Comptabilité Nationale K.sabrI

7/23/2019 Comptabilité Nationale K.sabrI

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Comptabilité

nationale. Pr. Karim

SABRI. 1Pr. Karim SABRI.



sabriprof@hotm

ail.be

Pr. Karim SABRI. 2



SOMMAIRE DU COURS.

Introduction.

• Défnition de la comptabiliténationale

• Bre historiqe de la comptabiliténationale – !es précrsers "#illiam Pett$% &re'or$

Kin'% (aban% )esna$% Pett$ et Kin'*%

– !a naissance de la comptabiliténationale%

– !a normalisation internationale. +Pr. Karim SABRI.



Introduction.

!e champ de la comptabiliténationale% l,acti-ité économiqe- !es richesses créées par l,/omme%

- !es acti-ités prodcti-es%

- !a défnition de la prodction%

- !a réérence a marché%

- !a réérence a tra-ail%

- !es ressorces natrelles. !0é-oltion de la comptabilité

nationale marocaine 3.

4Pr. Karim SABRI.



Chapitre . !es opérations desa"ents économi#ues.

• !es 'randes caté'ories d0a'entséconomiqes.

• !es opérations des a'entséconomiqes.

• !a représentation des opérations parle circit économiqe.

• !0interprétation de l0éqilibreemplois5ressorces.

6Pr. Karim SABRI.



Chapitre $ . !e circuit économi#ueet la comptabilité nationale.

• !e circit économiqe simplifé "entrepriseset ména'es*%

• !e circit économiqe dé-eloppé"administrations pbliqes% sociétésfnanci7res*%

• !0éqilibre d circit économiqe "économie

o-erte o ermée*%• !0tilité de la comptabilité nationale%

• !0enre'istrement des opérations.

8Pr. Karim SABRI.



Chapitre %. Structure du s&st'memarocain de comptabilité nationale.

• !es secters instittionnels et lesbranches d0acti-ités "branches etsecters*.

• !es opérations "sr biens et ser-ices%de répartition% fnanci7res*.

• !es comptes des sectersinstittionnels "présentation etinterprétation des comptes articlés%séqences articlées des comptes*.

9Pr. Karim SABRI.



Chapitre (. Consolidation des comptes sectoriels etélaboration des a"ré"ats économi#ues de la nation.

•

!es comptes consolidés%• !es a'ré'ats de la comptabilité

nationale%

•

!es principa: ratios de lacomptabilité nationale.

;Pr. Karim SABRI.



Chapitre ). !es tableau* s&nthéti#ues dela comptabilité nationale.

•

!e tableau entrées sorties +,ES- distin'e lesbranches et les secters. !a -aler a<otée parbranche est estimée dans le =>S.

• !e tableau des opérations nanci'res +,O/- rénit l,ensemble des statistiqes fnanci7res relati-es

a: secters instittionnels "SI* et permet d,anal$serles aspects fnanciers de l,économie.

• !e tableau économi#ue d0ensemble +,EE- donnene présentation simltanée des comptes de ?:% dessecters instittionnels et des comptes d,opérations.

• Il décrit les transerts monétaires o en natre entreles a'ents% re'ropés en si: secters instittionnels.

• Conclusion "énérale.

@Pr. Karim SABRI.



I1,RODUC,IO1 2E1ERA!E.

Pr. Karim SABRI. 1



I1,RODUC,IO1 2E1ERA!E.

• n s$st7me nos donne ne visionde ce qui se passe dans uneéconomie c0est le s$st7me de

comptabilité nationale.

• !a comptabilité nationale est ne

représentation globale, détailléeet chifrée de l’économienationale dans n cadre comptable.

11Pr. Karim SABRI.



Dénition de la C1.

• Selon 3. 3runhes 4

« La comptabilité nationale est une présentation

synthétique, suivant un cadre comptable rigoureux ,

de l’ensemble des informations chiffrées relatives àl’activité économique de la nation, fournissant une

description des phénomènes fondamentaux de :

la production,

de la distribution,

de la répartition,

et de l’accumulation des richesses ».

12Pr. Karim SABRI.



Dénition de la C1.

• « La comptabilité nationale est une représentation

schématique et quantifiée de l'activité économique

d'un pays.

• !lle consiste en une mesure des flux monétairesreprésentatifs de l'économie d'un pays pendant une

période donnée, en principe, une année.

•

!lle prend en compte de nombreux indicateursmacroéconomiques , dont le plus important est le

"#$, dans un pays donné au cours d'une année. »

1+Pr. Karim SABRI.



Dénition de la C1.

• !a comptabilité nationale prend en comptede nombreuses informations% contenesdans les docments comptables des

entreprises d,ne part% mais assi dans lesrapports des institutions administrati5es.

• !a comptabilité nationale classe ainsi lesdiCérents a"ents économi#ues en

caté"ories% les secters instittionnels% afnde recenser a mie: les diCérentesinormations relati-es l,économie.

14Pr. Karim SABRI.



Ob6ectifs de la C1.

• !a comptabilité nationale a de:-ocations principales

– Modéliser et étudier l,acti-itééconomiqe d,n pa$s donné pendantne drée précise "la plpart d temps

n an* d,ne part% – >t pré5oir l7é5olution d,ne

con<onctre d,atre part.

16Pr. Karim SABRI.



3ref histori#ue de lacomptabilité nationale.

• !es précurseurs

• Recensement des poplations et desrichesses por des raisons fscales.

• Rele5és de pri* et de statistiqes sr lecommerce o la prodction de certainsbiens a$ant ne importance straté'iqe.

• 889 :remiers tra5au* po-antréellement Etre considérés comme desprécrsers de la comptabilité nationale. Fna

18Pr. Karim SABRI.



!es précurseurs.• 1886 ;illiam :ett& réalisa les

premi'res estimations du re5enunational et de la richesse del,An'leterre% "&B*

• 18@8 2re"or& <in" réalisa uns&st'me inté"ré de statisti#ues qi pet Etre considéré comme n

ancEtre de la comptabilité nationale%"&B*

• =auban a réalisé des étdes -isant la

mesure du re5enu national% "G* 19Pr. Karim SABRI.



!a naissance de la comptabiliténationale.

• Dans les années 1@+ et 1@4% les tra-a:de Colin Clark et de Simon Kuznets ontamélioré considérablement la mesure dure5enu national.

• 1@+8 crise d chma'e% menace desdémocraties% échec de la main in-isibleJ

• John Manard Kenes critiqe la théorie

économiqe classiqe et met en é-idence laresponsabilité de l,>tat qi% par sa politi#uebud"étaire% po-ait ramener le pa$s aplein emploi.

1;Pr. Karim SABRI.




• 1@+8 !assil "eontie# qi t l,ori'inedes tableau* entrées?sorties ,ES qi

<oent n rle important en comptabiliténationale.

• !a n de la seconde "uerre mondiale sedé-eloppent -éritablement les premierss&st'mes de comptes nationau* a-ec

la rénion de % conditions• =olonté politi#ue por dominer la -ie économiqe%

• ,héorie économi#ue dominante%

• Appareils statisti#ues perormants.

1@Pr. Karim SABRI.




• 1@41 $% Stone et J% Meade proposent dans n!i5re 3lanc% n s$st7me articlé de comptes%

• !e ondement d ce !i5re 3lanc est de relierle re5enu la consommation. Ainsi% ses

ob<ets sont triples . Instrument de mesure et d7anal&se d

passée por connatre les ressorces%

$. Données por alimenter les mod'les

empiri#ues de pro6ections%

%. Données por alimenter les mod'lesthéori#ues an de les +in-5alider.

2Pr. Karim SABRI.




• 1@41 . ,inber"en réalise lepremier s&st'me por les :a&s?3as. >n /rance% A. =incent les

premiers tra5au* théori#ues etles premiers comptes%

• 1@6 O1U a adopté n s&st'me

por ser-ir de base a: comptes detous les pa&s.

"non adopté partot*.21Pr. Karim SABRI.




• =rois 'randes écoles de comptes la sortie desannées 6

&% 'cole anglo(sa)onne% d,inspiration libérale qi se contentait de comptes légers,

*% 'cole soviétique n s&st'me de comptestr7s lourd adapté son t$pe tr7s particlier de plani+cation centralisée%

% 'cole #ran-aise qi% por répondre a:besoins de la planifcation% a-ait créé ns&st'me ori"inalB intermédiaire entre les$st7me an'lo5sa:on et le s$st7me so-iétiqe.

22Pr. Karim SABRI.




• 1@9 l7O1U pblie le docmentméthodolo'iqe d S&st'me deComptabilité 1ationale "S*%

• 1@9@ S&st'me Européen desComptes "S>* déri-é d S.

SC1 et SEC sont ne s&nth'se des s$st7mes an"lo?sa*ons etfranais.

2+Pr. Karim SABRI.



!a normalisation internationale.

• Au ni5eau européen% l,instaration en d,ne no-elle ressorce propre por laommission >ropéenne la quatri.meressource% " cté des droits de doanes%ressorces d0ori'ine a'ricole% =(A et a-ec la le

:13 est remplacé par le R13*.• !a contribtion des >tats membres cette

qatri7me ressorce était basée sr le proditnational brt "PB*% important a'ré'at de

comptabilité nationale.• Site ne directi-e d onseil >ropéen n

comité / 123 4 a été constité de représentantsde l,ensemble des >tats membres.

24Pr. Karim SABRI.



!a normalisation internationale.

• Au ni5eau mondial% la pblication d Sst.me de

Comptabilité 2ationale des ations5nies de1@@+ "S 1@@+* 5éritable harmonisation.

• S est sos la responsabilité d /MI% de l0Eurostat%de l0OCDE "Fr'anisation de coopération et de

dé-eloppement économiqes*% de la 3M et des 1U. 3anel ré-isé "André =anoli et :eter Fill*

• 1@@6 S$st7me eropéen des comptes SEC aadopté le SC1 des 1U%

• 1@@8 SEC est de-en ne obli"ation a: pa$smembres de l0>.

!e comité :13 de-int le comité R13.

26Pr. Karim SABRI.



1. !es richesses créées par l,/omme%

2. !es acti-ités prodcti-es%

+. !a défnition de la prodction%

4. !a réérence a marché%

6. !a réérence a tra-ail%

8. !es ressorces natrelles.

28

!e champ de la comptabilité nationale 4 l7acti5ité économi#ue.

Pr. Karim SABRI.



!e champ de la comptabilité nationale 4 l7acti5ité économi#ue.

. !es richesses créées par l7Fomme.

•. !a s,intéresse a-ant tot la création derichesses par l7Fomme% ler répartition et ler utilisation. "le marché*

•. !e ni-ea ltime de l,a'ré'ation des richessesprodites l,occasion des opérations deprodction est le produit intérieur brut "PIB*%

!a C1 ne tient pas compte d7une multituded7acti5ités q,elle consid7re% mal'ré ler tilitésociale incontestable% comme ne rele-ant pas dchamp de l,économie.

29Pr. Karim SABRI.



$? !es acti5ités producti5es.

• !a délimitation des acti5ités producti5es a

to<ors été n s<et diLcile qi a sscité demani7re récrrente des contro5erses parmi leséconomistes.

• A G=IIH si'cle% par e:emple% l7a"riculture

était considérée par de nombre: économistescomme la seule acti5ité prodcti-e. A l,in-erse%les ser5ices sont restés lon'temps considéréscomme improductifs.

• !7emploi de personnel domesti#ue par desparticliers était considéré par les économistescomme l,e:emple t$pe de tra5ail improductif .

• A<ord,hi% cette acti-ité est inté'rée dans les

comptes nationa:. 2;Pr. Karim SABRI.

é



%? !a dénition de laproduction.

•

Por les besoins de la comptabiliténationale% nos po-ons considérerqe les acti-ités prodcti-es sontcelles qi satisont trois crit7res >lles reposent sr le tra5ail de

l7Fomme%

>lles représentent ne utilité pour la

collecti5ité considérée dans sonensemble%

>lles pe-ent Etre é5aluées sur unebase monétaire.

2@Pr. Karim SABRI.



!a dénition de la production.

