Dossier de presse 2011

54
11 et 12 septembre 2011 les DOSSIER DE PRESSE

description

Dossier de presse de l'édition 2011 du concours fotosculinaires (http://fotosculinaires.com)

Transcript of Dossier de presse 2011

11 et 12 septembre 2011les

DOSSIER DE PRESSE

Sommaire

Concours International de la Photo Culinaire

Depuis 2008, des duos d’exception

Le règlement du concours

Les coulisses du concours

Un jury de professionnels de la gastronomie et de l’image

La cérémonie de gala et la remise de prix

Les démonstrations de cuisine

Ce que nous pouvons vous dévoiler de l’édition 2011

Concours International de la photo culinaire « Producteurs »NOUVEAUTÉ 2011

Concours International de la photo culinaire « Amateurs »NOUVEAUTÉ 2011

Partenaires 2011

Presse

Contacts

page 5

page 6

page 20

page 20

page 22

page 24

page 26

page 28

page 29

page 33

page 37

page 47

page 51

3

4

Plus que jamais, le monde de la cuisine et de l’image ont besoin de serencontrer. Difficile, en effet, aujourd’hui, quand on est cuisinier oujournaliste gastronomique, d’imaginer pouvoir communiquer sur son

métier sans passer par un outil incomparable : la photo culinaire. Quels quesoient les supports, l’image est au centre de tout : dans l’édition, sur lesmagazines, sur Internet, sur les blogs, la photo culinaire envahit notrequotidien. C’est pourquoi, l’Office de Tourisme a eu l’idée en 2008 de créerun événement mariant ces deux univers en organisant à Oloron Sainte-Marie la première édition du Concours International de L a Photo Culinaire.

OLORON SAINTE-MARIE

5

Depuis 2008, des duos d’exception

Depuis l’émergence de la nouvelle cuisine, au début des années 1970, les chefs n’ont jamaisété aussi starisés et leur communication aussi intense  : pas un seul magazine qui n’ait,aujourd’hui, sa rubrique gastronomique, les blogs culinaires, sur Internet, n’ont jamais étéaussi nombreux et n’ont jamais été autant illustrés de photos culinaires que depuis ladémocratisation des appareils photos numériques, tandis que, phénomène encore plusrécent, les éditeurs n’ont jamais autant publié et vendu de livres de cuisine. Avec quelques7 millions d’exemplaires vendus et 40 millions de chiffre d’affaire réalisé dans ce secteur, il estparu, encore l’an dernier, pas moins de 1 400 ouvrages culinaires, soit deux fois plus qu’il y acinq ans.

Dans ce mouvement d’euphorie, la part de la photo est évidemment très importante, car unesuperbe photo de plat, sur une couverture de livre, par exemple, est très souvent susceptiblede déclencher l’acte d’achat chez le consommateur.

Il était temps de rendre hommage à ces duos de magiciens que sont les photographes et leschefs. Des binômes devenus inséparables parce que, dans le monde de l’édition et de lapresse, on n’a encore rien trouvé de mieux que photographier un plat ou une pâtisserie pourdonner envie d’y goûter.

C’est pourquoi, pour la première fois, dans l’histoire de la gastronomie et de la photo, l’Officede Tourisme du Piémont Oloronais a eu l’idée, en 2008, de créer un événement mariant cesdeux univers. C’est à Oloron Sainte-Marie, cité du célèbre Maître Chocolatier Lindt & Sprüngli,que se tiendra la 4e édition du Concours International de La Photo Culinaire.

Original et unique en son genre, ce concours opposera une vingtaine d’équipes, chacunecomposée d’un chef et d’un photographe pour la réalisation d’une photo originale,jugée par un jury de journalistes, d’éditeurs, de stylistes, de photographes et de cuisiniersgastronomiques.

Après s’être illustré dans son fameux bistrot « LeTemps au Temps » dans le XIe arrondissement de

Paris, ce jeune chef d’à peine trente ans a enfin trouvéun lieu dans lequel il se sent bien. Enfin chez lui, dansce nouveau restaurant du Ve arrondissement, SylvainSendra s’amuse et brouille les pistes, à coup d’intitulésà rallonge, de condiments rares, de voiturier encasquette, ou de simplicité déconcertante.

lauréats

2010

Sylvain SendraItinéraires à Paris

et Carrie Solomon

6

lauréats

2010

7

À30 ans à peine, Jean Sulpice appartient à cette nouvellegénération d’auteurs voués à reprendre le flambeau de la

haute gastronomie française. Savoyard pur et dur, celui qui fût lesecond de Marc Veyrat pendant cinq ans a été formé à bonneécole : celle de la rigueur et de la modernité. Après être passé entreles mains de Jean-Georges Klein (3*à l'Arnsbourg, à Baerenthal), deFeran Adria (3* à El Bulli, à Roses, en Espagne) ou de Patrick Jeffroy(2* à Carantec) avec qui il a appris l’art de bien choisir et de cuirele poisson, Jean Sulpice est devenu, en 2006, le chef étoilé le plushaut perché du monde, dans son restaurant l’« Oxalys » de ValThorens, à 2 300 mètres d’altitude. Chez lui, la cuisine est à la foiscréative et sensible, tonique et pleine de fraîcheur, savoureuseet légère, directement inspirée par la nature et la montagne.

Né en banlieue parisienne, Christophe Bacquié estd’abord et avant tout un enfant de la Corse… et d’une

mère hôtelière de Lumio. Après une formation de cuisinierà l’Île Rousse, il fait, quelques années plus tard, une rencon-tre déterminante avec Louis Outhier, propriétaire du fameuxrestaurant, et Stéphane Raimbault, chef de L’Oasis, à laNapoule (06). Après un passage à la Maison Prunier, à Paris,il revient, en 1997, sur l’île de Beauté, en prenant les rênesde L’Alivu, à la Villa, à Calvi. Avant de retrouver le continent,à l’automne dernier, à l’Hôtel du Castelet (83) où il récupèreses deux étoiles au guide Michelin, en mars dernier. Grâce àune cuisine tonitruante, faite de fulgurance dans le travaildu goût et la justesse des cuissons.

Enfant du pays, Yves Camdeborde est un Béarnais pur et dur. Issu d’unefamille de charcutiers palois dont la réputation a, depuis longtemps,

dépassé les frontières de la cité d’Henry IV, cet inconditionnel du ballonovale a d’abord appris le métier au Ritz, à Paris, puis à la Marée et à la Tourd’Argent, avant de rencontrer un chef qui va bouleverser sa vie : ChristianConstant, au Crillon. Avec ce chef hors pair, le jeune cuisinier prend unenouvelle dimension aux cotés de garçons qui ne vont pas tarder à faireparler d’eux… C’est la génération Piège, Fréchon Felder, Marshall… En1992, Yves Camdeborde quitte la place de la Concorde pour créer laRégalade. Pendant 13 ans, ce Béarnais haut en couleurs va révolutionnerla restauration parisienne, en devenant le chef de file de ce que l’on aappelé les néo-bistrots à l’époque. En 2005, il s’installe dans un hôtel-restaurant de Saint-Germain des Prés et ouvre le Comptoir du Relais. Là, ilréalise une cuisine de goût, vraie et sincère, mêlant tradition et modernité,plats canailles revisités et créations plus personnelles, mais toujours autourde produits de grande origine.

