La joie de Toussaint En préparant le baptême de leur enfant, une maman pose la question : « Pourquoi le prénom est important lors de la célébration ? » Parce que Dieu nous connaît chacun par son prénom et que chacun compte à ses yeux. « Tu as du prix à mes yeux et je t’aime ! » (Isaïe 43, 4). La Toussaint célèbre l’Amour débordant de Dieu sur les hommes. La maman poursuit : « oui, mais, comment peut-on encore parler de sainteté dans un monde où il ne se passe un jour sans drame, tragédie, mauvaise nouvelle par la faute de l’homme. Regardez ce qui se passe dans les familles et même dans l’église… Vous y croyez encore, vous, à la sainteté ? C’est une remarque judicieuse. Mais à Toussaint, nous ne célébrons ni les perfections ni les prouesses humaines. A Toussaint ceux que nous célébrons, dans la joie et l’espérance, proclament qu’ils n’ont pas été sauvés en raison de leurs œuvres — ils ont aussi accompli de bonnes œuvres — mais qu’ils ont été sauvés par le Seigneur : « Le salut est à notre Dieu, qui siège sur le trône et à l’Agneau » (Ap 7, 10). C’est Lui qui nous sauve, c’est Lui qui, à la fin de notre vie, nous emmène par la main comme un bon père, précisément dans ce Ciel où sont nos ancêtres. Toussaint pourrait alors s’écrire en deux mots : Tout Saint. En effet la Bible nous rappelle à plusieurs reprises que Dieu seul est saint, lui qui est parfaitement accompli dans son être. Mais nous le savons, le projet et le désir profond de Dieu, c’est de nous envelopper de sa sainteté, par le don de sa vie. Un peu comme une graine. En elle, elle renferme toute une vie mais elle ne s’épanouit qu’en portant de belles fleurs et de beaux fruits. Toussaint célèbre la fête de tous ceux qui ont accueilli cette vie de Dieu et sont devenus par leur propre vie des témoins lumineux et vivants de l’Amour de Dieu. Beaucoup d’entre eux l’ont été officiellement. Mais l’Église et les yeux de notre foi savent – et la vie nous le montre quelquefois – que plus nombreux encore sont ceux qui ont vécu dans la lumière de l’Évangile et ne figurent pourtant pas dans le calendrier des saints. Se laissant guider par le Christ, ils se sont donnés sans compter pour le service du frère. Saint Jean les décrit comme « une foule immense et innombrable », et dit d’eux qu’ils « ont lavé leurs robes, et les ont blanchies par le sang de l’Agneau » (Ap 7, 9-14). Curieuse expression pour nous aujourd’hui ! Elle signifie simplement qu’ils ont mis leurs pas dans ceux du Christ, le révélateur de l’Amour de Dieu. La Toussaint nous rappelle que cette foule immense est en fête perpétuelle, chantant la Gloire de Dieu

dans une communion permanente avec Lui. L’Église les fête tous en une seule fête, la fête de Tous les Saints. Tous Saints ! Ceux d’hier ravivent en nous le désir de cette communion avec Dieu. Toussaint est donc la fête l’Espérance. Alors moi aussi, je peux devenir saint ? C’est possible et c’est pour tous ! Le Christ est toujours présent qui frappe à la porte. Le chemin de sainteté, c’est oser lui ouvrir la porte et rayonner de la joie qu’Il apporte avec Lui.Ravive en nous, Seigneur, le désir de sainteté !

P. Bonaventure

Bulletin de l’Ensemble Paroissial Bruguières-Fenouillet 1

Entre Hers et Garonne NOVEMBRE 2018

JOURNAL N°33

Ensemble Paroissial Bruguières - Fenouillet 68 rte de l’église 31150 Fenouillet. 05.61.70.13.72 bruguieres-fenouillet.paroisse@orange.fr

ISSN : 2494-467X ………………………. Messes en semaine :

Mardi 18h à St Jory Mercredi 9h à Fenouillet Jeudi 18h à Fenouillet Vendredi 18h à Bruguières ……………………………..

