Coûte que Coûte - La Comédie de Clermont, scène...

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mardi 6, mercredi 7, jeudi 8 et vendredi 9 janvier à 20:30 maison de la culture salle Boris Vian (entrée rue Abbé-de-l’Épée) durée 2 heures environ avec entracte CONTACT PRESSE : Émilie Fernandez – Tél. 0473.170.183 – [email protected] COûTE QUE COûTE ROSER MONTLLó GUBERNA/BRIGITTE SETH CIRCONFÉRENCE NICOLAS HUBERT/MICHEL MANDEL à PARTIR DE 12 ANS

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mardi 6, mercredi 7, jeudi 8 et vendredi 9 janvier à 20:30maison de la culture salle Boris Vian

(entrée rue Abbé-de-l’Épée)durée 2 heures environ avec entracte

ContaCt presse : Émilie Fernandez – tél. 0473.170.183 – [email protected]

Coûte que Coûteroser montLLó guberna/brigitte seth

CirConFÉrenCeniCoLas hubert/miCheL mandeL

à pArtir de 12 Ans

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Coûte que coûteDurée 50 minutes

Mise en scène et chorégraphie Roser Montlló Guberna et Brigitte SethTexte Élisabeth Gonçalves, Montlló-Seth

Avec Roser Montlló Guberna et Brigitte Seth

Création lumière et régie son Guillaume Tesson

Production compagnie Toujours après minuit.Coproduction et accueil en résidence Les Subsistances-Lyon, La Briqueterie – CDC du Val de Marne.Toujours après minuit reçoit le soutien du ministère de la Culture – Drac Île-de-France.Remerciements à Antisten.

Tournée• du 6 au 9 janvier à la Comédie de Clermont-Ferrand• le 5 février 2015 au théâtre Gérard-Philippe de Champigny-sur-Marne• les 9 et 10 avril 2015 à l’Amphithéâtre de Pont-de-Claix• du 17 au 25 décembre 2015 au Théâtre National de Chaillot

—entracte 30 minutes

CirconférenceDurée 40 minutes environ

Danse, objets Nicolas HubertClarinettes, objets Michel Mandel

Création et régie lumière Sébastien Merlin Création et régie son Pascal Thollet Conception décor Artistes Bricoleurs associés

Production compagnie Épiderme. Coproduction La Rampe et La Ponatière, scène conventionnée – Échirolles (dans le cadre de la résidence de la compagnie), Ballet de l’Opéra national du Rhin / CCN de Mulhouse (dans le cadre de l’accueil studio), La Forge CIR – Grenoble. Avec le soutien de La Filature SN – Mulhouse, Le Pacifique | CDC – Grenoble et Le Pot au Noir / St-Paul-lès-Monestier (38). Remerciements Ateliers de construction du Théâtre municipal de Grenoble, L’Album Cie – ABC Danse.

La compagnie Épiderme est soutenue par la ville de Grenoble, le conseil général de l’Isère, la région Rhône-Alpes et la Drac Rhône-Alpes (aide à la compagnie chorégraphique).

Crédits illustration de couverture Antoine+Manuelphotographies© Olivier Humeau (Circonférence)© Brigitte Eymann(Coûte que coûte)

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Le bonheur par temps de crise ne va pas de soi. Mais lorsque deux artistes telles que Brigitte Seth et Roser Montlló Guberna décident de s’en occuper personnellement, alors le bonheur rede-vient une idée neuve. Venues du théâtre pour la première, de la danse pour la seconde, idéalement complémentaires, Seth et Montlló Guberna forment depuis 1996 un commando chorégra-phique de choc sans équivalent. Jamais dans leur travail, la drôlerie, l’absurdité ou l’incongruité ne sont séparables d’une vision du monde contemporain ardente et rebelle. Imaginée à partir d’un texte écrit par la dramaturge Elisabeth Gonçalves, Coûte que Coûte est une conférence dansée, une leçon de survie appliquée autant qu’une performance scénique jubilatoire. On y voit que le bonheur danse et grince. C’est le coup de gueule de deux femmes d’aujourd’hui, vivantes et déterminées, en colère contre les conformismes et la