Jean Sulpice2* l’Oxalys à Val Thorens

et Aline Périer

Christophe Bacquié2* Le Montecristo au Castelletet Pierre-Emmanuel Rastoin

Yves CamdebordeComptoir du Relais à Paris

et Laurent Séminel

8

Photo de Pierre-Emmanuel Rastoin avec Christophe Bacquié (2010)

Photo de Laurent Séminel avec Yves Camdeborde (2010)

Photo d’Aline Périer avec Jean Sulpice (2009)

9

Le canard est sa passion, les marais sa raison de vivre. Toulousain d’origineet normand d’adoption, Eric Guérin a débarqué dans le parc de Brière

l’année de ses 16 ans pour chasser le canard sauvage avec son père, avantde se former chez de grandes maisons classiques comme La Tour d’Argent,Taillevent ou le Jules Verne. Tombé fou amoureux de ce parc naturel, de saréserve et de ses oiseaux, Eric rachète neuf ans plus tard, en 1995, l’aubergeoù il passait ses vacances. Transformée en restaurant, elle accueille,aujourd’hui, une cuisine colorée, ludique et métissée, selon une doublelecture  : soit «  tendance  » (dos de maigre, miso-mango et quinoa à lamoelle), soit plus traditionnelle (pot au feu aux légumes). Une cuisine éton-nante souvent axée sur les produits de la mer et des marais, d’ici et d’ailleurs.Mais au lieu de les cuisiner traditionnellement, comme partout ailleurs dansla région, Eric Guérin se laisse porter par son imagination. Un imaginairerécompensé par une étoile au guide Michelin en 2000 qui l’a conduit àtransformer de fond en comble sa maison au printemps dernier. Avec unnouveau restaurant et de nouvelles chambres plus belles que jamais.

William Ledeuil1* Ze kitchen Galerie à Paris

et Éric Laignel

Éric Guérin1* La Mare aux Oiseaux à Saint Joachim

et Jean-Christophe Leroux

Stéphane Carrade2* Chez Ruffet à Jurançon

et Luc Hautecoeur

Olivier Bellin2* L’auberge des Glaziks à Plomodiern

et Christian Rérat

François Adamski1* Gabriel à Bordeaux

et Pascal Latt es

10

Photo de Jean-Christophe Leroux avec Éric Guérin (2010)

Photo d’Éric Laignel avec William Ledeuil (2009)

Photo de Luc Hautecoeur avec Stéphane Carrade (2008)

Photo de Christian Rérat avec Olivier Bellin (2010)

Photo de Pascal Lattes avec François Adamski (2010)

11

Gaël Orieux1* Auguste à Pariset Yvan Zedda

Fabrice Biasolo1* Une Auberge en Gascogne à Astaffort

et Emmanuel Esteban

Michel Portos2* Saint James à Bouliac

et Hervé Lefèbvre

Enfant du Vieux Port, ce marseillais d’origine a travaillé chez MichelToulousy, dans la ville Rose, puis chez Michel Troisgros, à Roanne,

auprès duquel il sera son fidèle second pendant quatre ans. En 1998,il ouvre son premier restaurant. Ce sera Côté Théâtre, à Perpignan. Unétablissement mythique de six tables et douze couverts, pas plus grandqu’un mouchoir de poche, qui deviendra le plus petit restaurant étoilé,trois ans plus tard. Sa cuisine, faite de contrastes subtils et saisissantstoute en subtilité, élégance et fraîcheur, délaisse volontiers les sauces auprofit des réductions et des petits jus délicatement parfumés d’épiceset d’herbes.

Oth Sombath1* Oth Sombath à Pariset Amarante Puget

Patrick Jeffroy2* Patrick Jeffroy à Carantec

et Hubert Taillard

12

Photo de Emmanuel Esteban avec Fabrice Biasolo (2008)

Photo de Yvan Zedda avec Gaël Orieux (2009)

Photo de Hervé Lefèbvre avec Michel Portos (2010)

Photo d’Amarante Puget avec Oth Sombath (2009)

Photo de Hubert Taillard avec Patrick Jeffroy (2010)

13

Xavier Isabal1* Ithurria à Ainhoaet François Poincet

Enfant du Vercors et fils de restaurateur, Christophe Aribert acommencé sa carrière aux côtés de Manuel Martinez, à la Tour

d’Argent, puis de Christian Constant, au Crillon. Mais l’appel de sesmontagnes est le plus fort, et, en 1999, ce skieur chevronné revientaux Terrasses d’Uriage, comme second de Philippe Bouissou, aprèsavoir débuté sa carrière comme commis auprès de lui quelquesannées plus tôt. Deux étoiles depuis 2002 et seul aux commandes dece restaurant depuis quatre ans, Christophe Aribert propose unecuisine pleine de verve, de justesse et de finesse.

Philippe Arrambide2* Les Pyrénées à St Jean Pied de Port

et Olivier Digoit

Alfredo Garcia LagravaCanteré à Hecho - Espagne

et Sergio Padura

Christophe Aribert2* Les Terrasses d’Uriage à Uriage Les Bains

et Pierre-François Couderclauréats

2009

Jacques Décoret1* Jacques Décoret à Vichy

et Grant Symon

14

Photo de Pierre-François Couderc avec Christophe Aribert (2009)

Photo de Grant Symon avec Jacques Décoret (2009)

Photo de Sergio Padura avec Alfredo Garcia Lagrava (2009)

Photo d’Olivier Digoit avec Philippe Arrambide (2009)

Photo de François Poincet avec Xavier Isabal (2009)

lauréats

2009l

15

Christophe Girardot1* La Table de Montesquieu à La Brède

et Christine Amat

Gwendal Le RuyetLe Céleste à Prague - République Tchèque

et Dan Vojtech

Italo-argentin d’origine, cet ancien second d’Alain Passard n’en finitpas de collectionner les titres  : 1ère étoile au guide Michelin

en 2007, puis le titre de « révélation de l’année » la même année, etdeux ans plus tard, celui de « cuisinier de l’année » au Gault Millau,Mauro Colagreco a fait une entrée fracassante à la 35ème place duclassement 2009 des « 50 meilleurs Restaurants du Monde ». D’unesubtilité infinie, sa cuisine rappelle celle du maître de l’Arpège.

Mauro Colagreco1* Mirazur à Mentonet José-Luis Zubiria

Emmanuel MichelChez Chilo à Barcus

et Polo Garatlauréats

2008

Vivien DurandLieu Dit Vin à Hendayeet Boris Sensamat

16

Photo de José-Luis Zubiria avec Mauro Colagreco (2009)

Photo de Dan Vojtech avec Gwendal Le Ruyet (2010)

Photo de Christine Amat avec Christophe Girardot (2010)

Photo de Polo Garat avec Emmanuel Michel (2008)

Photo de Boris Sensamat avec Vivien Durand (2010)

17

lauréats

2008

David DucassouCap e Tot à Morlanne

et Éric Traversie

Cuisinier italien originaire des bords du lac de Garde, Simone Zanonia d’abord commencé son apprentissage dans les plus belles tables

transalpines, comme Del Pescatore, chez Santini, et à l’Enoteca Pinchiorri,à Florence. Mais c’est à Londres que Simone Zanoni va prendre le viragele plus important de son existence. En faisant la rencontre de GordonRamsay, le célèbre cuisinier écossais avec lequel il va décrocher trois étoilesau guide Michelin dans son restaurant de Chelsea en 2003. Après avoir étéson plus fidèle bras droit pendant quatre ans, l’aidant dans la réalisationde ses nombreux ouvrages ou ses émissions de télévision (Panique encuisine, diffusé actuellement sur la chaîne française de la TNT, W9), le jeuneSimone Zanoni ouvre et dirige, en 2007, le nouveau restaurant de GordonRamsay au Trianon Palace, à Versailles. L’année suivante, l’établissementobtient, d’un coup d’un seul, ses deux premières étoiles. Avec une cuisinecentrée sur des produits de haute volée et une justesse parfaite dans lescuissons et les assaisonnements.

