Évaluation de létat de préparation des hôpitaux Première conférence nationale sur la...
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Évaluation de l’état de préparation des hôpitaux
Première conférence nationale sur la préparation aux urgences sanitaires
« Préparez votre hôpital à faire face à une catastrophe »H. Roslyn Devlin
Le 29 mai 2006
Être prêt signifie…
• Qui est psychologiquement ou physiquement prêt à une expérience ou à une action donnée
• Qui est prêt pour une utilisation immédiate
• Qui est bien disposé
• Qui est susceptible d’exécuter les instructions
• Qui est disponible sur-le-champ
Outils d’évaluation de l’état de préparation
• OSHA Best Practice for Hospital-Based First Receivers of Victims
• Centers for Disease Control and Prevention. Local Public Health Preparedness and Response Capacity Inventory. December 2002; Version 1,1
• Bioterrorism and Other Public Health Emergencies – Tools and Models for Planning and Preparedness Evaluation of Hospital Disaster Drills: A Module-Based Approach
• Bioterrorism Emergency Planning and Preparedness Questionnaire for Healthcare Facilities. Booz-Allen and Hamilton
• Mass Casualty Disaster Plan Checklist: a Template for Healthcare Facilities. American Practitioners in Infection Control. http://www.apic.org/bioterror/checklist.doc
Outils d’évaluation de l’état de préparation du CEEP
• General readiness checklist: A template for healthcare facilities– 24 sections
• CBRNE plan checklist: A template for healthcare facilities– 8 sections
• Révisé par des spécialistes de la médecine d’urgence, de la gestion des urgences et de la santé publique
Hypothèses
• Les catastrophes ou les urgences peuvent survenir à l’intérieur ou à l’extérieur de l’organisation
• On s’attendra à ce que les établissements de santé agissent de façon cohérente lorsque ces incidents se produiront
• Les listes de vérification permettent d’analyser l’écart• Les hôpitaux traditionnels seront les premiers ciblés
(« court séjour »)• « Oui » signifie oui• « Non » peut avoir bien des significations
Processus
• Identification du besoin 2003• Examen de la littérature 2004• Première ébauche 2004• Second examen de la littérature 2005• Révision et édition de l’outil initial par
un groupe d’experts 2006• Mise à l’essai de l’outil sur des sites-témoins• Intégration des commentaires• Publication du document final.
État de préparation général Liste de vérification I
• Définitions• Renseignements généraux sur l’établissement
– Où vont les patients et qui les soigne• Considérations fondamentales
– Existe-t-il un plan d’urgence en cas de catastrophe?– Comment en assure-t-on la gestion?– Est-il intégré à d’autres plans d’urgence en cas de
catastrophe? • Identification du personnel autorisé
– Qui est aux commandes?– Qui fait quoi?
État de préparation général Liste de vérification II
• Mise en œuvre du plan et intervention– Ressources humaines– Approvisionnement– Ententes interinstitutionnelles ou interorganisationnelles– Plans ministériels– Chaîne de possession– Installations faisant office de morgue– Plans de secours
État de préparation général Liste de vérification III
• Système de transmission des ordres sur les lieux de l’incident
• Sécurité et accès– Contrôle du va-et-vient à l’extérieur
• Contrôle des allées et venues à l’intérieur– Suivi des patients, du personnel, des bénévoles et
des médias
• Communications– Réseau organisé de messagers– Répertoire des personnes ressources
État de préparation général Liste de vérification IV
• Gestion des visiteurs– Divulgation de renseignements sur les patients– Identification des visiteurs– Porte-parole désigné
• Médias– Emplacement– Porte-parole– Politique de divulgation de renseignements– Intervention communautaire intégrée
État de préparation général Liste de vérification V
• Accueil des victimes– Suivi temporaire des patients– Suivi des objets personnels des patients
• Communications sur le terrain– Notification avant de quitter le service– Mises à jour régulières– Télévision, radio et autres sources d’information
• Réorientation des opérations hospitalières• Préoccupations liées aux technologies de l’information
– Capacité de traiter des patients dans des emplacements non standard
• Ententes interorganisationnelles
Procédures d’évacuation
• Déplacement des patients et du personnel– Emplacements satellites– Itinéraires d’évacuation– Exigences en matière de transport– Plans en cas de conditions climatiques défavorables
• Ententes interorganisationnelles• Formalités relatives aux congés des patients
– Suivi des patients– Dossiers médicaux
Procédures autonomes
• Alimentation auxiliaire
• Aliments et eau
• Élimination des rebuts et déchets
• Repos et rotation du personnel
• Médicaments et fournitures
État de préparation général Liste de vérification VI
• Capacités diagnostiques
• Technologie de l’information
• Gestion du stress à la suite d’un incident critique
• Rétablissement après une catastrophe– Combien tout cela a-t-il coûté?
