Centrale de traitement d’air pour le secteur médical · répondre aux exigences élevées...

20
Centrale de traitement d’air pour le secteur médical

Transcript of Centrale de traitement d’air pour le secteur médical · répondre aux exigences élevées...

Centrale de traitement d’air pour le secteur médical

En matière d’hygiène, les installations

médicales subissent la pression des coûts.

Ainsi, les hôpitaux doivent réduire les coûts

tandis que la concurrence de plus en plus

rude exige une qualité de prestations toujours

plus élevée.

L’hygiène d’un hôpital est un gage évident de

qualité. La prévention contre les infections dans

les hôpitaux, appelées infections nosocomiales,

constitue la première des priorités.

Pendant les interventions chirurgicales,

l’infection de la plaie se produit par la flore

corporelle du patient (infection endogène)

ou par des bactéries étrangères (infection

exogène) pouvant provenir par exemple du

personnel présent dans le bloc opératoire.

Les installations de traitement d’air sont

indispensables pour limiter voir écarter le

risque de contamination du bloc opératoire.

A cet effet, des filtrations appropriées sont

mises en œuvre.

Les exigences en termes de qualité d’air sont

spécialement drastiques pour des interventions

réalisées en milieu aseptique ou avec un risque

de contamination élevé (comme par exemple en

chirurgie traumatologique ou orthopédique). Un

environnement confortable aux caractéristiques

hygiéniques irréprochables est le fondement

pour une guérison saine et rapide. De telles

conditions permettent de raccourcir la durée

des traitements à un minimum et de réduire

les séjours de longue durée en hôpital. De

ce fait, les coûts d’exploitation peuvent être

revus à la baisse tout en assurant au personnel

des conditions de travail optimales.

Les installations aérauliques doivent être

considérées avec une attention particulière

notamment pour l’influence qu’elles peuvent

avoir sur la durée de convalescence ou encore

le confort et la sécurité au poste de travail.

Hygiène et confort pour une guérison efficace. Un environnement confortable et irréprochable d’un point de vue

hygiénique assure et accélère le processus de guérison. Les temps

de soins sont de ce fait raccourcis et les coûts engendrés réduits.

Domaines d’application | 1

Les centrales de traitement d’air permettent d’avoir un environnement sécurisé en continu.

Guérison plus rapide des patients.

Sécurité renforcée pour les patients et le personnel soignant.

Productivité accrue.

Un grand nombre de paramètres sont à prendre en compte pour

répondre aux exigences élevées d’une centrale de traitement d’air tout

en garantissant un faible coût d’exploitation.

Une centrale de traitement d’air permet

de maintenir une ambiance confortable dans

une pièce en l’alimentant en air de qualité tout

en assurant l’extraction des gazs carboniques.

Dans les salles exigeants un confort particulier,

comme par exemple pour les blocs opératoires,

l’air soufflé a un rôle supplémentaire. Sous ces

conditions, l’installation aéraulique doit permettre

de définir un périmètre de sécurité, de réduire la

concentration en microorganismes, de réguler la

température et l’humidité et d’éliminer les odeurs

et autres polluants.

Qualité de l’air

Outre l’hygiène, la qualité de l’air revêt d’une

grande importance. Les filtres ont dans ces

domaines d’applications plusieurs fonctions :

d’un côté ils protègent les patients et le person-

nel du risque d’infections et de l’autre, ils

permettent de protéger la CTA et le réseau de

gaines des impuretés. Un contrôle continu de

l’encrassement des filtres prévient la pénétration

des impuretés et permet de réduire les coûts

d’exploitation du fait de la réduction des pertes

de charge au niveau du filtre.

Durée d’exploitation

La durée d’exploitation d’une CTA varie fortement

en fonction de l’installation médicale pour

laquelle elle est conçue. Ainsi, dans les hôpitaux,

ce temps est compris entre 5 000 et 8 760

heures par an (exploitation continue). D’un point

de vue hygiénique et énergétique, mais égale-

ment pour des raisons de sécurité d’exploitation,

il est recommandé de mettre en place un

ventilateur à roue libre avec moteur économe en

énergie associé à un convertisseur de fréquence.

Cette association offre le meilleur rendement et

réduit les coûts d’exploitation.

Production de froid intégrée

Une climatisation par l’intermédiaire d’une CTA

est nécessaire pour garantir un environnement

confortable et des conditions de travail sécurisé-

es. Idéalement, la production de froid est

intégrée à la CTA. Les avantages résultants de

cette intégration sont d’une part un gain de place

considérable dans le local technique mais aussi

une réduction des nuisances sonores vis

à vis des bâtiment environnant du fait de la

suppression des éléments extérieurs à la CTA. Le

coefficient de performance (COP) est également

optimisé car l’utilisation d’un condenseur placé

dans le flux d’air extrait permet de travailler

avec des températures de condensation

plus faibles. La maintenance est simplifiée,

l’ensemble des composants accessible et la

sécurité de fonctionnement accrue du fait de

la redondance des systèmes.

2 | Généralités

Exigences élevées pour les installations

aérauliques

Confort garanti pour les patients et le personnel soignant.