Simone Zanoni2 Trianon Palace à Versailles

et Hitomi Ryoke

Jean-Marie Baudic1* Youpala Bistrot à Saint Brieuc

et Sébastien Hervé

Thierry RenouLe Patio à Arcachonet Claude Prigent

Julien DubouéAfaria à Paris

et William Beaucardet

18

Photo de Éric Traversie avec David Ducassou (2010)

Photo de Claude Priget avec Thierry Renou (2010)

Photo de Sébastien Hervé avec Jean-Marie Baudic (2010)

Photo d’Hitomi Ryoke avec Simone Zanoni (2010)

Photo de William Beaucardet avec Julien Duboué (2010)

19

Le règlement du concours

Côté cuisine sont pris en compte l’originalité de la recette, la mise en valeur des produitsd’origine, le stylisme et la présentation du plat. Côté photo sont jugés et appréciés la technique photographique proprement dite, commela qualité de la lumière, la définition du grain, le jeu sur la profondeur du champ ou la précisiondu cadrage.Mais aussi la valeur artistique de la photo à savoir l’originalité de la prise de vue, la créativitéet la sensibilité du photographe. Les membres du jury évaluent la notion de « gourmandise » de la photo, chacun s’interrogepour savoir s’ils ont envie de manger le plat ou de refaire la recette !

Les coulisses du concours

Durant deux heures, les duos de chefs et de photographes rivalisent d’ingéniosité pourconcevoir une photo originale.

David Ducassou et Éric Traversie Patrick Jeffroy

Pierre-Emmanuel Rastoin et Christophe Bacquié

20

Dan Vojtech et Gwendal Le RuyetThierry Renou

Simone Zanoni et Hitomi Ryoke

Jean Sulpice

21

Un jury de professionnels de la gastronomie et de l’image

Mathilde de L’ÉcotaisPhotographe

Présidente du Jury 2008

Présidente du jury 2008 du concours Internationalde Photo Culinaire, photographe culinaire

(Thierry Marx, Alain Ducasse…). Nombreusescollaborations  : New York Times, Elle, Marie-Claire,L’Express, Le Point, L’Echo des Savanes, VSD, Le Figaro,Inrockuptible... Lauréate d’un grand nombre de prix :Prix de la meilleure photographie culinaire, “Le grandlivre des desserts et pâtisseries” Alain Ducasse, 2006,Prix Metro, “cash & carry”, 2007, Prix du design, “Pla-nète Marx”, Grand Prix du jury du festival Internatio-nal de la Photographie culinaire, 2009, Élue ‘femmede l’année’ par le magazine Jalouse, 2004.

Frédéric AntonChef 3* - Pré Catelan - Paris

Président du Jury 2010

Ancien disciple de Joël Robuchon, Frédéric Antonest le chef du Pré Catelan, à Paris, depuis 14 ans

maintenant. Sacré Meilleur Ouvrier de France en 2000et auréolé d’une troisième étoile en 2007, ce lorraind’origine est l’un des trois membres du juryMasterchef sur TF1 depuis l’an dernier.

Pierre HerméPâtissier

Président du Jury 2009

Après avoir commencé sa carrière aux côtés deGaston Lenôtre dès l'âge de quatorze ans, Pierre

Hermé sera le chef-pâtissier de la maison Fauchonpendant 10 ans, entre 1986 et 1996, avant de dirigerla maison Ladurée pendant les deux annéessuivantes. En 1998, il crée la maison « Pierre HerméParis® » avec une première boutique à Tokyo, avantde signer, en 2001, son grand retour sur la scèneparisienne. Il est aujourd’hui à la tête d’une vingtainede boutiques à travers le monde.

22

Les membres du jury 2010

William LedeuilChef - 1* Ze Kitchen Galerie - Paris

Ancien disciple de Guy Savoy, William Ledeuil est un passionnéd'art contemporain et de voyages. Diplômé en gestion des

entreprises et de l'École supérieure de cuisine française, il a ouvert,en 2001, dans le VIe arrondissement, à Paris, le restaurant Ze KitchenGalerie où sont exposés en permanence des tableaux d'artcontemporain autour d'un mobilier spécialement créé par undesigner. Fort de son étoile gagnée en 2008, William Ledeuil réaliseune cuisine qui n’oublie pas les fondamentaux de la cuisine française,mais aux influences asiatiques très marquées, notamment du côtéde la Thaïlande et du Japon. Une cuisine hors norme, toute en sub-tilité, en douceur et en élégance, signée par l’un de nos plus grandschefs actuels.

François PoincetPhotographe

Andréa PétriniJournaliste - Fooding

Sophie BrissaudStyliste, Journaliste et Auteur

Marie Anne PageJournaliste

Grant SymonPhotographe

Freddy ThiburceDirecteur des Cercles Culinaires de France

Florence LécuyerDirectrice éditoriale - La Martinière

François Régis GaudryJournaliste - L’Express Styles

Benjamine FajeauProductrice - Masterchef - TF1

23

La cérémonie de gala et la remise des prix

Journaliste et critique gastronomique depuis unequinzaine d’années, Philippe Boé a d’abord travaillé

dans la presse quotidienne régionale (La Républiquedes Pyrénées, Les Dernières Nouvelles d’Alsace) et à laradio, notamment à Radio France, RMC et RadioTour Eiffel, avant de rejoindre la presse magazinegastronomique, notamment à VSD pour lequel il a encharge la rubrique gastronomique depuis dix ans.Après avoir été formé à l’école Gault-Millau - le guideet le magazine pour lesquels il a travaillé pendant septans (1994-2000) comme critique gastronomique, chefde région (Paris-IDF) et coordinateur national, PhilippeBoé a également été membre de l’équipe du Foodingentre 2001 et 2007. Auteur d’ouvrages sur la gastronomie, Philippe Boé

écrit les livres de Philippe Conticini, un de nos plus grands pâtissiers (La Table d’Anvers, Petrossian,Peltier, La Pâtisserie des Rêves) : en 2004, le livre « Tentations » (Marabout), qui a remporté le« Gourmand World Cookbook Awards » du meilleur livre de chef, l’année suivante « SensationsNutella » (Agnès Viénot), en 2006, « Concentré de Délices » (Marabout), puis, en 2009, « Sensations »(Ed. Minerva), une anthologie de la pâtisserie de 500 pages, avec 300 recettes et 180 photos deJean-Louis Bloch-Lainé. Auteur, en 2007, du livre « Hors Jeux », cuisine et rugby : la rencontre au sommet (éditions de l’If ), qui a réuni, à l’occasion de la coupe du monde de rugby en France, 45 grandschefs et 45 internationaux de rugby, avec des photos totalement décalées de Denis Rouvre, PhilippeBoé a également écrit, en 2008, « Altitude 2300 m » (Glénat), primé aux Gastronomades d’Angoulême(Meilleur livre gastronomique de l’année), aux côtés de Jean Sulpice, l’ancien second de Marc Veyratet chef 2* le plus haut du monde, au restaurant L’Oxalys, à Val Thorens (73). Fort de l’organisation du « Trophée Hors Jeux », le 1er tournoi de rugby des chefs qui a eu lieu le 1eroctobre 2007 au Stade Français, Philippe Boé se consacre également à l’événementiel gastronomique.Fou d’images, Philippe Boé aide ainsi, chaque année, à l’organisation du Concours International deLa Photo Culinaire à Oloron Sainte-Marie (64).N’oubliant pas qu’il a fait des études de cinéma avant d’intégrer une école de journalisme (l’IPJ,à Paris), Philippe Boé s’est lancé, depuis deux ans, dans l’enquête et l’écriture de documentaires pourla télévision. Co-auteur de « Suivez le Guide », un 52’ produit par Guy Job et réalisé par Jean-PierrePetit, sur les coulisses du guide Michelin diffusé en mars 2009 sur France 5, il est également l’auteurde « La Revanche des Pâtissiers », produit par Martange Production  et réalisé par J-P Petit : undocumentaire de 90’ sur l’excellence de la pâtisserie Française qui a été diffusé sur France 5, endécembre 2010. En attendant de nouveaux films en 2011, comme celui sur le boom des surgelés,produit par Galaxie Presse, réalisé par Sylvie Aguirre et qui sera diffusé sur France 5 le 20 marsprochain.Membre de l’APCIG (Association Professionnelle des Chroniqueurs et Informateurs de la Gastronomieet du Vin) et Prix du Meilleur Journaliste gastronomique aux Gastronomades d’Angoulême en 2006,Philippe Boé a reçu, en 2010, le Prix Amunategui-Curnonsky du meilleur chroniqueur gastronomiquede l’année.

