Emmanuel Pahud mozart devienne - ONCT de salle... · Giovanni Sollima, Sol Gabetta, Katia et...

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vendredi - 20H 15 janvier DIRECTION Giovanni Antonini flûte Emmanuel Pahud halle aux grains 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr mozart Symphonie n° 31 en majeur « Paris » / mozart Andante pour flûte et orchestre en ut majeur / devienne Concerto pour flûte et orchestre n°7 en mi mineur/ Beethoven Symphonie n° 6 « Pastorale » mozart devienne beethoven Conception www.vifdesign.fr / photos © © Kemal Mehmet Girgin, Josef Fischnaller / licences n°1-1078579, n°2-1078643, n°3-1078644 Saison 2015-2016

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vendredi - 20H

15 janvierDIRECTION

Giovanni Antoniniflûte

Emmanuel Pahud

halle aux grains 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr

mozart Symphonie n° 31 en ré majeur « Paris » /mozart Andante pour flûte et orchestre en ut majeur /devienne Concerto pour flûte et orchestre n°7 en mi mineur/Beethoven Symphonie n° 6 « Pastorale »

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Saison 2015-2016

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Du Paris fréquenté par Wolfgang Amadeus Mozart à la Vienne de Ludwig van Beethoven, l’esprit des Lumières, cher aux musiciens,

plane sur leurs symphonies, ces deux odes à l’orchestre classique. Côté français, François Devienne fait surgir dans son Concerto n° 7 pour flûte et orchestre de nouveaux accents, dont la mélancolie dit le rôle grandissant du sentiment dans le domaine orchestral.

WOLFGANG AMADEUS MOZART (1756-1791)Symphonie n°31 «Paris » en ré Majeur, K. 297Allegro assaiAndanteAllegro

durée de l’œuvre : 17 min

Andante pour flûte et orchestre en ut Majeur, K. 315durée de l’œuvre : 7 min

FRANÇOIS DEVIENNE (1759-1803)Concerto pour flûte et orchestre n°7 en mi mineur

AllegroAdagioRondo

durée de l’œuvre : 18 min

LUDWIG VAN BEETHOVEN (1770-1827)Symphonie n°6 en fa Majeur « Pastorale », op.69« Éveil d’impressions joyeuses en arrivant à la campagne », Allegro ma non troppo« Scène au bord du ruisseau », Andante molto mosso« Réunion joyeuse de paysans », Allegro« Orage, tempête », Allegro« Chant de pâtres, sentiments de contentement et de reconnaissance après l’orage », Allegretto

durée de l’œuvre : 45 min

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)Symphonie n° 31 « Paris » en ré majeurAu sortir d’années difficiles sur un plan professionnel, Wolfgang Amadeus Mozart se rend à Paris où il passe six mois en 1778. Pour le musicien de vingt-deux ans jusqu’alors tenu par une double tutelle – celle de son propre père et celle de l’Archevêque Colloredo, son employeur à Salzbourg  –, ce séjour s’apparente à une libération. Avant de parvenir jusqu’à la capitale française, Mozart, accompagné de sa mère, s’arrête à Mannheim, cité allemande alors réputée pour son orchestre qui rassemblait certains des meilleurs solistes européens. Fort de cette nouvelle expérience dans le domaine orchestral, Mozart arrive à Paris au printemps 1778. Las, le temps passé en France devient peu à peu une épreuve pour le jeune compositeur dont la mère meurt le 3 juillet 1778. À cette épreuve privée s’ajoutent bien des déconvenues professionnelles  : contrairement à son premier séjour en 1764, Mozart n’est plus un enfant prodige et son génie musical fascine peu une aristocratie parisienne plus préoccupée par un climat social

tendu que par la découverte des dernières œuvres symphoniques du musicien salzbourgeois. Échecs successifs dans le domaine de l’opéra, ajournement de la création de sa Symphonie concertante pour vents… Parmi tant de difficultés, la Symphonie n° 31 en ré majeur fait seule figure d’exception. Commandée par la société du Concert spirituel, organisation de concerts publics payants qui avait compris la demande économico-artistique de la bourgeoisie émergente, la Symphonie n° 31 en ré majeur y fut créée le 18 juin. « La symphonie fut un succès auprès de tous – et Legros en est si satisfait qu’il dit que c’est sa meilleure symphonie. L’andante n’a cependant pas eu l’heur de lui plaire. Il dit qu’il y a là trop de modulations et qu’il est trop long. » Ces mots envoyés par Mozart à son père disent sa satisfaction autant que l’écart qui le sépare du goût parisien  : les remarques de Jean Legros, le directeur du Concert Spirituel, sont assez représentatives du goût parisien

L’Art de la flûte :Emmanuel Pahud

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Andante pour flûte et orchestre en ut majeur

