CCBCL Info Mars 2011

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SOMMAIRE Actualité de la Chambre p. 1 - 3 Nouvelles de Lubumbashi p. 4 Annonces p. 5 - 6 Dossier p. 7 - 11 Appels d’offres p. 12 - 13 Échos du Congo p. 14 - 17 Échos de l’Etranger p. 18 - 19 CCBCL INFO N° 60 Contact C/o Alliance Belgo Congolaise Av. de la Justice 2703 , Kinshasa Gombe R.D.Congo Heures d’ouvertures du secrétariat Du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30 Téléphone 081 88 48 319 089 89 49 292 E-mail [email protected] Site web www.ccbc—rdc.be Mars 2011 Ce bulletin est réalisé grâce à l’appui du SPF Affaires Etrangères et des Régions

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Page 1: CCBCL Info Mars 2011

SOMMAIRE

Actualité de la Chambre p. 1 - 3

Nouvelles de Lubumbashi p. 4

Annonces p. 5 - 6

Dossier p. 7 - 11

Appels d’offres p. 12 - 13

Échos du Congo p. 14 - 17

Échos de l’Etranger p. 18 - 19

CCBCL INFO

N° 60

Contact

C/o Alliance Belgo

Congolaise Av. de la Justice 2703 , Kinshasa

Gombe R.D.Congo

Heures d’ouvertures du secrétariat

Du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30

Téléphone

081 88 48 319 089 89 49 292

E-mail

[email protected]

Site web

www.ccbc—rdc.be

Mars 2011

Ce bulletin est réalisé grâce à l’appui du SPF Affaires Etrangères et des Régions

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ACTIVITES DU MOIS DE MARS 2011

Déjeuner-Conférence : le mercredi 9 mars Monsieur Herman Decroo, Ministre d’Etat de Belgique est venue en visite en RD Congo du 7 au 12 mars. Dans le cadre de cette mission, la Chambre a organisé le mercredi 9 mars un Déjeuner-Conférence au Salon Virunga, a l’Hôtel Memling sur le thème « La Belgique : quel avenir ? ». Ce déjeuner-conférence était honoré de la présence de l’Ambassadeur de Belgique, Monsieur Dominique Struye de Swielande et cinquante cinq personnes au total ont participé à cette manifestation.

Actualité -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Réunion du Conseil d’Administration, le jeudi 17 mars Une réunion du Conseil d’Administration s’est tenue le jeudi 17 mars 2011.

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Actualité -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Formation : du lundi 14 au mercredi 16 mars La Chambre a offert aux membres la possibilité de suivre un cours sur le thème « la fiscalité des entreprises ». Ce séminaire était destiné aux comptables, trésoriers, auditeurs internes, responsables des ressources humaines et du person-nel, contrôleurs de gestion, agents du service commercial et conseillers juridiques. Le feedback des 21 participants était posi-tif.. La formation a eu lieu au Salon Virunga II à l’Hôtel Memling du 14 au 16 mars dernier.

ACTIVITES DU MOIS D’AVRIL 2011

Visite d’Entreprise Le vendredi 22 avril, une visite d’entreprise chez la MARSAVCO sera organisée. En annexe vous trou-verez l’invitation. Préparation d’un nouvel annuaire de la CCBCL Dans un souci de mise à jour des informations qui y figurent, la Chambre va rééditer un annuaire en 2011. En effet, les différents changements intervenus dans un grand nombre de sociétés (logo, dénomina-tion, nouveaux dirigeants) ainsi que le nombre sans cesse croissant de membres nous amène à rééditer un nouvel annuaire. Le dernier annuaire de la CCBCL date de 2007. Imprimé en 500 exemplaires, diffusé auprès d’un grand nombre de personnes et de sociétés de la place et enfin mis en ligne sur le site de la CCBCL, cet annuaire constituera pour tous ceux qui y figureront, un support publicitaire non négligeable pour assurer la promotion de leur entreprise et de leurs produits. Vous trouverez ci-joint une fiche signalétique à remplir et à nous retourner pour le 15 avril au plus tard. Ne manquez pas de nous faire parvenir votre logo sur un support informatique (cd-rom, disquette…) pour une meilleure qualité d’impression. Dans cette édition également, nous offrons aux membres la possibili-té de faire une insertion publicitaire. Si vous désirez faire la publicité de votre société, nous vous deman-dons de nous retourner le bon de commande ci-joint et le matériel (photos, logo, texte,…) avant le 15 avril également. Réunion du Conseil d’Administration, le jeudi 21 avril

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Nouvelles de Lubumbashi ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Eric Kabila (TRADE SERVICE)

Activités du mois de mars

Réunion: Une réunion s’est tenue le jeudi 17 mars 2011.

Activités du mois d’avril

Déjeuner-Conférence

L’Antenne Lubumbashi organisera au cours du mois d’avril un déjeuner-conférence. Nous vous commu-niquerons les détails dans les jours qui suivent.

Les activités et les services organisés par la CCBCL, située à Lubumbashi sont automatiquement valables pour les membres qui se trouvent à Kinshasa et vice ver-sa !

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Annonces ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Jean Pierre Kongolo (FORREST)

A) Programme des foires et salons de mars – mai 2011 USETEC 2011 : Salon mondial de la technique d’occasion Lieu: Cologne, Allemagne 06/04-08/04 Organisation: République Fédérale d’Allemagne Lieu d’enregistrement : FEC, Local 26 au plus tard le 10 février 2011 l’Ambassade de République Fédérale d’Allemagne organisera le 17 février 2011, une séance d’information sur ce salon à l’in-tension des opérateurs économiques congolais. FUTURALIA KC 2011: Forum pour la promotion des échanges commerciaux – Marchés internationaux – développe-ment de relations de partenaires et rencontres des chefs d’entreprises des PME internationales. Lieu : Kansas City, Etats-Unis d’Amérique 18/05-20/05 Lieu d’inscription: FEC, bureau 26 Date Limite d’inscription : le 28 février 2011 Tél : 081 50 32 105 Africa France Business Meeting 2011 : Rendez-vous d’affaires Afrique France Lieu: Bordeaux, France 23/05-25/05 Organisation: Chambre de Commerce et d’Industrie Lieu d’inscription : www.africa-france-bisiness.com Tél : 081 50 32 105 B) Curricula vitae

CV Jean-Marc Laplace : Voir en annexe CV Laurence Mushiya Kabeya : Voir en annexe

C) Divers

Fondation Abeo : Profil de poste pour l’informateur La Fondation Abeo (www.abeo.be) est une fondation belge, dont l’objectif global est de promouvoir le Droit au développe-ment et de protéger les droits fondamentaux des individus, sans discrimination et de manière participative. Le droit à l’infor-mation est une des composantes de ce droit au développement. Aujourd'hui, la Fondation est en train de mettre en place un «Portail web pour les entrepreneurs (TPE/PME) cherchant à développer une activité économique en Afrique». Ce projet est financé par la Coopération Belge. Ce projet fait suite à la création d'un Guide pratique lancé en octobre 2009 qui est disponible en ligne à l'adresse suivante: www.pme-guide.org. Véritable plate forme d’informations interactive pour tous les créateurs de petites entreprises, le nou-veau portail web a pour objectif de rassembler de manière synthétique les informations internationales et nationales nécessai-res aux opérateurs privés (investisseurs européens et africains – particulièrement les très petites entreprises et les moyennes entreprises) cherchant à développer une activité économique en Afrique.

