Dans le duché est nommé Gouverneur de Paris. La famille a...

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Pour découvrir l’ensemble des boucles à parcourir consulter le site du Conseil général de Seine-et-Marne - www.seine-et-marne.fr Direction de l’eau et de l’environnement - 145, quai Voltaire 77190 Dammarie-les-Lys - Tél. : 01 64 14 76 19 - Fax : 01 64 14 76 65 Dans le duché des Potier de Gesvres rando 02 Le plateau de l’Orxois forme un paysage cultivé et boisé ponctué de villages et de fermes. Il est entaillé par l’Ourcq, affluent de la Marne, qui a creusé une vallée aux coteaux abrupts et au fond tourbeux, humide et planté de peupliers. Coulombs-en-Valois C’est sous l’appellation de Villa Colons qu’est mentionné le village vers 1160. Ce nom pourrait venir du latin Colomba, la colombe : la villa colons, le domaine rural aux colombes. La commune faisait partie des domaines royaux. Depuis le 9 e siècle et jusqu’à la Révolution, Coulombs appartenait aux Dames de Chelles. C’est à la ferme seigneuriale de la Grange Coulombs que logeait le représentant de l’abbaye de Chelles, il contrôlait les droits de chasse et rendait justice. C’est en 1964, que Coulombs-en-Valois a repris son ancien nom lors de la réunion de Vaux-sous-Coulombs et de ses hameaux. L’église romane de Saint-Martin possède un portail surmonté à l’origine de deux tours du 16 e siècle. Ravagée en 1567 pendant les guerres de religion, les voûtes de la nef et du chœur sont reconstruites en 1623 dans le style ogival. Dans le clocher du 17 e siècle, deux des trois cloches furent fondues en canons en 1792, la troisième est fondue en 1863 puis en 1946 lors de réparations à la suite de la guerre. Dans le village, on voit encore des entrées de cours surmontées de porches enduits au plâtre. Celui qui borde la Grande Rue est daté de 1636. La fontaine et le lavoir de la Pissotte doivent leur nom évocateur à l’eau qui tombe dans le bassin. Le colombier, au toit octogonal, de la ferme de Certigny fait la sentinelle. Les colombiers étaient un privilège de la noblesse jusqu’à la Révolution ; mais après cette période, nombre de fermiers ont pris leur revanche sur ce privilège aboli. La vue sur l’Orxois est imprenable du château de Bellevue datant du 19 e siècle, c'est une ancienne colonie de vacances. Les Potier de Gesvres à Tresmes Sept générations de la famille Potier ont régné pendant plus de deux siècles sur les terres de Crouy et ses environs. Ils occupèrent des fonctions importantes à la Cour des rois de France. Louis Potier (? – 1630) fit construire, fin 16 e siècle, un imposant château sur le territoire de Tresmes. Secrétaire d’Henri III puis d’Henri IV, il a contribué à la rédaction de l’Édit de Nantes. En 1608, il reçoit entre autres, le titre de comte de Tresmes. Vers 1660, son fils René, premier duc de Gesvres, fait reconstruire le château par Mansart ; en 1663, il devient pair de France, la plus haute dignité attribuée à un noble (la pairie a été abolie en 1848). René Potier acheta la fonction de Capitaine des Gardes du Corps du Roi. En 1641, Louis XIII, en remerciement pour bons services dans l’armée, fit don à la famille d’un terrain à Paris situé en bord de Seine, à condition d’y faire un quai : le quai de Gesvres. C’est en 1670, que le nom de Gesvres remplaça celui de Tresmes. Léon, fils cadet de René, obtient le droit de donner le nom de duché à sa terre de Gesvres. Il vend sa charge de Capitaine des Gardes du Corps du Roi et achète celle de Premier Gentilhomme de la Chambre, puis il est nommé Gouverneur de Paris. La famille a toujours vécu au-dessus de ses moyens ; son fils François-Bertrand, très endetté, fait un mariage d’intérêt ; lui aussi est au service du roi. De ses quatre fils, c’est l’aîné François- Joachim-Bertrand qui prit le titre de duc de Gesvres. L’échec de son mariage défraya les chroniques de la Cour pendant 4 ans ; en effet, son épouse le poursuivit pour cause d’impuissance. Son rôle politique fût déplorable. Sans descendance, c’est son frère Louis-Léon qui reprend le titre de duc de Gesvres. Il était un homme simple contrairement à ses