marcher 2. Aller 3. Finir
Je marchai J’ allai Je finis
Tu marchas Tu allas Tu finis
Il marcha Il alla Il finit
Nous marchâmes Nous allâmes Nous finîmes
Vous marchâtes Vous allâtes Vous finîtes
Ils marchèrent Ils allèrent Ils finirent
4. Dire 5. Venir 6. Tenir Je dis Je vins Je tins
Tu dis Tu vins Tu tins
Il dit Il vint Il tint
Nous dîmes Nous vînmes Nous tînmes
Vous dîtes Vous vîntes Vous tîntes
1 5 7 8
3
2 4 6 9 10 11
Ils dirent Ils vinrent Ils tinrent
7. Savoir 8. Pouvoir 9. Vouloir Je sus Je pus Je voulus
Tu sus Tu pus Tu voulus
Il sut Il put Il voulut
Nous sûmes Nous pûmes Nous voulûmes
Vous sûtes Vous pûtes Vous voulûtes
Ils surent Ils purent Ils voulurent
10. Faire 11. Etre 12. Avoir Je fis Je fus J’ eus
Tu fis Tu fus Tu eus
Il fit Il fut Il eut
Nous fîmes Nous fûmes Nous eûmes
Vous fîtes Vous fûtes Vous eûtes
Ils firent Ils furent Ils eurent
UN ORAGE.
Rappel :
Dans un récit au passé :
- Imparfait = descriptions, actions secondaires
- Passé simple = actions principales, actions courtes
Le soir (approcher) approchait, le soleil (décliner) déclinait, le ciel (être) était
magnifique. Je (regarder) regardais les collines du bout de la plaine, qu'une
immense bruyère violette (recouvrir) recouvrait à moitié... Tout à coup je (voir)
vis un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme
pour s'abriter dessous. Puis la voiture (passer) passa après d'un troupeau d'oies
qui (bavarder) bavardaient joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire) dit le
cocher." En effet, je (tourner) tournai la tête : la moitié du ciel derrière nous
(être) était envahie par un gros nuage noir, le vent (être) était violent, les ciguës
en fleur (se courber) se courbaient jusqu'à terre, les arbres (sembler)
semblaient se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir)
couraient sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler) volaient
de grandes nuées. Un moment après (éclater) éclata un des plus beaux orages
que j'aie vus.
L'affaire Crale ? Un procès qui fit du bruit parce que la victime était un peintre
en renom, Amyas Crale, empoisonné par sa propre femme, Caroline, condamnée
pour ce crime à la détention perpétuelle et morte un an après. Oh ! elle avait eu
l'excuse de la provocation : Arayas était amoureux d'un ravissant fruit vert
nommé Elsa Greer qu'il avait amené chez eux à Alderbury pour exécuter son
portrait et il parlait de divorcer pour l'épouser. Caroline innocente ? Impensable
- et sauf sa demi-soeur qui l'estima incapable d'avoir versé le poison et
n'expliqua la mort d'Amyas que par un suicide également impensable. Nul n'y crut
de toute évidence... Une évidence éclatante dans le témoignage des cinq
personnes présentes au moment du drame, que le détective Hercule Poirot
interrogea seize ans après et, du récit qu'il demanda ensuite à chacun de
rédiger,
Le narrateur
1. Voici un passage tiré du livre « Vilain crapaud cherche jolie grenouille » de VAN
ACKER Christine. Prends-en connaissance et réponds aux questions.
« Le lendemain, à la récréation, je suis passé près du groupe de Chloé ; je me suis
penché comme si je ramassais quelque chose ; j’ai d’abord vérifié la couleur de ses
sandales : pas de doute, c’était bien elle. Je pouvais alors lui demander de mon air
« indifférence feinte » :
- Ce n’est pas toi, par hasard, qui aurais perdu ce bout de papier ?
Chloé a levé les yeux sur moi et elle s’est mise à rougir, à rougir, tant que ses yeux
paraissaient encore plus grands, et ses lunettes plus brillantes.
Elle a pris le papier et l’a rangé machinalement dans sa poche tout en continuant à
parler avec ses copines. »
a. Qui est le narrateur ? Quel est son point de vue ?
Le narrateur est le personnage d’un garçon (un écolier). Son point de vue est interne.
b. Quels sont les indices du texte qui le prouvent ?
« Je suis passé »
« mon air « indifférence feinte »
« je me suis penché comme si je ramassais »
c. Que sais-tu sur lui ? Sur ses sentiments ?