Intégrant les notions de Web 2.0 et de web social tout en restant léger, ce portail permettra d’orienter et de faciliter les re-cherches de financement et d’accompagnement technique de manière efficace et appropriée. Il a l’ambition de devenir, en-déans les deux ans, une plate forme incontournable pour tous les créateurs de petites entreprises, les institutions financières et les bailleurs de fonds. Ce portail web vise à donner un véritable « coup de pouce » aux entrepreneurs pour renforcer leur chance de réussir et leur permettre ainsi d'accroître leur impact économique et social dans leur environnement proche. Afin de recueillir les informations nationales, la Fondation Abeo recherche toutes les ONG, associations ou institutions na-tionales actives dans l'aide aux entreprises en RDC. Pourriez-vous nous aider dans cette recherche étant actif dans ce secteur en RDC ? La Fondation Abeo devra également recruter un informateur (personne physique) qui connait parfaitement le secteur de l'en-treprenariat en RDC. Cet informateur sera lié contractuellement à la Fondation Abeo. Profil de poste pour l’informateur : Voir en annexe

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Annonces -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Rencontre avec Kingkuba Capital KingKuba Capital est une société de gestion de fonds de capital investissement légalement constituée en République Démo-cratique du Congo. Les actionnaires de KingKuba Capital sont XSML et CENAINVEST, deux fonds de gestion de capital investissement basés respectivement au Pays-Bas et au Cameroun.

KingKuba Capital gère le fonds de capital investissement Central Africa SME Fund (CASF) dont les investisseurs princi-paux sont la Société Financière Internationale (Groupe Banque Mondiale), la banque de développement des Pays-Bas (FMO) et The Lundin for Africa Foundation.

CASF investit dans les entreprises en RDC et en RCA pouvant démontrer un fort potentiel de croissance et de profitabilité, ainsi qu’une bonnegouvernance d’entreprise. Outre l’investissement réalisé, KingKuba Capital contribue au renforcement des entreprises de son portefeuille en apportant un appui managérialcouvrant notamment l’assistance comptable, commercia-le et technique, ainsi que l’appui à la levée de fonds supplémentaires et le recrutement de dirigeants à fort potentiel.

La Chambre de Commerce invite ses membres à une rencontre avec les dirigeants de KingKuba Capital dans la période du 29 mars jusqu’au 9 avril. Nous vous prions de bien vouloir contacter le Secrétariat de la Chambre pour plus d’information et pour régler une rencontre.

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CV Jean-Marc LAPLACE 25 rue des Maraîchers, B4020 Liège – Belgique e-mail : [email protected]

Tél. : +32 43 43 29 19 portable : +32 496 614 588

Expérience professionnelle

Manager agence maritime et de transit

Officier de pont à la marine marchande

De1988

à 1994

De 1982

à 1988

Agetraf /Sdv (groupe Bolloré) Matadi, Zaïre, Responsable des agences maritimes, puis Directeur Régional des agences du Bas-Zaïre, Matadi, Boma, Muanda. Agence maritime, agence de transit import et export, entrepôt sous douane, terminal conteneurs.

CMB Antwerpen, Officier de Pont, d’Aspirant à Premier Officier. Sur cargos conventionnels, cargo-mixte, porte-conteneurs, minéralier.

Manager agence maritime Safmarine Antwerpen – DRCongo & Congo Cluster manager. Agent en RdC et au Congo supervisant les activités de l’armateur dans les ports de Matadi, Boma, Ba-nana et Pointe Noire.

Depuis mi 2009 jusque fin 2010

Conseiller portuaire

Conseil en management

Directeur agence levage

Manager armement fluvial, agence maritime, manuten-

tions portuaires et industriel-les

Depuis fin 2005 jusque mi 2009

De 2002

à 2005

De 1995

à 2001

Kwanda Lda (Sonangol & Saipem/ENI), Soyo Angola. Base logistique pétrolière, Conseiller Portuaire. Développement des activités, des infrastructures, et l’organi-sation portuaire. Création d’un nouveau port dans le cadre du projet ALNG. Travail quotidien avec les « Oil Majors ».

Cedec Bruxelles, Conseil en management, Conseil formateur. Conseils aux mana-gers d’entreprises PME/PMI en Belgique et France. Aide à la définition, à la mise en place et au suivi de politiques, stratégies, projets, organisations internes, structure, plans d’actions, gestion quotidienne, outils de gestion, marketing, commercial, logis-tique, finances, achats, etc… Conseil en management, Organisation et Politique industrielle agréé par les Région Wallonne & Région Bruxelles Capitale – Indépen-dant. Aide à l’organisation, structure, suivi, développement, accompagnement du suivi de gestion, assistance à la gestion de projets.

Sarens Tramauben Liège, Directeur. Levages par grues mobiles de 20 à 650t .Gestion de l’agence, études techniques, suivi des réalisations, actions commer-ciales.

Somef s.a. Liège, groupe Cockerill-Usinor. Armement et affrétement fluvial, fluvio-maritime, agence maritime, manutentions de vracs et de conventionnel, emballage industriel, halls de stockage, plate-forme multimodale, logistique industrielle. Responsable de la flotte fluviale (95 à 97), Responsable des services opérationnels (97 à 98), directeur du Siège de Liège (98 à 2001).

De 2001

à 2002

Formation

Master sciences nautiques, capi-taine au long cours

Licence universitaire (Master) en sciences nautiques, ESNAntwerpen 1987. Brevets de Capitaine au long cours <4000t GRT, ESNAntwerpen 1987. Humanités Latin-Grec, collège Saint Barthélemy Liège 1978.

Etat civil, situation familiale.

Marié, 51 ans, 2 enfants Belge, né le 20 janvier 1960 à Liège, marié à Christel Verbist, deux enfants.

Divers.

Multilingue, utilisateur des outils informatiques

Sociable, ouvert et curieux

Français, néerlandais et anglais : langues parlées et écrites. Portuguais, espagnol et allemand : connaissance passive. Utilisation quotidienne des logiciels infor-matiques courants.

A été Consul de Danemark à Matadi (RdCongo). Est membre du Rotary Club de Flémalle (Belgique). Amateur d’opéra, de musique classique, de photographie, d’horlogerie, de peinture.

