Doctinews N° 54 Avril 2013

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Dispensé de timbrage, Autorisation n° 1397 - www.doctinews.com N° 54 - AVRIL 2013 MAGAZINE PROFESSIONNEL D’INFORMATION MÉDICALE Dr Saâd AGOUMI, président du Collège syndical national des médecins spécialistes privés. « Personne n’est capable, au jour d’aujourd’hui, de prendre en charge notre assurance maladie. » TROUBLES DU SOMMEIL ET SYNDROME MÉTABOLIQUE UN LIEN ÉTABLI PÉRINATALITÉ IL FAUT UNE POLITIQUE SUIVIE D’EFFETS FONDAMENTAUX ALTERNATIVE DES SOLUTIONS EXISTENT MALFORMATIONS ORTHOPÉDIQUES CHEZ L’ENFANT

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Doctinews N° 54 Avril 2013

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    N 54 - AVRIL 2013

    M A G A Z I N E P R O F E S S I O N N E L D I N F O R M A T I O N M D I C A L E

    Dr Sad AGOUMI, prsident du Collge syndical

    national des mdecins spcialistes privs.

    Personne nest capable, au jour daujourdhui, de prendre en charge notre

    assurance maladie.

    TROUBLES DU SOMMEIL ET SYNDROME MTABOLIQUEUN LIEN TABLI

    PRINATALITIL FAUT UNE POLITIQUE SUIVIE DEFFETS

    FONDAMENTAUX ALTERNATIVE

    DES SOLUTIONS EXISTENT

    MALFORMATIONS ORTHOPDIQUES CHEZ LENFANT

  • Editorial 03

    Par Ismal BERRADA

    IL FAUDRAIT MENER DES TUDES VALUATIVES DE LA QUALIT ET DE LA SCURIT DES SOINS EN CANCROLOGIE DANS NOS HPITAUX PUBLICS ET CLINIQUES PRIVES.

    A QUAND UN PERMIS DE SOINS DE QUALIT

    CANCROLOGIE AU MAROC

    Les Irradis dEpinal , on sait des choses sur cette affaire, mais pas autant que ces plus de 5 500 personnes victimes dune sur-irradiation au centre hospitalier Jean-

    Monnet, entre 1987 et 2006 le plus grave accident de radiothrapie recens en France sme le doute ! En matire de lutte contre le cancer au Maroc, les progrs sont certes normes. Tout comme dailleurs les comptences et les performances de nos mde-cins spcialistes. Mais la bataille est encore loin dtre gagne, sachant que toute autocritique na dimportance que si on la transforme en lments positifs. Ainsi, comme pour la suspension de lAMM de Diane 35, les mesures de prcaution doivent tre de mise. La recommandation de mener des tudes valuatives de la qualit et de la scurit des soins en cancrologie dans nos hpitaux publics et cli-niques prives serait tout fait lgitime. Il en serait de mme pour la codification des pratiques de suivi mdical des patients pendant et aprs les traitements anticancreux. En hissant le cancer au rang de priorit sanitaire nationale, les pouvoirs publics entendent assurer, partout au Maroc, une galit daccs aux soins. Mais il ne suffit pas uniquement de veiller combler les lacunes en ressources humaines et matrielles, encore faut-il que la qualit et la scurit des soins soient assures de sorte que soient respecte la dignit de ltre humain dans ces moments les plus difficiles de sa faiblesse. Et cest l, mon sens, la condition sine qua non pour la russite de toute stratgie nationale de lutte mise en place.Sinscrivant dans cette optique, la qualit des pratiques dans les tablissements sanitaires publics ou privs, ainsi que la pertinence des choix thrapeutiques, objet dune concertation pluridisciplinaire, constituent quelques-uns des lments les plus lmentaires dune prise en charge plus personnalise et plus humanise. Traitement de la douleur, soutien psychologique, assistance sociale, ateliers de nutrition, soins esthtiques sont autant de soins complmen-taires aux traitements anticancreux que les hpitaux et les cliniques prives sont censs obli-gatoirement proposer aux malades.De ce fait et pour pallier lhtrognit des niveaux de performance des tablissements sani-taires, les autorits sanitaires concernes sont vivement appeles mettre en place une batterie dindicateurs pour assurer des soins de qualit pour tous. Do lintrt du permis de soins de qualit grce auquel les structures sanitaires en charge des malades atteints de cancer seront autorises pratiquer des actes de cancrologie, conformment aux normes requises.Linstauration de ce concept et lvaluation permanente de la qualit des soins en cancrologie au niveau des hpitaux publics et des cliniques prives pourraient reprsenter une rvolution. En fait, ne dit-on pas que loptimisme est la foi des changements!

  • Sommaire4

    M A G A Z I N E P R O F E S S I O N N E L D I N F O R M AT I O N M D I C A L E

    Directeur de publication et de la rdaction, Ismal BERRADA - Consultante la Rdaction, Maria MOUMINE - Rdactrice en chef, Corinne LANGEVIN - Journaliste, Chafik ETTOUBAJI - Secrtaire de rdaction, Amina LAHRICHI Design et infographie, Yassir EL HABBI - Direction commerciale, A. BERRADA - Chef de publicit, Leila BAHARImpression, Idale - DOCTINEWS est dit par Prestige diffusion, 81, avenue Mers Sultan, 5e tage, CP 20100, Casablanca.Tl. : +212 5 22 27 40 46/69 - Fax : +212 5 22 27 40 32 - E-mail : [email protected] - Site : www.doctinews.comDossier de presse : 08/22 - Dpt lgal : 2008 PE0049 - ISSN : 2028 00 92 - DOCTINEWS est tir 25.000 exemplaires

    PHARMACOVIGILANCE54 LASERS MDICAUX

    Des risques matrisables

    FLASH SANT06 JOURNE MONDIALE DU REIN

    Lassociation REINS se mobilise contre linsuffisance rnale aigu

    UNIVERS PHARMA28 TIERS PAYANT

    Mode demploi

    SLECTION56 PDIATRIE EN MATERNIT : RANIMATION

    EN SALLE DE NAISSANCELes bases dune prise en charge efficace

    INTERVIEW44 DR SAD AGOUMI,

    prsident du Collge syndical national des mdecins spcialistes privs

    FONDAMENTAUX24 TROUBLES DU SOMMEIL ET SYNDROME

    MTABOLIQUE Un lien tabli

    ALTERNATIVE52 PRINATALIT

    Il faut une politique suivie deffets

    INSTITUTIONNEL48 CELLULES SOUCHES AU MAROC

    Vers une meilleure intgration de la thrapie cellulaire

    52 PRINATALIT

    TROUBLES DU SOMMEIL ET SYNDROME MTABOLIQUE 24

    44 INTERVIEW

    34DOSSIER

    INEGY 10 mg/20 mg, 10 mg/40 mg, comprim. PRESENTATION ET COMPOSITION (*) : ztimibe (10 mg) ; simvastatine (20 mg ou 40 mg) ; butylhydroxyanisole, acide citrique monohydrat, croscarmellose sodique, hypromellose, lactose monohydrat, starate de magnsium, cellulose microcristalline, gallate de propyle. INDICATIONS : - Hypercholestrolmie : INEGY est indiqu comme traitement adjuvant au rgime chez les patients ayant une hypercholestrolmie primaire (familiale htrozygote et non familiale) ou une dyslipidmie mixte lorsque lutilisation dune association est approprie : patients non contrls de faon approprie par une statine seule, ou patients recevant dj une statine et de lztimibe. INEGY contient de lztimibe et de la simvastatine. La simvastatine (20 40 mg) a montr une rduction de la frquence des vnements cardiovasculaires (cf. rubrique 5.1). Des tudes dmontrant lecacit dINEGY ou de lztimibe dans la prvention des complications de lathrosclrose sont en cours. - Hypercholestrolmie familiale homozygote (HFHo) : inegy est indiqu comme traitement adjuvant au rgime chez les patients ayant une HFHo. Ces patients peuvent recevoir galement des traitements adjuvants (exemple : aphrse des LDL). POSOLOGIE ET MODE DADMINISTRATION (*) : Suivre un rgime hypolipidmiant adapt. La posologie usuelle est 10/20 mg ou 10/40 mg une fois par jour le soir. Tous les dosages peuvent ne pas tre commercialiss. La posologie doit tre individualise (si ncessaire, ajustements intervalles dau moins 4 semaines). En association une rsine changeuse dions, inegy sera pris soit > 2 h avant ou > 4 h aprs. En association avec de lamiodarone ou du vrapamil, la posologie dINEGY ne devra pas dpasser 10/20 mg/j. En association avec de la ciclosporine, du danazol ou de la niacine doses hypolipmiantes ( 1 g/j), la posologie dINEGY ne devra pas dpasser 10/10 mg/j (non disponible). Non recommand chez lenfant et

    allaitement (voir rubrique 4.6). Aection hpatique volutive ou lvation prolonge inexplique des transamnases sriques. Administration concomitante avec des puissants inhibiteurs du CYP3A4 (par exemple, itraconazole, ktoconazole, rythromycine, clarithromycine, tlithromycine, inhibiteurs de protase du VIH et nfazodone) (voir rubriques 4.4 et 4.5). MISES EN GARDE SPCIALES ET PRCAUTIONS

    PARTIC ULIRES DEMPLOI (*) : Des cas datteinte musculaire et de rhabdomyolyse ont t rapports. Informer les patients du risque datteinte musculaire. Doser la CPK : avant le dbut du traitement chez les patients ayant des facteurs prdisposant la survenue dune rhabdomyolyse lpendant le traitement chez tout patient prsentant des symptmes musculaires. Arrter le traitement si une atteinte musculaire est suspecte. Surveiller troitement les patients sous acide fusidique, et suspendre ventuellement le traitement. - Des tests hpatiques doivent tre pratiqus avant le dbut du traitement et ensuite si cela savre ncessaire cliniquement. - Non recommand en cas dinsusance hpatique modre ou svre ou de

    de lactose, contre-indiqu en cas de galactosmie congnitale, de syndrome de malabsorption du glucose et INTERACTIONS AVEC DAUTRES MDICA MENTS ET AUTRES FORMES

    DINTERACTIONS (*) : - Associations contre-indiques : puissants inhibiteurs du CYP3A4 - Association

    ciclosporine danazol niacine amiodarone vrapamil diltiazem acide fusidique anticoagulants oraux jus de pamplemousse. GROSSESSE ET ALLAITEMENT (*) : INEGY est contre-indiqu. EFFETS SUR LAPTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES (*) : des tourdissements ont t rapports. EFFETS INDSIRABLES (*)fatigue, constipation, nauses, pancratite, hpatite/ictre, myopathie/rhabdomyolyse, ractions dhypersensibilit incluant rash, urticaire, anaphylaxie, angiooedme, thrombocytopnie, lithiase biliaire, cholcystite, augmentation des transaminases et des CPK, dpression. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES (*) : Classe pharmaco-thrapeutique : inhibiteurs de lHMG-CoA reductase en association dautres agents hypolipmiants. DONNEES ADMINISTRATIVES : TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE: MERCK SHARP DOHME SP LTD 166-168, Bd Zerktouni.Casablanca Maroc.Tl.: 0522 43 35 40.DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE: 02/11/2011.DOSIMETRIE: Sans objet.INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES: Sans objet.CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE: Liste I.

    Puissantecontre le LDL-c

    grce la double action

    2 mcanismes daction complmentaires

    AVANT DE PRESCRIRE, POUR DES INFORMATIONS COMPLETES, VEUILLEZ CONSULTER LE RESUME COMPLET DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT

    Sept

    13.