Air de qualité grâce à une étude et une main-tenance appropriées.

Durée d’exploitation annuelle comprise ent-re 5 000 et 8 760 h.

L’intégration de la production de froid dans la CTA permet un gain de place, accroît le COP et simplifie la maintenance.

Réduction des besoins en énergie primaire grâce à l’utilisation par ex. d’une pompe à chaleur réversible en tant que récupérateur d’énergie.

Généralités | 3

Principales normes et directives applicables aux hôpitaux

Exigences concernant les bâtiments Exigences concernant les installations de traitement d’air

Exigences concernant les centrales de traitement d’air

(DPEB) Directive européenne sur la performance des bâtimentsPerformance énergétique des bâtiments

Loi sur les économies d’énergie (EnEG) |1

Adaption allemande de la DPEB

Application nationale de la directive DPEB Loi sur les énergies renouvelable (EEWärmeG) |1

Loi sur l’encouragement de l’utilisation des energies renouvelable

Décret relatif aux économies d’énergie (EnEV) |1

Décret relatif à l’isolation thermique et aux installations énergétiques dans les bâtiments

DIN V 18599 |1

Évaluation énergétique des bâtiments

DIN 13080 |1

Division de l’hôpital en services et en zones fonctionnelles

EN 13779Ventilation des bâtiments non résidentiels

EN 15242Méthodes de calcul pour la détermination des débits d’air dans les bâtiments y compris l’infiltration

EN 15251Critères d’ambiance intérieure

EN 15780Ventilation des bâtiments - Réseaux de conduits - Propreté des systèmes de ventilation

DIN 1946-4 |1

Installations de traitement d’air en matière d’hygiène

VDI 2081 |1

Émissions de bruits et atténuations sonores dans les installations aérauliques

Exigences hygiéniques au cours des opérations ou autres interventions invasivesCommission pour l’hygiène en milieu hospitalier et la prévention des infections (Robert-Koch-Institut)

EN 13053Caractéristiques de performance des CTA, composants et pièces

EN 1886Propriétés mécaniques et méthodes de mesure

DIN 1946-4 |1

Installations de traitement d’air en matière d’hygiène

VDI 3803 |1

Exigences en matière de construction et de technique

VDI 6022 |1

Exigences hygiéniques des installations et des CTA

Directive RLT 01 |1

Association allemande des fabricants de centrales de traitement d’air – Conditions générales relatives aux CTA

Nouveaux concepts

Les besoins en énergie primaire d’une installa-

tion peuvent être considérablement réduit par

la mise en place de systèmes de récupération

d’énergie innovants. Par exemple, l’utilisation

d’une pompe à chaleur réversible avec échan-

geur sur l’air extrait permet de chauffer l’air

en hiver et de le refroidir en été tout en éco-

nomisant l’énergie électrique nécessaire à un

aérocondenseur. Une séparation complète des

flux d’air soufflé et repris permet de limiter le

risque de contamination au soufflage.

|1 En vigueur en Allemagne. En fonction du pays, des réglementations locales complémentaires ou autres normes doivent être respectées

Bloc

opé

rato

ire e

xpér

imen

tal,

Hôp

ital u

nive

rsita

ire T

übin

gen.

Le choix du système de diffusion pour les blocs opératoires

s’effectue en fonction de la classe d’asepsie et des conditions

d’hygiène définies pour cette classe.

Hygiène par diffusion spécifique.

4 | Conception

Des études scientifiques ont montré

que le risque d’infection du aux germes conte-

nus dans l’air (microorganismes aérogènes) est

minime. C’est pourquoi, les classes d’asepsie

ont été redéfinies. Le périmètre de sécurité

obligatoire est maintenu uniquement là où il

est vraiment nécessaire.

Degré d’asepsie Ia

Interventions aseptiques avec des conditions

d’hygiènes particulièrement élevées, par

exemple, en chirurgie traumatologique ou

orthopédique.

Classe d’asepsie Ib

Interventions médicales avec des conditions

d’hygiènes élevées, par exemple en chirurgie

invasive minimale ou en soins intensifs.

Classe d’asepsie II

Les autres unités et services n’appartenant

pas aux classes d’asepsie Ia et Ib, par exemple,

les salles jouxtant les blocs opératoires ou les

salles de réveil, de monitorage et de préparation.

Services spéciaux

Salles nécessitant des mesures préventives

supplémentaires, par exemple les chambres

d’isolement (maintien d’une dépression en pièce

– filtre HEPA H13 sur l’extraction), les chambres

stériles (maintien en surpression – filtre

HEPA H13 au soufflage) ou la stérilisation

centrale (zone de conditionnement en

surpression par rapport à la zone de

purification).

Débit

Avec un plafond de type flux laminaire de sur-

face 3,2 m x 3,2 m et une vitesse d’écoulement

de 0,25 m/s on obtient un débit d’air d’environ

9 200 m3/h par bloc opératoire. En considérant

un débit d’air neuf minimum de 1 200 m3/h,

il faudrait traiter environ 8 000 m3/h d’air

supplémentaire pour répondre aux exigences.

