Baromètre "Annonceurs mobile SRI-Harris Interactive" (Juin 2014)
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La publication met en avant les acteurs économiques du Québec et traite des enjeux économiques autant sur la scène nationale que sur la scène internationale.
L’entrepreneuriat, les technologies de l’information, les stratégies d’entreprise, la gestion et le commerce de détail font partie des thèmes abordés chaque semaine.
Nos chroniqueurs reconnus René Vézina, Diane Bérard, Jean-Paul Gagné, et François Pouliot, ainsi que nos journalistes analysent les faits économiques pour susciter la réflexion et l’action. Les Affaires fournit de l’information pour diriger des équipes, gérer ses investissements et orienter tous les aspects liés aux affaires.
Le journal Les Affaires offre un contenu rigoureux entièrement consacré aux affaires depuis 90 ans.
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Source : Vividata Printemps 2018, Province de Québec, 18+ (Imprimé) *AAM, Décembre 2017 (Imprimé) **Vividata Printemps 2018, Canada 12+ (Imprimé)
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Un lectorat de qualité,passionné par le monde des affaires.
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Âge moyen : 51
Genre :Homme : 67 % (indice 136)Femme : 33 % (indice 65)
Scolarité :Universitaire : 47 % (indice 167)
Auditoire d’affaires : 40 % (indice 157)
30 % d’entre eux sont des hauts dirigeants et propriétaires d’entreprises (indice 185)
Revenu familial 100 000 $ ou plus : 35 % (indice 146)
Revenu personnel moyen :36% plus élevé que la moyenne
Taille d’entreprise :PME : 42 % (indice 143)
Les différentes sections du journal
En manchetteLa section « En manchette »
rapporte des nouvelles inédites concernant la communauté
d’affaires ou analyse en profon-deur les enjeux qui ont fait la
manchette pendant la semaine.
InvestirLa section « investir »
couvre l’ensemble des aspects du placement : sélection de titres, gestion
de portefeuille, gestion de patrimoine,
fonds communs, fiscalité, épargne, etc.
dossierscahiers
détachablesCette section du journal présente des dossiers
thématiques qui portent un regard actuel sur divers
secteurs d’activité à partir de cas concrets et d’analyses
d’experts dans ces domaines.
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Nos éditions thématiques
21 octobre 2017 — n o 23 — 56 pages — 4,49 $
P L U S I M P O R T A N T E S P M EN O T R E C L A S S E M E N T D E SE X C L U S I F
D U Q U É B E C
Au Canada, 41 % des entrepreneurs prévoient se retirer d’ici cinq ans. Pourtant, rares sont ceux qui ont un plan de relève pour céder la
barre dans de bonnes conditions. Nous en avons déniché pour vous. Ils nous présentent leur dauphin et nous expliquent comment ils se
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des affaires
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Relations de travail et gestion duchangement
Les 500 plus grandes entreprises au Québec19 mai 2018
Cette édition spéciale présente les 500 entreprises les plus importantes du Québec et explique comment nouer des relations d’affaires prospères avec elles.
Les 300 plus importantesPME du Québec27 octobre 2018
Cette édition, destinée aux entrepreneurs et dirigeants d’entreprise qui veulent faire croître leur entreprise.
Transformation numérique7 avril 2018
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FIN D’UNE ÉPOQUE CHEZ BOMBARDIER
R-D p. 42
QUATRE INNOVATIONS CHEZ HYDRO
ÉLECTRIFICATION p. 40
LES INDUSTRIES QUI PERDRONT AU CHANGE
DIANE BÉRARD p. 32
ANTICIPER L’AVENIR COMME ERIK GRAB, DE MICHELIN
PLACEMENTS p. i-1
COMMENT INVESTIR DANS LES MICROCAPS D
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20 mai 2017 — n o 10 — 72 pages — 4,49 $
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À l’occasion de notre classement annuel des plus grands employeurs du Québec, un dossier complet sur les ambitions et les atouts du Québec
dans le domaine du transport électrique. p. 12
Nouveau
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Nos marketing de contenu Le savoir d’entreprise
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Cet article a été rédigé par le Service de contenu Les Aff aires en collaboration avec la Financière Sun Life. Les journalistes de Les Aff aires ne sont pas impliqués dans la rédaction de ce contenu. savoirdentreprise@lesaff aires.com
LE SAVOIR DE LAFINANCIÈRE SUN LIFE
SUNLIFE.CA
Une foule de facteurs peuvent affecter la santé des employés, qu’elle soit physique, mentale ou financière, et avoir un impact sur leur productivité. Plusieurs recherches montrent d’ailleurs qu’il existe un lien bien réel entre les deux.
Ainsi, 59 % des travailleurs souffrent d’une ou de plusieurs maladies chroniques, soit plus d’un individu sur deux1. Dans le secteur privé, les employés s’absen tent environ huit jours par an, majoritairement pour cause de maladie. Leur charge de travail étant transfé-rée à leurs collègues, la santé de ces derniers devient alors plus à risque.
L’impact des problèmes de santé mentale sur les entreprises est tout aussi considérable, et
chaque semaine, environ un demi-million de Canadiens sont incapables de travailler pour cette raison. D’ailleurs, une réclamation sur trois approuvée en invalidité à long terme est causée par un problème de santé mentale et, dans presque la moitié des cas, l’absence dure plus de six mois.
Ces difficultés peuvent aussi se traduire par du présentéisme, autrement dit des individus qui se rendent sur leur lieu de travail, mais qui ne parviennent pas à accomplir leurs tâches avec autant de diligence et d’efficacité que d’habitude.
Les soucis financiers constituent aussi un lourd fardeau. Ainsi, 42 % des Canadiens considèrent l’argent comme leur plus grande source de stress2 et déclarent consacrer 13 % de leur journée de travail à régler un problème financier3.
