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    Du même auteur :

    Dans ma collection

    Sur les traces du passé – de Souk-Ahras

    Guelma et ses environs historiques

    Région ancienne de Constantine

    Le fascinant bâtisseur de Dolmen

    Le bus de treize heures trente – Tome 01

    L’hôtel de ville – Tome 02

    Le train sifflera encore

    Les illustres enfants.

    L’épopée merveilleuse des arts martiaux

    Le full-contact & le kick-boxing

    Splendide région de Souk-Ahras.

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    Chorfi Mohamed Abdelmadjid Né le 16 / 11 / 1952 A Tunis-Ville

    De nationalité Algérienne Transcrit à l’état civil de Nantes France

    Retraité des chemins de fer de SOUK-AHRAS Boîte Email : [email protected]

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    DOLMEN DEBOUNOUARA CONSTANTINE

    DOLMEN D’EL-GARCA SOUK-AHRAS

    DOLMEN RAS EL-KEF (Roknia-Guelma)

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    DOLMENS DE LA BELLE GARCA

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    SOUK-AHRASMOHAMED CHORFI

    MOHAMED ABDELMADJID CHORFI

    SOUK-AHRAS

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    Tiens J’ai osé écrire un recueil concernant un

    exposé ancien, sur les hommes de la préhistoire. Vraiment c’est étrange, car ça sort de l’ordinaire. Pourtant leur histoire en est très simple. Nos ancêtres vivaient en pleine harmonie avec la nature… Sans contrainte aucune, ni loi ni évidence. Or, je m’en suis pris par grand respect, envers eux, et honneur à donner un nom à l’homme de l’épipaléolithique. Découvert au hasard, dans une fosse de sépulture mortuaire. Soit à El-Gaça, région préhistorique de Souk-Ahras. Soit aussi à Ras El-Kef, Roknia, région de Guelma.

    La similitude analogue est tellement frappante, que je l’avais dénommé, avec grâce, l’homme de Bagrada. Nom donné par les Carthaginois. Qui autrefois, assimilent les montagnes, qui entourent géographiquement et majestueusement toute la région. Où coule dans le meme prolongement l’oued Medjerda § !§ Les monts de Bagrada, aux reliefs accidentés comprennent, les montagnes nommées ci-dessus = Djebel Mcid – Fej El Ameud – Djebel Hmissi – Djebel Mougras – Djebel Aouas – El-Glala – Djebel Mesla – Djebel Talal – Djebel Bououzgua – Djebel Dhabab, Djebel Asla – Djehiffa – Dekma – Essafia – Fej El-Ramoul – Djebel Aouaid – Djebel

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    Edahouara – Djebel Laakass – El Alia – El Maida – Djebel Maouna – El Haoura – Marmoura – Bouhamdan – Voir au-delà, djebel M’zala. Ils s’étendent jusqu’au Aurés, prés de Batna, et Khenchla. L’Atlas tellien de l’Est ! Toutes ces montagnes culminent à plus de 1 000 mètres.

    L’oued Bagrada=La source mère débute sous le

    mont de Gablat El-Alia, elle raccorde une autre source limpide, principale de par le flux d’eau important. Que les romains avaient capté pour le bien fondé. Qui voit naitre une métropole de la ville de Khémissa. Plus en aval, la source de Ain Dalia ne fait qu’un seul ruisseau avec celle de Ain Bénouir.

    L’oued E-Chouk, prend naissance un peu plus en amant, prés du village de Dréa, une cascade spectaculaire, se trouve à 10 kilomètres en amont des Tuilleries. Il fond en deux parties distinctes, le prolongement d’une grande chaine de montagne boisée, de l’arbre pins, de l’arbre Alep, et de quelques chênes lièges. Rencontre l’oued Cheqoua, qui lui redescend du mont Dekma, du coté droit. Ils grossissent tout en raccordant l’oued, nommé par les anciens Bagrada. Aujourd’hui Medjerda, qui débute prés de l’usine à papier, au PK 02. Quand à l’Oued

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    Ejedra, qui prend naissance par le fracas, d’une importante turbulence d’une source d’eau chaude. Sortie des entrailles de la terre, à OuledBichih, (village de Ouled Driss), sous le flanc nord/Ouest de la montagne du Mcid. L’oued contourne par un large détour, toute la montagne de naissance.