De ce fait, les installations utilisant uniquement

l’air extérieur ne sont plus d’actualité.

Température de soufflage

Afin de garantir un flux laminaire, la température

de l’air soufflé doit constamment être inférieure

à la température ambiante. Plus la température

est faible, plus le périmètre de sécurité est stab-

le. Cependant, un écart de température trop im-

portant a une influence négative sur les besoins

énergétiques et sur la sensation de confort de

l’équipe chirurgicale. Des surfaces chauffantes

statiques sont nécessaires. En classe d’asepsie

Ia il n’est pas possible de mettre en œuvre un

sol chauffant dans la mesure où il agirait en

opposition au flux laminaire.

La classe d’asepsie est déterminée par l’hygiéniste de l’hôpital.

Le périmètre de sécurité dans le bloc opératoire est garanti uniquement avec un air soufflé climatisé.

Température de soufflage inférieure à la température ambiante.

Position des grilles de reprise et d’extrac-tion dans la partie basse des cloisons.

Le mode « occupa-tion » doit être activé dans le bloc opératoire par le personnel à l’aide d’un bouton poussoir.

Conception | 5

Classe d’asepsie et systèmes de diffusion d’air |1

Classe d’asepsie Ia Classe d’asepsie Ib Classe d’asepsie II

Salle avec exigences hygiéniques très élevées

Salle avec exigences hygiéniques élevées

Salle avec exigences hygiéniques normales

Maintien dynamique du périmètre de sécurité

Maintien statique de la pression de protection

Principe de surpression/mélange d’air

Garantir le périmètre de sécurité de la table d’opéra- tion, de l’équipe chirurgicale et du plateau à instru-ments par une diffusion laminaire du haut vers le bas.

Bilan d’air positif Vitesses plus élevées au centre du plafond diffuseur pour renforcer l’effet protecteur Température soufflée inférieure à la température ambiante 3 étages de filtration (min. F5/F9/H13)

Maintien d’une pression constante par rapport aux salles juxtaposées. Diffusion de l’air par écoulement turbulent, forcé ou encore par mélange. Surpression réglée sur le débit minimum d’air neuf. La contami-nation par particules du fait de l’ouverture de portes ou par des personnes ne peut pas être évitée.

Bilan d’air positif Pas de périmètre de sécurité séparé 3 étages de filtration (min. F5/F9/H13)

L’entrée d’air peut s’effectuer selon le principe de la surpression ou du mélange d’air avec un équilibre des pressions. Pour ces zones, le principe de diffu-sion doit être conçu de façon à pouvoir rapidement évacuer les polluants de la source d’émission.

Pour les zones dans lesquelles l’hygiène est importante il est nécessaire de respecter les recommandations de la VDI 6022 |1

2 étages de filtration (min. F5/F9)

|1 En vigueur en Allemagne. En fonction du pays, des réglementations locales complémentaires ou autres normes doivent être respectées

Diffuseurs

En général, les grilles pour l’air extrait, l’air repris

ainsi que les ouvertures pour la surpression sont

situées en partie basse des cloisons. Ainsi, l’air

peut être extrait de la pièce sans générer de

turbulence.

Modes d’exploitation

Afin de garantir un véritable périmètre de sécurité,

il est nécessaire de fonctionner à débit constant.

Pour les blocs opératoires équipés de plafond à

flux laminaire, la distinction entre fonctionnement

en mode « occupation » (intervention en cours) et

fonctionnement en « inoccupation » est souvent

faite. Si tel est le cas, le mode « occupation » doit

pouvoir être activé par le personnel intervenant

au moyen d’un bouton poussoir. En période

d’inoccupation, il n’est pas nécessaire de conser-

ver une diffusion laminaire. Les consommations

énergétiques liées à la production de froid et à la

ventilation peuvent donc être optimisées.

Conception + Régulation

Les techniques modernes de conditionnement

d’air pour les blocs opératoires prévoient la mise

en place d’une préparation centralisée d’air neuf

avec une préparation centralisée ou non de l’air

recyclé. Pour un recyclage pièce par pièce, il est

préférable d’utiliser un système centralisé car

il permet d’obtenir un mélange homogène des

débits partiels et d’éviter un dépassement du point

de rosée au niveau du plafond diffuseur. Les sys-

tèmes centralisés permettent également d’obtenir

des niveaux sonores plus faibles et facilitent la

maintenance du fait de l’accessibilité aisée aux

composants.

La température de consigne doit être réglable

via un dispositif situé dans le bloc opératoire. La

valeur de consigne est comparée à la température

de l’air repris. Les hausses de températures dues

aux charges internes sont compensées par l’air

soufflé. La différence de température entre l’air

soufflé et l’air ambiant est ainsi assurée.

ODA

EHA

ETA

SUP

RCA

L’étude : la base

du succès

6 | Dans la pratique

Conseils pour l’étude |1, 2

Généralités Installation de traitement d’air

Analyse Prise en compte de la situation actuelle et jugement du projet à réaliser.

Définition des conditions de base, description des processus, choix des énergies disponibles, clarification des infrastructures et description des actions à réaliser.

