Entretien au sujet du pouvoir de guérison de l’eau · étudiants de Sir Alexander Flemming,...
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Entretien au sujet du pouvoir de guérison de l’eau
La cure d’eau : Un entretien avec le Dr. Batmanghelidj
A propos du Dr. Batmanghelidj
Le Dr. Batmanghelidj est né en Iran en 1913. Il a fait des études de médecine en Angleterre
puis est retourné en Iran où il fut prisonnier politique pendant deux ans et demi à l’époque
de la révolution iranienne. C’est en prison qu’il découvrit les pouvoirs de guérison de l’eau. À
sa sortie de prison en 1982, il s’enfuit aux Etats-Unis où il consacra les 20 dernières années
de sa vie à promouvoir les vertus de l’eau auprès du grand public.
Un rapport spécial de Mike Adams, journaliste de
News Target
Les médecins font rarement la promotion des vertus
curatives de H²O mais le Dr. Batmanghelidj a étudié
les effets de l’eau sur le corps humain et a
découvert qu’il s’agissait à la fois d’une des
meilleures solutions pour soulager la douleur et
d’une des meilleures thérapies préventives connues
à ce jour.
J’ai été une des dernières personnes à interviewer
feu le Dr. Batmanghelidj et c’est avec à la fois
beaucoup de respect et d’étonnement que je l’ai
écouté partager avec moi l’histoire de ses
recherches et découvertes concernant « Le pouvoir
de guérison de l’eau».
Lors d’une conversation d’une heure tout à fait
fascinante, le Dr. B. nous explique :
- Pourquoi les « maladies » et autres affections communes sont en fait causées par la
déshydratation.
- Pourquoi de nombreux docteurs utilisent des antihistaminiques qui régulent l’eau
pour soulager la douleur.
- Comment il a découvert fortuitement les propriétés curatives de l’eau
- Quels ingrédients dans les boissons non alcoolisées épuisent les réserves d’eau du
corps.
- Pourquoi la soif n’est pas un indice fiable en ce qui concerne la déshydratation
- Pourquoi il pense qu’on trompe le public à propos du SIDA
- Comment la déshydratation détériore le fonctionnement mental
- Pourquoi certaines organisations cherchent à tenir le public à l’écart des solutions de
santé alternatives
- Comment le manque d’eau cause la dépression
- Pourquoi les boissons populaires actuelles ne peuvent servir de substitut pour l’eau
Découverte de la cure d’eau
Mike : Bonjour à tous, je suis Mike Adams de la société Truth Publishing et aujourd’hui je
suis très heureux d’accueillir le Dr. Batmanghelidj, auteur de « l’Eau pour la Santé, pour la
Guérison, pour la Vie ». Bienvenue à vous Dr. Batmanghelidj.
Dr. B : Merci beaucoup de m’avoir invité à votre émission et de
me donner ainsi l’opportunité de partager mes opinions sur le
futur de la médecine dans ce pays.
Mike : Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui ont lu vos
ouvrages. Les gens sont intrigués par l’idée que l’eau puisse être
une thérapie, une substance qui soigne les problèmes du corps
humain. Qu’en est-il de l’eau ? Comment en êtes-vous venu à
réaliser que l’eau pouvait avoir des vertus curatives ?
Dr.B. : Et bien, c’est assez bizarre. Comme vous savez, je suis un
docteur en médecine, médecin généraliste. J’ai étudié à l’École de
Médecine de l’Université de Londres et j’ai eu l’extrême honneur d’être un des derniers
étudiants de Sir Alexander Flemming, l’inventeur de la pénicilline. Je mentionne son nom de
façon que vous compreniez que je me suis retrouvé vraiment immergé dans l’enseignement
et la recherche médicale. Bien des années plus tard, j’ai dû donner 2 verres d’eau à
quelqu’un qui était plié en deux de douleur abdominale du fait de sa maladie car je n’avais
rien d’autre sous la main. Il ressentait une douleur atroce et l’eau a eu un effet miraculeux
sur lui. Cela lui a apporté un grand soulagement, en trois minutes la douleur avait bien
diminué et en huit minutes elle avait complètement disparu. Alors que juste avant il était plié
en deux et ne pouvait plus marcher, il avait complètement récupéré. Et il a commencé à en
parler autour de lui, très heureux, me demanda que faire si la douleur revenait ? Je lui dis :
« Et bien, buvez davantage d’eau. » Puis j’ai décidé de l’amener à boire deux verres d’eau
toutes les trois heures. Ce qu’il fit et ce fut la fin de ses ulcères en ce qui me concerne.
Mike : Comment les choses ont-elles évolué par la suite ?
Dr. B. : Cela m’a secoué car à la faculté de médecine, je n’avais jamais appris que l’eau
avait le pouvoir de supprimer ce genre de douleur en fait. Et donc j’ai eu l’occasion de tester
l’eau en tant que médication dans plus de 3000 cas similaires. Et à chaque fois, l’eau a
prouvé qu’elle était une médication efficace. Je suis ressorti de cette expérience avec la
compréhension que ces personnes étaient assoiffées et que la soif elle-même pouvait se
manifester sous la forme de douleur abdominale à un point tel que la personne pouvait
devenir presque à demi inconsciente comme j’ai pu le voir de mes yeux. Et l’eau les a remis
d’aplomb à chaque fois.