Permanences au Presbytère Lundi *9h-12h 17h - 19h Mardi 17h - 19h Mercredi *17h - 19h Vendredi *10h12h / *15h - 18h *présence de la secrétaire au presbytère ………………………………….. Sommaire : 1. Editorial 2. Le coin du petit

paroissien Collecte secours catholique

3. Chasseur de bonnes nouvelles Origine de la fête de la Toussaint Ils sont devenus enfants de Dieu

4. La pastorale des funérailles

5. Mot du Pape Moissac Deux oui pour la vie Ils nous ont quittés

6. Brèves infos Coin prière

7. Agenda

Le coin du petit paroissien

Bonjour jeune paroissien ! La rentrée est passée depuis quelques semaines, j’imagine qu’elle t’a apporté de nouveaux amis ? C’est un moment de l’année très riche en découvertes de toutes sortes. Tu as dû côtoyer de nouvelles personnes, camarades, professeurs…jeunes ou plus âgés… ? Certaines personnes te plaisent d’emblée, d’autres un peu moins… parfois certains déplaisent spontanément… Je te conseille de ne pas t’arrêter à cette première impression. Donne-toi du temps et garde ton cœur ouvert. Il se cache souvent une blessure derrière un visage fermé… Écoute cette histoire qu’Alice, 12 ans a bien voulu nous confier : « Dans ma classe, il y a un garçon qui a un problème : il est gros ; très gros… » (Note de Blanche Plume : les médecins disent surpoids ou obésité en fonction de la gravité ; c’est une maladie). « … Certains élèves se moquent et rient de lui. Il n’a pas beaucoup de copains. Il est timide… En cours de sport, ma copine Natacha et moi, on a remarqué qu’il a du mal, surtout en course… Alors, toutes les deux, on court à côté de lui et on l’encourage pour qu’il y arrive… et ça marche ! Le prof d’EPS nous a félicités, tous les trois ! Maintenant, d’autres camarades commencent à l’aider et parlent avec lui… » Merci Alice ! Je dis bravo ! Comme ton professeur, je te félicite car tu as montré de l’attention envers ton camarade. Tu as constaté qu’il était en

difficulté parce qu’il n’arrivait pas à faire cet exercice comme les autres et qu’il était souvent tout seul… si j’ai bien compris. En courant avec lui, Natacha et toi, vous lui avez tendu la main et ouvert votre cœur ! Tu agis ainsi comme Jésus nous l’enseigne, sans préjugé et en fraternité. Ce qui est génial, c’est que vous avez ainsi montré un bel exemple aux autres camarades qui commencent à lui parler à leur tour. Merci Alice et Natacha ! Voici, petit paroissien, une bonne action. Faire du bien à son copain, c’est se faire du bien à soi-même

également car montrer de la gentillesse rend heureux ! Il y a mille et une façons de faire une bonne action. Voici quelques exemples : Clémence a aidé son amie qui avait brisé son verre à balayer le sol de la cantine. Mathis a consolé son petit frère qui était tombé. Joséphine a dit un grand bonjour aimable au boulanger peu souriant. Chloé a promené le chien de sa mamie souffrante…Il y a tant d’occasions de porter attention aux autres ! Tu peux m’envoyer par écrit une bonne action dont tu es fier(e) et je la publierai dans la rubrique. Promis ! Le mois prochain nous serons en préparatifs de la naissance de Jésus…Tu peux t’exprimer sur ce sujet également. À bientôt de te lire ! Je t’embrasse. Et n’oublie pas : donne à ton copain et tu recevras bien plus !

Ton amie, Blanche Plume

Collecte nationale du Secours Catholique Cette année encore, la 2° journée Mondiale des Pauvres initiée par la Pape François se tiendra le même jour que la journée Nationale du Secours Catholique Caritas France, le dimanche 18 novembre. Elle donnera à leur engagement une résonance particulière et nous rappellera combien la fraternité entre tous est importante.