Philippe Boé

Lorsque les photos sont terminées, l’ensemble des participants au concours, mais aussile grand public et tous les professionnels invités à cet événement se retrouvent pour lacérémonie de gala animée par Philippe Boé, journaliste gastronomique et consultant duConcours International de La Photo Culinaire.

24

25

Les démonstrations de cuisine et présentation de producteurs

Démonstrations de cuisine en direct animées par Vincent Poussard, animateur de l’École deCuisine du Quai des saveurs, le Cercle Culinaire d’Aquitaine à Bordeaux.

Stéphane Carrade Chef 2* Chez Ruffet - Jurançon (2009)

Alberto Herraiz Chef 1* El Fogon - Paris (2009)

Sébastien Bordenave Coustaret - La Route des Vins du Jurançon (2010)

Yves Camdeborde Chef Le Comptoir du Relais - Paris et Vincent Poussard animateurÉcole de Cuisine du Quai des Saveurs - Cercle Culinaire d’Aquitaine - Bordeaux (2010)

26

Le cocktail-dînatoire

Après la remise des prix, un cocktail dînatoire s’est tenu sur lesberges du gave d’Aspe avec les plus grands chefs aquitains quiont offert aux invités des tapas et autres petites bouchéesgourmandes créées dans leur maison à partir de produits dela région. Bonne humeur et convivialité étaient au rendez-vousde ce buffet qui s’est prolongé tard dans la nuit...

Maïtena Erguy et Flora Mikula Chef (2010)

Michel Berthommier et Mathieu Rostaing Tayard Chef Le 126 - Lyon (2010)

Éric Ospital et Christian Etchebest Chef Le Troquet - Paris (2010)

Jean-Yves Bordier et Sylvain Guillemot ChefL’Auberge du Pont d’Acigné - Noyal-sur-Vialine (2010)

27

Ce que nous pouvons vous dévoiler de l’édition 2011

Ce qui frappe, en premier lieu, les esprits, pour quirencontre Michel Troisgros pour la première fois, c’est

l’incroyable gentillesse, le naturel profond et la grandesimplicité que dégage ce cuisinier hors norme. Autant dequalités humaines, assez rares, finalement, chez un chef troisétoiles, mais qui, au fil du temps, ont su nourrir sa cuisine. Unecuisine d’auteur hypersensible, toute à la fois subtile ettonique, douce et foudroyante. Un peu à l’image de ce que,Michel goûtait, lorsqu’il était enfant, auprès de Mémé Forte,sa grand-mère maternelle, de l’autre côté des Alpes. Unecuisine italienne dans laquelle l’agre-dolce (l’aigre-doux) avaittoute sa place. Cet univers de l’acidité et de l’acidulé, initié à Roanne (42) parPierre, son père et Jean, son oncle, dans les années 1960-1970,deviendra ainsi, après la création du cultissime saumonà l’oseille, la marque de fabrique de la maison Troisgros. Uneempreinte familiale dans laquelle Michel s’est glissé pourmieux la sublimer, en travaillant non plus seulement sur le rôle

du vinaigre, du citron ou du vin, mais aussi sur celui des fruits (rhubarbe), de l’épine-vinette, du tamarin ou desfermentations, en prenant soin de traduire tout cela à travers deux ouvrages, d’ores et déjà essentiels pour quiaime la cuisine : La Cuisine acidulée (Le Cherche Midi, 2002) et Michel Troisgros et l’Italie (Glénat, 2009).Si, comme dans tant d’autres dynasties de ce genre, l’homme aurait pu se contenter de poursuivre l’aventurefamiliale dans la simple continuité de ce que les grands-parents, Jean-Baptiste et Marie Troisgros, ont créé en1930, en achetant l'Hôtel-Restaurant des Platanes (rebaptisé Hôtel Moderne en 1935), en face de la gare deRoanne, aux frontières de la Bourgogne, de la Vallée du Rhône et de l’Auvergne, le long de la célèbre routenationale 7, Michel est parvenu à exister par lui-même, notamment en travaillant comme un forcené, en allantapprendre le métier chez les plus grands (Alain Chapel, Roger Vergé, Freddy Girardet, Michel Guérard) et envoyageant sans cesse, pour assouvir sa curiosité et sa soif d’apprendre. De l’Italie de son enfance au Japon actuel,en passant par un apprentissage dans les meilleurs restaurants de Londres, Bruxelles, New-York ou San Francisco(notamment Chez Panisse, d’Alice Waters), Michel Troisgros rapportera de ces différentes expériencesmulticulturelles tout ce qui fait aujourd’hui sa cuisine : un mélange d’influences et de goûts métissés articuléssur un socle de technique et de tradition culinaire française. Une cuisine identitaire qu’il a d’abord partagée avec son père, Pierre, suite au décès brutal de son oncle Jean, enaoût 1983, puis exercée définitivement en solo, depuis 1995. Après l’ouverture, à l’époque, du bistrot «Le Central»,une annexe du restaurant gastronomique, la maison Troisgros s’est ensuite agrandie avec, en 2004, l’ouverturede «La Table du Lancaster» à Paris (1*), puis celle, en 2006, de son restaurant «Cuisine(s) Michel Troisgros» àTokyo (2**), et enfin, en 2008, la création, à Iguerande (71), aux côtés de son épouse Marie-Pierre, de la «Collinedu Colombier», une table simple et canaille (Le Grand Couvert) aménagée dans l’étable d’une ancienne fermerénovée, avec, pour dormir, de jolies chambres installées dans la longère, mais aussi dans trois cadoles, autrementdit de véritables gîtes avant-gardiste construits sous forme de cabanes contemporaine sur pilotis, signées parl’architecte Patrick Bouchain et ouvertes sur la nature brionnaise.Passionné par l’architecture, le design et l’art pictural autant que par l’exigence du goût inhérent à son métier,Michel Troisgros n’a pas hésité une seconde quand on lui a proposé de présider le jury de cette 4ème édition duConcours International de Photo Culinaire. Car, comme il l’a confié au magazine Gmag de Laurent Séminel, enavril dernier, «j’ai longtemps cru que le bon était l’axe essentiel et que la forme était un souci qui venait à posteriori.En fait, je me rends compte que l’un induit l’autre. Je travaille donc en même temps le bon et le beau». À l’instar,par exemple, de son filet de rouget laqué façon Mondrian, quadrillé d’un rouge à la tomate piquante, d’un vert àl’oseille et d’un jaune au citron.

28

Michel TroisgrosChef 3*

Maison TroisgrosHôtel - Restaurant

Place de la Gare42300 Roanne

La Colline du ColombierAuberge - Gîtes

71340 Iguerande

Le CentralRestaurant - Épicerie

58 Cours de la République42300 Roanne

Le Président de la 4ème édition du Concours International de la Photo Culinaire

PRODUCTEURS

Parce que la photographie culinaire ne doit surtout pas se limiter auxphotos figées de plats, mais révéler des hommes et des produits saisisdans leur environnement, il nous a semblé important de réunir,

pour cette nouvelle édition 2011, les candidats cuisiniers aux côtés deproducteurs, pêcheurs ou éleveurs aquitains, afin que les candidats photographes les surprennent dans leur milieu naturel, en compagnie deleurs produits. En faisant preuve d’originalité, de décalage, d’humour et d’élégance, lesphotographes devraient pouvoir apporter énormément d’humanité et debeauté dans cette nouvelle approche de la photo culinaire.

