Contact147 Mise en page 1 - Contact Entreprises - …...VAUBAN AUTO OSNY Édition : MF P ROMOTION ,...

Entreprise du mois :

ADD-ON CONSULTING

Homme du mois :Jean-Louis ORAIN, CHAMBRE DE METIERSET DE L’ARTISANAT

ContactEntreprises95

Bimestriel n°127Avril-Mai 2017

Réf. C. 147

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Sécurité la gestion du risque

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Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises 3

Sommaire

Annonceurs

DOSSIERSécurité : la gestion des risques ..p.5 à 9

ADD’ON CONSULTING - C’CLIM -

COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION DE CERGY-

PONTOISE - CC LES 3 FONTAINES -

CONSEIL DÉPARTEMENTAL DU VAL D’OISE -

CLUB ACE - EURIPIDE - GOPARK - IFA CHAUVIN -

JYM CONSULTANT - LA POSTE - LES BROCHES DU

VEXIN - LE PARC DE SAINT OUEN L’AUMONE -

OLIVIER VIGNAL PAYSAGISTE - POLET - PROCARIST

- SOCIÉTÉ GÉNÉRALE - SOMAG -

VAUBAN AUTO OSNY

Édition : MF PROMOTION, Agence Conseil en Stratégie de Communication - SARL au capital de 7622,45 euros - RCS Pontoise B 352 519 292 - Code APE 744B - B.P. 78447- 95807 Cergy-Pontoise cedex - Tél. : 01 34 25 97 08 - www.contact-entreprises.net - Directrice de la publication : Virginie PAVIOT [email protected] - rédactriceen chef : Audrey LEMEUR [email protected] - rédacteurs : Audrey Le Meur, Allison Francisco, Evelyne Bourdin - Imprimeur : RPS repro - Tirage : 8 000 ex

L’heure du choix

Un emploi privé sur deux provient desTPE/PME. La CPME à travers son présidentFrançois Asselin a présenté 89 propositionspour agir en faveur de nos entreprises auprèsdes candidats à l’élection présidentielle. Jevous encourage à lire attentivement sespropositions (à télécharger via facebook@CPME95 et @ContactEntreprises95).

Il faut un programme fort suggère FrançoisAsselin “On ne peut pas vouloir la baisse descharges qui pèsent sur les entreprises et

reculer devant la nécessité d'une réduction des charges publiques.On ne peut pas s'abriter derrière l'esprit administratif et le principe deprécaution et prétendre encourager l'entrepreneuriat et l'innovation.On ne peut pas durcir les contraintes sur les employeurs et s'étonnerque la notion même de salariat soit remise en cause.”

Il ne s’agit pas de demi-mesures si on veut rendre la compétitivité auxproduits made in France.L’ouverture mondiale nécessite aussi une protection sociale etl’association des salariés à la bonne marche des entreprises.Un lourd defi pour le prochain président de la République, qui devrafaire face à une situation mondiale tendue et une France qui secherche.

Bonne lectureBien cordialementVirginie Paviot

INFOS ENTREPRISES....................p. 15 à 18

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ENTREPRISE DU MOISADD’ON CONSULTING ..................p. 13

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ACE .......................................... p. 10 à 12


Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises4



En permettant de rattacher le monde physique à lasphère de l’information, l’Internet des objets ouvrela voie au développement d’innombrables ser-vices tant à l’intérieur de l’entreprise qu’à destina-tion de ses clients. Mais cette interconnexionglobale des personnes, des processus et ducontexte ne tiendra toutes ses promesses que sicette infrastructure sous-jacente offre des garantiesélevées de sûreté et de fiabilité. La cybersécuritéapparait dès lors comme un enjeu fondamental…Via Internet, par le biais d’une clé USB ou en s’enprenant directement aux postes de travail, les pi-rates informatiques sont plus proactifs que ja-mais… Comment déjouer leurs plans ? Tour detable des acteurs dans le Val d’Oise.

DOSSIER

Le Pôle Judiciaire de la Gendarmerie Nationale(PJGN) a pris ses quartiers à Pontoise, sur une sur-face de 27 000 m², où sont regroupés plusieurs cen-taines de scientifiques au sein des bureaux etlaboratoires. Il rassemble les activités de l’Institut derecherche criminelle de la gendarmerie nationale(IRCGN), sur 13 000 m², et du Service central de ren-seignement criminel (ex STRJD). L’IRCGN couvre unequarantaine de domaines d’expertise, de la balistiqueà l’informatique, des explosifs à la microanalyse, dela toxicologie à l’entomologie. Sur le site, le pôle judiciaire dispose aussi d’un cen-tre de lutte spécialisée contre les criminalités numé-riques (une sorte de “Bac du net” active sur Internet).Il utilise une palette d'outils pour patrouiller sur leweb, détecter toutes sortes d'infractions en ligne etremonter jusqu’aux hackers présumés. Cette entité,baptisée le C3N, rassemble 35 militaires et mène troisprincipales missions : il anime et coordonne le réseauCyberGend, déployé sur tout le territoire, effectue durenseignement criminel et réalise des enquêtes judi-ciaires pour déjouer les fameuses infractions com-mises en ligne (comme les atteintes aux systèmes detraitement automatisé de données). Les équipes dé-veloppent leurs propres outils et sont équipées d’unepalette de logiciels de surveillance automatique ousemi-automatique, représentant un investissementde plusieurs centaines de milliers d’euros par an.

Un pôle tourné la prévention auprès des entreprises Tourné vers l’information en direction des entreprises, lepôle de Pontoise organise régulièrement des réunions à

destination des dirigeants afin de les sensibili-ser sur la manière de se protéger des risques etmenaces, qui peuvent revêtir de multiples vi-sages. En mars dernier, plusieurs dizaines de di-rigeants ont assisté à une rencontre en présencede nombreux intervenants. Les entreprises sont,il est vrai, les cibles privilégiées des hackers quiprofitent de toutes les failles dans le système.“Pour s’en prémunir, il faut avoir une traçabilité,un back up”, explique l’un des gendarmes parti-cipant, beaucoup de sociétés sont de vraies pas-soires. Généralement, le maillon faible, c’estl’homme, celui qui conduit volontairement ou in-volontairement à l’erreur. Il est donc essentiel demettre en place des sauvegardes mais aussi desensibiliser les cadres en interne pour qu’ils sa-chent comment se coordonner et réagir face àdes éléments imprévus. Les entreprises doiventimpérativement adopter une posture d’anticipa-tion pour palier les risques. La complexité technique, le dé-veloppement des objets connectés augmentent d’autantplus notre vulnérabilité. Certaines entreprises n’ont pasencore pris la dimension du risque.”La protection du volet financier, dans un contexte de digi-talisation de l’économie, avec des produits financiers deplus en plus complexes, a également conduit ces dernièresannées à la hausse des attaques et des intrusions mal-veillantes, selon des modes opératoires de mieux en mieuxpréparés. Toute entreprise exploitant des données électro-niques sur des mobiles, des tablettes, des ordinateurs, desserveurs ou Internet est désormais confrontée à cette réa-lité. “Il suffit parfois de gestes simples pour les éviter : ges-tion des mots de passe et des droits d’accès,

cloisonnement des systèmes et bien sûr, système de sau-vegarde des données efficace, qui, s’il est défectueux, peutmettre en péril l’entreprise en cas d’incident….” Le savoir-faire de l’entreprise et le secret industriel doivent être aussibien gardés, d’où l’importance de discuter en interne avecles collaborateurs, de les mettre en garde afin qu’ils pren-nent conscience des risques numériques et du comporte-ment à adopter pour ne rien laisser filtrer. Pour y voir plus clair, la gendarmerie s’appuie sur trois ré-férents sécurité dans le Val d’Oise, Le Lieutenant-colonelGRANDJEAN, l’adjudant VIRY et le gendarme POUZON,qui vont à la rencontre des entreprises pour réaliser desdiagnostics sur-mesure et balayer l’ensemble des risques,qu’ils soient numériques, liés à l’accès, à l’intégration desstagiaires ou au système de management.

Sécurité :la gestion du risque

Pontoise : les experts de gendarmerie traquent les cyber-criminels


Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises

DOSSIER

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L'association Pays de Roissy-CDG et le CEEVOont engagé une dynamique originale depuis troisans, une première en France, en mobilisant en-treprises et administration autour de la sécurité.Cette démarche vise à favoriser la mise en placede réflexions et d'actions autour de la gestiondes risques. Elle a été initiée en novembre 2014avec la mise en œuvre du premier Forum “GSI -Initiative pour une Sécurité Globale”, sous l’im-pulsion de Gérard PESCH, ancien directeur del’activité de conseil en sécurité de Thalès, qui,parti à la retraite, a souhaité poursuivre la ré-flexion. L’objectif de cet événement est d’infor-mer et de fédérer l'ensemble des acteurs(groupes internationaux leaders en sécurité,PME développant des solutions innovantes surde nouveaux champs technologiques, centres derecherches, écoles d'ingénieurs, universités…)autour des enjeux liés à la sécurité globale faceaux attaques et aux défaillances de toute nature.

“En 2014, il nous semblait que le moment était venude lancer un think tank (laboratoire d’idées), car iln’existait pas de démarche similaire au niveau natio-nal, qui cherche à développer une approche trans-versale et décloisonnée, balayant tous les champspossibles en terme de sécurité, souligne GérardPESCH. C’est ainsi que le Forum GSI est né.”Aujourd’hui, une nouvelle étape se joue pour allerplus loin, avec la naissance du cluster régionalSecurity Systems Valley. La région s’est intéressée àcette initiative qui a conduit à sa création fin 2016,afin d’intensifier la démarche, de lui donner une légi-timité nouvelle, ainsi qu’un accès à un accompagne-ment financier.