• !e S$st7me de comptabilité nationale des ations5nies"S 1@@+* défnit le domaine de la prodction "c,est55direceli des acti-ités prodcti-es* de la mani7re si-ante

« La production peut %tre définie comme une activité e&ercée sous le

contrôle et la responsabilité d'une unité institutionnelle , qui met en uvre

des entrées (travail, capital, biens et services) dans le but de produire des

biens ou services. #l doit e&ister une unité institutionnelle qui assume la responsabilité du

processus et qui est propriétaire des biens produits , ou qui a droit à être

payée ou rémunérée d'une fa*on ou d'une autre pour les services fournis.

+n processus purement naturel , sans intervention ni contrôle humain , ne

constitue pas une production au sens économique. 'est ainsi que

l'accroissement incontr-lé des stocs de poisson dans les eau&

internationales ne constitue pas une production, au contraire de la

pisciculture. »

+Pr. Karim SABRI.



(? !a référence au marché.

• !e s$st7me de des ations5nies est bien obli'é

d,tiliser la notion de pri* comme réérence lorsq,ilaborde les qestions de -alorisation.

• !a est a-ant tot ne comptabilité et% comme lacomptabilité pri-ée% elle repose sur des é5aluations entermes monétaires% ce qi limite de ce ait son champ

a: acti-ités créatrices de richesses considérées par lasociété comme mesurables en termes monétaires.

• !a se limite l0acti5ité économi#ue q0elle défnitpar rapport l0usa"e de la monnaie et

E*clut de son champ tot ce qi pet a-oir ne

importance sociale considérable mais qe la société resede rédire de la monnaie. "poi'nées de mains% sorired0n bébéJ*

+1Pr. Karim SABRI.



)? !a référence au tra5ail.• !e tra-ail est la base de toute acti5ité

économi#ue% l,introdire dans la défnition dchamp de la permet d,e*clure des acti-itésprodcti-es%

d,ne part tote création de richesse #ui ne

peut tre attribuée l7Fomme "prodits de lamer*%

d,atre part l,ensemble des opérationsnanci'res "prEt*.

• !e point de -e de la est celi de lamacroéconomie% la richesse doit correspondre ne utilité "énérale sociale pour la société"-ol% -ente de dro'e% prostittionJ*.

+2Pr. Karim SABRI.



8? !es ressources naturelles.• !a s,intéresse a-ant tot la création de richesses

par lM/omme% elle ne tient compte des ressorcesnatrelles "R* #ue lors#ue celles?ci sont lapropriété d7a"ents économi#ues et #u7elles ont unpri*.

• !es R apparaissent alors par ler 5aleur de marché

dans les comptes de patrimoine et dans les comptesqi permettent de passer d patrimoine de débt depériode celi de fn.

• Mais le :I3B ne tient pas compte de la dé"radationdes R1 car il n,$ a pas réellement d7échan"e

librement consenti.• Attriber n pri: ne destrction de richesses

natrelles re-ient donner le droit certains de détriredes ressorces en échan'e d,n paiement.

++Pr. Karim SABRI.



!0é5olution de la comptabiliténationale marocaine C1M.

• !e s$st7me de classement actel a 3aroc est leS en -i'er depuis %. 3ais les tra-a: decomptabilité nationale ont réellement commencéa début des années soi*ante "les bases du

s&st'me national d0information statisti#ue*.• Nsq0en % les données de diCsées a

3aroc étaient de base 9 en conormité a-ec les$st7me international de 8.

• >n % le chan'ement de cette base% porprendre en compte les diCérentes réormesen'a'ées par le Ro$ame depis 1@;+% site a:AS.

+4Pr. Karim SABRI.



!0é5olution de la comptabiliténationale marocaine +C1M-.

• ne réforme approfondie de la aété décidée. >lle consiste mettre en place leS$st7me de omptabilité ationale des ations5nies SC1 % selon la nou5elle base .

• !es comptables nationa: ont élaboréannellement n ensemble complet de compteset de tablea: de s$nth7se relatis diCérentesopérations économiqes réalisées a terme de

chaqe e:ercice.• >: ,ESB la matrice de comptabilité sociale

J

+6Pr. Karim SABRI.



Chapitre 4 !es

opérations desa"ents

économi#ues.Pr. Karim SABRI. +8



Chapitre 4 !es opérations desa"ents économi#ues.

Section . !es 'randes caté'oriesd0a'ents économiqes.

Section $. !es opérations des a'entséconomiqes.

Section %. !a représentation desopérations par le circit économiqe.

Section (. !0interprétation del0éqilibre >mplois5Ressorces.

+9Pr. Karim SABRI.



Chapitre 4 !es opérations desa"ents économi#ues.

Section 4 !es "randes caté"oriesd0a"ents économi#ues.

• n a"ent économi#ue% o nité

instittionnelle en % est n centre dedécision économiqe indépendant "nména'e% ne entreprise% ne banqe% neadministration*.

•

>n % les unités institutionnelles qi ont ncomportement économi#ue "o onctionéconomiqe* semblables sont re'ropés ensecteurs institutionnels comme sit

Pr. Karim SABRI. +;



Section 4 !es "randes caté"ories d0a"ents économi#ues.

Pr. Karim SABRI. +@

S ti $ ! é ti d t



Section $ 4 !es opérations des a"entséconomi#ues.

•

!es a'ents économiqes entretiennent entre e:des opérations économi#ues qe l0on petrepérer par des Ju* économi#ues.

• n Ju* économi#ue est la 5ariation d0une#uantité de biens et ser5ices "?: réels* ode monnaie "?: monétaires* enre'istrés entrede: dates.

• Il dési'ne ne 'rander économiqe enmo-ement% d0un a"ent économi#ue 5ers unautre.

• !es opérations des a'ents économiqes sontclassées comme sit

Pr. Karim SABRI. 4



!es opérations sur biens et ser5ices >lles indiqent la permanence et la

destination des biens et ser-ices.Sources des biens et ser5ices la

prodction nationale et les importations. :K M

!eur utilisation consommation %in-estissement et e:portation. C K I K G

!es a"ents se répartissent entre oLre

et demande selon q0ils sohaitentacqérir o proposer n bien o nser-ice.

Pr. Karim SABRI. 41



!es opérations de répartition 4

>lles concernent la répartition% desre-ens créés% entre les diCérentsa'ents.

>:emple répartition de la =A.

ette répartition des re-ens prenddiCérentes ormes Rémnération d tra-ail%

Di-idendes%

!es lo$ers et les intérEtsJ

Pr. Karim SABRI. 42



!es opérations nanci'res 4

>lles reco-rent l0ensemble des

relations entre a"ents capacitéde nancement et a"ents besoin de nancement.

>lles portent sr les créances et lesdettes entre a"ents% et montrentcomment les a'ents besoin de

fnancement ont co-ert ce besoinet% s$métriqement% comment lesa'ents capacité de fnancement

ont emplo$é cet e:cédent.Pr. Karim SABRI. 4+



!es opérations a5ec l0e*térieur 4

>lles indiqent l0ensemble des Ju*économi#ues entre les a"entsrésidents sur le territoireéconomi#ue et les a"ents nonrésidents appartenant a reste dmonde.

Fn distin'e ainsi les échan"es de biens et ser5ices%

les transferts de re5enus et

les mou5ements de capitau*.Pr. Karim SABRI. 44

i é i d



Section % 4 !a représentation desopérations par le circuit économi#ue.

• !e repéra'e des Ju* économi#uespermet de mettre en é-idence ncircuit économi#ue.

• Il s0a'it d0ne représentationsimpliée de l0acti5itééconomi#ue% aisant apparatre la

circulation des biens et de lamonnaie entre les a'ents.

• !e circit économiqe en économie

ou5erte Pr. Karim SABRI. 46



Pr. Karim SABRI. 48



Commentaires sur le schéma.

• !e point de départ de ce circit est le

:I3 "prodction nationale qi constitel,ensemble des richesses créées surle territoire national qelqe soit lanationalité d créater*% cette richesse

constite ne -aler a<otée.• !e re5enu national constite la

contrepartie de la participation la

création de la richesse.• Fn distin'e qatre caté'ories de

re-ens

Pr. Karim SABRI. 49



• !e re-en d tra-ail% le re-en de

l,administration "impts*% le re-en descapita:% et le re-en de l,entreprise"proft*.

Pr. Karim SABRI. 4;



• !e re5enu est destiné tre dépensé D C K I.

• !a partie non consommée du re5enu est destinés au*s&st'mes de nancements +épar"nes 4 S-. R C K I K S DK S.

• !a partie non épar"née et non dépensée peut trethésaurisée.

Pr. Karim SABRI. 4@



• !a production nationale n7est pas forcémentdestinée la demande intérieure car une partie

peut tre e*portée.• ,ous les produits au ni5eau national et

demandés au ni5eau national ne sont pasforcément issus du territoire national.

Pr. Karim SABRI. 6



• !e fnancement et le re-en pe-ent Etreé'alement isss d reste d monde.

•

Il e:iste $ moteurs de la croissanceéconomi#ue4

. E5olution du tau* de croissance du:I3 il s0a'it de la demande intérieure

"consommation% in-estissements*.$. Et le commerce e*térieur "diLérence

des e*portations et des

importations balance commerciale*. =rois cas de f're pe-ent se présenterpor cette balance commerciale

Pr. Karim SABRI. 61



Si les e:portations sont spérieres

a: importations il $ a e*cédent d commerce e:térier. +G N M 4E*cédent de la 3. Com-

Si les e:portations sont inérieresa: importations il $ a décit dcommerce e:térier. +GM 4 Décitde la 3. Com-

Si les e:portations sont é'ales a:importations il $ a é#uilibre dcommerce e:térier. +G M 4E uilibre de la 3. ComPr. Karim SABRI. 62

d l0é ilib E l i



de l0é#uilibre Emplois?

Ressources.• >n considérant le cas d0un bien% les #uantités

disponibles +Ressources- sr le marché nepe-ent pro-enir qe de la prodction +:- et desimportations +M-.

• Si l0on s0attache a: tilisations possibles "Emplois*

de ce prodit% on distin'e . !a consommation +C- qelle réslte des

entreprises, des ménages ou desadministrations.

$. !0in5estissement +I-dans la mesre oO le prodit

pet Etre n bien durable% acqis por Etre tilisépendant pls d0n an dans le cadre d0ne activitéde production%

Pr. Karim SABRI. 6+

!0é# ilibre Emplois Resso rces



!0é#uilibre Emplois?Ressources 4

%. !0e*portation +G- qi correspond ne

consommation o n in-estissement de la partd0a'ents d reste du monde%

(. !a 5ariation des stocPs +=ar StocP- dans lamesre oO le prodit ne pet pas Etre totalementécoulé sur le marché et se retro-er dans lesstocs des prodcters et des distribters.

A total% l0é'alité >mplois5Ressorces donne

: K M C K I K G K =ar StocP.

• Il s0a'it d0ne é'alité ondamentale% a ni-eamacro5économiqe qi tradit l0é'alité entrel0oCre et la demande 'lobales de biens et ser-icessr l0ensemble des marchés.

Pr. Karim SABRI. 64




Ressources+OLre-

Emplois+Demande-

:. :roduction C. Consommation

M. Importation I. In5estissement

G. E*portation

=ar StocP. =ariation destocPs

Pr. Karim SABRI. 66

!0é#uilibre Emplois




Emplois +Demande- Ressources +OLre-

C. Consommation :. :roduction

I. In5estissement M. Importation

G. E*portation

=ar StocP. =ariation de stocPs

Pr. Karim SABRI. 68

!0é#uilibre sur les marchés dans le circuit



économi#ue.

Pr. Karim SABRI. 69

Commentaires du schéma.



Commentaires du schéma.• !e circuit économi#ue permet de décrire l0acti5ité économi#ue

dans son ensemble. Il met en é-idence l0interdépendance entre lesa"ents économi#ues. >n r7'le 'énérale% les Ju* sont é#uilibrés.

• !0é#uilibre Emplois?Ressources des a'ents économiqes est néqilibre entre la demande "lobale et l0oLre "lobale sr le marchédes biens et ser-ices OLre "lobale Demande "lobale

. OLre "lobale :roduction nationale K Importations.

$. :roduction 1ationale OLre "lobale Q Importations.