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Mushiya Laurence KABEYA 21 rue dezobry 93200 Saint-denis / FRANCE 0033 (0)6 64 66 13 14 [email protected] Etat Civil 28 ans - Née le 25 janvier 1983 à Liège (Belgique) D’origine congolaise RDC- Résidant en France Mobilité internationale Formation 2008 : Master en Management des Organisations (E-commerce et management international) - Bac +5 2005 : Licence professionnelle Assistant Export - Bac +3 2003 : BTS Action Commerciale - Bac +2 Plus Permis B Bilingue français / anglais (scolarisée dans un pays anglophone) Lingala, swahili, tshiluba Notions d’allemand Informatique : Cosmos, Internet, Word, Excel, Access, PowerPoint, Outlook, SAP, SQL, Joomla, Sphinx, Outils de centres d’appels… Expériences CHEF DE PROJET dans l’évènementiel international: Avril à septembre 2010: ORGANISATION DE LA PRESSE AFRICAINE Chargée de la réalisation des projets - Evènements liés au développement de l’Afrique Relations presse internationale, relations avec les hautes institutions africaines, rédaction de communiqués de presse, organisation de conférences de presse, gestion des projets à l’international, prospection des ONG, grandes entreprises et évènements internationaux, voyages professionnels Avril à septembre 2010: FESMAN 2010 – Dakar / SENEGAL Chargée des artistes - Festival Mondial des Arts Nègres Gestion de 10 groupes d’artistes djiboutiens, congolais : aéroport, concerts, déplacements etc Avril à septembre 2010: AFRICA FAST FOOD Responsable de stand - Evènements culturels en France et en Europe Prospection des évènements et achat des stands, tenue du stand dans des évènements musicaux et culturels dans la France entière, gestion d’équipe, gestion du montage et démontage du stand, gestion des budgets et caisses. Fête de l’huma, Reggae Sun Ska, Fest’Stains Estival, Marché africain de Rouen et Beauvais, Couleurs du Monde à La Teste de Buch. Janvier à février 2010: FAIT MAIN PRODUCTIONS Gestion des projets - Production de disque et de spectacle Gestion des prospects, des clients, des artistes et des partenaires, gestion de projets de disque, de tournées, de réalisation de clips, de captation de concerts, relais avec les médias et organisateurs de spectacles locaux et internationaux (Congo RDC, Congo, Russie, Belgique, Antilles etc), réseaux sociaux. Février à décembre 2009: AGENCE MARA INTERNATIONALE Responsable commerciale - Marché International de Noël Tropical à La Villette Paris. (3 jours, 170 exposants, 8 000 visiteurs) - Responsable des exposants : prospection sur salons internationaux, internet et réseaux, création et gestion de BDD, négociation et vente de stands, gestion des paiements, organisation de réunions et conférences, création, envois et réceptions des documents d’inscriptions des exposants, gestion des clients français et internationaux, rédaction des supports (dossier de presse, guide du salon, save the date), relais graphistes et imprimeurs, gestion des équipes pendant l’évènement, coordination logistique.

CV Mushiya Laurence Kabeya ———————————————————————————————————————————

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CV Mushiya Laurence Kabeya (Suite) ———————————————————————————————————————————

20 Nov au 10 Déc 2007: SALON DES MICROENTREPRISES Commerciale - Evènement professionnel BtoB (3 jours, 170 exposants, 18 000 visiteurs) : vente de stands, gestion commerciale d’un portefeuille de clients-exposants, gestion de bases de données. Février à Juillet 2007: SALON D’EXPOSITION BOUCLES D’EBENE Assistante commerciale - Evènement culturel et artisanat (3 jours, 150 exposants, 15 000 visiteurs) : prospection sur terrain, Internet et par téléphone, vente de stands en BtoB à des clients français et étrangers, négociation de partenariats et sponsoring, création et gestion de bases de données, publipostages, organisation de mini-animations promotionnelles, enquêtes de satisfaction (SPHINX), comptes-rendus et bilans.

AUTRES: Février à septembre 2008: CABINET JURIDIQUE HARLE ET PHELIP (Propriété intellectuelle) Assistante marque Dépôt et renouvellement de marques, modèles et noms de domaine français et internationaux. Intermédiaire entre les clients et les offices nationaux et internationaux de propriété intellectuelle. Gestion des délais, traductions libres anglais-français. Mars à Septembre 2006: PROCTER & GAMBLE Assistante logistique SAP, gestion des commandes des filiales européennes, approvisionnements en matière première (interne), approvisionnements en produits d’emballage (prestataires externes), prévisions et suivi quotidien des productions sur lignes (env. 50 pers), gestion de projet (mise en place du stockage extérieur), gestion des flux internes et externes, participation à un important appel d’offres. Avril à Juin 2005 GIMEX INTERNATIONAL Assistante commerciale export Prospection de clients européens, vente nationales et internationales, suivi du client, logistique et transport, gestion de base de données, mailings.

Divers Hobbies : musique du monde, culture africaine et caribéenne, cinéma, lecture Voyages : Afrique du Sud, Congo RDC, Sénégal, Espagne, Allemagne, Hollande, Italie

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La Fondation Abeo recrute :

Un informateur en création et développement d’entreprises

Profil de poste : Temps partiel (+/- 4 jours/mois) Minimum Bac + 5 Parfaite connaissance du secteur de la création d’entreprise nationale Connaissance en informatique : Parfaite connaissance et manipulation d’ Internet et bonne connaissance d’Office Autonome, flexible

Tâches à effectuer : 1. Chaque mois, l’informateur doit fournir par courriel à la Fondation Abeo et au partenaire de réalisation du pays, les documents suivants concernant son pays: La mise à jour de l’annuaire de l’entreprenariat de son pays (coordonnées

de toutes les institutions nationales et internationales présentes dans le pays + produits et services proposés : instituts nationaux, banques, institutions de microfinance, ONG et autres institutions intermédiaires d’aide au développement des entreprises) ; La mise à jour des principaux textes législatifs concernant la création

d’entreprises; Les sujets d’actualité du secteur du développement des entreprises

(financements de projets, conférences, formations, forums,…) ; Les dates et une courte présentation des principaux événements du

secteur du développement des entreprises ; Une proposition de modification de certaines fonctionnalités du site ; Toutes autres informations que l’informateur trouvera utile de rendre

accessible aux développeurs d’entreprises. 2. Chaque bimestre, l’informateur devra organiser une formation sur l’utilisation du portail web et d’Internet (minimum pour 15 personnes). 3. Chaque semestre, l’informateur doit fournir par courriel à la Fondation Abeo, les documents suivants : Deux « projets porteurs » (entreprises de moins de 5 ans qui peuvent être

présentées comme des réussites) qui seront présentées sur le portail web. La présentation de ces « projets porteurs » comprendra : Les coordonnées de l’entreprise (adresse, site, personne de contact,…) 10 photos représentant le lieu de travail, le chef d’entreprise en situation, les travailleurs en situation et les produits ; 30 lignes explicatives sur l’entreprise et de sa genèse. 4. Par ailleurs, pour toute la durée du contrat, il est souhaitable que l’informateur puisse se rendre disponible pour les événements organisés et financés par les partenaires et la Fondation Abeo (rencontres, séminaires,…).