• Éducation et formation
Hypothèses de la liste de vérification en cas d’incident CBRNE
• Les victimes arriveront sans prévenir ou à court préavis• L’information concernant l’agent dangereux ne sera pas
disponible immédiatement • Un grand nombre de victimes se présenteront de leur
propre chef• Les victimes n’auront pas nécessairement été
décontaminées avant leur arrivée • De nombreuses personnes se présenteront, mais
n’auront été que peu ou pas exposées• La plupart des victimes iront dans l’établissement de
santé le plus près du site de l’incident• Les victimes tenteront d’utiliser d’autres entrées, outre
celles des services d’urgence
Liste de vérification en cas d’incident CBRNE
• Considérations fondamentales– Y a-t-il un plan, un planificateur ou un comité de planification?– Collaboration interorganisationnelle– Catastrophes se produisant à l’intérieur et à l’extérieur– Impératifs des installations, à l’intérieur et à l’extérieur
• Formation et sensibilisation– Signes et symptômes d’un incident CBRNE– Rôles et responsabilités– Chaîne de possession– Où se trouve l’équipement?– Rôle de l’équipe d’intervenants en cas d’urgence et des
spécialistes du contenu
Procédures I - Urgence CBRN
• Communication– Avec ou sans EPI
• Chiffres de référence de la surveillance syndromique
• Équipement de décontamination– Chauffage– Confinement des eaux de décontamination
• Triage et séparation des patients• Contrôle de la ventilation• Dispositions concernant la sécurité
Procédures II - Urgence CBRN
• Commandes standard
• Antidotes et traitements– Exigences posologiques– Matériel pour l’administration des médicaments
• Responsable de la réception des envois provenant de la Réserve nationale de médicaments
• Exigences réglementaires en matière d’EPI
Module I – Incident biologique
• Agents de catégorie A– Anthrax (charbon)– Peste– Variole– Botulisme– Fièvres hémorragiques virales– Tularémie
• Caractéristiques– Se propagent facilement– Entraînent des taux de mortalité élevés– Suscitent la panique dans la population– Nécessitent des mesures de préparation spéciales
Module II – Incident biologique
• Tableau clinique• Diagnostics en laboratoire• Procédures de lutte contre l’infection• Traitement
– Réserves : locales, municipales, provinciales, nationales
• Prophylaxie• Vaccination• Exigences en matière de santé publique
Module III – Incident biologique
• Surveillance interne/externe• À quel moment l’intervenant d’urgence avise t il les
responsables de la lutte contre les infections?• Votre établissement peut-il procéder à des tests de
détection d’agents biologiques 24 h sur 24, 7 j sur 7?• Traitement/acheminement d’agents de catégorie A• Questions liées à la chaîne de possession• Pharmacie
– Surveillance de l’utilisation des médicaments– 24 h sur 24, 7 j sur 7
Module I – Incident chimique
• Gaz neurotoxiques– Sarin, Tabun, Soman, VX
• Pesticides• Agents hémotoxiques
– Cyanures• Agents vésicants
– Ypérite, lewisite, phosgène• Agents suffocants
– Chlore, phosgène, diphosgène, ammoniaque• Agents antiémeutes
– Gaz lacrymogènes, gaz émétiques, gaz poivrés
Module II – Incident chimique
• Atropine• Pralidoxime• Diazépam• Tropicamide• Pyridostigmine• Trousse antidotique anticyanure
– Nitrite de pentyle, nitrite de sodium, thiosulfate de sodium
• Dimercaprol• Acétylcystéine en aérosol
Module III – Incident chimique
• Entreposage sécuritaire des inventaires• Réserve d’accès rapide• Suivi des stocks d’antidotes
– Dates de péremption
• Maintien des stocks d’antidotes• Planification tant pour les incidents à