ancêtres. Il fit une carrière, non remarquée, dans l’armée, mais il essaya de remédier, sans succès, aux problèmes financiers de la famille. Son fils Louis-Joachim-Paris, fut le dernier des ducs de Gesvres. En 1758, à l’occasion de son mariage, il reçoit le gouvernement de l’Île-de-France. Lorsque la Révolution éclate il se fait délivrer, par la municipalité de Crouy, un certificat de civisme cherchant à faire croire à son adhésion à la nouvelle devise " Égalité-Fraternité ". En 1793 pour sauver sa tête, il se dépossède d’une partie de ses biens : sa galerie d’environ 600 tableaux en son château de Gesvres ; ses titres de propriété de Gesvres vont être brûlés en place publique à Crouy ; il déclare publiquement qu’il est un bon citoyen dévoué à la cause du peuple. Malgré cela, sa tête tombe à Vincennes le 19 Messidor an II (7/07/1794). La famille des Potier de Gesvres à Tresmes est éteinte. Le château est vendu et démoli à la Révolution ; en 1824 un autre sera construit, aujourd’hui en ruine. De ce beau domaine ne restent que les douves, le pont, un pavillon d’entrée et le parc. La ferme de Gesvres-le-Duc date du 17 e siècle; elle est située au bord du marais de l’Ourcq et du canal. Le pont sur le canal, gardé par une maison pontonnière, a remplacé un pont-levant. En 1800, les parisiens manquent cruellement d’eau ; 1801, Napoléon Bonaparte lance une étude ; 13 août 1802, un arrêté ordonne que la dérivation de l’Ourcq soit engagé le 23 septembre ; 1812 le plan du tracé du canal par Girard, directeur du Canal et des eaux de Paris est terminé ; 1822, le canal impérial est ouvert sur 108 km de Mareuil-sur-Ourcq au bassin de la Villette à Paris. Le canal des Ducs Antérieurement, Crouy-sur-Ourcq était situé au bord du canal des Ducs, dont la construction remonte au 16 e siècle ; cette situation en a fait un port important jusqu’au début du 20 e siècle. Pour acheminer les marchandises, la rivière Ourcq fut aménagée sur 30 km entre Silly-la- Poterie et sa confluence avec la Marne. Ces travaux sont entrepris entre 1529 et 1636, sous François 1 er puis Catherine de Médicis. Les privilèges de la navigation furent attribués au duc d’Orléans ; il prit le nom de "canal des Ducs". Au bord des anciens moulins de Crouy, des traces de ce canal sont visibles : ancienne écluse de Louis de Régemortes. Robert de Sépoix fit élever, au 11 e siècle, une maison forte assortie d’une ferme comme cela se faisait au Moyen-Âge. Son originalité résidait dans son donjon de forme carrée, érigé en 1390. Lors du siège du château, pendant la Fronde par le Duc de Lorraine en 1652, le logis brûla entièrement, ne restèrent que le donjon et les trois cheminées. Abandonné, le donjon de cinq étages voûtés et couronné d’une galerie, servit de pigeonnier, puis il fut restauré par l’Association de la Basse Vallée de l’Ourcq. Il jouxte la ferme forte coiffée de mâchicoulis. Le centre de Crouy-sur-Ourcq est pittoresque. À l’origine, une ferme fut construite en 1656 puis transformée en maison bourgeoise : le château de Champivert ; plus loin la mairie inaugurée en 1882, puis la place du Marché avec sa fontaine, ceinturée de façades trouées de porches donnant accès aux "cour". Pas d’eau dans le gaz ! Le stockage souterrain de gaz naturel de Germingy-sous-Coulombs exploite la structure aquifère de Crouy-sur-Ourcq. La roche réservoir se trouve à 900 m de profondeur sur une épaisseur de 80 m. Des bancs glaiseux compartimentent la roche qui est coiffée d’un dôme étanche fermé d’argiles. En 2002, la capacité du stockage était estimée à 2,6 milliards de m 3 . Les 24 puits d’injection reçoivent en été, des différents pays fournisseurs, le gaz naturel qui pousse l’eau à la périphérie ; puis par les mêmes puits le gaz, est soutiré l’hiver, l’eau reprend sa place. Le stockage est relié, par la ceinture parisienne, au réseau de transport national. Une ancienne ferme avec un pigeonnier-porche, située à côté de l’ancienne boulangerie, a conservé le caractère typique des fermes briardes maçonnées au plâtre et couvertes de tuiles plates; dans la cour la maison de Maître date du 17 e siècle.