Tous ces éléments ont un effet domino qui accentue le mal-être des travailleurs. En fin de compte, le poids financier sur les entre-prises est énorme. Selon le Conference Board du Canada, l’absentéisme dans les sociétés canadiennes leur coûte environ 24 $ par tranche de 1 000 $ de salaire brut versé, soit 2,4 % de leur masse salariale, et ce, pour un total de plus de 16 milliards de dollars par an ! De quelle façon les employeurs peuvent-ils contribuer à inverser la tendance ?
Des programmes de soutienDifférentes mesures peuvent être implantées en entreprise pour améliorer la santé globale des travailleurs. Tout d’abord, les pro-grammes d’avantages collectifs, qui incluent notamment des assurances vie et invalidité, des assurances de soins médicaux et dentaires, des programmes d’aide aux em-ployés, etc. « Ce type de programme permet
SANTÉ DES EMPLOYÉS AU TRAVAIL : UNE GARANTIE DE PRODUCTIVITÉ !DE PRODUCTIVITÉ !UNE GARANTIE DE PRODUCTIVITÉ !UNE GARANTIE
DE NOMBREUSES ÉTUDES LE CONFIRMENT : UN EMPLOYÉ EN BONNE SANTÉ EST UN EMPLOYÉ PLUS PRODUCTIF. VOICI QUELQUES PISTES DE RÉFLEXION POUR PLACER LE MIEUX-ÊTRE AU CŒUR DES PRIORITÉS, ET FAVORISER DU MÊME COUP LA VITALITÉ DE SON ENTREPRISE.
non seulement de prendre soin de sa santé, mais également d’atténuer le stress financier que le paiement de frais reliés à ces soins pourrait causer », souligne Robert Dumas, président de la Financière Sun Life Québec. Il en va de même pour les REER collectifs et autres outils qui facilitent la planification de la retraite.
Moins connus, mais très complémentaires, les programmes de mieux-être s’attaquent pour leur part à la source du problème et favorisent la prévention et l’amélioration de la santé des employés. Dans sa forme la plus simple, un programme peut encourager l’activité physique ou la détente en milieu de travail (aménagement d’une salle de sport, clubs de marche, de yoga, etc.). Il est également possible d’organiser des ateliers sur la nutrition, sur la conciliation travail-famille, ainsi que sur les finances personnelles et la planification de la retraite.
« De plus en plus d’entreprises cherchent aussi à mieux cibler les besoins, en proposant des programmes qui tiennent compte de leur environnement spécifique. Par exemple, dans une société en processus d’acquisi-tion, des ateliers de gestion du stress et du changement pourraient s’avérer très utiles et appréciés des employés », indique Robert Dumas. Pour aller encore plus loin, certaines entreprises mettent en place une approche plus individuelle, en offrant par exemple un bilan de santé jumelé à des conseils person-nalisés pour chaque individu.
Des stratégies efficaces et financièrement avantageusesCes stratégies fonctionnent-elles ? Absolument ! Ainsi, une étude de l’Université Harvard a calculé que chaque dollar investi par une entreprise dans le mieux-être de ses employés rapporte environ 2,73 $.
Les employés qui ont participé à des suivis de santé et à des activités de mieux-être disent aussi avoir plus d’énergie au travail, dans une proportion d’un sur cinq, selon les résultats préliminaires d’une étude indépendante réalisée pour le compte de la Financière Sun Life par la Ivey School of Business à la University of Western Ontario. Les répon-dants ont également mentionné qu’ils gèrent
mieux leur stress et s’absentent moins souvent du travail (1,5 jour de moins par personne et par an).
« Les employés n’apprécient pas seulement les bienfaits des activités de santé et de mieux-être. On constate aussi qu’une bonne gestion intégrée de la santé favorise leur en-gagement, en plus de contribuer à l’attraction et à la rétention des ressources humaines, un facteur très précieux en cette période de vieillissement et de pénurie de main-d’œuvre », précise M. Dumas.
Quelles sont les conditions gagnantes pour que ces programmes atteignent leur plein potentiel ? Il faut tout d’abord que les tra-vailleurs aient leur mot à dire sur le choix des activités proposées. Une approche sur une base continue est également de mise, car un ou deux ateliers par an sur la saine alimen-tation ne suffisent pas à changer la donne. Enfin, l’évaluation régulière des activités afin d’optimiser l’offre ainsi que l’engagement et l’implication de la direction dans les activités sont garants du succès. « Cela contribue à créer un esprit d’équipe au sein de l’entre-prise, ce qui a toujours un effet positif », ajoute M. Dumas.
1Sanofi , Sondage sur les soins de santé, 20162Sondage Léger Marketing3https://blog.shepell.com/fr/la-sante-fi nanciere-des-employes-joue-un-role-primordial-dans-leur-sante-globale-et-le-rendement-dune-entreprise/
ROBERT DUMASPrésident, Financière Sun Life, Québec
Le savoir d’entreprise | Financière Sun Life XX
des employés souffrent d’une ou plusieurs maladies chroniques
59 %
41 %%des employés avouent être débordés la plupart du temps en raison de leur travail et de leur vie personnelle
des employés affi rment que leur santé physique ou mentale a affecté leur productivité au travail
35 %
Leur charge de travail étant transférée à leurs collègues, la santé de ces derniers devient alors plus à risque.
L’impact des problèmes de santé mentale sur les entreprises est tout aussi considérable, et chaque semaine, environ un demi-million de Canadiens sont incapables de travailler pour cette raison. D’ailleurs, une réclamation sur trois approuvée en invalidité à long terme est causée par un problème de santé mentale et, dans presque la moitié des cas, l’absence dure plus de six mois.