“Personne n’est plus à l’abri. Nous vivons dans unmonde de dangers, avec un accroissement des vul-nérabilités liées à la rapidité des évolutions techno-logiques et du développement des nouveaux usagesdans le domaine du numérique, poursuit le fondateur.Les spécialistes au sein des entreprises et des col-lectivités ont des difficultés à appréhender l’ensem-ble des paramètres dans leur entière complexité….Ils considèrent que les réponses traditionnelles nesuffisent plus pour affronter ces ruptures, éviter lesdéfaillances ou assurer la protection des biens, despersonnes, des données, des infrastructures et dessystèmes opérationnels. Beaucoup reste à inventerdans un marché de solutions très fragmenté et enmanque de maturité.”

Les missions du cluster, dont la présidence est assu-rée par Stéphane VOLANT, secrétaire général de laSNCF, vont être de définir clairement les besoins sé-curitaires et d’y répondre par une mobilisation des

prescripteurs. L’objectif sera de pouvoir antici-per les mutations et de faire émerger les exi-gences, de sensibiliser et d’impliquer lesdécideurs et les métiers, les salariés et lesusagers ou encore de développer des solutionset des services par des démonstrateurs. Plusprécisément, il s’adresse à des utilisateurs dé-sireux de mener des expérimentations. La pré-sence des grands opérateurs mondiaux commeAirbus, Morpho, Thames, 3M, Sagem, maisaussi l’expérience acquise à Roissy dans lesecteur de l’aérien font du Val d’Oise un parfaitterritoire d’expérimentation. “Evidemment, iln’est pas possible de promettre une protectionglobale, ni d’assurer que le bouclier sera im-parable, mais il faut que les entreprises puis-sent être en capacité de réagir.”Plusieurs projets très concrets ont été identi-

fiés. Première infrastructure concernée : Europacity,le projet de parc commercial et de loisirs qui devraitvoir le jour en 2020 sur le territoire de Gonesse.Comment imaginer la sécurité d’un tel lieu ouvert ?GSI travaillera également sur le projet de sécuritédans les transports porté par la Conseil départemen-tal ainsi que sur son plan numérique. Implantée à laCCI95, l’équipe du cluster envisage de monter unshowroom et d’ouvrir un point d’accueil pour recevoirles entreprises.

Contact : [email protected] 82 90 38 60

ICTS, le leader européen de la

sécurité et de la sûreté

aéroportuaire, est présent dans

24 pays (pour un chiffre d’affaires

de 400 M€). Avec la montée du

terrorisme, la demande est

exponentielle, non seulement dans

les aéroports, mais aussi dans les

gares, les centres commerciaux, les

établissements culturels, les stades,

les lieux événementiels... L'aéroport

de Roissy-Charles-de-Gaulle reste

le premier site au monde exploité

par ICTS, qui y affecte 1 500 agents

sur ses 13 500 employés.

www.ictseurope.com

Les aéroportssous hautesurveillance

Le Val d’Oise mobilisé autour de la sécurité : naissance d’un cluster



DOSSIER

Depuis plusieurs décennies, Atos participe à l'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques, en lien avec leCIO. En tant que partenaire informatique mondial, le groupe est chargé de mettre en place l'infrastructure informa-tique : gestion des accréditations, retransmission médiatique des résultats, organisation du travail des bénévoles...Une vraie toile d’araignée pour parer à toutes les éventualités en temps réel qui ne tolère aucune erreur. Cet évé-nement sportif international a été l'occasion de mettre en place de toutes nouvelles technologies, en lien avec l'im-portance croissante de la consommation d'informations numériques. Lors des Jeux d’été de Rio l’an dernier, pour la première fois, l’utilisation massive du Cloud a permis d’héberger plu-

sieurs systèmes, de réduire les coûts tout en améliorant l'efficacité. Atos a installé et géré une infrastructure infor-matique complète sur 37 sites de compétition, reliée à un centre technique au cœur du village olympique, véritabletour de contrôle.Le nombre d’événements de sécurité informatique détectés lors des Jeux Olympiques de Rio 2016 a franchi la barrede 510 millions, soit 400 par seconde. Ce chiffre représente le double de celui enre-gistré lors des JO de Londres, en 2012. Près de 430 000 accréditations ont été traitéeset activées par le système, plus de 120 millions de messages envoyés aux médias pourpartager les résultats et données en temps réel, de chacun des 66 sports Olympiqueset Paralympiques.“L’ingéniosité et le perfectionnement des cybercriminels ne doivent pas être négligés,souligne un des responsable d’Atos. Chaque jour, les hackers s’acharnent à trouver denouveaux moyens de perturber les systèmes informatiques, obligeant ainsi les en-treprises à garder une longueur d’avance pour assurer la sécurité de leurs systèmeset de leurs données. C’est pourquoi, nous n'avons absolument rien laissé au hasard.Avant l’événement, 200 000 heures de tests et de répétions générales ont été effec-tués pour éprouver des milliers de scénarios d'attaque différents. Durant l’événe-ment, l’équipe d’experts du Centre Technique des Opérations (TOC) de Rio a travaillé24/7 pour examiner minutieusement tous les flux parcourant le réseau. Les prochains Jeux Olympiques d'hiver de Pyeongchang en 2018 et ceux d'été (Tokyoen 2020) seront encore le théâtre de nouvelles évolutions technologiques : l'Internetdes Objets aura sans aucun doute une grande importance, en particulier grâce aux ac-cessoires connectés qui commencent à atteindre leur point de maturité. Le Cloud seraprimordial pour les systèmes de delivery, et il faudra compter avec une augmenta-tion exponentielle de l’exploitation des données pour créer de la valeur et le dé-ploiement du réseau 5G.”

Atos : au cœur des Jeux Olympiques

Atos, un leader mondialAtos (siège à Bezons deouis 2011)est un leader international de la transformation digitale avec environ100 000 collaborateurs dans 72pays et un chiffre d’affaires annuel del’ordre 12 milliards d’euros. Numéro uneuropéen du Big Data, de la cybersécurité, des supercalculateurset de l’environnement de travailconnecté, le groupe fournit des services Cloud, solutions d’infrastructure et gestion de données,applications et plate-formes métiers,ainsi que des services transaction-nels. Atos compte des clients dans lessecteurs défense, finance, santé, industrie, médias, énergie & utilities,secteur public, distribution, télécomsou encore transports. Le groupeexerce ses activités sous les marquesAtos, Atos Consulting, Atos Worldgrid,Bull, Canopy, Unify et Worldline. Ses innovations phares incluent notamment la principale plateformeeuropéenne de paiement et transactions sécurisées avecWorldline (13 millions de transactionsgérées chaque jour) ou encore Hoox,le premier smartphone nativement sécurisé au monde.



DOSSIER

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Avec les menaces de terrorisme, les grandes entrepriseset opérateurs de sites sensibles et d'infrastructures stra-tégiques redoublent de vigilance. Ce qui les amène àrenforcer la sécurité de leurs accès. Pour répondre à cebesoin, Nedap, groupe spécialisé dans les solutions decontrôle d'accès et de gestion de la sûreté, a lancé lanouvelle version de sa plateforme de contrôle d’accès(Aeos). Ouverte sur tous les autres systèmes de sécuritécomme la détection intrusion, la vidéosurveillance ouencore la gestion des casiers, elle se distingue par sacapacité à concilier sûreté et cybersécurité. Dans lecontrôleur, l’ajout d'une carte sécurisée intégrant un mo-dule de chiffrement permet de crypter de bout en boutles données pour empêcher les intrusions et le vol desdonnées d'identification sur le réseau, tout en sécuri-sant de manière inviolable les clés secrètes contenuesdans les badges. A l'origine, cette fonctionnalité de chif-frement a été développée pour les besoins des sites mi-litaires français et néerlandais. Depuis cette année,Nedap l'a rendu disponible auprès de l'ensemble desentreprises. Quelques clients français dans les télécoms

et les Data Centers notammentl'ont déjà déployée. Destinéenotamment aux sites de grandpassage recevant de nombreuxvisiteurs, elle permet de rem-placer les badges physiquespar des versions dématériali-sées stockées sur smartphonescomme les QR Codes ou encoredes codes reçus surSmartphone. Le visiteur n’aplus qu’à télécharger l'applica-tion gratuitement sur sonSmartphone et présenter sonportable devant le lecteur pourêtre autorisé ou non à pénétrerdans le site.

Les douanes choisissent Osny Il y a presque un an jour pour jour : les douanes inau-guraient leur data center géant à Osny. Le centre infor-matique douanier (CID) d'Osny peut se vanter deposséder l'un des sites informatiques les plus perfor-mants de l'administration française. Son vaste plan demodernisation a permis de doubler la superficie quipasse de 400 à 800 m2 et permet d'accueillir 176 sala-riés. Le CID offre désormais de nouvelles solutions d'hé-bergements informatiques aux douanes et à plusieursautres administrations. Dans le cadre de sa politique demutualisation, le site accueille les serveurs du minis-tère de la Justice, de la Culture et de directions deBercy. Un investissement de 11,2 millions pour mettre àl’abri des milliards de données.

Un projet ambitieux àChampagne-sur-OiseLe département porte un projet ambitieux avec laconstruction d'un data-center sur le site de l'anciennecentrale EDF de Champagne-sur-Oise. Ce centre destockage de données pourrait mesurer plus de 6000 m2.A échéance fin 2018, le département espère centraliserles données des universités et hôpitaux locaux, maisaussi de plusieurs conseils départementaux voisins, ouencore du conseil régional. A la clef, des économiespour les structures publiques pour l'heure contraintesd'entretenir leurs propres salles blanches, et la possi-bilité d'offrir des services numériques poussés aux col-lectivités qui auraient besoin d'appui pour entrer dansl'ère de l'e-administration. Un tel projet (qui a fait l’ob-jet de plusieurs études de faisabilité) s’élèverait à20 M€, un vrai pari qui devrait recevoir le soutien de larégion Ile-de-France, portée par l’ambition de dévelop-per les réseaux de télécommunications et d'économienumérique.