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Pour découvrir l’ensemble des boucles à parcourir consulter le site du Conseil général de Seine-et-Marne - www.seine-et-marne.frDirection de l’eau et de l’environnement - 145, quai Voltaire 77190 Dammarie-les-Lys - Tél. : 01 64 14 76 19 - Fax : 01 64 14 76 65

Dans le duché des Potier de Gesvres

rando02

Le plateau de l’Orxois forme un paysage cultivé et boisé ponctué de villages et de fermes. Il est entaillé par l’Ourcq, affluent de la Marne, qui a creusé une vallée aux coteaux abrupts et au fond tourbeux, humide et planté de peupliers.

Coulombs-en-ValoisC’est sous l’appellation de Villa Colons qu’est mentionné le village vers 1160. Ce nom pourrait venir du latin Colomba, la colombe : la villa colons, le domaine rural aux colombes. La commune faisait partie des domaines royaux. Depuis le 9e siècle et jusqu’à la Révolution, Coulombs appartenait aux Dames de Chelles. C’est à la ferme seigneuriale de la Grange Coulombs que logeait le représentant de l’abbaye de Chelles, il contrôlait les droits de chasse et rendait justice. C’est en 1964, que Coulombs-en-Valois a repris son ancien nom lors de la réunion de Vaux-sous-Coulombs et de ses hameaux. L’église romane de Saint-Martin possède un portail surmonté à l’origine de deux tours du 16e siècle. Ravagée en 1567 pendant les guerres de religion, les voûtes de la nef et du chœur sont reconstruites en 1623 dans le style ogival. Dans le clocher du 17e siècle, deux des trois cloches furent fondues en canons en 1792, la troisième est fondue en 1863 puis en 1946 lors de réparations à la suite de la guerre. Dans le village, on voit encore des entrées de cours surmontées de porches enduits au plâtre. Celui qui borde la Grande Rue est daté de 1636. La fontaine et le lavoir de la Pissotte doivent leur nom évocateur à l’eau qui tombe dans le bassin. Le colombier, au toit octogonal, de la ferme de Certigny fait la sentinelle. Les colombiers étaient un privilège de la noblesse jusqu’à la Révolution ; mais après cette période, nombre de fermiers ont pris leur revanche sur ce privilège aboli. La vue sur l’Orxois est imprenable du château de Bellevue datant du 19e siècle, c'est une ancienne colonie de vacances.

