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DTS d’Electroradiologie Mercredi 14 septembre 2011
Introduction Générale sur les cours
de médecine nucléaire
Pierre Malick KoulibalyPhysicien Médical
Centre A. Lacassagne, Nice
Médecine nucléaire ?
Introduction Générale sur les cours
de médecine nucléaire
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
2
Médecine nucléaire ?
angiographie
Aide au
radiologie
scanner X
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
3
IRM
scintigraphie
Aide au diagnostic
échographie
médecine nucléaire
radiologie
Résolution spatiale
Scintigraphie ≈ 8 mm
Différents types d’images ?
scanner X
Aide au diagnostic
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4
scintigraphie
IRM
Imagerie fonctionnelle(métabolisme)
Imagerie anatomique(structure)
IRM ≈ 1 mmTDM X < 1 mm
La médecine nucléaire ? visée thérapeutique
- l'iode 131 est efficace dans certaines maladies de la thyroïde, qu'elles soient
La radiothérapie métabolique
Administration d'un radioélément émetteur ββββ- (éléctrons)dont le rayonnement va détruire les cellules qui ont
accumulé ce produit.
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cancéreuses ou non (hyperthyroïdies).
L' yttrium 90 ou le rhénium 186 servent à traiter certaines formes de rhumatismes parinjection intra-articulaire.
Le samarium 153 (Quadramet) est efficace pour réduire les douleurs des métastasesosseuses.
Le strontium 89 (Metastron) est efficace pour réduire les douleurs des métastasesosseuses du cancer de la prostate.
Les différentes étapes d’un examen
Administrationdu traceur au patient
Acquisition des données
Préparation du radio-traceur
Traceur = vecteur + marqueur
Molécule froide(distribution)
isotope radioactifémettant un signal
détectable à l’extérieur du corps
par la caméra
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Traitement informatique des données
Analyse de l'image de l'organe a explorer
des données
Bases de l’interprétation
Recherche d’hyperfixationou d’hypofixation du traceur
par la caméra
ImageTEP
ImageGamma caméra
Programme des réjouissances…
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Les intervenants… Aspectstechniques
et physiques
Mr. Jacques Magné
P.M KoulibalyPhysicien MédicalCentre A. Lacassagne, Nice .
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
8
Mr. José BénolielMCU-PH(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
InformaticienCentre A. Lacassagne, Nice .
MCU-PH(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Physicien MédicalCentre A. Lacassagne, Nice .
Les intervenants… Aspects cliniques
Dr. Astrid GirmaCentre A. Lacassagne, Nice .
Dr. Philippe Franken
Dr. Philippe ViauCentre TEP, hôpital Archet I, Nice.
?
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
9
Dr. Philippe FrankenMCU-PH (Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Centre A. Lacassagne, Nice .
Dr. Danielle BenisvyCentre A. Lacassagne, Nice .
Mr. Joël NéryCadre médicho-technique (MN)Centre A. Lacassagne, Nice.
Les intervenants…
Mr. Jean Yves Michel
Questions et
retour d’expérience
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Mr. Jean Yves MichelManipulateur d’électroradiologie (MN)Hôpital Princesse Grace, Monaco
Feuille d’émargement et Examen final
Feuille d’émargement
Examen
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1 question par cours
Examen
On commence ?
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On commence ?
Aspectstechniques et physiques
Mr. Jacques MagnéMCU-PH(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Physicien Médical
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Centre A. Lacassagne, Nice .
Cours n° 2
Cours n° 3
Cours n° 4
Pour faire une image il faut utiliser des isotopes qui émettent des…photons
Pour faire de la thérapie en médecine nucléaire (radiothérapie interne vectorisée) il faut utiliser des isotopes qui émettent des électrons
particules alpha (alpha immunothérapie)
Mode de production (réacteur nucléaire/cyclotron…)
Isotopes (marqueur)
n°2
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(réacteur nucléaire/cyclotron…)
Applications en MN
Traceur = vecteur + marqueur
Molécule froide(distribution)
isotope radioactifémettant un signal
détectable
Radiopharmaceutique (= traceur)
n°2
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à l’extérieur du corpspar la caméra
Enceintes blindées présentes dans la radiopharmacie
n°3
Appareils ? détecteurs portables de la radioactivitéactivimètres (comptage de la solution R.A. à administrer au patient)
caméras
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principes physique de la détection (détecteurs à gaz / solides / liquides)
n°4
Spectrométrie gamma ? technique d’analyse permettant de mesurer l'énergie desphotons gamma, de les identifier et d'en comptabiliser lenombre.