Free investit l’ancienbâtiment de la PosteA noter aussi que l’ancien centre de tri de la Poste àSaint-Ouen l’Aumône, d’une surface de 13 000 m2 setransforme en data center opérationnel (data center etcentre de production d’électricité). Online, filiale dugroupe Iliad, groupe français de télécommunication etmaison mère de Free, a acquis l’ancien centre de tri pos-tal. Baptisé DC5, installé sur 32 000 m² et quatre étages,il doit assurer la croissance sur la période 2017-2025 del'hébergeur.

Nedap : des innovations dans la sécurité des accès

Le Val d’Oise attire les Data Centers

En France, Nedap, filiale française d’un groupe néerlandais, est installée à Eragny etcompte 95 personnes. 750 collaborateurs y travaillent dans le monde dont près de 80 dé-veloppeurs attachés au service R&D. Les ingénieurs français ont eux-mêmes participé audéveloppement de cette nouvelle génération du logiciel pour mieux répondre aux besoinsdu marché local. Le groupe, qui intervient depuis plus de 30 ans dans la gestion desaccès, est aussi le premier fabricant européen dans l'antivol magasin, fournisseur de solu-tions RFID dans les bibliothèques, de solutions de comptage de fréquentation, ou encorede solutions d'optimisation et de gestion des places de parking.



DOSSIER

Sécuriser son entreprise, c’est aussi protéger sescréations et ses innovations. Dans un contexte for-tement concurrentiel et de plus en plus mondia-lisé, la propriété industrielle est devenue unoutil économique et stratégique de pre-mier ordre pour tous les acteurs éco-nomiques. Elle est aussi la vitrine dela créativité et du dynamisme d’uneentreprise. Se pencher sur la ques-tion est donc un véritable enjeu…

Si l’acte matériel de dépôt de brevet,de marque ou de modèle est au-jourd’hui accessible à tous, le travailen amont et en aval du dépôt requiertdes compétences techniques et juri-diques extrêmement pointues en matièrede Propriété Intellectuelle... Pour accom-pagner les entreprises dans toutes ces dé-marches, Stéphanie RITO a créé son cabinet deconseil en propriété industrielle début 2016, ens’appuyant sur de solides compétences. Après avoir faitses armes dans un cabinet parisien pendant 16 ans, ellerentre chez Vuitton comme directrice des droits en pro-priété industrielle pour toutes les marques du groupe(Céline Givenchy, Kenzo, …) “Mes missions étaientpassionnantes, mais je ne me retrouvais plus dans cettefrénésie carriériste et j’ai donc réfléchi à la possibilitéde créer ma propre structure de conseil en propriété in-dustrielle sur le Val d’Oise. Aucune offre de ce typen’existait jusqu’alors pour accompagner les start’upsou les PME valdoisiennes dans leur stratégie, en Franceou à l’international.” Comme le rappelle Stéphanie RITO,une marque engage la notoriété d’une entreprise. C’est

pourquoi, la protéger reste le meilleur moyen de pré-server sa crédibilité et son sérieux, de contrô-

ler les utilisations qui peuvent enêtre faites. Une entreprise qui

aura su verrouiller tousces aspects augmen-

tera aussi laconfiance des in-v e s t i s s e u r s .“ N é a n m o i n s ,mon approchereste très prag-matique : il estvrai qu’un brevetvalorise l’entre-

prise et son pro-duit, mais cela

représente aussi uninvestissement puisque

le coût n’est pas négligea-ble. Avant de se lancer, nous

étudions ensemble, avec le client, sicette solution est réellement la plus adaptée pour luien terme de rentabilité, quelles sont les perspectivesde développement du produit, quelle est la taille dumarché... Parfois, verrouiller certains accords de confi-dentialité peut suffire pour sécuriser l’environnementjuridique.” Stéphanie RITO accompagne ses clients dèsla naissance du projet. Elle sensibilise aussi les diri-geants sur les mesures préventives à mettre en placeen entreprise en matière de gestion des données pourparer à tout risque d’espionnage industriel, une réalitéqui ne concerne pas que les grandes entreprises.Tél. : 01 30 37 86 20 - www.rito.fr

Cabinet Rito : mode d’emploi pourprotéger son idée ou sa marque

Le Club des Directeurs de Sécurité

& de Sûreté des Entreprises (CDSE)

a été créé il y a plus de 25 ans

pour fédérer les expériences des

professionnels de la sécurité et de

la sûreté au sein des entreprises. Il

est un lieu d'échanges, de connais-

sances, de partages d'expériences

et de coopération entre les diffé-

rents responsables et rassemble

des entreprises privées et pu-

bliques représentées au sein du

club par leur Directeur

Sécurité/Sûreté. Les groupes qui y

sont impliqués disposent ainsi d’un

outil de veille régulièrement mis à

jour sur des questions juridiques,

d’identifications des menaces et

d’Intelligence économique et d’outils

de formation et de sensibilisation

sur les questions relatives à la sé-

curité d’entreprise. Les adhérents

sont très majoritairement de grands

groupes : ADP, Air France, Airbus

Helicopters, Atos, Clarins, Dassault

Systems, la Poste, Vuitton, Veolia.

www.cdse.fr

CDSE :un club pour mutualiser lesapproches


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InfosACE

Comme chaque année, le Club ACE (Action Cergy-Pontoise Entreprises), rejoint par l’AIBT (associa-tion interentreprises des bassins territoriaux duVal d’Oise) et les FCE 95 (Femmes chefs d’entre-prise) organise un moment de partage à l’occasionde la journée internationale du droit de la femme.Le mardi 10 mars dernier (date volontairementdécalée de 2 petits jours pour faciliter l’organisa-tion des participantes), 120 représentantes val-doisiennes issues du monde de l’entreprise, de lapolitique ou des milieux associatifs ont réponduprésentes pour ce déjeuner 100% féminin.

L’événement est toujours un moment de détente etde partage, une bouffée d’oxygène dans une vie pro-fessionnelle bien remplie. Cette année, c’est à laBastide, au cœur de la forêt de Méry sur Oise, que lacentaine de représentantes valdoisiennes a pu profi-ter de ce cadre privilégié et d’un buffet trois étoiles,avec les ateliers saumon et Bruschetta du traiteurNationale 7 qui a assuré la restauration.La société Accord Parfait (Conseil en image) a égale-ment apporté sa participation pour la mise en placed’animations bien-être et beauté. Plusieurs profes-

sionnelles ont tenu desateliers de 12h à 15h,initiative très appréciée.Tout était prévu pourprendre soin de soncorps et de son esprit. Marie-Noëlle MOAL de Nu Skinet Julie NASRI de We are Biotiful, proposaient desproduits de beauté, pendant que Sylvie HERFRAY prodiguait des conseils en coiffure et qu’Aurélie SENECAL du Moodies, embellissait les ongles des par-ticipantes. Nadège GROSS d’Accord Parfait était pré-sente pour donner des conseils en image et réaliserdes tests de colorimétrie tandis que Nathalie DUPUISd’Indécize, présentait sa collection de vêtements mo-dulables. La santé était aussi en question avec la naturopatheSabine PETIT, professionnelle en prévention-santé etJean-P. LINARD de Fulll’ N Fit, qui initiait les volon-taires au fitness boxe. Pendant que trois masseuses,Angélique BAERT, Marie-France LAMOURETTE etSandrine TOUCHART, sollicitées de toute part, enchaî-naient les sessions, d’autres ont pu profiter des talentsde Maryse GOURVENEC en réflexologie plantaire. Pour prendre de la distance avec les tracas quoti-

diens, Audrey SEMAR proposait une initiation à la so-phrologie ; Catherine SEXTON auteure de « Réfléchirautrement - agir pleinement » et Alexandra PASQUERSCHUDER auteure des « Tamalous », offraient une ré-flexion autour des thèmes de leurs livres (liés auchangement de vie) qui ont suscité beaucoup de dis-cussions animées. Enfin, pour les plus gourmandes,Alexandra SMADJA de Ma boîte à gâteaux, animaitun atelier cupcakes. Les retours de l’ensemble des participantes ont ététrès positifs, une belle récompense pour nos interve-nantes, qui ont offert 3 heures de prestations dansune ambiance chaleureuse et conviviale. D’année enannée, le nombre d’inscrites ne cesse de croître. Signeque l’événement rencontre un succès certain !

Club ACE : 01 34 25 97 08,AIBT : 01 30 40 77 37FCE 95: 06 08 67 15 68

Le club a organisé le mardi 25 avril une visite de lasociété MR Cartonnage (Saint-Ouen l’Aumône), spé-cialisée dans la création et l’impression d’étuis pourles plus grandes marques de parfum, cosmétiques,vins et spiritueux françaises et internationales. Icitout est numérique, une spécificité quasi unique aumonde, qui permet au groupe d’imprimer des proto-types et de petites séries en étant ultra réactif. A latête de cette très belle PME, Jonathan MIHY, nouveladhérent, nous a fait décou-vrir le savoir-faire de son en-treprise, qui ne cesse de sedévelopper depuis sa créa-tion en 2009 et compte au-jourd’hui 37 salariés. Portantune stratégie d’investisse-ments constants, le dirigeanta fait l’acquisition d’unepresse numérique nouvellegénération, capable de tra-vailler de grands formats.MR Cartonnage est une desrares entreprises à posséderen France une telle machine.Pour financer cet achat, BPIest rentré au capital de l’en-treprise à hauteur de 25%.