    CARD

    -105

    4102

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    ladolescent. Insusant rnal svre : prudence pour des posologies suprieures 10 mg/10 mg/j CONTRE-INDICA-TIONS : Hypersensibilit lztimibe, la simvastatine ou lun des constituants du mdicament. Grossesse et

    INEGY 10 mg/20 mg, 10 mg/40 mg, comprim. PRESENTATION ET COMPOSITION (*) : ztimibe (10 mg) ; simvastatine (20 mg ou 40 mg) ; butylhydroxyanisole, acide citrique monohydrat, croscarmellose sodique, hypromellose, lactose monohydrat, starate de magnsium, cellulose microcristalline, gallate de propyle. INDICATIONS : - Hypercholestrolmie :t*/&(:FTUJOEJRVDPNNFUSBJUFNFOUBEKVWBOUBVSHJNFDIF[MFTpatients ayant une hypercholestrolmie primaire (familiale htrozygote et non familiale) ou une dyslipidmie mixte lorsque lutilisation dune association est approprie : patients non contrls de faon BQQSPQSJFQBSVOFTUBUJOFTFVMFPVQBUJFOUTSFDFWBOUEKVOFTUBUJOFFUEFM[UJNJCFt*/&(:DPOUJFOUEFM[UJNJCFFUEFMBTJNWBTUBUJOF-BTJNWBTUBUJOFNHBNPOUSVOFSEVDUJPOEFMBGSRVFODFEFTWOFNFOUTDBSEJPWBTDVMBJSFTDGSVCSJRVF%FTUVEFTENPOUSBOUMFDBDJUE*/&(:PVEFM[UJNJCFdans la prvention des complications de lathrosclrose sont en cours. - Hypercholestrolmie familiale homozygote (HFHo) :tJOFHZFTUJOEJRVDPNNFUSBJUFNFOUBEKVWBOUBVSHJNFDIF[MFTQBUJFOUTBZBOUVOF)')P$FTQBUJFOUTQFVWFOU SFDFWPJS HBMFNFOUEFT USBJUFNFOUTBEKVWBOUT FYFNQMF BQISTFEFT-%-POSOLOGIE ET MODE DADMINISTRATION (*)t4VJWSFVOSHJNFIZQPMJQJENJBOUBEBQUt-BQPTPMPHJFVTVFMMF FTU NH PV NH VOF GPJT QBS KPVS MF TPJS 5PVT MFT EPTBHFT QFVWFOU OF QBT USFDPNNFSDJBMJTTt-BQPTPMPHJFEPJUUSFJOEJWJEVBMJTFTJODFTTBJSFBKVTUFNFOUTJOUFSWBMMFTEBVNPJOTTFNBJOFTt&OBTTPDJBUJPOVOFSTJOFDIBOHFVTFEJPOTJOFHZTFSBQSJTTPJUIBWBOUPVIBQSTt&OBTTPDJBUJPOBWFDEF MBNJPEBSPOFPVEVWSBQBNJM MBQPTPMPHJFE*/&(:OFEFWSBQBTEQBTTFSNHKt&OBTTPDJBUJPOBWFDEFMBDJDMPTQPSJOFEVEBOB[PMPVEFMBOJBDJOFEPTFTIZQPMJQNJBOUFTHK

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    */&(:NHNHCONTRE-INDICATIONS : t)ZQFSTFOTJCJMJU M[UJNJCF MBTJNWBTUBUJOFPV MVOEFTDPOTUJUVBOUTEVNEJDBNFOU t(SPTTFTTFFUBMMBJUFNFOU WPJS SVCSJRVF t "FDUJPO IQBUJRVF WPMVUJWF PV MWBUJPO QSPMPOHF JOFYQMJRVF EFTUSBOTBNOBTFT TSJRVFT t "ENJOJTUSBUJPO DPODPNJUBOUF BWFD EFT QVJTTBOUT JOIJCJUFVST EV $:1" QBSexemple, itraconazole, ktoconazole, rythromycine, clarithromycine, tlithromycine, inhibiteurs de

    QSPUBTFEV7*)FUOGB[PEPOFWPJSSVCSJRVFTFUMISES EN GARDE SPCIALES ET PRCAUTIONS PARTIC ULIRES DEMPLOI (*) : Des cas datteinte musculaire et de rhabdomyolyse ont t rapports. *OGPSNFSMFTQBUJFOUTEVSJTRVFEBUUFJOUFNVTDVMBJSF%PTFSMB$1,tBWBOUMFECVUEVUSBJUFNFOUDIF[MFTQBUJFOUTBZBOUEFTGBDUFVSTQSEJTQPTBOU MBTVSWFOVFEVOFSIBCEPNZPMZTF MQFOEBOU MFUSBJUFNFOUDIF[UPVU QBUJFOU QSTFOUBOU EFT TZNQUNFTNVTDVMBJSFT "SSUFS MF USBJUFNFOU TJ VOF BUUFJOUFNVTDVMBJSF FTUTVTQFDUF 4VSWFJMMFS USPJUFNFOU MFT QBUJFOUT TPVT BDJEF GVTJEJRVF FU TVTQFOESF WFOUVFMMFNFOU MFUSBJUFNFOU %FT UFTUTIQBUJRVFTEPJWFOUUSFQSBUJRVTBWBOU MFECVU EVUSBJUFNFOUFUFOTVJUFTJ DFMBTBWSFODFTTBJSFDMJOJRVFNFOU/POSFDPNNBOEFODBTEJOTVTBODFIQBUJRVFNPESFPVTWSFPVEFQSJTFEFCSBUFT1SVEFODFFODBTEFQSJTFEFDJDMPTQPSJOFPVE"7,PVEFVJOEJPOF&OSBJTPOEFMBQSTFODFde lactose, contre-indiqu en cas de galactosmie congnitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de dcit en lactase. INTERACTIONS AVEC DAUTRES MDICA MENTS ET AUTRES FORMES DINTERACTIONS (*) : - Associations contre-indiques : t QVJTTBOUT JOIJCJUFVST EV $:1" "TTPDJBUJPOEDPOTFJMMFtCSBUFT"TTPDJBUJPOTODFTTJUBOUEFTQSDBVUJPOTEFNQMPJtBOUJBDJEFTtDIPMFTUZSBNJOFtDJDMPTQPSJOFtEBOB[PMtOJBDJOFtBNJPEBSPOFtWSBQBNJMtEJMUJB[FNtBDJEFGVTJEJRVFtBOUJDPBHVMBOUTPSBVYt KVT EF QBNQMFNPVTTF GROSSESSE ET ALLAITEMENT (*) */&(: FTU DPOUSFJOEJRV EFFETS SUR LAPTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES (*) : des tourdissements ont t rapports. EFFETS INDSIRABLES (*) DQIBMFTBUVMFODFT EPVMFVST BCEPNJOBMFT EJBSSIFNZBMHJFTGBUJHVF DPOTUJQBUJPO OBVTFT QBODSBUJUF IQBUJUFJDUSF NZPQBUIJFSIBCEPNZPMZTF SBDUJPOTEIZQFSTFOTJCJMJU JODMVBOU SBTIVSUJDBJSF BOBQIZMBYJF BOHJPPFENF UISPNCPDZUPQOJF MJUIJBTFCJMJBJSFDIPMDZTUJUFBVHNFOUBUJPOEFTUSBOTBNJOBTFTFUEFT$1,EQSFTTJPOPROPRIETES PHARMACOLOGIQUES (*) : Classe pharmaco-thrapeutique : inhibiteurs de lHMG-CoA reductase en association dautres agents hypolipmiants. DONNEES ADMINISTRATIVES :5*56-"*3& %& -"6503*4"5*0/ %& .*4& 463 -&."3$)&.&3$,4)"31%0).&41-5%#E;FSLUPVOJ$BTBCMBODBo.BSPD5M%"5&%&.*4&"+063%65&95&%04*.&53*&4BOTPCKFU*/4536$5*0/41063-"13&1"3"5*0/%&43"%*01)"3."$&65*26&44BOTPCKFU$0/%*5*0/4%&13&4$3*15*0/&5%&%&-*73"/$&-JTUF*

    Puissantecontre le LDL-c

    grce la double action

    Hypercholestrolmie primaire ou dyslipidmie mixte non contrles de faon approprie par une statine seule et le rgime lorsque

    lutilisation dune association est approprie

    2 mcanismes daction complmentaires

    AVANT DE PRESCRIRE, POUR DES INFORMATIONS COMPLETES, VEUILLEZ CONSULTER LE RESUME COMPLET DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT

    $PEF.BSPD9999999

    MALFORMATIONS ORTHOPDIQUES CHEZ LENFANTDes solutions existent

  • INEGY 10 mg/20 mg, 10 mg/40 mg, comprim. PRESENTATION ET COMPOSITION (*) : ztimibe (10 mg) ; simvastatine (20 mg ou 40 mg) ; butylhydroxyanisole, acide citrique monohydrat, croscarmellose sodique, hypromellose, lactose monohydrat, starate de magnsium, cellulose microcristalline, gallate de propyle. INDICATIONS : - Hypercholestrolmie : INEGY est indiqu comme traitement adjuvant au rgime chez les patients ayant une hypercholestrolmie primaire (familiale htrozygote et non familiale) ou une dyslipidmie mixte lorsque lutilisation dune association est approprie : patients non contrls de faon approprie par une statine seule, ou patients recevant dj une statine et de lztimibe. INEGY contient de lztimibe et de la simvastatine. La simvastatine (20 40 mg) a montr une rduction de la frquence des vnements cardiovasculaires (cf. rubrique 5.1). Des tudes dmontrant lecacit dINEGY ou de lztimibe dans la prvention des complications de lathrosclrose sont en cours. - Hypercholestrolmie familiale homozygote (HFHo) : inegy est indiqu comme traitement adjuvant au rgime chez les patients ayant une HFHo. Ces patients peuvent recevoir galement des traitements adjuvants (exemple : aphrse des LDL). POSOLOGIE ET MODE DADMINISTRATION (*) : Suivre un rgime hypolipidmiant adapt. La posologie usuelle est 10/20 mg ou 10/40 mg une fois par jour le soir. Tous les dosages peuvent ne pas tre commercialiss. La posologie doit tre individualise (si ncessaire, ajustements intervalles dau moins 4 semaines). En association une rsine changeuse dions, inegy sera pris soit > 2 h avant ou > 4 h aprs. En association avec de lamiodarone ou du vrapamil, la posologie dINEGY ne devra pas dpasser 10/20 mg/j. En association avec de la ciclosporine, du danazol ou de la niacine doses hypolipmiantes ( 1 g/j), la posologie dINEGY ne devra pas dpasser 10/10 mg/j (non disponible). Non recommand chez lenfant et

    allaitement (voir rubrique 4.6). Aection hpatique volutive ou lvation prolonge inexplique des transamnases sriques. Administration concomitante avec des puissants inhibiteurs du CYP3A4 (par exemple, itraconazole, ktoconazole, rythromycine, clarithromycine, tlithromycine, inhibiteurs de protase du VIH et nfazodone) (voir rubriques 4.4 et 4.5). MISES EN GARDE SPCIALES ET PRCAUTIONS

