Cas clinique dysfonction erectile vincent hupertan séminaire urologie 3 – urogynecologie...

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Made by @hupertan CAS CLINIQUE DCEM NR 2 PROGRAMME MODULE 16 ANNÉE 2014-2015 Séminaire Urologie 3 – UROGYNECOLOGIE / ANDROLOGIE Dr Vincent HUPERTAN

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PROGRAMME MODULE 16

ANNÉE 2014-2015

SEMESTRE 2

lundi 30 mars 2015 de 14h30 à 17h30

Séminaire Urologie 3 – UROGYNECOLOGIE / ANDROLOGIE

# 37 : Stérilité du couple (aspects urologiques)

# 38 : AMP (aspects urologiques)

# 120 : Ménopause et Andropause (HUPERTAN / SAINT LOUIS)

# 122 : Troubles de l’érection (HUPERTAN)

# 42 : Tuméfactions pelviennes chez la femme (prolapsus)

# 121 : Troubles de la miction et incontinence urinaire de l’adulte et du

sujet âgé (chez la femme)

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Cas clinique

Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile. Il a été

opéré il y a environ 6 mois d'un cancer de la prostate. Le PSA pré

opératoire était égal à 8,65 ng/ml.

Avant l'opération son urologue lavé prévenu vaguement des les

éventuels troubles sexuels. Il avait d'ailleurs proposé une alternative

chirurgicale mais qui selon les dires du médecin les mêmes effets sur

l'érection mais à distance de l'opération.

Monsieur Blaise se dit être malheureux par rapport à cette dysfonction

érectile d’autant plus qu'il est marié et que sa femme s'en plaint aussi.

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Question 2.2. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile.)

Un de ses amis, avais été opéré de la « prostate », par voie endoscopique et

qui n'a pas du tout les mêmes troubles sexuels et il ne comprend pas : est-ce

que son urologue a « raté » son opération où il n’a pas bien compris.

Vous faites la déduction que son ami avait été opéré par voie endoscopique

d'un adénome par une résection transurétrale.

Concernant les effets sur la sexualité masculine de la résection transurétrale,

les affirmations suivantes sont vraies:

a) Il y a une dysfonction érectile;

b) L’orgasme est présent mais l’éjaculation est absente.

c) Il y a un éjaculation précoce

d) Il y a un hypogonadisme périphérique

e) L’éjaculation est présente mais l’orgasme est absent.

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Question 2.3. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile)

A l’issue de cette première consultation, dans le cadre du bilan initial de la

dysfonction érectile post prostatectomie radicale vous proposez les examens

de biologie suivants d’imagerie suivants:

• Prolactine

• Cortisolémie à 8 heures

• Dosage du DHEA

• LH et FSH

• Dosage des stéroïdes urinaires

• L’’acide urique

• Glycémie à jeun et un profil lipidique,

• Testostérone totale

• PSA totale

• Aucun examen n’est utile

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Question 1.6. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile)

Monsieur Blaise regrette de ne pas avoir choisi le traitement pas la

radiothérapie car il y aurait moins d’effets secondaires.

Les affirmations suivantes sont vraies:

• Le traitement étiologique est efficace chez tous les patients présentant un

trouble érectile;

• La radiothérapie entraine également des troubles sexuels mais sont plus

tardifs

• Dans les suites d’une radiothérapie seule la diminution de la libido est

fréquente

• Les analogues de la LHRH peuvent améliorer la focntion érectile

• Un traitement par les inhibiteurs des phosphodiestérases de type 5

nécessite un avis cardiologique systématique

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Question 1.7. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile)

Vous lui avez prescrit des inhibiteurs des phosphodiestérases de type 5 en

continu.

Le patient se plaint d’absence d’efficacité. Et de plus il n’a pas d’éjaculation.

- Son discours est contradictoire – ce n’est pas possible d’avoir un orgasme

sans érection

- Il faut démarrer un traitement par des injections intra caverneuses

- Il suffit d’informer les patients de la modalité de traitement et la technique

d’injection

- L’érection survient dans les minutes qui suivent l’injection

- L’érection peut être prolongée

- L’injection est douloureuse

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Question 1.8. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile)

Vous réalisez l’apprentissage des injections intra-caverneuses:

- En absence d’excitation sexuelle le traitement ne peut pas fonctionner

- Le mécanisme d’action nécessite la préservation des bandelettes vasculo-

nerveuse

- L’érection peut être très longue

- En cas d’érection prolongée il faut administrer un agent vasoconstricteur par

voie générale

- L’érection prolongée c’est une urgence

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Question 1.9. (Monsieur Blaise, 64 ans, consultant pour dysfonction érectile)

Avec les injections intracaverneuses l’érection étant satisfaisantes, le patient

avait une vie sexuelle correcte. Cinq ans après l’intervention le PSA est in

dosable (<0,01).

Il consulte car depuis peu les injections ne fonctionnent plus. Il voudrait une

autre solution.

Les affirmations suivantes sont vraies.

- En post opératoire, la cicatrisation des bandelettes neuro-vasculaire peut

nécessiter plus de 12 mois

- Chez un patient qui les IPDE5 n’ont pas fonctionné en post-opératoire

immédiat, il ne faut plus réessayer les traitement oraux

- Si les injections ne fonctionnent plus il reste les traitements « mécaniques »

- Il faut réaliser un pharmaco-doppler

- Il peut envisager un implant pénien

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