Jonathan MIHY, toujours un temps d’avance, a déjàd’autres projets en tête pour la suite et table sur unchiffre d’affaires 2017 – 2018 de 5M€. Cette visite aété l’occasion de faire plus ample connaissance avecce dirigeant très dynamique, également président duclub de handball de Cergy-Pontoise.Tél. : 01 30 37 32 47 - [email protected]

MR Cartonnage ouvre ses ateliers de fabrication

01 34 25 97 08Une pause au féminin

Mardi 6 juin à 19hSoirée du réseau Coaxion“L’optimisme, une énergie à redécouvrir”animée par Philippe GABILLIET, pro-fesseur ESCP Europe au ThéâtreMadeleine Renaud à Taverny

Vendredi 9 juin de 12h à 14h Ice Party à l’Aren’Icevisite des coulisses et initiation à la glisse

Lundi 12 juin à 18hAG Initiactive 95

Vendredi 16 juin de 13h à 23hTrophée de Karting Paul ParcilliéRacing Kart de Cormeilles en Vexin : (pour la recherche contre laMucoviscidose), avec le Rotary Club dePontoise.

Jeudi 22 juin à 17h30Visite des extérieurs de l’hôpital RenéDubos de Pontoise à la rencontre desprofessionnels de santé (Bâtiment Femme-Enfant: maternité, réanimationnéonatale, SAMU/SMUR, Cardiologie, Imagerie)

rrière, directeur des Broches du Vexin

Ça c’est passéà

vos

agen

das


Avril-Mai 2017 – n° 147 – Contact Entreprises 11

Le mardi 2 mai prochain le club programme unAfterwork au Forum de Vauréal, à l’invitation d’AurélieVANDEN BORN, adhérente, responsable relations pu-bliques en charge du développement culturel de cettesalle, où circulent toute l’année des artistes de renomcomme des talents prometteurs. A partir de 18h,Aurélie nous recevra pour nous faire visiter et décou-vrir le lieu (amené à être intégralement reconstruitd’ici l’année prochaine), en présence de deux élus :Sylvie COUCHOT, maire de Vauréal et vice-présidentede la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise en charge de la culture et Jean-Paul JEAN-DON, maire de Cergy et vice-président de la CACP encharge du développement économique. Pour cetterencontre, notre hôte nous réserve un concert privéavec le groupe jazz/soul/funk Funkable, dont les mem-bres sont issus du Conservatoire de Cergy. Contact : 01 34 25 97 08 - [email protected]

Afterwork musical au Forum de Vauréal

Infos ACEClubACE95

Suite au succès des précédentes sorties culturelles,Evelyne BOURDIN de l’agence Scriba Conseil, adhé-rente du Club ACE, propose une balade à Paris à tra-vers “les lieux de pouvoir”, le Samedi 1er juillet 2017,à 14h30. La conférencière, Valérie SALESSY, acréé en 2008 l’Art et la Manière pour partager sapassion de l’art et de l’histoire de l’art. Elle pro-pose des visites de qualité, avec un ton libre,convivial et accessible, pour faire découvrir ouredécouvrir des musées parisiens, des expositionsincontournables ou des lieux rares. Pour cette es-capade parisienne, elle propose un riche parcoursarchitectural, qui mène de la cour carrée duLouvre à la place de la Concorde en passant parle Palais royal et ses jardins. La promenade sepoursuivra rue de Rivoli pour voir le jardin desTuileries, les quais de la Seine et la place de laConcorde, afin de brosser un large panorama des

lieux de pouvoirs parisiens. Un itinéraire au coeur dela capitale et un grand voyage dans le temps !

Contact : Evelyne BOURDIN, 01 30 38 84 42 [email protected]

Découverte des “lieux de pouvoir” au cœur de Paris

Ferez-vous partie du premier convoi valdoisien ? LeGrand Prix Meule Bleue, qui a démarré en Vendée,rassemble depuis plusieurs années des centaines dedirigeants, venus de toute la France. Cet événementest rapidement devenu un remède anti-crise dontl’engouement est national, grâce à son concept dé-calé. Les chefs d’entreprise enfourchent leur meule(mobylette emblématique des années 60/70) pourune course rétro de 40 km, et arborent un look vin-tage, coiffés d'un casque rose et parés d'une cape !Après une première participation aux Sables d’Olonne,séduit par cette initiative qui sort des sentiers battus,Frédéric ANFRAY, dirigeant de la société Madicob(Groupe AGP), adhérent ACE et amateur de voitures an-ciennes, a imaginé décliner cette aventure originale etsurprenante à Cergy-Pontoise pour fédérer des diri-geants locaux, impliquer les salariés et valoriser l’imagedu territoire. Le club ACE a décidé de soutenir la dé-marche et a activé son réseau pour appuyer cette ini-tiative. L’idée est de mobiliser un maximum de chefsd’entreprise autour de cette manifestation, relayée parde nombreux réseaux d’entrepreneurs du Val d’Oise (FFB95, CPME 95, BNI Hermès….). La date choisie est le 7 juil-let 2017, avant la grande édition nationale qui aura lieules 16 et 17 septembre au Mans.

De nombreux partenairesLa Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise s’est associée à l’événement et parti-cipe activement à la mise en place du parcours(30 km environ) qui verra convoyer les moby-lettes. Neuf villes de l’agglomération (Cergy,Courdimanche, Vauréal, Menucourt, Jouy-le-Moutier, Neuville, St-Ouen l’Aumône, Pontoise,Boisemont) sont concernées par le passagedes meules, qui prendront la direction de lieuxemblématiques comme l’Axe Majeur, l’Aren’ice,les 12 colonnes, le Campus St-Christophe, PortCergy et le Bois de Cergy, le Campus Veolia, lesremparts de Pontoise, l’Abbaye Maubuisson ouencore le château de Grouchy.

Autre acteur majeur partie prenante de l’événe-ment : le groupe Yamaha Motors France, qui a ac-cepté de joué le jeu. La course partira du siège socialà St-Ouen l’Aumône, après un déjeuner offert parle groupe et la visite de son musée privé, qui pré-sente l’ensemble des modèles et collections com-mercialisées par Yamaha Motors, ainsi que lesmotos qui ont pris le départ du Dakar.Pour faire de cette journée un succès, les organisa-

teurs invitent les dirigeants à les rejoindre en tantque pilotes ou bénévoles (pour aider à la mise enplace logistique). Ils recherchent également des vé-hicules anciens utilitaires qui pourraient jouer lerôle de voitures balais et emmener les mobylettesen panne.

Inscrivez vous auprès de Frédéric Anfray, [email protected] et Virginie Paviot au01 34 25 97 08 – vpaviot@mfpromotion

À venir…

Présentation par Philippe MAINDRON, qui chapote l’événement au ni-veau national, lors de la réunion d’informtion du 24 avril dernier à l’hô-tel d’agglomération

Le Club ACE co-organisateur des“Meules bleues” le 7 juillet 2017


Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises12

N o u v e a u xA d h é r e n t s

David CRUCHON, qui a évolué toute sa carrière en tant que commercial, est conseil-ler pro en téléphonie et fourniture d’accès internet, pour la société Smart Télécom.Implanté à St Ouen L’Aumône, depuis plus de 16 ans, Smart Télécom est un instal-lateur privé en téléphonie de nouvelle génération dédié aux TPE et PME. Cette so-ciété à taille humaine, assiste les entreprises dans le développement de leurtéléphonie fixe, mobile et leurs accès à internet. Elle conseille et accompagne à lamise en place de ces outils innovants, propose une installation offrant les meil-leures garanties de disponibilité, de performance et de sécurité, quelle que soit la

localisation (Fibre, 4G, ...). Son approche 100% Cloud, permet de bénéficier de services habi-tuellement réservés aux grandes entreprises. Membre actif de la CPME 95 et du BNI 95, DavidCRUCHON, passionné de nouvelles technologies, de photographie, de musique, est à présentmembre du Club ACE. Tél. : 01 34 02 44 04 – [email protected] - www.smart-telecom.fr

David CRUCHON - Smart Télécom

Diplômée de l’école supérieure de commerce de Reims, Anne LE GAGNEUX (53 ans)cumule jusqu’en 2015 différentes fonctions dans l’industrie, notamment en com-munication et marketing. En février 2016, elle décide de reprendre l’imprimerie IN-TERPLANS, basée à Pierrelaye. La société est spécialisée depuis 1975, dans l’imprimerie offset et numérique, detous supports (papier, pvc, adhésif…) et de tous formats (roll’up, plaquette, en-seigne, carte de visite…). Composée d’une équipe de 11 salariés, à l’écoute et réac-tifs, Interplans propose un accompagnement global, du conseil à la livraison, jusqu’àla pose si nécessaire. Spécialiste du document professionnel, l’imprimerie assure

toutes les finitions dans un délai optimal et offre une personnalisation des supports publici-taires (vitrine, présentoir, véhicule…). L’atelier de fabrication locale, est certifiée depuis plus de10 ans éco-responsable et témoigne de son engagement au niveau environnemental avec lamarque Impim’vert. Violoncelliste et passionnée de jardinage, Anne LE GAGNEUX, a rejoint lesmembres du Club ACE afin de partager son expérience. Tél. : 01 30 37 48 07 - [email protected] - www.interplans.fr

Anne LE GAGNEUX - Interplans

Assistante de direction depuisplus de 20 ans, StéphanieMARIA, 41 ans, met son exper-tise au service des entrepre-neurs en proposant desprestations d’assistante de di-rection à temps partagé depuis2012. AXE PME, qui compte

une seconde collaboratrice, intervient sur sitepour apporter des solutions administrativesglobales à ses clients, avec des niveaux deservices adaptés aux besoins des dirigeants :gestion administrative, préparation des do-cuments (pour transmission aux cabinetscomptables), gestion des contrats fournis-seurs et clients, process, organisation….Chaque mission est personnalisée afin de dé-charger le chef d’entreprise et de créer aveclui une vraie relation de confiance. AXE PMEpeut aussi intervenir le temps d’un rempla-cement ou former une assistante fraiche-ment arrivée sur un poste. Stéphanie MARIAtravaille en réseau avec de nombreux parte-naires (banques, experts-comptables, avo-cats…), une vraie force, et intègreraprochainement de nouveaux locaux au seinde la Maison du Conseil, à Pontoise, qui varassembler des services dédiés aux entrepre-neurs. Impliquée sur le territoire, riche denombreux contacts, cette passionnée dedanse a rejoint cette année les Prud’hommeset fait déjà partie de plusieurs réseauxcomme EVO 360 ou les FCE 95.Tél. : 09 80 90 46 31 [email protected]

