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BAROMETRE DE LA POLITIQUE ECONOMIQUE BVA – LES ECHOS – FRANCE INTER Vague 2 – mai 2008 Popularité de la politique économique Réactions aux propos de Bertrand Delanoë Les Français, leurs députés et la réforme constitutionnelle Acceptation des dispositions de contrôle des chômeurs LEVEE D’ EMBARGO LE LUNDI 26 MAI 2008-23H00 Contact BVA : Gaël Sliman Directeur délégué de BVA 01.71.16.88.34

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BAROMETRE DE LA POLITIQUE ECONOMIQUE

BVA – LES ECHOS – FRANCE INTERVague 2 – mai 2008

Popularité de la politique économiqueRéactions aux propos de Bertrand Delanoë

Les Français, leurs députés et la réforme constitutionnelleAcceptation des dispositions de contrôle des chômeurs

LEVEE D’ EMBARGO LE LUNDI 26 MAI 2008-23H00

Contact BVA : Gaël Sliman Directeur délégué de BVA ���� 01.71.16.88.34

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Fiche technique

� L’Institut BVA a réalisé ce sondage par téléphone les 23 et 24 mai auprès d’un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.

� La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas, appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession du chef de

famille après stratification par région et catégorie d’agglomération.

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Synthèse des principaux enseignements du sondage

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Résumé

Voici la seconde vague de notre nouveau « baromètre de la politique économique BVA – Les Echos –France Inter »On pourrait en synthétiser ainsi les enseignements : La politique économique du gouvernement (en baisse de 11 points d’indice) atteint ce mois-ci un record d’impopularité inégalé depuis deux ans et la période CPE-Villepin. Après avoir réussi le mois dernier, grâce à son intervention télévisée du 24 avril, à interrompre sa chute continue depuis un an, Nicolas Sarkozy poursuit donc sa « dégringolade » (-70 points d’indice de popularité en un an) sur cet indicateur décisif.Pourtant, cette situation ne semble pas profiter à l’opposition, les personnes tout comme les lignes politiques à adopter suscitant toujours auprès des sympathisants socialistes plus de divisions que de consensus.Ainsi en est-il notamment des deux sujets d’actualité les plus forts du moment : les sympathisants socialistes ne sont d’accord ni sur l’attitude à adopter face à « l’audace » libérale de Bertrand Delanoëreconnaissant les bienfaits de « l’économie de marché », ni sur le choix que leurs députés devraient faire lors de leur vote sur la réforme des institutions.

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Synthèse des principaux enseignements du sondage

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1) Avec 67% de mauvaises opinions (+7 points) contre 29% de bonnes (-4 points), la politique économique du gouvernement, atteint un record d’impopularité depuis l’élection, poursuivant une chute vertigineuse, un instant interrompue après l’intervention télévisée du Président du mois dernierNicolas Sarkozy et François Fillon enregistrent ce mois-ci leur plus mauvais score et sont au 3ème plus bas niveau jamais enregistré sur cet indicateur depuis 10 ans. Leur printemps 2008 est en effet un peu moins catastrophique que ne l’était celui de Dominique de Villepin en 2006 (précédent record à 74% contre 23% en juin 2006 à la fin de la crise du CPE) ou celui de Jean-Pierre Raffarin (69% contre 27%) en 2005, juste avant qu’il ne quitte Matignon.La baisse de 12 points en indice observée en mai intègre vraisemblablement pour une part le rattrapage de la baisse d’avril interrompue par la prise de parole présidentielle. Ce n’est pas une surprise, nous envisagions déjà le mois dernier cette hypothèse d’une simple pause dans la chute «…l’intervention présidentielle a indéniablement permis d’enrayer ou de retarder une chute, … comme si les Français attendaient à présent de voir les résultats réels pour se positionner. » (Synthèse BVA du baromètre d’avril 2008). C’est donc chose faite ce mois-ci.Plus que le phénomène lui-même, le plus spectaculaire est peut-être finalement l’immense difficulté qu’il y a pour les médias et les commentateurs à se convaincre que c’est bien le fond de la politique menée, bien plus que le style ou la « pipolisation »excessive du Président, qui explique ce niveau et cette chute.A un tel niveau d’impopularité, l’analyse par sous-catégorie devient quasi-inopérante : la politique économique n’est plus soutenue que par les seuls sympathisants de l’UMP (71%) tandis que les seniors (« seulement » 52% contre 41% des plus de 65 ans y sont opposés) et les travailleurs indépendants (55% contre 42% y sont opposés) sont ceux qui la rejettent le moins unanimement.Plus surprenant encore, le désaveu est unanime aussi en évolution : en six mois (depuis novembre 2007), la perte est de 23 points auprès des Catégories professionnelles dites « inférieures » et de 21 points auprès des CSP dites « supérieures », elle est de 23 points auprès des Français les plus aisés et de 20 points auprès des plus pauvres, de 18 points auprès des hommes et de 17 auprès des femmes, de 18 points auprès des jeunes de 15 à 24 ans et de 20 points auprès des 50-64 ans …surtout, la perte en six mois est de 14 points à gauche comme à droite. Dans le détail, et pour des raisons évidentes d’attentes et de niveau de départ qui n’avaient rien de comparables, notons que les sympathisants d’extrême gauche sont les moins déçus (-10 points) et que ceux d’extrême droite sont ceux qui le sont le plus (-23 points).