%. Demande "lobale Consommation K In5estissement KE*portations OU OLre "lobale Consommation KIn5estissement K E*portations

•. Fn pet en dédire ne no-elle é'alité "de 2 et +*

•. :roduction 1ationale OLre "lobale Q Importations. +$-

•. OLre 2lobal demande "lobale et Demande "lobale +%-

+$- :roduction 1ationale OLre "lobale Q Importations Consommation K In5estissement K +E*portations Q Importations-.

•. F encore

:roduction 1ationale Dépense interne K Solde e*terne.

Pr. Karim SABRI. 6;

C t i d hé



Commentaires du schéma.• !orsq0on compare la production nationale et la

dépense interne% trois cas de f're pe-ent seprésenter

1. =ot d0abord% lorsqe la dépense interne est é"ale laproduction nationale% les échan'es e:tériers sont ené#uilibre.

2. >nsite% si la dépense interne est supérieure laproduction nationale% cela si'nife qe l0économienationale a d s0appro-isionner l0e:térier porcompenser l0insLsance de la prodction interne. Il enréslte un solde né"atif des échan'es e:tériers.

+. >nfn% si la dépense interne est inférieure laproduction nationale% l0économie dé'a'e n e:cédentde prodction q0elle pet consacrer l0e:portation. Il enréslte un solde positif des échan'es e:tériers.

Pr. Karim SABRI. 6@

Commentaires du schéma



Commentaires du schéma.Prodction nationale P H

Dépense Interne "DI* Q Solde >:terne "S>*

• Cas 4 DI :1

>:emple P H DI Q S> 4 H 4 Q

" 3 H * échan'es e:ternes en éqilibre.

• Cas $4 DI N :1


" 3 H 52* T3 Solde né'ati des échan'ese:ternes.

• Cas % 4 DI :1


" 3 H 2* U3 Solde positi des échan'ese:ternes.

Pr. Karim SABRI. 8



Chapitre $ 4 !ecircuit

économi#ue etla comptabilité

nationale.Pr. Karim SABRI. 81

Ch it $ ! i it



Chapitre $ 4 !e circuitéconomi#ue et la C1.

Section 4 !e circuit économi#uesimplié

I ? !es entreprises

• 1 5!a -ariété des entreprises• 2 5!a onction et les ressorces des

entreprises

II ? !es ména"es• 1 5!es onctions des ména'es

• 2 5!es ressorces des ména'es

Pr. Karim SABRI. 82

Chapitre $ 4 !e circuit économi#ue



p #et la C1.

Section 4 !e circuit économi#ue simplié.

• Sr ce circit apparaissent des marchés.

• n marché est le lie de conrontation de l0oLre et dela demande.

. Marché des biens de consommation +et ser5ice-les entreprises -endent les biens de consommation "et

ser-ices* a: ména"es et d0autres entreprises%elles constitent l0oLre.

$. Marché des biens de production "éqipements etbVtiments*% ce sont essentiellement les entreprises qiach7tent ces biens qi constitent des

in5estissements matériels.•. !es inter-enants dans ce circit économiqe sont

I? !es entreprises et II ? !es ména"es.

Pr. Karim SABRI. 8+

Section 4 !e circuit économi#ue simplié



I ? !es entreprises.

? !a 5ariété des entreprises 4

• !es entreprises diC7rent selon ler statt <ridiqe entreprises de capitau*%entreprises de personnes. "cors >.F.>*.

• >n % on sépare les entreprises qiproduisent des biens et ser5ices en de:caté'ories

!es sociétés non nanci'res.

!es entreprises indi5iduelles qi sontinté'rées dans les ména'es "consion de lerspatrimoines*.

Pr. Karim SABRI. 84

I !es entreprises



I ? !es entreprises.

$ ? !a fonction et les ressources des

entreprises 4• /onction principale prodire des biens et des

ser-ices qi sont -ends sr n marché." prodction marchande Pri: U 6W des coXts*.

• En C1% on s0intéresse la richesse créée par les

entreprises pendant ne année c0est la 5aleura6outée =A.

• ette -aler a<otée laqelle on ra<ote les impts la prodction et on sostrait les sb-entions

constite le produit intérieur brut +:I3-marchand.

:I3 Marchand =A K Impts : Q Sub5entions.

Pr. Karim SABRI. 86

II ?!es ména"es



II ?!es ména"es.• !e ména'e est n ensemble de

personnes -i-ant ensemble dans nlo"ement séparé ouindépendant.

• n ména'e pet Etremonoparental.

• n ména'e ne comprend pas

niqement des membres d0nemEme amille. +asileB caserne-

• Fn -a -oir

1. !es onctions des ména'es%Pr. Karim SABRI. 88

? !es fonctions des ména"es.



!es fonctions des ména"es.

• /onction principale consommer por

satisaire des besoins indi-idels "proditsalimentaires% biens drables% ser-ices deloisirJ*.

• Por les comptables nationa:% on -a

parler de la consommation nale.

• =o<ors por e:% les ména'esproduisent é'alement% c0est ne

production pour emploi nal. /onction principale 4 consommationnale et production pour emploi nal.

Pr. Karim SABRI. 89

$ !es ressources des ména"es



$ ? !es ressources des ména"es.

• !a participation l0acti-ité prodcti-e donne lie

la distribtion de re-ens appelés re5enusprimaires 4

. !es re5enus du tra5ail des salariés.

$. !es re5enus du capital ou de la propriété% qi

rémn7rent n apport de patrimoine.%. !es re5enus mi*tes qi rémn7rent% porl0entreprener indi-idel% la ois le tra-ail et lecapital orni% sans q0il soit -raiment possible dedissocier les de: parts et les >B> e:cédents brts

d0e:ploitation des sociétés.

"E3E H (A 5 char'es de personnel 5 impts et ta:es*.e sont les prots des entreprises selon la .

Pr. Karim SABRI. 8;

$ ? !es ressources des ména"es



$ ? !es ressources des ména"es.

• De ce re-en primaire% il con-ient de dédire les

impts et cotisations sociales appelésprél'5ements obli"atoires.

• !es ména'es perYoi-ent des prestations sociales.Apparat donc ici ne troisi7me caté'orie dere-ens dont l0ori'ine ne pro-ient ni d tra-ail% ni d

capital les re5enus de transfert ou sociau*.Il s0a'it des re-ens attribés a: a'ents en -e de

prendre en char"e certains ris#uesdéterminésB sans contrepartie é#ui5alente et

simultanée.• En esp'ce pension de retraite o

• En nature soins de santé.

Pr. Karim SABRI. 8@

Section $ 4 !e circuit



Section $ 4 !e circuitéconomi#ue dé5eloppé.

I ? !es administrations publi#uesA:.

• 1 5 !a prodction des AP.

• 2 5 !es opérations de redistribtion.

II ? !es sociétés nanci'res +etI:S3!-.

Pr. Karim SABRI. 9

Section $ 4 !e circuit économi#uedé l é



dé5eloppé.I ? !es administrations publi#ues A:.

• !0Etat est ne composante des administrations pbliqes

qi comprennent é'alement totes lesadministrations locales "ré'ions% pro-inces%commnesJ* et les administrations de sécuritésociale.

• !0>tat <oe n rle déterminant car il f:e les r'"les de

fonctionnement de toutes les autresadministrations publi#ues.

• !es administrations pbliqes recrtent ler personnelsr le marché du tra5ail. >lles in-estissent et% por ce

aire% elles ach7tent des biens de production% ellesach7tent des biens de consommation et des ser-ices srle marché de biens et ser5ices.

• >nfn% elles se fnancent en aisant appel a marché descapitau*.

Pr. Karim SABRI. 91

!a production des A:



? !a production des A:.

• !es administrations réalisent ne production non

marchande% qi ne ait pas l0ob<et d0échan'es srn marché.

• ette prodction est ornie d0atres nitésinstittionnelles soit "ratuitement% soit n pri*

#ui ne cou5re pas la moitié des coTts deprodction.

• es ser-ices ne sont pas 5endus sr n marchécar ils sont

indi5isibles "déense% police% éclaira'e pblicJ*o ils pro5o#uent des e*ternalités positi5es

"édcation% santé*.

Pr. Karim SABRI. 92

? !a production des A:



? !a production des A:.• =os ces ser5ices sont é-alés leurs coTts de

production "rémnération des a'ents% consommationsde biens et ser-ices% impts sr la prodction%amortissement d matériel et des bVtimentsJ*.

• >n % ces ser-ices sont considérés Etre

Consommés par les ména"es s0ils sont

indi5idualisables "on sait qi a consommé qoi édcation% santé*

Consommés par les administrations s0ils sontcollectifs "police% déense*.

=ote cette prodction constite !e produitintérieur brut non marchand. +:I3 nm-.

Donc :I3 :I3 Marchand K :I3 nm.

Pr. Karim SABRI. 9+

$ ? !es opérations de



redistribution.• !es AP -ersent des prestations sociales.

!0essentiel de ces prestations de protectionsociale co-re

. !es ris#ues de santé "maladie% in-alidité%accidents d tra-ail*%

$. !es ris#ues de maternité amille"allocations amiliales*%

%. !es ris#ues de 5ieillesse "retraite* oud0emploi "chma'e o préretraite*.

•. !es ressources des AP sont lesprél'5ements obli"atoires "ta:es etimpts*.

Pr. Karim SABRI. 94

II ? !es sociétés nanci'res.



II !es sociétés nanci'res.• >lles inclent les ban#ues et autres institutions

nanci'res.

• es sociétés aident les atres acters économiqes nancer leurs pro6ets.

• >lles proposent a: ména"es +et #uel#ues entreprises-des conditions de placement de leur épar"ne adaptées lers besoins de liqidité et de sécrité.

• !es institutions d0assurance sont classées dans ce secterinstittionnel car elles réalisent de pls en pls d0opérationssr le marché des capita: comme le ont les banqes."ban#ue assurance*

!e secteur des I:S3! +institutions pri5ées sans butlucratif- qi ornit des ser-ices qi ne sont pls prodits

directement par les administrations pbliqes ne pasné'li'er.

Pr. Karim SABRI. 96



Pr. Karim SABRI. 98



Merci pour5otre

attention.Pr. Karim SABRI. 99

Section % 4 !0é#uilibre du circuit



Section % 4 !é#uilibre du circuitéconomi#ue.

I 5 >conomie ermée de: secters"ména'es et entreprises*.

II 5 >par'ne des ména'es etin-estissement des entreprises.

III 5 Introdction de l0>tat.

I( 5 >conomie o-erte "Reste dmonde*.

Pr. Karim SABRI. 9;

Section % 4 !0é#uilibre du circuitéconomi#ue



économi#ue.• !0é#uilibre comptable re?7te l0éqilibre

d circit économiqe% c0est55dire l0é"alitéentre les ressources et les emplois d0ne économie a cors d0ne année.

• et éqilibre constite ne identité

statisti#ue #ui est tou6ours 5ériée e*post% c55d% apr7s qe les a'ré'atsmacroéconomiqes ont été obser-és.

• !e circit économiqe décrit l0ensemble detoutes les opérations qi s0établissententre tos les acters de la -ie économiqe.

Pr. Karim SABRI. 9@

Section % 4 !0é#uilibre du circuitéconomi# e



économi#ue.• !0éqilibre d circit économiqe e:prime qe tot

ce qi a été prodit sr le territoire économiqe etimporté d reste d monde a cors d0ne année%a été

1. onsommé% titre de consommation nale desména'es et des administrations% +C-

2. onsommé en achats de biens intermédiaires"consommation intermédiaire*% +C-

+. In-esti en achats de biens d0éqipement +I- "formation de capital*% o en constittion de

stocs +=ar StocP-.4. F E*porté -ers le reste d monde. +G-

: K M C K I K G K =ar StocP.

Pr. Karim SABRI. ;

I ? Economie fermée deu*é i



secteurs 4 ména"es et entreprises.

• !es entreprises +S>S1/- tilisent les acters

de prodction ornis par les ména'es porproduire les biens de consommationdestinés la consommation nale desména"es.

• !es ména"es procrent a: entreprises nser-ice prodcti sos la orme de tra5ail etreYoi-ent en contrepartie% un re5enu qi estenti'rement dépensé por acheter les biensde consommation.

• !a f're 1 représente le circit économiqeélémentaire

Pr. Karim SABRI. ;1





Pr. Karim SABRI. ;2

I ? Economie fermée deu*t é t t i




•

!es Ju* ph&si#ues ou réelssont

caractéristiqes des échan'es permettant decréer et d0ac#uérir le produit national .