Nouveauté 4ème édition

OLORON SAINTE-MARIE 2011

29

Une seconde épreuve est donc créée pour le Concours 2011, destinée à valoriser l’ensembledes terroirs Aquitains  : un véritable road movie grandeur nature, dans lequel les duossélectionnés devront réaliser une photo réunissant :

un producteur Aquitain, son produit,le paysage aquitain,le chef du duo qui réalise cetteépreuve.

À partir des 20 duos candidats, serontdonc réunis 20 chefs + 20 photographes+ 20 producteurs, pêcheurs ou éleveurs +20 produits, sur 20 lieux différents répar-tis sur l’ensemble des 5 départementsaquitains (Gironde, Dordogne, Landes,Lot-et-Garonne et Pyrénées Atlantiques).

L’épreuve partira de Gironde. Chaque duoaura à disposition une voiture, un GPSet une enveloppe cachetée présentantles informations nécessaires (dont ladestination de la prise de vue).

Des équipes de tournage TV pourraient suivre certaines équipes dans leur périple, en vuedu tournage d’un film documentaire (52’).

Un photographe amateur (bloggeur) pourrait compléter le dispositif pour réaliser le film dufilm : les amateurs photographieraient les trios (chef, photographe, producteur). Chaquephotographe amateur sélectionnera ensuite une photo (la meilleure) censée symboliser aumieux leur road food movie.Des journalistes pourront accompagner les duos pour réaliser des articles pour la pressenationale.

Le jury, présidé par Michel Troisgros, élira la photo gagnante du road food movie à OloronSainte-Marie le 11 septembre prochain.Les photos pourront être cédées aux partenaires (sponsors, départements, filières, Conseilrégional…).

Caroline Rostang et Sébastien Chabal

Photos de Denis Rouvre extraites du livre « Hors jeux »

Idée originale de Philippe Boé, journaliste.

30

Road Food Moovie Aquitaine

31

Gérard Merceron et Grégory Coutanceau

32

AMATEURS

La photo culinaire étant désormais partout présente sur le web,avec un engouement sans précédent pour accompagner bien souventune recette ou un repas pris dans un restaurant, il devenait logique

et naturel d’ouvrir les portes d’Oloron Sainte-Marie à ces amateurspassionnés.

Nouveauté 4ème édition

OLORON SAINTE-MARIE 2011

33

L’idée est donc de faire participer les amateurs de photos (blogueurs...) culinaire à notreévénement, en leur proposant un concours de photo culinaire parallèle et distinct de celui desprofessionnels.

Ces amateurs devront à la fois créer une recette originale (salée ou sucrée), créée spécialementpour l’événement, et la photographier. Ils pourront photographier eux-mêmes le plat qu’ils aurontréalisé, ou bien se faire aider par un photographe également amateur. Auquel cas, ils devrontle préciser en spécifiant la profession et bien évidement partager les gains du prix en cas devictoire… Dans tous les cas, ils devront être présents à Bordeaux et Oloron Sainte-Marie pourréaliser un reportage sur l’équipe à laquelle ils seront associés mais aussi sur l’ensemble del’événement.Le deal, en échange de leur participation à Oloron Sainte-Marie (repas et hébergement pris encharge) et la mise en ligne sur le site du Concours avec un lien de réciprocité vers le site dublogueur : mettre en ligne sur leur site, leurs photos du road food movie et de l’ensemble duConcours International de La Photo Culinaire : soirées, journée, etc…).

Les 10 meilleurs auteurs de ces photos seront conviés à Bordeaux et Oloron pour couvrirl’ensemble de l’événement.

www.mercotte.fr

Prix de la meilleure photo culinaire amateurs

34

Déborah DupontLibraire et Blogueuse

Passionnée de cuisine, Déborah Dupont est devenue, à moins de30 ans, l’heureuse propriétaire de La Librairie Gourmande,

référence mondiale en terme de librairie culinaire. Ouverte en 1985, la Librairie Gourmande est la plus importantelibrairie spécialisée gastronomie/oenologie au monde.20 000 références en stock, dont de nombreux livres anciens avecquelques perles rares (Traité Curieux des Mouches à Miel, 1740).Chefs, étudiants, amateurs défilent dans ses rayons, à l’affût desnouveautés, d’ouvrages techniques et de livres anciens.

http://agapes.canalblog.com/

www.mercotte.fr

35

36

PARTENAIRES

OLORON SAINTE-MARIE 2011

37

Le beurre, un partenaire de goût et son « Trophée Pur Beurre »

Après avoir parrainé le Concours International de La Photo Culinaire en 2008, «Le beurre, provocateur de goût » continue à récompenser les meilleures photosdont les recettes sont réalisées avec du beurre.En 2010, nous avons imaginé un tout nouveau prix pour récompenser la photode l’inspiration créative pour une recette à base de beurre. La photo sélectionnéepar le jury a obtenu une dotation de 3000 euros à partager entre le chef et le pho-tographe. La photo des lauréats sera promue en quatrième de couverture d’undes prochains carnets d’inspiration culinaire édité par le Cniel - Cercles Cu-linaires de France.

À chaque édition, un nouveau trophée

« Fondés à l’initiative des professionnels du lait pour développer les cours de cuisine pour tous, les Cercles Culinairesde France du Cniel (Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière) sont également les ambassadeurs

de la cuisine au beurre ! Depuis plusieurs années, nousmettons en valeur les grands chefs dans leur capacité àimaginer des recettes créatives. Celles qui sont au cœur destendances et qui épousent les goûts de l’époque. Grâce auxchefs, le beurre devient source d’inspiration culinaire, et sefaçonne, se parfume, s’infuse, s’émulsionne, se texture... Lebeurre inspire une cuisine libre, il est la signature des plustalentueux ! » déclare Freddy Thiburce, Directeur desCentres Culinaires de France.À Oloron Sainte-Marie, il en est tout naturellement demême pour le Concours International de La PhotoCulinaire. Plus que jamais, le beurre se veut provocateurde goût !

Le beurre fait son show

Le beurre est également au menu des démonstrations de la soirée degala avec une animation en tandem de Jean-Yves Bordier, orfèvre dubeurre, et de Sylvain Guillemot, chef de l’Auberge du Pont d’Acigné(photo ci-dessous). Le cocktail dînatoire a permis de découvrir des tapaset mini-bouchées beurrées. D’autres animations autour de « La Table desBeurres » ont offert au public l’opportunité de devenir des... créateurs debeurre !

Pour en savoir plus :www.cercleculinaire.comProfessionnels :Freddy [email protected] :Christophe [email protected]

Photo gagante Trophée Pur Beurre 2010Par Éric Séminel, photographe et Yves Camdeborde, Chef Comptoir du Relais - Paris

38

Le piano froid Maestro

Bonnet, acteur majeur de l’équipement de grande cuisine en France età l’international développe un piano froid Maestro.

Ce piano associe des moteurs de cuisson électriques, dégageant trèspeu de chaleur. Graphique, épuré, il permet de nouvelles sensations detravail.

Le piano froid accompagne l’évolution des mentalités en cuisine.Aujourd’hui, les chefs aspirent, pour eux et pour leur brigade,à un plus grand confort de travail. De plus, ils recherchentdes équipements qui leur permettent de gagner du temps,notamment au niveau du nettoyage, et de réaliser des écono-mies d’énergie. Enfin, ils exigent un matériel précis, puissant etbien pensé.