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Synthèse des principaux enseignements du sondage

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2) Le PS n’en profite pas, ses sympathisants apparaissant aussi divisés que ses leaders sur l’orientation à donner en matière de politique économique (acceptation de l’économie de marché) … « l’audace » de Bertrand Delanoë loin de clarifier les choses risque même de renforcer dans l’Opinion une image « parisianiste » et « bobo »En lançant la semaine dernière avec fracas son livre « de l’audace », avec pour principal « pitch » l’idée que « seule l’économie de marché crée des richesses nécessaires au progrès social », Bertrand Delanoë a obtenu l’écho médiatique voulu. En revanche, il n’a pas convaincu les sympathisants socialistes, ni même les Français, qui sont très partagés sur le bien-fondéstratégique qu’il y aurait pour le PS à se positionner « avant tout » sur une ligne claire reconnaissant l’économie de marché(39% des Français et 45% des sympathisants du PS le pensent) plutôt qu’à chercher « avant tout » à se positionner sur le social et le rejet de la politique économique libérale conduite par le gouvernement (39% des Français et 44% des sympathisants PS).Conjugué au très fort rejet de la politique économique gouvernementale, cette propension des leaders socialistes (Royal hier, Delanoë à présent) à faire la course au centre et à faire assaut de « libéralisme » semble pour le moins dangereuse : non seulement elle ne parvient pas à convaincre une majorité de sympathisants socialistes (45% sont « pour », 44% « contre », 11% circonspects), mais elle est massivement rejetée par leur alliés de gauche et électeurs de second tour : 59% (contre 28%) des sympathisants de l’extrême gauche et du PC et 52% (contre 35%) des sympathisants écologistes ne sont pas d’accord avec cette priorité. Il n’est pas certain que le soutien majoritaire des sympathisants de droite à cette posture (52% contre 33%) soit forcément une bonne nouvelle pour le maire de Paris, surtout que ce soutien n’est guère supérieur auprès des sympathisants du Modem (56% contre 34%), qu’il peut envisager de séduire, qu’auprès de ceux de l’UMP (51% contre 33%) et du FN (57% contre 25%), qu’il n’a guère de chance de convertir. Surtout Bertrand Delanoë prend le risque personnel de renforcer une image « bobo » et « parisianiste » et de se couper davantage encore des catégories populaires et de la province qui avaient tant fait défaut à la gauche en 2007 : sa stratégie est très majoritairement approuvée par les cadres (59%) et les Français les plus riches (58%) alors qu’elle est relativement rejetée par les ouvriers et employés (43% contre 36%) et les Français les plus pauvres (43% contre 30%). Réciproquement, sa ligne n’est majoritairement soutenue que par les seuls Franciliens (51% contre 33%). En majorité relative, elle est soutenue par les habitants de l’Ouest (40% contre 36%) et du Sud-Est(44% contre 34%) et rejetée par ceux de toutes les autres régions.

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Synthèse des principaux enseignements du sondage