• !es Ju* monétaires représentent la

contrepartie monétaire de la production%c0est55dire

1. !es re5enus monétaires distribés R.

2. !es dépenses monétaires de

consommation C.

•. Dans ces conditions% il $ a identité entre leproduit % le re5enu R et la dépense C.

Pr. Karim SABRI. ;+




secteurs. ména"es et entreprises 4

• A partir d prodit constité de biens deconsommation% on ait correspondre n ?: monétaire

de re-ens "salaires% profts* qi alimente la dépensepermettant de se procrer le prodit.

• D0n point de -e comptable% le produit national coZncide a-ec le :I3 "en économie ermée*.

•

!es re5enus distribués R sont éqi-alents a R13Re5enu national brut% contrepartie de la prodction%dédction aite des consommations intermédiaires qis0éliminent dans le processs de prodction.

Pr. Karim SABRI. ;4

II ? Epar"ne des ména"es eti i d i



in5estissement des entreprises.

• Spposons q0en pls des biens deconsommation destinés a: ména'es% lesentreprises prodisent é'alement des biensd0in5estissement "biens d0éqipement o GBG*ser-ant accrotre lers capacités de prodction.

• Por nancer ler formation de capital% lesentreprises pe-ent emprunter les ondsnécessaires sr le marché fnancier "=M: dont lesintérEts et di-idendes sont -ersés a: détenters

de ces titres fnanciers "les ména'es*.*• !es ména'es -ont po-oir acheter des actions et

des obli'ations 'rVce l0épar"ne q0ils arontconstitée.

Pr. Karim SABRI. ;6

II ? Epar"ne des ména"es et



p " "in5estissement des entreprises.

• !a production constite l0oLre "lobale"mesrée par le :I3% c0est55dire * dontles emplois sont destinés satisaire lademande 'lobale% c0est55dire

1. !es besoins de consommation +C- desména'es

2. >t les besoins d0in5estissement +I- des

entreprises.•. Fn pet donc écrire la relation

comptable d0éqilibre entre l0oCre et

la demande 'lobale en économiePr. Karim SABRI. ;8

II ? Epar"ne des ména"es et




•

!e re5enu national R est identiqe aproduit et il se décompose en re5enusdu tra5ail "salaires* et re5enus ducapital "profts intérEts et di-idendes*

• >nfn% sr le plan de l0utilisation du

re5enu% les ména'es aCectent ne partie

de ler re-en R la consommation C etl0atre partie% l0épar"ne S. Fn obtientdonc

Pr. Karim SABRI. ;9

II ? Epar"ne des ména"es eti ti t d t i




• !es relations 2 et + "[HR et RHQS* permettent

d0écrire

• >n rapprochant les é'alités 1 et 4% il s0ensit qel0épar'ne S est nécessairement é'ale

l0in-estissement I. >n eCet% nos a-ons

• !0é#uilibre de l0oLre et de la demande "lobale-et qe l0épar"ne soit é"ale l0in5estissement"relation 6*.

Pr. Karim SABRI. ;;





• !a relation d0éqilibres +S I- reste -alable mEme

si on l7-e n certain nombre d0h$poth7ses pls omoins restricti-es.

1. =ot d0abord% on pet ima'iner qe lesentreprises soient amenées constiter des

stocPs de produits nis la site d0ne baissede la consommation des ména'es et% parconséqent% d0ne hausse de l0épar"ne.

e surcroVt d0épar"ne ara por contrepartie une

hausse de l0in5estissementé-alée <stement par

l0au"mentation des stocPs l0éqilibre entrel0épar'ne et l0in-estissement est donc to<ors -érifé.

Pr. Karim SABRI. ;@





2. Dans le para'raphe précédent% on a spposé qe le

nancement de l0in5estissement des entreprises se réaliseniqement sr le marché nancier.

Fr% on pet considérer q0 cté de ce mode de +nancementdirect "actions% obli'ations% (3PJ*% les entreprises po-aient

• S0autonancer les entreprises dé'a'ent n certain montant

d0épar'ne "ler re-en disponible*. Dans ces conditions%l0épar"ne totale S dans l0économie en"lobe celle desména"es et celle des entreprises% l0é'alité "S H I* resteto<ors -raie.

• Ou faire l0ob6et d0un +nancement indirect sr le marché

bancaire le s$st7me bancaire ne <oe q0n rled0intermédiaire entre les entreprises et les ména'es. Fnretro-e encore l0é'alité entre l0épar'ne et l0in-estissement.

+S I-.

Pr. Karim SABRI. @

II ? Epar"ne des ména"es eti i d i



in5estissement des entreprises.+. !0épar"ne totale "ména'es et

entreprises* représente% par défnition% lapartie non dépensée du re5enu "por lesentreprises% elle coZncide a-ec ler re-en* ets0interpr7te comme une fuite de monnaiedans le circuit économi#ue.

!0in5estissement correspond a contraire ne in6ection de monnaie dans le circuit

économi#ue.• Assi% l0éqilibre "S H I* s0interpr7te

é'alement comme ne é'alité entre lesites et les in<ections

Pr. Karim SABRI. @1

III ? Introduction de l0Etat.



• Son rle est spécifqe en tant qe décideur de lapoliti#ue économi#ue "notamment% la politiqe bd'étaire*

consiste inter5enir dans le circuit économi#ue parl0intermédiaire de ses dépenses et de ses recettes.

• !es dépenses publi#ues 2 comprennent

.!a consommation nale% c0est55dire les dépenses deonctionnement de l0>tat "essentiellement% les salaires des

onctionnaires*.$.!es in5estissements publics "la GBG des administrations

pbliqes concerne les 'rands tra-a: pblics% o laconstrction d0ni-ersités% par e:emple*.

%. !es transferts 5ersés par l0Etat au secteur pri5é "par

e:emple% les sb-entions d0e:ploitation -ersées certainesentreprises*.

!es dépenses publi#ues 2 constitent une in6ection demonnaie dans le circit économiqe.

Pr. Karim SABRI. @2




• !es recettes publi#ues , sont

constitées par les impts "directs etindirects* et les di-erses ta*es préle-éesapr7s des atres secters "ména'es etentreprises*.

!es recettes publi#ues sont sostraitesd s$st7me économiqe pri-é "ména'es etentreprises* a sel bénéfce de l0>tat et sontdonc considérées comme une fuite hors d

circit "mEme si les recettes -ont ser-irensite fnancer ne partie des dépenses*.

Pr. Karim SABRI. @+




• !0oLre "lobale est constitée par la somme

des -alers a<otées + :I3- par les troissecters

Ména"esB Entreprises et Etat.

• !a demande "lobale comprend

. !a consommation C"Demande des ména'es*%$. !0in5estissement I"Demande des

entreprises*%

%. Et les dépenses publi#ues 2"Demande de

l0>tat*.•. !0éqilibre s0écrit

Pr. Karim SABRI. @4




• D0atre part% le re5enu national R est la

contrepartie monétaire de l0oLre "lobale % c0est55dire

HU

• >nfn% les ressources monétaires R de

l0économie sont aCectées 1. soit la consommation C des ména'es.

2. soit l0épar"ne "lobale S.

+. soit a: recettes publi#ues ,.•. Atrement dit% on pet écrire

HU

Pr. Karim SABRI. @6




• !es identités 8% 9 et ; condisent

ormler l0éqilibre comptable sosla orme si-ante

• HU

• HU• HU

• Soit% apr7s simplifcation par dansles de: membres

Pr. Karim SABRI. @8




• !0é#uilibre comptable est donc réalisé lorsqe lasomme de l0épar"ne et des impts est é'ale la somme de l0in5estissement et des dépensespubli#ues.

• os a-ons dé< remarqé qe l0épar"ne et lesimpts constitent ne fuite dans le circitéconomiqe tandis qe l0in5estissement pri5é

et les dépenses publi#ues sont% a contraire%ne in6ection dans le circit.

,otal des fuites ,otal des in6ections.

Pr. Karim SABRI. @9




• Il est é'alement possible d0écrire la relation @

• HU

• Fn constate qe l0é#uilibre "lobale d0ne économieermée "a-ec >tat* s0obtient lors#ue l0écart entre

l0épar"ne et l0in5estissement +S?I- é"alise ledécit +ou e*cédent- bud"étaire +2?,-.

• !a diCérence +S ? I- pet s0interpréter comme lacapacité +ou le besoin- de nancement desa"ents pri5és.

• !e solde bd'étaire +, ? 2- représente la capacité+ou le besoin- de nancement des a"entspublics.

Pr. Karim SABRI. @;



Merci pour5otre

attention.Pr. Karim SABRI. @@

I= ? Economie ou5erte +Reste du monde-



• !0économie nationale entretient

maintenant des échan"escommerciau* a-ec le reste dmonde.

• ette o-ertre a commerceinternational se matérialise par lesimportations M et les e:portations G

de l0économie considérée qicomprend donc

!es ména"esB les entreprisesB

l0Etat et le reste du monde.Pr. Karim SABRI. 1




• !es importations% qi sont ne composante

de l0oLre "lobale% donnent lie despaiements en monnaie "srtot en de-ises*de la part de l0économie nationale etconstitent une fuite d circit économiqe

national.• !es e*portations% qi constitent la

demande e*térieure% se concrétisent pardes 5ersements du reste du monde

l0économie nationale et représentent doncune in6ection de monnaie dans le circitéconomiqe nationale.

Pr. Karim SABRI. 11




+ -

• !0é'alité d0éqilibre entre l0oCre

'lobale et la demande 'lobale s0écritdonc

• !e montant d re-en national R%identiqe a prodit intérier

"relation 9*% se décompose en consommation nale CB épar"neS et impts , "relation ;*.

Pr. Karim SABRI. 12




• !e rapprochement des é'alités "9*%

";* et "11* condit la no-ellecondition d0éqilibre comptable. >neCet% on a

• Dans l0é'alité "11*% on remplace [ parR d ";*% il en réslte qe

Pr. Karim SABRI. 1+




• Soit% en simplifant par

• !0é#uilibre comptable est donc obten

lorsqe la somme de l0épar"neB desimpts et des importations est é"ale la somme de l0in5estissementB desdépenses publi#ues et dese*portations.

Pr. Karim SABRI. 14

I= ? Economie ou5erte +Reste dumonde-



monde-

Pr. Karim SABRI. 16

• !a condition "12* pet s0écrire é'alement de la aYonsi-ante

• !es trois termes de la relation "1+* s0interpr7tentcomme sit

.+S ? I- H Capacité +ou besoin- de nancementdu secteur pri5é.

$.+, Q 2- H apacité "o besoin* de fnancement d

secter pblic H Solde bud"étaire.

%.+G Q M- H Solde e*térieur. + K $ %-.




-

• Spposons q0ne année donnée% l0économie

nationale présente n e*cédent e*térieur " " 3* présente n solde positi*.

• et e*cédent commercial est dT

1. soit ne capacité de nancement d

secter pri-é +S Q I N 9-.2. soit n e*cédent bud"étaire +, Q 2 N

9-.

+. soit tote combinaison de +S Q I- et +, Q2- por laqelle la somme +S Q I- K +, Q2- est positi5e.

Pr. Karim SABRI. 18




monde-• !0é#uilibre du circuit économi#ue% qe nos

-enons d0étdier% se tradit par ne identité qi est

nécessairement 5raie e* postB il s0e:prime par nerelation comptable #ui permet de déterminerle ni5eau du re5enu national +ou :I3-d0é#uilibre% noté e* post.

•

3ais cette identité comptable est insuWsantepor répondre la qestion de sa-oir si lesni5eau* d0é#uilibre atteints par les a"ré"atsd0oLre et de demande au bout d0une annéeBcorrespondent eLecti5ement au* souhaits #ue

l0ensemble des a"ents économi#ues a-aientanticipés e* ante% c0est??dire a5ant #u0ils nesoient réalisés.

Pr. Karim SABRI. 19




• 0est ainsi qe l0é#uilibre

macroéconomi#ue correspond unesituation dans laqelle les a"ré"atséconomi#ues réalisés e* postcoXncident a5ec les a"ré"ats

économi#ues pré5us e* ante.• >:emple ne économie ermée sans >tat%

a-ec les de: sels secters ména'es etentreprises% nos a-ons - qe la condition

d0éqilibre comptable est qe "S H I*% ils0a'it d0n éqilibre e: post qi s0écrit

Pr. Karim SABRI. 1;

Section ( 4 !0utilité de la C1.