    Il finit sa course, et rejoint l’oued mère de la Medjerda, au flan sud de la montagne Talal, à Tarja (Gare ferroviaire). Ainsi L’oued s’agrandit, il coule paisiblement entre le prolongement d’une importante des chaines de montagnes, qui se succèdent. Passant par le douar Sidi Badr, Mougras el Hmissi. Enfin il aboutit prés de la ville tunisienne de Ghadimaou. D’où l’oued fait la joie des paysans, tout au long de son parcourt, des fois capricieux, lorsqu’il se met en colère, les inondations charrient du limon, qui sera déposé dans toute la plaine. Enfin il débouche par un large affluent en mer méditerranée, prés de Tunis-ville.

    Dolmen de la région El Garça (Souk-Ahras)

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    Dolmen de Ras El-Kef (Roknia-Guelma)

    Dolmen de la région Bounouara (Constantine)

    Ces dolmens représentatifs, qui se trouvent dans trois régions différentes, sont probablement issues de la même personne du néolithique. Que je préfère appeler simplement l’homme de Bagrada.

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    Cependant plus au nord de la montagne Gablat El Alia, une seconde source importante, prend naissance et donne un nom de continuation d’oued Echareff. Elle contourne tout le haut plateau, en passant tout prés de Sédrata. Effleure la région de Seff El Ouiden, rejoint Birbouhouch, KasrEssebihi. Elle traverse le flan sud de la montagne El Maida, et s’écoule jusqu’à Oued Eznati. Prés de la montagne el Haoura, la grande source rejoint enfin l’oued Bouhamdan. Lorsque le confluent s’agrandit, il est désigné par le nom d’oued Seybouse ?!

    Je ne suis pas un chercheur hautement qualifié, ni moins un archéologue chevronné. Pourtant l’envie me pousse avec assiduité vers la préhistoire. Je suis devenu malgré moi, un archéologue autodidacte, passionné, indépendant, bénévole, et plein de volonté. Chaque personne qui me croise, sache en tirer une conclusion positive, de ma passion entreprenante. La tête reposée, la présence des anciens, surtout du néolithique est ancrée en moi par amour. D’où à l’hexagone je ne pourrai désormais, jamais rester insensible devant les faits des traces du passé. Je voudrai comprendre, apprendre notre histoire, celle de l’homme, en particulier régionale !

    Or, je soulève ici sur cette documentation, une petite fenêtre sur la préhistoire de notre contrée. Longtemps ignorée par nos représentants. Des sites de l’épipaléolithique très importants, sont exposés à ciel ouvert. Sont livrés malheureusement au pillage sans réserve. A la destruction systématique par des personnes, qui n’ont aucune connaissance sur l’histoire des anciens, nos ancêtres.

    Je vous invite donc à voyager avec moi dans le temps, tout en admirant ces jolies fresques

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    panoramiques, de photos uniques du genre. J’expose en premier, les trois sites de grande importance. Non plus régionale, mais assurément mondiale, puisque ceci concerne l’histoire de l’être humain ! Le premier site archéologique est limitrophe de la région de Souk-Ahras, dénommée, par les habitants « EL-GARCA ».

    Cette partie régionale fut choisie par l’homme qui sait qu’il sait. Non pas par le fait du hasard, mais bel et bien, appréciée sur une référence spécifique. Du fait concordant que les fossiles humains découverts, au hasard sous un dolmen. Puis en second lieu, dans une fosse commune mortuaire, à Ras El-Kef de Roknia. Deux régions différentes certes, mais les ossements, convergent vers la même et unique personne préhistorique.

    Celle d’El-Garça en exemple, distant de la ville de Souk-Ahras de prés de 35 kilomètres, et de 10 du village de Tiffech. Et d’à peine une vingtaine de kilométres des énigmatiques sites, de Kef el-Msaour, tout prés de Seff-El-Ouidan, et de Kef Errih de la montagne d’El Maida.