Ces difficultés peuvent aussi se traduire par du présentéisme, autrement dit des individus qui se rendent sur leur lieu de travail, mais qui ne parviennent pas à accomplir leurs tâches avec autant de diligence et d’efficacité que d’habitude.
Les soucis financiers constituent aussi un lourd fardeau. Ainsi, 42 % des Canadiens considèrent l’argent comme leur plus grande source de stress2 et déclarent consacrer 13 % de leur journée de travail à régler un problème financier3.
Tous ces éléments ont un effet domino qui accentue le mal-être des travailleurs. En fin de compte, le poids financier sur les entre-prises est énorme. Selon le Conference Board du Canada, l’absentéisme dans les sociétés canadiennes leur coûte environ 24 $ par tranche de 1 000 $ de salaire brut versé, soit 2,4 % de leur masse salariale, et ce, pour un total de plus de 16 milliards de dollars par an ! De quelle façon les employeurs peuvent-ils contribuer à inverser la tendance ?
Des programmes de soutienDifférentes mesures peuvent être implantées en entreprise pour améliorer la santé globale des travailleurs. Tout d’abord, les pro-grammes d’avantages collectifs, qui incluent notamment des assurances vie et invalidité, des assurances de soins médicaux et dentaires, des programmes d’aide aux em-ployés, etc. « Ce type de programme permet non seulement de prendre soin de sa santé, mais également d’atténuer le stress financier que le paiement de frais reliés à ces soins pourrait causer », souligne Robert Dumas, président de la Financière Sun Life Québec. Il en va de même pour les REER collectifs et autres outils qui facilitent la planification de la retraite. Moins connus, mais très complémentaires, les
Cet article a été rédigé par le Service de contenu Les Affaires en collaboration avec la Financière Sun Life. Les journalistes de Les Affaires ne sont pas impliqués dans la rédaction de ce contenu. [email protected]
LE SAVOIR DE LAFINANCIÈRE SUN LIFE
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Une foule de facteurs peuvent affecter la santé des employés, qu’elle soit physique, mentale ou financière, et avoir un impact sur leur productivité. Plusieurs recherches montrent d’ailleurs qu’il existe un lien bien réel entre les deux.
Ainsi, 59 % des travailleurs souffrent d’une ou de plusieurs maladies chroniques, soit plus d’un individu sur deux1. Dans le secteur privé, les employés s’absen tent environ huit jours par an, majoritairement pour cause de maladie.
SANTÉ DES EMPLOYÉS AU TRAVAIL : UNE GARANTIE DE PRODUCTIVITÉ !
DE NOMBREUSES ÉTUDES LE CONFIRMENT : UN EMPLOYÉ EN BONNE SANTÉ EST UN EMPLOYÉ PLUS PRODUCTIF. VOICI QUELQUES PISTES DE RÉFLEXION POUR PLACER LE MIEUX-ÊTRE AU CŒUR DES PRIORITÉS, ET FAVORISER DU MÊME COUP LA VITALITÉ DE SON ENTREPRISE.
ROBERT DUMASPrésident, Financière Sun Life, Québec
des employés affirment que leur santé physique ou mentale a affecté leur productivité au travail
35 %
Jean-Guy Labontéré[email protected]
Porerchil ius, tem aut autem ilibus, sus alis rem sandit quiae. Ut quatur, tem qui cori-busdam reptati orunti blaturest, num reperferro que doluptas ut ut unt.Rovidemodia cus et endus ut
et laboribus.Voluptas dio te et eatur aceatur?Icidem quistotatur ad quatibus aliscii stiumet ulles et quidi, ut lias eius essinverat quis miliquid quodita veribusam quas simus.Core velest laniaep taturiatis que nonectatur atet ius sim is dolore voluptas nim commos
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omnit ellaut fugitat intiassum harum veruptius vit ommo-luptat harchit offictecae porecuscil inctemp oresto explab intis sitaeperecae volo blaccup iciligendici nihit ut es secupta tesedip sundamusci am quat ent doluptaest, vitiur, vid et aperum, od que quat.Soluptatem sumqui sitium ea nos ellit endae ped quaecat hicidel in cum etust arcit fugiam aute di aut volore pa neculpa doluptam quia volup-tat exceari que prendi occuptatur, que volore voluptium et faceperum nihitem inis vel inihici solorenem reius.Sed quis reium harchicium quo blaniae ditaquaes qui aribus ea pliqui omnimil maionem quaepta tinveles-trum dolest, exerferum quodit, ut dolut ex endit ullendigent am am hit ipitatus erum reptae non pa nihic te cullor sumquam re volores molore eaquat ex ese dolorendit hil eventis quiaest, odipsa volupta sitaestis es est, odia providi tiores exero volupta dolorunt modis ernatem sit et, voloreped quibus veliqui doluptiorro bea illiquam, quo beaque consed quo veriamus aritas sus ea des doluptatas dolorio nsedit volorpor re nempori
bearum aut volo conectem nes ut dolupis amet aut quunt.Em cone mil id et eum quias ditaquam id quunt facepuda conem simaximus del illandu cipsam ipitior aut quiati volorrum est, te anto magnim rerempo ribus, sus a volorro omnit minis dolor sum quae prero conet quis niatem quis a quae con corum faces rem expliquam, quodi ipiet aut del id qui tem as ex eos prempo-ria simus aut ma et aut dolum incimax imaxim accusam facererunt que voluptaes conet dolupicimus.Nis essunt vid moles rehenist laciat apid moluptas adi omnitio omnitate res dolupti quam ipientis ma siti temodit, aut int, tet et ilit etur, coressit, sapicaborio mil ium aperat-quo doluptam, cone iliquis tinvele nisinti nis aborum faccus, ut vellibus a solorum fugit vitibusam quae ea dolestem doluptatenet vel iunt hicillabor ma nonemqu atemoluptur aut hil et mi, omniendandam quaspe reictet vellora vide natur rest, odiam as cusa voloreritem alibus si id eeatur maiore ex ere ex et harcilique sita explitatur arci dolendus dicabore et mos quodit que dicabostes sequi dollupiciis