Fondation ABEO : 1, rue de la Chapelle - 1450 Chastre - Belgium Tél :+32.10.65.93.42. email : [email protected] - n°d’entreprise : 870.981.311

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Dossier ___________________________________________________________________________ Kevin Falesse (BIAC)

Un nouveau partenariat entre la Banque Mondiale et les États Unis stimulera l’ac-tion internationale pour améliorer la gestion de l’eau et sauver des vies humaines Source : www.worldbank.org du 17/03/2011 Le Groupe de la Banque mondiale va travailler en collaboration plus étroite avec 17 agences gouvernementales des États-Unis pour aider les pays en développement à relever les défis liés à la crise mondiale de l’eau, tels que l’accès insuffisant à l’eau potable et à l’assainissement, la baisse du niveau des aquifères, la sécheresse, les inondations et les effets du changement cli-matique. « Les problèmes associés à la pauvreté sont quasiment toujours liés à l’eau. Le manque d’accès à l’eau salubre et à des servi-ces d’assainissement adéquats est la principale cause de maladies qui tuent chaque année deux millions de personnes, soit qua-tre chaque minute – pour la plupart des enfants », a déclaré le Président du Groupe de la Banque mondiale Robert B. Zoellick. « Le Groupe de la Banque mondiale aide les pays à arbitrer les conflits d’usage de l’eau pour l’agriculture, l’énergie, la consommation humaine et l’environnement. Le partenariat renforcé que nous établissons aujourd’hui avec les États‑Unis don-nera une véritable impulsion à cet effort. » Ce partenariat associera des ministères et des organismes fédéraux comme la NASA, qui mettra à la disposition des pays des techniques de télédétection leur permettant d’identifier et de mesurer leurs ressources en eau afin de les aider à élaborer des stratégies de gestion durable de ces ressources. Aux termes de cet accord, le Groupe de la Banque et le gouvernement américain aideront les pays en développement à renfor-cer la sécurité en matière d’eau et à améliorer la qualité de la ressource :

en gérant les ressources en eau de façon appropriée, en assurant effectivement un accès fiable et durable à des ressources en eau suffisantes d’un point de vue quantita-

tif et qualitatif pour satisfaire les besoins de consommation des populations, des acteurs économiques, des écosys-tèmes et des activités de production,

en réduisant les risques liés aux phénomènes hydrologiques extrêmes, tels que sécheresses ou inondations, en réhabilitant les bassins versants dégradés en améliorant l’efficacité de l’utilisation de l’eau, les pratiques et les techniques d’irrigation, en fournissant un soutien aux infrastructures dans les domaines de l’approvisionnement en eau, de l’assainissement

et de l’hygiène pour prévenir les maladies. Au nombre des résultats obtenus grâce au soutien du Groupe de la Banque, citons la restauration au Kazakhstan de l’écosystè-me de la mer d’Aral et des activités économiques de ceux qui en dépendent, et l’utilisation en Chine de techniques permettant de tirer moins d’eau des aquifères tout en accroissant la productivité et le revenu de 360 000 paysans.

L’assistance technique d’un montant de 7 millions de dollars fournie par le Programme d’approvisionnement en eau et d’assai-nissement administré par la Banque a permis de mobiliser plus 70 millions de dollars de fonds publics et privés et de sources communautaires pour donner accès à des services d’assainissement améliorés à huit millions de personnes en Inde, en Indoné-sie et en Tanzanie. Steve Hilton, président de la Hilton Foundation et Jeff Seabright de Coca-Cola se sont joints à M. Zoellick et Mme Clinton pour annoncer qu’ils s’engageaient à appuyer des programmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement. Participaient également à la conférence par liaison satellite depuis le Cap (Afrique du Sud) son Altesse royale Willem-Alexander, Prince d’Orange, Mme Edna Molewa, ministre sud-africaine de l’Environnement et de l’eau, et M. Joan Clos, directeur exécutif d’Habitat (ONU). Le Groupe de la Banque est la principale source extérieure de financement et d’assistance technique aux États dans le domaine de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement. En 2010, elle a fourni 5,7 milliards de dollars à l’appui d’opérations dans le secteur de l’eau, 40,8 millions de dollars pour financer des missions de conseil et d’assistance technique via le Pro-gramme d’alimentation et d’assainissement et 754 millions de dollars sous forme de garanties d’investissements dans le sec-teur de l’eau par l’intermédiaire de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA). La Société financière in-ternationale a accordé des financements à des entreprises privées d’un montant de 1,4 milliard de dollars depuis 2003 et fourni des services-conseils sur les partenariats public-privé pour la gestion de l’eau en gros, la distribution, la gestion des eaux usées et l’irrigation.

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Dossier ___________________________________________________________________________

L'eau : gestion des ressources et approvisionnement Source : www.worldbank.org du 21/03/2011

La Banque mondiale occupe une place unique dans le développement de projets liés à l’eau : elle constitue la plus impor-tante source externe de financement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau, l'assainissement, l'irrigation et le draina-ge des eaux usées, ainsi que dans la gestion des bassins fluviaux et des programmes transfrontaliers axés sur l’eau. Elle offre en outre des services de conseil et un soutien analytique aux pays en développement.

De l’exercice 2003 à l’exercice 2009, les financements annuels de la Banque sont passés de 1,8 à 4,9 milliards de dollars, l’approvisionnement en eau et les services d’assainissement constituant le principal domaine d’intervention (3,8 milliards de dollars). Cette augmentation spectaculaire fait suite à une période de déclin prononcé au début des années 2000, résultant de la réduction générale des engagements de la Banque et plus particulièrement d’une diminution des prêts liés à l’infrastructure. Le Plan d’action pour l’infrastructure de 2003, suivi par le Plan d’action pour une infrastructure durable (SIAP) et la récente Pla-teforme d’appui aux infrastructures existantes et nouvelles (INFRA) ont joué un rôle essentiel dans la relance des activités de la Banque dans le domaine de l’infrastructure en général et dans le secteur de l’eau en particulier.