Élaboration d’une liste des normes en vigueur.

Finalisation de la phase « analyse » par la signature de la déclaration d’intention d’élaboration d’un cahier des charges.

Définition de l’objectif Analyse des conditions d’utilisation (concept d’utilisation, type de bloc opératoire, conditions de confort, délais, données de dimensionnement, occupation, charges internes, horaire d’utilisation, etc.).

Élaboration d’un cahier des charges basé sur les normes en vigueurs (qualification du flux laminaire, définition des procédés de décontamination, etc.).

Validation du cahier des charges du projet avant le début de la phase « étude ».

Étude L’étude est réalisée en fonction des directives imposées au cahier des charges. Prise en compte des contraintes en matière d’hygiène (décontamination), de maintenance (accessibilité), de sécurité (redondance, registres avec ressort de rappel, etc.) et autres contraintes définies.

Coordination du premier contrôle hygiénique et réalisation des inspections hygiéniques par un personnel qualifié (par exemple VDI 6022, catégorie A).

Vérification de la liste des normes en vigueurs à la fin de la phase « étude ».

Prise d’air neuf située 3 m au-dessus du niveau du sol.

Prise d’air neuf non exposée à des sources d’émission. Prévoir la mise en place de vidange et d’accès maintenance.

Prise d’air neuf non exposée aux vents dominants; Pour les aspirations en toiture, prévoir une hauteur minimale d’au moins 1,5 fois la hauteur de neige.

Diffusion de l’air extrait en champ libre via la toiture.

Mise en place des pièges à son, des batteries et des registres au sein de la centrale de traitement d’air (pour une maintenance simplifiée).

Mise en place des boîtes à débit et des registres d’isolement dans le local technique.

La position et la taille des ouvertures de révision doivent être visibles sur le plan d’ensemble.

Ouvertures de révision dans le réseau de gaine. Accessibilité sur les deux faces pour les batteries, les pièges à son, les récupéra- teurs d’énergie. Accessibilité sur une face sur les registres, les registres incendie, les boîtes à débit.

Réseaux en gaine souple tolérés uniquement pour le raccord aux bouches de diffusion (L

max = 1 m).

Le taux de fuite max. autorisé sur les réseaux de gaine doit correspondre à la classe C de la norme DIN EN 13779.

Capter les émissions au plus près de la source.

A débit constant, privilégier le réglage du débit par contrôle de la pression.

Garantir l’accès à la centrale par ses deux côtés (une demie largeur du côté opposé aux servitudes, et une largeur complète du côté des servitudes).

Conditions de fonctionnement à définir dès le début de l’étude.

Le cahier des charges définit la base contractuelle.

L’expérience associée aux règles de l’art simplifient l’étude.

Adapter les solutions en fonction des besoins.

ODA

EHA

ETA

SUP

RCA

Paramètre de dimensionnement |1, 2

Extérieur Intérieur

Température Hiver : -16 °C à -12 °CÉté : 28 °C à 35 °C

HumiditéÉté : 37 % à 64 % HR (12 g/kg à 14 g/kg)(La température et l’humidité dépendent des conditions climatiques)

Niveau de pression acoustique Journée (6 à 22 heures) :Zone résidentielle : 55 dB (A)Zone mixte : 60 dB (A)Zone commerciale : 65 dB (A)Zone industrielle : 70 dB (A)

Nuit (22 à 6 heures) :Zone résidentielle : 40 dB (A)Zone mixte : 45 dB (A)Zone commerciale : 50 dB (A)Zone industrielle : 70 dB (A)

Débit d’air neuf minimum.Bloc opératoire : 1 200 m3/hSalle d’intervention : 40 m3/(h.pers) ou 150 m3/(h.patient) lors d’utilisation d’anesthésiant Soins intensifs : 40 m3/(h.pers) ou >100 m3/(h.patient)Autres zones, couloirs(Soins intensifs) : 5 m3/(h·m2)

Température ambiante |3, 4

Hiver :Bloc opératoire (classes Ia, Ib) : 19 °C à 26 °C(ajustable à partir du bloc opératoire)Salles d’intervention (classe II) : 22 °C à 26 °CSoins intensifs : 22 °C à 26 °CChambres classiques : 22 °CChambres pédiatriques : 24 °CSalle d’examen : 22 °CCuisine, couloirs : 20 °CStérilisation : 20 °CRéserve : 18 °C

Été :Blocs opératoires (classes Ia, Ib) : 19 °C à 26 °CSalles d’intervention (classe II) : 22 °C à 26 °CSoins intensifs : 22 °C à 26 °CChambres classiques : 26 °CChambres pédiatriques : 26 °CSalles d’examen : 26 °CCuisines, couloirs : 28 °CStérilisation : 28 °CRéserve : en fonction des produits

Humidité ambianteUnités de soins intensifs : 30 % à 60 % HR(à maintenir toute l’année)Autres salles :Hiver : 25 % HR |5