molorec aesequi idunt offici as estotam vendicia se velis mo to volore, iliquas ut harios ducium libus a nis consequi aut alit, quis dolo maximin custo il maio exces repudis magni ni veliquam nem ex ex est, earchilit pro cor aut eatum venihilles doles exerio. Nam fuga. Usda sum ut aut de de quatqui animi, offictibus erionet que optatem ex estoreped que porit est, quodist etusdandia dempor reprae num reped quid que pe core aut qui denihillatum ipsum voluptasitas et modit magnam excea arcius earum alis de conseri cus vel iunt ium quid maio ommolor aut porio doloribus net aut qui ipsaper speror aligeni milluptatem fugit in cus, id ex eosant res dellam qui solorro vitatias sandi doloribus qui ullessust, aliquamus renimin cianihi llitia volorem simagnatus dolestios endaepudam iunt autatur, sum cullaborum que sequiae volende liquias itatemporum volum ut que rerum aut ipsum ipsum con repro mos corum qui optiossimin pratasimo cum aut quidusa volorem estorat velite offici omnis et endus id qui a qui aut everum re pro dero is as renimus quo magnam
Uptia simoditior rest ullatempore esecae
00 / 00 / 2017 les affaires 34Marketing
Les gestionnaires qui entament un programme d’Execu-tive MBA cherchent à améliorer leurs connaissances et leurs habiletés de gestion ainsi qu’à élargir leur réseau. Ils ignorent souvent qu’au cours d’un programme comme celui-là, l’apprentissage et le réseau sont intimement liés. En effet, lorsque des gestionnaires qui ont plus de dix ans d’expérience se retrouvent dans la même classe, les occasions d’apprendre grâce aux autres sont formi-dablement nombreuses. « Pouvoir échanger, au-delà de notre pratique quotidienne, sur des enjeux que nous vivons, mais avec des gestionnaires de sphères d’activité diversifiées, c’est un apprentissage incroyable », explique Marie-Josée Desrochers, chef de l’exploitation de l’Orchestre Symphonique de Montréal et diplômée de l’EMBA McGill-HEC Montréal. Le partage d’expériences concrètes avec des gestionnaires de parcours différents conduit l’individu à s’interroger sur sa propre perception d’une situation
donnée et à comprendre des situations vécues par d’autres. Anik Girard, directrice générale chez Groupe Cons tructo (TC Média - Transcontinental), et elle aussi diplômée de l’EMBA, affirme d’ailleurs que le gestionnaire peut parfois se sentir seul dans son rôle de leader et que le partage permet à la fois de se faire « challenger » sur ses perspectives, de « changer sa vision des affaires » et de se sentir appuyé.Il est rare qu’un gestionnaire prenne le temps nécessaire pour se concentrer à observer le travail d’un pair, son style de gestion et son milieu. Toutefois, lorsqu’il le fait, l’expé-rience se traduit inévitablement par de sérieux appren-tissages pour chacun d’eux. Ils apprennent ainsi sur leurs pratiques de gestion, leur leadership et leur environnement de travail respectifs.
Cet article a été rédigé par le Service de contenu Les Affaires en collaboration avec la Financière Sun Life. Les journalistes de Les Affaires ne sont pas impliqués dans la rédaction de ce contenu. [email protected]
LE SAVOIR DE LAFINANCIÈRE SUN LIFE
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SANTÉ DES EMPLOYÉS AU TRAVAIL : UNE GARANTIE DE PRODUCTIVITÉ !
Les meilleures occasions sont celles que les autres inves-tisseurs n’ont pas encore vues. L’équipe de Credit Suisse a récemment recensé 11 titres américains que ses analystes aiment, mais qui n’ont pas la faveur du consensus. Nous vous en présentons trois.
1. De la sélection, Kellogg (K, 75,44 $ US) offre le meilleur rapport risque/rendement dans le marché américain, croit l’équipe de financiers. La restructuration et la révision de toutes les dépenses de la société du Michigan permettent d’entrevoir une croissance du bénéfice par action de l’ordre de 7 % à 9 % à moyen terme, estime l’analyste Robert Mos-kow. Le développement des produits de collation est éga-lement un catalyseur. Puisque le titre s’échange au rabais par rapport à ses pairs, M. Moskow ne voit aucun argument justifiant sa vente. La cible est de 82 $ US, tandis que le consensus des analystes (la moyenne de chacune des cibles) e s t de 77,11 $ US.
La voix du consensus : Erin Lash, de Morninsgstar, croit qu’il faudra patienter avant que les réductions de coûts ne portent leurs fruits chez Kellogg. La précédente chasse aux économies s’était mal terminée, dit-il. Après l’opération, la chaîne d’approvisionnement était trop affaiblie pour saisir toutes les occasions de croissance. La société avait d’ailleurs dû procéder à des rappels de produits.
2. L’équipementier Caterpillar (CAT, 75,29 $ US) doit composer avec les difficultés du secteur industriel, tandis que la déflation du secteur des ressources naturelles gruge les ventes. Cela étant, Caterpillar reste l’entreprise la plus réputée de son créneau, rappelle Jamie Cook. Malgré les inquiétudes, la société de l’Illinois a les moyens de réduire ses dépenses si les conditions du marché devaient se dégra-der. Il note que les dépenses en R-D sont à un seuil record – elles peuvent donc être réduites – et que les activités pourraient être restructurées. La cible est de 72 $ US, alors que celle du consensus est de 62,12 $ US.
