À bien y penser, on se rend compte que c’est la nature de Dieu d’aimer. C’est la raison pour laquelle il a choisi de s’incarner et de venir vivre parmi sa création.

Beaucoup de gens considèrent la foi chré-tienne comme une religion. Jésus n’est pas venu sur terre pour fonder une religion mais pour rétablir la relation brisée entre nous et Dieu. Cette rupture a été causée lorsque le mal est entré dans le monde. Dieu et le mal ne peuvent cohabiter. Il serait absurde de nier que le mal existe en ce monde. Ce qui est plus difficile à admettre, c’est le mal que vous et moi commettons à chaque jour. Pour cela, il faut renoncer à notre arrogance et revêtir une attitude d’humilité.

Il a été humiliant pour Jésus de se faire mépriser et de se faire battre par les humains que lui-même a créés! Il a été crucifié et a payé un énorme prix afin que la vie et la liberté me soit offertes gratuitement. Jésus est mort pour moi afin de payer le prix que méritait chacune de mes fautes envers Dieu. En quelque sorte, il a subi le châti-ment à ma place. Il m’a libéré pour que je devienne l’un de ses enfants.

Cela n’est pas un fardeau de vivre pour lui lorsque nous comprenons combien Jésus nous a aimés! C’est un bonheur pour moi de lire la Bible quotidiennement et de mettre en pratique ses enseignements. J’ai trouvé la vraie vie. J’ai trouvé la liberté et ma raison de vivre. Je suis persuadé que le réel accomplissement de tout homme et de toute femme se trouve en premier lieu dans la foi en Jésus-Christ, le Sauveur de l’humanité. Réal Beaudoin

Destinée éternelle

Jésus-Christ n’est pas un humain ou un prophète. Il est Dieu incarné, le Créateur de l’univers. Il est venu sur terre pour vous sauver. Jésus a dit : «Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort». (Jean 8:52)

Soyons honnêtes, il n’y a ici que deux options. Soit Jésus a été le plus grand des imposteurs, soit il a dit la vérité. Si Jésus est réellement Dieu le Fils, il est donc digne de confiance. Le croyez-vous?

L'Évangile révèle que Jésus est mort sur une croix pour vous acquitter de vos fautes. Il ne méritait pas ce châtiment mais il a payé ce prix par amour pour vous. Rejeter Jésus, c’est rejeter le pardon de Dieu. Ne croyez pas qu’après la mort vous pourrez vous présenter à Dieu avec des excuses! Il sera trop tard. De plus, nul ne sait quand viendra son heure!

Être sauvé par Jésus implique la repentance. C’est reconnaître que vous êtes pécheur et cesser de commettre des actions qui déplaisent à Dieu. C’est aussi lire la Bible quotidiennement pour discerner sa volonté. Jésus est vivant aujourd’hui. Adressez-vous à lui d’un cœur simple et parlez-lui dans vos propres mots. Il deviendra votre Sauveur.

«Seigneur Jésus, je reconnais mon besoin de toi. Je n'ai jamais pris le temps de te faire une place dans ma vie. Je n'ai pas voulu lire tes paroles et entendre ce que tu avais à me dire. J'ai bâti ma vie selon mes propres règles sans vérifier si mes croyances et mes actions étaient selon ta volonté. Je t'ai considéré comme un simple humain et renié ta Divinité. J'ai méprisé ton amour et ta croix. Je te demande pardon, Seigneur. Je te prie de venir habiter en moi, de laver mon âme de mes péchés, de me délivrer et de me guérir».

www.disciplesduchrist.org

1.888.868.0404

«L’espoir fait vivre», affirme le dicton, mais le contraire est tout aussi vrai : le désespoir fait mourir.

«Sans espérance et sans Dieu dans le monde»… cette courte phrase de la Bible me caractérise bien, avant ma conversion au Christ. Je ne voyais pas l’utilité de l’effort pour améliorer ma condition. Ce que me proposait la société ne m’accrochait pas: diplôme universitaire, travail rémunérateur, famille et loisirs.

En fait, j’étais en quête d’une raison de vivre et ce qui se présentait à moi me laissait indifférent. Pourquoi se donner tant de peine quand, au bout du compte, on finit tous à la même place?