Les Potier de Gesvres à TresmesSept générations de la famille Potier ont régné pendant plus de deux siècles sur les terres de Crouy et ses environs. Ils occupèrent des fonctions importantes à la Cour des rois de France. Louis Potier (? – 1630) fit construire, fin 16e siècle, un imposant château sur le territoire de Tresmes. Secrétaire d’Henri III puis d’Henri IV, il a contribué à la rédaction de l’Édit de Nantes. En 1608, il reçoit entre autres, le titre de comte de Tresmes. Vers 1660, son fils René, premier duc de Gesvres, fait reconstruire le château par Mansart ; en 1663, il devient pair de France, la plus haute dignité attribuée à un noble (la pairie a été abolie en 1848). René Potier acheta la fonction de Capitaine des Gardes du Corps du Roi. En 1641, Louis XIII, en remerciement pour bons services dans l’armée, fit don à la famille d’un terrain à Paris situé en bord de Seine, à condition d’y faire un quai : le quai de Gesvres. C’est en 1670, que le nom de Gesvres remplaça celui de Tresmes. Léon, fils cadet de René, obtient le droit de donner le nom de duché à sa terre de Gesvres. Il vend sa charge de Capitaine des Gardes du Corps du Roi et achète celle de Premier Gentilhomme de la Chambre, puis il

est nommé Gouverneur de Paris. La famille a toujours vécu au-dessus de ses moyens ; son fils François-Bertrand, très endetté, fait un mariage d’intérêt ; lui aussi est au service du roi. De ses quatre fils, c’est l’aîné François-Joachim-Bertrand qui prit le titre de duc de Gesvres. L’échec de son mariage défraya les chroniques de la Cour pendant 4 ans ; en effet, son épouse le poursuivit pour cause d’impuissance. Son rôle politique fût déplorable. Sans descendance, c’est son frère Louis-Léon qui reprend le titre de duc de Gesvres. Il était un homme simple contrairement à ses ancêtres. Il fit une carrière, non remarquée, dans l’armée, mais il essaya de remédier, sans succès, aux problèmes financiers de la famille. Son fils Louis-Joachim-Paris, fut le dernier des ducs de Gesvres. En 1758, à l’occasion de son mariage, il reçoit le gouvernement de l’Île-de-France. Lorsque la Révolution éclate il se fait délivrer, par la municipalité de Crouy, un certificat de civisme cherchant à faire croire à son adhésion à la nouvelle devise " Égalité-Fraternité ". En 1793 pour sauver sa tête, il se dépossède d’une partie de ses biens : sa galerie d’environ 600 tableaux en son château de Gesvres ; ses titres de propriété de Gesvres vont être brûlés en place publique à Crouy ; il déclare publiquement qu’il est un bon citoyen dévoué à la cause du peuple. Malgré cela, sa tête tombe à Vincennes le 19 Messidor an II (7/07/1794). La famille des Potier de Gesvres à Tresmes est éteinte. Le château est vendu et démoli à la Révolution ; en 1824 un autre sera construit, aujourd’hui en ruine. De ce beau domaine ne restent que les douves, le pont, un pavillon d’entrée et le parc. La ferme de Gesvres-le-Duc date du 17e siècle; elle est située au bord du marais de l’Ourcq et du canal. Le pont sur le canal, gardé par une maison pontonnière, a remplacé un pont-levant.

En 1800, les parisiens manquent cruellement d’eau ; 1801, Napoléon Bonaparte lance une étude ; 13 août 1802, un arrêté ordonne que la dérivation de l’Ourcq soit engagé le 23 septembre ; 1812 le plan du tracé du canal par Girard, directeur du Canal et des eaux de Paris est terminé ; 1822, le canal impérial est ouvert sur 108 km de Mareuil-sur-Ourcq au bassin de la Villette à Paris.

Le canal des Ducs

Antérieurement, Crouy-sur-Ourcq était situé au bord du canal des Ducs, dont la construction remonte au 16e siècle ; cette situation en a fait un port important jusqu’au début du 20e siècle. Pour acheminer les marchandises, la rivière Ourcq fut aménagée sur 30 km entre Silly-la-Poterie et sa confluence avec la Marne. Ces travaux sont entrepris entre 1529 et 1636, sous François 1er puis Catherine de Médicis. Les privilèges de la navigation furent attribués au duc d’Orléans ; il prit le nom de "canal des Ducs". Au bord des anciens moulins de Crouy, des traces de ce canal sont visibles : ancienne écluse de Louis de Régemortes.