François Devienne (1759-1803)concerto pour flûte et orchestre n° 7 en mi mineur

C’est à Mannheim que Mozart composa son Andante pour flûte et orchestre en ut majeur. Il est possible que cette page lyrique ait pu remplacer le mouvement lent du Concerto n° 1 pour flûte et orchestre en sol majeur exactement contemporain, et dont la proximité tonale indique de probables liens de parenté. Pièce de substitution ou œuvre à part entière ? N’en reste pas moins que l’Andante pour flûte et orchestre constitue l’un des plus beaux chants légués par Mozart

Trois ans séparent François Devienne, «  le Mozart français  », de Wolfgang Amadeus Mozart. Né en Normandie, le jeune musicien s’installa à Paris à l’âge de vingt ans, où il fut d’abord bassoniste à l’Opéra de Paris. Multi-instrumentiste talentueux, Devienne s’imposa avant tout par son talent à jouer de la flûte, dont il devint l’un des premiers enseignants au Conservatoire de Paris après la création de celui-ci en 1795. Quoique son legs à la flûte soit moins connu que celui de son immense compatriote autrichien, Devienne fait figure de pionnier  : dans le domaine de l’enseignement auquel il contribua fortement (classe de flûte, traités, articles sur la technique) et dans celui de la composition. Auteur de dix-sept concertos pour flûte et orchestre, Devienne fut admiré par Mozart lors de son séjour parisien pour sa technique et la grâce de ses pièces. Dans le vaste héritage légué par Devienne à la flûte, le Concerto n° 7 en mi mineur est l’une des pièces maîtresses  : sa tonalité mineure, exceptionnelle chez le musicien français, ses accents dramatiques

à l’instrument. Déployant une longue mélodie, la flûte soliste apparaît comme une nouvelle voix instrumentale discrètement soutenue par l’orchestre. Le balancement rythmique, les envolées vers l’aigu de la tessiture, les relais orchestraux et les jeux d’éclairage entre la lumière du ton principal majeur et l’ombre discrète de modulations mineures qui assortissent le chant de nostalgie font de l’Andante pour flûte et orchestre un instant d’épanchement.

traduisent un sentiment nouveau, propre au domaine instrumental (symphonies, concertos, quatuors). Qualifiée d’«  Empfindsamkeit  » dans les territoires allemands ou de «  triomphe de la sensibilité  » en France, celle-ci eut Haydn pour représentant germanique… Et Devienne côté français !Le tutti expressif par lequel s’ouvre l’Allegro initial saisit par son souffle exalté. Entre développements brillants à la flûte soliste et passages emportés à l’orchestre, un savant équilibre apparaît, qui laisse la part belle à la virtuosité – spectaculaire – sans reléguer l’orchestre au rang d’accompagnateur. L’ Adagio méditatif développe un travail nouveau sur le son du soliste  : la longue phrase ornementée qui traverse le mouvement exige d’innombrables couleurs de celui-ci. C’est dans le Finale que Devienne laisse entrevoir un aperçu de sa technique : incandescente, celle-ci se déploie au travers de nombreux traits qui parent de couleurs nouvelles le thème emporté par lequel s’achève le Concerto n° 7 en mi mineur.

pour une virtuosité brillante mais souvent dépourvue d’enjeux formels. Ainsi, Legros exigea que Mozart remplace le mouvement lent central initialement composé par un autre, plus court. « Pour le contenter (ainsi que plusieurs autres, à ce qu’il prétend), j’en ai fait un autre », relate encore le musicien. Malgré les réserves du directeur, la Symphonie n° 31 en ré majeur fit forte impression sur le public français : le spectaculaire « coup d’archet » par lequel débute l’Allegro assai était particulièrement attendu par l’assemblée fascinée d’entendre un

groupe d’instrumentistes démarrer strictement et bri l lamment ensemble. Foisonnante, l’œuvre montre combien Mozart profita du séjour à Mannheim : le nombre des pupitres sollicités et la place élargie accordée aux vents, renvoient aux nouvelles techniques instrumentales entrevues dans la cité allemande. Étape-jalon entre la France, rêvée mais décevante, et la maturité viennoise, la Symphonie n° 31 en ré majeur apparaît comme l’un des premiers chefs-d’œuvre symphoniques du classicisme mozartien.