Donc quand je suis venu aux USA en 1982, je suis allé à l’Université de Pennsylvanie où
j’étais invité à continuer mes recherches et j’ai fait de la recherche sur les propriétés de l’eau
en ce qui concerne le fait d’éliminer la douleur. Je me suis demandé comment il se faisait
que l’industrie pharmaceutique insiste sur le rôle des antihistaminiques en tant que
médication pour ce genre de douleur ? L’histamine est un neurotransmetteur qui se charge
de la régulation de l’eau et des programmes de gestion de la pénurie d’eau. Quand de la
douleur se manifeste, cela indique un état de déshydratation.
Donc concrètement, le corps expérimente de la douleur comme résultat d’une
déshydratation. Vous ressentez de la douleur à l’endroit où se situe la déshydratation. J’ai
présenté ce concept très simple à une conférence internationale sur le cancer à laquelle
j’étais invité en tant que conférencier, expliquant que le corps humain manifeste de la
déshydratation en produisant de la douleur et que celle-ci est un signe de pénurie d’eau dans
le corps, pénurie qui se trouve en fait être l’arrière-plan de la plupart des problèmes de santé
dans notre société.
Si vous regardez ce que fait l’industrie pharmaceutique, vous vous apercevez qu’ils
produisent un grand nombre d’antihistaminiques différents en tant que médication. Les
antidépresseurs sont des antihistaminiques, les antidouleurs sont des antihistaminiques,
d’autres types de médicaments sont directement ou indirectement des antihistaminiques.
Suite à la publication de mon travail, le secrétariat scientifique de la troisième Conférence
Internationale Interscientifique m’a invité à faire une présentation sur l’histamine à leur
conférence en 1989 à Monte Carlo. Et j’ai fait cela et le fait que l’histamine joue un rôle de
régulateur d’eau dans le corps a été compris. Malheureusement, cette information n’est pas
transmise au grand public par la communauté médicale car cela ne génère pas de profits.
Dès lors, j’ai envisagé d’écrire directement pour le public de façon qu’il
devienne directement conscient du problème sans avoir à passer par
l’intermédiaire du médecin et c’est la façon dont j’ai élaboré toute mon
information médicale pour le public. Bien entendu, j’ai publié
largement pour la communauté scientifique mais personne n’a pris
cette information à son compte. En fait quand, dans le cadre de
l’Institut National pour la Santé (NIH), le Bureau de la Médecine
Alternative a été créé, j’ai été invité à participer à sa première
conférence mais après que la présentation des différents travaux et
intervenants ait été faite, ma conférence a été censurée. Il y a donc
une mouvance au sein du NIH qui cherche à fermer le couvercle sur le
sujet pour que l’information ne soit pas disséminée car visiblement ils sont en faveur de
l’industrie pharmaceutique et il est maintenant évident qu’ils sont payés par eux.
Mike : Je pense qu’il s’agit là d’une explication incroyable de ce qui s’est passé jusqu’à
maintenant et je pense que c’est tout à fait correct d’affirmer que, d’une manière générale,
l’industrie pharmaceutique et la médecine organisées ne veulent vraiment pas promouvoir
auprès des patients quoi que ce soit de gratuit ou de quasiment gratuit. La lumière du soleil
est disponible gratuitement, l’eau est disponible quasi gratuitement — seriez-vous d’accord
avec moi pour dire qu’ils pensent que si les gens pouvaient guérir leur maladies et atteindre
par eux-mêmes un meilleur niveau de santé, cela signifierait une diminution de leurs profits
et de leur importance ?
Dr. B. : Tout à fait. C’est la raison pour laquelle j’ai crée une organisation appelée
L’Association Nationale pour l’Honnêteté en Médecine. Parce que je pense qu’il est
malhonnête, en fait criminel, de traiter une personne qui est simplement assoiffée en lui
fournissant une médication toxique qui la rend malade et la fait mourir avant l’âge.
Mike : Pouvez-vous nous indiquer l’adresse internet de cette organisation ?
Dr. B. : Mon site Web se nomme http://www.watercure.com —
de là vous pouvez soit naviguer à l’intérieur du site, soit aller
sur celui de l’Association. J’ai posté beaucoup d’articles
scientifiques concernant la déshydratation sur ce site ainsi que
beaucoup d’autres informations dont tout le monde peut
bénéficier gratuitement.
Mike : Je tiens vraiment à applaudir ce que j’appellerais votre
curiosité scientifique. Je pense qu’il s’agit d’une qualité qui a
vraiment disparu de la majeure partie de la médecine
occidentale, une qualité qui amène un véritable scientifique à
observer la nature ainsi que l’interaction entre les hommes et la
nature, à rester curieux, à garder l’esprit ouvert et enfin à
formuler ses conclusions à l’issue d’une rigoureuse phase de
test et je pense qu’il y a une bonne partie de la science moderne qui n’a pas su garder un tel
esprit ouvert et qui de ce fait a été amenée à tirer des conclusions erronées.
Dr. B. : Oui, une des pires conclusions concerne le SIDA. Parce que tout le monde assume
que le SIDA est une maladie virale, ce qui était une déclaration frauduleuse de la part des
gens qui l’ont énoncée car le corps humain a été amené à se défendre durant de très
nombreuses années contre les maladies virales et il y a survécu. La variole, la polio, la
rougeole et un certain nombre d’autres virus sont capables de tuer rapidement et le corps a
élaboré tout un système de défense contre ces virus redoutables. Ayant survécu à ce genre
de virus, comment serait-il possible qu’un virus lent comme le SIDA puisse le tuer ? C’est
incompréhensible pour moi.