L’eau dans le cadre du développement durable L’eau est essentielle au maintien des conditions de vie et de l’activité économique ainsi qu’aux moyens de subsistance des populations les plus pauvres. L’eau est un facteur clé de croissance et de réduction de la pauvreté et une ressource essentielle dans presque tous les domaines de production (agricole, industrielle, énergétique). Pourtant, la disponibilité de l’eau varie for-tement à la fois dans le temps et dans l’espace. Certaines régions telles que l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie du Sud sont confrontées au manque d’eau et exposées à des événements climatiques extrêmes (inondations/sécheresses). D’ici 2025, on estime à 4 milliards le nombre de personnes (soit environ la moitié de la population mondiale) qui souffriront de grave pénurie d’eau. Exploiter le potentiel productif de l’eau, limiter ses effets destructeurs et accroître la sécurité de l’eau est un perpétuel combat depuis les origines de la société humaine. L’eau est une ressource limitée qui est l’objet de demandes croissantes et concurrentes. On s’attend à ce que la consommation d’eau à l’échelon mondial augmente de 50 % au cours des 30 prochaines années pour répondre aux besoins de développement. Parmi tous les secteurs qui utilisent l’eau, l’agriculture est le plus consommateur ( 70 % des ressources mondiales). Au cours des 40 dernières années, la production alimentaire a augmenté de 150 % mais la consommation d’eau a doublé. Selon des esti-mations, à l’horizon 2050, il y aura 2,3 milliards de personnes de plus à nourrir (un tiers de plus qu’aujourd’hui). Répondre aux besoins alimentaires à l’avenir nécessitera une gestion plus efficace de l’eau et d’autres sources d’approvisionnement pour soutenir le surcroît de demande dans l’agriculture. Gérer les ressources en eau de manière durable est un défi de développement complexe. L’augmentation de la demande a eu pour conséquence une exploitation massive des nappes phréatiques, supérieure au taux de remplissage naturel. Le prélèvement dans les nappes phréatiques, qui représente 20 % du total de la consommation d’eau, augmente rapidement pour soutenir l’irri-gation agricole, la croissance urbaine et le développement industriel. Le problème de quantité se double en outre d’un problè-me de qualité. Dans la plupart des zones urbaines des pays en développement, les ressources en eau sont largement polluées par les déchets liés à l’activité industrielle et humaine, à tel point que les rivières en milieu urbain sont dégradées, avec des répercussions très importantes sur la qualité de la vie, sur la santé et l’environnement. Le changement climatique et ses conséquences sur le cycle de l'eau risquent d’aggraver encore la situation au cours des pro-chaines décennies. Les prévisions à long terme indiquent que les effets du changement climatique devraient varier selon les régions. Certaines régions seront plus humides, mais un grand nombre s’assècheront, particulièrement celles qui souffrent déjà du manque d’eau. La plupart des régions connaîtront des précipitations plus fortes et imprévisibles, souvent en alternance avec des périodes de sécheresse plus longues. Les répercussions sur les systèmes naturels seront très importantes : fonte accélérée des glaciers, modification des précipitations, ruissellement des eaux pluviales, épuisement des nappes phréatiques, inondations et sécheresses extrêmes, altération de la qualité des eaux, intrusion d’eau salée dans l’aquifère côtier, changements dans la consommation de l’eau. Le changement climatique complique la gestion des ressources en eau, en intensifiant et en accélérant la dynamique du cycle de l’eau. Jusqu’à maintenant, les sociétés ont trouvé des moyens pour s’adapter à la variabilité hydrologique et gérer les événe-ments climatiques tels que les inondations ou les sécheresses grâce à des pratiques de gestion et à des investissements inno-vants, ceci dans des limites définies et en s’appuyant sur les records historiques.

Les effets du changement climatique peuvent être atténuées en prenant des mesures d’adaptation appropriées (investissements dans l’infrastructure notamment) mais toutes ces réponses entraînent des coûts et exigent des compromis .

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Dossier ___________________________________________________________________________

Principales réalisations de la Banque depuis 2003 La Banque aide les pays clients à améliorer la gestion de leurs ressources en eau et de leurs services hydrauliques, afin de fa-voriser leur croissance et de réduire la pauvreté. Souhaitant à l’avenir offrir une gamme complète de services, la Banque pro-pose des actions intégrées, prioritaires et cohérentes concernant la gestion des ressources en eau et la fourniture de services hydrauliques. Voici quelques-unes des principales réalisations de la Banque depuis l’approbation en 2003 de la Stratégie de gestion des res-sources en eau par le Conseil d’administration:

Une augmentation importante des prêts octroyés à tous les sous-secteurs de l’eau au cours de la période 2003-2009, concernant notamment l’assainissement et l’approvisionnement en eau, l’irrigation et le drainage des eaux usées, l’hydroélectricité et la protection contre les inondations.

Un repositionnement stratégique de l’institution dans les secteurs de l’agriculture et de l’hydroélectricité, grâce au développement du Plan d’action pour l’agriculture 2010-2012 du Groupe de la Banque mondiale et au Plan de développement de l’hydroélectricité, visant à augmenter le soutien apporté aux pays clients dans ces domaines.

Des améliorations majeures de la qualité des prêts relatifs au secteur de l’eau. Selon les indicateurs du Groupe d’assurance qualité, le secteur de l’eau a obtenu en 2008 les meilleures performances jamais réalisées depuis 1998.

Une augmentation de l’assistance en matière de planification stratégique en eau. Au total, 20 pays ont achevé la mise en œuvre de Stratégies d’assistance -pays en matière de ressources en eau.

Le pilotage de programmes de promotion de l’assainissement et de l’hygiène, grâce à l’apport de fonds par la Fondation Bill et Melinda Gates au Programme eau et assainissement.

Partenariats Le soutien financier d’importants donateurs internationaux (tels que les gouvernements des Pays-Bas, du Danemark et du Royaume-Uni, ainsi que la Fondation Ville & Melinda Gates) a permis aux pays clients de bénéficier des activités de conseil et d’assistance technique de la Banque. La Banque mondiale est engagée dans toute une série de partenariats sur l’eau, dont les plus importants sont :

Le Programme eau et assainissement (WSP) est un partenariat inauguré il y a 30 ans, placé sous les auspices de la Banque mondiale et chargé d'améliorer l'accès durable des pauvres aux services d'eau et d'assainissement, grâ-ce au renforcement des capacités, à la mise en œuvre et à l’expérimentation d’approches innovantes, aux campa-gnes de sensibilisation et au partage des connaissances. Au cours de l’exercice 2009, le Programme WSP a in-vesti environ 39,6 millions de dollars répartis dans 25 pays.

Le Programme de partenariat pour l'eau (WPP) est un programme multi-donateurs visant à renforcer les efforts de la Banque pour réduire la pauvreté grâce à : (a) l’amélioration de la qualité et de l’efficacité des services liés à l’eau et (b) le sponsoring et la mise en œuvre d’approches pragmatiques et s’appuyant sur des principes pour la gestion et le développement des ressources en eau. Le WPP est une consolidation et une évolution du Programme de partenariat pour l'eau Banque-Pays-Bas (BNWPP)dans le domaine des ressources en eau et du Partenariat pour l'eau Banque-Pays-Bas (BWNP) en matière d’alimentation en eau et de services sanitaires. En abordant le secteur de l’eau dans sa globalité et en renforçant l’action des donateurs participants, le WPP améliore la réorga-nisation et la restructuration de ce secteur. Environ 20 millions de dollars ont été mis à disposition pour la pério-de 2009-2010.