Nous essayons de redonner confiance et courage à ceux que la vie a blessés - mamans ou papas seuls, personnes isolées, réfugiés –et de les accompagner pour qu’ils soient acteurs de leurs projets. Nous partageons ensemble des moments conviviaux (ateliers, repas, sorties) moments de solidarité, de partage, d’échanges et d’entraide. Nous souhaitons renforcer la capacité de tous à agir pour que chacun accède à des conditions de vie justes et dignes. Nous vous invitons à partager un verre de la fraternité à la sortie de la messe, si vous souhaitez en parler un peu plus. "Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait"

Jeanne MIHURA

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Chasseur de bonnes nouvellesLa rentrée est bien partie et nous voici déjà à Toussaint, mais revenons sur deux moments de JOIE au sein de nos Églises. Cela fait beaucoup contraste avec l’actualité présenté à la télé, radio et journaux…médias de tout genre. Sans doute pouvons-nous aussi trouver de bonnes nouvelles à partager. Moi, je partage celles-ci. Au mois d'août lors d'une messe du soir, un couple a souhaité fêter leurs 60 ans de Mariage. Après l'homélie le prêtre les a invités à témoigner de leur vie de couple et d’unité au long de ces années. La mariée, toute émue mais rayonnante prit la parole : « Chers FRERES ET SŒURS, combien je remercie le SEIGNEUR de la rencontre avec mon époux, notre vie fut

jalonnée de beaucoup d'épreuves : soucis, problème de santé, perte de travail …mais je peux vous dire que la PRIERE nous a toujours permis de surmonter tout cela et nous avons tous les deux affronté ces épreuves. Je remercie le SEIGNEUR des belles choses qu’il nous as données : en premier lieu bien sûr, nos enfants et petits-enfants ainsi que l'Amour que nous avons donné et même, si la vie est parfois dure, le Seigneur a toujours, toujours été là pour Nous. Chers frères et sœurs, Notre confiance dans le Christ a été une force pour notre famille, aussi, je viens fêter ces 60 ans de mariages avec mon époux , mes enfants et petits-enfants et vous tous. Que le Seigneur soit béni et que les familles sachent lui faire confiance pour traverser le temps, l’usure du temps et garder la joie d’être unis pour toujours. Merci Seigneur. » Et un Dimanche de Septembre, Mr et Mme RAFA ont aussi été entourés de toutes leur famille pour fêter leur 60 ans de Mariage. A la fin de la messe le prêtre les a invités à venir à l'autel. Là, il les a bénis.

Que d'émotions pour ce couple qui s'est avancé avec beaucoup de timidité mais combien fort l'un avec l'autre main dans la main pour nous témoigner que l'AMOUR EXISTE. OUI l'AMOUR EST LA ne regardons pas toujours ce qui va mal. Mais regardons ses Beaux Moments PLEIN D'AMOUR et de partage.

Anne, une paroissienne.

L’origine de la fête de la Toussaint Cette fête a une histoire très différente de celles des autres grandes célébrations liturgiques comme Noël, Pâques ou la Pentecôte. En effet elle n’a pas son origine dans des textes bibliques. À la fin de l’empire romain, après les persécutions, on a commencé à instituer une célébration de tous les martyrs en Orient à partir du IVe siècle au mois de mai. Puis c’est à Rome en 610 que cette fête prend place, à l’occasion de la transformation du temple païen du Panthéon dédié à tous les dieux, en une église dédiée à tous les martyrs, sous le nom de Saint-Marie-des-martyrs. Au VIIIe siècle, les moines irlandais qui évangélisaient la Gaule rencontrent la culture celtique et en particulier la fête qui y marque la nouvelle année, dans la nuit du 31

octobre au 1er novembre. Cette fête était aussi la fête des morts ou plus exactement celle de la communication des morts et des vivants. Pour résister à cette fête païenne, l’Eglise institua à cette même date une fête chrétienne. Elle demanda à l’empereur Charlemagne la création d’une fête de tous les saints le 1er novembre, substituant ainsi les saints aux esprits des morts. En 833, le fils de Charlemagne, Louis le Pieux, la prescrit dans l’ensemble de l’Empire d’Occident. Quant au 2 novembre, l’idée de faire mémoire des défunts de l’Église à cette date apparait dans les monastères rattachés à l’abbaye de Cluny aux IXe-Xe siècles. Vu l’importance des monastères de Cluny à cette époque, la commémoration du 2 novembre est très vite adoptée partout en Occident.