Été : 60 % HR |5 ou max 12 g/kg |5

Niveau de pression acoustique |4

Blocs opératoires : 48 dB (A)Services : 25 dB(A) à 35 dB(A)Dortoirs : 25 dB(A) à 35 dB(A)Couloirs : 35 dB(A) à 45 dB(A)

|1 En vigueur en Allemagne. D’autres éléments de conception doivent être respectés en fonction des directives nationales.|2 Pour de plus amples informations sur l’étude des bâtiments et l’utilisation des installations de traitement d’air, se reporter aux normes DIN EN 13779 et DIN 1946-4.|3 En fonction des températures d‘exploitation.|4 Pour des températures ambiantes et des niveaux de pression acoustique détaillés, se reporter aux tableaux de l’institut allemand pour l’hygiène en milieu hospitalier (Deutschen Gesellschaft für Krankenhaushygiene).|5 Conformément à la norme DIN EN 15 251, Catégorie II.

Dans la pratique | 7

8 | Les solutions robatherm

Les excellentes

caractéristiques hygiéniques

des centrales robatherm ont

été vérifiées et certifiées par

l’Institut pour l’hygiène de

l’air de Berlin (ILH). Nos CTA

garantissent une hygiène de

l’air irréprochable dans le

cadre d’une utilisation profes-

sionnelle et d’une maintenance

bien réalisée. La conception

optimisée des centrales de

traitement d’air engendre éga-

lement des coûts d’exploitation

minimum.

Grande flexibilité

Avec une flexibilité exception-

nelle et une gamme de débit

allant de 1.000 à 320.000 3/h,

le programme robatherm

satisfait les différents besoins

des clients. Les problèmes

d’ouverture pour la mise en

place des caissons ou encore

les contraintes spécifiques

pour l’installation des CTA sont

pris en compte dès la phase

« étude ».

Standards hygiéniques élevés

Une maintenance régulière

garantit une bonne hygi-

ène durant toute la période

d’exploitation. De plus, les

CTA robatherm sont faciles

d’entretien et offrent un netto-

yage simplifié dans la mesure

où tous les composants sont

accessibles.

Robustesse éprouvée

La construction robuste et

stable de la CTA robatherm

bénéficie, entre autres,

d’une protection contre la

corrosion grâce à l’utilisation

de matériaux galvanisés avec

une protection complémen-

taire de type époxy ou encore

d’inox.

Consommation minimisée

Grâce à un dimensionnement

ingénieux et l’utilisation de

composants optimisés il est

possible d’atteindre les meil-

leures classes énergétiques.

Nos centrales de traitement

d’air répondent aux labels

énergétiques définit par le

Centrales de traitement d’air spécialement

conçues pour votre application.

Sécurité et hygiène.

Les solutions robatherm.

Individuellement adapté à vos besoins.

Standards hygiéniques élevés et hautes qualités.

Efficacité énergétique certifiée par EUROVENT et l’Association allemande des fabricants de CTA.

Production de froid et régulation intégrées.

groupement des fabricants

de centrale de traitement d’air

allemand (RLT) et EUROVENT.

L’intégration de la production

de froid et de la régulation

assure de plus une optimisati-

on des coûts d’exploitation.

Déperditions faibles

La construction à base

de thermo-panneaux

avec rupture de ponts

thermiques garantit une

excellente isolation thermique

ainsi qu’une très bonne

étanchéité. En plus du

gain énergétique, cette

construction permet

de réduire le risque de

condensation sur le caisson.

Montage simplifié

La conception modulaire

permet de réduire au minimum

le nombre de caissons à monter

et donc de gagner un temps

considérable pour l’assemblage

sur site. Ce gain de temps

est encore augmenté par un

assemblage intérieur facile à

mettre en oeuvre. L’intégration

en usine de la production de

froid et de la régulation permet

d’accélérer l’installation et de

réduire le temps nécessaire à la

mise en service à un minimum.

Cette conception permet avant

tout de réduire les temps

d’immobilisation dans le cas

ou des modifications devaient

être apportées à la centrale.

Propriétés mecaniques de l’enveloppe de la centrale selon la norme DIN EN 1886 :

Transfert de chaleur : classe T2

Ponts thermiques : classe TB1/TB2

Étanchéité de l’enveloppe : classe L1 (M), L2 (R)

Étanchéité des filtres : classe F9

Déformation de l’enveloppe : classe D1/D2

Bloc opératoire expérimental, Hôpital universitaire Tübingen.

10 |Froid et régulation intégrés

La régulation et les composants de la

centrale sont harmonisés de façon optimale en

usine. Ainsi, les nombreuses exigences thermo-

dynamiques inhérentes à une centrale de traite-

ment d’air peuvent être satisfaites de manière

optimale avec des coûts d’exploitation réduits.

Pour toutes ces raisons robatherm a développé

le logiciel DDC « Smart Control ».

Régulation complète

La régulation complète est intégrée en usine

par robatherm. Lors de la mise en route, il suffit

simplement de paramétrer les différents blocs

fonctionnels. Les coûts de mise en service sont

ainsi réduits au minimum.