Dans le cadre du Mémorandum d’accord signé en 2008, l’Agence américaine d’observation océanique et atmos-phérique (NOAA)et la Banque mondiale étudient les possibilités de coopération, dans des domaines comme le changement climatique et l’agriculture, les systèmes d’alerte des inondations et les formations assurées aux pays clients.

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Appel d’offre -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Avis d’appel d’offres pour Service de réparation de véhicule et d’entretien de véhicules Responsable : PNUD Date limite : le 11 avril 2011 Email : [email protected] Adresse : Immeuble Losonia, Boulevard du 30 Juin, Kinshasa / Gombe Avis d’appel d’offres pour Travaux de construction du Bureau de Liaison de Kinshasa Financement : FIDA Responsable : Ministère de l’Agriculture Date limite : le 18 avril 2011 Tél : 081 572 74 42 - 099 995 60 97 Email : [email protected] Adresse : 12, Avenue de la libération ex 24 Novembre, en face de l’Institut Supérieur de Commerce « ISC » Kinshasa / Gom-be Avis d’appel d’offres pour Entretien routier sur le tronçon Kisangani-Lia Financement : IDA / DFID Responsable : Office des Routes Date limite : le 19 avril 2011 Tél : 081 549 45 00 – 081 200 52 91 Email : [email protected] Adresse : 1, Avenue Mobutu, Ville de Kisangani, Province Orientale Avis d’appel d’offres pour Réouverture et entretien des routes sur le tronçon Kalemie-Limite Financement : IDA / DFID Responsable : Office des Routes Date limite : le 20 avril 2011 Tél : 081 142 89 35 – 099 770 47 11 – 081 369 85 82 Email : [email protected] Adresse : 69, Avenue Lumumba, Ville de Kalemie, Province du Katanga Avis d’appel d’offres pour Acquisition et d’Installation d’un réseau métropolitain d’interconnexion internet et de transfert des données (intranet) Financement : IDA Responsable : PRCG Date limite : le 26 avril 2011 Tél : 099 290 57 48 – 099 290 57 63 Email : [email protected]

Adresse : 169, Avenue Kwango, Commune de Basoko (en face du Lycée Marie Goretti) Avis d’appel d’offres pour Acquisition de matériel roulant pour la CDP/SNEL Financement : IDA Responsable : BCECO Date limite : le 28 avril 2011 Tél : 081 513 67 29 – 081 999 91 80 Email : [email protected], [email protected], [email protected], [email protected] Avis d’appel d’offres pour Fourniture d’équipements

Avis d’appel d’offres pour Fourniture d’équipements Financement : IDA Responsable : BEGES Date limite : le 29 avril 2011 Tél : 082 214 62 10 Email : [email protected] Adresse : 37, Boulevard Lumumba, Commune Makiso, Kisangani

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Appel d’offre -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Avis d’appel d’offres pour Fourniture de carburants, de lubrifiants pendant 18 mois et des appareils de mesure Financement : IDA Responsable : PTM Date limite : le 10 mai 2011 Tél : 099 325 78 68 - 099 357 78 12 Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] Adresse : 115 Place de la Gare, Lubumbashi

Avis d’appel d’offres pour Fourniture de trente deux (32) véhicules routiers et d’une (1) tractopelle, repartis en trois lots distincts, pour le compte de la SNCC Financement : IDA Responsable : PTM Date limite : le 17 mai 2011 Tél : 099 325 78 68 - 099 357 78 12 Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] Adresse : 115 Place de la Gare, Lubumbashi

Avis d’appel d’offres pour Fourniture et installation de 17 groupes électrogènes, réparti en deux lots distincts pour le compte de la SNCC Financement : IDA Responsable : PTM Date limite : le 27 mai 2011 Tél : 099 325 78 68 - 099 357 78 12 Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] Adresse : 115 Place de la Gare, Lubumbashi

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Echos du Congo -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Master en Gestion et Droit de l’Entreprise Reconnu en tant que Diplôme de Master par la RDC et en tant que Certificat d’Université par la Communauté Française de Belgique.

HEC-ULg et la faculté de Droit et de Science politique de l’Université de Liège s’associent avec l’institut Supérieur de Com-merce (ISC) de Kinshasa pour créer un Master Congolais en Gestion et Droit de l’entreprise. Ce programme a pour ambition de former des cadres ou futurs cadres dirigeants qui mettront en œuvre des capacités de management stratégique. La formation donnera accès à un diplôme congolais et à un certificat d’université de l’ULg, valorisable dans les formations diplômates de l’Université de Liège. Les cours seront donnés à l’institut supérieur de Commerce (ISC) de Kinshasa par enseignants des deux institutions partenaires. La pédagogie sera active, pratique et basée sur de nombreuses études de cas. Programme

Introduction à la Gestion et au Droit de l’entreprise – Tronc commun (210h)

Entrepreneuriat et micro-finances (30h)

Diagnostic financier et Reporting 30h)

Marketing/Stratégie (30h)

Management des organisations et GRH (30h)

Aspects juridiques des entreprises, OHADA (30h)

Management des opérations (30h) Informatique (30h) MODULE 1 : MARKETING et MANAGEMENT (90h)

Marketing international (30h)

Pratique de GHR (30h) Contrôle de gestion (30h) MODULE 2 : FINANCE et BANQUE (90h)

Ingénierie financière (30h)

Ingénierie de projets Gestion bancaire (30h) MODULE 3 : DROIT DES AFFAIRES (90h)

Passation des marchés (30h)

Fiscalité de l’entreprise (30h) Contrats (30h) L’ensemble du programme comportera 26 semaines de cours : (7 tronc commun + 6 cours (2 modules au choix). Chaque cours fera l’objet d’une évaluation et l’étudiant présentera un travail dans le cadre d’une matière choisie qui lui permettra de développer un projet personnel lié à son entreprise.