• !a enre'istre l0ensemble des opérationseLectuées par les a"ents économi#ues se tro-ant

sr le territoire national drant ne année ci-ile. >lle an rle doble

.Rassembler des données économi#ues#uantiables "salaires% crédits% in-estissementsJ*.

$.Anal&ser le circuit économi#ue% c55d lesconséqences des décisions prises par les diCérentsa'ents "e:. ne hasse des salaires impliqe'énéralement ne a'mentation des pri:*.

!a enre"istre principalement les Ju*en"endrés par les opérations des a"entséconomi#ues.

Pr. Karim SABRI. 1@

Section ) 4 !0enre"istrement desopérations



opérations.• Fn distin'e trois caté"ories

d0opérations qi sontenre"istrées selon le principe de lacomptabilité en partie double% en

ressorces et en emplois% a-ecl0obli'ation d0atteindre n é#uilibrenal.

I ? !es opérations 4

1. Fp. sr biens et ser-ices%

2. Fp. de répartition%

+ Fp fnanci7resPr. Karim SABRI. 11

I ? !es opérations 4



Pr. Karim SABRI. 111

II ? !0enre"istrement sur descomptes 4



p• !es opérations résultant de l0acti5ité des

a"ents économi#ues sont enre"istrées sr descomptes.

• Fn tilise de: caté'ories de comptes. !es comptesd0opérations et ce: de secters.

. !es comptes d0opérations 4

• Ils reprennent les opérations précédentes etdébochent sr des é#uilibres comptables.

• oncernant les opérations sur biens et ser5ices%on a l0éqilibre ">mplois H Ressorces* si-ant


II ? !0enre"istrement sur des comptes 4



$. !es comptes de secteurs 4

Pr. Karim SABRI. 11+

II ? !0enre"istrement sur des comptes 4

d i l



• !es comptes de secters s0articulent entre e:a mo$en de chacn des soldes dé"a"és.

• Ainsi% la 5aleur a6outée d compte deprodction sera répartie par le compted0e:ploitation% dont l0e*cédent brut déterminel0importance d compte de re-en% li5mEme

donnant naissance par l0intermédiaire d re5enudisponible la consommation et l0épar"ne%cette derni7re fnance les besoins denancement des a"ents.

•

!0é#uilibre nal sera assré par le comptenancierB qi ait apparatre les créances et lesdettes des a"ents économi#ues nationau*.


E*emple du secteur Y Ména"e [ en /rance en .

source http4\\michel.barot.pa"esperso?oran"e.fr\ecodidac\e"9).htm




II ? !0enre"istrement sur descomptes 4



comptes 4• !a s&nth'se de ces Ju* est représentée par

n docment 'énéral le tablea économiqed0ensemble ",EE*% qi reprend les opérationsenre"istrées par les comptes des secteursinstitutionnels.

• !e ,ES décrit la mani7re dont se réalisel0é#uilibre entre les ressources et lesemplois.

• Il traduit les échan"es respectifs entre les

branches d7acti5ité. +) Y sous?tableau* [ -.• !e ,O/B li% détaille% en ?: et en encors% les

opérations nanci'res.


Sorce. http\\]]].crdp5montpellier.r\ressorces\RD\S>S\..W6S>SW6/BFW6/Bo24W6/Bo24.pd




Interprétation du ,EE.



Interprétation du ,EE.

•

Dans le =>>% les diCérentes opérations sr bienset ser-ices% de répartition et fnanci7res sontprésentées en li'nes% alors qe les diCérentssecters instittionnels f'rent en colonnes.

•

haqe case intériere d tablea indiqe%donc% ne opération donnée eCectée par nsecter instittionnel donné.

• !a partie droite d =>> est réser-ée%

con-entionnellement% a: ressorces dessecters instittionnels et la partie 'ache estdestinée lers emplois.

Pr. Karim SABRI. 11;

,ES +présentation simpliée-.Source 4 http4\\coursdu"ead.free.fr\Contenu\Cours]Macro\Macro^$9II^$9?̂ $9!a^$9comptabilite

^$91ationale.pdf



Pr. Karim SABRI. 11@

,ES +présentation simpliée-. http\\]]].comptanat.r\principe\tes:.htm^a1

http://www.comptanat.fr/principe/tesx.htm





Pr. Karim SABRI. 12

,ES +présentation simpliée d0un e*emple chiLré-.



• Dans ce tablea les colonnes correspondent a:branches et les li'nes a: prodits. Ainsi% si nos

considérons la colonne _A'ricltre_ • 1 représente la consommation intermédiaire de la

branche a'ricltre en prodits de l,a'ricltre%

• 2 la consommation intermédiaire de la branchea'ricltre en prodits de l,indstrie%

• 1 la consommation intermédiaire de la branchea'ricltre en prodits des ser-ices%

• 4 est le total de la consommation intermédiaire de labranche a'ricltre.




• Si nos considérons la li'ne _Indstrie_% 2 est la

consommation intermédiaire en prodits de l,indstrie parla branche a'ricltre%

• 6 la consommation intermédiaire en prodits del,indstrie par la branche indstrie%

•

+ la consommation intermédiaire en prodits del,indstrie par la branche des ser-ices%

• 1 le total de la consommation intermédiaire enprodits de l,indstrie de l,ensemble de l,économie.


,O/ +présentation simpliée-.




Ch it %



Chapitre % 4Structure du

s&st'me marocainde la comptabilité

nationale.Pr. Karim SABRI. 126

ap re 4 ruc ure us&st'me marocain de lat bilité ti l



comptabilité nationale.• Por simplifer% la C1M proc7de par de: sortes

de classifcations 1. ne classifcation par opérations eLectuée

lorsqe l0on s0intéresse a t&pe d0acti5itéséconomi#ues. +Op sur 3iens et ser5icesB

Op de répartition et Op /inanci'res-.+Section $-

2. ne classifcation par unités de productiondébochant% si-ant l0ob<et d0anal$se% sr n

re'ropement en termes de secteursinstitutionnels ou en termes de branches.+Section -


Section 4 !es secteurs institutionnels etles branches d0acti5ités.



• Por re'roper les unités économi#uesélémentaires% la adopte deu*crit'res de re'ropement

1. !e crit're institutionnel donnantnaissance a: secteurs institutionnels%+II ? !es secteurs institutionnels +SI--.

2. >t le crit're fonctionnel aisant

apparatre les branches. +I ? !esbranches d0acti5ités économi#ues-.


I ? !es branches d0acti5itéséconomi#ues.



#

• ne branche se défnit par n

ensemble d0établissements.• n établissement est ne unité

économi#ue élémentaire e:erYant

un seul t&pe d0acti5ité en un seullieu "éo"raphi#ue.

• ependant sr le plan prati#ue%

cette dénition de la branche srla base de l0établissement soCre deplusieurs diWcultés parce qe





#1. ne entité 6uridi#ue pet e:ercer

ne seule acti5ité mais desendroits diLérents sans tenir unecomptabilité propre dans chaqe

endroit.Par e:emple transport%commnication% banqes J

2. ne entité 6uridi#ue pet e:ercerdans un lieu uni#ue plusieursacti5ités% l0e:emple d0ne

entreprise prodisant la ois desPr. Karim SABRI. 12@




#• !a a remplacé donc cette défnition de la

branche par ne atre nité qi ait abstractiondes lieu* de production et #ui s0appellel0unité de production homo"'ne.

• 0est55dire la branche est n ensemble d0nitésqi prodisent partir d0inputs similairesB desoutputs similaires.

• Donc chaqe branche correspond un seulproduit.

• 3ais dans la réalité la production eLecti5e

d0ne branche est diLérente de sa productiondistribuée car la production eLecti5e compoteles produits fatals et les produits 5oisins.

Pr. Karim SABRI. 1+




#

•

Un produit fatal est celi qi nepeut tre dissocié de lafabrication du produit principalde la branche en qestion.

• Par e:emple% la branche del0indstrie métalliqe de base "1@*prodit atalement d 'a` de hats

ornea: q0elle -end la branchecorrespondante "9 pétrole raLné etdéri-és d pétrole et d charbon*.

Pr. Karim SABRI. 1+1




• !es produits 5oisins "de sbstittion* sont des

produits fabri#ués par des branchesdiLérentes l0aide des techni#ues et des inputsdiLérents mais répondant n mme usa"e.

• es prodits doi-ent Etre ran"és dans leursbranches appropriées.

• Par e:emple% la branche 28 Articles en caotchoco en plastiqe prodit des chassres enplastiqe. Dans ce cas% les chassres en plastiqeqi sont des prodits -oisins doi-ent Etre

transérées dans ler branche appropriée qi estcelle d cir et chassres en cir .



: d ti di t ib é d0



:roduction distribuée d0une

branche production eLecti5e Q5aleur des produits fatals et5oisins.

•

Dans le nou5eau s&st'me de C1%de: 'randes caté'ories de branchessont distin'er les branchesmarchandes et les branches non

marchandes.• !a 3arocaine "3* retient (

branches homo"'nes qi sontPr. Karim SABRI. 1++


• !a notion de branche ne traduit pas une réalité



• !a notion de branche ne traduit pas une réalitééconomi#ue concr'te mais il s0a'it tot

simplement d0ne construction statisti#ueconsistant re"rouper des produitsidenti#ues dans des ensembles homo"'nes.

• !a notion de branche est l0ori"ine de la

construction du ,ES "anal&ser les relationsd0ordre technico?économi#ues au sein del0appareil productif national*.

• !0anal$se des comportements économi#ues

est ondée sr un autre t&pe de re"roupementdes nités économiqes élémentaires. Il s0a'it desecteurs institutionnels.


II ? !es secteurs institutionnels+SI-.



• !a 3 distin'e cinq secters instittionnels et

le reste d monde.15Sociétés et qasi% sociétés non fnanci7res"S.).S..G*.

a5 S.).S. pbliqes.

b5 S.).S. pri-ées.25!es instittions fnanci7res "IG*.

a5!es instittions de crédit.

b5!es or'anismes de placement collectis en

-alers mobili7res "FP(3*.c5!es compa'nies d0assrances et les caisses deretraite.


II ? !es secteurs institutionnels+SI-.



+5!es administrations pbliqes "AP*.

a5!es administrations pbliqescentrales.

b5!es administrations pbliqes locales.

c5!es administrations de la sécritésociale.

45!es instittions pri-ées sans bt lcrati"IPSB!*.

65!es ména'es.

85!e reste d monde.


II ? !es secteurs institutionnels +SI-.



? S.>.S.1./

•

Entreprises non nanci'res résidentesconstitées en sociétés o qasi5sociétés dont laonction économiqe principale est la productiondes biens et ser5ices destinés a: marchés.

• !e prodit d A doit constiter a moins 6 W delers ressorces.

• !a société est ne entreprise qi répondsimltanément de: crit7res si-ants

1. Disposition d0necomptabilité propre

etcompl7te.

2. Noissance de la personnalité 6uridi#ue.


? S.>.S.1./



• !a #uasi?société est ne entreprise qi nesatisfait pas au* crit'res de la constitutionde la société. "compta et personnalité <ridiqe*.

• Par e:emple certaines unités économi#uespe-ent a-oir une comptabilité compl'te sanspor atant 6ouir d0une personnalité morale.>: certains 'rands hpita:% sccrsalesd0entreprises étran'7res sitées a 3arocJetc.

• >n considérant la propriété 6uridi#ue ducapital on pet di-iser ce secter en deu* sous?secteurs 4

+S>S publi#ues et S>S pri5ées-.

Pr. Karim SABRI. 1+;

? S.>.S.1./



a? S.>.S. publi#ues 4

•

)i sont contrlées par l0Etat o lescollecti5ités locales "FP% F>% FGJetc*.

b? S.>.S. pri5ées 4

• e sont des sociétés et qasi sociétés contrléeset "érées par le pri5é.

• Il est remarqer qe les entreprisesindi5iduelles dans lesqelles on ne pet pasdissocier entre l0acti-ité domestiqe et l0acti-itéproessionnelle de l0entreprener% ne ont pas

parties de ce secter et elles sont classées dans lesecteur des ména"es "e:ploitation a'ricole%artisans% proessions libérales...*.