J’ai étudié ce sujet de manière exhaustive et j’ai montré que le SIDA est un problème
métabolique, c'est-à-dire que le corps commence à cannibaliser son propre tissu parce que
certains éléments sont manquants dans la matière première brute qu’il reçoit par apport de
nourriture et de boissons. Ainsi le corps d’une personne atteinte du SIDA présente une
pénurie de bon nombre d’acides aminés indispensables de base. Il manque de tyrosine, de
cystéine, d’histidine alors que les autres acides aminés sont en excès. Donc comment peut-
on s’attendre à ce qu’un corps qui dépend des autres aminoacides puisse survivre ?
Mike : Une fois de plus, nous voyons que le SIDA est un gros marché pour l’industrie
pharmaceutique.
Dr. B. : Bien entendu l’existence entière de l’industrie pharmaceutique est basée sur la
présentation et le marketing d’une fausse science qu’elle cherche à faire rentrer dans le
crâne de personnes crédules n’ayant pas la curiosité nécessaire pour trouver de quoi il
retourne réellement.
Cholestérol
Dr. B. : Un autre exemple de fausse science est la question du cholestérol. Il s’agit là d’un
des éléments les plus indispensables dans le corps humain. Quand le corps commence à
fabriquer davantage de cholestérol, il a une bonne raison de le faire. Ce n’est certainement
pas dans le but d’obstruer les artères cardiaques. Le taux de cholestérol est mesuré à partir
de sang prélevé dans les veines et nulle part dans l’histoire de la médecine ne trouve-t-on
trace d’un seul cas de cholestérol ayant jamais obstrué les veines du corps.
Donc, ce n’est pas la viscosité du cholestérol qui est le problème comme le martèle l’industrie
pharmaceutique : « le cholestérol est visqueux, réduisez le sinon vous aurez les artères
obstruées », ce qui est un non sens complet. En fait le cholestérol sauve la vie des gens car
c’est un bandage étanche conçu par le corps. Quand le sang devient concentré et acide et
qu’il est propulsé au travers d’artères ou de capillaires réduits, en déshydratation, alors des
écorchures et des déchirures se produisent au niveau du système artériel et en premier lieu
dans les capillaires du cœur.
Si le cholestérol n’était pas là pour recouvrir ces écorchures et déchirures, le sang irait alors
sous la membrane et la décomposerait, la personne mourrait sur le champ.
Le cholestérol est en fait un dispositif temporaire de survie qui donne au corps le temps de
récupérer. Ceci n’a jamais été compris. Nous fonctionnons trop à partir de réflexes. Si
quelque chose est en quantité trop importante, nous le diminuons, si c’est trop bas, nous
l’augmentons. Nous ne nous posons pas la question de savoir pourquoi c’est trop élevé ou
trop bas.
Mike : Et les compagnies pharmaceutiques savent très bien qu’il s’agit d’un marché
énorme…
Dr. B. : Il s’agit d’un marché de 10 milliards de dollars. Il existe un compte rendu qui indique
que les statines, les médicaments qui diminuent le taux de cholestérol, entrainent de
l’amnésie. En d’autres termes, le cerveau perd complètement la trace de ce qu’il est en train
de faire et ceci a été publié par un éminent docteur, chirurgien et chercheur à la NASA. Il
sait de quoi il parle car il a eu lui-même le problème.
Mike : Je voudrais simplement rappeler qu’un nombre important d’effets secondaires dus
aux statines a été observé. Certaines personnes souffrent de douleurs musculaires très
importantes, l’amnésie dont vous parliez semble en effet être aussi très répandue et, ce
matin encore, j’ai vu une étude qui mentionne le fait que les myrtilles contiennent des
phytonutriments qui ont le pouvoir de diminuer le cholestérol dit gras, LDL cholestérol, de
façon bien plus importante que les médicament à base de statines.
Dr. B. : C’est intéressant parce que, voyez-vous, en cas de situation urgente le corps
augmente son niveau de production de cholestérol. Le taux normal de production lui sert à
créer des membranes pour les cellules, notamment celles du cerveau ainsi qu’à l’isolation des
nerfs et bien entendu à fabriquer les hormones du corps et la vitamine D. Il s’agit là de
composants essentiels pour le corps. Nous ne devrions jamais interférer avec le cholestérol
sans savoir pour quelle raison le corps en a élevé son niveau de production.
Pas de substitut pour l’eau
Mike : J’ai une question pour vous concernant l’eau —— beaucoup de gens pensent qu’ils
s’hydratent quand ils consomment des boissons non alcoolisées, du lait, du « Gatorade » ou
autres boissons de ce genre.
Dr. B. : « Gatorade » est peut-être passable mais ça contient du sucre et ce n’est pas
particulièrement bon pour les gens qui peuvent même se retrouver en état d’hypoglycémie
ou cela peut induire la production d’insuline, ce qui donne faim et du coup les gens mangent
trop. Mais comme boisson de sport occasionnelle, c’est probablement OK. Si vous êtes au
beau milieu d’un tournoi de golf, boire une bouteille de « Gatorade » vous donne
immédiatement un peu des minéraux que vous avez probablement perdus en transpirant.
Mais rien ne remplace l’eau — absolument rien. Aucune boisson — pas le café, ni le thé, ni
les boissons alcoolisées. Même pas les jus de fruits. Chacun d’entre eux a son propre
programme chimique dans le corps. Ce dernier est habitué à un fluide qui n’a pas de
programme, et le corps dépend de la liberté d’action du fluide qu’est l’eau. Cela vient du fait
qu’il existe deux sortes d’eau dans le corps. Il y a de l’eau qui est déjà occupée à faire
quelque chose, déjà engagée dans une action et donc qui n’est pas disponible pour assumer
une nouvelle fonction. Le corps a besoin d’eau fraîche pour exécuter de nouvelles tâches.