l’extérieur qu’à l’intérieur– Équipe d’intervention à l’intérieur– Rôle des matières dangereuses (Hazmat)
Module IV – Incident chimique
• Protocole de décontamination• Confinement et mesures correctives• Surveillance de la contamination chimique• Décontamination des patientes enceintes• Sacs en plastique/conteneurs à déchets
résistants aux produits chimiques et étanches aux vapeurs
• Politique sur l’exclusion d’air• Transport des victimes décédées
EPI contre les agents chimiques
• EPI adéquat
• Programme de protection des voies respiratoires
• Essais d’ajustement
• Suivi de l’EPI
• Surveillance régulière afin d’assurer une répartition appropriée
• Formation/qualification du personnel (certificat de compétences)– Fréquence de la formation/émission de certificats
Module sur les incidents radiologiques ou nucléaires
• Responsable de la radioprotection• Liste d’experts en radioprotection à contacter au besoin
– Responsable de la radioprotection– Spécialiste en médecine nucléaire/radiologistes– Personnel en radio oncologie– Experts de l’extérieur
• Incidents se produisant à l’intérieur et à l’extérieur– Exclusion des soignantes enceintes
• Victimes exposées au radiations comparativement aux victimes contaminées par une substance radioactive
• Installations de décontamination
Détection des radiations
• Instruments de détection appropriés– Emploi des instruments et interprétation des données– Documentation sur les résultats de la surveillance des
radiations
• Dosimètres destinés au personnel– Programme de surveillance des dosimètres
• EPI approprié• Atténuation des conséquences d’une dérogation
à une procédure
Traitement des victimes
• Antiémétiques• Antidiarrhéiques• Iodure de potassium• Équilibre hydro électrolytique • Échantillons d’urine pour une période de 24 h• Mesure de la radioactivité fécale• Transport sécuritaire des échantillons• Analyse des échantillons
Effets personnels et déchets contaminés
• Pièce à revêtement de plomb/béton pour l’entreposage
• Sacs en plastique et contenants pour déchets
Capacité et volonté des travailleurs de la santé de se présenter au travail
• 47 établissements de santé dans la ville de New York– 31 hôpitaux, 11 établissements de soins de longue durée et
3 centres de santé communautaires• 6 scénarios
– Urgence météorologique– Bioterrorisme– Terrorisme chimique– Incident entraînant des pertes humaines massives (IPHM)– Catastrophe environnementale– Terrorisme radiologique– Éclosions de maladies infectieuses pour lesquelles aucun
traitement n’est disponible• 2 catégories
Quereshi K, et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Données démographiques sur le personnel
• Temps plein : 88 %• Femmes : 69,4 % • > 45 ans : 42,7 % • Infirmières : 26,2 %• Personnel de soutien : 24,8 %• Administrateurs : 19,3 %• Médecins :10 %• Autres : 11 %
Quereshi K., et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Inquiétudes quant à sa propre sécurité
Niveau d’inquiétude
Incident biologique
Incident chimique
Élevé/modéré 3 298 (54,7 %) 3 168 (52,5 %)
Léger/faible 2 736 (45,3 %) 2 870 (47,5 %)
Quereshi K., et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Capacité d’intervenir en cas d’urgence
Quereshi K., et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Neige Variole Ag. chim. IPHM Catastrophe env. Radiations SRAS
Non
Incertain
Oui
Volonté de collaborer en cas d’urgence
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Neige Variole Ag. Chim. IPHM Castastropheenv.