violence de leur temps. Du bonheur, il n’est pas directement question dans Circonférence, mais c’est tout comme, tant Nicolas Hubert et Michel Mandel en savent long quant à l’art d’être heureux sur une scène. Le décor est tout simple. Deux petits bureaux placés côte à côte, un tableau en fond de plateau auxquels s’ajoutent toutes sortes d’ob-jets principalement destinés à fabriquer du son. Ce que nous disent Hubert le danseur et Mandel le musicien – ou ce qu’ils expérimentent face à nous – au fil de leur conférence sans parole, notre imagination seule peut l’entendre et le comprendre. Curieux l’un de l’autre, jamais départis d’un œil grave et facé-tieux, philosophes de l’instant ou de l’éternité, ils inventent un autre monde, tête en bas, pieds contre le mur.

Pour la Comédie de Clermont-Ferrand © Daniel Conrod, printemps 2014

deux duos délicieux le temps d’une soirée, entre musique et comédie, rire burlesque et poésie libérée.

CirCOnFÉrenCe – Un clarinettiste et un danseur nous convient à une fausse conférence. installés chacun à leur table, ils s’adressent l’un à l’autre sans

jamais prendre la parole. dialogue musical, gestuel, libre où parfois les rôles s’inversent. Une place est laissée à l’imprévu, à l’improvisation. sans réel

raisonnement ou message , la conférence est avant tout un prétexte pour une chanson de geste, gracieuse, rencontre inattendue entre la musique

et la danse.

COÛte QUe COÛte – La gracile roser Montlló Guberna et la plantureuse Brigitte seth forment un duo de comédiennes détonnant. pour Coûte que coûte, elles interprètent un texte d’Élisabeth Gonçalvès et constatent en

chœur que « c’est compliqué, le bonheur, c’est pas facile d’y avoir droit ». sur scène, les deux femmes rivalisent d’ingéniosité pour tester ce qui peut les mettre en « état de bonheur » et nous questionnent : le bonheur à tout

crin est-il possible ? est-il souhaitable ? entre comique burlesque et gravité légère, elles nous entraînent sans ménagement dans leurs réflexions et

expérimentations.

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Coûte que Coûte

La pièCeCoûte que coûte est un avertissement. Prologue d’une pièce à venir (¡Esmerate!), la pièce expose à la fois un état du monde et un questionnement sur le bonheur. Un prologue intarrissable, sans fin, en boucle...Deux présentatrices/conteuses jouent de cette dualité jusqu’à l’absurde. Dialogue parlé et dansé, Coûte que coûte se situe juste avant l’œuvre, à la limite du plateau et des spectateurs, au bord de la défaillance.Les temps sont fous qui imposent à tant de personnes un destin innommable. Même les plus débrouillards s’essoufflent et meurent dans un monde ou l’austérité fait loi.Alors le bonheur à tout crin est-il possible ? Qu’est-ce que le bonheur ? A-t-il une couleur, des habits particuliers, une danse ? La danse du bonheur ? Apprend-on les gestes, le tempo de cette danse ? Le corps dit l’indicible et exprime la dualité : élévation et chute, tension et évanouissement, apnée et sérénité, bouillonnement et immobilisme, …Sur le mode d’un mouvement répétitif, aux accents multiples , les deux interprètes annoncent sans cesse l’espoir, comme l’apocalypse , ou les secrets d’un changement heureux enfin dévoilés, derrière le rideau de scène, un jour…

parCoursRoser Montlló GubernaRoser est née à Barcelone. Elle étudie à l’Insti-tut del Teatre de Barcelona la danse classique, contemporaine, espagnole. Elle obtient le pre-