Le confort

Alors que la cuisine est traditionnellement caractérisée par uneforte chaleur ambiante et par un environnement encombré, lepiano froid ne dégage pas de chaleur rémanente et son design épuré rend la cuisine plus ouverte, améliorantainsi les échanges et l’organisation des équipes.

La réduction des coûts de main d’œuvre et de la consommation d’énergie

Parce qu’il redescend très vite en température, les risques d’accident sont diminués, et le nettoyage du pianopeut être entamé dès la fin du service. Ce nettoyage est fait plus rapidement puisque les éléments sont lisses.Le temps gagné peut aller jusqu’à une heure par service ! Par ailleurs, la baisse significative de la températureen cuisine réduit la puissance de l’extraction nécessaire (réduction estimée à une division par 9), ce qui représenteune réduction de coût substantielle.

La puissance et la précision

Enfin, les éléments qui composentce piano bénéficient d’innovationstechnologiques : la vraie plaque coupde feu à induction, la plancha tepaniakichromée, la friteuse affleurante…chacun ayant pour vocation de garantirprécision et rapidité de cuisson.

39

Là où se transmet l’excellence...Depuis 40 ans, All-Clad ne cesse d’innover et d’éleversa maîtrise dans le multi-pli pour offrir les meilleursustensiles de cuisson. Créés avec des professionnels,All-Clad a su convaincre les plus grands chefs.All-Clad équipe les cuisines de l’Institut Paul Bocuse,la prestigieuse école de cuisine française. Les usten-sils fabriqués par All-Clad s’avèrent être les préférésde l’International Culinary Center (Centre CulinaireInternational), nouveau centre qui réunit plusieursécoles de cuisine, dont le French Culinary Institute.All-Clad est le partenaire officiel du « Roux Scholar-ship », la première compétition de jeunes chefs duRoyaume-Uni et l’une des plus prestigieuse aumonde.

All-Clad partage la passion de l’excellence qui anime tous les chefs et professeurs, qui, intensément,se sentent investis d’une mission de transmission envers les plus jeunes.

À la recherche de l’excellenceAll-Clad est partenaire officiel du Bocuse d’Or, le plus prestigieux concours international de cuisine dans lequels’affronte 24 pays. All-Clad est partenaire officiel des Relais & Châteaux et fier de s’associer au « Rising Chef Trophy »qui met à l’honneur les jeunes chefs dont l’inventivité, l’imagination et l’engagement généreux les assurent de devenirles grandes signatures de la gastronomie mondiale. All-Clad est le sponsor du « Canadian Chef’ Congress »(congrès des chefs canadiens). All-Clad s’associent depuis plusieurs années au lancement annuel du célèbre guidegastronomique France Gault et Millau. À cette occasion, le trophée All-Clad est décerné au Cuisinier de l’annéenommé par Gault et Millau, « découvreur de talents » depuis sa création.

La mission d’All-Clad : être le partenaire de confiance et d’exigence des chefs, au cœur de lagrande aventure gastronomique.

40

All-Clad : le choix des professionnels

Contact :Yannick BessonChef de marché All-CladTél. +33 (0)4 78 78 67 76Mob. +33 (0)6 80 47 44 [email protected]

41

La collection offre une large variété de linge de maison (coton ou métis)agrémentée de rayures correspondant aux 7 provinces basques(3 françaises et 4 espagnoles). Les fils de coton, de lin ou de chanvre, restésnaturels, sont toujours travaillés avec autantde soins pour garantir la qualité de toute lagamme des produits LARTIGUE 1910  :nappes, chemins et sets de table, corbeillesà pains, sacs, torchons, tabliers, coussins,espadrilles…qui se déclinent en une multi-tudes de couleurs ensoleillées, pour desambiances chaudes et colorées à l’intérieur,comme à l’extérieur de la maison.

Aujourd’hui, Philippe Lartigue élargit etréactualise la production. Son souhait estde conserver un savoir faire dans sa régiond’origine, le Sud Ouest, en proposant desproduits de qualité, confectionnés sur placedans un souci de développement durable. Respectant la tradition, sa nouvelle collec-tion allie coloris actuels, élégance, et origi-nalité pour répondre à toutes vos envies.

Cela fait plus d’un siècle que Calixte Lartigue a établi son atelier au pieddes Pyrénées pour utiliser la force motrice de l’eau et développer ainsi lacréation de toiles à espadrilles.Ses descendants perpétuentdepuis la tradition de ce tissageinspiré des “Mantes à bœufs“,toiles utilisées jadis pourprotéger les bêtes de la chaleuret des insectes.

Tissages Lartigue

Contact :Philippe Lartigue2, avenue Georges Messier64400 BidosTél. 05 59 39 50 [email protected]

Savez-vous qu’en Pyrénées Atlantiques, à deux pas d’OloronSainte-Marie, la famille Lartigue, tisserands depuis plusieursgénérations, lance sa nouvelle marque de linge basqueLARTIGUE 1910 ?

42

Un partenariat de longue date avec les professionnels

Chez Rougié, à Sarlat, au cœur de la magnifique région du Périgord, nousmarions tradition et innovation depuis 1875 pour proposer les meilleursfoies gras d’oie et de canard. Le foie gras est le joyau dans la couronnedes ingrédients de luxe de la haute cuisine française, avec la truffe àlaquelle il est souvent associé. Emblème de la culture culinaire française,le foie gras montre pourtant par son histoire millénaire, un caractèreuniversel. Déjà savouré par les égyptiens, adoré dans l’ensemble dumonde gréco-romain, le foie gras, après une période discrète, renaît enFrance au XIVème siècle, dans le Sud-ouest particulièrement. Cetteuniversalité est reconnue aujourd’hui par les chefs qui dans le mondeentier l’intègrent à une cuisine, non seulement traditionnelle maissurtout bien contemporaine. En s’adaptant aux expérimentationsgastronomiques les plus osées, le foie gras montre sa modernité et soncaractère irremplaçable. Une belle locomotive pour tous les autresproduits nobles de l’oie et du canard, les magrets et autres confits quifont naître des étincelles dans les yeux de tous les épicuriens.Rougié, en respectant un savoir faire qualitatif et en maintenant des liensforts avec les professionnels de la haute gastronomie de part le monde,est naturellement la grande référence du secteur.

La formation :une progression vers la perfection

Ouverte en 2008, l’école du foie gras Rougié est uneréférence incontournable en matière d’expertise pource noble produit qu’est le Foie Gras !Les stages se déroulent sur deux jours. Jean-Luc Danjouassure cette formation et invite un grand chef pour ladeuxième journée afin de partager avec les stagiaires sacréativité autour du foie gras.

Les partenariats

L’école du Foie Gras étend ses partenariats dans le monde.Après la prestigieuse université culinaire At-Sunrice Chef Academy deSingapour début 2009, de nombreuses grandes écoles de cuisine ontdécidé de créer des modules spéciaux sur le travail du Foie Gras enpartenariat avec notre école.Il s’agit d’abord, toujours en Asie, de l’école HITDC, la plus belle institutionculinaire de Hong Kong, Enderun Colleges au Philippines, ALMA en Italie,TSUJI au Japon...

Foie gras Rougié

Contact :Pascal Schneider-MaunouryDirecteur MarketingTél. +33 (0)5 59 77 78 [email protected]

Rougié est le partenaire fondateur dela Bocuse d’Or Winners’ Academy.

43

La marque Montfort est née dans le Sud-Ouest, en plein cœur de laproduction du canard à foie gras. Depuis, Montfort a toujours conservéle lien avec sa terre et partagé sa passion du canard, en le faisantdécouvrir sous toutes ses formes, de la plus traditionnelle à la plusétonnante, de la plus élaborée à la plus accessible.