Public Cible :

Le certificat est ouvert aux cadres congolais des entreprises locales, qui sont au minimum porteur d’un diplôme de 2ème cycle et qui ont idéalement une expérience de 2 ans en entreprise. Dans les autres cas, le jury se réserve le droit d’organiser un entre-tien individuel avec le candidat ou de demander un dossier détaillé sur la base duquel une expérience professionnelle pourrait être valorisée. Renseignements et inscription : Coordination du Master en Gestion et Droit de l’entreprise, En RDC : Pr. Mbangala Mapapa : ISC-Kinshasa / [email protected] / [email protected] En Belgique : Sabine Mondin / [email protected]

Adresse : Avenue de la libération (Ex. 24 novembre) Kinshasa / Gombe

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Echos du Congo -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Matrice de la gouvernance économique : Gouvernement et bailleurs de fonds s’ac-cordent enfin Source : www.médiacongo.net du 28/03/2011

L’eau, en tout cas beaucoup d’eau, a coulé sous le pont avant que le gouvernement congolais et ses principaux bailleurs tradi-tionnels dont la Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) se mettent enfin d’accord sur la nouvelle matrice de la gouvernance. Au cours de la réunion présidée jeudi 24 mars 2011, au ministère des Finances, les parties enga-gées dans le processus se sont regardées dans les yeux pour s’accorder sur cette matrice. En tous cas, Matata Ponyo Mapon, ministre des Finances a joué les coudées pour y parvenir, les négociations à ce sujet ayant été ardues. Tout à fait normal car quatre objectifs costauds guident les actions à mener dans la gouvernance économique. Réta-blir la confiance et la transparence dans la gestion des ressources naturelles, améliorer le climat des affaires ; améliorer l’effi-cacité de l’utilisation des ressources issues du secteur extractif, la transparence, l’efficacité et l’économie dans les procédures d’exécution de la dépense publique. Le gouvernement s’en est sorti ragaillardi au cours de cette rencontre dont on a noté la présence du ministre du Budget, de la directrice des Opérations de la Banque mondiale pour les deux Congo, Mme Marie-Françoise Marie Nelly, et de Samir Jahjah, représentant résident du FMI. La matrice a donc fait parler d’elle au cours de cette réunion car elle se veut un canal qui va permettre à l’Etat de maximiser les recettes qu’il mobilise, mais aussi de rassurer les investisseurs qu’il y a une stabilité au niveau du cadre juridique. De l’au-tre côté, elle permet à l’Etat de savoir mieux dépenser, à travers l’adoption des règles transparentes.

Prudence de l’argentier national Satisfait mais aussi très prudent, le ministre des finances a précisé à l’issue de cette rencontre «qu’il ne reste pas beaucoup de chose à faire dans la réalisation de la matrice. Les questions relatives à la nomination des responsables ayant en charge la pas-sation des marchés ont été évoquées par le ministre du Budget, dira-t-il, avant d’ajouter que selon la BM, beaucoup de progrès ont été réalisés par le gouvernement pour améliorer la gestion de nos ressources naturelles. Augustin Matata Ponyo Mapon, a donc salué le consensus qui s’est enfin dégagé entre les deux camps. «Il était temps, a-t-il laissé entendre, de se mettre d’accord pour baliser la voie à des rapports moins conflictuels entre la RDC et ses principaux partenaires au développement. Le gouvernement a donc fait part des avancées significatives dans plusieurs domaines, particu-lièrement pour tout ce qui se rapporte aux ressources naturelles (mines, pétrole, forêt, etc.), et le système de passation des mar-chés publics». En effet, les discussions ont été constructives et positives pour les importantes avancées sur les secteurs dans le secteur des mines. Ici, le débat sur le contrôle de l’Etat comme actionnaire unique dans les actifs des entreprises minières publiques a été stratégique afin d’assurer leurs contributions efficaces à l’économie nationale ; le résultat satisfaisant de la publication des contrats miniers sur le site web, ce qui va servir d’exemple pour les autres secteurs ; la publication de la carte de retombées minières et des listes des permis miniers ainsi que l’accès concurrentiel et transparent aux périmètres miniers abandonnés ou annulés sur le site web du CTCPM.

En ce qui concerne le secteur forestier, le gouvernement s’est efforcé de procéder à la publication de la liste des titres convertis depuis le 10 février 2011 sur le site web du ministère. Il faut ajouter que la liste des permis de coupe délivrés est disponible sur le site web du ministère de l’Environnement, etc.… Dans le cadre d’amélioration du climat des affaires, la RD Congo a manifesté son intention d’adhésion à la Convention de New York de 1958 sur la reconnaissance et l’exécution des sentences arbitrales. A l’issue des travaux d’experts, cette matrice a aidé à rétablir la confiance et la transparence dans la gestion des ressources naturelles, à améliorer le climat des affaires et l’efficacité de l’utilisation des ressources issues du secteur extractif, la transparence, l’efficacité et l’économie dans les procé-dures d’exécution de la dépense publique.Matata Ponyo a rassuré que les termes de cette matrice seront exécutés par tous les ministères et services concernés. Quant au ministre des Finances, a-t-il préconisé, il va œuvrer pour une gouvernance économique qui soit acceptable d’abord par le gouvernement et ensuite par son partenaire au développement, la Banque mondiale. Etant entendu que cette matrice n’est pas une imposition des partenaires mais le fruit d’une volonté au plus haut niveau du pays, le ministre des Finances a révélé que le gouvernement va désormais privilégier une meilleure gestion des ressources, la bonne gouvernance, la responsa-bilité des hommes au niveau des institutions publiques, etc.

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Satisfecit avéré Ceci démontrant cela, la directrice des opérations de la Banque mondiale a révélé que maintenant que la matrice est adoptée, c’est dans les faits, a-t-elle dit, qu’elle entend voir le gouvernement à l’œuvre. Le plus important est qu’entre les deux parties, les malentendus - il y en a eu bien nombreux entre particulièrement la RDC et la BM - ont été finalement dissipés. « Il y a beaucoup de points positifs qu’il faut encourager notamment en matière de publication des informations dans le secteur minier. On sent une véritable appropriation du processus », a-t-elle fait remarquer. Marie Françoise Marie-Nelly s’est, par ail-leurs de la nette volonté affichée par le gouvernement pour plus de transparence dans la coordination des actions retenues dans la matrice de gouvernance économique. Pour elle, plus rien ne devait donc obstruer la voie de la coopération structurelle. C’est ainsi que dans la ville haute, les esprits avisés demandent au gouvernement de pouvoir mobiliser davantage des ressources pour que les grands programmes qui ont été amorcés puissent effectivement se déployer, au lieu d’attendre l’aide publique car elle est relativement limitée dans les pays en voie de développement. Lorsqu’on on observe l’actualité internationale, la plupart de ces pays ont des contraintes et des défis chez-eux. Il est certain que l’aide publique doit avoir des limitations, mais ces pays ont donc la possibilité de mobiliser davanta-ge des ressources propres. Or, classée parmi les pays en voie de développement, la RDC doit mobiliser le partenariat public-privé puisque le secteur privé est prêt à investir même lorsque les conditions sont réunies. C’est véritablement le sens de cette matrice qui vise à créer les conditions de gouvernance économique, d’amélioration du climat des affaires qui permettront de passer à une deuxième phase de mobilisation des ressources et d’améliorer l’utilisation de celles-ci. La charge revient donc au ministère des Finances quant à l’efficience de l’utilisation de ces ressources pour que les populations voient davantage le bien-être et le bénéfice de ces ressources. C’est pourquoi, les partenaires de la RDC restent encouragés par l’affirmation de l’engagement du gouvernement appelé à accélérer la mise en œuvre des projets, en renforçant la gestion et en améliorant, in fine, les résultats.