Stéphanie MARIA -Axe PME

Diplômé d’un bac+2, Thierry RAYEMAMBY (41 ans) a commencé sa carrière en tantque responsable de sécurité. En 2008, il s’implante à Cergy pour ouvrir sa société,Trag Sécurité. Spécialisée dans la prévention et la sécurité, Trag Sécurité accom-pagne les entreprises, en analysant et en répondant à leurs besoins spécifiques. Elleoffre des solutions adaptées en terme de sécurité incendie, sûreté, sécurisation demanifestations. Elle dispose de moyens humains et technologiques fiables et mo-dernes en matière de gardiennage et de surveillance, et met à disposition uneéquipe de professionnels diplômés et formés en interne (ssiap/cqp /aps). Trag sé-curité offre des solutions clés en main, qui prennent en compte les contraintes et

les spécificités du secteur d’activité, pour “le goût du service et le sens du travail bien fait”. Enplus de ses responsabilités d’auto-entrepreneur, Thierry RAYEMAMBY, passionné de karatéshindokai et de basket, est aussi gérant de RGS Services (spécialisée dans le secteur du net-toyage courant de bâtiment) et de GLJ Conseil (spécialisée dans le conseil en gestion).Tél. : 01 75 81 58 75 – [email protected] - www.trag-securite.com

Thierry RAYEMAMBY - Trag Sécurité


13Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises

Un profil atypique, c’est ce que l’on retient de Sylvain LECHATTON, dirigeant de la société Add-On Consulting,créateur de plusieurs entités sœurs (M2M, MA2 et OnyxVision). Pas de cravate, un style plutôt décontracté, maisaussi une autre vision du management et de l’entreprise.Adepte de l’informatique “usuelle”, il commence dans lemétier en mettant en place des applications permettantde mieux gérer les licences de l’Association Sportive deCourdimanche qu’il crée et au sein de laquelle il s’im-plique. “J’ai monté un réseau complet à l’occasion desportes ouvertes du club, c’était en 1997. Tout est parti delà. Deux ans plus tard, j’ai créé Add-On. Aujourd’hui, legroupe compte 4 sociétés, une trentaine de personnes etprès de 1300 clients : des institutionnels et collectivitéscomme le conseil départemental ou la mairie d’Enghien,des entreprises telles que Fayolle, mais aussi le Ministèrede l’éducation et de l’intérieur ou l’institut Montsouris.”

Pas de mauvaises surprisesL’entité historique, intervient sur plusieurs métiers : instal-lation et intégration de systèmes informatiques, serveurs etréseaux ; hébergement (data center) ; intercon-nexion des sites entre eux ou à un data center, avec, entoile de fond, une prise en compte permanente de la sécu-rité des données informatiques. “Nous proposons à nosclients des plans de continuité ou de reprise d’activité, ainsique des plans de sauvegarde, en cas de pertes de don-nées. Il ne faut pas s’y fier : posséder deux disques durs negarantit pas tout et beaucoup d’entreprises, peu vigilantes,risquent de se retrouver dans des situations critiques.Grâce à l’arrivée de la fibre, les transferts sont égalementbeaucoup plus rapides. Avec un outil comme Dropbox,OneDrive, Hubic ou d’autres, l’utilisateur accède rapide-ment à ses données. Le système synchronise en arrière-plan l’ordinateur, sauvegarde en temps réel et donnefacilement accès à l’historique des versions et des sauve-gardes. Notre rôle est d’assurer l’interface entre l’outil etl’utilisateur, de l’aider à intégrer ces évolutions pour uncoût réduit.” Add On propose en complément des systèmesde box cryptor, logiciel qui crypte les données, mais aussides solutions de firewall pour sécuriser les réseaux, éviterles intrusions ou les évasions de données, faire barrage

aux crytolockers (cheval de troie de type ransomwear) quiinfectent les ordinateurs et rendent illisibles les fichiers.

Elargir le champ des activitésSylvain LE CHATTON a lancé en début d’année une autreactivité, Onyx Vision qui développe une activité de gros-siste, en revendant du matériel de vidéosurveillance etcontrôle d’accès auprès de distributeurs, revendeurs ouinstallateurs. En à peine trois mois, la jeune société a dé-passé les objectifs fixés. M2M Factory est quant à elletournée vers des activités de sécurité. L’équipe dirigeantese concentre désormais sur le développement de MA2,déclinaison PME et collectivités des solutions construitespar M2M Factory. En parallèle, le dirigeant travaille de-puis plusieurs mois sur un tout autre projet d’envergure :la construction d’un bâtiment à Vigny, véritable pôle éco-nomique regroupant l’ensemble de ses activités et in-cluant des services annexes : crèche, espace deco-working, traiteur et salle de restauration. L’ensemblereprésente un investissement de 4,5 M€. Le permis a étédéposé début avril et la livraison est prévue à l’été 2018.En attendant, la société est hébergée à la Somag pourdeux ans, après avoir quitté ses locaux à la campagne,initialement basés à Cléry en Vexin. “J’ai personnelle-ment connu les problèmes de garde, souligne le dirigeant.Pour les gens qui travaillent, ce service offrira la possibi-lité de déposer son enfant avant d’aller s’installer au seinde l’espace de co-working. Le site peut être aussi uneétape avant de se rendre sur son lieu de travail en ho-raires décalés pour éviter les embouteillages.”

Manager autrementChez Add On, tous les actionnaires font partie de l’entre-prise et ne perçoivent aucun dividende : tout est réinvestiintégralement. “Nous ne nous fixons pas d’objectif spéci-

fique, mais nous faisons de notre mieux pour progresser.”La formule semble fonctionner, avec une croissance du chif-fre d’affaires de 10% chaque année. Membre du CJD, issudu monde associatif, Sylvain LE CHATTON a toujours eu entête de construire une entreprise avec les autres. “Au dé-part, je fonctionnais sur la base d’un organigramme plat.Mais j’ai évolué dans ce domaine car le schéma de l’en-treprise libérée présente des limites. Les gens extérieurs àAdd On avaient du mal à identifier qui était le patron, ce quin’était pas toujours bien perçu. Notre modèle décisionnela changé. Il y a aujourd’hui des directions bien identifiées,avec des managers autonomes et beaucoup plus de trans-versalité. Chacun sa part de responsabilité, il faut savoirdéléguer et transmettre, car le temps n’est pas multiplia-ble. Chez Add On, nous cultivons le droit à l’erreur, tout lemonde peut se tromper et a la possibilité de s’exprimer. Jetiens aussi à entretenir l’esprit d’équipe, avec l’organisa-tion, chaque année, d’une journée cohésion qui rassemblel’ensemble des collaborateurs autour d’activités ludiques(canoë, paint-ball…).”

Parallèlement, Sylvain Le Chatton s’investit danssa commune de l’Oise, s’engage auprès desapprentis d’Auteuil pour l’éducation des jeunes,soutient un festival écolo à Nucourt, plusieursclubs sportifs (auxquels adhèrent ses salariés)et préside le CESE 95. Le dirigeant et sonéquipe multiplient les projets et prévoient en-core de nouvelles embauches dans les mois àvenir. Son business se porte bien avec une pro-jection du chiffre d’affaires en croissance conti-nue et l’ambition d’atteindre les 10 millionsd’euros sur l’ensemble des entités en 2018.

Add On est née un an avant le bugde l’an 2000. Opérateur, intégrateuret hébergeur, la société apporte sonexpertise de l’outil informatique àses clients, en proposant dessolutions pour sécuriser lessystèmes. A la tête de cette bellePME localement bien implantée etanimée par un esprit jeune, onretrouve Sylvain LE CHATTON,dirigeant innovant, impliqué, féru denouvelles technologies mais attachéà un cadre de vie rural et à ladéfense des valeurs humaines dansl’entreprise.

Add On Consulting :projet d’envergure à Vigny

Activité : Opérateur, intégrateur et hébergeur informatique - Effectif : 30 personnes - CA : 10 M€Adresse : Im. SOMAG - 16 rue Ampère à Pontoise - Tél 01 34 35 36 90 - http://www.addon.fr

entreprise du mois


14 Avril-Mai – n°147 – Contact Entreprises

Quel est votre parcours ?J’ai eu un cursus scolaire un peu chaotique… Passionnéde mécanique automobile, je passais mon temps à ré-parer les mobylettes et je voulais m’orienter dans cettevoie. On m’a dirigé vers un CAP en électromécanique,qui n’avait, en réalité, rien à voir avec la mécanique telleque je la concevais. Etant de profil technique, j’ai dé-couvert cette filière qui m’a plu malgré tout, et j’ai en-suite poursuivi vers un CAP en dessin/constructionélectrique. En 1972, j’ai démarré dans le monde du tra-vail, chez Schneider, avant de passer 15 ans dans unepetite entreprise d’électricité au Bourget, où j’ai graviles échelons (dessinateur en bureau d’études puisconducteur de travaux, chargé d’affaires…). En 1986,j’ai intégré un nouvel employeur, mais je n’y ai pas trouvéce que j’attendais et, quelques mois plus tard, j’ai créémon entreprise à Persan, SGEA. J’ai pris le risque dequitter une bonne place, mais je ne m’imaginais pas res-ter 20 ans dans la même structure. Evidemment,lorsqu’on se lance, les débuts sont difficiles, on se posemille et une questions sur la viabilité de son projet. Créerune entreprise demande un investissement personnelimportant pour réussir, cela passe par certains sacrifices.J’ai arrêté de porter une montre et de compter montemps à partir du moment où je suis devenu dirigeant !