Gestion de la maintenance intégrée

Smart contrôle intègre une fonction de gestion

de la maintenance qui, outre l’affichage du nom-

bres d’heures de fonctionnement et d’arrêt de

l’installation, affiche une notification automatique

de vérification des composants à intervalle défini

ainsi que le descriptif des différents ensembles

installés dans la centrale de traitement d’air. Plus

particulièrement dans le cas des centrales

hygiènes, la gestion de la maintenance est un

point essentiel permettant d’augmenter la

sécurité et de garantir les conditions hygiéniques.

Modes de communication variés

Plusieurs modes de communication sont

disponibles, par exemple :

Le peu coûteux « terminal à distance » :

Pour gérer, surveiller et paramétrer jusqu’à 15

centrales robatherm sur un seul et même réseau

local.

Le confortable « Plant Visor » :

Visualisation du schéma de principe de la

centrale avec affichage des états de fonctionne-

ment et des alarmes (avec notification d’alarme).

Intégration dans un réseau d’entreprise (Intranet)

ou sur Internet.

Communication publique : interface avec les

principaux systèmes d’automatisation via pLAN,

Modbus, OPC, BACnet ou LON.

Par l’intégration en usine d’une production de froid sur mesure et d’une

régulation parfaitement adaptée il est possible de réaliser des économies.

Optimisé jusque dans le moindre détail. Production de froid et régulation combinées.

Un interlocuteur unique.

Réduction des coûts d’investissement et d’installation sur site.

Aucune déperdition sur le réseau et à l’arrêt.

Aucune installation externe supplémen-taire (par ex. : Aéro condenseur, drycooler)

Pompe à chaleur réversible.

Systèmes prêts à l’emploi.

La production de froid peut être inté-

grée en usine par robatherm. Dans ce cas, la

régulation et la production de froid forment un

ensemble complet et optimal. Les centrales

de traitement d’air avec production de froid et

condenseur intégré sur le réseau d’air extrait

s’avèrent être des solutions complètes idéale

aussi bien pour des raisons architecturales

que pour des raisons de coûts d’exploitation

et de fiabilité.

Production de froid intégrée

Contrairement aux groupes d’eau glacée, les

centrales de traitement d’air avec production de

froid intégrée présentent l’avantage de réduire

le besoin en place et les déperditions sur le

réseau de distribution. Ces installations frigori-

fiques constituent un système global optimisé

avec un coefficient de performance (COP) élevé.

De même, du point de vue de la redondance, la

production de froid intégrée dans chaque centrale

permet de réduire les nuisances en cas de pannes

sur le réseau frigorifique. En effet, dans ce cas,

uniquement la zone desservie par la CTA en ques-

tion sera en défaut. Des économies supplémen-

taires sont réalisées par la réduction du temps

nécessaire pour la tuyauterie, en supprimant

les pertes du réseau de distribution et lors des

phases d’arrêt de l’installation. Un autre avantage

intervient en hiver avec l’utilisation de la chaleur

sur l‘extraction. L’installation peut donc fonction-

ner en pompe à chaleur réversible.

Les avantages

Lors d’une rénovation dans le milieu pharma-

ceutique ou médical il est primordial de pouvoir

proposer une solution simple et rapide à mettre

en œuvre. De plus , du fait que dans ces milieux

des extensions, des modifications de destina-

tion ou encore des rénovations sont monnaies

courantes, la mise en place de solution complète

présente un grand nombre d’avantages.

La mise en service des CTA clé en main est

assurée par le personnel robatherm. La connexion

à une éventuelle GTB peut également être réalisée

à ce moment.

robatherm vous permet d’avoir un interlocuteur

unique pour la livraison de centrales de traitement

d’air multifonction extérieure ou intérieure, prêtes

à être montées et paramétrées, voire éventuelle-

ment prêtes à l’emploi.

Froid et régulation intégrés | 11

12 | Concepts

Utiliser notre savoir faire dans le milieu médical.

Nombreuses années d’expérience. Concepts éprouvés.

Nous vous proposons, tout spéciale-

ment pour le milieu médical, des concepts de CTA

optimisés qui répondent aux normes et directives

en vigueur. Grâce à ces concepts, il vous est pos-

sible de recevoir rapidement et de façon concrète

et compétente toutes les informations et fiches

technique nécessaires pour le dimensionnement

de votre installation. Vous nécessitez de plus

amples renseignements ? Nous nous tenons à

votre entière disposition pour vous conseiller.