    Or El-Garça visiblement est plus ancienne, de plusieurs millénaires par rapport à Ras El-Kef, de Roknia (Guelma). Et de Bounouara dans la montagne de M’Zala, prés de Constantine. Elle tire ses tentacules préhistoriques vers tous les sites environnants.

    Ras El-Kef, distant de la station thermale de Hammam Meskoutine, (Debagh actuel) et de la ville de Guelma presque autant, 35 kilomètres.

    Cependant existe d’autres similitudes de ressemblances, comme en exemple dans le douar Chemoura, prés de la ville de Batna. Entre autre la

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    région de KasrEssebihi, prés de Oum El Bouaghi offre la même concordance d’aspect. Aussi à Kasr El Attach dans la montagne du Mcid, prés de Souk-Ahras. Ou encore prés des grottes préhistoriques de la montagne de Dekma.

    Cependant d’autres sites de l’épipaléolithique, restent à découvrir ! Qui n’ont pas encore livré tous leurs secrets, restent du moins cachés au plus profond de l’histoire !

    Comme en exemple la montagne de Marmoura, de Bouhamdane, qui renferment, au plus profond des ses entrailles, les traces irréfutables du néolithique ancien.

    Certes ces nécropoles de l’âge de la pierre, nommées ci dessues sont éloignées géographiquement. Surtout par le relief accidenté au vu des hommes de l’ancien temps. Mais elles se retrouvent dans le prolongement de la chaine de montagnes de la Bagrada, « Medjerda actuel ». Seuls les chemins escarpés relient, de par le passé reculé, ces régions de la préhistoire. Qui sont difficiles d’accès, vu l’importance de la flore et aussi de la faune, en rapport de notre histoire contemporaine d’aujourd’hui.

    Or l’homme de l’épipaléolithique possède, toutes les caractéristiques morphologiques. Puissance, force, corpulence, il dépasse facilement les deux mètres, par rapport à la norme actuelle. Crane très épais, saillie temporelle et occipitale, qui s’étend des fosses nasales, jusqu’à l’arrière faisant un « V », caractéristique de séparation net, juste au cervelet, bien visible.

    Le volume du cerveau un peu plus grand que le notre. Cette race de l’homme sapiens est unique du

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    genre régional. Et il ne faut pas le confondre avec l’homme Capsien, l’escargotier. Qui diffère complètement sur la morphologie caractéristique de l’homme qui habitait en ces lieux. Le bâtisseur infatigable des Dolmens ?!

    Donc je me suis permis de le dénommer, L’HOMME DE BAGRADA ». Allusion à l’oued Medjerda, nom donné dans le temps, par les carthaginois « la Bagrada » !

    Après maintes tentatives de visites, devenues nostalgiques. Je me suis aperçu que sur une roche, des signes sont répertoriés, qui ressemblent fort à une écriture en est gravée. A peine visible, datant de la préhistoire. Ils apparaissent légèrement comme des caractères mathématiques, sous un dessin démontrant un poisson.

    Avec un cousin dés le début, qui m’avait indiqué le chemin de cette hiérographique. Je me suis posé une certaine question de compréhension sur son origine. Naturelle ou abstraite ?! Et je me vois arrivé à une conclusion concrète. Que cette écriture à peine visible, était assurément, la naissance de prémices du début d’un grand savoir, en rapport de celle qui intriguèrent les chercheurs français, en 1950.

    Gravée en dessin rupestre sur la paroi de Kef-Errih, à quelques encablures d’El Garça, dans la montagne El-Maida. De toute évidence, je sais que personne n’a pu déchiffrer, cette mystérieuse et énigmatique écriture, en forme de signes caricaturaux.

    Si d’après mes analyses personnelles, après réflexion bien sur, bien étudiée. Le premier site d’El-Garca, qui se trouve distant par le nord, du second site d’El-Maida, seulement d’une vingtaine de kilomètres.

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    Qui converge aussi par le sud, vers le troisième site de Seff El Ouidan, sur les hauteurs du plateau de la tribu des Zouabi. Englobant toute la région, de la ville de Sédrata, KasrEssebihi par l’ouest, et autres encore plus loin !