Les garanties Montfort

Le Sud-Ouest est la terre d’origine des Foies Gras d’excellence. Par l’estampille «IndicationGéographique Protégée», Montfort certifie cette provenance reconnue.De plus, avec sa garantie « Producteur Identifié » Montfort met ses producteurs à l’honneur ! Sûrede son savoir-faire et forte de son appartenance à la Coopérative Euralis, elle est fière de faire figurersur ses produits, le nom et l’adresse de l’éleveur.Agriconfiance, c’est un lien direct entre le consommateur et les producteurs de la coopérativeEuralis. Montfort s’est engagée dans cette démarche dès 2001. Elle engage à la fois les producteurset les salariés de la coopérative. Elle couvre l’ensemble de la chaîne de production, de l’élevagejusqu’au produit transformé, par la mise en place de normes d’élevage, puis de programmesd’assurance qualité et de protection de l’environnement.

Les gammes Montfort

La création a besoin d’une source d’inspiration. En matière de gastronomie leSud-Ouest est inépuisable ! Montfort est héritière de cette tradition culinaire ets’attache à perpétuer ses valeurs fondamentales : l’authenticité et l’amour du travailbien fait. «Nos foies gras sont façonnés et assaisonnés à la main avec soin».Ce solide héritage, Montfort le transcende pour offrir de nouvelles sensationsgastronomiques avec ses torchons et ses terrines à l’ancienne, son foie gras auChampagne et 2 Poivres, ses pétales et chiffonnades de magrets fumés ou séchés,ses foies gras prétranchés, ses confits, ses magrets extra tendres...Montfort sait aussi bousculer les habitudes pour mieux bouleverser vos papilles...Toujours à l’avant-garde des saveurs, Montfort propose des innovations majeures.Les dernières viennent enrichir la gamme «Prestige» : un torchon de foie gras decanard entier au Sel de Guérande et poivre de Sichuan et une terrine marinée auSauternes et poivres. Une collection qui fera référence dans l’univers du Foie Gras,sans oublier la gamme «Mon Foie Gras Facile!» au rayon cru qui propose des produitspratiques et faciles d’utilisation pour accompagner les consommateurs avecpédagogie. Montfort c’est aussi, de nombreusesrecettes de Plats Cuisinés et d’aidesculinaires qui allient praticité et rapiditéd’utilisation à retrouver au rayon «Épicerie».Depuis le début du printemps, Montfort aenrichie sa gamme «Viande de canard»avec des brochettes au magret de canard,un magret de canard sauce barbecue, uncœur de magret de canard séché auxpoivres et bien d’autres recettes à savourerà deux ou entre amis !Produits à retrouver e n grandes etmoyennes surfaces.

Montfort

www.montfort.com

44

En 1947, Mr. Kenneth Wood invente un nouveau grille-pain électrique suivi rapidement d’unmixeur-batteur, puis crée une petite révolution dans le monde de la cuisine, en inventant leKENWOOD CHEF. La philosophie de Kenneth Wood est simple : les produitsKENWOOD doivent être beaux, solides, faciles à utiliseret à entretenir, afin de répondre aux vrais besoins des consom-mateurs. Dès le début, pour présenter le produit et donner envie auxconsommatrices d’utiliser ce robot révolutionnaire, KennethWood sillonne les routes avec sa «  camionnette  » dedémonstration.

Présenté avec succès lors du salon « Ideal Home » à Londres. Il se vendit chez Harrodstout de suite à 200 exemplaires en un temps record. Sa réputation grandit très vite etle Chef fut exporté à travers le monde.

KENWOOD devient très vite l’expert en robots culinaires avec son « CHEF » dont le système novateur est unique :quatre sorties moteur avec une vitesse de rotation différente pour chacune d’elles. De quoi réussir rapidement etbrillamment une infinité de préparations !

À partir des années 60, la marque fait appelau designer Kenneth Grange qui sauradonner naissance au style KENWOODen mettant l’accent sur les lignes et lesmatériaux nobles comme l’inox et le verre.Grâce à son design et à son niveaude qualité, la marque devient un acteurincontournable de l’équipement électro-ménager.

En 2009, l’arrivée du plus évolué de tous, leCooking Chef, va encore simplifier la vie.Mélanger, pétrir, fouetter, râper, émincer …tout le savoir-faire KENWOOD avec lacuisson en plus.

À ce jour, plus de 10 millions de KENWOOD CHEF ont été vendus dans plus de 100 pays à travers le monde. Les robotsKENWOOD sont réputés pour leur qualité et leur fiabilité. Certains robots vendus dans les années 50 fonctionnent toujours !Aujourd’hui Leader européen dans la préparation culinaire et leader sur le marché des robots combinés en France,KENWOOD conserve plus que jamais ses valeurs premières : Qualité, Design, Innovation.

Depuis 60 ans, KENWOOD propose des robotsménagers qui associent habilement design etperformances techniques. Toujours aussi dynamique,la marque n’a de cesse d’innover dans la préparationculinaire.

L’esprit KENWOOD, une histoire de robots stars

Contact :Agence CommuniClaireClaire de La Villemarqué - Amandine Avidano 33 rue de Surène - 75008 ParisTél. 01 40 74 03 [email protected] www.communiclaire.fr

www.kenwood.frwww.cookingchef.fr

N°1 EN PRÉPARATION CULINAIRE

45

www.delonghi.fr

De’Longhi, leader mondial dans les machines espresso,leader en Europe sur le marché des robots café, innove sanscesse et lance en France à l’automne 2011 deux nouveautés.Alliant Design, Technologie et Simplicité, De’Longhi signela rencontre entre innovation et émotion, raffinement etbien-être et offre le plaisir intense d’un véritable espresso.

PrimaDonna S De Luxe :un concentré d’excellence et de technologie

Son corps entièrement métal, son aspect compact aux lignes épuréeset aux formes modernes séduira à la fois les amateurs de café et d’artde vivre à l’italienne.La PrimaDonna S De Luxe permet d’obtenir un espresso sur mesure enréglant l’ensemble des paramètres nécessaires à la réalisation d’unespresso parfait : température, quantité de café, d’eau ou de lait, finessede la mouture, force, longueur …

Lattissima « + »,nouvelle machine Nespresso De’Longhi

Depuis 5 années, le nom Lattissima est établi et reconnu. La technolo-gie De’Longhi au service du design Nespresso.Ce concept de machineest dédié aux amateurs de café de haute qualité agrémenté d’une notede lait frais, qui désirent contourner les aléas de sa préparation tout enrespectant les règles de l’art du café à l’italienne. Plus compacte, plus écologique, plus silencieuse, plus simpled’utilisation... pour un résultat parfait.

De’Longhi

Contact :Agence CommuniClaireClaire de La Villemarqué - Amandine Avidano 33 rue de Surène - 75008 ParisTél. 01 40 74 03 [email protected] www.communiclaire.fr

Ze Rock1 bis, rue Aristide Briand

33150 Cenon

La Cape*9, allée de la Morlette

33150 Cenon

Nicolas MagieAprès cinq ans passés à Paris, Nicolas Magie a choisi de revenir surses terres en 1999. Sans un sou, ce jeune chef fou de rugby rachète

alors, à Cenon, dans la banlieue populaire de Bordeaux,la maison d’un particulier au détour d’un parking desupermarché pour la transformer de fond en combleen restaurant La Cape. Surdoué et profondémenthumain, Nicolas Magie est vite devenu la coqueluchedes Bordelais. Grâce notamment au meilleur rapportqualité-prix-plaisir de tout l’hexagone, récompensé parune improbable étoile, mais ô combien méritée, en2003. Imaginatif, sensible et d’une exigence rare, cejeune chef voue une véritable passion pour les produitsde sa région et de l’Espagne voisine, qu’il met en scèneavec un sens aigue de la sobriété, dans une cuisineépurée et aux goûts francs et typés.Au cœur d’un complexe dédié aux cultures et musiquesdu monde, Nicolas Magie a ouvert, en septembredernier, une seconde adresse dans l’agglomérationbordelaise. Ze Rock fait référence au Rocher de Palmer,un complexe musical à l’architecture singulière signéBernard Tschumi. Le chef d’orchestre de ce bistrot n’estautre qu’Émilien Magie, le frère de Nicolas et au piano,celui qui fut son second durant sept ans à La Cape,Thomas Brasleret.