La voix du consensus : Seth Weber, de RBC Marchés des Capitaux, croit lui aussi que Caterpillar est en bonne position pour remonter la pente. La chose est cependant loin d’être faite, selon lui. Pour l’instant, il n’entrevoit pas de catalyseurs permettant d’anticiper un renversement de la tendance. La morosité de l’industrie énergétique et des mines aura un impact sur les revenus et les marges, poursuit l’analyste.
3. Le consensus sous-estime la capacité de la United States Steel Corp (X, 15,78 $ US) d’améliorer ses marges, croit Curt Woodworth, de Credit Suisse. La société de Pittsburgh est bien placée pour améliorer ses volumes d’acier vendus. Chaque augmentation de 5 % de la production représente-rait un gain de 600 M$ US au bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement. La cible est de 22 $ US, tandis que le consensus est de 10,11 $ US.
La voix du consensus : David Gagliano, de BMO Marchés des capitaux, ne perçoit pas d’amélioration à l’horizon. Il n’y a aucune indication d’un redressement éventuel du marché de l’acier, selon lui. L’action de la société risque donc de se déprécier davantage. selon lui. Pour l’instant, il n’entrevoit pas de catalyseurs permettant d’anticiper un renversement de la tendance. La morosité de l’industrie énergétique et des mines aura un impact sur les revenus et les marges, poursuit l’analyste.
3. Le consensus sous-estime la capacité de la United States Steel Corp (X, 15,78 $ US) d’améliorer ses marges, croit Curt Woodworth, de Credit Suisse. La société de Pittsburgh est bien placée pour améliorer ses volumes d’acier vendus.
Credit Suisse y va de trois choix de titres à contre-courant
Stéphane [email protected]
@srolland_la
« Nous ne sommes pas à la recherche d’aubaines. Si nous trouvons un actif qui a de valeur, payés. »
– Lino A. Saputo Jr., président et chef de la direction de Saputo
12Oct. 2006 Juil. 2016
14161820222426
Après un bond de 42 % depuis un an, son action approche d’une évaluation record
Ratio cours/bénéfice1
05 les affaires 00 / 00 / 2017 Économie
Les meilleures occasions sont celles que les autres investis-seurs n’ont pas encore vues. L’équipe de Credit Suisse a récem-ment recensé 11 titres américains que ses analystes aiment, mais qui n’ont pas la faveur du consensus. Nous vous en présentons trois.
1. De la sélection, Kellogg (K, 75,44 $ US) offre le meilleur rapport risque/rendement dans le marché américain, croit l’équipe de financiers. La restructuration et la révision de toutes les dépenses de la société du Michigan permettent d’entrevoir une croissance du bénéfice par action de l’ordre de 7 % à 9 % à moyen terme, estime l’analyste Robert Moskow. Le développement des produits de collation est également un catalyseur. Puisque le titre s’échange au rabais par rapport à ses pairs, M. Moskow ne voit aucun argument justifiant sa vente. La cible est de 82 $ US, tandis que le consensus des analystes (la moyenne de chacune des cibles) est de 77,11 $ US.
La voix du consensus : Erin Lash, de Morninsgstar, croit qu’il faudra patienter avant que les réductions de coûts ne portent leurs fruits chez Kellogg. La précédente chasse aux économies s’était mal terminée, dit-il. Après l’opération, la chaîne d’approvisionnement était trop affaiblie pour saisir toutes les occasions de croissance. La société avait d’ailleurs dû procéder à des rappels de produits.
2. L’équipementier Caterpillar (CAT, 75,29 $ US) doit com-poser avec les difficultés du secteur industriel, tandis que la déflation du secteur des ressources naturelles gruge les ventes. Cela étant, Caterpillar reste l’entreprise la plus réputée de son créneau, rappelle Jamie Cook. Malgré les inquiétudes, la so-ciété de l’Illinois a les moyens de réduire ses dépenses si les conditions du marché devaient se dégrader. Il note que les dépenses en R-D sont à un seuil record – elles peuvent donc être réduites – et que les activités pourraient être restructurées. La cible est de 72 $ US, alors que celle du consensus est de 62,12 $ US.
La voix du consensus : Seth Weber, de RBC Marchés des Capitaux, croit lui aussi que Caterpillar est en bonne position
des employés affirment que leur santé physique ou mentale a affecté leur productivité au travail
35 %
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Nos contenus partenaires
Source : Vividata 2017 Q3, Province de Québec, 18+, Imprimé
Formats publicitaires standards
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1/2 page horizontale10 po x 6,15 po25,4 cm x 15,62 cm(largeur X hauteur)
1/2 page verticale4,9 po x 12,5 po12,44 cm x 31,75 cm(largeur X hauteur)
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1/6 page vertical3,2 po x 6,15 po8,12 cm x 15,62 cm(largeur X hauteur)
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1/4 page4 colonnes6,6 po x 4 po16,76 cm x 10,16 cm(largeur X hauteur)
Bannière | 10 po x 1,8 po25,4 cm x 4,57 cm(largeur X hauteur)
à la Une et Une de Investir
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Bannière | 10 po x 3 po25,4 cm x 7,62 cm(largeur X hauteur)
à la Une des sections et des dossiers
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JUNIOR 47,45 x 10 po
Proportionnel à un magazine
JUNIOR 68,3 x 10 po
Proportionnel à une page
journal
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Double page21 po x 12,5 po53,34 cm x 31,75 cm(largeur X hauteur)
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Bannière10 x 1,8 po
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Page10 po x 12,5 po25,4 cm x 31,75 cm(largeur X hauteur)
Junior 47,45 po x 10 po18,92 cm x 25,4 cm(largeur X hauteur)
Junior 68,3 po x 10 po21,08 cm x 25,4 cm(largeur X hauteur)
2/3 page horizontal10 po x 8,25 po25,4 cm x 20,95 cm(largeur X hauteur)
3/8 page6,6 x 8,25 po
1/4 PAGE10 x 3 po
2/3 page vertical6,6 po x 12,5 po16,76 cm x 31,75 cm(largeur X hauteur)
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5,97 cm x 31,75 cm(largeur X hauteur)
Nouveau formatCertaines conditions
s’appliquent. Communiquer avec votre directeur de comptes.