Pr. Karim SABRI. 1+@

$? !es institutions nanci'res+I/-.



• !e secter des IG se décompose entrois sos5secters

1. !es instittions de crédit%

2. !es or'anismes de placementcollectis en -alers mobili7res"FP(3*%

+. !es compa'nies d0assrance et lescaisses de retraite.

Pr. Karim SABRI. 14

a? !es institutions de crédit.



• 0est l0ensemble des nités instittionnelles

résidentes dont la fonction principale consiste nancer% c0est55dire collecterB transformeret distribuer les disponibilités nanci'res.

• !ers principales ressources pro-iennent des

dépts 5ue et terme #u0elles "'rent.Dans ce sos5secter% on pet distin'er entreatres

1. !a banqe centrale "Ban Al53a'hrib*.

2. !es banqes commerciales et les banqesd0aCaires.

+. !es atres or'anismes de crédit assimilés.


b? !es O:C=M.• Parmi les FP(3 on pet distin'er entre



Parmi les FP(3% on pet distin'er entre

• !es sociétés d0in-estissement capital -ariable

"SICA=*% +SA-• >t les onds commns de placement +/C:-.

+copropriété de =M: et pas une société-.

• !er principal rle consiste "érer eWcacement

l0épar"ne des unités économi#ues etsimplier l0acc's au marché boursier.

• >n otre% les O:C=M oCrent% a: petitsépar'nants non initiés a: mécanismes de

onctionnement des marchés fnanciers%l0a-anta'e de proter des opportunitésoLertes par les marchés de capitau*.


c? !es compa"niesd0assurances et les caisses de

retraite



retraite.

• 0est l0ensemble des nités instittionnellesrésidentes dont la fonction principale estd0assurer% c0est55dire transformer lesris#ues indi5iduels en ris#ues collectifsB

tout en "arantissant des indemnitésdans le cas o_ un sinistre se réaliserait.

• !es caisses de retraite sont des caissesqi eCectent des opérations nanci'res

sr le marché des capitau* et ne doi-entpas rele-er d ré'ime de la sécrité sociale.


%?!es administrations publi#ues+A:-.

• e secter comporte totes les nités



e secter comporte totes les nitésinstittionnelles dont la fonctionprincipale consiste

. :roduire des ser5ices non marchands destinés la collecti-ité%

$.Ou eLectuer des opérations deredistribution des re5enus et desrichesses nationales.

•. !ers ressources principales pro-iennent

des prél'5ements obli"atoires "impts%ta:es% cotisations sociales J etc*.


%?!es administrations publi#ues+A:-.



• !e secter des administrations pbliqes se

décompose en trois composantes a? !es administrations publi#ues centrales 3inist7res% Directions% Di-isions Jetc.

b? !es administrations publi#ues locales

comprennent les préectres% les pro-inces% lesmnicipalités% les commnes rrales J etc.

c? !es administrations de la sécurité sociale qi ornissent des ser-ices non marchands de

santé% de -ieillesse% de maternité% de amille J• !ers ressorces pro-iennent des cotisations

sociales obli'atoires.


(? !es institutions pri5éessans but lucratif +I:S3!-.



sans but lucratif +I:S3!-.

• e sont des unités pri5ées dont la fonctionprincipale est de ornir des ser5ices non marchands des caté'ories particli7res des ména"es.

• >lles ne sont contrlées ni par l0EtatB ni par lesS.>.S.

• >lles obtiennent lers ressources principalement descontributions 5olontaires des ména"es.

• Por ne pas Etre assimilées des ména'es% les IPSB!doi5ent emplo&er au moins deu* personnes pleintemps.

• oncr7tement% il s0a'it de s$ndicats% de partis politiqes%de clbs et des associations Jetc.


)? !es ména"es.• n ména'e est ne personne o n ensemble de personnes



' p pliées o non par des liens de parenté -i-ant sos n mEme

toit et mettant en commn lers ressorces.• !a consommation étant la onction principale des

ména'es. 3ais ils pe-ent é-entellement produire desbiens et ser-ices marchands% en tant q0entreprenersindi-idels condition qe lers acti5ités

professionnelles ne soient pas séparées de leursacti5ités domesti#ues.

• !es ména'es procrent lers ressources 4

1.De la rémunération des facteurs 4 tra5ail% capitalBterre%

2.Des re5enus des entreprises indi5iduelles%+.Des transferts en pro5enance d0autres secters

instittionnels o d reste d monde.


8? !e reste du monde.Il ne s0a'it pas d0un 5rai secteur



• Il ne s0a'it pas d0un 5rai secteurinstitutionnel parce q0il n0admet ni fonctionprincipale% ni ressources principales.

• !e reste d monde est tot simplement neconstruction statisti#ue qi rend compte desopérations eLectuées entre les unitésrésidentes et les unités non résidentes.

• es opérations $ sont enre'istrées d pointde -e des unités non résidentes sa por lacapacité +ou le besoin- de nancement qiest inscrite d point de -e de la nation.


Section $ 4 !es opérations.• !es opérations sont des actes #ui traduisent



!es opérations sont des actes #ui traduisentl0acti5ité économi#ue des nités élémentaires.

• >lles re?7tent les mou5ements d0ob6etséconomi#ues tels qe les actifs réelsB lesactifs monétaires et les actifs nanciers entre les nités.

• !es opérations pe-ent Etre re'ropées en troiscaté"ories homo"'nes de point de -e de lernatre économiqe

• !es opérations sr biens et ser-ices "I*% les

opérations de répartition "II*% les opérationsfnanci7res "III*.


I ? !es opérations sur biens etser5ices.

• e sont des opérations qi portent sr la création



• e sont des opérations qi portent sr la créationBla transformation et l0utilisation des biens etser5ices par les a"ents économi#ues.

• >lles comprennent les opérations de production+:-B de consommation +CI ` C/-B de formationbrute de capital *e +/3C/- et les opérations

d0importation +M- et d0e*portation +G-.• Il est noter qe pour tout bien et ser5ice isss

de ce t$pe d0opérations% il e:iste n éqilibreondamental donné par l0é#uation d0é#uilibre

ressources et emplois.: K M CI K C/ K /3C/ K =.S, K G.

Pr. Karim SABRI. 16

. !a production +:-.

• os allons nos concentrer sr les



• os allons nos concentrer sr les

modalités de -alorisation de la prodction.• >n eCet% plsiers t$pes de pri: e:primant

la -aler de la prodction pe-ent Etredistin'és

a( "e pri) départ usine 156,b( "e pri) d’acquisition,

c( "e co7t des #acteurs,

d('valuation de certaines productionsspéci+ques% "institts de crédit% compa'nied0assrance% ser-ices non marchandsJ*.


a? !e pri* départ usine :DU.Il t l Xt d ti i t édi i CI



• Il compte le coXt des consommations intermédiaires CI%la rémnération des acters de prodction "tra-ail SB capital E3E*% a'menté des impts liés la prodctionet l0importation I!: nets de sb-ention d0e:ploitationSU3. EG:.

• :.D.U CI K SA! K E3E K +I!: Q SU3. EG:-

• !a -alorisation de la prodction de biens et ser-icesmarchands se ait en 'énéral a P.D.. 3ais lorsq0iln0$ a pas d0échan'e "autoconsommation*% laprodction est é-alée a P.D.. des produitsidenti#ues écolés sr le marché.

"as des biens prodits por l0sa'e propre dprodcter en tant qe consommation intermédiaire%fnale o in-estissement*.


b? !e pri* d0ac#uisition.• Il est éqi-alent a : D U a'menté des



Il est éqi-alent a :.D.U. a'menté descoXts de distribtion en particlier% lesmar"es commerciales et les frais detransport 4 MC.

:ri* d0ac#uisition :.D.U K M.C

•

!e pri: départ sine et le pri: d0acqisitionreprésentent les de: -ariantes d pri: dmarché.

• !e premier P.D.% c0est le pri: qi re-ient a

prodcter lorsqe les prodits qittentl0sine% le de:i7me est le pri: pa$é parl0acqérer des prodits sr le marché.


c? !e coTt des facteurs.

• 0est le pri: qi permet de rémnérer <ste



est le pri: qi permet de rémnérer <steles acters de prodction et co-rir le coXtdes consommations intermédiaires.

CoTt des facteurs CI K SA! K E3E :DU Q +I!: Q SU3. EG:-

• !a -alorisation de la prodction a coXt desacters présente l0a5anta"e deneutraliser l0impact de la scalité.

• >lle est par conséqent la plusappropriée en mati're de comparaison interbranches et inter5temporelle.


c? !e coTt des facteurs.



• !a prodction de la branche Ycommerce [ qi ne correspondréellement aucun produit est é-aléepar les mar"es commerciales.

• !es mar"es commerciales étant ladiLérence entre pri* d0ac#uisitiondes produits commercialisés et leur

pri* départ usine.M.C pri* d0ac#uisition Q :.D.U.


d? E5aluation de certainesproductions spéci#ues.



• Parmi les prodctions des ser-ices marchands

dont l0é-alation pose des probl7mes spécifqes%on pet citer le cas des institutions de crédits et de compa"nies d0assurances. " Q AtresJ*

• !es institutions de crédits4

• Fn pet décomposer ler prodction en de:caté'ories

1. !es ser-ices bancaires destinés ne client7leidentifable. "client'le identiable*

2. !a prodction imptée de ser-ices bancaires"PISB*. "client'le non identiable*


!es institutions de crédits.

1 !es ser-ices bancaires destinés ne client'le



1. !es ser-ices bancaires destinés ne client'leidentiable et dont la facturation ne pose aucun

probl'me. Il s0a'it notamment de location de coCresorts% ser-ices de cartes de 'ichet atomatiqe% -entede cartes de crédit J etc.

2. !es ser5ices d0intermédiation nanci're ornispar les banqes lorsq0elles collectent% transorment etdistribent les disponibilités fnanci7res.

•. Fn parle ce propos de production imputée deser5ices bancaires "PISB*.

•. >lle est mesrée par l0e:cédent des intérEts et

di-idendes reYs% l0e:ception de ce: acqis sr lescapita: propres% sr les intérEts -ersés

:IS3 Intérts et di5idendes reus Q intérts5ersés.


!es institutions de crédits.



• !a :IS3 ne pet pas tre 5entilée en termesde branches clientes parce q0il est tr7sdiLcile de connatre #ui a consommé #uoi.

• >n on sppose qe cette prodction est

destinée la consommation intermédiaired0ne branche cti5e dont la productionest nulle.

• Par conséqent la 5aleur a6outée de cette

branche est né"ati5e% elle est é'ale et desi'ne contraire la -aler de la PISB.


!es compa"nies d0assurance.

• Por les compa'nies d0assrance on pet



• Por les compa'nies d0assrance on pet

distin'er entre les assurancesdomma"e et les assurances 5ieQcapitalisation.

? Ser5ices d0assurances domma"es.

• oncernant la production de ser-icesd0assrances domma'es% elle est é-aléepar la diLérence entre le montant desprimes brutes ac#uises et le montant

des indemnités dues sur sinistres.:roduction primes brutes Q indemnités

dues.Pr. Karim SABRI. 16@

!es compa"nies d0assurance.

$ ? Assurances 5ie Q capitalisation.



ssu a ces e cap a sa o

• !a prodction des assrances -iecapitalisation s0é-ale de la mani7re si-ante

:roduction +primes ac#uises K re5enusdes placements- Q +indemnités 5ersées K

réser5es mathémati#ues-.

• !es réser5es mathémati#ues sont desfonds placés par les compa'niesd0assrances sos ormes d0actifs ph&si#ues

ou nanciers en -e de cou5rir les ris#uesassurés lon" terme.

Pr. Karim SABRI. 18

Mutuelles et caisses de retraite.

• Dans le cadre des mtelles et



• Dans le cadre des mtelles et

caisses de retraite% la prodction desser-ices est é-alée par la diCérenceentre les coXts de 'estion et les

sb-entions d0e:ploitation.

:roduction CoTt de "estion Q

sub5entions d0e*ploitation.


!es branches d0acti5ités nonmarchandes.

• Dans les branches d0acti5ités non



Dans les branches d acti5ités non

marchandes% la production deser-ices non marchands est é-aléea coTt de production.