Echos du Congo -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

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Echos de l’Etranger -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’industrie de l’armement inquiète des conséquences des révoltes dans le monde ara-be Source : www.trends.be du 17/03/2011 Le chiffre d'affaires est en hausse de 22% à 4,2 milliards d'euros grâce à un niveau record de livraisons d'avions civils Falcon, 77% du chiffre d'affaires du constructeur dans le secteur militaire. Dassault n'a rien vendu à l'exportation depuis 10 ans et les révoltes dans les pays du monde arabe suscitent l'inquiétude des industriels de l'armement. Le marchand d'armes Dassault Aviation le reconnaît : avec la répression menée en Libye par le régime du Colonel Kadhafi, c'est un client de moins pour le Rafale. Tripoli avait un temps envisagé d'acheter quatorze avions de ce type. « C’est une déception, pour Charles Edelstenne, le PDG de Dassault Aviation. Mais ça fait partie des règles du jeu dans ce métier. C’est-à-dire que je vois mal aujourd’hui, compte tenu de la situation libyenne, le gouvernement français donnant un accord d’exportation vers la Libye. Donc nous ti-rons un trait sur ce pays pour le moment ».

Les riches clients du Golfe, eux aussi, s'inquiètent de la détérioration de la situation dans leur pays. Epreuve de force à Bahreïn et déblocage de 36 milliards de dollars en Arabie Saoudite afin de financer des programmes sociaux, les dépenses militaires risquent d'être renvoyées à plus tard. Dassault, qui compte toujours sur un important contrat aux Emirats Arabes Unis, espère que cette situation ne durera pas trop longtemps : « Les évènements pour le moment ont l’air d’être à peu près maîtrisés, expli-que Charles Edelstenne. Je pense qu’au Moyen-Orient, il y a quelques petits problèmes mais j’espère que ça ne se traduira pas en fait majeur qui puisse faire que nous soyons dans une situation un peu plus difficile ». Ces cinq dernières années, les pays du Proche et du Moyen-Orient ont représenté plus du quart des exportations françaises d'armement.

Les insurgés libyens pourraient prochainement relancer les exportations de pétrole Source : www.rfi.fr du 20/03/2011 En Libye, l'avancée des rebelles laisse espérer une prochaine reprise des exportations de brut. Le gouvernement de l'opposition a affirmé qu'il avait signé un accord avec le Qatar pour la commercialisation du pétrole libyen. Actuellement, la production libyenne est comprise entre 100 000 et 130 000 barils par jour et pourrait être portée à 300 000 barils d’ici deux semaines. La compagnie publique Qatar Petroleum n'a pas démenti qu'elle ait signé un accord avec les insurgés pour commercialiser le pé-trole libyen. Cela vaudrait, pour les observateurs, confirmation. Qu'une transaction ait eu lieu entre le Conseil national de tran-sition et le gouvernement de Doha est tout à fait vraisemblable, étant donné la rapidité avec laquelle le Qatar est intervenu acti-vement dans la coalition anti-Kadhafi et avec laquelle il a reconnu le régime rebelle.

A présent, la compagnie publique qatarie pourrait servir de canal pour commercialiser le pétrole. C'est ce qui manquait jusqu'à présent aux rebelles : un débouché pour vendre le brut. Puisque jusqu’ici c'est la NOC, la compagnie nationale libyenne, tou-jours aux mains de Kadhafi, qui s'en chargeait.

La production n'est pas un problème pour l'opposition depuis qu'elle contrôle Agoco, filiale de la NOC, qui a fait sécession et qui dispose d'ingénieurs libyens compétents. De Tobrouk à Ras Lanouf, les insurgés ont repris en main la plupart des termi-naux pétroliers. Reste à convaincre les acheteurs qui, de fait, prendront alors le parti des rebelles. Et surtout à trouver des ba-teaux qui accepteront de braver les risques de bombardements pour charger le brut. L'objectif des insurgés de reprendre les exportations dans la semaine est donc un peu optimiste, mais c'est un geste d'affirmation politique fort.

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Le Japon, l’effet papillon et les faiblesses du flux tendu Source : www.trends.be du 24/03/2011 Il n’aura pas fallu plus de 10 jours pour que le séisme qui a frappé le Japon produise son premier impact sur l’industrie euro-péenne. C’est ce qu’on pourrait appeler l’«effet papillon». Le secteur qui semble en souffrir le plus, pour le moment, est le sec-teur automobile. Un secteur qui est d’ailleurs chahuté en Bourse depuis quelques jours.

C’est le cas du groupe PSA Peugeot Citroën, qui a annoncé qu’il diminuait les cadences de la plupart de ses usines en Europe. Il est vrai que PSA souffre des difficultés d’Hitachi au Japon. Celui-ci fabrique en effet des debitmètres, un composant électroni-que essentiel aux moteurs diesel qui équipent 68 % des voitures vendues en Europe par PSA Peugeot Citroën.

L’Europe n’est pas seule touchée par ces problèmes de sous-traitance. Honda a elle aussi annoncé à certains de ses vendeurs américains qu’elle ne pourrait pas garantir que sa production revienne à un niveau normal avant le mois de mai prochain ! De même, il semblerait que Ford soit le prochain sur la liste à annoncer qu’il devra modifier ses plannings de production. Et ce, du fait que les voitures hybrides de Ford dépendent, pour leurs batteries, des cartes-mémoires de Sanyo Electronic et de Toshiba. A priori, cette panique sur les composants électroniques ne devait pas avoir lieu tout de suite, pour la simple raison que la plupart des composants sont transportés par voie maritime. L’impact du tremblement de terre aurait donc dû se faire sentir avec retard, vers la mi-avril. C’était compter sans la panique et le fait que certains font des stocks préventifs, ce qui accélère la hausse de prix et le risque de pénurie. En réalité, comme le faisait remarquer le journal Le Figaro, le vrai problème réside dans les stocks. Le Japon a inventé une mé-thode que le monde entier a copiée : celle du flux tendu. Autrement dit, la gestion informatisée des stocks, de manière à les gar-der les plus bas possibles car un stock coûte de l’argent et mobilise de l’espace. La gestion active des stocks fait gagner de l’argent aux entreprises, c’est vrai. Sauf que cette politique fait l’hypothèse qu’il n’y a pas de rupture dans la chaîne d’approvisionnement. Le séisme au Japon a rappelé que la Nature était plus forte que les modèles de gestion de stock !

Echos de l’Etranger -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------