Problème : la radioactivité est invisible / inodore / inaudible
1- comment faire pour détecter sa présence : � détecteurs2- comment faire pour identifier le type de radioactivité : � spectrométrie
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Énergie(KeV)
Nombre de photons
140
Exemple : Spectre du 99mTc émetteur gamma à 140 kev
Pic d’absorption totale(arrêt complet du photon dans le détecteur)
Front Compton
hνννν1111
hνννν2222
θθθθ
électron Compton
photon diffusé
hνννν1111 ϕϕϕϕ
Diffusion Compton :
n°4
Utilité de la spectrométrie en imagerie ?
Énergie (KeV)140
Nombre de photons
Utilisation d’une fenêtre spectrométrique afin de ne sélectionnerque les « bons » photons, ceux qui n’ont pas diffusés et ont doncgardés leur bonne localisation spatiale.
∆∆∆∆E
∆∆∆∆E
Rejeté RejetéSe « débarrasser » des photons ayant subis une diffusion Compton.
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Pour un examen au 99mTc (140 keV), la fenêtre spectrométrique permet de ne garder que les photons dont l’énergie est proche de 140 kEV (énergie du pic +/- 10 %)
[126-154] keV
∆∆∆∆E
E (keV)
99mTc
140 159
123I
Nombre de photons
Exemple d’utilité clinique : acquisitions multi-isotopes
99mTc = 140 keV123 Iode = 159 keV
n°4
Importance de spectrométrie en imagerie ?radioactivité
vide
Objet testObjet test :
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∆∆∆∆E
Positionnement de la fenêtre
Spectrométrique :
Résultat :
Aspectstechniques et physiques
P.M KoulibalyPhysicien MédicalCentre A. Lacassagne, Nice .
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Cours n° 5
Cours n° 6
TEMP (« Gamma caméra »)Tomographie d’ Emission Mono- Photonique
TEP (« Caméra TEP ») Tomographie par Emission de Positons
Médecine nucléaire « classique » et la TEP !n°5
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Les gamma caméras : TEMP (Tomographie d’Emission Mono Photonique)
Médecine nucléaire : principe de la
caméra de Anger
Conception des détecteurs
n°5
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TubesPhotomultiplicateur
(PM)
Le détecteur est immobile , au dessus de l’organe àétudier.
Mode planaire
Les différents modes d’acquisition d’une gamma camé ra
n°5
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Projection de la distribution d’activité dans le plandu détecteur (analogie : radiologie conventionnelle)
Thyroïde rei ns poumons
Mode corps entier
Les différents modes d’acquisition d’une gamma camé ra
La détecteur effectue un mouvement detranslation de façon à ce que le détecteurpasse au dessus de l’ensemble du corps(acquisition « corps entier »).
n°5
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Mode tomographique
Les différents modes d’acquisition d’une gamma camé ra
La caméra tourne autour du patient enrecueillant les photons émis par l’organe àétudier (analogie : scanner X).
En ayant de l’information (photons) acquise sous plusieursincidences, on peut reconstruire une coupe transverse del’organe et donc « voir » à l’intérieur du corps.