Radiations SRAS
Non
Incertain
Oui
Quereshi K., et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Obstacles à la capacité d’intervenir en cas d’urgence
• Transport (33,4 %)
• Soin d’enfants à charge (29,1 %)
• Inquiétudes quant à sa propre santé (14,9 %)
• Soin de personnes âgées à charge (10,7 %)
• Soin d’un animal domestique (7,8 %)
• Autre emploi (2,5 %)
Quereshi K, et al. Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Obstacles à la volonté d’intervenir en cas d’urgence
• Peur et inquiétudes pour la famille (47,1)
• Peur et inquiétudes pour soi (31,1 %)
• Problèmes de santé personnels (13,5 %)
• Questions liées au enfants/personnes âgées à charge (1,4 %)
Quereshi K., et al., Journal of Urban Health: Bulletin of the New York Academy of Medicine Vol. 82 #3 378-388. 2005
Solutions pour faire échec aux obstacles
• Covoiturage• Recours aux SMU/policiers pour assurer le
transport du personnel• Groupes d’entraide pour les soins urgents aux
enfants/personnes âgées• Médicaments sur place pour certains employés• Ententes pour le soin des animaux domestiques• EPI adéquat• Éducation appropriée
ProcessusAnalyse des modes de défaillance et de
leurs effets (AMDE) • AMDE : déterminer la probabilité du risque ou de la cause potentielle
Concevoir un système pour éponger les erreurs- Simulation de la mise en place et du retrait de l’équipement de
protection individuelle, « code bleu de protection » (CBP) et simulations en salles d’opération
• Procédures normalisées– Réduction des variations, élimination du risque d’exposition à des contaminants
inconnus
• Formation et perfectionnement– Évaluations des compétences acquises dans le cadre du programme
d’éducation• Création d’un environnement de soins sécuritaire, où le personnel, tout
autant que les patients, se sentent protégés– Sondage sur la satisfaction et le niveau de confiance du personnel lors de la
prestation de soins
Précautions en cas de risque élevé
ProcessusModule à l’échelle de l’hôpital
• Formation des formateurs• De 2 à 4 instructeurs ont été désignés dans
chaque secteur• Les instructeurs collaborent avec des praticiens
du domaine de la lutte anti infectieuse lors de séances à horaire fixe
• Groupe 1 : 6 heures• Groupe 2 : 4 heures• Groupe 3 : 3 heures• Démonstrations réciproques, en fonction des
secteurs désignées
Liste de vérification des compétences
Mise en place et retrait d’un masque respiratoire N95
NOM : _____________________________ UNITÉ : _____________________RÉVISÉ PAR : ______________________ DATE : _____________________
Pour recevoir votre certificat de compétences cliniques spécialisées, vous devez faire valoir vos connaissances, habiletés et opinions à l’égard des éléments suivants :
CONNAISSANCES :• Décrire la technique appropriée pour mettre et retirer un masque respiratoire N95• Expliquer l’importance des essais d’ajustement• Décrire la méthode appropriée pour compléter la vérification de l’étanchéité du masque• Énoncer les raisons justifiant de changer de masque respiratoire• Expliquer pourquoi on ne doit pas toucher le masque avec les mains une fois qu’il est en place• Préciser en quelles circonstances il convient d’utiliser un masque chirurgical/N95, selon les différents types de protection requisHABILETÉS :• Se laver les mains ou utiliser un gel désinfectant sans eau (rince-mains)• Mettre le respirateur dans le creux de la main, en plaçant la partie couvrant le nez sur le bout des doigts• Positionner le masque respiratoire sous le menton, la partie couvrant le nez vers le haut• Tirer sur le cordon supérieur en le glissant