J.M. PISTRE

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Ils sont devenus enfants de Dieu :

Leana BEAUJON Thomas BEL Valentin PEYRANNE Laura ZANDONA

La pastorale des funérailles Sur notre ensemble paroissial huit personnes ont accepté de faire partie de la pastorale des funérailles : Daniel, Jean-Jacques, Marie-Thérèse, Joseph, Danièle, Georges, Primo, Patrick. La mission d’une équipe de funérailles est de manifester la compassion de l’Église, de donner un témoignage de foi et d’annonce de l’espérance chrétienne. Ils témoignent par leur présence, que l’Église manifeste son humanité et sa compassion auprès de ceux qui sont éprouvés par un deuil. Ils ne sont pas là uniquement pour préparer la cérémonie des funérailles mais ils font une démarche d’écoute fraternelle, d’accompagnement et de consolation. Daniel Potron a accepté de porter témoignage et nous explique son engagement - Pourquoi as-tu accepter ce rôle ? « C’est avant tout la réponse à un appel intérieur et intime, un désir de Dieu, une soif de servir Jésus-Christ par son Église. C’est une façon de dépasser mon être, tout mon être, de transgresser mes craintes et mes renoncements et d’offrir à Dieu cet effort sur moi-même, le meilleur de moi-même, en lui rendant grâce de tout le bien qu’il m’a fait. Je voulais vivre pleinement ma foi, concrètement, au service du Christ et donc, comme Lui, par Lui et avec Lui, au service de tous mes frères. Je ne voulais plus rester assis à attendre, laisser-faire, mais au contraire me lever et avancer, participer, m’engager, avec le soutien de l’amour de Dieu, car Dieu ne nous laisse pas agir seul mais il est toujours présent à nos côtés et agit avec nous. » - Qu’est-ce que ton implication t’apporte ? « Être disciple missionnaire du Christ apporte toujours un grand bonheur et une grande joie : la joie de servir à l’exemple de Jésus en toute humilité, en toute fraternité. Être habité par le Christ dure toute une vie, quel que soit le moment où son implication personnelle commence. Cette intimité avec le Christ doit rayonner autour de nous car il transfigure notre vie, dans tous les domaines, dans toutes nos activités humaines. La Pastorale des Funérailles est au cœur de la souffrance

humaine : celle de la séparation d’un être cher. Tout le monde connait, un jour ou l’autre cette même souffrance. Et c’est l’Espérance chrétienne qui nous permet de la dépasser. Forts de notre foi, nous sommes dépositaires et dispensateurs de la compassion et de la miséricorde de Dieu. À nous de conduire les familles en deuil aux sources de cette miséricorde divine en respectant leur intimité et leur choix de vie. « O vous qui passez sur le chemin, regardez s’il y a

une souffrance qui vous appelle !». Nous rencontrons beaucoup de familles, et même si elles sont différentes, la souffrance qu’elles portent est toujours la même. Humainement, c’est une mission qui nous fait grandir par l’écoute, la disponibilité à l’autre, l’acceptation des différences, la compréhension, la patience, la découverte de l’autre, la reconnaissance. La traversée des épreuves de la vie ne doit pas se conduire dans la solitude mais dans la sollicitude aux autres. Un petit geste peut avoir des conséquences extraordinaires après avoir été reconnu. Nous avons tous besoin d’un accueil chaleureux, d’un regard compréhensif, d’un soutien sincère et fraternel. Et ce sont des instants à vivre intensément : il faut tout abandonner (ses occupations et ses préoccupations personnelles) pour les vivre pleinement. Spirituellement, la pastorale des funérailles nous place au cœur même du Mystère Pascal, de la mort et de la résurrection du Christ. C’est donc avec une profondeur particulière que nous vivons cette mission. Et c’est une grâce que l’on reçoit chaque fois. Et si nous sommes appelés à donner, nous sommes aussi très souvent appelés à recevoir. C’est l’évangélisation réciproque. - As-tu conscience de l’importance de ton action et qu’est-ce que cela peut apporter à la communauté ? « Nous représentons bien plus que nous-même. Nous sommes « les serviteurs inutiles mais nécessaires ». Nous agissons toujours au nom du Christ, au nom de l’Église et au nom de la Communauté Chrétienne qui nous envoie. Nous devons donc toujours être en communion de prières les uns avec les autres, pour ensemble, porter le poids de la souffrance de nos frères et les conduire à l’Espérance. La Pastorale se vit avec des personnes. C’est tout le peuple de Dieu qui est concerné par la compassion humaine et chrétienne et par l’annonce de l’Évangile. Nous devons être Parole et Amour de Dieu les uns vis-à-vis des autres. Il s’agit d’exprimer la foi de la Communauté. Il est essentiel que la communauté se mobilise pour soutenir la mission et pour susciter et renouveler des « vocations » au sein de la Pastorale des Funérailles, pour que, les uns pour les autres, et les uns avec les autres, nous soyons porteurs de la même Espérance et acteurs de la même Charité. »