Il est amoureux de Chloé. Il est déterminé à entrer en contact avec elle.
d. Quel système temporel est utilisé ? Le présent ou le passé ? Entoure les verbes de
la narration.
Le passé ( passé composé utilisé)
e. Quel est le cadre spatio-temporel ?
L’histoire semble se passer à notre époque dans la cour de récréation d’une école.
2.Transforme cet extrait en adoptant le point de vue d’une personne extérieure à
l’histoire.
a. Quel point de vue vais-je utiliser ?
Un point de vu externe.
b. A quelle personne sera écrit mon texte ?
Il sera écrit en « il » et « elle ».
c. Quel système temporel vais-je employer ?
Le système du passé au passé composé.
Exemple de texte :
« Ce jour-là, à la récréation, le jeune garçon est passé près du groupe de Chloé ; il
s’est penché en regardant les sandales de la jeune fille. Ensuite, il lui a demandé:
- Ce n’est pas toi, par hasard, qui aurais perdu ce bout de papier ?
Chloé a levé les yeux sur lui et elle s’est mise à rougir, à rougir.
Elle a pris le papier et l’a rangé machinalement dans sa poche tout en continuant à
parler avec ses copines. »
Il faut supprimer tout ce qui montre des sentiments, des impressions et garder
ce que tout le monde peut voir et entendre.
Lecture
Questionnaire : Compréhension d’un récit de fiction :
E. Wilwerth, Six morts.
Epoque et espace
1. L’histoire se passe en Belgique, dans les rues de Bruxelles.
2. Elle se déroule dans une époque contemporaine.
L’espèce de récit
« Six morts » est un récit policier.
Reprends un élément de la définition et justifie-le-en utilisant tes mots.
Elément : « une énigme » ou « enquête criminelle » ou « crime »
Justification : Dans cette histoire, les deux héros vont essayer de résoudre
l’énigme des poupées décapitées. / Dans l’histoire, il y a des crimes de
vandalisme sur des poupées, un mannequin,…
Tu peux dire que :
Cette histoire est vraisemblable. aucun fait irréel, fantastique.
Intention de l’auteur
Nous divertir.
Le narrateur
Le narrateur est interne, c’est une jeune fille (Titane), la demi-sœur de Valentin.
Contenu du récit
Laure est complètement muette. VRAI / FAUX
Extrait : « Complètement muette. Sauf avec nous. » ou «puis un mot sort d'elle:-
Poupée. » ou « Et sa voix est nette, bien timbrée, sa diction très bonne »
Les victimes de Laure ne sont pas des êtres humains. VRAI / FAUX
Extrait : « Égorgé des poupées... » ou « Une vieille marionnette ! Le cou
tranché! » ou un autre passage avec une victime « objet ».
Bart Duivel a un bon alibi. VRAI / FAUX
Extrait : « Le barman nous dit que Bart a été hospitalisé. Problème au foie,
problème d'alcool !
On file à l'hôpital Saint-Pierre pour vérifier. Information exacte. L'artiste y a
été admis le 15 juin. Ce n'est donc pas lui, « l'assassin ».
Nestor n’a aucun alibi. VRAI / FAUX
Extrait : « Il est parti en vacances depuis deux jours... Ce n'est pas lui le
coupable! »
Comment les deux héros vont-ils découvrir l’identité du coupable ?
Ils vont acheter une poupée « Bécassine » et la mettre devant leur immeuble
afin de voir si le coupable va venir l’égorger.
Quel est le fait précis qui, dans l’enfance de Laure, a été à l’origine de ses
problèmes ?
Ses parents voulaient un garçon après leur première fille et ils privilégiaient
cette dernière qui étaient mignonne.
Les victimes Les suspects
Deux poupées
Une vieille marionnette
Une dentellière
Un mannequin
Bécassine
L'artiste fou, Bart Duivel
Le travesti, Tonino
Nestor
Un type qui se balade en pyjama et
parle tout seul.
Laure
Etat d’âme.
Avant sa rencontre avec les jeunes, Laure est déprimée/ désespérée/
désorientée
parce qu’elle n’a plus rien. Plus de famille, pas de toit, pas de travail. En plus, elle
est blessée au cou.
Après sa rencontre avec les jeunes, Laure est revigorée/ dynamique
parce qu’elle a reçu de l’attention et un cadeau de la part des jeunes.