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PROCHAIN CONCERTvendredi 22 janvier

20H - HALLE AUX GRAINSDIRECTION

Josep Ponspiano

Arcadi Volodos

wagnerbeethoven

WAGNER Tristan et Isolde, prélude et Mort d’IsoldeBEETHOVEN Concerto pour piano et orchestre n°3 en ut mineur

WAGNER Parsifal, ouverture et Enchantement du vendredi saintWAGNER Le Crépuscule des Dieux, extraits

Ludwig van Beethoven (1770-1827),Symphonie n° 6 en fa majeur « Pastorale »Chaque symphonie de Ludwig van Beethoven fait figure d’entité propre : s’enchaînant à l’expression tragique de la Symphonie n° 5, la Symphonie n° 6 offre un tout autre climat. À la construction forcenée du fameux motif de la Symphonie n° 5 se substitue le déploiement lumineux de grands thèmes lyriques ; à la quête obsessionnelle sur le matériau musical s’oppose la référence à la nature. Longtemps la Symphonie n° 6 apparut comme l’un des points de scission dans le parcours du musicien  : œuvre à programme décrivant les beautés de la campagne ou maintien du cadre classique symphonique hérité de Mozart et de Haydn  ? «  Plutôt expression du sentiment que peinture » indiqua de lui-même Beethoven : œuvre solaire, la pièce ne décrit pas mais transpose les impressions du compositeur recueillies lors de ses nombreuses promenades dans la campagne qui entourait Vienne. Certes, quelques imitations d’oiseaux se font entendre au pupitre des bois à la fin du mouvement lent. Certes, rarement orage fut évoqué avec autant de génie que dans le troisième mouvement, le musicien exploitant avec génie le

potentiel sonore des cordes graves (violoncelles, contrebasses) pour faire entendre des effets de lointain et d’approche, jusqu’au coup de tonnerre en fa mineur – quand l’ensemble de l’œuvre demeure majeur. Pour autant, la Symphonie n° 6 n’appartient pas encore au cadre de la musique « à programme » tel que le forgeront ensuite Hector Berlioz ou Franz Liszt : le maintien d’une architecture classique où deux mouvements développés encadrent un autre plus lent, un passage rapide, auquel Beethoven ajoute la scène de l’orage, renvoie au cadre classique symphonique. S’il est un pendant vocal à trouver à l’œuvre, ce serait bien plutôt l’oratorio de Haydn Les Saisons qui, dès 1801, avait évoqué les beautés bucoliques de la vie paysanne. Sept ans plus tard, le 22 décembre 1808, la création à Vienne de la Symphonie n° 6 ouvre au cadre orchestral de nouveaux horizons : que le sentiment de la nature puisse dépasser la tradition de l’imitation en musique au profit d’une réflexion philosophique et panthéiste.

Charlotte Ginot-Slacik

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GIOVANNI ANTONINIDIRECTION

Né à Milan, Giovanni Antonini a suivi ses études à la Civica Scuola di Musica (École de musique de Milan) et au Centre de Musique Ancienne de Genève. Il est l’un des membres fondateurs de l’ensemble baroque « il Giardino Armonico » qu’il dirige depuis 1989. Avec cet ensemble, il a fait des apparitions en tant que chef d’orchestre mais également en tant que soliste à la flûte à bec et à la flûte traversière baroque en Europe, aux États-Unis, au Canada, en Amérique du Sud, en Australie, au Japon ou encore en Malaisie. Il s’est produit aux côtés de nombre d’artistes prestigieux au rang desquels Cecilia Bartoli, Isabel Faust, Viktoria Mullova, Giuliano Carmignola, Giovanni Sollima, Sol Gabetta, Katia et Marielle Labèque, Sumi Jo et Kristian

Bezuidenhout. Giovanni Antonini est par ailleurs régulièrement invité à collaborer avec des orchestres tels que l’Orchestre Philharmonique de Berlin, le Concertgebouworkest (Orchestre Royal du Concertgebouw des Pays-Bas), l’Orchestre de la Tonhalle de Zürich, l’Orchestre Mozarteum de Salzbourg, l’Orquesta Nacional de España (Orchestre National d’Espagne) et l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig. Parmi ses productions d’opéra figurent Les Noces de Figaro de Mozart, Alcina de Haendel à la Scala de Milan ou Jules César de Haendel avec Cecilia Bartoli. En 2013, dans le cadre du Festival de Salzbourg, il a dirigé Norma de Bellini, œuvre qu’il reprendra au cours de l’été 2015.

Sa saison 2014/2015 a été marquée par la direction de nombreux o r c h e s t r e s , e n p a r t i c u l i e r l’Orchestre du Konzerthaus de Berlin, l’Orchestre de la Tonhalle de Zürich, l’Orchestre Symphonique de Bamberg, l’Orchestre Symphonique de Berne, et par la poursuite de son étroite collaboration avec le Kammerorchester Basel (Orchestre de chambre de Bâle).Giovanni Antonini a enregistré avec « il Giardino Armonico » de nombreux CD d’œuvres instrumentales de Vivaldi (dont Les Quatre Saisons) parmi son plus vaste répertoire d’enregistrements comptant des œuvres de compositeurs italiens des XVIIe et XVIIIe siècles, de J.S. Bach (Les Concertos Brandebourgeois), de

Heinrich Biber et Matthew Locke sous le label Teldec. Avec Naïve il a enregistré l’opéra de Vivaldi Ottone in Villa, et il a au cours des dernières années réalisé des enregistrements avec « il Giardino Armonico » pour la compagnie Decca. Aux côtés de l’Orchestre de Chambre de Bâle, il est en train d’enregistrer l’intégralité des Symphonies de Beethoven dont les six premières sont déjà sorties. En 2013, il a dirigé un enregistrement de Norma de Bellini pour Decca en collaboration avec l’Orchestra La Scintilla.Depuis septembre 2013, il est le Directeur Artistique du Festival d’oratorios et de cantates Wratislavia Cantans en Pologne.