Lorsqu’on lui fournit des boissons sucrées ou caféinées, il subit un échec par rapport au fait
d’obtenir de l’eau car le sucre et la caféine ont leur propre programme et ne peuvent la
remplacer.
Mike : Vous parlez aussi des boissons non-alcoolisées ici ?
Dr. B. : Oui, les sodas, le café ou le thé contenant de la
caféine. Je parle aussi de l’alcool car celui-ci stoppe les
systèmes de fourniture d’eau en urgence aux cellules
importantes comme celles du cerveau. Dans le procédé de
l’osmose inverse, le corps filtre et injecte de l’eau dans les
cellules, c’est cela que j’appelle osmose inverse. Il faut pour
cela augmenter la pression sanguine afin de surmonter la
traction osmotique de l’eau vers l’extérieur des cellules et pouvoir alors réinjecter de l’eau
dans celles-ci. C’est pour cela que nous développons une pression sanguine élevée dans la
déshydratation. Ce procédé d’osmose inverse est stoppé par l’alcool qui bloque le système de
filtre.
Maladie chronique due à un manque d’eau
Mike : Permettez-moi de démarrer cette nouvelle section en vous demandant quelle est la
corrélation entre la consommation d’eau et la maladie chronique. Il existe de nombreuses
maladies chroniques dont vous dites dans votre livre qu’elles sont reliées à la déshydratation.
Je me demandais si vous pouviez donner à nos lecteurs un aperçu de ce que sont ces
maladies chroniques et de la façon dont elles sont aggravées voire déclenchées par une
déshydratation chronique.
Dr. B. : Certainement. J’ai écrit un livre intitulé : « L’eau
guérit et les médicaments tuent ». C’est un livre qui
explique d’une part pourquoi la déshydratation est la
cause de la douleur et de la maladie et d’autre part
comment l’industrie pharmaceutique a camouflé cette
information, l’a occulté et a fait de la publicité pour
l’utilisation de ses produits, qui en réalité sont nocifs, au
lieu de laisser les gens boire de l’eau. Des chiffres récents
montrent que la prescription de médicaments et leur
utilisation, conformément aux recommandations des
médecins, ont tué 106 000 personnes et qu’environ deux
millions de personnes se trouvent bien plus malades
qu’avant de prendre ces médicaments. Puis il y a aussi un
autre groupe qui meurt du fait de prescriptions
défectueuses, fautives. Donc, entre les deux, cela fait
205 000 personnes qui meurent de problèmes reliés aux
médicaments et aux prescriptions. Cela fait de l’utilisation des médicaments la troisième
cause de mortalité dans ce pays — une cause de mortalité protégée et autorisée. Donc,
après les maladies cardiaques qui tuent environ 700 ou 800 000 personnes, le cancer qui en
tue 500 000, les médicaments tuent 205 000 personnes.
Mike : Donc il semble pertinent de dire que l’industrie pharmaceutique, telle que développée
par la médecine moderne, est la troisième cause de décès dans ce pays.
Dr. B. : Absolument, et ces médicaments ne servent à rien car la plupart sont utilisés pour
cacher divers symptômes, signes et autres complications liés à la déshydratation du corps.
Le corps humain manifeste sa déshydratation par une série de symptômes et de signes
perceptibles — en d’autres mots, le cerveau ressent la déshydratation ou la fatigue quand
vous n’avez pas fait une bonne journée de travail. Si la première chose qui vous arrive le
matin est que vous vous sentez fatigué et que vous n’arrivez pas à vous sortir du lit — c’est
un signe de déshydratation.
Ensuite la colère, les réactions vives, la dépression, sont aussi des signes de déshydratation
et indiquent que le cerveau a très peu d'énergie hydroélectrique pour analyser les situations
et/ou déclencher des actions. Voila certains des signes perceptibles de la déshydratation. De
plus le corps a son programme de gestion de la pénurie d'eau avec les allergies,
l'hypertension, le diabète et également les maladies immunitaires.
Le lien entre la déshydratation et l'asthme
Mike : Je voudrais développer un peu plus la question de l'asthme notamment l'idée que le
corps gère son approvisionnement en eau de façon délibérée et qu’il peut découler de cela la
production de symptômes appelés asthme.
Dr. B. : Voyez-vous, le système de gestion de la pénurie d'eau inclut le fait de boucher les
trous par lesquels l'eau s’échappe du corps. L'eau est le bien le plus précieux à l'intérieur du
corps. Donc quand il n'y en a pas assez qui entre et trop en train de se perdre, votre corps
ne va pas accepter une telle situation sans réagir.
La conception intelligente du corps fait qu’un système de gestion de la pénurie d'eau va alors
se mettre en route. En contrôlant l'équilibre en eau au sein de l'organisme, ce système va
alors opprimer le système immunitaire car ce dernier consomme de l'énergie. Cela déclenche
de l'asthme. Nous perdons environ un quart de litre d'eau chaque jour du fait de la
respiration. Il est donc nécessaire de se réapprovisionner. Lorsque ce n’est pas le cas, le
corps resserre les bronches et bouche alors les trous. Nous appelons asthme le flux d’air
réduit dans les poumons du fait de la déshydratation.
Mike : D’accord. J’ai toujours été stupéfié par cette volonté délibérée de la médecine
moderne ou de la médecine occidentale à donner des étiquettes ou des noms compliqués à
des maladies qui devraient porter des noms plus simples.