Comment votre activité s’est-elle développée ?Au départ, j’ai reçu le soutien d’un confrère valdoisienqui m’a épaulé lorsque j’ai démarré mon activité enélectricité et maintenance industrielle et tertiaire. Troisans après, alors qu’il partait à la retraite, j’ai repris sonaffaire (SEG Val d’Oise), puis j’ai racheté progressive-ment plusieurs sociétés parmi lesquelles DEAI dansl’Oise) et créé un Bureau d’études (ACDE), ce qui nousa permis d’être actifs sur toute l’Ile de France grâce àune équipe d’une trentaine de personnes. L’entrepriseest rapidement devenue une vraie PME. J’ai ensuite re-groupé l’ensemble des activités à Bernes sur Oise.

Durant toutes ces années, nous avons formé une quin-zaine d’apprentis et travaillé pour des clients impor-tants : Hutchinson, MBDA, SNCF, Veolia, ADP… Il y adeux ans, j’ai souhaité céder mes activités pour ne gar-der que la partie BE. Aujourd’hui, je n’ai plus de salariés,je suis seul à mon compte, ce qui me permet de meconsacrer pleinement à mes différents mandats.

Quand avez-vous commencé à vous impliquerdans les organisations professionnelles ?Je me suis toujours investi, c’est dans ma nature ! Petit,j’étais délégué de classe, à l’armée, chef de chambrée,puis, quand mes enfants ont été scolarisés, je suis de-venu parent d’élèves… Après avoir créé l’entreprise,j’ai adhéré à la Fédération Française du Bâtiment et j’aiété nommé trésorier. J’ai donc beaucoup côtoyé mesconfrères et de cette manière, j’ai pu être en contactavec des dirigeants désireux de céder leur entreprise etainsi saisir certaines opportunités de reprise. J’ai en-suite été vice-président de la FFB 95 puis délégué ré-gional afin de représenter les métiers de l’électricité etje siège toujours à la FFIE (Fédération française des en-treprises de génie électrique et énergétique) et à laFFB95. Après avoir été administrateur de la CMA 95 du-rant 11 ans, j’ai été élu président il y a 6 mois. Je prendsle temps nécessaire pour connaître les gens, les diffé-rents services et amorcer le programme ambitieux quenous avons porté lors de la campagne.

Quels sont les grands axes de cette mandature ?Plusieurs points me préoccupent et notamment la ques-tion de l’apprentissage. Aujourd’hui, nous enregistronsune baisse des effectifs dans nos centres de formationd’apprentis, notamment dans certaines filières comme lacoiffure, le service en salle, alors que les employeurs sonten demande et qu’il y a pour les jeunes de vraies pers-pectives de carrière et de salaire. Nous travaillons ac-

tuellement au projet d’agrandissement du centred’Eaubonne qui va être rénové et devrait multiplier pardeux sa capacité d’accueil en s’ouvrant à d’autres for-mations. Nous voulons également anticiper les besoinsen nous positionnant sur des filières qui auront des be-soins à l’avenir. Afin d’améliorer nos services à destina-tion des ressortissants, nous travaillons avec les CMA du93 et 77 à l’ouverture d’un bureau sur la plateforme aéroportuaire de Roissy pour apporter une présence surcette zone en plein développement économique. Je sou-haite également interpeller les pouvoirs publics sur l’ubé-risation des métiers, la défense de la qualification et del’excellence artisanale car nos artisans sont porteurs d’unsavoir-faire qui ne s’improvise pas. La reprise d’entrepriseest également un sujet important et dans ce cadre, nousréfléchissons, avec l’université de Cergy, à une formationde repreneur, pour encourager les patrons dans cette voie.

A la CMA comme dans son entreprise, Jean-Louis Orain accueille positivement toutes lesidées et garde la porte de son bureau ouverte,à l’écoute des équipes. Il souhaite jouer plei-nement son rôle de président, être présentpersonnellement et faire parler des projets del’institution à l’extérieur. Golfeur durant sontemps libre, il est également président duLyons club de Roissy Pays de France, à traverslequel il s’investit dans le cadre de nombreusesactions, notamment Tulipes contre le cancer,en lien avec l’hôpital Gustave Roussi, cause quilui tient à coeur.

Elu en novembre dernier, Jean-Louis Orain, 62 ans, est un artisan pure souche, homme de terrain, lui-même issu de l’apprentissage. Engagé pour un seul mandat, il s’investit pleinement dans ses missions : l’apprentissage, la qualificationdes artisans ou encore la question de l’ubérisation de certainsmétiers sont autant de sujets qui lui tiennent à cœur et pourlesquels il entend personnellement s’engager. Actif, convivial,le président ne compte pas son temps, avec l’envie d’apporterun souffle nouveau pour défendre les métiers de l’artisanat.

homme du mois

Jean-Louis Orain, président de la Chambre de Métierset de l’Artisanat du Val d’Oise

Activité : Services au artisansEffectif : 150 personnes à la CMA95100 personnes au CFAAdresse : 1 avenue du Parc à Cergy - Tél. : 01 34 35 80 00 - www.cma95.fr



ENTREPRISES

PARTENARIAT : les premières lunettes imprimées en 3D sont valdoisiennesErpro & Sprint viennent de signer un parte-nariat avec une jeune entreprise pro-metteuse. Glass’Yourself lance uneoffre de montures de lunettes per-sonnalisables et en édition limitée. Un projet rendu possible grâce àla fabrication additive (impres-sion 3D) et au savoir-faired’Erpro & Sprint. La fabrication additive réinvente lesecteur de l’industrie en lui offrant denouvelles perspectives de croissance.Nombreuses sont les entreprises qui in-tègrent cette technologie dans leur pro-cessus de production à l’instar deGlass’Yourself. L’aventure de cette petite entre-prise Roubaisienne venue du Nord de la France a com-mencé début 2015 grâce à une équipe composée d’unentrepreneur, d’un technicien, d’une infographiste etd’un designer, vite rejoints par un développeur. Leuridée : proposer de belles lunettes et laisser libre coursà l’imagination de l’opticien ou du particulier pour créersa propre collection de lunettes grâce à l’impression 3D.Cette jeune pousse entrepreneuriale, avec l’aide d’Erpro& Sprint, spécialiste de leader dans le domaine de l’im-pression 3D, basé à Saint-Leu, s’est tournée vers la fa-brication additive pour réaliser ses montures de lunettesen édition limitée et personnalisables. L’entreprise estpartie d’un constat : il n’est pas toujours si facile detrouver une monture adaptée à la forme de son visage.

Sa démarche ambitieuse l’a amenée àemprunter les chemins de l’innova-

tion. Elle dispose désormaisd’une offre différenciée et nou-

velle qui lui permet de s’im-poser sur le marché del’optique. L’idée est d’allerau delà des limites fixéespar les techniques de pro-duction classiques grâce àla fabrication additive. Le

frittage laser de poudre poly-mère est la technique choisie

pour fabriquer les lunettesGlass’Yourself. Elle a pour avan-

tage de produire des lunettes au sque-lette ultra léger et résistant. Le temps de

fabrication est considérablement réduit par rapport auxoutils traditionnels. Les montures s’adaptent parfaite-ment à la physionomie de chacun et permet au consom-mateur de satisfaire ses besoins individuels.La start-up s’appuie sur un partenaire aguerri dans sondomaine : l’an dernier, Erpro qui a réalisé des guidonsimprimés en 3D pour les JO de Rio destinés aux cy-clistes de la délégation française, à partir d’aluminium.La PME valdoisienne travaille par ailleurs pour de nom-breux secteurs de l’industrie, notamment dans l’aéro-nautique.Erpro & Sprint – Tél. 01 34 14 62 67http://www.glassyourself.com

L’IFA Chauvinorganise sonspeed-meetingde l’alternanceAprès le Speed recrut’ qui s’est déroulé le 26 avril au Théâtre 95, en lien avec le CESE 95 etl’Université de Cergy, au tour de l’IFA Chauvind’organiser son Speed Meeting le 1er juin, de8h30 à 13h. Cette 5e édition des SpeedMeetings de l'Alternance doit permettre de trou-ver son apprenti qui peut répondre à ses besoins.Chaque entreprise aura la possibilité de rencontrer jusqu'à 24 jeunes en une matinée quiauront 15 mn pour convaincre. L'année dernière,l’événement a attiré plus de 35 entreprises et124 jeunes le temps d’une matinée rythmée parplus de 350 entretiens. Depuis plus de 40 ans,l’IFA Chauvin forme chaque année près de 500 jeunes âgés de 15 à 25 ans, aux métiers dela vente, du commerce, de l’électricité, de l’électrotechnique, de la productique et à lamaintenance des systèmes de production. Du CAP au BAC + 3, tous les modules de forma-tions s’inscrivent dans le cadre des contrats d’apprentissage en alternance.I.F.A Chauvin Institut de Formation par Alternance, 22 Rue des Beaux Soleils à Osny Tél. : 01 30 75 38 38http://www.ifa-chauvin.fr


Avril-Mai – n°147 – Contact Entreprises16

ENTREPRISES

STIVO part à la rencontre de ses futurs collaborateursLa STIVO lance le “BUS METIERS” et vient à la rencon-tre des candidats. Au mois de mai, ils feront découvrirles métiers qui recrutent (conduc-teur, aide-vérificateur et contrô-leur). Les candidats aurontl’occasion de présenter leur profille mercredi 10 mai (en gare deCergy Préfecture de 10h à 16h), lelundi 15 mai (en gare de Pontoisede 10h à 16h), le lundi 22 mai (par-king de l’école Saint Exupéry, ruedu Vauvarois à Osny) de 10h à 16h.Les postulants doivent avoir 21 anset être titulaire du permis B. Ilspourront se voir proposer une for-

mation qualifiante pouvant déboucher sur un CDI. CV à adresser à [email protected]

Spie :cap sur la transition énergétiqueSPIE Île-de-France Nord-Ouest (Cergy) revoit son

organisation pour aborder les nouveaux défis que

constituent la transition énergétique et le déve-

loppement du numérique. La filiale entend deve-

nir un acteur moteur des villes et de l'industrie du

futur. Dans le cadre du projet d'entreprise de SPIE

en France « Ambition 2020 », SPIE Île-de-France

Nord-Ouest entend se positionner sur les offres à

forte valeur ajoutée dans l'ensemble de ses do-

maines d'activités. Son développement repose sur

l'innovation permanente (en intégrant le déploie-

ment de technologies et solutions numériques)

pour favoriser la digitalisation dans l'industrie, le

secteur tertiaire et dans le domaine du logement

(détecteurs de présence, luminaires à haut rende-

ment, gradation de l'éclairage en fonction de la

luminosité naturelle, automatisation des installa-

tions de climatisation et de chauffage, dispositifs

de sécurité…).