Pour moi, le suicide était la solution logique à ma réflexion. Je souffrais dans mon âme et la mort était le meilleur moyen de mettre fin à mes souffrances. Chaque journée était pénible parce que je me demandais si j’allais être capable de la terminer en vie.

C’est comme si la mort m’attirait plus que la vie et j’essayais de lutter pour ne pas être emporté. Je ramais à contre-courant et j’étais de plus en plus épuisé.

Ma sœur de vingt-trois ans avait fait ce choix. Elle s’est enlevé la vie en se jetant en bas du pont Jacques-Cartier, à Montréal. C’était sa quatrième tentatives.

Mon père avait réussi à la sauver lors de ses trois premières tentatives, mais à la quatrième, il n’a pas pu rien faire. Elle avait choisi cette voie pour mettre fin à ses souffrances.

Elle était homosexuelle, en continuel conflit avec sa mère, vivait des échecs en amour, consommait des hallucinogènes et de la cocaïne. Elle avait un évident mal de vivre.

Ma quête de vérité n’avait toujours pas trouvé ses réponses. Pourtant, Jésus avait bien dit: «Je suis le chemin, la vérité et la vie»… mais il a aussi ajouté: «Vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie»!

Je voyais cependant, dans la nature, un des-sein intelligent. Je ne pouvais accepter l’idée que l’humain soit livré à lui-même. Il devait exister, quelque part, un bonheur accessible à tous les hommes?

Fort heureusement, il est aussi écrit dans la Bible: «Jésus est le même, hier, aujourd’hui et éternellement». Dieu ne change pas. Il est rempli d’amour et de compassion. Même si j’avais toujours rejeté le Christ, il n’a pas détourné son visage. J’avais besoin d’aide et je ne savais pas à quelle porte frapper.

J’étais au bord du gouffre et il était absolu-ment essentiel que quelqu’un viennent à mon secours. Oui, Dieu a vu ma misère et il s’est révélé à moi. J’avais alors vingt ans.

Cela a été le début d’une merveilleuse relation. Expérimenter ce contact quotidien avec Dieu a influencé ma vie dans tous les sens. Ma rencontre avec Dieu m’a non seulement sauvé la vie, mais Jésus est devenu mon meilleur ami, mon conseiller, mon confident.

Ne dit-on pas que les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs? Encore là, le contraire est tout aussi vrai!

C’est comme si Dieu m’avait apprivoisé. Il a gagné mon cœur et j’ai pu ensuite lui faire confiance. C’est comme si mon âme pouvait enfin commencer à respirer.

Ce que la Bible appelle «la nouvelle naissance» est un miracle que Dieu se plait à accomplir dans la vie de ceux et celles qui se tournent vers lui avec vérité.

Le Saint-Esprit vient alors faire sa demeure dans le cœur du croyant qui l’a invité et c’est le commencement d’une nouvelle relation avec Dieu, qui va se poursuivre même dans l’éternité.

Moi qui ne trouvais aucun intérêt à la vie, me voilà marié et père de cinq enfants. Les angoisses et les inquiétudes qui me hantaient et me torturaient ont été dissi-pées par la présence du Saint-Esprit dans ma vie. Dieu m’a appris à lui confier chacun de mes soucis. Petit à petit, l’inquiétude a fait place à la sérénité. Mon épouse et moi sommes en amour avec Dieu. Nous avons expérimenté ses soins, à maintes reprises, en divers aspects de notre vie.

À travers tout ce cheminement, Dieu a fait de moi une meilleure personne. Il a déve-loppé dans ma vie des qualités qui étaient enfouies dans ce brouillard de ténèbres qui m’assaillait sans cesse. Comme Dieu l’a promis dans la Bible, mon existence est maintenant caractérisée par l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, le don de soi, la foi, la douceur et la maîtrise de soi. Je vous dis la vérité… je suis réellement passé de la mort à la vie, comme Jésus nous l’a promis. Je suis maintenant un homme heureux.

Moi qui ne trouvais aucune motivation à étudier ou à m’impliquer dans la société, je pratique maintenant un métier que j’aime. Je travaille comme aide-infirmier, dans un Institut universitaire de gériatrie. Plutôt que de continuer de vivre centré sur moi-même, le Seigneur m’a appris à aimer mon prochain. Aussi étrange que ça puisse paraître, c’est dans cet amour pour Dieu et pour les autres que se trouve la vraie liberté. Une liberté que rien d’autre ne pourrait me procurer.