mier prix au Concours National de Danse Clas-sique en Espagne. À Paris, au théâtre, elle est l’élève de Andreas Voutsinas et de Marie Déa.Comme interprète, elle danse notamment avec les chorégraphes Maguy Marin (1982-83), Bri-gitte Farges (1983-86), Adriana Borrielo (1985-90), Charles Cré Ange (1990-92), Angelin Preljocaj (1989-1991), Tomeo Verges (1992-2002).Parallèlement elle développe un travail de dan-seuse/actrice pour le théâtre contemporain avec les metteurs en scène Jean-Claude Penchenat (1985-92), Anne Dimitriadis (2005), Sophie Loucachevsky (six spectacles dans le cadre du Théâtre Feuilleton au Théâtre de l’Odéon en 1994-95) et deux projets en Afrique du Sud (1996-97), avec Jean-François Peyret (cinq spectacles dans le cadre du Traité des Passions (1995-98). Pour tous ces spectacles, elle réalise également la chorégraphie.Comme chorégraphe, elle codirige le collec-tif Les Pénélopes (1994-99) avec Anne Koren, Martha Moore et Brigitte Seth.Elle est chorégraphe pour le spectacle mis en scène par André Wilms à Munich : La Philosophie dans le boudoir de Sade (1997).À l’opéra, elle collabore étroitement avec le chef d’orchestre Jean-Claude Malgoire pour la réali-sation d’opéras au festival d’Aix-en-Provence et en France : Tancrède de Campra, Psyche de Lullly, Lully Molière création (1985-87).Au cinéma, elle tourne avec Ricard Reguan Le Temps (1976), avec Jean-Marie Maddeddu dans Entracte international (1997) et Mort de rire (1998), avec Charles Cré Ange dans Sur l’enveloppe était une croix (1990), avec Fernan-do Solanas dans Tango l’exil de Gardel (1984) et Angelin Preljocaj dans Noces de Stravinsky (1990).

« Vous devez en convenir, le monde est inhabitable ! »

Bertolt Brecht, La Bonne âme du setchouan

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brigitte sethBrigitte est née à Paris. De sa formation aux Arts et Techniques du Cirque et du Mime au Nouveau Carré Silvia Monfort à Paris, elle retient particulièrement l’étude de la danse classique et contemporaine. Elle étudie les claquettes avec Malik N’Dyae.Elle tourne durant trois ans (1978/81), en tant que comédienne, avec le groupe itiné-rant Théâtre Emporté (ancêtre de Zingaro) : L’Alchimiste de Ben Jonson, La Foire aux patrons (création).Comédienne/danseuse, elle travaille avec des metteurs en scène et des chorégraphes, notamment Christine Marneffe pour La Kermesse (1991), Jean-Marie Maddeddu pour Escale à Babylone (1991) et un court métrage Entracte international (1997), Alain Brugnago pour La Dramatique expul-sion d’Yvan G. de Christian Filhol (1990) et Les Plus grands mots de Torgny Lindgren (1998), Patrice Bigel pour Flagrant délit de mensonge création (1989), Dramen d’après Georg Keiser (1992) et Le Cocu magni-fique de Fernand Crommelynck (1993), Eloi Recoing pour Théâtre – Roman, fragments de Louis Aragon (1996), Tomeo Verges pour Salto Mortal (1996).Elle crée une première compagnie, le Théâtre Incarnat (1981-86), dont elle coécrit les deux premiers spectacles dans lesquels elle joue : Loin et longtemps et Le Nain.Elle codirige le collectif Les Pénélopes (danse et théâtre).Elle est également assistante à la mise en scène pour Sophie Loucachevsky dans deux spectacles (théâtre/danse/musique) en Afrique du Sud : Fragments, a playshop et Once Upon a Time (1996 et 1997).

La compagnietoujours après minuitLa multiplicité des cultures et des expériences de Brigitte et Roser les conduit, lorsqu’elles se rencontrent, à créer des spectacles où le théâtre, la danse et la musique sont liés. Elles codirigent la compagnie Toujours après minuit qu’elles créent en 1996. « Nous parlons plusieurs langues quotidien-