LaBBoite : stimuler l’innovation et la créativité Le FabLab de Cergy-Pontoise, LaBBoite, a ouvert sesportes le 29 avril sur le parvis de la préfecture. Il se veutun lieu d’apprentissage, de production, de partage,tourné vers l'innovation technologique, les expérimen-tations et la collaboration. Le site est doté de matérielsdernier cri de fabrication et de prototypage : impri-

mantes 3D, machines à commande numérique, outilstraditionnels et de nombreuses autres ressources. Ilcomprend des espaces de travail collectifs et indivi-duels, des salles de machines, un atelier de conception,des ressources documentaires mais aussi des espacesde détente, tous pensés dans un esprit d’ouverture, de

convivialité mais aussi de sécurité. LeFabLab va proposer une offre de forma-tion sur la culture numérique et techno-logique et mettra en vitrine lesréalisations des acteurs locaux. Ouvertà tous - entrepreneurs, étudiants, habi-tants, chercheurs, enseignants… - celieu entend stimuler la créativité et pro-duire de l’innovation.

Premiers mois d’ouverture : le mardi et jeudi de 14h à 18h; le mercredi et le vendredi de14h à 20 et un samedi sur deuxde 14h à 18hwww.labboite.fr


17Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises

Un mange-debout pour poser quelques plaquettes etune identification au nom de l’entreprise : c’est leconcept déployé par les organisateurs d’Effervescence.Simple, efficace, à la portée de tous les budgets. Pourcette 5e édition, le centre Cyrano a fait salle comble,particulièrement en milieu d’après-midi, après l’ouver-ture des portes aux visiteurs. “Lorsque nous avons dé-marré, se souvient Philippe ÉCRAN, Président del’ADPAVAB, les débuts étaient timides. Cinq ans plustard, le salon ne désemplit pas, c’est une vraie réussite.Chacun peut circuler, prendre des contacts, retrouverdes clients ou des connaissances professionnelles, sefaire connaître. Plus qu’un salon, Effervescence est de-venu un véritable speed-meeting informel.”Pour concrétiser cette journée, le comité de pilotage,constitué des présidents d’associations et des parte-naires institutionnels, a travaillé plusieurs mois duranten amont. “L’objectif a vraiment été atteint, préciseEmmanuelle DESTHIEUX, Chef de projet Développementdes entreprises et Affaires internationales au CEEVO.C’est une belle aventure partenariale, amenée à sepoursuivre. Tout le monde a collaboré pour le collectifVal d’Oise, avec un partage des tâches au niveau del’organisation, une belle concertation, une vraie cohé-sion. Tout ne repose pas sur les épaules d’une seulepersonne, chacun a eu un rôle bien défini : logistique,relations avec les institutionnels, invitations, mise en

place du concours… Nous allons prochainement nousretrouver pour débriefer et réfléchir à l’édition sui-vante.” Un nouveau défi s’annonce pour 2018 : trouverun endroit suffisamment spacieux, pourquoi pas sur leterritoire de Taverny Beauchamp, pour accueillir toujoursplus d’exposants et de visiteurs.

Ils étaient là…Durant cette journée, certaines entreprises ont particu-lièrement attiré l’attention des visiteurs, comme LSI,qui propose et développe un système de fuite d’eau in-telligent pour maîtriser ses consommations, automatiserd’anciennes installations et prévenir les dégâts deseaux. Le stand de la société n’a pas désempli.Autre personnalité attachante, celle de Stéphane, “biscui-tier impertinent” qui, revisite aujourd’hui les cookies, pro-pose du frais et du 100% fait main, avec des recettesoriginales et appétissantes. (www.lebiscuitierimpertinent.fr)Un peu plus loin, la société Ortho Futé a suscité l’in-térêt. En proposant une pédagogie différente des mé-thodes traditionnelles, l’entreprise met la phrase enaction dans l’espace et travaille en 3D pour mieux serepérer et s’approprier le fonctionnement de la languefrançaise. (www.orthofutepro.com).

De belles PME étaient aussi représentéescomme MR Cartonnage, spécialisée en impressionnumérique. Comme le souligne Maud TRICOT, attachéede direction, “l’équipe a apprécié cette journée et pri-vilégié les échanges entre exposants. Nous avons prisdes contacts intéressants avec certains, qui ont des be-soins en matière d’impression et avec lesquelles nouspourrions peut-être travailler.“La société Saturne Services, entreprise de propretéqui compte 900 salariés pour un chiffre d’affaires de

16M€ plébiscite également ce modèle derencontre, qui donne la possibilité de cô-toyer acteurs économiques et politiques.“Toutes les forces vives sont là, préciseChristophe FREVAL, cela est intéressantpour nous à deux niveaux : d’une part, nousprivilégions l’économie locale de proximitédans notre développement et cherchons àrenforcer notre maillage territorial; d’autrepart, les marchés publics représentent 35 à40% de notre chiffre d’affaires.”François WETTLING, société Cruis’r àSaint Gratien, spécialisée en mobilité élec-trique, retient principalement l’aspectconvivial et le dynamisme de cette journée: “J’y suis avec plaisir depuis le départ,pour revoir mes homologues, discuter, re-prendre contact, dans un esprit agréable etdécontracté.”

Un petit clin d’œil à Sylvio BIELLO (Parle Image àMontsoult) qui a tourné des images d’ambiance et réa-lisé des interviews toute la journée sur le salon. Bientôtvisible en ligne !

Un lauréat dans l’innovationLors de cette édition, le Prix Effervescence del’Innovation a été lancé afin de mettre en valeur les sa-voir-faire et le process des entreprises valdoisiennes.Cinq candidats ont tenté de convaincre le jury en unedizaine de minutes. La société Alcore Technologies(St-Ouen l’Aumône) dirigée depuis 1989 par ChristopheBERTHOLET, développe une spécialité dans l'aéronau-tique doublée d'un pôle d'excellence dans la robotiqueaérienne et dans les drones. La société s’est distinguée avec ses systèmes de dronesdédiés notamment à la surveillance du réseau élec-trique. Capables de parcourir 250 km, dotés de camé-ras embarquées, ces engins (qui peuvent décollerverticalement et voler comme des avions) réalisent desdiagnostics des lignes électriques, limitant les risquespour les équipes et permettant de restituer des donnéesprécises et exploitables pour mieux connaître le réseauet anticiper les opérations de maintenance.

Effervescence 2017 : Une très belle mobilisation des entrepreneurs

ENTREPRISES

L’événement a tenu ses promesses, en faisant leplein d’exposants (plus de 140 inscrits) et de visi-teurs (près de 400), pour cette 5e édition, qui s’esttenue à Sannois, au centre Cyrano de Bergerac, àl’occasion de la Semaine nationale de l’industrie.Industriels, entreprises de services issues de tousles secteurs, associations et organisations d’en-trepreneurs se sont mélangés durant cette jour-née. Les grandes entreprises ont, elles aussi, jouéle jeu, avec la présence d’acteurs majeurs tels quele groupe la Poste, de Cerba, Manutan, AGS ou en-core d’Atos… Initiée par l’ADPAVAB il y a 5 ans, la manifestationrassemble désormais tous les réseaux du dépar-tement (ACE, AIBT, Club des entreprises de Val etforêt, CEEVO, CCI95, MEVO, CPME95, FFB95,Comité Méca, FCE95, Communauté d’aggloméra-tion du Parisis, Mairie de Sannois…). La recettefonctionne bien grâce à une formule efficace etéconomique, une mobilisation sur une demi-jour-née qui permet aux dirigeants d’être présents etde représenter directement leur activité. Cetteréussite est aussi le fruit d’un vrai travail d’équipe,grâce à une implication de toutes les forces vivesdu département. Nouveauté cette année : la re-mise du prix innovation décroché par AlcoreTechnologie.