    PARTIC ULIRES DEMPLOI (*) : Des cas datteinte musculaire et de rhabdomyolyse ont t rapports. Informer les patients du risque datteinte musculaire. Doser la CPK : avant le dbut du traitement chez les patients ayant des facteurs prdisposant la survenue dune rhabdomyolyse lpendant le traitement chez tout patient prsentant des symptmes musculaires. Arrter le traitement si une atteinte musculaire est suspecte. Surveiller troitement les patients sous acide fusidique, et suspendre ventuellement le traitement. - Des tests hpatiques doivent tre pratiqus avant le dbut du traitement et ensuite si cela savre ncessaire cliniquement. - Non recommand en cas dinsusance hpatique modre ou svre ou de

    de lactose, contre-indiqu en cas de galactosmie congnitale, de syndrome de malabsorption du glucose et INTERACTIONS AVEC DAUTRES MDICA MENTS ET AUTRES FORMES

    DINTERACTIONS (*) : - Associations contre-indiques : puissants inhibiteurs du CYP3A4 - Association

    ciclosporine danazol niacine amiodarone vrapamil diltiazem acide fusidique anticoagulants oraux jus de pamplemousse. GROSSESSE ET ALLAITEMENT (*) : INEGY est contre-indiqu. EFFETS SUR LAPTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES (*) : des tourdissements ont t rapports. EFFETS INDSIRABLES (*)fatigue, constipation, nauses, pancratite, hpatite/ictre, myopathie/rhabdomyolyse, ractions dhypersensibilit incluant rash, urticaire, anaphylaxie, angiooedme, thrombocytopnie, lithiase biliaire, cholcystite, augmentation des transaminases et des CPK, dpression. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES (*) : Classe pharmaco-thrapeutique : inhibiteurs de lHMG-CoA reductase en association dautres agents hypolipmiants. DONNEES ADMINISTRATIVES : TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE: MERCK SHARP DOHME SP LTD 166-168, Bd Zerktouni.Casablanca Maroc.Tl.: 0522 43 35 40.DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE: 02/11/2011.DOSIMETRIE: Sans objet.INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES: Sans objet.CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE: Liste I.

    Puissantecontre le LDL-c

    grce la double action

    2 mcanismes daction complmentaires

    AVANT DE PRESCRIRE, POUR DES INFORMATIONS COMPLETES, VEUILLEZ CONSULTER LE RESUME COMPLET DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT

    Sept

    13.

    CARD

    -105

    4102

    -000

    0

    ladolescent. Insusant rnal svre : prudence pour des posologies suprieures 10 mg/10 mg/j CONTRE-INDICA-TIONS : Hypersensibilit lztimibe, la simvastatine ou lun des constituants du mdicament. Grossesse et

    INEGY 10 mg/20 mg, 10 mg/40 mg, comprim. PRESENTATION ET COMPOSITION (*) : ztimibe (10 mg) ; simvastatine (20 mg ou 40 mg) ; butylhydroxyanisole, acide citrique monohydrat, croscarmellose sodique, hypromellose, lactose monohydrat, starate de magnsium, cellulose microcristalline, gallate de propyle. INDICATIONS : - Hypercholestrolmie :t*/&(:FTUJOEJRVDPNNFUSBJUFNFOUBEKVWBOUBVSHJNFDIF[MFTpatients ayant une hypercholestrolmie primaire (familiale htrozygote et non familiale) ou une dyslipidmie mixte lorsque lutilisation dune association est approprie : patients non contrls de faon BQQSPQSJFQBSVOFTUBUJOFTFVMFPVQBUJFOUTSFDFWBOUEKVOFTUBUJOFFUEFM[UJNJCFt*/&(:DPOUJFOUEFM[UJNJCFFUEFMBTJNWBTUBUJOF-BTJNWBTUBUJOFNHBNPOUSVOFSEVDUJPOEFMBGSRVFODFEFTWOFNFOUTDBSEJPWBTDVMBJSFTDGSVCSJRVF%FTUVEFTENPOUSBOUMFDBDJUE*/&(:PVEFM[UJNJCFdans la prvention des complications de lathrosclrose sont en cours. - Hypercholestrolmie familiale homozygote (HFHo) :tJOFHZFTUJOEJRVDPNNFUSBJUFNFOUBEKVWBOUBVSHJNFDIF[MFTQBUJFOUTBZBOUVOF)')P$FTQBUJFOUTQFVWFOU SFDFWPJS HBMFNFOUEFT USBJUFNFOUTBEKVWBOUT FYFNQMF BQISTFEFT-%-POSOLOGIE ET MODE DADMINISTRATION (*)t4VJWSFVOSHJNFIZQPMJQJENJBOUBEBQUt-BQPTPMPHJFVTVFMMF FTU NH PV NH VOF GPJT QBS KPVS MF TPJS 5PVT MFT EPTBHFT QFVWFOU OF QBT USFDPNNFSDJBMJTTt-BQPTPMPHJFEPJUUSFJOEJWJEVBMJTFTJODFTTBJSFBKVTUFNFOUTJOUFSWBMMFTEBVNPJOTTFNBJOFTt&OBTTPDJBUJPOVOFSTJOFDIBOHFVTFEJPOTJOFHZTFSBQSJTTPJUIBWBOUPVIBQSTt&OBTTPDJBUJPOBWFDEF MBNJPEBSPOFPVEVWSBQBNJM MBQPTPMPHJFE*/&(:OFEFWSBQBTEQBTTFSNHKt&OBTTPDJBUJPOBWFDEFMBDJDMPTQPSJOFEVEBOB[PMPVEFMBOJBDJOFEPTFTIZQPMJQNJBOUFTHK

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    QSPUBTFEV7*)FUOGB[PEPOFWPJSSVCSJRVFTFUMISES EN GARDE SPCIALES ET PRCAUTIONS PARTIC ULIRES DEMPLOI (*) : Des cas datteinte musculaire et de rhabdomyolyse ont t rapports. *OGPSNFSMFTQBUJFOUTEVSJTRVFEBUUFJOUFNVTDVMBJSF%PTFSMB$1,tBWBOUMFECVUEVUSBJUFNFOUDIF[MFTQBUJFOUTBZBOUEFTGBDUFVSTQSEJTQPTBOU MBTVSWFOVFEVOFSIBCEPNZPMZTF MQFOEBOU MFUSBJUFNFOUDIF[UPVU QBUJFOU QSTFOUBOU EFT TZNQUNFTNVTDVMBJSFT "SSUFS MF USBJUFNFOU TJ VOF BUUFJOUFNVTDVMBJSF FTUTVTQFDUF 4VSWFJMMFS USPJUFNFOU MFT QBUJFOUT TPVT BDJEF GVTJEJRVF FU TVTQFOESF WFOUVFMMFNFOU MFUSBJUFNFOU %FT UFTUTIQBUJRVFTEPJWFOUUSFQSBUJRVTBWBOU MFECVU EVUSBJUFNFOUFUFOTVJUFTJ DFMBTBWSFODFTTBJSFDMJOJRVFNFOU/POSFDPNNBOEFODBTEJOTVTBODFIQBUJRVFNPESFPVTWSFPVEFQSJTFEFCSBUFT1SVEFODFFODBTEFQSJTFEFDJDMPTQPSJOFPVE"7,PVEFVJOEJPOF&OSBJTPOEFMBQSTFODFde lactose, contre-indiqu en cas de galactosmie congnitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de dcit en lactase. INTERACTIONS AVEC DAUTRES MDICA MENTS ET AUTRES FORMES DINTERACTIONS (*) : - Associations contre-indiques : t QVJTTBOUT JOIJCJUFVST EV $:1" "TTPDJBUJPOEDPOTFJMMFtCSBUFT"TTPDJBUJPOTODFTTJUBOUEFTQSDBVUJPOTEFNQMPJtBOUJBDJEFTtDIPMFTUZSBNJOFtDJDMPTQPSJOFtEBOB[PMtOJBDJOFtBNJPEBSPOFtWSBQBNJMtEJMUJB[FNtBDJEFGVTJEJRVFtBOUJDPBHVMBOUTPSBVYt KVT EF QBNQMFNPVTTF GROSSESSE ET ALLAITEMENT (*) */&(: FTU DPOUSFJOEJRV EFFETS SUR LAPTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES (*) : des tourdissements ont t rapports. EFFETS INDSIRABLES (*) DQIBMFTBUVMFODFT EPVMFVST BCEPNJOBMFT EJBSSIFNZBMHJFTGBUJHVF DPOTUJQBUJPO OBVTFT QBODSBUJUF IQBUJUFJDUSF NZPQBUIJFSIBCEPNZPMZTF SBDUJPOTEIZQFSTFOTJCJMJU JODMVBOU SBTIVSUJDBJSF BOBQIZMBYJF BOHJPPFENF UISPNCPDZUPQOJF MJUIJBTFCJMJBJSFDIPMDZTUJUFBVHNFOUBUJPOEFTUSBOTBNJOBTFTFUEFT$1,EQSFTTJPOPROPRIETES PHARMACOLOGIQUES (*) : Classe pharmaco-thrapeutique : inhibiteurs de lHMG-CoA reductase en association dautres agents hypolipmiants. DONNEES ADMINISTRATIVES :5*56-"*3& %& -"6503*4"5*0/ %& .*4& 463 -&."3$)&.&3$,4)"31%0).&41-5%#E;FSLUPVOJ$BTBCMBODBo.BSPD5M%"5&%&.*4&"+063%65&95&%04*.&53*&4BOTPCKFU*/4536$5*0/41063-"13&1"3"5*0/%&43"%*01)"3."$&65*26&44BOTPCKFU$0/%*5*0/4%&13&4$3*15*0/&5%&%&-*73"/$&-JTUF*

    Puissantecontre le LDL-c

    grce la double action

    Hypercholestrolmie primaire ou dyslipidmie mixte non contrles de faon approprie par une statine seule et le rgime lorsque

    lutilisation dune association est approprie

    2 mcanismes daction complmentaires

    AVANT DE PRESCRIRE, POUR DES INFORMATIONS COMPLETES, VEUILLEZ CONSULTER LE RESUME COMPLET DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT

    $PEF.BSPD9999999

  • Flash Sant6

    A loccasion de la journe mondiale du rein, lAssociation marocaine de lutte contre les maladies rnales REINS, prside par le Pr Amal

    Bourquia, a organis une confrence de presse le 12 mars dernier axe sur le thme de la prise en charge de linsuffisance rnale aigu (IRA). Selon le Pr Amal Bourquia, cette affection rnale nest pas suffisamment voque au Maroc, que ce soit dans les mdias ou au sein des milieux scientifiques. Ses complications peuvent pourtant tre dramatiques lorsquelle nest pas prise en charge

    prcocement. En absence de traitement, lIRA peut entrainer de nombreuses complications, voluer vers linsuffisance rnale chronique

    ou mme entrainer le dcs du patient. Pourtant, elle est mal prise en compte dans la formation clinique et est pratiquement absente des programmes

    de sensibilisation qui ont trait aux pathologies rnales au Maroc , a indiqu le Pr Bourquia. Au Maroc, la plupart des cas dIRA sont observs en ambulatoire, suite une dshydratation due une diarrhe ou des infections non traites, ou compliquant des prises mdicamenteuses ou de toxiques. Ils sont donc vitables, condition que les patients aient le rflexe de consulter un mdecin pour tre pris en charge rapidement, a-t-elle ajout. Certains facteurs tels que le diabte et lhypertension artrielle peuvent galement favoriser lapparition de lIRA, do limportance de sensibiliser la population aux complications de ces pathologies. A lissue de la confrence, les participants ont assist un tmoignage mouvant dune jeune patiente atteinte dinsuffisance rnale chronique traite par hmodialyse priodique, confronte au quotidien aux affres de la maladie. Face un auditoire visiblement conquis par son loquence, la jeune patiente a rcit des pomes extraits de son recueil de posie dit par lassociation Reins.