Centrale pour exposition extérieure

Roue de récupération

Echangeur à plaques

Boucle à eau glycolée

Ventilateur à roue libre

Moteur à haut rendement

Caractéristiques d’optimisation

Coûts d’investissement moindre

Coûts d’exploitation moindre

Haute efficacité énergétique

Régulation intégrée

Production de froid intégrée

Pompe à chaleur réversible intégrée

Panoplie hydraulique intégrée

Humidificateur électrique intégré

Pièges à son intégrés

Ensemble compact

Installation facile

Maintenance facile

Caractéristiques des équipements

Concepts | 13

Configurateur Caractéristiques des équipements Caractéristiques d’optimisation

Schéma de principe

Plan de la CTA

Equipement de la CTA Exécution : Installation intérieure ; Finition intérieure : Peinture époxy / fond en inox 1.4301Filtre : Pré-filtre sur l’air soufflé : G4 (type plat) Filtre principal sur l’air soufflé : F7+F9 (type dièdre) Filtre principal sur l’extraction : F7 (type dièdre)Récupérateur de chaleur : Récupération de chaleur par boucle à eau glycolée avec panoplie hydrauliqueBatterie chaude : t

E ≈ 0°C, t

S =26°C,

Médium : eau chaude 70/50°C

Batterie froide : tE=32 °C, ϕ = 40 % HR,

hE=62,8 kJ/kg,

tS= 18 °C, ϕ = 85 % r.h.,

Médium : eau glacée 7/13°C + 30% glycol Registres : Aluminium avec entraînements externes, classe d’étanchéité 2, classe d’étanchéité 4 en direction de la pièce desservie.Accessoires : Affichage de la perte de charge des filtres (sans utilisation de fluide pour le filtre principal) Convertisseur de fréquence avec interrupteur d’arrêt intégré Éclairage dans l’ensemble des principaux caissons.

Descriptif Coûts d’investissement réduits et facilité de maintenance.

Construction compacte grâce à un assemblage superposé.

Livraison en 4 blocs du fait de la construction optimisée (hors panoplie hydraulique)

Idéal pour les classes d’asepsie Ia, Ib et II. Pour la classe d’asepsie I, les filtres en sortie de CTA seront au minimum de classe H13 et seront à prévoir sur site.

Séparation totale des flux d’air grâce à une récupération de chaleur par boucle à eau glycolée.

Les filtres dièdres (classe F7 + F9) garantissent la qualité exigée de l’air soufflé.

Les ventilateurs à entraînement direct (roue libre) garantissent un fonctionnement fiable.

Les convertisseurs de fréquence sont montés, câblés et paramétrés.

Définition de la qualité de l’air (DIN EN 13779) : ODA=Air extérieur, SUP=Air soufflé, ETA=Air repris, EHA=Air extrait, RCA=Air recyclé

Vue de face

14 | Concepts

Configurateur Caractéristiques des équipements Caractéristiques d’optimisation

Schéma de principe

Plan de la CTA

Equipement de la CTA Exécution : Installation intérieure ; Finition intérieure : Peinture époxy / fond en inox 1.4301Filtre : Air soufflé : F7 (biostat) /F9 Air extrait : F7 Récupérateur de chaleur : Récupération de chaleur par échangeur à plaques avec registre de bypass intégréBatterie chaude : t

E ≈ 7°C, t

S = 26°C,

Médium : eau chaude 70/50°CBatterie froide : t

E = 32 °C, ϕ = 40 % HR,

hE = 62,5 kJ/kg,

tS = 17 °C, ϕ ≈ 88 % HR,

Médium : eau glacée 7/13°C + 30 % glycol

Registres : Aluminium avec entraînements externes, classe d’étanchéité 2, classe d’étanchéité 4 en direction de la pièce desservie.Humidificateur : Humidificateur avec rampes vapeur intégrées t

E min = 22° C;

∆xmax

= 6 g/kg Régulation : Régulation intégrée dans l’armoire électrique. La longueur de câble nécessaire est prévue.Accessoires : Affichage de la perte de charge des filtres (sans utilisation de fluide pour le filtre principal) Convertisseur de fréquence avec interrupteur d’arrêt intégré. Éclairage dans l’ensemble des principaux caissons.

Descriptif Coûts d’investissement réduits et facilité de maintenance.

Construction compacte grâce à un assemblage superposé sur plusieurs étages.

Livraison en 4 blocs du fait de la construction optimisée (hors armoire électrique)

Convient uniquement lorsque la recirculation de l’air de la zone est autorisée ou lorsque l’air repris est remis en circulation dans les zones fonc-tionnelles annexes (classe d’asepsie identique).

La réduction des pertes de charge permet une utilisation efficace du froid disponible (par exemple la nuit).

Humidificateur électrique intégré intégralement raccordé à la centrale

Régulation intégrée dans l’armoire électrique. La longueur de câble nécessaire est prévue.

Les ventilateurs à entraînement direct (roue libre) garantissent un fonctionnement fiable.

Les convertisseurs de fréquence sont montés, câblés et paramétrés.

Définition de la qualité de l’air (DIN EN 13779) : ODA=Air extérieur, SUP=Air soufflé, ETA=Air repris, EHA=Air extrait, RCA=Air recyclé

ODA

EHA

ETA SUP

ODA

EHA

ETA SUP

Vue de face

Concepts | 15

Configurateur Caractéristiques des équipements Caractéristiques d’optimisation

Schéma de principe

Plan de la CTA

Equipement de la CTA Exécution : Installation intérieure ; Finition intérieure : Peinture époxy / fond en inox 1.4301Filtre : Pré-filtre sur l’air soufflé : G4 (type plat) Filtre principal sur l’air soufflé : F7+F9 (type dièdre) Filtre principal sur l’extraction : F7 (type dièdre)Récupérateur de chaleur : récupération de chaleur par boucle à eau glycolée avec panoplie hydrauliqueBatterie chaude : t