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18 Avril-Mai 2017 – n°147 – Contact Entreprises

Née en 2015, l’agencede communication

2.REZO, basée à Cergy,connaît, depuis sa créa-

tion, un développement vi-tesse grand V. L’équipe vient

de lancer une nouvelle structure,baptisée Val d’Oise Communication (VOC), pour propo-ser une offre destinée à une cible valdoisienne et fran-cilienne, à la recherche d’un positionnement plutôtinstitutionnel et corporate. L’équipe, issue de l’universdigital, revendique une parfaite maîtrise des outils webet du monde 2.0 (avec une expertise dans des domainestels que le community management, le web design, ledéveloppement web, le référencement…). Son offre à360° couvre tous les domaines de la communication,avec des solutions clé en main. Pour officialiser son lancement, l’agence organise qua-

tre formations pratiques, dédiées aux réseaux sociaux,pour découvrir les secrets de Facebook avec un expertcommunity manager de l’équipe de VOC, dans les locauxde l’ACCET (Cergy préfecture), les mercredi 10, 17, 24 et31 mai 2017, de 10h à 12h. Ces sessions (qui compren-nent deux niveaux d’expertise) sont gratuites, et ouvertesà toutes les entreprises qui souhaitent gagner en auto-nomie sur les réseaux sociaux. Pour créer le buzz et sen-sibiliser une cible locale, VOC va amorcer en parallèleune campagne de communication active dès le début dumoins de mai sur Facebook et LinkedIn. La société MFPromotion lui donnera également un coup de pouce auniveau des relations presse pour lui permettre de gagneren visibilité dans les media. Inscriptions obligatoires, places limitées à 10 personnesInfos et réservation sur www.valdoisecommu-nication.com/formation-reseaux-sociaux

ADP : un nouveau vaisseau amiral Le nouveau siège social du groupe ADP a été inauguréfin mars en présence d'Augustin de Romanet, son PDG.Situé en plein coeur de l'aéroport Roissy CDG, à égaledistance des terminaux 1 et 2, ce bâtiment est relié àParis via la gare RER Charles de Gaulle 1 et aux diffé-rents terminaux de l'aéroport via le CDGVal. Il s'étendsur une surface de 12 000 m2 et accueille 350 salariés.Le siège social fait partie d'un ensemble composé detrois bâtiments : le nouveau siège social du groupe ADP

proprement dit, un immeuble de bureaux de 13 000 m2et un centre d'activités et de services qui comprend no-tamment la nouvelle Maison de l'Environnement de l'aé-roport. L'immeuble de bureaux, Baïkal, sera achevé d'icila fin de l'année 2017 et sera loué à des entreprisestierces. Cet immeuble de cinq étages sera relié au siègesocial du groupe ADP par des terrasses qui dominentl'aéroport et le Concorde.

Le Maupertu, bientôt une boutique traiteur à PontoiseL’hostellerie du Maupertu, réputée pour sa cuisine fran-çaise de très bonne facture, situé 25, route d’Auvers, àPontoise, se lance dans un nouveau projet : l’ouvertured’une boutique traiteur et épicerie fine, prévue pour ledébut du mois de juin, rue de l’Hôtel-de-Ville. FlorentTierce, patron du restaurant gastronomique est à l’ori-gine de cette belle initiative. Le chef cuisinier a eu l’op-portunité d’installer sa boutique dans un localidéalement situé, obtenu grâce à l’aide de la mairie. Lesplats proposés seront confectionnés au sein du restau-rant par les chefs. Au menu : des produits haut degamme et de qualité, verrines, amuse-bouches, cana-pés, plats cuisinés… Tél. : 01 30 38 08 22 - www.maupertu.com

SébastienTHAVEAUprésident de laFFB 95Nicolas SABLIER vient depasser la main àSébastien THAVEAU à latête de la FédérationFrançaise du Bâtiment 95et va s’attacher à pour-

suivre les actions engagées par son prédéces-seur (lutte contre la concurrence déloyale, lafraude aux travailleurs détachés, les prix anor-malement bas et l’inadaptabilité du dispositifdu compte pénibilité). Pour cela, il entendcontinuer à développer les relations privilé-giées avec les instances politiques et institu-tionnelles du Val d’Oise, la représentativité et le nombre d’adhérents et rendre accessible aux PME le projet Grand Paris.

AstridTANELprend la di-rection d’ap-part'hôtelOlivariusCergy

Diplômée d'un master en tourisme, elle travaille pendant 10 ans chez Americanexpress voyages d'affaires, avant d'intégrerOlivarius, d'abord à la réception puis au service commercial. Suite au départ de sonancien directeur, elle se voit proposer, endébut d'année, la direction de l'établissement.Femme de réseau, très relationnelle, AstridTANEL a largement contribué à construire lanotoriété d'Olivarius, qui compte 130 apparte-ments spacieux amanégés autour d'un atriumde 1000 m2 agrémenté de véritables oliviers.

CARNET

ENTREPRISES

nouvelle entité dédiée aux acteurs locaux


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Sortir

Pour la saison 2017, Aventure Land (Magny) propose unenouvelle attraction pour tous les amateurs de sensationsfortes : le Vir’Express. Installé à 10 m de hauteur, les par-ticipants auront l’impression de voler à travers la forêtd’Arthieul, sur un parcours de 350 m. Le tout assis dansune sellette de parapente et suspendu à un rail. Il s’agitdu plus gros investissement (250 000€) jamais réalisédepuis l’ouverture du Parc en 2000. Outre cette nou-veauté, les petits auront également droit à leurs frissons,avec le Baby Aventure. Ils seront en élévation à trentecentimètres du sol. Le parc propose déjà plus de trenteactivités sur ses dix-sept hectares du parc. www.aventureland.fr

Accrobranche : toujours plus de sensations fortes

Le Temps des Jardins s’installe au domaine le samedi 3 et le

dimanche 4 juin de 11h à 18h. Une centaine de bénévoles,

habillés à la mode médiévale, Renaissance, Grand siè-

cle ou années folles, joueront de la musique dans les

jardins et entraineront les visiteurs dans un voyage

au cœur du parc. Ce sera également l’occasion de

découvrir des plantes médicinales du Moyen Age

et les orchidées qui fleurissent à Villarceaux.

Jusqu’à la fin du mois d’août, Michel Ame, apicul-

teur du domaine de Villarceaux partage avec les vi-

siteurs les secrets d’une ruche, de la naissance

d’une abeille à l’extraction du miel, (par petits

groupes de 10 à 12 participants, pour une découverte

théorique et pratique). Les samedis 20 et 27 mai à 14h30,

le samedi 10 juin à 14h30, le dimanche 11 juin à 10 heures,

les samedi 19 août et 26 août à 14h30.

Participation : 11 €, réservations au 01 34 67 74 33

La nuit tombe surle VexinJusqu’au 2 juillet, le Parc naturel ré-gional du Vexin français présente l’ex-position du Museum Nationald’Histoire Naturelle "Nuit" à laMaison du parc à Théméricourt. Petitset grands pourront découvrir ce mondeparfois un peu effrayant, mais telle-ment passionnant. Cette expositionvous emmènera à la rencontre du cielnocturne. Qu’est-ce qu’une étoile ? Lalune est-elle toujours là ? Le visiteurpourra aussi se promener dans uneforêt fictive pour y découvrir quelquesspécimens qui vivent la nuit.L’obscurité, depuis toujours, nourritl’imaginaire. Ses mystères, son senti-ment d’insécurité ont poussé l’hommeà donner vie à des créatures my-thiques telles que le vampire, le loup-garou…Tél. : 01 34 48 66 00facebook.com/Parc-naturel-regional-du-Vexin-français-Programmation-cul-turelle

Pissarro à l’honneur L’année 2017 célèbre Pissarro au tra-vers d’expositions inédites, d’ateliers,d’animations, de visites guidées. Laville de Pontoise propose de découvrircelui qui fut l’un des plus célèbrespontoisiens. Du 19 mars au 11 juin,deux expositions sont programmées :“Camille Pissarro – impressions gra-vées” au Musée Tavet Delacour et“Camille Pissarro et ses amis – im-pressions de l’Oise” au Musée CamillePissarro. Plusieurs visites guidées sontaussi proposées : “Sur les pas deGauguin, Cézanne et Pissaro”, les 14mai, 11 juin, 9 juillet, 13 août, 10 sep-tembre et 8 octobre à 14h30. A noteraussi le 20 mai, la conférence sur “lavie quotidienne à Pontoise au tempsde l’impressionnisme.” Contact : 01 30 38 02 40

Découverted’Enghien autour duLacL’office de tourisme et des Congrèspropose, du 8 avril au 14 octobre (audépart de l’Office de tourisme au 81rue du général de Gaulle), des visitesguidées destinées à découvrir ou redé-couvrir la richesse patrimoniale, archi-tecturale et historique de l’uniquestation thermale d’Ile-de-France. La vi-site se déroule autour du Lac, élémentemblématique qui a façonné la ville.Lors de cette balade, il sera possibled’admirer des villas aux styles archi-tecturaux aussi divers qu’originaux quiévoquent le passé glorieux de la ville. Tous les 2e samedi de chaque mois etles mercredis 19 juillet et 23 août, de15h à 16h30Tél. : 01 34 12 41 15

Temps forts à Villarceaux

Après une absence de quelques mois, suite à la fermeture du théâtre del'Aventure (Ermont), la troupe du Cabaret de l'Aventure a trouvé un lieud'accueil à Eaubonne et annonce la création de son nouveau spectacle: "C'est quoi ton p'tit nom?"Premières représentations les 6 et 7 Mai à l'Orange bleue*. 20h30 le samedi 6 Mai et 16h le dimanche 7.Durée : 1h30 sans entracte.

Une formule plus courte et toujours aussi chaleureuse et conviviale. Accompagné de musiciens professionnels, le Cabaret de l'Aventurepropose depuis plusieurs années des spectacles chantants, maispas seulement, autour d'un thème. Des sketchs et chansons de-puis les années 60 jusqu'à celles d'aujourd'hui, du jazz, des chan-sons méconnues ou des tubes immortels sont au programme. * 7, rue Jean Mermoz à Eaubonne,sur la petite scène. Tarif : 12 € (8 € -de 12 ans)Rens. : 06 87 13 61 61 ou [email protected]

présente

C’est quoiton p’tit nom ?

samedi 6 mai 20h30dimanche 7 mai 16h00à l’Orange Bleue*Espace culturel d’Eaubonne7, rue Jean Mermoz

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un Orchestre, des Chansons, des Sketches, du Bonheur

Réservation 06 87 13 61 61 - [email protected]

Tarif 12 €(-12 ans) 8 €


Le Cabaret de l’Aventure, revientavec un nouveau spectacle


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