    JOURNE MONDIALE DU REINLASSOCIATION REINS SE MOBILISE CONTRE LINSUFFISANCE RNALE AIGU

    Lassociation Reins a organis le 17 mars Azemmour une caravane de dpistage et de sensibilisation sur limportance de la prvention dans la lutte contre la maladie rnale chronique. Le choix dAzemmour nest pas fortuit car la ville manque cruellement de spcialistes tels que les endocrinologues, malgr la grande frquence du diabte dans notre pays qui est une cause de linsuffisance rnale chronique. Aucun spcialiste nexerce en effet dans cette ville, que ce soit dans le secteur public ou priv. En organisant une caravane mdicale dans cette ville sinistre, nous esprons contribuer la prise de conscience de limportance du dpistage des pathologies pourvoyeuses de maladie rnale chronique telles que le diabteet lhypertension artrielle , a soulign le Pr Bourquia. La caravane a mis en place des sances de sensibilisation la maladie rnale et dducation des patients diabtiques, et propos des sances de dpistage dune hypertension artrielle, dune maladie rnale par la bandelette urinaire et lexamen chographique avec collaboration de la fondation Mohamed V pour la solidarit. Les malades dpists ont galement bnfici de consultations avec des mdecins spcialistes (cardiologie, la nphrologie, la rhumatologie).

    CARAVANE DE DPISTAGE LASSOCIATION REINS SE DPLACE AZEMMOUR

  • 7Flash Sant

  • Flash Sant8

    Le 4e congrs de lAssociation marocaine pour la formation et la

    recherche en oncologie mdicale (AMFROM) a

    t loccasion de discuter de nombreuses thmatiques

    relatives la ralit de loncologie mdicale au Maroc. Les participants ont pu notamment dbattre de la prise en charge de certains cancers parmi les plus frquents au Maroc, comme les cancers du poumon et du sein. Selon le Pr Hassan Errihani, prsident de lAMFROM, les rcentes avances en matire de diagnostic et de traitement de ces deux cancers ont permis damliorer significativement la prise en charge des patients. Grce aux progrs remarquables de la biologie, nous sommes aujourdhui en mesure de cibler prcisment les cancers selon leurs caractristiques biologiques et molculaires. Les traitements disponibles

    aujourdhui sont en outre nettement plus efficaces et leur toxicit est moindre , a-t-il indiqu. Il a toutefois expliqu que le cot lev de ces nouvelles thrapeutiques ne permet pas une grande partie des patients de bnficier pour linstant de leurs avantages. Les participants au congrs ont galement dbattu des moyens les plus efficaces pour amliorer la prise en charge des patients cancreux. Laccent a t notamment mis sur limportance dinstitutionnaliser les runions de concertation multidisciplinaires dans le processus de traitement. Les runions de concertation multidisciplinaires revtent une grande importance car elles permettent de choisir la meilleure stratgie thrapeutique pour le patient. En France, par exemple, les actes thrapeutiques ne sont rembourss que si le patient cancreux est pass par une runion de concertation multidisciplinaire , a illustr le Pr Errihani. noter que, pour la premire fois, une session a t consacre loncologie maghrbine avec la participation doncologues algriens et tunisiens.

    ONCOLOGIE MDICALELA NCESSIT DUNE CONCERTATION MULTIDISCIPLINAIRE

    Pour sensibiliser la communaut scientifique et les autorits et offrir aux enfants atteints de maladies rares un moment de joie et de partage, lassociation Hajar, qui vient en aide aux enfants atteints de dficits immunitaires primitifs, clbre le 28 fvrier de chaque anne la journe des maladies rares. Sur le plan international, les maladies rares gagnent de l importance. Elles sont de plus en plus reconnues et soutenues. Mais au Maroc, les maladies rares sont encore trop souvent mconnues, dplore le Pr Aziz Bousfiha, pdiatre, responsable de lUnit dimmunologie clinique lHpital des enfants du CHU Ibn Rochd de Casablanca et prsident de lAssociation Hajar. Elles sont plus rares dans notre pays quen Occident, si l on se rf re aux registres, alors que la consanguinit, par exemple, l origine de certaines dentre elles, est plus frquente ici quen Occident , constate-t-il. Nous devrions certainement comptabiliser plus de maladies rares, mais elles ne sont pas diagnostiques , poursuit-il. Pour le Pr Bousfiha, les patients atteints de maladies rares sont confronts trois obstacles majeurs. Le premier concerne laccs aux soins et notamment aux structures de niveau trois. Le deuxime obstacle vient de la mconnaissance de ces pathologies, aussi bien de la part du grand public que de la part des professionnels de sant, et le troisime est li au manque de moyens dans le cadre de la prise en charge. Pour les patients qui ont franchi les deux premiers obstacles, rien nest acquis car les mdecins ressources sont rares.

    Au CHU Ibn Rochd, par exemple, nous avons un seul neurologue pdiatre, un seul gastropdiatre, un seul endocrinopdiatre et aucun nphrologue pdiatre... Nous navons pas, non plus, les outils indispensables au diagnostic de certaines pathologies. Or, sans confirmation de diagnostic, il est difficile dentamer un traitement. Enfin, lorsquun traitement peut tre entrepris, les parents nont pas toujours les moyens financiers de l assumer. Les maladies rares ont finalement trouv une solution dans les pays qui respectent les droits de l enfant, les droits de l Homme. De nombreuses associations et fdrations ont t cres et l Etat propose une prise en charge. Ce nest malheureusement pas encore le cas au Maroc , regrette le prsident de lassociation Hajar.

    MALADIES RARESMCONNUES ET OUBLIES AU MAROC

    Pr Hassan ERRIHANI, prsident de lAMFROM

    Une journe russie pour les enfants grce lAssociation Hajar

  • 9Flash Sant

  • Flash Sant10 FONDAMENTAUX18

    VOLTFAST 50 mg Composition et prsentation(s) : DCI : Diclofenac potassique Excipients : aspartam, saccharine sodique, armes danis et de menthe qsp 1 sachet. Poudre pour solution orale 50 mg de diclofnac potassique, en sachet papier/aluminium/polythylne. Boite de 9 sachets. Indications : Traite-

    -

    nexite, par ex.). Crises de migraine avec ou sans aura. par ex. pharyngoamygdalite, otite. Syndromes vertbraux douloureux. Rhumatisme extra-articulaire. Conformment aux principes gnraux de thrapeutique,

    Posologie/Mode demploi : se rfrer aux mentions lgales compltes* dure la plus courte possible. Adultes La posologie recommande est de 23 sachets (100150 mg/jour) de Voltfast par jour. Dans les cas bnins et chez les

    -

    tionne en 23 prises. La dose maximale de 150 mg par 24 h ne doit pas tre dpasse. Enfants En raison de leur dosage lev, les sachets de Voltfast ne sont pas recommands chez lenfant de moins de 14 ans. Administration Le contenu dun sachet doit tre dissous en le remuant dans un verre deau (non les repas. Effets indsirables : se rfrer aux mentions lgales compltes* Les effets indsirables mentionns ci-dessous comprennent ceux qui ont t ra p-ports pour Voltfast et/ou dautres formes de prsentation du diclofnac, en traitement de courte ou de longue dure. Systme nerveux Frquents: cphales, tourdissements. Oreille et oreille interne: vertiges. Troubles gastro-intestinaux : nauses, vomissements, diarrhes, dyspepsie, douleurs abdominales,

    Foie et vsicule biliaire : augmentation des transaminases sriques (SGOT, SGPT). Troubles cutans : ruptions cutanes. Reins et voies urinaires : rtention de liquide, oedmes, hypertension artrielle. Des tudes cliniques et des donnes pidmiologiques montrent que lutilisation du diclofnac, en particulier hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue dure, peut tre mise en corrlation avec des vnements tromboemboliques art-riels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire crbral par ex.) (cf. Mises en garde et prcautions). Contre-indications : se rfrer aux mentions lgales compltes* Hypersensibilit au principe actif ou lun des excipients selon la composition. Antcdent de bronchospasme, urticaire, rhinite aigu, polypes de

    Durant le 3e tri-mestre de la grossesse (cf. Grossesse/Allaitement). Ulcres gastriques et/ou duodnaux actifs ou hmorragies ou perforations gastro-intestinales. Mala-

    Traitement de douleurs post-opratoires aprs un pontage coronarien (et utilisation dune circulation extracorporelle). Rhumatisme extra-articulaire. Enfants de moins de 14 ans. Conformment aux prin-

    Mises en garde et prcautions demploi : se rfrer aux mentions lgales compltes* Des ulcrations, des hmorragies ou des perforations gastro-intestinales

    non strodiens (AINS), COX slectifs ou non. Lindication sera tablie avec rigueur et la surveillance mdicale sera effectue soigneusement chez les patients prsentant des troubles gastro-intestinaux, des antcdents vocateurs dulcre gastro-intestinal ou une atteinte de la fonction hpatique. Le diclofnac doit

    Chez les per-sonnes ges, les consquences sont gnralement plus svres. En cas dhmorragie ou dulcration gastro-intestinale chez un patient sous Voltfast, le trai-tement doit tre interrompu. La prise de Voltfast doit tre interrompue lors des premiers signes druption cutane, de lsions des muqueuses ou dautres signes dhypersensibilit. Comme avec dautres AINS, des ractions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactodes, peuvent apparatre dans de rares cas avec le diclofnac, mme en labsence de tout traitement antrieur par ce mdicament. Voltfast peut masquer une symptomatologie infectieuse, comme dautres AINS. Prcautions Gnralits Lapplication conjointe de Voltfast et dautres AINS systmiques, comme les inhibiteurs slectifs de la cy-clooxygnase-2, est viter, vu que la synergie augmente le risque deffets indsirables additifs. Il est recommand en particulier dadministrer la dose mini-

    Voltfast contient une source de phnylalanine et peut donc tre nocif pour les patients souffrant de phnylctonurie. Asthme prexistant Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnire, une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires, les ractions aux AINS sous la forme dune exacerbation de lasthme, un oedme de Quincke ou une urticaire sont plus frquentes que chez dautres patients. Effets gastro-intestinaux Une surveillance mdicale troite est prco-nise comme pour tous les AINS, y compris le diclofnac et une prcaution particulire est indique lors de la prescription de Voltfast aux patients ayant des symptmes voquant des affections gastro-intestinales ou des patients avec une anamnse dulcres, dhmorragies ou de perforations gastriques ou intesti-nales (cf. Effets indsirables). Les patients qui ont des antcdents de toxicit gastro-intestinale, en particulier les patients gs, devraient signaler tout symptme abdominal inhabituel (surtout une hmorragie gastro-intestinale). Effets hpatiques Une surveillance mdicale troite est ncessaire en cas dadmi-