Ceci permet donc d’explorer des organes situés en
n°5
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Ceci permet donc d’explorer des organes situés enprofondeur dans le corps (cœur, cerveau…)
Les caméras TEP (Tomographie d’Emission à Positons)
Conception des détecteurs
n°5
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GE Discovery ST
(Centre TEP, Archet, Nice)
photon γγγγ511 keV
ββββ+
e-
photon γγγγ511 keV
Notion de « coïncidences »
détecteur
détecteur
: ligne de réponse (LDR)
n°5
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Coïncidences diffuséesCoïncidences vraies Coïncidences fortuites
Bonnes… Mauvaises… Mauvaises…
Les différents modes d’acquisition d’une caméra TEP
Acquisition 2D Acquisition 3D
n°5
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Septa en placeFaible angle d’acceptance
Septa rétractésAngle d’acceptance important
Choix 2D vs 3D: valeur de l’Indice de Masse Corporel(IMC) = masse
(taille)2< 35
☺☺☺☺ Sensibilité x 5
���� Diffusé Compton x 2
TEMP (« Gamma caméra »)Tomographie d’ Emission Mono- Photonique
TEP (« Caméra TEP ») Tomographie par Emission de Positons
Image TEP
La multimodalité !n°5
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=
Fusion TEP + scanner X
+Image scanner X
La multimodalité Image dutomodensitomètre X
Image TEP
n°5
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Fusiondes 2
modalités
Contrôles de Qualité (CQ)à effectuer
n°6
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31
à effectuer(dans les 3 modes d’acquisition)
Liste et fréquence des contrôles à effectuer(Décision du 25 novembre 2008)
n°6
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Conséquences d’un mauvais état des détecteurs
Non uniformité (homogénéité) des détecteurs
Bonneuniformité
n°6
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33
Mauvaiseuniformité
Conséquences sur un patient
Conséquences d’un mauvais état des détecteurs
Mauvaise spectrométrie
n°6
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34 BONPAS BON…
Aspectstechniques et physiques
Mr. José BénolielMCU-PH(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Informaticien
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35
Cours n° 7
Cours n° 8
InformaticienCentre A. Lacassagne, Nice .
n°7- 8
Interface
Analogique/Digital
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Échantillonnage + Quantification=
Numérisation ou Digitalisation
001010110101101110
Signaux Analogiques continus
Signaux Digitauxdiscrets
(X,Y)
n°7- 8
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37
1
2 3 4
9 7 8
5
X
Y
Emission photons γγγγ
P.A.C.S(Picture Archiving and Communication Systems)
Dossier médical informatisé
n°7- 8
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Intérêts :Sauvegarde automatique des images de toutes les uni tés d’imagerieDiffusion vers les unités cliniquesPartie intégrante du dossier patient
Aspectstechniques et physiques
Mr. Jacques MagnéMCU-PH(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Physicien Médical
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Centre A. Lacassagne, Nice .
Cours n° 9
Cours n° 10
n°9
Notion de source non scellée
Définition : c’est une source fractionnabledont la présentation, et les conditions normales d‘utilisation, ne permettent pas de prévenir toute dispersion de substances radioactives.
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En médecine nucléaire : une goutte de liquide peut être suspecte- goutte d’eau ?- goutte de sueur ?- goutte provenant d’une solution radioactive ?
méfiance…
Présence PERMANENTE de radioactivité (source, patient, déchets)dans un service de Médecine Nucléaire !!!
Notion d’exposition et de contamination
On distingue 2 types d’exposition en fonction de la distance source/organisme :
L‘exposition (faible irradiation) dépend :- de la nature de la source
Source à distance de l’organisme
on parle d’exposition externe
Source au contact de l’organisme
on parle alors de
externe
contamination
n°9
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- de la nature de la source - de son parcours dans l'air et les tissus.
A énergies comparables, l'irradiationsera croissante pour les rayonnements :
α , β puis (γ,X)
La voie d'absorption :cutanée : lésions superficielles de la peau,
respiratoire : après inhalation, digestive : ingestion d'aliments contaminés
Utilisation de sources non scellées(solution, gaz, aérosol)
organe exposé = revêtement cutané
interne
Gestion des déchets solides / liquides / gazeux
n°9
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En médecine nucléaire, encore plus qu’ailleurs, néc essité absolue d’une grande rigueur au niveau :
- de l’aménagement des locaux
Conclusion Conclusion
n°9
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- de l’aménagement des locaux
- du matériel de radioprotection dont on doit disposer
- de la façon de travailler
- de la gestion des sources radioactives
n°10
Radioprotection spécifique pour le 18FDG (caméra TEP )
Préparation
Travail dans une enceinte blindée spécifique au 18F (min = 50 mm Pb)
LivraisonPot plombé: 3,5 cm d’épaisseurPoids: 12 kg (+2 kg du fût)
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Prélèvement manuel: Utilisation de protège seringue adapté (6 mm de tungstène)
Attention, problème de maniabilité…
Transfert en salle d’injection par chariot ou valisette blindée de transport
Travail dans une enceinte blindée spécifique au 18F (min = 50 mm Pb)
Prélèvement automatisé: Utilisation d’un préleveur automatiqueou semi automatique installé dans l’enceinte blindée
Injection Patient allongé et perfusé avec robinet 3 voies - patient - seringue 18FDG- seringue sérum physiologique
Dispositif déjà en place à l’arrivée
du 18FDG
manuelle: injection derrière unparavent blindé mobile
automatique: utilisation d’injecteurs automatiques
Radioprotection spécifique pour le 18FDG (caméra TEP )
n°10
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paravent blindé mobile automatiques
Posijet
Radioprotection spécifique en irathérapie ( 131I)
Radiothérapie Interne Vectorisée
Les patients reçoivent une forte activité d’iode 131 émetteur β-, énergie = 600 keV
émetteur γ, énergie = 364 keVT = 8 j
émetteur β- = danger au niveau du risque de contamination
émetteur γ = danger au niveau du risque d’exposition et de contamination
n°10
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Les patients restent ensuite quelques jours dans des chambres dîtes protégées (béton/plomb) vis-à-vis de l’extérieur.