:roduction des S1M coTt deproduction

• =rois secters instittionnels sontintéressés

1. !es administrations pbliqes "AP*%

2. !es IPSB!%

+ >t les ména'esPr. Karim SABRI. 182

? !es A: et $ ? !es I:S3!.

• Por ce qi est des A: et des I:S3!% le



Por ce qi est des A: et des I:S3!% lecoXt de prodction comporte les élémentssi-ants

1. la consommation intermédiaire CI%

2. la rémnération des salariés SA!%

+. les amortissements CC/ "consommationd capital f:e*%

4. et les impts liés la prodction I!: nets

de sb-entions d0e:ploitation SU3.EG:.CoTt de production CI K SA! K CC/ K+I!: Q SU3. EG:-


% ? !es ména"es.

t l é t t



• oncernant les ména'es en tant qe

producteurs de ser5icesdomesti#ues non marchands%lers coXts de prodction se limitent

la rémunération du personneldomesti#ue

CoTt de production salaires

pa&és.


$? !es importations +M-.• A cté de la prodction% l0importation constite



A cté de la prodction% l importation constitele de:i7me élément des ressorces.

• >lle concerne

1. !a 5aleur de tous les biens 5enant dureste du monde "R3* et entrant

défniti-ement sr le territoire économiqenational%

2. !a 5aleur des ser5ices ornis par desnités non résidentes a: nités résidentes.

•. ertaines opérations pro-isoires se tro-entelles e*clues ">: biens en transit% desmarchandises en admission temporaireJetc.*


$? !es importations +M-.

• !es 3 sont é-alées CA/ "coXt assrances



• !es 3 sont é-alées CA/ "coXt% assrances%

rets* c0est55dire ler -aler la ronti7re dpa$s e:portater% a'mentée des rais detransport de cette ronti7re <sq0 la ronti7remarocaine pls le coXt d0assrancesdomma'es.

">: AG de la Grance por le 3aroc*

M =aleur la fronti're /rance K frais detransport 6us#u7au Maroc K Assurances

domma"es• !es ser5ices importés% qant e:% ils sont

é-alés a pri* du marché.


%? !a consommation intermédiaire +CI-.

• >lément d0emploi% la CI correspond laale r des biens et ser ices marchands



5aleur des biens et ser5ices marchands

consommés dans le processus deproduction de la périodeB en 5ue deproduire d0autres biens et ser5ices.

• De: t$pes de I pe-ent Etre rele-és

.!a CI e*terne% qi si'nife la consommationpar ne branche des prodits d0atresbranches. "1ri) d’acquisition*%

$. Intra?consommation% c0est la consommation

d0ne branche de ses propres prodits "156*o des prodits similaires importés "C89*.


%? !a consommation intermédiaire +CI-.

• !a CI e*terne est é-alée a pri*d0 i i i l l0i



d0ac#uisition% alors qe l0intra?

consommation est -alorisée a :DU o CA/.Selon qe les biens consommés sont proditspar la branche elle5mEme o importés.

• !a CI ne comporte pas l0usure Y CC/ [ o la

dépréciation d capital f:e "amortissements*.• !a consommation des ser5ices bancaires

par totes les branches est considérée commela CI d0une branche cti5e dont la -aler

a<otée est éqi-alente et de si'ne contraire% la prodction imptée de ser-ices bancaires P.I.S.B. "S 14@*


(? !a consommation nale +C/-.• >lle représente la 5aleur des biens et ser5ices

marchands et des ser5ices non marchands tilisés



marchands et des ser5ices non marchands tiliséspor la satisaction directe des besoins des ména"es etdes administrations.

• Par contre% les S.>.S.1./. et les institutions nanci'ren0ont pas% par con-ention% de consommation fnale.

• Deu* 5ariantes de G pe-ent Etre rele-ées

!a G intérieure et la G nationale.1. Por la C/ intérieure% il s0a'it de la G des résidents

et des non?résidents sr le territoire économiqenational. "Crit're de territorialité*

2. !a C/ nationale% qant elle% comprend la C/ desinstitutions nationales résidentes sur le territoireéconomi#ue national et dans le reste du monde.+Crit're de nationalité-


(? !a consommation nale +C/-.

• !a C/ des biens et ser5ices marchands concerneessentiellement les ména"es



essentiellement les ména"es.

• >lle pet porter sr l0ensemble des biens durableset non durables et les ser5ices marchands acqis par les ména'es por la satisaction de lersbesoins% l0e*ception d lo"ement qi estconsidéré comme ne /.3.C./.

• ette C/ des ména"es est comptabilisée'énéralement a pri* d0ac#uisition ,,C "totesta:es comprises*.

• !a consommation des ser5ices non marchands"S3* ornis par les A: et les I:S3! concerne enréalité tous les secteurs instittionnels. Fn a 2 cas

Pr. Karim SABRI. 19


Si les S1M sont consommés par les S.>.S.1./



et les I/% on les consid7re comme ne CI.

A contraire% s0ils sont consommés par lesména"es on les comptabilise sos5titre de C/.

• ependant% de-ant l0impossibilité de connatre

#ui a consommé #uoi de ces S3% la

C1

les consid7rent comme étant consommés titre nal par les administrations #ui lesont produits en les comptabilisant lercoTt de production C: qi est é'al

C:+CI K salaire K CC/ K I!: Q Sub.D0e*ploitation-



!a C/ non marchande des ména"es



!a C/ non marchande des ména"es

comporte . !es ser5ices domesti#ues

prodits par les ména'es et qi sont

é5alués par la rémunérationsalariale d personnel domestiqe%

$. !es ser5ices non marchands des

A: et des I:S3! acqis contrepa&ements partiels.


)? !a formation brute decapital *e.• !a GBG comporte les éléments du capital *e% cd

la -aler des biens durables et reproductiblesB



p Butilisés sans disparaVtre par les unités

institutionnelles résidentes au cours de leursprocessus de production tels qe lesconstrctions% le matériel d0éqipement% le matérielde transport% matériel et mobilier de brea Jetc.

•

>lle concerne% en otre 1. !es frais de mutations de la propriété de ces

éléments%

2. !a 5aleur des biens et ser5ices qi ler sontincorporés dans l0ob<ecti

.d0accrotre lers drées de -ie%

.d0a'menter lers capacités de prodction%

.o d0améliorer lers prodcti-ités.


)? !a formation brute decapital *e. +/3C/-

• !0acqisition des terrains% d0actifs incorporels



! acqisition des terrains% d actifs incorporelset

d0actifs nanciersn0entre pas dans la GBG.

• !0acqisition des éléments durables par lesména"es et les administrations militaires% l0e:ception de lo'ements% ne fait pas partie dela /3C/. ">:emple -oitre% ordinatersJ*

Por les ména"es cette acqisition est neconsommation nale.

Por les administrations militaires% elle estconsidérée comme ne consommationintermédiaire des administrationspubli#ues.


)? !a formation brute de capital*e. +/3C/-

• !a /3C/ des ména"es en tant qe



• !a /3C/ des ména"es% en tant qe

consommateurs ne comporte qel0ac#uisition de leurs lo"ements.

• !es biens et ser5ices entrant dans la

/3C/ sont é-alés 1. A pri* d0ac#uisition s0ils sont acqis

titre onéreu*B

2. >t a :.D.U. dans le cas de prodctionpor le compte propre d prodcter."Autoproduction*


8? =ariation des stocPs +=.St-.• !es stocs représentent tos les biens non

durables conser-és par les nités prodcti-es



durables conser-és par les nités prodcti-es

en -e de les utiliser o de les 5endre tels qe les mati7res premi7res% mati7resconsommables% marchandises% prodits fnis%prodits résidelsJetc.

• !a C1% étant ne comptabilité de Ju*% ne tientpas compte de la -aler des stocs% elleenre'istre selement sa 5ariation entre ledébut et la n de la période.

• Fn pet nancer entre les stocPs che lesproducteurs et les stocPs che lesutilisateurs et les commerants


8? =ariation des stocPs +=.St-.he` les producteurs% ils sont

é l é i d d ti



é-alés a pri* de production.

he` les utilisateurs et lescommerants% ils sont -alorisés apri* d0ac#uisition.

• Par con-ention% les ména"es entant qe consommateurs neposs7dent pas de stocPs.

• !es ména'es sont considérésconsommer titre nal tous lesbiens q0ils ach7tent l0e*ception


? !es e*portations +G-.• 0est l0ensemble de biens neufs ou

d0occasion #uittant défniti-ement le



d occasion #uittant défniti-ement le

territoire économiqe national marocain destination d reste du monde.

• !es e:portations sont é5aluées /O3 "ree onboard Sans #rais : bord *% c0est55dire a

:DU a'menté des frais de transport etd0autres frais 6us#u0 la fronti'remarocaine.

• !es e*portations comportent aussi les

ser5ices ornis par les nités résidentes a:nités non résidentes é-alés au pri* dumarché.


? !es e*portations +G-.• >ntre les diCérentes opérations de biens et

i il é ilib f d t l



ser-ices% il $ a n é#uilibre fondamental

assi bien en 5olume q0en 5aleur. • !0éqilibre en -aler se tradit par

l0éqation si-ante

: K M K D,M K MC K ,=A CI K C/ K/3C/ K =S K G

• D=3 Droits et ta:es l0importation.

•

!a 5entilation de ces opérations debiens et ser-ices par t$pe de proditshomo'7nes era l0ob<et d ,ES.


Section $ 4 !es opérations.

Rappel4



•

!es opérations pe-ent Etre re'ropées en troiscaté'ories homo'7nes de point de -e de lernatre économiqe

• !es opérations sr biens et ser-ices "I*% "dé< -*

• !es opérations fnanci7res "III*.• !es opérations de répartition "II*% Dans cette

caté'orie% on pet distin'er entre les opérationsqi portent sr la répartition du re5enu +- et

celles qi se rattachent la répartition ducapital +$-.

Pr. Karim SABRI. 1;

II ?!es opérations de répartition.

? !es opérations de répartition dere5enus +O R-



re5enus +O.R-

a( "a répartition primaire!a rémnération salariale "RS*

!es re-ens de la propriété et de

l0entrepriseb( "a redistribution

!es impts liés la prodction et l03

!es sb-entions d0e:ploitation

!es opérations d0assrance domma'es

!es transerts corants non contractels

Pr. Karim SABRI. 1;1

II ?!es opérations derépartition.



$? !es transferts en capital.

a? !es sub5entionsd0in5estissement.

b? !es impts en capital.

c? !es autres transferts en capital.


? !es opérations de répartition de re5enus +O.R-.

a? !a répartition primaire.



• Il s0a'it de répartir la 5aleur a6outé +=A- dé'a'ée

dans le processs de prodction entre les diCérentsfacteurs qi ont participé directement ceprocesss notamment le tra5ail RS et le capital.

!a rémunération salariale +RS-.

• >lle représente la somme des -ersements enesp'ces et a-anta'es en nature ornis par lesemplo$ers a bénéfce de lers emplo$és titrede la rémunération d tra-ail q0ils ont accompli

a cors de la période.• ette rémnération se décompose en plsiers

éléments "+*

Pr. Karim SABRI. 1;+

!a rémunération salariale +RS-.• !es salaires et traitement bruts ils

comprennent les salaires eCecti-ement reYs



comprennent les salaires eCecti-ement reYs

par les salariés pls les primes et les cotisationssociales la char'e des emplo$és qi sontretenes la sorce. et élément comprendassi les a-anta'es en natre ornis par lesemplo$ers lers emplo$és.

• !es cotisations sociales eLecti5es lachar"e des emplo&eurs +CES:- e sont des-ersements eCectés par les emplo$ers a:or'anismes de la sécrité sociale por co-rircertains risqes qe lers salariés pe-entencorir "accidents% maladies% chma'eJetc*.


!a rémunération salariale +RS-.

• !es cotisations sociales cti5es +CS/- !esl t t l l ié



emplo$ers pe-ent octro$er lers salariés

directement n certain nombre d0a-anta'essocia: sans passer par le circuit de lasécurité sociale.

• e sont des prestations sociales directes

+:SD- eCectées par les emplo$ers lersemplo$és.