nement (français, espagnol, catalan). Il nous est donc possible de choisir la langue dans laquelle, ce jour-là, ces mots-là expriment le mieux l’idée de l’instant. De la même ma-nière, nous possédons plusieurs techniques et langages (danse, théâtre, musique). Pour nous il s’agit de moyens d’expression que nous utilisons sans préjugés, en toute liberté. Comme nos deux cultures coexistent pleine-ment, ces différents langages sont en com-plémentarité, en harmonie.Notre recherche repose sur la dissociation, par conséquent le mélange de plusieurs élé-ments est indispensable. Ce travail profond, éprouvant parfois, est au service d’un « mieux dire utopique ». Nous favorisons la recherche du sens par la dissociation et l’accumulation, la complémentarité de langages différents et un mode adressé, ouvert qui requiert la par-ticipation du spectateur. »La compagnie Toujours après minuit a réalisé de nombreux spectacles : El Como Quieres (1997), Personne ne dort (1998), Suite pour quatre (2000), L’Entrevue (2001), Rosaura (2002), Revue et corrigée, es menschelt… (2004), Epilogos, confessions sans importance (2004), Je te tue, tu me tues, le premier de nous tous qui rira… (2006), Récitatifs toxiques (2007), Galeria (2008), À la renverse (2008), Genre oblique (2010), Avant-propos, un récit dansé (2011), Change or die (2013) et Coûte que coûte (2014), prologue d’une pièce à venir ¡Esme-rate! (Fais de ton mieux !).Les deux metteurs en scène-chorégraphes sont également sollicitées pour réaliser des choré-graphies et/ou des mises en scène d’opéras. De 1999 à 2000, elles collaborent à la trilogie Monteverdi sous la direction musicale de Jean-Claude Malgoire ; en 2001, elles cho-régraphient Madeleine aux pieds du Christ d’Antonio Caldara à l’Abbatiale au festival de la Chaise-Dieu, sous la direction musicale de Arie Van Beck. En mai 2007, sous la direc-tion musicale de Jean-Claude Malgoire, elles créent la mise en scène et la chorégraphie de Orfeo Ed Euridice de Gluck.

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Elisabeth GonçalvesÉlisabeth Gonçalves fait l’expérience du théâtre pour la première fois à quinze ans, sous la direction d’Anne-Laure Liégeois. À vingt ans, elle rencontre Laurent Vacher, metteur en scène. C’est le début d’une longue collaboration artistique. En 2005, suite à une commande du Festival international de théâtre de Londrina, au Brésil, elle met en scène deux pièces avec les détenus et agents de sécurité du pénitencier de l’État du Paraná. Elle poursuit avec eux une expérience de recherche théâtrale dont elle tire un film coréalisé avec Florence Bresson en 2008, Nada a ver, sélectionné dans de nombreux festivals, notamment Hors-piste 2009 au Centre Georges-Pompidou (2013). La Migration des Canards est sa première pièce de théâtre parue aux éditions du Seuil dans la collection « Théâtre » de L’École des loisirs.

Lire, ÉCouter, Voir par Les artistes

de La saisonles choix de Brigitte et roser

Livres (autour de Coûte que coûte)• La Migration des canards de

Elisabeth Gonçalves, 2013• Tout l’œuvre de Robert Walser

• La Bonne âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht, 1940

• Éloge de la fuite de Henri Laborit, 1985

• Le Négus de Ryszard Kapuscinski, 1984

peintureAntoni Tàpies, Pablo Picasso, Francis

Bacon et Jérôme Bosch

théâtreDario Fo et Franca Rame

Musique

• les compositeurs Heinrich Biber et Claudio Monteverdi

• la chanteuse Martirio • Jimi Hendrix

• Jean-Pierre Drouet

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CirConFÉrenCe

La pièCeCe projet est né du désir de créer un objet scénique qui soit d’une part structuré et scénarisé, notamment à travers sa scénographie, mais d’autre part ouvert, dans sa partition, sur l’improvisation et l’écoute mutuelle des deux protagonistes.De par son procédé (une table sonorisée et amplifiée), un espace est ouvert pour que chaque protagoniste puisse entrer dans le champ de l’autre, le musicien produisant une gestuelle, et le danseur générant du son (frottements sur la surface sonore de la table, frictions, percussions, grincements…).Un travail autour des objets et de leurs actions sonores sur la table « préparée », permet des allées et venues entre l’abstraction d’un langage propre à chaque interprète, et une certaine théâtralité del’absurde, née de l’idée d’une fausse conférence.Sans qu’un réel raisonnement ou message n’y soit contenu, cette notion de conférence est une voie d’accès permettant d’aborder une gestuelle de la parole, mais sans la parole. Une sorte de « chanson de geste » où le contexte de parole publique serait le postulat dramaturgique d’une rencontre entre deux médias, la musique et la danse, qui paradoxalement se situent chacun hors du langage.