Radioprotection spécifique pour les émetteurs ββββ−−−− (90Y)
Injection au patient d’une forte activité d’u radiopharmaceutique marqué à l’Yttrium 90(émetteur β-, énergie = 2,2 MeV , T = 2,7j )
Radiothérapie Interne Vectorisée
Radioprotection sensible pour la personne chargée d’injecter le patient !
émetteur β- = danger au niveau du risque de contaminationde la dose reçue au niveau des doigts
Paravent en plexiglas
n°10
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Paravent plombé pour se protéger du rayonnement de freinage créer
dans le corps du patient
Paravent en plexiglas pour arrêter les β-
sans qu’il n’y ait créationde rayonnement de freinage
(interaction des β- avec la matière ⇒ rayons X)
Aspects cliniques…
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cliniques…
Les intervenants… Aspects cliniques
Dr. Astrid GirmaCentre A. Lacassagne, Nice .
Dr. Philippe Franken
Dr. Philippe ViauCentre TEP, hôpital Archet I, Nice.
?
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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Dr. Philippe FrankenMCU-PH (Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Centre A. Lacassagne, Nice .
Dr. Danielle BenisvyCentre A. Lacassagne, Nice .
Mr. Joël NéryCadre médicho-technique (MN)Centre A. Lacassagne, Nice.
Traceurs utilisés suivant l’organe à étudier
Aspects cliniques
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
5099mTc = Technétium 99m
n°11
- Rappels anatomiques/physiologiques- Radiopharmaceutiques- Aspects techniques
Dr. Astrid GirmaCentre A. Lacassagne, Nice .
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
51
- Aspects techniques- Indications- Exemples de pathologies
Types d’acquisition planairescorps entiertomographique
Scintigraphie
Examen de base :
n°11
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52
Scintigraphie en balayage corps entier
Images statiques (1 image sur 10 mn)
ou dynamiques (une image toute les 30 s pendant 10 mn ⇒ 20 images sur 10 mn)
Images planairesprécoces (à t0 = injection)ou tardives (à t0 +…)
n°11
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53On voit la diffusion du traceur
au cours du temps
Images tomographiques
n°11
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54
À comparer à une image planaire :
Examen corps entier (balayage)
Pathologies infectieuses :
Indications
Pathologies tumorales :
(descellement prothèse de hanche)
(métastases K prostate)
n°11
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
55
Pathologies infectieuses :
Leucocytes marqués T+24h FA
Pathologies traumatiques :(fracture de côtes)
(descellement prothèse de hanche)
……
n°12
Dr. Philippe ViauCentre TEP, hôpital Archet I, Nice.
- Rappels anatomiques/physiologiques- Radiopharmaceutiques
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
56
Radiopharmaceutiques- Aspects techniques- Indications- Exemples de pathologies
Aspects techniques : 2 acquisitions
�scintigraphie de perfusion(vecteur de la R.A. = sang)
�scintigraphie de ventilation(vecteur de la R.A. = air)
n°12
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57
L’aérosol marqué est formé par vaporisation d’une coupelle de
graphite remplie d’un de Tc 99m et chauffé brutalement à 2500 C
Administration classiquede la radioactivité
Perfusion (Q)
Acquisitions planaires et/ou tomographique de ventilation et de perfusion
n°12
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58
(segment antéro-basal / lobe inférieur D)
Ventilation (V)
Perfusion (Q) Ventilation (V)
Q normaleV normale
examen normal
⇒⇒⇒⇒ pas de lésion pulmonaire
Q anormale discordance
Comparaison ventilation/perfusion
n°12
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
59
Q anormaleV normale
discordance
⇒⇒⇒⇒ embolie pulmonaire
Q anormaleV anormale
concordance
⇒⇒⇒⇒ pneumonie, tumeur
- Rappels anatomiques/physiologiques- Radiopharmaceutiques
n°13
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
60
- Aspects techniques- Indications- Exemples de pathologies
2 types de traceur
Traceur dynamique (« MAG 3 »)Il est éliminé par le rein- permet de voir l’évolution de l’a radioactivité auniveau des reins (phases de captation / pic / puis élimination)
temps
act.