• !es cotisations sociales fcti-es correspondent%donc a: 5ersements ctifs eLectués par

l0emplo&eur un or"anisme social ctif qi%li5mEme% -a po-oir les donner a: salariéssos orme de prestations sociales directes.


propriété et del0entreprise.• e sont des re-ens isss de la répartition d0une



partie de la 5aleur a6outée +=A- sa-oir

l0>:cédent et d0>:ploitation +E1E- o des bénéfces.Ils pe-ent re-Etir plsiers ormes "4*

"!a consommation d capital f:e n0étant pas nre-en*

. Re5enus de la propriété q0on pet décomposeren de: éléments

Re-ens de la propriété fonci're tels qe leerma'e% le méta$a'e etc.

!es re-ens de lapropriété industrielle

etintellectelle tels qe les rede-ances de licencesd0e:ploitation% les ro$alties% les droits d0atersJ etc.


!es re5enus de la propriétéet de l0entreprise.

$. Re5enus de l0actif nancier Il s0a'it



notamment des intérts rémnérant certainescréances telles qe les obli'ations% les bons detrésor% les dépts bancaires terme% les bons decaisseJ etc.

%. Re5enus de l0entreprise e sont des re-ens

-ersés par les S.).S a titre de rémunérations desactionnaires% associés o entrepreneurs.

Fn pet distin'er entre di5idendes et parts desbénéces rémnérant les actionnaires et les

associés et qi sont déterminés en onction desrésltats distribés des sociétés.


!es re5enus de la propriétéet de l0entreprise.

(. Re5enus préle5és par les entrepreneurs dei iété l b i



#uasi?sociétés pour leurs propres besoins sur

les bénéces réalisés par lers entreprises.Par e:emple les prél7-ements eCectés par l0>tatsr les bénéfces de l0e: FP= "l0oLce national despostes et télécommnications* "actel Barid Al

3a'hrib* et qi sont destinés alimenter le bd'et'énéral de l0>tat. Ainsi% l0>tat en tantq0entreprener de la qasi5société des postes ettélécommnications prél7-e des re-ens sr les

bénéfces de sa qasi5société por son besoinpropre en sa qalité d0administration pbliqe.

Pr. Karim SABRI. 1;;

b? !a redistribution.

1. !es impts liés la prodction et



l0importation2. !es sb-entions d0e:ploitation

+. !es opérations d0assrance domma'es

4. !es transerts corants non contractels

Prestations sociales%

=ranserts corants a: AP%

=ranserts corants a bénéfce des IPSB!%

>tc.

Pr. Karim SABRI. 1;@

. !es impts liés la production et l0importation.

• Il s0a'it des prél'5ements obli"atoires



' p "

eCectés par les administrations pbliqessr la production ou l0importation desbiens et ser-ices et sr l0utilisation desfacteurs de production.

• >:emple la =(A% les atres impts liés laprodction% les droits de doaneJ etc.

• !es droits de douane sont a<otés la

-aler CA/ "coXt% assrances% rets* desimportations por donner le pri* départdouane des prodits importés.

Pr. Karim SABRI. 1@

$. !es sub5entions d0e*ploitation.

• e sont des transferts courants -ersés



par les AP certaines entreprises dont lesacti5ités sont <'ées importantes porl0économie nationale.

• es transerts -isent

1. !a réduction des pri* de 5ente decertains prodits de base "arine% lait%scre% hileJ etc.*%

2. 3ais assi ne rémunération suWsantedes facteurs de production.

Pr. Karim SABRI. 1@1

%. !es opérations d0assurance Q domma"es.



• >lles correspondent la cou5erturede certains ris#ues tels qe lesaccidents% incendie% -olJ etc.

•

!es assurés 5ersent annellementdes primes a: assrers et nereYoi-ent des indemnités qe dansle cas de réalisation d0n risqe"sinistre*.


(. !es transferts courants non contractuels.

• ette caté'orie re'rope plsiers t$pes d0opérationsde transerts qi ne sont pas la contrepartie d0une



de transerts qi ne sont pas la contrepartie d une

obli"ation contractuelle et n0étant pas liés laproduction. Il s0a'it notamment

Des impts sur le re5enu et le patrimoine telsqe l0impt sr les bénéfces des sociétés et impt

sr les re-ens des personnes ph$siqes. +ISB I2R -:restations sociales e sont des transerts -ersés

par la aisse ationale de Sécrité Sociale "SS*a: ména'es. !er montant est lar'ement spérier

a: cotisations sociales accmlées parce qe l0Etatcontribue pour une "rande part la co-ertrede ces prestations.

Pr. Karim SABRI. 1@+

(. !es transferts courants noncontractuels.



,ransferts courants au* A:.,ransferts courants au bénécedes I:S3!.

,ransferts pri5és internationau*eLectués par les ména"esmi"rants a proft de lers amillesdans ler pa$s d0ori'ine.

,ransferts courants di5ers"borses% amendesJ etc*.


II ? !es opérations derépartition.

? !es opérations de répartition dere5enus +O R-



re5enus +O.R-.

$? !es transferts en capital.• e sont des opérations qi portent sr la

répartition du patrimoine et qi sont denatre inJuencer les décisionsd0in5estissement des nités instittionnelles

• Fn a + 'ropes

a? !es sub5entions d0in5estissementBb? !es impts en capitalB

c? !es autres transferts en capital.


$? !es transferts en capital.a? !es sub5entions d0in5estissement.

• Il s0a'it des transerts eCectés par les AP a



' p

proft de certaines entreprises en -e de fnancerlers pro6ets d0in5estissement "achats debVtiments% de matérielJetc*.

b? !es impts en capital.

•

Ils constitent des prél7-ements obli'atoires desAP l0occasion des cessions et des mutationsdes éléments d capital " occasionnellement telsqe les droits d0enre'istrement% de cessionJetc*.

•

e caract7re occasionnel constite le crit7re dedémarcation entre les impts en capital et lesimpts sr le capital.


$? !es transferts en capital.



c? !es autres transferts en capital.• Dans ce cas on pet citer les

transerts eCectés par les AP titre

de domma"es de "uerreBindemnités de catastrophesnaturellesJetc.


III ? !es opérations nanci'res+O/-.

? !es instruments de r'"lements.



a5 !es mo$ens de paiement internationa:.

b5 !a monnaie nationale.

c5 !a monnaie scriptrale.

$? !es instruments de placement.

a5 Dépts non monétaires et titres cortterme.

b5 Fbli'ations et bons né'ociables.c5 Actions et atres participations.

Pr. Karim SABRI. 1@;

III ? !es opérations nanci'res+O/-.

%? !es instruments de



nancement.a5 rédits cort terme.

b5 rédits mo$en et lon' terme.

(? !es réser5es techni#uesd7assurance.

a5 !es réser-es primes et les réser-es

sinistres.b5 !es réser-es mathématiqes.

Pr. Karim SABRI. 1@@


• e sont les créances tilisées por ré"ler lestransactions au ni5eau national ou international



d,ne aYon immédiate et sans transormationpréalable.

a? !es mo&ens de paiement internationau*

• Il s,a'it de li#uidités tilisées dans les r'"lementsdirects l7e*térieur du territoire national telles

qe l,or fnancier% de-ises% droits de tira'e spécia:"D=S*

"sorte de monnaie scriptrale internationale émise par leGonds 3onétaire International G3I*.

•

es mo$ens de paiement sont détens essentiellementpar la 3an#ue Centrale por laqelle ils représententdes créances sur le reste du monde.

Pr. Karim SABRI. 2


b? !a monnaie nationale.



•

e sont des créances li#uides% tilisées dansles r7'lements immédiats a ni-ea nationaltelles qe la monnaie duciaire "billets etmonnaie di-isionnaire*.

c? !a monnaie scripturale.• e sont des dépts bancaires transérables par

ch7qes et -irements.

• !a monnaie scriptrale constite un Ju* net

de dettes pour la ban#ue émettrice et n?: de créances por l,nité instittionnelle qila détient.

Pr. Karim SABRI. 21


• !es nités instittionnelles pe-ent décider demettre en réser-e por ne période pls o



mettre en réser-e% por ne période pls o

moins lon'e% ne partie de lers liqidités. Fnparle% alors% d,opérations de placement.

• :lusieurs formes de mo$ens de placementpe-ent Etre distin'ées et classées en

onction de ler liqidité décroissante.

a? Dépts non monétaires et titres courtterme.

•

e 'rope renerme les dépts terme% déptssr li-rets% bons de caisse% bons de trésor dontl,échéance% est inférieure une année.

Pr. Karim SABRI. 22


b? Obli"ations et bons né"ociables.

• !es obli'ations sont des titres représentant des



!es obli'ations sont des titres représentant des

créances lon" terme.• >lles sont rémnérées par intérts annuels

calclés en onction de lers 5aleursnominales.

• !e détenter de l,obli'ation n,a aucun droit dere"ard sur l7actif de la société émettrice.

• !es bons né'ociables sont des titres decréances qi pe-ent circler sr n marché

fnancier "bons de trésor% bons de caisse ... etc.*

Pr. Karim SABRI. 2+

$? !es instruments de placement.c? Actions et autres participations.

• Nridiqement% les actions sont des titres



représentatis des droits de propriété. dqe ler détenter est considéré propriétaired,ne partie d capital social de la sociétéémettrice.

•

Il a droit ne raction de bénéfces de lasociété distribés sos orme de di5idendes.

• !es actions des 'randes sociétés sont'énéralement cotées en bourse d,oO elles

tirent lers 5aleurs boursi'res en onction del,importance de l,acti-ité des sociétés qi lesont émises.

Pr. Karim SABRI. 24

%? !es instruments denancement.

• e sont les créances isses d,n accordbilatéral entre le créancier +e*4 ban#ueet



bilatéral entre le créancier +e*4 ban#ue- etle débiteur et concernant le transert par lepremier% des mo&ens de paiement a secondpor ne drée bien déterminée.

• !e créancier étant le pls so-ent nintermédiaire nancier.

a? Crédits court terme.

• Il s,a'it d,ne a-ance de onds por ne durée

inférieure deu* ans% destinés nancerles stocPs ou les besoins de trésorerie desnités instittionnelles. +3/R-

Pr. Karim SABRI. 26

%? !es instruments denancement.

b? Crédits mo&en et lon" terme.

• !es crédits mo&en terme sont oCerts por ne



• !es crédits mo&en terme sont oCerts por nepériode allant de deu* ans 6us#u7 cin# ans.

• !es crédits lon" terme ont n délai supérieur cin# ans.

• e t$pe de crédits est destiné fnancer'énéralement les pro6ets d7in5estissement desentreprises.

• Par aillers% il est noter qe dans les opérationsde fnancement% la relation entre le débiter et

son créancier <oe n rle ondamental. e qin,est pas le cas por les opérations de placement.

Pr. Karim SABRI. 28

(? !es réser5es techni#ues d7assurance.

• ,est le montant des primes mis enréser5e par les compa'nies d,assrance



réser5e par les compa'nies d assranceen -e de 'arantir les -ersementsé-entels des indemnités a: assréssinistrés.

• >lles sont considérées comme ne sorte decréances des assurés sur leursassureurs.

• De: t$pes de réser-es techniqes

pe-ent Etre distin'és

Pr. Karim SABRI. 29


a? !es réser5es primes et les réser5es sinistres.

• !,encaissement des primes par les compa'nies



• ! encaissement des primes par les compa'niesd,assrance ne coZncide pas orcément a-ec ledébt de lers e:ercices comptables.

• >lles sont% par conséqent% obli'ées de constiter% la date de l,in-entaire% des réser5es pour cou5rir

les ris#ues restant courir pendant l7e*ercicesui5ant.

• !es réser5es sinistres correspondent a: sommesmises en réser5e la date de l7in5entaire en

5ue d7indemniserB au cours des e*ercicessui5antsB les sinistres réalisés pendant l7annéeprécédente.

Pr. Karim SABRI. 2;


b? !es réser5es mathémati#ues.



•

e sont des réser-es liées a: contratsd,assrance -ie5capitalisation.

• >lles sont constitées par les compa'niesd,assrance et caisses de retraite en -e de

co-rir les risqes assrés lon' terme etde 'arantir le -ersement des indemnitésdont le montant est déterminé par n calclde probabilité.

• ,est por cette raison% d,aillers% q,ellessont appelées_ Réser-es mathématiqes_.

Pr. Karim SABRI. 2@



Merci pour

5otre

Comptabilité Nationale K.sabrI

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