Dr. B. : Propager son jargon est propre à la médecine commerciale. Tout ce système de
santé survit et prospère en faisant rentrer leurs jargons dans la tête des gens. Les gens ne
les comprennent pas et n’arrivent pas à les associer avec ce qui se passe dans le corps mais
ils les associent avec quelque chose qui fait peur car c’est ce qu’on
leur rabâche sans arrêt.
En ce qui concerne les enfants, il y a 17 millions d’enfants en
Amérique, et ce nombre est en constante augmentation, qui ont
de l’asthme. La raison en est que les enfants consomment de plus
en plus de sodas. Des enfants de 3 à 5 ans ont consommé 3 fois
plus de sodas ces dix dernières années que les dix dernières
années précédentes. Ces enfants sont en train de se déshydrater,
ils consomment davantage de sodas et, ceux-ci ne fonctionnant
pas de la même façon que l’eau, ils se retrouvent avec de
l’asthme. Si on donne de l’eau à ces enfants, leur asthme va
disparaître très rapidement en quelques heures et leur respiration
va redevenir normale. Le besoin d’inhalateurs va disparaître.
Quand j’ai contacté le NIH et que je leur ai expliqué tout ceci, la personne en charge a
déclaré qu’en fait j’étais complètement ignorant car elle cherchait à protéger sa liberté d’agir
à sa guise et a donc ignoré cette information quand bien même j’en avais appelé au
Président Bill Clinton pour lui demander d’intervenir et de redonner leur respiration aux
enfants. Mais le NIH était inflexible par rapport à la nécessité d’utiliser des médicaments. Le
président m’a écrit pour me dire qu’il était satisfait de la façon dont l’asthme était traité dans
ce pays. Pourtant 17 millions d’enfants en Amérique pourraient recouvrer leur respiration en
l’affaire de quelques jours si chacun dans le pays parlait aux personnes asthmatiques et leur
disait que l’eau est la chose qu’ils devraient consommer. Peut-on imaginer une solution plus
simple que celle-là ?
Mike : Oui, je vois. Il existe de nombreuses solutions de ce genre qui permettent de traiter
un grand nombre de maladies chroniques, comme celle que vous venez juste de nous
décrire. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique serait horrifiée de voir cette information se
répandre.
Dr. B. : Oui parce que ce dont je parle va complètement à l’encontre de leur business et il
s’agit là d’un marché de plusieurs milliards de dollars au minimum.
Traiter l’hypertension avec l’eau
Mike : Pour l’industrie pharmaceutique, l’existence de la maladie est une question de
business, il s’agit là d’une industrie qui cherche à faire des profits. Les profits avant tout et,
du moins c’est mon opinion et vous semblez la partager, toute thérapie qui entre en
compétition avec ces profits se retrouve minimisée, marginalisée ou carrément attaquée.
Dr. B. : Oui, récemment il y avait une publicité à la télévision. C’était intéressant – je n’ai
pas réalisé dès le début mais je vois maintenant que la publicité me parlait à moi. En
d’autres mots, il s’agissait d’une publicité contre mes déclarations. Parce que j’ai dit que les
brûlures d’estomac étaient un symptôme de déshydratation du corps humain et qu’il fallait
boire de l’eau. Le gars se pointait au comptoir et disait : « Donnez-moi un verre d’eau s’il
vous plait, j’ai des brûlures d’estomac qui me font souffrir » ou quelque chose du genre. Et la
dame derrière le comptoir lui répliquait, « l’eau ne guérit pas les brûlures d’estomac mais ce
médicament le fera ». Voila comment l’industrie pharmaceutique combat l’information que
j’ai publiée.
Mike : On dirait qu’il y a deux groupes de personnes différentes aux États Unis. Ceux qui
dépendent de l’industrie pharmaceutique pour traiter chaque symptôme et qui modifient par
là même la chimie de leur corps et de leur cerveau du fait des médicaments, et ceux qui
s’éduquent eux-mêmes au sujet des causes réelles de la santé. Ces derniers boivent de
l’eau, ils évitent les additifs dans la nourriture, ils pratiquent de l’exercice – il semble que
l’abîme entre ces deux groupes ne cesse de s’élargir.
Dr. B. : Absolument. C’est pourquoi la médecine alternative prend de
l’ampleur et que de plus en plus de gens se réfèrent à la médecine
alternative plutôt qu’à la médecine conventionnelle. J’ai vendu plus
de 600 000 exemplaires du livre Votre corps réclame de l’eau au
cours des dix dernières années. J’ai réalisé plusieurs milliers
d’interviews à la radio pendant cette période. L’information a été
mise entre les mains du public et c’est la raison pour laquelle
l’industrie pharmaceutique doit augmenter sa publicité de façon à
invalider l’information que j’ai publiée. Voila la raison de l’annonce
publicitaire dont j’ai parlé plus haut, une annonce parmi bien
d’autres.
Bon, nous parlions des programmes de gestion de la pénurie d’eau dans le corps.
L’hypertension est un autre problème lié à cela. Lorsqu’il n’y a pas assez d’eau dans le corps,
que celui-ci se déshydrate, les 2/3 de la perte d’eau proviennent de l’intérieur des cellules.
26% provient de l’environnement autour des cellules et seulement 8% est perdu à partir du
système vasculaire. Mais le système vasculaire est un système élastique – il prend en compte
le relâchement et se resserre si bien que vous ne pouvez pas voir le problème qui se trouve
à l’intérieur des cellules du corps en faisant des tests sanguins. Si les gens buvaient
régulièrement de l’eau et prenaient suffisamment de sel et de minéraux pour amplifier les lits
capillaires, l’hypertension disparaîtrait totalement.