3,2’’ x
9,5’’
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U
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T
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T inversé
14,2’’ x 5’’
Îlot central
12,5’’ x 3’’
4’’ x
6,5’’
12,5’’ x 3’’
Z
10,8’’ x 8’’
Foyer
7,4’’ x 4’’
12,2’’ x 2’’
21’’ x 2,25’’
Podium
21’’ x 3’’
4,9’’ x 3,5’’
4,9’’ x 3,5’’
2 coins et bandeau
21’’ x 5’’
Bannière supérieure DPS
10,8’’ x 12,5’’
Bloc central
21’’ x 3’’
Bannière (Bas de page ou centrale)
21’’ x 6,15’’
Demi-page DPS
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10’’ x 2,5’’10’’
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ÉtauEscalier U
OREILLE2,8 pouces x 1.3 pouce
OREILLE à la Une d’investir2,7 pouces x 1 pouce
10’’ x 1,8’’
investir
Publicitésur la Une
12BANNIÈRE10 pouces x 1,8 pouces
Formats publicitaires spéciaux
Formats publicitaires spéciaux
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Jaquette extérieure • Le journal Les Affaires est inséré dans votre jaquette.
Extérieur Intérieur
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Rabat intérieur • À l’intérieur du journal Les Affaires.
Double page avec rabat fermé Double page avec DOUBLE rabat fermé
Double page avec rabat ouvert Double page avec DOUBLE rabat ouvert
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Poster • Encarté dans le journal Les Affaires
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Grand poster
Page couverture Page arrière
Premier double page
8 pages
Très grand poster
Page couverture Page arrière
Premier double page
12 pages
Super poster
Page couverture Page arrière
Premier double page
16 pages
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Formats publicitaires percutants (2 de 3)
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Grand encart (format broadsheet) • Encarté dans le journal Les Affaires
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8 pages • Plié en deux
Journal Les Affaires Page couverture (avec ou sans rabat)
6 pages intérieures
Page arrière
Immobilier résidentiel • Immobilier commercial • Occasions d’affaires
Services professionnels
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PAGE10 x 12,5 po
Page (30 unités)L : 10 po x H : 11,3571 po
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Bannière (9 unités)L : 10 po x H : 3,3571 po
1/4 de page (7.5 unités)L : 4,96 po x H : 5,6429 po
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1/2 page verticale (15 unités)L : 4,96 po x H : 11,3571 po
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1/2 unité Texte de 30 à 35 mots sans photoL : 1,6 po x H : 1,0714 po
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2 unités Texte de 55 à 60 mots + 1 photoL : 3,28 po x H : 2,2143 po
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1 unité Texte de 40 à 45 mots + 1 photoL : 1,6 po x H : 2,2143 po
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4 unités Texte de 75 à 80 mots + 1 photoL : 3,28 po x H : 4,5 po
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1 unité L : 3,28 po x H : 1,0714 po
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Formats publicitaires annonces classées
Selon les disponibilités, les encarts publicitaires peuvent être insérés dans le journal chaque parution. Certaines restrictions s’appliquent quant au nombre d’encarts par édition et au poids total acceptable ; veuillez communiquer avec nous pour plus d’information. La tombée de la réservation est le mercredi, 15 jours avant la date d’insertion.
Les encarts publicitaires d’annonceurs concurrents qui offrent des produits et/ou des ser vices de même nature ne seront pas insérés dans la même édition.
Les options d’achat d’un encart publicitaire pour les éditions régulières sont : abonnés (édition complète), ou par tri partiel géographique.
Un encart publicitaire doit comporter uniquement le message du client/annonceur, c’est-à-dire que les encarts avec annonceurs multiples ne sont pas acceptés.
Un échantillon ou une épreuve de l’encart doit être soumis pour approbation par l’éditeur, l’imprimeur et Postes Canada au plus tard le vendredi, 15 jours avant la date d’insertion.
Veuillez faire parvenir votre échantillon à : Les Affaires Hélène Séguin 1100 boul. René-Lévesque Ouest, 24e étage Montréal (Qc) H3B 4X9
Les tarifs se trouvent sur notre carte de tarifs en vigueur basés sur le poids d’un exemplaire.
La commande minimale pour tout achat d’un encart publicitaire est de 1 500 $.
Veuillez ajouter un 3 % d’exemplaires additionnels sur la quantité requise d’encarts, pour la mise en oeuvre du processus d’encartage.
La quantité requise d’encarts pour l’édition complète est de 47 300.
Les encarts paraissent dans les versions imprimées et numériques.