CAPTATIONVIDANGE
PIC
n°13
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temps
Traceur statique (« DMSA »)- l’évaluation fonctionnelle quantitative relative de la fonction rénale avant chirurgie- la détection des cicatrices de pyélonéphrite (infec tion urinaire.)- ….
g d
Néphrogramme
Comptage dans ROI
Sur chaque image
Examen au MAG 3
n°13
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0 10 20 30 mn
Clairances relatives :Gauche 55%
Droit 45%
Calcul des clairances(méthode des pentes ou des intégrales)
Examen au DMSA
Pyélonéphrite
Hypofixation
Recherche de cicatrices de pyélonéphrite (infection urinaire partie haute du rein)
(garçon de 3 ans; plus de 3 mois après l’épisode aigu).
n°13
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Face antérieure Face postérieure ¾ postérieur G.
¾ postérieur D. ¾ antérieure G. ¾ antérieure D.
1- Etude de la perfusion et/ou du métabolisme cérébrale� mesure relative du débit sanguin cérébral� la distribution intracérébrale de la fixation reflète l’état de la perfusion régionale au moment de l’injection
Indications en scintigraphie cérébrale
Maladie d’AlzheimerDémences fronto-temporalesAVC / Epilepsie / Aphasie…
n°13
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64 Sujet sain Patient atteint de la maladie d’Alzheimer
2- Exploration des tumeurs cérébrales :- Différenciation radionécrose / récidive tumorale- Établissement du grade des tumeurs cérébrales:
- bas grade : fixent peu ou pas- haut grade : fixent
Indications en scintigraphie cérébrale
n°13
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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3- Exploration de le neurotransmission⇒ Etude du système dopaminergique
Indications:- diagnostic différentiel entre tremblement essentiel (fixation normale) et maladie de Parkinson (MP) (fixation anormale). - diagnostic différentiel entre Démence à corps de Lewy (DCL) (fixation anormale) et maladie d’Alzheimer (MA) (fixation normale)
Indications en scintigraphie cérébrale
n°13
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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(fixation anormale) et maladie d’Alzheimer (MA) (fixation normale)
Normal MA MP DCL
- Rappels anatomiques/physiologiques- Radiopharmaceutiques- Aspects techniques
Dr. Philippe FrankenMCU-PH
(Maître de Conférence – Praticien Hospitalier)
Centre A. Lacassagne, Nice .
n°14
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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- Aspects techniques- Indications- Exemples de pathologies
Etude de la fonction ventriculaire
Mesure des volumes de la FEVG (Fraction d’ Ejection du Ventricule Gauche)
volume
TS
TD
n°14
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
68
1 cycle cardiaque
systole diastole
TS
FEVG =Vol TD
Vol TD - Vol TS
(TD = télédiastole; TS = tétésystole)
Intérêt du calcul de la FEVG :- avant une chimiothérapie
> 60 = normale
La maladie coronarienne
lipides +calcium
ischémie myocardique
(1)
n°14
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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caillot
ischémie myocardique(clinique: angor)
nécrose myocardique(clinique: infarctus)
Occlusion partielle (1)ou totale (2)
d’une ou plusieurs artères coronairessuite au développement de plaquesd’athéromes.
(2)
Etude de la perfusion myocardiqueau repos / à l’effort
Défaut de
Effort
petit axe grand axe grand axe
n°14
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
70
Défaut de perfusionréversible
⇒⇒⇒⇒ Ischémie
Repos
petit axe grand axevertical
grand axehorizontal
Etude de la perfusion myocardiqueau repos / à l’effort
Effort
Défaut de
n°14
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
71
petit axe grand axevertical
grand axehorizontal
Repos
Défaut de perfusion
fixe
⇒⇒⇒⇒ Nécrose
n°15
Dr. Danielle BenisvyCentre A. Lacassagne, Nice .