Il y a 60 millions d’Américains qui ne réalisent pas que l’hypertension est une des
manifestations des programmes de gestion de la pénurie d’eau du corps, programmes que le
corps met en route lorsqu’il commence à utiliser un procédé d’osmose inverse pour fournir
de l’eau à l’intérieur des cellules dès lors que celles-ci présentent une déficience
correspondant aux 2/3 de leurs besoins. L’industrie pharmaceutique et les médecins traitent
avec arrogance et ignorance l’hypertension en utilisant des diurétiques.
Mike : Débarrassons-nous de l’eau alors !
Dr. B. : Ils se débarrassent de l’eau dans le corps au prix de nombreux efforts, je dois dire.
Mike : N’est-ce pas un exemple de l’arrogance de la médecine moderne de croire qu’elle en
sait davantage que la nature, davantage que le corps ?
Dr. B. : Nous, en tant que médecins, nous sommes vraiment commandités par l’industrie
pharmaceutique. Nous sommes totalement aveugles et ignorants, l’industrie pharmaceutique
a complètement détourné la médecine. Nous apprenons la physiologie en deux ans et dès
que nous nous tournons vers l’aspect clinique de la question, on nous demande de l’oublier
et nous commençons alors à apprendre la pharmacologie pour traiter les symptômes plutôt
que de comprendre la cause première du problème de santé.
Mike : Mais vous-même avez suivi un enseignement classique, conventionnel….
Dr.B. : J’ai du m’éduquer tout seul.
Penser autrement
Mike : Qu’est-ce qui vous a amené à aller explorer les choses au-delà de la pensée limitée
de la médecine conventionnelle ?
Dr. B. : Je suis quelqu’un qui a toujours été curieux et ce dès mon plus jeune âge, autant
que je me souvienne. Un jour un voleur est rentré dans notre propriété et se tenait sur le
mur et moi j’avais seulement deux ans et demi. Je suis allé le voir et je lui ai dit : « Que fais-
tu ici ? Ne vois-tu pas que tu effraies tout le monde ici ? Pourquoi ne t’en vas-tu donc
pas ? ». Je n’étais pas effrayé, j’étais curieux et je le suis resté tout au long de ma vie et
c’est comme cela que j’ai découvert que l’eau guérit la maladie, ce qui m’a amené à me
pencher sur la question et à en découvrir la raison derrière le phénomène. J’ai découvert à
ce moment là que mon éducation n’avait pas été bonne. Je n’ai pas appris la médecine, j’ai
appris un peu d’anatomie, un peu d’histologie et cela m’a mis en bonne posture pour
découvrir le reste de l’histoire.
Mike : il faut vous féliciter, et je suis sûr que les lecteurs seront d’accord avec moi sur ce
point, pour vous être aventuré hors des sentiers battus de la médecine conventionnelle.
Dr. B. : Je suis un guérisseur parce que c’est ma façon de penser. Je ne pense pas à l’argent
en tant que tel parce que, si vous accomplissez une bonne action, de l’argent va arriver en
tant que produit dérivé de cette bonne action.
Mike : Sur ce point là, j’approuve complètement ce que vous dites.
Dr. B. : Vous n’avez pas à sucer jusqu’à la dernière goutte de sang la personne qui vient
vers vous pour vous demander de l’aide. Cela va à l’encontre de ma nature. C’est pour cela
que j’ai publié cette information sur internet, pour que chacun puisse l’utiliser. Et si j’ai publié
des livres et ainsi de suite, c’est uniquement à des fins d’éducation et pour que les gens s’en
servent. Cette information a un prix qui correspond aux coûts d’impression et de distribution.
Si l’industrie pharmaceutique avait appris qu’elle allait pouvoir vendre l’information contenue
dans mon livre Votre corps réclame de l’eau, elle en demanderait 10 000 $ et non pas
14.95 $.
Mike : Et s’ils le pouvaient, ils déposeraient un brevet pour l’eau.
Dr. B. : Oui, ils le feraient.
Mike : Puis ils essaieraient de la vendre 100$ la dose
Dr. B. : Exactement. Donc, pour résumer, c’est ce qui se passe actuellement avec la
médecine en Amérique. La douleur articulaire, la douleur dans le dos, l’arthrite sont causées
par la déshydratation. Le corps humain envoie aussi des appels d’urgence pour obtenir de
l’eau, appels qui sont précisément localisés. Nous les appelons brûlures d’estomac, douleur
articulaire rhumatoïde, douleur dorsale, migraines, maux de tête, colite, fibromyalgie, et
même les angines – tout cela indique une déshydratation du corps. Le mécanisme est très
simple – lorsqu’il n’y a pas suffisamment d’eau pour pouvoir la distribuer de façon
homogène, certaines parties du corps se retrouvent en train de fonctionner sans recevoir
suffisamment d’eau pour pouvoir traiter leurs rejets toxiques et leur métabolisme, les rejets
toxiques s’accumulent alors dans la zone et les terminaisons nerveuses dans cette zone
enregistrent ce changement environnemental au niveau du cerveau. Ce dernier interprète
ensuite cette information pour le mental conscient et la traduit sous forme de douleur.
Mike : Donc, c’est simplement l’interprétation ?
Dr. B. : Une interprétation, oui. Le mental conscient obtient l’information que la zone en
question ne peut plus être utilisée du fait de cette pénurie d’eau. Le mental conscient aurait
dû comprendre cela mais une mauvaise éducation nous a privé de cette information. Nous
pensons donc que cette douleur est une maladie.
Mike : Le diagnostic qui prévaudrait dans l’esprit de la plupart des gens, en particulier parmi
les médecins, serait qu’il y a quelque chose qui est physiquement ou structurellement
endommagé dans cette zone.