Total : 47 300 exemplaires
Source : Vividata 2017 Q3, Canada, 12+, Imprimé
Encartage
Nombre de lecteurs : 559 000
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
Mauricie
Estrie
Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
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Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
Outaouais Laurentides
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MontérégieMontréalLaval
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Chaudière-Appalaches
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Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
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Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
• MONTRÉAL • MONTÉRÉGIE • LAVAL • LANAUDIÈRE • LAURENTIDES
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
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Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
Mauricie
Estrie
Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
Grand MontréalTotal : 29 000 exemplaires
Sud du QuébecTotal : 33 200 exemplaires
• MONTRÉAL • MONTÉRÉGIE • LAVAL • LANAUDIÈRE • LAURENTIDES
• ESTRIE • OUTAOUAIS • CENTRE- DU-QUÉBEC
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
Mauricie
Estrie
Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
Outaouais Laurentides
Lanaudière
MontérégieMontréalLaval
Mauricie
Estrie
Centre-duQuébec
Chaudière-Appalaches
Capitale Nationale
• CAPITALE NATIONALE • CHAUDIÈRE-APPALACHESGrand Québec
Total : 9 100 exemplaires
• CAPITALE NATIONALE • CHAUDIÈRE-APPALACHES • MAURICIE • CENTRE-DU-QUÉBEC
Québec élargiTotal : 12 500 exemplaires
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COMMENT COMPOSER AVEC LES NOUVELLES RÈGLES HYPOTHÉCAIRESp. 14
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ILS SONT BIAISÉS, CES CONSEILLERS FINANCIERS !
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p. 27
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p. 12
COMMENT CALCULER
LE RENDEMENT
IMMOBILIER
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Mars 2018
Réservation : 9 févrierMatériel final : 13 février Mai 2018 Réservation : 23 mars Matériel final : 27 mars Septembre 2018 Réservation : 24 août Matériel final : 28 août
Octobre 2018 Réservation : 28 septembre Matériel final : 2 octobre
Montréal : 514 392-4660
Toronto : 416 847-5100
INFORMATIONS :
MISE À JOUR : 14 AOÛT 2018
Dates2018
Lors de congés fériés, les tombées réservation et matériel sont avancées de 24 heures.
PARUTIONS
13 janvier 10 janvier 20 décembre 22 décembre 3 janvier 3 janvier
27 janvier 24 janvier 10 janvier 17 janvier 16 janvier 17 janvier
10 février 7 février 24 janvier 31 janvier 30 janvier 31 janvier
24 février 21 février 7 février 14 février 13 février 14 février
10 mars 7 mars 21 février 28 février 27 février 28 février
24 mars 21 mars 7 mars 14 mars 13 mars 14 mars
7 avril 4 avril 21 mars 27 mars 26 mars 27 mars
21 avril 18 avril 4 avril 11 avril 10 avril 11 avril
5 mai 2 mai 18 avril 25 avril 24 avril 25 avril
12 mai 9 mai 25 avril 2 mai 1er mai 2 mai
19 mai 16 mai 2 mai 9 mai 8 mai 9 mai
2 juin 30 mai 16 mai 23 mai 22 mai 23 mai
16 juin 13 juin 30 mai 6 juin 5 juin 6 juin
30 juin 27 juin 13 juin 20 juin 19 juin 20 juin
28 juillet 25 juillet 11 juillet 18 juillet 17 juillet 18 juillet
25 août 22 août 8 août 14 août 13 août 14 août
8 septembre 5 septembre 22 août 29 août 28 août 29 août
15 septembre 12 septembre 29 août 5 sept. 4 sept. 5 sept.
22 septembre 19 septembre 5 sept. 12 sept. 11 sept. 12 sept.
29 septembre 26 septembre 12 sept. 19 sept. 18 sept. 19 sept.
6 octobre 3 octobre 19 sept. 26 sept. 25 sept. 26 sept.
13 octobre 10 octobre 26 sept. 3 oct. 2 oct. 3 oct.
20 octobre 17 octobre 3 oct. 10 oct. 9 oct. 10 oct.
27 octobre 24 octobre 10 oct. 17 oct. 16 oct. 17 oct.
10 novembre 7 novembre 24 oct. 31 oct. 30 oct. 31 oct.
24 novembre 21 novembre 7 nov. 14 nov. 13 nov. 14 nov.
8 décembre 5 décembre 21 nov. 28 nov. 27 nov. 28 nov.
RÉSERVATIONDOSSIERS
MATÉRIELÀ MONTER
MATÉRIELFINAL
RÉSERVATION RÉGULIER
FORMATMAGAZINE
*
*Les Affaires Plus est encarté dans cette édition.
Échéancier spécial pour les cahiers imprimés à part. Consultez votre directeur de comptes.
DISTRIBUTION AUX ABONNÉS
Exigences techniques et
dépôt de matériel
Support technique AdDirectMarie-Annick Pelletier Téléphone : 514 [email protected]. ne pas envoyer de matériel à cette adresse de courriel.
InformationCoordonnatrice de publicité :1100, René-Lévesque Ouest, 24e étageMontréal (Québec) H3B 4X9Téléphone : 514 392-9000 | [email protected]
Méthode de production• Les Affaires est imprimé sur presses rotatives à haute vitesse, sur papier newsprint standard 30 lb. _ Résolution : 200 ppp _ Linéature : 100 lpp _ Densité maximale (UCR) : 240 % _ Gain de presse : 30 % à 33 %
• Le pliage et le rognage peuvent varier.
• Prière de respecter les surfaces d’impression.
• Les marges perdues ne sont pas disponibles.
• Le matériel doit être conforme aux spécifications SNAP (Specifications for Newsprint Advertising Production www.snapquality.com).
• L’impression des typographies de grosseurs inférieures à celles mentionnées ci-dessous n’est pas garantie : - en noir et blanc ; - sans empattement : 7 points ; avec empattement : 12 points ; - en renversé dans une seule couleur : sans empattement : 10 points ; avec empattement : 14 points ; - en 4 couleurs : 16 points. • Nous nous réservons le droit d’apporter tout changement technique nécessaire.