    Comme avec tous les AINS, dont le diclofnac, les valeurs dune ou de plusieurs enzymes hpatiques peuvent augmenter sous Voltfast. Il faut toutefois rappeler que Voltfast nest recommand que pour les traitements de courte dure (maximum 3 jours). Le traitement par Voltfast doit tre interrompu lorsque les anomalies des valeurs hpatiques persistent ou saggravent ainsi que lorsque apparaissent des signes ou symptmes cliniques faisant suspecter le dveloppement dune hpatopathie ou dautres manifestations (p.ex. osinophilie, ruption cutane, etc.). La prudence simpose chez les patients atteints de porphyrie hpatique car Voltfast pourrait dclencher une crise. Effets rnaux Une prudence particulire simpose chez les sujets prsentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rnale, une

    chirurgicales lourdes (cf. Contre-indications). Effets hmatologiques Voltfast nest recommande que pour un traitement de courte dure. Toutefois, si Voltfast est administr sur une priode plus longue, il est conseill, comme pour tous les AINS, de contrler rgulirement la formule sanguine. Une inhibition temporaire de lagrgation plaquettaire est aussi possible avec Voltfast comme avec les autres AINS. Interactions : se rfrer aux mentions lgales compltes* Les inte-ractions suivantes peuvent tre observes sous Voltfast et/ou sous dautres formes dapplication du diclofnac. Lithium Digoxine Diurtiques et anti-hy-pertenseurs Autres AINS et corticostrodes Anticoagulants et anti-thrombotiques Inhibiteurs slectifs de la recapture de la srotonine (ISRS) Antidiabtiques Mthotrexate Ciclosporine Antibiotiques du groupe des quinolones Inhibiteurs puissants du CYP2C9 Phnytone Grossesse/Allaitement : se rfrer aux mentions lgales compltes* Grossesse Durant les premier et deuxime trimestres de la grossesse, le diclofnac ne devrait tre administr quen cas de ncessit absolue. Le diclofnac est contre-indiqu pendant le troisime trimestre de la grossesse. Allaitement Comme dautres AINS, le diclofnac passe en faibles quantits dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de prcaution, le diclofnac ne doit pas tre utilis par les femmes qui allaitent. Fertilit Ladministration de diclofnac peut entraver la fertilit fminine et nest donc pas recommand chez les femmes dsirant tre enceintes. Surdosage : se rfrer aux mentions lgales compltes* Un surdosage peut engendrer des symptmes tels des vomissements, une hmorragie gas tro-intes-

    hpatiques. Proprits pharmacodynamiques se rfrer aux mentions lgales compltes* Code ATC: M01AB05 Proprits pharmacocintiques : se rfrer aux mentions lgales compltes* Effet sur laptitude la conduite et lutilisation de machines Les patients qui souffrent de troubles de la vue, dtourdisse-ments, de vertiges, de somnolence ou dautres troubles nerveux centraux doivent renoncer conduire un vhicule ou utiliser des machines. Conditions de stockage A conserver le mdicament infrieur 30 C. A conserver dans lemballage extrieur dorigine, labri de lhumidit. Condition de dlivrance : Liste II (Tableau C). Titulaire de lautorisation de Mise sur le March Novartis Pharma Maroc, 82 Bd Chefchaouni, Q.I. An Seba 20590 CASABLANCA. Tel 00-212-5-22-34-92-92, Fax 00-212-5-22-78-66-09. * les mentions lgales compltes sont disponibles sur simple demande Novartis Pharma.

    MA1

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    Comment aider les personnes qui souffrent de troubles du sommeil mieux dormir ? , tel a t le thme de latelier organis Casablanca le 16 mars dernier. Anim par plusieurs spcialistes du traitement des pathologies du sommeil, cet atelier a ouvert la discussion autour des techniques thrapeutiques les plus utilises dans la prise en charge de certains troubles. Lorthse davance mandibulaire compte parmi les thrapeutiques les plus efficaces dans le traitement des apnes du sommeil. Il sagit dun dispositif conu pour maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant le sommeil et dviter ainsi les apnes. Les tudes scientifiques ont rvl que cette thrapie permet damliorer la qualit du sommeil de plus de 70 % , a prcis le Dr Sad Zizi, orthodontiste et posturologue Casablanca. Dautres types de pathologies lies au sommeil tels que le bruxisme et linsomnie ont t voqus, pour lesquels les thrapies pouvant tre envisages ne sont pas toujours conventionnelles. Certaines, comme le Feng Shui sont, en effet, issues de philosophies orientales. Elles permettent dagir sur lenvironnement du patient, comme lexplique Marion

    Almer, experte et formatrice en Feng Shui Casablanca. N en Chine il y a plus de 5000 ans, le Feng Shui consiste amnager le lieu de vie du patient de faon tablir une certaine harmonie nergtique nomme chi , une nergie vitale qui existe partout et qui influence l tre humain. Lorsque le

    chi est perturb, il peut avoir une incidence sur lharmonie gnrale et entraner, entre autres, un drglement du sommeil. Notre action vise rtablir cet quilibre perdu en procdant un agencement des lments de l appartement du patient pour que lnergie circule librement , a-t-elle indiqu.

    TROUBLES DU SOMMEILDES SOLUTIONS POUR MIEUX DORMIR

    Au Maroc, selon des estimations bases sur des statistiques mondiales, le nombre de personnes atteintes de glaucome avoisine les 600 000. peine 100 000 dentre elles sont sous traitement. Les autres ignorent totalement leur statut , explique le Dr Ezzouhairi Sidi Mohamed, prsident de lAssociation marocaine du glaucome (AMG), en marge de la semaine mondiale du glaucome, clbre du 10 au 16 mars derniers. Des chiffres qui, selon le praticien, montrent lampleur de la tche qui reste accomplir pour amliorer la prise en charge des patients souffrant de cette affection oculaire au Maroc. Le principal risque du glaucome est son caractre

    sournois. La vue commence en effet saltrer progressivement, sans que le patient sen rende forcment compte. Lorsque les symptmes de la maladie apparaissent, latteinte est gnralement trs avance, ce qui peut compliquer considrablement le traitement , indique-t-il. Pour stopper la progression de cette maladie, lophtalmologiste recommande de multiplier les actions de sensibilisation travers le Royaume. Certains facteurs tels que lge, lhrdit et le diabte peuvent favoriser lapparition du glaucome, do lintrt de sensibiliser les populations exposes au risque du glaucome sur limportance de consulter rgulirement un ophtalmologiste,

    surtout partir de 40 ans , souligne-t-il. Au volet du traitement, le spcialiste explique que de nouvelles solutions thrapeutiques permettent dsormais de mieux prendre en charge les malades. Lorsque le traitement par collyre ne produit pas leffet escompt, dautres thrapeutiques peuvent alors tre envisages. Une nouvelle technique thrapeutique rcemment introduite au Maroc permet dviter les complications du glaucome cette catgorie de patients. Il sagit dun traitement par laser diode coupl un endoscope qui, contrairement au laser classique , ne prsente pratiquement aucun risque de complication pour le patient , prcise-t-il.

    GLAUCOMEPRS DE 85 % DES GLAUCOMATEUX IGNORENT LEUR STATUT

    Dr Sad ZIZI et Marion ALMER

    FONDAMENTAUX18

    VOLTFAST 50 mg Composition et prsentation(s) : DCI : Diclofenac potassique Excipients : aspartam, saccharine sodique, armes danis et de menthe qsp 1 sachet. Poudre pour solution orale 50 mg de diclofnac potassique, en sachet papier/aluminium/polythylne. Boite de 9 sachets. Indications : Traite-

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    nexite, par ex.). Crises de migraine avec ou sans aura. par ex. pharyngoamygdalite, otite. Syndromes vertbraux douloureux. Rhumatisme extra-articulaire. Conformment aux principes gnraux de thrapeutique,

    Posologie/Mode demploi : se rfrer aux mentions lgales compltes* dure la plus courte possible. Adultes La posologie recommande est de 23 sachets (100150 mg/jour) de Voltfast par jour. Dans les cas bnins et chez les

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    tionne en 23 prises. La dose maximale de 150 mg par 24 h ne doit pas tre dpasse. Enfants En raison de leur dosage lev, les sachets de Voltfast ne sont pas recommands chez lenfant de moins de 14 ans. Administration Le contenu dun sachet doit tre dissous en le remuant dans un verre deau (non les repas. Effets indsirables : se rfrer aux mentions lgales compltes* Les effets indsirables mentionns ci-dessous comprennent ceux qui ont t ra p-ports pour Voltfast et/ou dautres formes de prsentation du diclofnac, en traitement de courte ou de longue dure. Systme nerveux Frquents: cphales, tourdissements. Oreille et oreille interne: vertiges. Troubles gastro-intestinaux : nauses, vomissements, diarrhes, dyspepsie, douleurs abdominales,

    Foie et vsicule biliaire : augmentation des transaminases sriques (SGOT, SGPT). Troubles cutans : ruptions cutanes. Reins et voies urinaires : rtention de liquide, oedmes, hypertension artrielle. Des tudes cliniques et des donnes pidmiologiques montrent que lutilisation du diclofnac, en particulier hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue dure, peut tre mise en corrlation avec des vnements tromboemboliques art-riels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire crbral par ex.) (cf. Mises en garde et prcautions). Contre-indications : se rfrer aux mentions lgales compltes* Hypersensibilit au principe actif ou lun des excipients selon la composition. Antcdent de bronchospasme, urticaire, rhinite aigu, polypes de

    Durant le 3e tri-mestre de la grossesse (cf. Grossesse/Allaitement). Ulcres gastriques et/ou duodnaux actifs ou hmorragies ou perforations gastro-intestinales. Mala-

    Traitement de douleurs post-opratoires aprs un pontage coronarien (et utilisation dune circulation extracorporelle). Rhumatisme extra-articulaire. Enfants de moins de 14 ans. Conformment aux prin-

    Mises en garde et prcautions demploi : se rfrer aux mentions lgales compltes* Des ulcrations, des hmorragies ou des perforations gastro-intestinales

    non strodiens (AINS), COX slectifs ou non. Lindication sera tablie avec rigueur et la surveillance mdicale sera effectue soigneusement chez les patients prsentant des troubles gastro-intestinaux, des antcdents vocateurs dulcre gastro-intestinal ou une atteinte de la fonction hpatique. Le diclofnac doit

    Chez les per-sonnes ges, les consquences sont gnralement plus svres. En cas dhmorragie ou dulcration gastro-intestinale chez un patient sous Voltfast, le trai-tement doit tre interrompu. La prise de Voltfast doit tre interrompue lors des premiers signes druption cutane, de lsions des muqueuses ou dautres signes dhypersensibilit. Comme avec dautres AINS, des ractions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactodes, peuvent apparatre dans de rares cas avec le diclofnac, mme en labsence de tout traitement antrieur par ce mdicament. Voltfast peut masquer une symptomatologie infectieuse, comme dautres AINS. Prcautions Gnralits Lapplication conjointe de Voltfast et dautres AINS systmiques, comme les inhibiteurs slectifs de la cy-clooxygnase-2, est viter, vu que la synergie augmente le risque deffets indsirables additifs. Il est recommand en particulier dadministrer la dose mini-

    Voltfast contient une source de phnylalanine et peut donc tre nocif pour les patients souffrant de phnylctonurie. Asthme prexistant Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnire, une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires, les ractions aux AINS sous la forme dune exacerbation de lasthme, un oedme de Quincke ou une urticaire sont plus frquentes que chez dautres patients. Effets gastro-intestinaux Une surveillance mdicale troite est prco-nise comme pour tous les AINS, y compris le diclofnac et une prcaution particulire est indique lors de la prescription de Voltfast aux patients ayant des symptmes voquant des affections gastro-intestinales ou des patients avec une anamnse dulcres, dhmorragies ou de perforations gastriques ou intesti-nales (cf. Effets indsirables). Les patients qui ont des antcdents de toxicit gastro-intestinale, en particulier les patients gs, devraient signaler tout symptme abdominal inhabituel (surtout une hmorragie gastro-intestinale). Effets hpatiques Une surveillance mdicale troite est ncessaire en cas dadmi-

