Ecologie 3.3
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(c) McGraw Hill Ryerson 2007
3.3 Les effets des espèces introduites sur les écosystèmes
• Les espèces indigènes sont les plantes et les animaux qui se trouvent naturellement dans une région. À cause de l’immigration en Amérique du Nord par plusieurs personnes de
d’autres continents durant les 400 dernières années, plusieurs nouvelles espèces y ont été introduites volontairement ou non. Ces nouvelles espèces de plantes et d’animaux sont appelés espèces
introduites (ou étrangères)• Plusieurs de ces espèces sont inofensives ou parfois même bénéfiques
Des espèces envahissantes comme la salicaire pourpre peut avoir des impacts négatifs sur les espèces natives et réduites souvent la biodiversité.
Voir pages 138 - 139
Le coléoptère défoliateur européen
(gauche) et la salicaire
pourpre (droite).
(c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les effets des espèces envahissantes introduites
• Les espèces envahissantes prennent avantage de leur nouvel habitat Ils n’ont pas de prédateurs, ils sont des compétiteurs agressifs et
ils se reproduisent rapidement. La compétition: les espèces indigènes sont adaptées au partage
des ressources mais les envahisseurs perturbent cet équilibre. (ex: le bugle rampant)
La prédation: si l’espèce envahissante est un prédateur, elle aura un gros avantage puisque les espèces natives n’ont peut être pas les adaptations nécessaires pour fuir ou lutter contre ce prédateur. (ex: les fourmis folles jaunes)
Voir pages 140 - 141
(c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les effets des espèces envahissantes introduites
La maladie et les parasites: les micro-organismes peuvent affaiblir la santé d’une espèce indigène. Cet affaiblissement permet à des espèces moins dominantes de supplanter d’autres espèces, ce qui modifie un écosystème et ses niches (ex: la lamproie et le virus du nil)
La modification de l’habitat: certaines espèces envahissantes peuvent modifier la structure physique d’un écosystème en changeant la luminosité, réduisant la quantité d’oxygène de l’eau, modifiant la chimie du sol ou en augmentant l’érosion. (ex: le sanglier sauvage)
La lamproie a été introduite dans les Grands Lacs en 1880. La bouche suceuse du lamproie lui permet de se fixer aux poissons. La lamproie suce les liquides corporels de ses proies
(c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les espèces envahissantes de Colombie-Britannique
Lire p.142 et indiquer si ces espèces sont en compétition avec des
espèces indigènes, des prédateurs, des parasites
et/ou s’ils modifient l’habitat des espèces
indigènes
Le myriophylle à épi Le rat surmulot
Le ouaouaron L’étourneau sansonnet
(c) McGraw Hill Ryerson 2007
La sauvegarde d’un écosystème assiégé
• Ça prend souvent l’intervention des humains pour sauver des écosystèmes établis. L’équipe de rétablissement de l’écosystème du chêne de Garry (GOERT)
essait de sauver des envahisseurs l’un des écosystèmes les plus précieux de C.-B.
95% de l’écosystème original a été détruit par le développement urbain et le dernier 5% qui reste est menacé par des espèces envahissantes
Les chênes de Gary sont une espèce clé car ils sont le principal soutien du réseau alimentaire de cet écosystème.
Le genêt à balai, le lierre et des graminées forment sa plus grande menace.
• GOERT ont des représentants de plusieurs groupes Le gouvernement de C-B, les premières nations,
des scientifiques et des entreprises soutiennent ce groupe Les forêts de Chêne de Gary ont plus de chance de survivre dans l’avenir de la
C-B que les forêts de Douglas taxifoliés.
Voir page 143
(c) McGraw Hill Ryerson 2007
La sauvegarde d’un écosystème assiégé
• Ça prend souvent l’intervention des humains pour sauver des écosystèmes établis. L’équipe de rétablissement de l’écosystème du chêne de Garry (GOERT)
essait de sauver des envahisseurs l’un des écosystèmes les plus précieux de C.-B.
95% de l’écosystème original a été détruit par le développement urbain et le dernier 5% qui reste est menacé par des espèces envahissantes
Les chênes de Gary sont une espèce clé car ils sont le principal soutien du réseau alimentaire de cet écosystème.
Le genêt à balai, le lierre et des graminées forment sa plus grande menace.
• GOERT ont des représentants de plusieurs groupes Le gouvernement de C-B, les premières nations,
des scientifiques et des entreprises soutiennent ce groupe Les forêts de Chêne de Gary ont plus de chance de survivre dans l’avenir de la
C-B que les forêts de Douglas taxifoliés.
Voir page 143