Propos recueillis par Patricia P-A

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La sainteté, tension vers la rencontre avec Jésus « Nous pensons à la sainteté comme à quelque chose d’extraordinaire, comme d’avoir des visions ou des prières très élevées… ou certains pensent qu’être saint signifie faire une tête d’image pieuse… non ! Être saint, c’est autre chose. » « Et qu’est-ce que c’est, marcher vers la sainteté ? » s’est demandé le pape : c’est être « en tension dans l’espérance de la rencontre avec Jésus ». Mais pour cela, il est nécessaire d’ “être libre et de se sentir libre”. « Pour marcher vers la sainteté, il faut être libre : la liberté d’aller en regardant la lumière, d’avancer. Et quand nous retournons, comme on le dit ici, à la manière de vivre que nous avions avant la rencontre avec Jésus-Christ ou quand nous retournons aux schémas du monde, nous perdons la liberté », comme le peuple d’Israël qui, dans le désert, « imaginaient la belle vie qu’ils avaient en Égypte… à la table de l’esclavage ». « Au moment de l’épreuve, nous avons toujours la tentation de regarder en arrière, de regarder les schémas du monde, les schémas que nous avions avant de commencer le chemin du salut : sans liberté. Et sans liberté, on ne peut pas être saint. La liberté est la condition pour pouvoir marcher en regardant la lumière devant soi. Ne pas entrer dans les schémas de la mondanité : aller de l’avant, en regardant la lumière qui est la promesse, dans l’espérance ; c’est la même promesse que pour le peuple de Dieu dans le désert : quand ils regardaient devant eux, cela allait bien : quand revenait la nostalgie parce qu’ils ne pouvaient pas manger les bonnes choses qu’on leur donnait là-bas, ils se trompaient et oubliaient que là-bas, ils n’avaient pas de liberté. » En conclusion, deux paramètres pour savoir si l’on est en chemin vers la sainteté : regarder vers la lumière du Seigneur dans l’espérance de le trouver et, quand viennent les épreuves, ne pas se réfugier dans les schémas mondains qui « te promettent tout et ne te donnent rien ».

Pape François

Moissac

Levés de bonheur, plus de 80 paroissiens sont allées en sortie à Moissac. Après la fraîcheur matinale, un beau temps nous y attendait. Nous avons été accueillis par les sœurs de Marie, Mère de l’Église qui avaient soigneusement préparé la messe jour. Grâce Père Jean Michel, qui retrouvait son ancienne paroisse (il y fut curé pendant 3 ans), nous avons découvert autre ce haut lieu spirituel qui rayonna pendant plusieurs siècles. Après le jeuner très convivial, enfant jeunes et adultes ont joué ensemble pour se découvrir et découvrir les talents des uns et des autres.

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Ils nous ont quittés :

Nicole ECHEYNNE Hélène GAZAGNE Jeanine HOUILLON Marcel Charles HOUILLON Solange MONTERDE Marie de MARTIN PRINTER Joseph-Antoine POLIDORO Pierrette RATOUIT

Deux «oui» pour la vie :