    Or ce qui bouleversa les données actuelles, les gravures rupestres, à Kef El--Msaour, qui remontent à plus de 7 000 ans avant Jésus christ, d’après les archéologues Français. Représentation en grandeur nature, le roi lion, plus une gazelle et des autruches.

    Ce qui veut dire entre autre, que ce n’est ni plus ou moins, que c’est le même peuple du néolithique. Qui en est l’auteur de ces emblèmes énigmatiques. Or d’après mes recherches en solitaire, que j’avais exposées à quelques personnes de la culture. Dont malheureusement, elles ne trouvent pas encore, un écho favorable, digne d’une attention particulière, parmi nos représentants dans la voie hiérarchique de l’archéologie. Que le site d’El-Garca est plus ancien, que tous les sites de la région ?! Puisqu’il se trouve au centre de toutes les nécropoles connues. C’est de cet endroit, justement le point de départ, que l’homme ancien, convergea comme étendant ses tentacules vers toute la région ! A savoir que l’homme de Bagrada intrigua, et fomenta trop de rêveries passionnelles à l’encontre.

    Les traces laissées par son passage dans toute la région, voir dans toutes les hauteurs du haut plateau, précisément des monts de la montagne Medjerda. Qui entourent et s’élancent plus loin, jusqu’à la limite des Aurès, par l’ouest.

    A l’Est jusqu’aux confins de la montagne El-Hmissi, Puis par le Nord vers Constantine, en

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    particulier Bounouara ?! Que de dolmens en nombre constants sont érigés un peu partout. Alors que les usagers se voient pris de surprise, en voyant ces silhouettes dressées comme des sentinelles. Qui s’étendent au delà de toute la montagne M’Zala, sise à peine 01 kilomètre du village de Bounouara !

    A El-Garça, entre autre, ce sont les signes positifs, et importants de la présence forte de l’homme de Bagrada, autour de la ville de Souk-Ahras. Sans oublier bien sur que la ville elle-même, est bâtie sur un ancien site préhistorique. Alors que des particuliers entament des constructions de maisons d’habitations. Ce qu’ils ont découvert comme ossements, poteries du passé lointain est impressionnant.

    Est-ce une raison suffisante, que l’homme de l’épipaléolithique choisit la région pour sa diversité spécifique, naturelle et faune. De ce fait j’expose au début de mon manuscrit un crane authentique, de l’homme moderne du genre Sapiens, au savoir fort d’une intelligence très appréciée. Celui qui a vraiment transmit jusqu’à ce jour, l’héritage de nos coutumes quotidiennes !

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    Crâne supposé, portant le nom originel de l’homme de Bagrada

    (entre 6 000 à 8 000 ans avant J.C.)

    Une même structure morphologique du crane, saillie temporelle et occipitale très longue, se terminant par un « V », prés du cervelet. Une mandibule carrée et plus large, que la normale. Photo de gauche découvert par un berger à Ain Kechra, près d’Ain Anart (Sétif). Au hasard de couper une plante sauvage nourricière, dénommée « Khorchoff ». Utilisée par les anciens jusqu’à aujourd’hui, et surtout bien appréciée, par son gout, à la fois curatif et aliment de cuisine.

    Ressemblance parfaite, entre le crane (photo de droite), de Ras El Kef de Roknia, région de Guelma. Par rapport à celui de la région de la belle Garça, Souk-Ahras. De même que la similitude de construction des dolmens, qui prédominent en nombre aux trois régions, Garça, Ras el Kef, Bounouara, et à défaut prés de KasrEssebihi. Aussi dans la montagne du Mcid, précisément à Kasr El

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    Attach. En contre partie, rapport commun de tous les dolmens détruits, qui jonchent le sol de Dekmajusqu’à Tiffech. Qui se trouvent étalés, sur une grande longueur éparse, se ressemblent énormément. En une conclusion affirmative, c’est le memehomme préhistorique de Bagrada.

    JUIN 1994

    CRANE DE L’HOMME DE BRAGRADA, DECOUVERT A EL-GARCA

    ASSEMBLAGE DE DOLMENS

    – DE LA BAGRADA – SOUK-AHRAS