    Comme avec tous les AINS, dont le diclofnac, les valeurs dune ou de plusieurs enzymes hpatiques peuvent augmenter sous Voltfast. Il faut toutefois rappeler que Voltfast nest recommand que pour les traitements de courte dure (maximum 3 jours). Le traitement par Voltfast doit tre interrompu lorsque les anomalies des valeurs hpatiques persistent ou saggravent ainsi que lorsque apparaissent des signes ou symptmes cliniques faisant suspecter le dveloppement dune hpatopathie ou dautres manifestations (p.ex. osinophilie, ruption cutane, etc.). La prudence simpose chez les patients atteints de porphyrie hpatique car Voltfast pourrait dclencher une crise. Effets rnaux Une prudence particulire simpose chez les sujets prsentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rnale, une

    chirurgicales lourdes (cf. Contre-indications). Effets hmatologiques Voltfast nest recommande que pour un traitement de courte dure. Toutefois, si Voltfast est administr sur une priode plus longue, il est conseill, comme pour tous les AINS, de contrler rgulirement la formule sanguine. Une inhibition temporaire de lagrgation plaquettaire est aussi possible avec Voltfast comme avec les autres AINS. Interactions : se rfrer aux mentions lgales compltes* Les inte-ractions suivantes peuvent tre observes sous Voltfast et/ou sous dautres formes dapplication du diclofnac. Lithium Digoxine Diurtiques et anti-hy-pertenseurs Autres AINS et corticostrodes Anticoagulants et anti-thrombotiques Inhibiteurs slectifs de la recapture de la srotonine (ISRS) Antidiabtiques Mthotrexate Ciclosporine Antibiotiques du groupe des quinolones Inhibiteurs puissants du CYP2C9 Phnytone Grossesse/Allaitement : se rfrer aux mentions lgales compltes* Grossesse Durant les premier et deuxime trimestres de la grossesse, le diclofnac ne devrait tre administr quen cas de ncessit absolue. Le diclofnac est contre-indiqu pendant le troisime trimestre de la grossesse. Allaitement Comme dautres AINS, le diclofnac passe en faibles quantits dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de prcaution, le diclofnac ne doit pas tre utilis par les femmes qui allaitent. Fertilit Ladministration de diclofnac peut entraver la fertilit fminine et nest donc pas recommand chez les femmes dsirant tre enceintes. Surdosage : se rfrer aux mentions lgales compltes* Un surdosage peut engendrer des symptmes tels des vomissements, une hmorragie gas tro-intes-

    hpatiques. Proprits pharmacodynamiques se rfrer aux mentions lgales compltes* Code ATC: M01AB05 Proprits pharmacocintiques : se rfrer aux mentions lgales compltes* Effet sur laptitude la conduite et lutilisation de machines Les patients qui souffrent de troubles de la vue, dtourdisse-ments, de vertiges, de somnolence ou dautres troubles nerveux centraux doivent renoncer conduire un vhicule ou utiliser des machines. Conditions de stockage A conserver le mdicament infrieur 30 C. A conserver dans lemballage extrieur dorigine, labri de lhumidit. Condition de dlivrance : Liste II (Tableau C). Titulaire de lautorisation de Mise sur le March Novartis Pharma Maroc, 82 Bd Chefchaouni, Q.I. An Seba 20590 CASABLANCA. Tel 00-212-5-22-34-92-92, Fax 00-212-5-22-78-66-09. * les mentions lgales compltes sont disponibles sur simple demande Novartis Pharma.

  • Flash Sant12

    Etal sur deux jours, les 1er et 2 mars derniers, Casablanca, le 31e Congrs national de la Socit royale marocaine de gyncologie obsttrique stait fix comme objectif, cette anne, dapporter une analyse critique et exhaustive des dveloppements les plus rcents et innovants en gyncologie obsttrique.

    Pari tenu pour cette manifestation qui a runi de trs nombreux participants ds la premire session dont le thme a t consacr au surpoids en gyncologie obsttrique. Au Maroc, l obsit est en augmentation constante et le surpoids ne doit plus tre considr comme un signe de beaut , a affirm le Dr Acha Kharbach, gyncologue obsttricienne la maternit Souissi de Rabat. Au cours des grossesses, l obsit multiplie les risques de fausses couches rptition, danomalies congnitales du tube neural, de diabte gestationnel, de macrosomies, de malformations cardiovasculaires et, au moment de l accouchement, le travail est souvent prolong et les extractions instrumentales sont plus frquentes , a-t-elle expliqu. Par ailleurs, lobsit contrarie la qualit de lchographie et les examens, tels que les biomtries, au cours du troisime trimestre, sont donc plus compliqus raliser. Les spcialistes runis ont t unanimes pour encourager les futures mamans perdre du poids

    avant la grossesse et adapter la prise en charge obsttricale face une patiente enceinte en surpoids. Dautres thmes lis la pratique tels que lendomtriose, le prolapsus, lhmorragie de la dlivrance, la thrombose, la cancrologie ont t mis en exergue au cours de ce congrs qui a galement t loccasion de mener des rflexions sur les difficults lies la couverture des frais mdicaux et labsence de consensus thrapeutiques nationaux permettant aux malades de bnficier de tous les traitements recommands. Pour le Dr Houcine Maaouni, prsident de la Socit royale marocaine de gyncologie obsttrique, la mise en place de rfrentiels thrapeutiques en gyncologie obsttrique permettra la fois dhomogniser les pratiques mdicales et de parfaire la prise en charge diagnostique, thrapeutique et de suivi. Pour suivre ces dmarches mthodologiques rigoureuses, il savre galement indispensable de garantir tous les malades une couverture mdicale totale et pralable des frais de soins.

    31e CONGRS DE LA SRMGOUNE MANIFESTATION RICHE EN ENSEIGNEMENTS

    Les nphrologues marocains ont t nombreux prendre part au 11e congrs national de nphrologie, organis Marrakech du 21 au 23 mars derniers. Plus de 350 mdecins spcialistes ont, en effet, particip aux diffrentes sessions de cet vnement scientifique ddi la prise en charge des pathologies rnales. Il a t loccasion dvoquer, entre autres, les difficults qui entravent encore le traitement des insuffisances rnales au Maroc. De lavis des spcialistes, la consultation tardive du nphrologue est lune des principales problmatiques qui compliquent grandement la prise en charge. La majorit des patients atteints de maladies rnales ne consultent un spcialiste quen situation dchec, aprs avoir consomm toutes les options thrapeutiques, et lorsquune thrapie de supplance telle que la dialyse devient ncessaire , a expliqu le Pr Rabiaa Bayahia, prsidente de la Socit marocaine de nphrologie. Selon la spcialiste, la consultation tardive sexplique par le caractre gnralement silencieux et asymptomatique de la maladie rnale. Pour remdier cette situation, elle prconise une restructuration de la filire de soins et insiste sur limportance dadopter une approche multidisciplinaire dans le traitement des maladies rnales. Il est important de rorganiser la filire de soins en restructurant lensemble des spcialits impliques dans la prise en charge de la maladie, notamment la diabtologie, la cardiologie et

    l urologie, autour du patient. Une dmarche qui passe par la mise en place de rseaux ou de centres de prise en charge multidisciplinaires bass sur des recommandations nationales de bonnes pratiques mdicales , a-t-elle prcis.

    MALADIES RNALESRESTRUCTURER LA FILIRE DE SOINS

    Dr Acha KHARBACH, gyncologue obsttricienne

    Marrakech a accueilli le 11e congrs de nphrologie

  • 13Flash Sant

  • Flash Sant14

    La peau, vitrine ou rempart , tel a t le thme de la confrence inaugurale du congrs Dermastic qui sest tenu les 1er et 2 mars 2013 Casablanca. La peau a pour mission de dfendre un territoire, celui du corps humain. Elle est galement lorgane le plus expos au regard dautrui , a indiqu Philippe Humbert, chef du service de dermatologie du centre hospitalier universitaire de Besanon. Elle est donc la fois vitrine et rempart -rempart contre les rayons UV, les agressions chimiques, thermiques et bactriennes- et mrite, ds les premiers instants de la vie, une attention toute particulire. Le vernix caseosa est la substance qui protge le nouveau-n pendant toute la dure de sa vie in utro. Il est la premire barrire anti-microbienne qui limite la pullulation des germes. Malheureusement, en essuyant trop vite le nouveau-n la naissance, nous ne laissons pas au vernix caseosa le temps de terminer son travail car, dans les heures qui suivent la naissance, il contribue la mise en place du PH physiologique de la peau et participe la rpartition homogne des bactries sur le corps , a-t-il expliqu. Pour cet expert, le vernix caseosa est en quelque sorte le prcurseur du sbum qui concourt donner la peau une proprit essentielle : la mouillabilit, objet dtude dune quipe quil dirige Besanon.Ces XIXes changes, organiss par lassociation Dermastic prside par le Dr Ahmed Bourra, ont galement permis de couvrir des champs de la pathologie propres aux cliniciens dermatologues et autres professionnels de la sant tels que la dermatite atopique, lacn, les cicatrices, le mlasma ou les cancers cutans, et de traiter de problmatiques dordre esthtique relatives cette discipline.

    XIXes CHANGES DERMASTICLA PEAU, UN ORGANE FONCTIONS MULTIPLES Lavnement du numrique, dabord indirect par plaques (systmes les

    plus rpandus dans les cabinets de radiologie au Maroc), et surtout dappareils quips de numrisation directe, a permis une grande avance en matire dimagerie du sein. Aujourdhui, le mammographe numrique avec tomosynthse, un appareil de dtection de cancer de sein de dernire gnration, fait progressivement son entre au Maroc. Ainsi, le centre de radiodiagnostic Roudani Casablanca est quip de ce type dappareil depuis un an et demi, et le centre de radiologie Anoual vient den faire lacquisition. Les mammographes de ce type, permettent, en prenant un clich du sein sous diffrents angles, dobtenir des coupes millimtriques de ce dernier. Grce la lecture assiste par ordinateur, nous pouvons visualiser les diffrentes coupes sur notre cran et dtecter beaucoup plus facilement une tumeur qui aurait t masque sur une image 2D classique. Avec cette mthode, le cancer na dsormais plus o se cacher , explique le Dr Naima Benjelloun Debbagh, radiologue au Centre de radiodiagnostic Roudani.

    Cet appareil est galement dot dun systme de macrobiopsie sous strotaxie, lequel permet dviter le recours systmatique la chirurgie chez les femmes qui prsentent des microcalcifications. Auparavant, lorsque le radiologue reprait une anomalie de ce type, la patiente devait subir une intervention chirurgicale pour effectuer des analyses sur les fragments prlevs. Grce la macrobiopsie, nous effectuons, sous simple anesthsie locale, des prlvements travers une minuscule incision, guids par l appareil. Ils sont ensuite analyss au laboratoire. Si les microcalcifications sont bnignes, on aura vit la patiente une chirurgie inutile, avec tout ce quelle implique en termes dhospitalisation, de risque anesthsique, de cicatrice et de cot. Si elles sont malignes, le chirurgien pourra oprer en un seul temps, en respectant demble les rgles de chirurgie cancrologique, sans obliger la patiente subir une double intervention, l une vise diagnostique, la seconde thrapeutique , conclut la radiologue.