Thyroïde Parathyroïdes Surrénales
Glandes endocrines
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
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- Rappels anatomiques/physiologiques- Radiopharmaceutiques- Aspects techniques- Indications- Exemples de pathologies
n°15
Utilisation d’un collimateur spécial : le pinhole (sténopé en français…)
Effet de zoom
amélioration de la qualité des images
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
73 Collimateur parallèle Collimateur pinhole
Hyperthyro ïdie et pourcentage de fixation
� Image de la seringue avant injection� Image de la seringue après injection� Image du point d’injection (bras)� Image thyroïdienne
Thyroïde
n°15
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
74
On compte ensuite le nombre de coups (Nbcoups) total sur les régions d’intérêt
Fixation normale : [1- 5 ] %
=Calcul du % de fixation thyroïdien
Nbcoups sur image de la thyroïde
Nbcoups sur images (seringue avant – seringue après – bras)
Détection et surveillance de nodules, goitres…
Nodules froids Nodules chauds Goitremulti-nodulaires
Thyroïde
n°15
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
75
Cancer dans moins de 10 % des cas
Nodule hyperfixant :fixation accrue du radiotraceur
adénome hyperfonctionnel � Hyperthyroïdie
Augmentation du volume thyroïdien par association
de nodules chauds et froids
4 glandes situées en arrière de la thyroïde :- 2 supérieures - 2 inférieures
Indication : hyperparathyroïdie primaire - adénomes parathyroïdiens - hyperplasie des 4 glandes
Parathyroïdes
n°15
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Problème : les glandes sont « cachées » par la thyroïde
On procède alors à l’aide de 2 acquisitions faites avec 2 traceurs différents:- le premier traceur ne va être fixé que par la thyroïde- le second va être fixé par la thyroïde et par les parathyroïdes⇒ on fait ensuite une soustraction numérique des images.
=-
99mTc123I
n°16
Surrénales
Les glandes surrénales sont deux glandes situées au pôle supéro-interne de chaque rein (4 cm de long sur 3 de large, de 4 à 6 g).
Elles sont constituées de deux parties différentes sur le plan embryologique, histologique et fonctionnel :
1- la médullosurrénale , partie centrale - secrétion des cathécholamines (adrénaline…)- indications cliniques : tumeurs neuroendocrines
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- indications cliniques : tumeurs neuroendocrinesneuroblastomes (tumeur solide extra-crânienne)
2- la corticosurrénale , partie périphérique.- indications cliniques : hyperaldostéronisme…
(aldostérone = hormone permettant de réabsorber le sodium, et d'éliminer du potassium)
- fixation D > fixation G
Face POST
Radiothérapie Interne Vectorisée (RTIV)
Traitement de tumeur par les rayonnements ionisants
Radiopharmaceutiques émetteurs ββββ- ou αααα : 131Iode, 89Strontium, 90Yttrium…
L’administration de ces RA est soit :
locale : Synoviorthèse / Lipiocis
générale : en se servant d’un tropisme tumoral (Thyroïde et 131I)
n°16
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Décisions multidisciplinaires Traitement et radioprotection expliqués au patient
⇒ Évaluer la compliance du patient vis-àvis des mesures de radioprotection
Traitement :- ambulatoire : Zévalin, Metastron, Quadramet, Irathérapie des Hthy (si act. < 740 MBq)- en hospitalisation : Irathérapie des K thyroïdiens et Hthy si act. >740 MBq
Radiothérapie Interne Vectorisée (RTIV)
Conseils de radioprotection à la sortie131I
n°16
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Radiothérapie Interne Vectorisée (RTIV)
� Iode 131 :– Administration orale (gélule ou solution liquide) dans les cancers différenciés thyroïdien
(Hospitalisation de pls jours car Activité importante 3700 MBq en ZRP)– Administration orale dans les hyperthyroïdies (ambulatoire si activité < 740 MBq).
�131I-MIBG
– Administration par voie IV : tumeurs endocrines
�90Y-Zevalin :
n°16
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– Administration IV dans les lymphomes malins de bas grade CD20+ (type B) Folliculaires (vecteur Ac monoclonal anti-CD20)
�89Sr et 153Sm-EDTMP:
– Administration par voie IV dans le traitement symptomatique des métastases osseuses douloureuses (vecteur Bisphosphonates: tropisme osseux). Ambulatoire.