Robert de Sépoix fit élever, au 11e siècle, une maison forte assortie d’une ferme comme cela se faisait au Moyen-Âge. Son originalité résidait dans son donjon de forme carrée, érigé en 1390. Lors du siège du château, pendant la Fronde par le Duc de Lorraine en 1652, le logis brûla entièrement, ne restèrent que le donjon et les trois cheminées. Abandonné, le donjon de cinq étages voûtés et couronné d’une galerie, servit de pigeonnier, puis il fut restauré par l’Association de la Basse Vallée de l’Ourcq. Il jouxte la ferme forte coiffée de mâchicoulis. Le centre de Crouy-sur-Ourcq est pittoresque. À l’origine, une ferme fut construite en 1656 puis transformée en maison bourgeoise : le château de Champivert ; plus loin la mairie inaugurée en 1882, puis la place du Marché avec sa fontaine, ceinturée de façades trouées de porches donnant accès aux "cour".

Pas d’eau dans le gaz !

Le stockage souterrain de gaz naturel de Germingy-sous-Coulombs exploite la structure aquifère de Crouy-sur-Ourcq. La roche réservoir se trouve à 900 m de profondeur sur une épaisseur de 80 m. Des bancs glaiseux compartimentent la roche qui est coiffée d’un dôme étanche fermé d’argiles. En 2002, la capacité du stockage était estimée à 2,6 milliards de m3. Les 24 puits d’injection reçoivent en été, des différents pays fournisseurs, le gaz naturel qui pousse l’eau à la périphérie ; puis par les mêmes puits le gaz, est soutiré l’hiver, l’eau reprend sa place. Le stockage est relié, par la ceinture parisienne, au réseau de transport national. Une ancienne ferme avec un pigeonnier-porche, située à côté de l’ancienne boulangerie, a conservé le caractère typique des fermes briardes maçonnées au plâtre et couvertes de tuiles plates; dans la cour la maison de Maître date du 17e siècle.

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Dans le duché des Potier de GesvresBoucle de 16 km - 4 heures

Départ de Coulombs-en-Valois place de l’Église

Descendre la Grande Rue, au carrefour à gauche rue de la Pissotte, 30 m après le lavoir descendre dans la sente à droite, longer le ru jusqu’à la rue ; la prendre à gauche, et monter à gauche rue de la Pissotte. Dans le virage à droite, descendre vers la ferme et tout droit sur 2 km ; au bout de la rue de la Creusette, en face. Traverser le hameau par la rue de l’Amandière ; dans le virage prendre en face et tout droit sur 2 km. Au hameau de Fussy, descendre la rue à droite ; à la route prendre à droite sur 300 m, puis à gauche. Suivre la route sur 3 km . À Gesvres-le-Duc emprunter le chemin de halage à droite, le suivre sur 2 km. Juste avant le pont de Crouy, descendre sur la route et se diriger vers la peupleraie (prudence) . Traverser la voie ferrée emprunter l’avenue de la Gare, longer la place de Champivert puis suivre Crouy-centre. Traverser tout le village par la rue du Général de Gaulle, passer devant la mairie

, continuer rue René Desjardins puis rue Hugon jusqu’au bout ; au carrefour monter en face la rue de la Diligence. Longer le bois puis y entrer sur 800 m ; 50 m après la clairière monter le chemin à gauche ; à l’intersection descendre à droite. 500 m après la plate forme de Gaz de France, monter le 2e chemin à gauche ; ensuite descendre le chemin à demi-goudronné, puis la route. Au carrefour, traverser (prudence) et à gauche, monter sur 100 m puis prendre la rue à droite. Au bout du chemin des Canes, à gauche ; en haut de la rue du Puits d’Amour à droite ; au carrefour en face rue de la Fossée. Rejoindre l’église.

À partir d’ici, on peut combiner avec "À vau-l’eau, au marais du Clignon" une boucle de 16 km.