    IMAGERIE DU SEINLA TOMOSYNTHSE SINSTALLE AU MAROC

    Mammographe numrique avec

    tomosynthse

    Dr Ahmed BOURRA, au centre, Prsident de Dermastic

  • 15Flash Sant

  • Flash Sant16

    Les laboratoires Cooper Pharma ont organis, le 16 mars dernier, La premire journe de mdecine gnrale de Fs , qui marque un tournant dans la formation continue dispense aux mdecins de la rgion.Plus de 160 mdecins gnralistes de toute la rgion ont t prsents cette manifestation, organise en partenariat avec les associations des mdecins de la ville de Fs, savoir : lAMG (Association des mdecins gnralistes privs) et

    lANMSP/RCN (Association des mdecins hospitaliers de la ville de Fs).Cette journe, anime par les Professeurs A. Ibrahimi, N. Aqodad et M. Mikdame, des professeurs de renom, avait pour thmes le Diagnostic et Traitement de lHP en 2O13 , le Traitement non chirurgical du kyste hydatique du foie et Les anmies. Selon une enqute de satisfaction tablie sur place, les interventions des trois professeurs ont t dune grande

    qualit et ont rpondu aux attentes des praticiens prsents qui ont fait montre dune une interactivit la hauteur de la manifestation et de la qualit de la formation dispense par ces minents professeurs.Sinscrivant dans une dynamique intense de formation continue pour les professionnels de la sant, Cooper Pharma sengage continuer innover et proposer des runions forte valeur ajoute.

    MDECINE GNRALEUNE PREMIRE JOURNE RGIONALE FS

    Le Service dhmatologie et doncologie pdiatrique du CHU Ibn Rochd a organis du 15 au 16 mars derniers, Marrakech, un sminaire ddi aux lymphomes malins non hodgkiniens. De nombreux spcialistes, notamment des hmatopathologistes et des cliniciens spcialiss dans le lymphome et la greffe de cellules souches hmatopotiques,

    sont venus dbattre de lactualit en matire de traitement de cette pathologie. Au Maroc, selon le registre des cancers du Grand Casablanca, lincidence de ce type de cancer ganglionnaire est estime entre 4 et 6 pour 100 000 habitants et par an. Le dveloppement des moyens de diagnostic et de traitement et lamlioration des connaissances des facteurs pronostiques

    ont permis damliorer significativement sa prise en charge. Aujourdhui, un malade sur deux peut gurir de ce cancer grce aux avances enregistres dans le domaine du diagnostic. Les nouvelles mthodes de diagnostic permettent didentifier avec plus de prcision les entits cancreuses et proposer ainsi les thrapeutiques les plus adaptes , a expliqu le Pr Asmaa Quessar, hmatologue lhpital du 20 Aot de Casablanca. Pour amliorer davantage la prise en charge des patients souffrant de lymphomes malins non hodgkiniens, la praticienne prconise de multiplier les centres spcialiss dans le traitement des lymphomes et de mettre en place des quipes multidisciplinaires de praticiens qui ont pour mission dvaluer la stratgie thrapeutique la plus adapte chaque patient. Elle insiste galement sur limportance de la formation continue et des rencontres entre les spcialistes impliqus dans la prise en charge des lymphomes. Il est important de multiplier les sminaires et les rencontres ddis ce type de pathologie pour changer et mettre niveau nos connaissances et nous valuer. Nous avons dailleurs tenu dans le cadre de ce sminaire une table ronde en vue de la cration dun groupe dtude ddi aux lymphomes au Maroc. Les experts europens prsents au sminaire nous ont propos un parrainage de ce groupe en gestation , a-t-elle indiqu.

    LYMPHOMES MALINS NON HODGKINIENSUN GROUPE DTUDE EN GESTATION

    Intrt relmanifest par lauditoire

  • 17Flash Sant

  • Flash Sant18

    loccasion du premier anniversaire du Ramed, une confrence de presse a t organise Rabat le 13 mars dernier pour prsenter un premier bilan de la gnralisation de ce rgime de couverture mdicale destin aux populations dmunies. Pour Abdelilah Benkirane, chef du gouvernement, le Ramed constitue un motif de fiert pour le pays, compte tenu de ses rsultats encourageants depuis son lancement. Le Ramed est un projet socital qui consacre les valeurs de solidarit et dentraide qui ont toujours caractris le peuple marocain. Un an aprs son lancement, et en dpit de certaines

    difficults observes au cours de cette anne, nous avons assist une nette amlioration de laccs aux soins pour les personnes les plus dmunies , a affirm le chef du gouvernement. Un avis partag par le ministre de la Sant, le Pr El Houssaine Louardi, pour qui le Ramed est en passe de devenir une vritable success story . Plus de 5260000 personnes ncessiteuses ont profit du Ramed depuis son lancement en mars 2012, soit environ 60 % de la population laquelle est destine ce rgime. Le nombre de dossiers dposs a avoisin, quant lui, 1 833 807, dont 1 757 745 ont dores et dj t traits , a-t-il soulign. Il a ajout que, grce au Ramed, les personnes dmunies ont pu accder un panier de soins plus large. Ainsi, certains patients ont profit dinterventions chirurgicales lourdes telles que des greffes dorgane. Malgr ces rsultats encourageants, le Pr El Houssaine Louardi a reconnu que certains dysfonctionnements doivent encore tre rgls, notamment en ce qui concerne la rpartition des dotations en mdicaments. En 2013, le ministre de la Sant a octroy 1, 4million de dirhams lachat de mdicaments, soit 800 millions de dirhams de plus par rapport 2012. Malgr cet effort colossal, les citoyens prouvent toujours des difficults accder aux mdicaments dans certaines rgions du Royaume cause de dysfonctionnements dans la rpartition , a-t-il indiqu. Pour pallier cette insuffisance, le ministre a affirm vouloir accentuer la coordination entre les diffrents partenaires au niveau local, rgional et national pour une meilleure rpartition des dotations.

    RAMED UN PREMIER BILAN PLUTT POSITIF

    La maladie dAlzheimer constitue la premire cause de

    dmence au Maroc. Bien quil nexiste pas de chiffres officiels relatifs

    sa prvalence dans notre pays, les spcialistes estiment le nombre de personnes

    souffrant de cette pathologie 20000, un chiffre trs en dessous de la ralit , a expliqu le Dr Soumaya Rachidi, du service de la sant mentale et maladies dgnratives de la direction de lpidmiologie et de lutte contre les maladies au ministre de la Sant. La praticienne intervenait dans le cadre de la deuxime dition des Rencontres Alzheimer , organise par lAssociation marocaine dAlzheimer et maladies apparentes (AMAMA), le 23 mars dernier, Rabat. Une manifestation qui visait sensibiliser lopinion publique sur la situation des personnes atteintes de cette pathologie au Maroc et engager une rflexion sur les moyens damliorer sa prise en charge. Dautant que les prvisions des organismes scientifiques rvlent que le nombre des personnes touches par la maladie dAlzheimer augmentera fortement lors des prochaines dcennies. lhorizon 2030, la maladie dAlzheimer devrait toucher prs de 225 000 personnes au Maroc. En 2050, ce chiffre atteindrait 524 000. Une situation

    qui sexplique par le fait que la maladie progresse plus rapidement dans les pays faible niveau de revenu, compte tenu des conditions socio-conomiques dfavorises des populations , a indiqu Marc Wortman, directeur excutif dAlzheimers Disease International, une organisation internationale qui soutient les personnes atteintes de dmence et leur famille. Les participants aux journes ont t unanimes dire que les tabous qui entourent la maladie compliquent grandement la prise en charge des patients au Maroc. Selon Mohamed Ouaddi, prsident dAMAMA, les malades sont souvent victimes de stigmatisation du fait que leur entourage est mal inform sur cette maladie, trs souvent associe la folie. Les patients sont lobjet de moqueries et sont condamns au confinement. De peur daffronter le regard de la socit, les familles prfrent garder le malade la maison, coupant peu peu tout lien avec le monde extrieur , a-t-il not. Il est urgent de lever le voile sur cette maladie en cassant les tabous qui les entourent. Un objectif qui ne peut tre atteint qu travers la sensibilisation de la population et des familles par le biais des mdias, a-t-il ajout. Pour aider les familles, et surtout les aidants des malades, mieux faire face la pathologie et briser le mur du silence, AMAMA a mis en place une permanence tlphonique gratuite, disponible 7j/7 sur le numro 06 66 90 94 22.

    MALADIE DALZHEIMER BRISER LES TABOUS QUI ENTOURENT LA MALADIE

    De g. d. : Pr El Houssaine Louardi, ministre de la Sant et Abdelilah Benkirane, chef du Gouvernement