tout autour du sommet de la tête, tel une couronne• Tirer ensuite sur le cordon inférieur et s’assurer qu’il est bien ajusté• Pincer le partie couvrant le nez à l’aide de deux doigts de chaque main• Vérifier l’étanchéité et ajuster les cordons en conséquence• Placer vos mains en porte-voix par-dessus le masque et expirer• Ajuster la partie couvrant le nez et les cordons afin d’assurer une étanchéité parfaite• Retirer le masque de façon appropriée :• Saisir le cordon inférieur, puis le cordon supérieur par les côtés• Tirer lentement les cordons vers l’arrière en les faisant glisser par-dessus la tête et en s’assurant que le masque demeure en place• Ramener les cordons vers l’avant, de façon à dégager très lentement le masque du visage• Jeter le masque dans un contenant réservé aux matières infectieusesCOMMENTAIRES
Module didactique par secteur hospitalier
Groupe(s) Révision des PMBH
Salubrité environnemental
Protocole du service central de traitement
Politique sur le transport des patients
Lignes directrices révisées sur l’oxygéno-thérapie
CBP PSRC* PESRC* Système de protection individuelle T4 de Stryker*
1Secteurs des soins intensifs
Imagerie diagnostique
Service des urgences
Services périopératoires Inhalothérapie
Unités de procédures spéciales
Zones de la salle commune dotées de chambres ventilées par aspiration
√ √ √ √ √ √ √ √ √
2Entretien central
Personnel et laboratoires cliniques de soutien
Cliniques de médecine communautaire
Techniciens de la morgue
Sécurité
√ √ √ √ √ √
3Cliniques de consultation externe
Zones de la salle commune non dotées de chambres ventilées par aspiration
Tout le personnel administratif
√ √ √ √ √ √
Module destiné aux médecins
• Trousses de documentation pour l’auto apprentissage, dont un CD contenant une démonstration vidéo sur l’utilisation appropriée d’un EPI
• Démonstration réciproque dans le cadre d’un atelier d’une heure pour l’obtention d’un certificat de compétences
• Questionnaire à passer en revue lors de l’atelier• Ce module a été appliqué à l’ensemble du
personnel et aux médecins résidents, de même qu’aux sages-femmes, médecins de famille et associés
Sondage auprès du personnel
• Au 31 août 2005, 4 364 membres du personnel avaient reçu un certificat de compétences
• 400 médecins, associés et sages femmes• Séances de formation continue donnée une fois
par mois pour chaque niveau de certification• La diapositive suivante présente les résultats
d’un sondage mené auprès du personnel
Évaluations• 151 réponses reçues• 4 répondants n’ont indiqué
aucun type d’éducation; ils ont donc été exclus de l’étude
• Les questions avaient trait à leur niveau de confiance envers leurs pratiques en matière de lutte contre les infections, à l’étendu de leurs connaissances des lignes directrices, et à la mesure dans laquelle il se sentaient à l’aise pour sensibiliser les membres de la famille aux questions liées à la lutte contre les infections.
• La solidité de la relation a été mesurée à l’aide du tableau d’analyse statistique RxC
• Un niveau de signification statistique a été observé entre les deux groupes d’étude, avec une valeur p (p < 0,001)
Ont reçu un certificat de compétences
N’ont pas reçu de certificat de compétences
Très confiants 48 (72,7 %) 29 (35,8 %)
Plus ou moins confiants
16 (24,2 %) 43 (53,1 %)
Non confiants 2 (3,0 %) 9 (11,1 %)
Total 66 81
Conclusion
• La préparation aux urgences est un défi aux dimensions multiples
• Aucune organisation n’est jamais « fin prête »
• La clé : la souplesse
• L’éducation est essentielle
• Notre personnel est notre atout le plus précieux