Les deux adresses de Nicolas Magie

46

PRESSE

OLORON SAINTE-MARIE

47

Morceaux choisis...

48

www.20minutes.fr

49

Il y a tout juste une semaine se tenait à Oloron Sainte-Marie, le 3ème festival internationalde photo culinaire. 17 binômes constitués d’un Chef et d’un photographe ont participéà ce concours. Ils avaient 2 heures pour cuisiner et shooter. Leur travail était ensuite jugé

par un Jury d’exception composé de 11 personnalités du monde culinaire (parmi lesquelles figuraient Mathilde del’Ecotais, W.Ledeuil, Sophie Brissaud…) et présidé par Frédéric Anton (Chef 3* du Pré Catelan). La troisième éditiondu Concours International de La Photo Culinaire a été remportée par le duo Carrie Solomon, photographe etSylvain Sendra, chef du restaurant Itinéraires à Paris. L’AAPrA, partenaire officiel de l’édition 2010 a remis un chèquede 6000 € à cette équipe.Enfin, le coup de cœur du jury s’est porté sur la photo du duo Dan Vojtech, photographe et Gwendal Le Ruyet,chef du restaurant Le Céleste à Prague.

La gastronomie vous donne à nouveau rendez-vous dans les Pyrénées-Atlantiques le lundi 20 septem-bre prochain.Découvrez les 21 équipes (chefs et photographes) sélectionnées pour l’édition 2010.Frédéric ANTON, chef *** au Pré Catelan à Paris, présidera le jury et sera accompagné d’hommes et defemmes qui ont l’habitude de travailler la photo culinaire.Une vingtaine d’équipes de haut niveau candidates pour l’édition 2010

www.cuisinerenligne.com

http://programmes.france3.fr

Sud Ouest Gourmand - Le magazine des saveurs d’ici - septembre 2010 - N°6

The Cuisine Magazine - Japon - Décembre 2010

50

Le 3ème Concours international de photo culinaire est ouvert.Oloron-Sainte-Marie (64) Après le succès des deux premières éditions, l’Office de Tourisme du PiémontOloronais remet le couvert. Il invite les cuisiniers à participer, en duo avec un photographe, au concoursde photo culinaire d’Oloron Sainte-Marie, qui se déroulera le 20 septembre 2010.Qui succèdera au binôme de choc constitué de Christophe Aribert, Restaurant Les Terrasses, au GrandHôtel à Uriage-les-Bains (38) et du photographe Pierre-François Couderc ? Les paris sont ouverts.Le principe du concours reste inchangé. Le chef réalise un plat (ou un dessert) sur place, que photographieaussitôt son partenaire photographe. L’un et l’autre ont carte blanche absolue au niveau de la création duplat et des techniques photographiques utilisées. Un studio photo, installé à proximité de l’espace cuisine,est mis à disposition des photographes, afin de permettre la réalisation de photographies dans desconditions optimales.Une seule photo par duo sera présentée au jury. Elle sera jugée en fonction du choix des ingrédientsdu plat en tenant compte des produits du terroir dont le chef est originaire (les ingrédients doivent êtrecuisinés et non assemblés pour constituer un ensemble esthétique), l’innovation de la présentation :stylisme culinaire, mise en valeur des ingrédients et, bien sûr, la qualité de la photographie.Ce concours s’adresse aux chefs cuisiniers et aux photographes professionnels du monde entier. Pourparticiper, il faut se sélectionner grâce à un dossier soumis à un jury composé de représentants du mondede la gastronomie, de la photographie et de décideurs aquitains. Les heureux élus seront prévenus le15 juin au plus tard. La plus belle œuvre photographique sera connue le soir même, le 20 septembre,lors d’une soirée de gala. Le concours est doté de 6000 euros. Tenterez-vous votre chance ?Nadine Lemoine

Minute Saveurs - Immortalisée par une Américaine, sa recette a conquis le jury, dont le chef étoilé FrédéricAnton.Sylvain Sendra, chef du restaurant parisien Itinéraires, et la photographe américaine Carrie Solomoncomposent le duo récompensé lundi d'un premier prix au concours de la photo culinaire d'Oloron Sainte-Marie. La mise en scène de sa recette de "salade d'huîtres accompagnée de chou-fleur croquant, jaunesd'œufs de caille et vinaigrette à l'encre de seiche" a séduit le jury. Les lauréats remportent ainsi 3.000 euroschacun...et un magnifique souvenir graphique. La compétition s'est déroulée sur deux jours à Oloron Sainte-Marie, dans le Béarn. L'année dernière, PierreHermé, grand chef pâtissier parisien avait présidé le concours. C'est Frédéric Anton chef étoilé du PréCatelan et juré impitoyable de l'émission de téléréalité Masterchef, qui a emmené cette troisième édition.Une vingtaine de binômes chef-photographe se sont affrontés à coups de toques et d'appareils photo. Le deuxième prix "du beurre", a été attribué à Yves Camdeborde, chef du Comptoir du Relais à Paris,également au casting de Masterchef, ainsi qu'au photographe Laurent Séminel (également à la tête deséditions Menu Fretin) pour leur "envol de bécasse rôti au beurre". Le troisième prix est allé au chef GwendalLeruyet et au photographe Dan Vojtech pour la recette "chasse et cueillette en pays minier".François-Régis Gaudry

http://agapes.canalblog.com/

Les coulisses du concours international de photographie culinaire d'Oloron.Pour la 3ème année consécutive a eu lieu à Oloron Sainte-Marie le Concours international de photographieculinaire et pour la 3ème fois, la librairie gourmande faisait partie du jury en la personne de Marie-AnnePage. Mais j'ai trouvé le temps cette année de descendre dans ce beau pays béarnais que je ne connaissaispas pour assister au concours et envisager un partenariat plus poussé l'an prochain.Ce concours est superbement organisé par l'office de tourisme d'Oloron Sainte-Marie qui ne ménage passa peine. Nous avons été accueillis par une générosité extrême dans un pays où on ne vous laissera mourirni de faim, ni de soif !!Déborah Dupont

Les Agapes de Débo

www.lhotellerie-restauration.fr

www.lexpress.fr/styles

La 3ème édition du Concours International de La PhotoCulinaire d’Oloron Sainte-Marie a été présentée dansl’émission d’ Alessandra Sublet dans C’est à vous.Du lundi au vendredi à 19:00 et le samedi à 12:30.

CONTACTS

OLORON SAINTE-MARIE 2011

51

Office de Tourisme du Piémont OloronaisAllées du Comte de Tréville64400 Oloron Sainte-Marie

Tél. +33 (0)5 59 39 98 00

www.tourisme-oloron.comwww.fotosculinaires.com

Marie CazabanDirectrice de l’Office de Tourisme

du Piémont Oloronais

Tél. +33 (0)6 78 00 95 59Mail : [email protected]

Philippe BoéJournaliste - Consultant

Tél. +33 (0)6 62 49 06 65Mail : [email protected]

52

53

RENDEZ-VOUS À OLORON SAINTE-MARIELes 11 et 12 septembre 2011

Crédits photos : Office de Tourisme - Laurent Ferrière - Sergio Padura - Denis Rouvre - Jean-Louis Bloch-Lainé - Mathilde de L’ÉcotaisDéborah Dupont - www.mercotte.fr - Lycée Molière Orthez (64) - Philippe Boulze