    Mohamed OUADDI, prsident dAMAMA

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    FORMES ET PRESENTATIONS :Orex 500 mg : Glules : Boite de 12. Orex 250 mg : Poudre pour suspension buvable : Flacon pour 60 ml (12 cuillres-mesure de 5ml). Orex 125 mg : Poudre pour suspension buvable : Flacon pour 60 ml (12 cuillres-mesure de 5ml). INDICATIONS : Elles procdent de l'activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocintiques de la cfalexine. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles a donn lieu ce mdicamment et de sa place dans l'ventail de produits antibactriens actuellement disponibles. Elles sont limites aux infections dues aux germes sensibles, lorsque ces infections autorisent une antibiothrapie orale et l'exclusion des localisations mninges, notamment : - Infections des voies respiratoires (ORL et broncho-pulmonaires), - Infections des voies gnito-urinaires, - Infections cutanes, - Infections osto-articulaires. CONTRE-INDICATION : Allergies aux antibiotiques du groupe des cphalosporines. MISE EN GARDE : La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrt du traitement. La prescription de cphalosprines ncessite un interrogatoire pralable. L'allergie aux pnicillines tant croise avec celle aux cphalosporines dans 5 10% des cas : - L'utilisation des cphalosporines doit tre extrmement prudente chez les patients pnicillinorsistants ds la premire administration. L'emploi des cphalosporines est proscrire formellement chez les sujets ayant des antcdents d'allergie de type immdiat aux cphalosporines. En cas de doute, la prsence du mdecin auprs du patient est indispensable la premire administration an de traiter l'accident anaphylactique possible. Les ractions d'hypersensibilit (anaphylaxie) observes avec ces deux types de substances peuvent tre graves et parfois fatales. PRECAUTIONS D'EMPLOI : - En cas d'insusance rnale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la cratinine ou de la cratinimie (cf. Mode d'emploi et posologie). - Il est prudent de surveiller la fonction rnale en cours de traitement en cas de traitement en cas d'association de la cfalexine avec des antibiotiques potentiellement nphrotoxiques (aminosides en particulier) ou des diurtiques type furosmide ou acide tacrynique. Grossesse : Chez la femme enceinte, l'innocuit de la cfalexine n'a pas t tablie; cependant les tudes eectues sur plusieures espces animales n'ont pas montr d'action tratogne ou foetotxique. Allaitement : Le passage de la cfalexine dans le lait est faible mais il est recommand d'viter le traitement lors de l'allaitement si celui-ci doit tre poursuivi. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES : Examens paracliniques : - Une positivation du test de Coombs a t obtenue en cours de traitement par des cphalosporines. Ceci pourrait galement survenir chez des sujets traits par la cfalexine. - Il peut se produire une raction faussement positive lors de la recherche de glucose dans les urines avec des substances, mais non lorsqu'on utilise des mthodes spciques la glucose oxydase. EFFETS INDESIRABLES : Manifestations allergiques : - Eruptions cutanes, vre, choc anaphylactique, prurit anognital avec ou sans candidose. - Manifestations hmatologique : osinophilie, trombocytopenie, leucopnie. - Manifestations digestives : diarrhes, nauses, vomissements. - Elvation transitoire des transaminases ASAT et ALAT. - Nphrotoxicit et altrations de la fonction rnale ont t observes avec des antibiotiques du mme groupe, surtout en cas de traitement associ avec les diurtiques puissants. MODE D'EMPLOI ET POSOLOGIE : - Chez l'adulte, la posologie est de 1 2 g par jour en prises fractionnes. -Chez l'enfant et le nourisson, la dose recommande est de 25 50 mg/kg/24 heures en doses fractionnes ; Enfants : 500 mg 1 g, soit 1 ou 2 cuillres-mesure de suspension 250 mg 2 fois par jour. - Nourrisson : 250 500 mg, soit 1 ou 2 cuillres-mesure de suspension 125 mg 2 fois par jour. - Insusants rnaux : En cas d'insusance rnale, la posologie est adapte en fonction de la clairance de la cratinine ou de la crtininmie. PHARMACODYNAMIE : La cfalexine est un antibiotique de la famille des bta-lactamines, du groupe des cphalosporines, dites de premire gnration. Elle est bactricide in vitro par inhibition de la synthse de la paroi cellulaire. Activit antibactrienne : le spectre antibactrien naturel de la cfalexine est le suivant : - Espces habituellement sensibles : staphylocoques y compris les souches productrices de pnicillinase et non mti-R ; streptocoques l'exclusion des streptocoques du groupe D ; pneumocoques ; bacille diphtrique clostridies ; klebsielles ; proteus mirabilis ; gonocoques ; mningocoques ; salmonellesshigelles ; - Espces inconstamment sensibles : Haemophilus inuenzae ; - Espces rsistantes : staphylocoques mti-R ; entorobacter ; proteus indole positif ; pseudomonas ; acinetobacter ; serratia ; providencia ; citobacter ; pour une espce donne ; la notation d'une sensibilit constante des souches n'a pas t tablie, seule une tude in vitro de la souche en cause permetde conrmer si elle est sensible, rsistante ou intermdiaire. PHARMACOCINTIQUE : Absorption : - Prise par voie orale, la cfalexine est rapidement et presque totalement absorbe au niveau du duodnum. - L'absorption est retarde, mais non diminue par la prsence d'aliments dans l'estomac. Elle n'est pas modie par : maladie coeliaque, gastrectomie partielle, achlorhydie, ictre, diverticulose duodnojjunale. Distrubition : aprs administration orale chez l'adulte de 250 mg, 500 mg et 1 g, le pic srique moyen est respective-ment de 8 10 g/ml, 18 20 g/ml et 32 40 g/ml est atteint environ une heure aprs l'ingestion. - La demi-vie d'limination est de l'ordre de 50 70 min. - Peu li aux protines, cet antibiotique prsente une bonne diusion et une distribution tissulaire tendue : poumons, foie, rate, cerveau, coeur, et surtout rein. - Il passe dans le placenta. - Il ne diuse que faiblement dans le liquide cphalorachidien. - Liaison aux protines : 6 10%. Biotransformation : cet antibiotique n'est pas mtabolis dans l'organisme. Excrtion : - la cfalexine est excrte en majeure partie par le rein (ltration glomrulaire et secrtion tubulaire) sous forme active (80-100% en 24 heures) ; aprs administration de 250 mg et 1 g, des concentrations urinaires de 1000 g/ml et 4000 g/ml sont atteintes. - L'limination biliaire est trs faible.

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Mode d'emploi et posologie). - Il est prudent de surveiller la fonction rnale en cours de traitement en cas de traitement en cas d'association de la cfalexine avec des antibiotiques potentiellement nphrotoxiques (aminosides en particulier) ou des diurtiques type furosmide ou acide tacrynique. Grossesse : Chez la femme enceinte, l'innocuit de la cfalexine n'a pas t tablie; cependant les tudes eectues sur plusieures espces animales n'ont pas montr d'action tratogne ou foetotxique. Allaitement : Le passage de la cfalexine dans le lait est faible mais il est recommand d'viter le traitement lors de l'allaitement si celui-ci doit tre poursuivi. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES : Examens paracliniques : - Une positivation du test de Coombs a t obtenue en cours de traitement par des cphalosporines. Ceci pourrait galement survenir chez des sujets traits par la cfalexine. - Il peut se produire une raction faussement positive lors de la recherche de glucose dans les urines avec des substances, mais non lorsqu'on utilise des mthodes spciques la glucose oxydase. EFFETS INDESIRABLES : Manifestations allergiques : - Eruptions cutanes, vre, choc anaphylactique, prurit anognital avec ou sans candidose. - Manifestations hmatologique : osinophilie, trombocytopenie, leucopnie. - Manifestations digestives : diarrhes, nauses, vomissements. - Elvation transitoire des transaminases ASAT et ALAT. - Nphrotoxicit et altrations de la fonction rnale ont t observes avec des antibiotiques du mme groupe, surtout en cas de traitement associ avec les diurtiques puissants. MODE D'EMPLOI ET POSOLOGIE : - Chez l'adulte, la posologie est de 1 2 g par jour en prises fractionnes. -Chez l'enfant et le nourisson, la dose recommande est de 25 50 mg/kg/24 heures en doses fractionnes ; Enfants : 500 mg 1 g, soit 1 ou 2 cuillres-mesure de suspension 250 mg 2 fois par jour. - Nourrisson : 250 500 mg, soit 1 ou 2 cuillres-mesure de suspension 125 mg 2 fois par jour. - Insusants rnaux : En cas d'insusance rnale, la posologie est adapte en fonction de la clairance de la cratinine ou de la crtininmie. PHARMACODYNAMIE : La cfalexine est un antibiotique de la famille des bta-lactamines, du groupe des cphalosporines, dites de premire gnration. Elle est bactricide in vitro par inhibition de la synthse de la paroi cellulaire. Activit antibactrienne : le spectre antibactrien naturel de la cfalexine est le suivant : - Espces habituellement sensibles : staphylocoques y compris les souches productrices de pnicillinase et non mti-R ; streptocoques l'exclusion des streptocoques du groupe D ; pneumocoques ; bacille diphtrique clostridies ; klebsielles ; proteus mirabilis ; gonocoques ; mningocoques ; salmonellesshigelles ; - Espces inconstamment sensibles : Haemophilus inuenzae ; - Espces rsistantes : staphylocoques mti-R ; entorobacter ; proteus indole positif ; pseudomonas ; acinetobacter ; serratia ; providencia ; citobacter ; pour une espce donne ; la notation d'une sensibilit constante des souches n'a pas t tablie, seule une tude in vitro de la souche en cause permetde conrmer si elle est sensible, rsistante ou intermdiaire. PHARMACOCINTIQUE : Absorption : - Prise par voie orale, la cfalexine est rapidement et presque totalement absorbe au niveau du duodnum. - L'absorption est retarde, mais non diminue par la prsence d'aliments dans l'estomac. Elle n'est pas modie par : maladie coeliaque, gastrectomie partielle, achlorhydie, ictre, diverticulose duodnojjunale. Distrubition : aprs administration orale chez l'adulte de 250 mg, 500 mg et 1 g, le pic srique moyen est respective-ment de 8 10 g/ml, 18 20 g/ml et 32 40 g/ml est atteint environ une heure aprs l'ingestion. - La demi-vie d'limination est de l'ordre de 50 70 min. - Peu li aux protines, cet antibiotique prsente une bonne diusion et une distribution tissulaire tendue : poumons, foie, rate, cerveau, coeur, et surtout rein. - Il passe dans le placenta. - Il ne diuse que faiblement dans le liquide cphalorachidien. - Liaison aux protines : 6 10%. Biotransformation : cet antibiotique n'est pas mtabolis dans l'organisme. Excrtion : - la cfalexine est excrte en majeure partie par le rein (ltration glomrulaire et secrtion tubulaire) sous forme active (80-100% en 24 heures) ; aprs administration de 250 mg et 1 g, des concentrations urinaires de 1000 g/ml et 4000 g/ml sont atteintes. - L'limination biliaire est trs faible.

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    Les Quatrimes Journes de mdecine gnrale dAgadir, organises par lAssociation des mdecins gnralistes privs de la wilaya dAgadir (AMGPA), ont t loccasion de dbattre de plusieurs thmatiques en lien avec la situation des mdecins gnralistes au Maroc, notamment labsence de couverture mdicale et sociale. Nous vivons un vritable paradoxe. Nous, professionnels de

    la sant, sommes privs de toute couverture mdicale ou sociale. Linstauration dune assurance maladie et dune retraite pour les mdecins du secteur priv nous permettra dexercer notre mtier dans la srnit en nous souciant moins des alas de la vie , a expliqu le Dr Lhoucine Boutaam, prsident de lAMGPA. Outre les difficults auxquelles font face les mdecins gnralistes, les participants

    ont abord les moyens dune prise en charge optimale des patients. Ils ont ainsi insist sur la ncessit de valoriser le rle de la mdecine de famille en la plaant au centre du parcours de soins suivi par le patient. Une dmarche qui permettra damliorer significativement la prise en charge des patients, en leur vitant le vagabondage mdical et les consultations inutiles et inefficaces.

    Comment amliorer la prise en charge des patients atteints de maladies du sang dans la rgion Chaouia-Ouardigha ? Une question laquelle les participants la table ronde organise par le Centre hospitalier provincial de lhpital Hassan II de Settat, le 7 mars dernier, ont tent dapporter des rponses. Selon le Dr Mohamed Zaidani, hmatologue lhpital Hassan II de Settat, une prise en charge optimale d une hmopathie repose

    essentiellement sur un diagnostic prcoce. Or, actuellement, nous manquons cruellement de moyens de diagnostic, notamment d anatomie pathologique, au niveau de la rgion , a-t-il expliqu. Ce spcialiste, le seul exerant dans une structure hospitalire publique de la rgion, a par ailleurs prcis que lhpital Hassan II nest pas dot de mdicaments de chimiothrapie dont pourraient profiter les patients atteints dhmopathies malignes. Pour remdier

    ces insuffisances, le praticien prconise la cration dune unit dhmatologie. La mise en place d une unit d hmatologie, dote d infirmiers spcialiss et d une salle d accueil de jour, permettra sans aucun doute d amliorer significativement la prise en charge des pathologies du sang dans la rgion car nous serons en mesure de traiter les patients sur place et de ne plus les rfrer systmatiquement aux hpitaux des autres villes , a-t-il indiqu.

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    L e syndrome dapnes obstructives du sommeil (SAOS) est une pa-thologie chronique associe un ronflement svre, caractrise par des pauses respiratoires survenant pen-dant le sommeil. Ces pauses sont lies au collapsus rpt des voies ariennes sup-rieures (VAS). La fermeture des VAS peut tre totale (apne) ou partielle (hypopne), respon-sables de micro-veils nocturnes et dhy-poxies intermittentes de lensemble des tissus. Dans une population gnrale, le SAOS touche 7 % des hommes et 4 % des femmes. La prvalence atteint 50% dans la population de sujets obses.Le diagnostic de SAOS repose sur des cri-tres cliniques et polysomnographique :

    association des critres A et/ou B et C.Le critre A est dfini par une somno-

    lence diurne excessive inexplique, mesure par lchelle dEpworth.Le critre B associe au moins 2 des critres suivants :n Ronflement svre,n arrts respiratoires noc