Sébastien MARESTAN et Marion MERET Kévin PASQUIER et Pauline BLOND

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Coin Prière Seigneur nous Te prions, dans la joie de toutes les saintes et de tous saints : Ils sont si nombreux à travers les âges, à travers le monde ! Ils sont si nombreux loin de nous, tout près de nous : Si près de nous que nous sommes trop habitués et que nous sommes tentés de ne pas voir : dans nos familles, nos quartiers, nos écoles, nos lieux de travail, dans nos paroisses ou les diverses aumôneries de jeunes, d’hôpitaux, de maisons d’arrêts… Seigneur, ils sont si nombreux ceux qui vivent du dynamisme de la foi et de l’espérance en toi ! Ils sont nombreux ceux et celles qui vivent « à ton image et à ta ressemblance » ! L’actualité, la grande actualité, c’est de t’aimer de tout notre cœur, de toute notre âme et d’aimer nos frères comme nous-mêmes. Cet amour de toi et de nos frères, c’est ce qui fait actualité : c’es ce qui laisse une trace de lumière dans le cœur de nos frères Oui, en cette Fête de Toussaint, avec nos frères, que nos cœurs soient en fête pour Toi !

Communication

Quelques adresses internet pour suivre l’actualité de notre ensemble paroissial ;

Pour connaitre les différents lieux des messes : egliseinfo.catholique.fr ou sur l’application Messes info

Pour découvrir la vie du côté au coeur des 7 clochers : http://paroissefgl.canalblog.com/

Pour avoir des informations sur l’ensemble paroissial : http://toulouse.catholique.fr/Ensemble-paroissial-de-Bruguieres-288

Brèves infos : Le vendredi 2 Novembre, la messe pour les défunts aura lieu à Saint Jory à 18 h 30. Nous évoquerons particulièrement ceux qui nous ont quittés ces 12 derniers mois. Nous prions pour tous les défunts connus et pas connus de nous.

Ce 2 novembre est aussi le premier vendredi du mois. L’Adoration au Saint sacrement est maintenue à l’église de Bruguières de 18 h 30 à 22 h. Après la messe des défunts, vous pouvez vous y rendre pour continuer la prière devant le Saint Sacrement exposé.

L’Église de Lespinasse est fermée en raison de travaux. En attendant de retrouver ce lieu bien refait autour du 16 novembre, Gratentour et Saint Sauveur nous accueillent avec joie pour les messes du samedi soir.

Le Groupe de lecture de la Bible « Sous Le Figuier » se poursuit ce mois. Le P. Jean Michel POIRIER vous attend le jeudi 8 novembre à 14h30 ou à 20 h 30 selon votre disponibilité. Puis, vous pouvez noter

déjà les prochaines rencontres: 10 janvier 2019, 7 février 2019, 16 mai 2019.

La marche de l’Avent aura lieu le 8 Décembre 2018. Après avoir recherché des trajets sécurisés, finalement cette année nous sommes invités à venir marcher en ensemble paroissial vers Noël. Enfants, parents, jeunes adultes, tous, venons exprimer notre désir de vivre autrement l’attente du Messie qui naitra à Noël. Nous marcherons de l’église de Fenouillet vers l’église de Gagnac en passant

par Lespinasse. Une bonne ambiance chantée pendant la marche avec des étapes et un bon chocolat chaud nous attendent.

Bulletin de l’Ensemble Paroissial Bruguières-Fenouillet 7

AGENDA PAROISSIALNOVEMBRE 2018

jeudi 1er Église de Gratentour 9h30 Fête de Toussaint

jeudi 1er Église de Gagnac 10h30 Fête de Toussaint

vendredi 2 Église de Bruguières 18h pas de messe

vendredi 2 Église de Bruguières 18h30 Adoration du Saint Sacrement

vendredi 2 Église de St Jory 18h30 Commémoration des fidèles des défunts

samedi 3 Église de St Sauveur 18h 31ème dimanche du temps ordinaire

dimanche 4 Église de Bruguières 10h30 31ème dimanche du temps ordinaire

mercredi 7 Presbytère de Fenouillet 19h Rencontre des jeunes en aumônerie 5è/4è/3è

mercredi 7 Presbytère de Fenouillet 20h30 Rencontre des catéchistes - préparation veillée de Noël

Jeudi 8 Presbytère Bruguières 14h30 Groupe de lecture BIBLE

jeudi 8 Presbytère de Fenouillet 18h Rencontre des jeunes en aumônerie 6è

Jeudi 8 Presbytère Bruguières 20h30 Groupe de Lecture BIBLE

vendredi 9 Église de St Sauveur 10h Armistice du 11 novembre

samedi 10 Salle paroissiale St Jory 10h Réunion des parents des ados se préparant au baptême

samedi 10 Église de Gratentour 18h 32ème dimanche du temps ordinaire

dimanche 11 Église de Fenouillet 11h Armistice du 11 novembre - 32ème dimanche du temps ordinaire