�131I-lipiodol :
– Administration locale par injection intra-artérielle dans l’artère hépatique d’une huile iodée qui se fixe préférentiellement dans la tumeur hépatique (carcinome hépatocellulaire).
� Synoviorthèses (90Y,186Re,169Er):– Administration locale par injection intra-articulaire dans les arthrites récidivantes ou
réfractaires et invalidantes.
- Radiopharmaceutiques- Aspects techniques
Dr. Philippe ViauCentre TEP, hôpital Archet I, Nice.
n°17
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- Indications- Exemples de pathologies
Examen TEP : indications en cancérologie
1- Bilan initial d’extension
P.CARRIER Stage ACOMEN Déc 2007
2- Suivit thérapeutique
Avant Après
3- Recherche de récidive
n°17
Pierre Malick Koulibaly - Physicien Médical - Centre Antoine Lacassagne - Nice
82ex : mélanome Chimiothérapie Cancer initial du colon.
⇒ lésion sous hépatique
Examen TEP :traceurs et applications
INTRODUCTION
Examen TEP corps entierExamen TEP corps entier
Examen TEP cérébralExamen TEP cérébral
[11C]Raclopride[11C]Raclopride[18F]FDG[18F]FDG
n°17
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83[18F]NaF[18F]NaF [18F]FDG[18F]FDG
Examen Examen TEP cardiaqueTEP cardiaque
[18F]FDG[18F]FDG
[11C]Raclopride[11C]Raclopride[18F]FDG[18F]FDG
- Rappels et définitions
Radio Immuno Analyse (RIA)
Hématologie
Mr. Joël NéryCadre médicho-technique (MN)
Centre A. Lacassagne, Nice.
n°18
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84
- Rappels et définitions - Indications- Description des techniques
Rôle pratique d’un intervenant en radiopharmacie
n°18
Radio Immuno Analyse (RIA)
Radio ImmunoAnalyse ?
Ensemble des techniques quantitatives (donner une chiffre)mettant à profit la réaction antigène-anticorps pour faire un dosage
toute substance étrangère à l’organisme (virus, bactérie…) capable de déclencher une réaction
réaction du systèmeimmunitaire
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bactérie…) capable de déclencher une réaction du système immunitaire visant à l’éliminer
immunitaire
Mais certains immuno-dosages utilisent un 3ème élément :
- radioactivité
- enzyme
- luminophore
Radio Immuno Analyse (RIA)
Enzymo Immuno Analyse
Fluoro Immuno Analyse
Substances dosées:Hormones
Marqueurs tumorauxAllergènes
Médicaments
Radio Immuno Analyse (RIA)
RIA : technique dedosage in vitro faisant appel a des traceurs radioactifs
n°18
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Médicaments Drogues
Intérêt : méthode très sensible permettant de doser des substancesayant une concentration de l ’ordre du Picomole/litre (10-12)
1chromatographie
10-910-3
colorimétrie
10-12
RIA
10-6
C°
Picomole/litre
Hématologie
Schéma de
principe
n°18
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Hématologie
C’est le marquage, in vitro, des cellules sanguines.
L ’indication est la recherche de foyers infectieux :infection sur prothèseinfection post traumatiqueinfection sur pied diabétique
Marquage des granulocytes avec du 99mTc-HMPAO
n°18
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infection sur pied diabétique
La procédure de base est la récupération des cellules à marquer
On effectue ensuite une Sédimentation-Centrifugation-Purification
Puis après vient le marquage radioactif (99mTc).
On réinjecte pour terminer au patient son propre sang marqué.
On termine en faisant une image à l’aide d’une gamma caméra
Infection sur prothèse de genoux
Rôle pratique d’un intervenant
n°18
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d’un intervenant en radiopharmacie
Mr. Jean Yves MichelManipulateur d’électroradiologie (MN)
Hôpital Princesse Grace, Monaco
n°19
n°20
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Questions et
retour d’expérience
n°21
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Bilan de l’année dernière :
- 4 étudiants / 21 avec la moyenne
- moyenne de la promotion = 7,4/20
Documents utilisés
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Merci à