Dr. B. : Et bien, le dommage est causé par la déshydratation du tissu qui change alors de
structure. Les cellules du type « prune » ne fonctionnent pas de la même manière que les
cellules du type « pruneau ». C’est ainsi que les symptômes se manifestent. Ils veulent nous
dire qu’il faut fournir au système les ingrédients dont il a besoin. Quand nous parlons de
déshydratation, il faut aussi prendre en compte que l’eau amène beaucoup de bonnes
choses aux cellules. Lorsque le corps est déshydraté, les autres éléments ne sont pas fournis
non plus. Donc, il faut non seulement corriger ce problème de déshydratation mais
également fournir au corps les vitamines et minéraux nécessaires pour qu’il puisse se réparer
lui-même.
La perception de la soif n’est pas un signal infaillible
Mike : J’aimerais que vous nous parliez de la façon dont les gens peuvent savoir qu’ils sont
déshydratés parce que dans votre livre vous parlez du fait que les signes classiques de
déshydratation ne sont pas nécessairement les seuls, et pourriez-vous nous dire également
combien d’eau en moyenne une personne devrait boire selon vous ?
Dr. B. : D’abord et avant toute chose, n’attendez pas d’avoir soif, c’est une erreur.
Malheureusement, l’Académie Nationale des Sciences et d’autres personnes ont récemment
dit aux gens d’attendre d’avoir soif avant de boire. Nous héritons là d’une erreur qui date de
plus de 100 ans provenant d’un individu nommé Calter Bradford Cannon. A l’époque, il y a
eu un Français qui a déclaré que la déshydratation ou la soif était une sensation plutôt
générale et qu’elle mériterait d’être étudiée de façon approfondie. Walter Bradford Cannon a
dit que ce n’était pas le cas, que la soif n’était qu’une question de sécheresse de la bouche.
Quand la bouche est sèche, nous avons soif, ce qui est une déclaration arrogante et
malheureusement la médecine occidentale a acheté cela et a compris les choses à partir de
ce point de vue. C’est pour cela que notre système de santé lui-même est malade car dès
l’âge de 20 ans, nous commençons à nous déshydrater de façon très graduelle et
imperceptible. Une fois arrivée à l’âge de 70 ans, la personne peut être de façon évidente
totalement déshydratée mais néanmoins ne pas se rendre compte qu’elle a besoin de boire
de l’eau, et ce même si on en met à sa disposition. Une expérience a été d’ailleurs faite à ce
sujet. Un scientifique a demandé à un groupe de personnes âgées de se retenir de boire de
l’eau pendant 24 heures et a fait de même avec des individus jeunes. Après 24 heures, de
l’eau a été mise à leur disposition mais certaines personnes âgées n’ont pas réalisé qu’elles
avaient soif.
Mike : Même après 24 heures sans boire ?
Dr. B. : C’est exact. Même quand il y avait de l’eau à proximité, certaines d’entre elles n’y
ont pas touché. Par contre les jeunes individus ont bu et ont remédié ainsi à leur
déshydratation. Il s’agit là d’un problème majeur et c’est la raison pour laquelle nous avons
tellement de personnes âgées malades, elles sont en fait totalement déshydratées et ne le
réalisent pas. Donc attendre d’avoir soif pour boire est la porte ouverte à une fin prématurée
et douloureuse. Il s’agit d’ailleurs du titre d’un article qui est posté sur mon site Web
www.WaterCure.com et sur celui de l’Association Nationale pour une Médecine Honnête
(www.nathim.org ).
Nous ne devrions pas attendre d’avoir soif car l’eau est notre principale source d’énergie.
Lorsque nous ressentons la soif, cela signifie que nous avons perdu de l’énergie provenant
de l’eau que nous aurions dû boire avant d’avoir soif. Vous n’attendez pas que le réservoir de
votre voiture soit vide pour aller faire le plein, pourquoi alors devriez-vous laisser votre corps
s’assoiffer et caler sur le bord de la route avant de vous mettre à boire de l’eau. Donc, les
gens ne devraient pas se permettre d’avoir soif, c’est la première chose. Ils devraient boire
tout au long de la journée. Une personne a besoin de deux litres d’eau par jour. En fait, il lui
en faudrait réellement 4 mais les 2 premiers litres, il faut absolument les fournir. Nous les
obtenons par le métabolisme de la nourriture et par l’eau contenue dans la nourriture elle-
même. Cette quantité d’eau est nécessaire pour ne pas mettre de pression sur les reins.
Quand nous buvons de l’eau en quantité suffisante, l’urine est incolore, c’est un bon signe.
Quand l’urine devient jaune, cela signifie que le corps commence à se déshydrater et quand
elle devient orange, le corps est vraiment déshydraté et il y en a une partie qui est en train
de souffrir de cette déshydratation.
Mike : Il s’agit donc d’un signe facilement identifiable auquel les gens devraient prêter
attention.
Dr. B. : Absolument.
Mike : Ils n’ont pas besoin d’avoir un diplôme de médecine pour s’apercevoir de la couleur
de leur urine….
Dr. B. : Et bien, nous devrions être vigilants au sujet de la production d’urine. La respiration
est également à prendre en compte, quelqu’un qui a le souffle court est déshydraté.
Mike : Y-a-t-il d’autres symptômes similaires auxquels les gens devraient prêter attention ?
Dr. B. : La peau — si la peau est belle, détendue et douce, nous sommes hydratés. Si elle
est pliée et racornie cela indique de la déshydratation. Les cernes autour des yeux chez les
personnes âgées sont un signe de déshydratation. Les plis sous le menton en sont un autre.