Mardi 13 Église de Saint Jory 10h Armistice du 11 novembre

mercredi 14 Presbytère de Fenouillet 20h Réunion d'Équipe Animation Pastorale

jeudi 15 Église de Fenouillet 19h45 Répétition Chorale

jeudi 15 Presbytère de Fenouillet 20h30 Rencontre des catéchistes - préparation messe des familles

vendredi 16 Église de Bruguières 20h30 Prière du Chapelet pour les défunts

samedi 17 Les Béatitudes Blagnac 14h30 Rencontre des confirmands

samedi 17 Église de St Sauveur 18h 33ème dimanche du temps ordinaire

dimanche 18 Église de Gagnac 10h30 Messe en famille - 33ème dimanche du temps ordinaire

dimanche 18 Église de Gagnac 11h30 Baptême de Lila

Mercredi 21 Église de Fenouillet 09h Pas de messe

jeudi 22 Presbytère de Fenouillet 18h Rencontre des jeunes en aumônerie 6è

samedi 24 Presbytère de Fenouillet 10h Réunion des parents des enfants en primaire se préparant au baptême

samedi 24 Eglise de Lespinasse 18h Christ Roi

dimanche 25 Église de Bruguières 10h30 Messe des défunts - Christ Roi - 1ère étape communion

vendredi 30 Maison de retraite St Vincent de Paul 16h Messe pour les résidents

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DECEMBRE 2018samedi 1er Église de Gratentour 18h 1er dimanche de l'Avent

dimanche 2 Église de Gagnac 10h30 1er dimanche de l'Avent

mercredi 5 Presbytère de Fenouillet 19h Rencontre des jeunes en aumônerie 5è/4è/3è

jeudi 6 Presbytère de Fenouillet 18h Rencontre des jeunes en aumônerie 6è

jeudi 6 Église de Fenouillet 19h45 Répétition Chorale

vendredi 7 Église de Bruguières 18h30 Adoration du saint Sacrement

samedi 8 Presbytère de Fenouillet 10h30 Rencontre des enfants en primaire pour la préparation au baptême - 1ère étape

samedi 8 Église de Fenouillet 14h Marche de l'Avent de Fenouillet à Gagnac

samedi 8 Église de Gagnac 18h Messe en famille - 2è dimanche de l'Avent

dimanche 9 Église de Fenouillet 10h30 2è dimanche de l'Avent

jeudi 13 Presbytère de Fenouillet 20h30 Rencontre des catéchistes - préparation messe des familles

vendredi 14 Église de Gratentour 20h30 Concert Ensemble Baroque de Toulouse

samedi 15 Église de Lespinasse 18h 3è dimanche de l'Avent

dimanche 16 Église de St Jory 10h30 3è dimanche de l'Avent

mercredi 19 Presbytère de Fenouillet 20h Réunion d'Equipe Animation Pastorale

jeudi 20 Presbytère de Fenouillet 18h Rencontre des jeunes en aumônerie 6è

vendredi 21 Église de Bruguières 20h30 Prière du Chapelet pour les défunts

samedi 22 Église de Bruguières 10h Répétition de la veillée de Noël

samedi 22 Église de Lespinasse 18h 4è dimanche de l'Avent

dimanche 23 Église de Bruguières 10h30 4è dimanche de l'Avent

lundi 24 Salle du Bascala à Bruguières 18h30 Veillée de Noël

lundi 24 Église de Fenouillet 21h Veillée de Noël

mardi 25 Église de St Sauveur 9h30 Messe de Noël

mardi 25 Église de Gagnac 10h30 Messe de Noël

vendredi 28 Maison de retraite St Vincent à Bruguières 16h Messe avec les résidents

vendredi 28 Église de Bruguières 18h pas de messe

samedi 29 Église de Lespinasse 18h Sainte Famille

dimanche 30 Église de St Jory 10h30 Sainte Famille