E ≈ 0°C, t

A WÜ 1=26°C,

tS WÜ 2 = 26°C,

Médium: eau chaude 70/50°CBatterie froide : t

E=32 °C, ϕ ≈ 40 % HR,

hE=62,8 kJ/kg,

tS= 13 °C, ϕ ≈ 96 % HR,

Médium : Eau glacée 6/12°C + 30 % glycol

Registres : Aluminium avec entraînements externes, classe d’étanchéité 2, classe d’étanchéité 4 en direction de la pièce desservie.Humidificateur : Caisson vide pour humidificateur (à installer sur site). En option, possibilité de fournir l’humidificateur électrique avec montage complet y compris des rampes vapeur.Accessoires : Affichage de la perte de charge des filtres (sans utilisation de fluide pour le filtre principal) Convertisseur de fréquence avec interrupteur d’arrêt intégré Éclairage dans l’ensemble des principaux caissons.

Descriptif Coûts d’investissement réduits et facilité de maintenance.

Livraison en 6 blocs du fait de la construction optimisée (hors panoplie hydraulique)

Convient uniquement lorsque la recirculation de l’air de la zone est autorisée ou lorsque l’air repris est remis en circulation dans les zones fonc-tionnelles annexes (classe d’asepsie identique).

Séparation totale des flux d’air grâce à une récu-pération de chaleur par boucle à eau glycolée.

Les filtres dièdres (classe F7 + F9) garantissent la qualité exigée de l’air soufflé.

Les ventilateurs à entraînement direct (roue libre) garantissent un fonctionnement fiable.

Les convertisseurs de fréquence sont montés, câblés et paramétrés.

Définition de la qualité de l’air (DIN EN 13779) : ODA=Air extérieur, SUP=Air soufflé, ETA=Air repris, EHA=Air extrait, RCA=Air recyclé

Options

Options

Vue de face

16 | Références

La qualité génêre la confiance. C’est pourquoi un grand nombre

d’entreprises prestigieuses choisissent robatherm.

Toujours une bonne référence.

Industrie automobile Alfa Romeo, Audi, BMW,

Bugatti, Citroen, DaimlerChrysler, Ford, General

Motors, Honda, Iveco, John Deere, KIA, Michelin,

Opel, Peugeot, Porsche, Renault, Rover, Scania,

SEAT, Skoda, Suzuki, Toyota, Volkswagen, Volvo

Industrie chimique, pharmaceutique 3M

santé, BASF, Bayer, Beiersdorf, Boehringer, BP,

Degussa, Du Pont, Fraunhofer Institut, Fresenius,

Glaxo Smithkline, Höchst, Institut Pasteur,

Krupp, Linde, L‘Oréal, Labo Piette, Merckle,

Mérial, Osram, Pfizer, Procter + Gamble, Roche,

Sanofi, Schering, Solvay, Thomae, Urenco

Locaux commerciaux Allianz, Commerzbank,

Crédit Agricole, Deutsche Bahn, Deutsche

Bank, Disneyland, Dresdner Bank, ECE, H&M,

IKEA, Interspar, Mediamarkt, NATO, RWE, SAP,

Semperoper Dresden, Flughafen Tel-Aviv,

TU Dresden

Industrie électronique Acer, Alcatel, Altis,

AMP, Bosch, BSH, Corning, Epcos, Hewlett

Packard, Hitachi, IBM, Intel, Max-Planck-Institut,

Microchip, Motorola, NS Electronics, Osram,

Philips, Q-Sells, Radiall, Siemens, SIGMA, Soitec,

Sony, STMicroelectronics, Texas Instruments,

THAI CRT, Thales, Toshiba, Tower, TSMC

Hôpitaux Beijing Hospital, Guangxi Hospital,

Hôpital Saint Joseph Paris, Isarklinik München,

Jilin Hospital, Klinika Moskau, Shanghai Hospital,

St. Louis Hospital, Universitätsklinik Essen,

XinHua Hospital Shanghai, Zhengzhou Hospital

Hall de production Airbus, Arcelor, Carl Zeiss,

Coca Cola, Conergy, Continental, EADS, EON,

Eurocopter, Ferrero, Hartmann, Hilti, Liebherr,

Mc Donalds, MAN, Nestlé, Philip Morris,

Thyssen Krupp, Trumpf, Vaillant, Viessmann,

Voith, Wanzl.

Hall de production

Hôpitaux

Industrie automobile

Industrie chimique, pharmaceutique Industrie électronique

Locaux commerciaux

robatherm n’est pas responsable et n’offre aucune garantie concernant l’exactitude et l’exhaustivité du contenu du présent document. Les illustrations et les descriptions intègrent une partie des accessoires hors standard. Nous nous réservons le droit de toute possibilité de modification technique. Version 3/2009. © Copyright par robatherm.

Industriestrasse 26 · 89331 Burgau · Germany

Tel. +49 8222 999-0 · Fax +49 8222 999-222

www.robatherm.com · [email protected]