Matériel requis pour le téléchargement• Toutes les publicités DOIVENT être transmises en format PDF-X-1a. Des informations concernant la création des PDF sont disponibles sur le site Internet de Magazines Canada (www.magazinescanada.ca).
• AdDirect N’ACCEPTE PAS les formats TIFFITS ou CT LW, ni les filières originales de Microsoft Word, QuarkXPress, Adobe InDesign, Photoshop ou Illustrator.
• Espace couleur : CMJN (CMYK) (quadrichromie).
• Ne pas utiliser les couleurs RVB (RGB).
• Ne pas utiliser de couleur spot.
• Toute typographie NOIRE ou GRISE ne doit utiliser que la plaque de noir.
Livraison - Portail Web gratuit Toutes les publicités doivent être livrées via le portail Web AdDirect™ de Magazines Canada :
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Les encarts de type « accordéon » (en forme de Z) ou emballés dans des sacs de plastique ne peuvent être traités.
Pour un encart agrafé, l’épaisseur totale de toutes les pages devra être supérieure à l’épaisseur de l’agrafe.
Épaisseur minimale d’une feuille simple : 0,0125 cm (0,005 po)
Épaisseur maximale d’une feuille simple : 0,050 cm (0,020 po)
Épaisseur maximale d’un encart : 0,95 cm (0,375 po = 3/8 po)
Épaisseur maximale d’un encart agrafé : l’épaisseur de toutes les pages doit être supérieure à la grosseur de l’agrafe
Format minimal : Largeur : 17,8 cm (7 po) Hauteur : 12,7 cm (5 po)
Format maximum : Largeur : Selon dimension du journal Hauteur : 27,94 cm (11 po)
FORMAT MAXIMUMFORMAT MINIMUM
H :
27,9
4 c
m (1
1 po
)
H :
12,7
cm
(5 p
o.)
L : 17,8 cm (7 po) L : Selon dimension du journal
Livraison sur palettesEmpilage
Palettes
Livraison dans des boîtes
Identification / Livraison
Tous les encarts devront être expédiés au plus tard le jeudi à 16 h,9 jours avant la date de publication à :
DXP POSTEXPERTSAttention : Ginette Giurini4575, rue Hickmore, St-Laurent, Qc H4T 1S5
Les quais de déchargement sont accessibles du lundi au vendredi,de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h.
Les encarts devront être plats, et s’ils sont pliés, le pli devra être régulier et ne pas gondoler. Les plis devront être en bon état et bien protégés, sans coins roulés. Il ne devra pas y avoir de papier froissé ni d’autres irrégularités.
Transcontinental Transmag se dégage de toutes responsabilités dans le cas où les encarts livrés ne respecteraient pas les exigences et spécifications de ce document.
En outre, des frais additionnels pourraient être facturés pour toute livraison non conforme qui exigerait des activités de manutention supplémentaires.
Les surplus d’encarts seront acheminés au recyclage dès que l’encartage sera terminé, à moins d’avis contraire reçu au préalable.
Particularités
4 po
4 po
4 po
<-------------- Épine
< -------------- Épine
Épine -------------->
Note : Format oblong avec épine inférieure à 8 1/4 pouces sur approbation seulement.
Encartage par procédé mécanique
Les encarts ne devront pas être attachés, mais ils devront être empilés dans le même sens (ne pas les entrecroiser) de façon compacte, en mains de 4 pouces minimum.
- Toutes les mains devront être égales.
- Les mains peuvent être entrecroisées.
- La hauteur maximale de 5 pieds de l’empilage devra être respectée.
- Il ne devra pas y avoir d’espace entre les paquets.
- Des feuilles de carton devront être utilisées pour séparer chaque rangée de 3 mains.
Dimensions minimales des palettes : 102 cm x 117 cm (40 po x 46 po)Dimensions maximales des palettes : 107 cm x 122 cm (42 po x 48 po)Poids maximal de la charge : 908 kg (2 000 lb)
Dans le cas de palettes de bois, la palette du dessus devra obligatoirement être de dimension identique à celle de la base. Un recouvrement de protection devra obligatoirement être placé sur la palette avant l’empilage et un autre avant la pose du couvercle sur la pile.
Des protecteurs de carton devront être placés à chaque angle et sur chaque côté de la pile d’encarts.
Les emballages de polythène sont acceptables,pourvu qu’ils respectent les exigences quiprécèdent et que la pile d’encarts soit recou-verte d’un couvercle en bois de dimensionségales à la base de la palette.
Les encarts ne devront pas être attachés et devront tous être empilés dans le même sens (ne pas entrecroiser).
Les encarts devront être empilés de façon à ne pas s’emmêler : un carton devra être placé entre les colonnes, et l’espace superflu sera rembourré avec du papier. Le poids d’une boîte ne devra pas dépasser 18 kg (40 lb).
Préparation pour la livraison
Format
Livraison
Chaque palette ou boîte devra porter une étiquette indiquant les renseignements ci-dessous ainsi que le visuel de l’encart. Cette identification devra figurer sur deux faces.
- La date de publication- Le nom du client et le nom de l’encart- Le nombre total d’encart envoyés- Le nombre d’encarts de chaque palette ou de chaque boîte- Le nom de l’imprimeur
Encartage Spécifications techniques
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ENCARTAGE NUMÉRIQUE : Envoyer le PDF multipages en haute résolution avec les typos incluses à : [email protected]
MONTRÉAL1100, boul. René-Lévesque Ouest, 24e étageMontréal (Québec) H3B 4X9
Téléphone : 514 392-4660 • 1 800 361-5479Télécopieur : 514 [email protected]
TORONTO37 Front St East, 2nd floorToronto, ON M5E 1B3
Téléphone : (416) 847-5100 • 1 866 704-8047Télécopieur : (416) 360-8846