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Nommé «  Instrumentiste de l’Année 1997 » lors de la cérémonie des Victoires de la Musique en 1998, Emmanuel Pahud est né à Genève où il commence ses études musicales à l’âge de 6 ans. En 1990, après avoir obtenu son prix au Conservatoire de Paris, il suit l’enseignement d’Aurèle Nicolet. Il remporte plusieurs premiers prix internationaux, il est également lauréat de la Fondation Yehudi Menuhin. A 22 ans, il est nommé première flûte de l’Orchestre Philharmonique de Berlin et donne depuis lors des récitals et concerts dans le monde entier, est l’invité régulier de festivals importants tant en Europe qu’au Japon.

Au cours de ces dernières saisons, la liste des orchestres et des chefs avec lesquels il a joué est impressionnante (Berlin, Londres, Zurich, Munich, Saint-Pétersbourg, Tokyo, …, avec Claudio Abbado, Sir Simon Rattle, Valery Gergiev, Paavo Järvi ou encore Itzhak Perlman). Cette saison le verra en soliste à Paris, Helsinki, Oslo, Cologne, Madrid, Bâle, Lyon entre autres ou en musique chambre, dans toute l’Europe, avec différents partenaires incluant son ensemble “Les Vents Français”. Il y a plus de 20 ans, aux côtés d’Eric Le Sage et de Paul Meyer, il fonde le festival de musique de chambre « Musique à l’Empéri » à Salon de Provence.

En 1996, il signe avec EMI un contrat d’exclusivité. Plus de 20 enregistrements sont disponibles, récompensés par de nombreuses distinctions décernées dans le monde entier. Parmi ses plus récents enregistrements, citons l’intégrale de l’œuvre pour flûte de Frank Martin (Musiques Suisses/Migros) qui a été récompensée par un «  Diapason d’Or  », un récital « Around the world » avec le guitariste Christian Rivet (Warner Classics-Erato), un disque consacré à la musique pour flûte à la cour de Frédéric le Grand dirigé par Trevor Pinnock (EMI Classics). À l’automne 2014 est publié un coffret de 3 CDs consacré à la

© Josef Fischnaller licensed to EMI Classics

Emmanuel Pahudflûte

musique pour vent et piano avec l’ensemble « Les vents français » (Warner Classics-Erato) puis au mois de mars dernier, un enregistrement de concertos du répertoire français de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle intitulé «  Révolution  ». I l e s t a c o m p a g n é p a r l e kammerorchester basel dirigé par Giovanni Antonini. En 2009, il est élevé au grade de Chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres par le gouvernement français et en avril 2011, il est récompensé par le titre de Honorary Member of the Royal Academy of Music (Hon RAM) de Londres. Il est ambassadeur pour l’UNICEF.

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Halle aux Grains - 05 61 63 13 13 - www.onct.toulouse.fr

FORMATION ORCHESTRALEPremier violon solo Geneviève Laurenceau

Premiers violonsEléonore DarmonNicole BoussinotMaryse UrsuleSylvie MougeatMary RandlesAline MarciacqStéphane GuiocheauJulia RaillardMarie CaucheferFrédéric PazioCharlotte Lederlin

Seconds violonsAudrey LoupyChiu-Jan YingYves SapirVirginie AllemandAnne-Laure CornetDavid BenetahGuilhem BoudrantEléonore EppAlejandro Serna AceroMarjolaine Charles

AltosBruno DubarryLambert ChenIsabelle MensionClaire PelissierVincent Cazanave-PinMailyss CainAudrey LeclercqPauline Guenichon

VioloncellesSarah IancuPhilippe TribotChristopher WalthamBenoît ChapeauxThomas DazanLéa Birnbaum

ContrebassesThéotime VoisinPierre HequetDaniel Ben SoussanConor Mc Carthy

FlûtesSandrine TillyCharlotte BlettonFlorence Fourcassie-Tardy

HautboisLouis SeguinJean Michel Picard

ClarinettesDavid MinettiLaurence Perry

BassonsLionel BelhaceneMylène Poulard

CorsThibault HocquetArnaud Bonnetot

TrompettesHugo BlacherNicolas Pardo

TrombonesDavid LocqueneuxPatrick Dubarry

TimbalesJean-Sébastien Borsarello