Tous ces symptômes sont indiqués dans mon livre Votre corps réclame de l’eau et
également dans L’Eau pour la santé, pour la vie, pour la guérison. Je recommande
également de lire L’eau guérit, les médicaments tuent parce que j’ai identifié dans ce
livre plus de 90 problèmes de santé que nous appelons maladie en médecine mais qui sont
résolus avec l’eau. Donc, quand le corps manque d’eau et qu’on lui donne une médication
quelconque, naturellement la personne va mourir car la médication étouffe les réactions du
corps qui est en fait en train de se plaindre d’un manque d’eau. La médication ne va pas
pallier à la déshydratation. Le livre est disponible via Internet ou en librairie.
Mike : Vous avez un livre en préparation sur l’obésité, le cancer et la dépression, n’est-ce
pas ?
Dr. B. : Oui, je travaille à un livre intitulé Obésité, Cancer et Dépression : Cause
habituelle et remède exact. J’ai identifié pourquoi ces trois maladies sont en fait des
branches du même arbre pour ainsi dire, chacune produit un
problème différent en fonction de la fourchette d’âge mais dans
tous les cas il s’agit d’un phénomène de déshydratation qui
s’accentue au cours du temps. Le facteur temps est essentiel — à
mesure que la déshydratation s’installe, les cellules type « prune »
commencent à se transformer. Certaines deviennent cancéreuses,
etc. J’explique tout cela dans ce livre, notamment la façon dont la
déshydratation opprime, directement et indirectement, le système
immunitaire ce qui est la façon dont la plupart des maladies se
produisent, y compris le cancer.
Mike : Quand ce livre sera-t-il publié ?
Dr. B. : Il sera disponible d’ici la fin de l’année. J’indiquerai sur
mon site Web lorsqu’il sera à disposition.
Les sodas provoquent la déshydratation
Mike : Voici une autre question intéressante posée par nos lecteurs — lorsqu’ils vont
manger au restaurant, ils constatent qu’il existe une terrible pression économique, du point
de vue de la chaîne de restaurants, pour leur faire boire autre chose que de l’eau. Je me
rappelle qu’il y a eu une campagne de pub dans les restaurants de la chaîne Olive Garden.
La campagne avait pour slogan « Say No to H²O » (« Dites non à l’eau ») et la chaîne
donnait des primes aux serveurs qui s’assuraient que les clients consomment autre chose
que de l’eau.
Dr. B. : C’est parce que tout le monde cherche à gagner de l’argent rapidement même si
c’est aux dépens de la santé d’autrui. Ces restaurants font la même chose que l’industrie
pharmaceutique en poussant les gens à consommer quelque chose dont le corps n’a pas
besoin. Bien sûr, ils ne savent pas, ils le font sans le savoir. On ne peut leur en vouloir pour
cela car c’est le résultat d’une mauvaise éducation qui amène à penser que les sodas sont
synonymes d’eau. Actuellement il y a beaucoup d’écoliers buvant des sodas qui deviennent
« stupides » mais dès lors qu’on retire ce genre de boisson de leur alimentation, leurs notes
s’améliorent énormément. Les C et F du bulletin de notes deviennent des A et des B. Il y a
donc quelque chose dans la caféine qui opprime les enzymes en rapport avec la mémoire. La
caféine est un produit chimique toxique. Si on regarde exactement la façon dont les plantes
survivent, on s’aperçoit que c’est un produit chimique agressif pour les plantes. En effet,
n’importe quelle plante ou animal qui en absorbe va perdre son aptitude au camouflage, sa
vivacité, son aptitude à réagir correctement et efficacement et va devenir une proie facile
pour ses prédateurs.
Mike : En effet, la caféine est un insecticide d’un point de vue technique.
Dr. B. : La caféine est techniquement un insecticide. Tout comme la morphine et la cocaïne.
Il s’agit de la même famille de médicaments, celle des substances neurotoxiques.
Mike : Y-a-t-il quelque chose en particulier que nos lecteurs devraient savoir ou devraient
faire pour améliorer leur santé grâce aux informations que vous avez publiées ?
Dr. B. : Oui, ils devraient se tenir informés. Ils peuvent aller de temps à autre sur mon site
Web car nous y postons régulièrement des informations, des lettres etc. Ils peuvent aussi
adhérer à notre Association pour l’Honnêteté dans le Domaine de la Médecine. S’ils sont
jeunes, ils ont encore beaucoup d’années devant eux et malheureusement ils peuvent
devenir vulnérables à cause de pratiques médicales malhonnêtes. Toute cette information
est gratuite et exprimée sous une forme simple à comprendre. Je n’utilise pas de jargon mais
au contraire un langage très simple pour expliquer des problèmes compliqués.
Mike : Je vous remercie beaucoup pour votre générosité et pour avoir le souci de partager
votre temps et votre sagesse avec tout le monde.
Dr. B. : Mike, cela me fait plaisir et je vous remercie. Je suis ici pour être entendu, vous me
facilitez la tâche et je vous en suis reconnaissant.
Mike : Il en va de même pour moi. Ce sont des gens comme vous qui vont révolutionner la
médecine et c’est ce dont la médecine actuelle a besoin.
Dr. B. : Bernard Shaw a dit que les gens normaux essayaient de se conformer et que les
gens non raisonnables ne se conforment pas mais recherchent des alternatives. Par
conséquent, c’est entre les mains de ces derniers que réside le progrès.
La biographie complète du Dr. Batmanghelidj est disponible sur www.WaterCure.com