parCoursmichel mandel,musicien, compositeurMusicien et compositeur, Michel Mandel développe depuis de nombreuses années un langage personnel autour des clarinettes, avec son Solo, son duo tonique avec le saxophoniste Yves Gerbelot, ou le quartet Novo. Pendant plus de quinze ans, il tourne internationalement avec le groupe Volapük, avec lequel, il participe à l’écriture du spectacle Aujourd’hui peut-être pour la Cie Maguy Marin. Co-fondateur de La Forge CIR (pôle d’artistes musiciens implantés en Rhône-Alpes), il participe à tous les projets initiés par ce collectif, notamment Les Chaises musicales, Sati(e)rik excentrik, Jardins extraordinaires, les écritures pour Tian xia, orchestre franco-chinois, ou Portraits de femmes, composition pour harmonie et improvisateurs, crée des formes spectaculaires telles que Avec mobile apparent, Découpes, Petit opéra d’ombres, au sein de Matières à réflexion, association de recherche artistique avec la plasticienne Stern.

rencontre – performance – conférence – subreptice, impromptue, improviste, chaque fois inédite, entre Michel Mandel (clarinettes, objets) et nicolas Hubert (danse, objets).

deux tables, deux conférenciers…Une conférence sur l’absurdité de conférer sans langage ni message,

sans théorie ni rhétorique.des micros partout, la vie à la loupe, démultipliée, le moindre geste amplifié, grossi, défiguré,

l’infime jusqu’à l’absurdeinspirer, hésiter, démontrer, s’adresser,

s’enflammer d’une élucubration gestuelle, d’une joute sonore.Altération du geste, de la vibration, du présent : un langage non verbal, sensible et audible.

Michel Mandel & nicolas Hubert

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Nicolas hubert,danseur, chorégrapheInitialement formé aux arts plastiques (diplômé de l’école supérieure des Beaux-Arts du Mans en 1996), il se forme parallèlement à la danse contemporaine, classique, contact-improvisation, composition instantanée, capoeira, auprès de nombreux enseignants, et danse depuis 1996 dans plusieurs compagnies en France et à l’étranger (notamment Hervé Robbe/Centre Chorégraphique National du Havre, Cie Michèle Noiret, Cie Linga, Cie Pascoli, Cie Hervé Koubi, Cie Marie Lenfant, Cie Vilcanota).Il fonde la Compagnie Épiderme en 2002, où chacune des pièces relie la dimension physique de la danse à la dimension plastique de la scénographie.Il se joue aussi un rapport direct à la musique, par des créations originales jouées par les musiciens sur scène. Circonférence est sa septième création.

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Les speCtaCLes à VenirsaCre # 197 et saCre # 2Vaslav Nijinski / Igor StravinskyDominique Brun15 janvier, 20:30Maison de la culture salle Jean-Cocteau

Recréer une danse mythique disparue, la réinventer, comme un voyage entre un passé captivant et un présent fascinant.

La mÉgère appriVoisÉeWilliam ShakespeareMélanie Leray21, 22 et 23 janvier, 20:30Maison de la culture salle Jean-Cocteau

© Christian Berthelot

Les jeux de l’amour et du pouvoir selon Shakespeare, dans une mise en scène revivifiée de Mélanie Leray, avec Vincent Winterhalter en Petruccio.

ÉMissiOn BOUCHe à OreiLLeÉmission de radio dédiée à la programmation de la Comédie, animée par Bernard Lescure.

Enregistrement en public le vendredi 23 janvier de 12:30 à 13:30 à la librairie Les Volcans

Kanon poKaJanen Arvo PärtChœur de chambre philharmonique estonien

Arvo Pärt d’après une illustration de Antoine+Manuel intégrant un dessin d’Oriana Fenwick

Les compositions d’Arvo Pärt ont fait le tour du monde : Gus Van Sant, Terrence Malick, Nanni Moretti, Jean-Luc Godard, entre autres, savent ce que l’atmosphère de sa musique peut apporter à un film. Kanon Pokajanen est une œuvre d’une grande spiritualité. Le temps se suspend autour des 26 chanteurs du chœur philharmonique estonien et son directeur musical Tõnu Kaljuste, dédicataires de l’œuvre. Un moment d’une grande beauté, à vivre dans l’église Saint-Genès-Les-Carmes.> voir sur notre site l’interview d’Arvo Pärt par Bjork, grande fan du compositeur. —toute La programmation sur www.LaComediedeCLermont.Com

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