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3) Note positive pour l’exécutif dans l’actualité politique du moment : les Français, sympathisants de gauche inclus, sont à la fois favorables à ce que leurs députés votent le PLC sur la réforme des institutions et accepteraient personnellement les conséquences « coercitives » du dispositif gouvernemental de contrôle des chômeurs Même si le sujet ne constitue clairement pas leur priorité du moment (28% ne tranchent pas sur la question), les Français se montrent nettement favorables (51% contre 21%) à ce que leurs députés votent le projet de loi constitutionnelle sur la réforme des institutions.Soumis au vote des députés en ce début de semaine, le texte suscite une certaine polémique, les députés socialistes – tout comme certains députés UMP – s’interrogeant sur ce qu’ils devraient faire à ce sujet.Pour les électeurs de l’UMP il n’y a pas d’enjeu : 81% souhaitent que leurs députés votent le texte. Pour ceux du PS la question n’est pas tranchée aussi nettement ; que ce soit la cause ou la conséquence des atermoiements des leaders socialistes à ce sujet, les sympathisants socialistes sont eux aussi extrêmement partagés sur la question, même si le « oui » l’emporte sur le « non » : 41% contre 32% souhaiteraient que leurs députés votent le texte.Au-delà des clivages partisans, des divergences sociologiques importantes apparaissent sur cette question : le vote « pour » progresse continûment avec l’âge (42% auprès des 15-24 ans contre 58% auprès des plus de 65 ans), le niveau de diplôme (43% auprès des personnes sans diplômes contre 60% auprès des Français les plus diplômés), le niveau de revenu (41% auprès des plus bas revenus contre 61% auprès des plus hauts) et le statut professionnel des personnes interrogées (44% auprès des « CSP- » contre 57% auprès des « CSP+ »).Sur l’autre sujet de débat politique du moment, le dispositif de contrôle renforcé des chômeurs, l’exécutif reçoit un soutien supplémentaire de l’Opinion : nous savions déjà depuis le mois dernier qu’une majorité de Français approuvaient (56% contre 42% selon le baromètre BVA – The Phone House d’avril 2008) dans son principe le dispositif de contrôle des chômeurs imaginé par le gouvernement, on mesure ici que de façon encore plus pratique, ils seraient encore plus nombreux (68% contre 30%) à accepter à titre personnel la conséquence la plus douloureuse du dispositif, l’obligation d’accepter un emploi rémunéréjusqu’à 15% de moins que leur ancien salaire.Cette acceptation claire à titre personnel d’une baisse de rémunération constitue un atout d’autant plus important pour l’exécutif qu’il est partagé par toutes les catégories de populations, même si des écarts sensibles apparaissent logiquement selon la proximité politique, le niveau de revenu et la CSP : 62% d’acceptation à gauche contre 77% à droite ; 56% auprès des plus bas revenus contre 75% auprès des plus hauts ; 62% auprès des CSP- contre 71% auprès des CSP+.

Gaël Sliman, Directeur délégué de BVA

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La popularité de la politique économique

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La popularité de la politique économique

Question : Vous personnellement, diriez-vous que la politique économique menée actuellement par le gouvernement est très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise ou très mauvaise?

Très bonne3% Plutôt bonne

25%

Plutôt mauvaise40%

Très mauvaise27%

(NSP)5%

ST Bonne 28%ST Mauvaise 67%

+7 points -5 points

8

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Popularité de la politique économique - Historique -

Question : Vous personnellement, diriez-vous que la politique économique menée actuellement par le gouvernement est très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise ou très mauvaise?

vague

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Popularité de la politique économique selon la proximité partisane

Question : Vous personnellement, diriez-vous que la politique économique menée actuellement par le gouvernement est très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise ou très mauvaise?

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Réactions aux propos de Bertrand Delanoësur l’économie de marché

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Réactions aux propos de Bertrand Delanoë

Question : Dans un livre qui vient de paraître, Bertrand Delanoë se dit persuadé que « seule l’économie de marché crée des richesses nécessaires au progrès social ». Vous personnellement, qu’en pensez-vous:

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Réactions aux propos de Bertrand Delano ëselon la proximité partisane

Question : Dans un livre qui vient de paraître, Bertrand Delanoë se dit persuadé que « seule l’économie de marché crée des richesses nécessaires au progrès social ». Vous personnellement, qu’en pensez-vous:

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Dont PS

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Les Français, leurs députés et la réforme constitutionnelle

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Les Français, leurs députés et la réforme constitut ionnelle

Question : Le gouvernement va prochainement soumettre au vote des députés un projet de loi constitutionnelle sur la réforme des institutions. Le texte prévoit d’accorder de nouveaux pouvoirs aux parlementaires et de permettre au chef de l’État de venir s’exprimer devant eux. Vous-même, souhaiteriez-vous que votre député vote pour ce texte, contre ce texte, ou qu’il s’abstienne?

15

51%

21%

16%

12%

Pour Contre Abstention (NSP)

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Les Fran çais, leurs d éput és et la r éforme constitutionnelleselon la proximité partisane

Question : Le gouvernement va prochainement soumettre au vote des députés un projet de loi constitutionnelle sur la réforme des institutions. Le texte prévoit d’accorder de nouveaux pouvoirs aux parlementaires et de permettre au chef de l’État de venir s’exprimer devant eux. Vous-même, souhaiteriez-vous que votre député vote pour ce texte, contre ce texte, ou qu’il s’abstienne?

16

Dont PS

Dont UMP

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Acceptation des dispositions de contrôle des chômeurs

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Acceptation des dispositions de contrôle des chômeu rs

Question : Vous personnellement, si vous étiez au chômage depuis six mois et que l’on vous propose un emploi compatible avec votre qualification mais rémunéré jusqu’à 15% de moins que votre ancien salaire, l’accepteriez-vous?

Oui, certainement37%

Oui, probablement

30%

Non, probablement pas

12%

Non, certainement pas18%

(NSP)3%

ST Oui 67%ST Non 30%

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Acceptation des dispositions de contrôle des chômeu rsselon la catégorie professionnelle

Ouvriers

Employés

Professions intermédiaires

Cadres

30

32

39

44

32

32

27

32

8

14

15

12

28

21

16

10

2

1

3

2

Oui, certainement Oui, probablement Non, probablement pas Non, certainement pas (NSP)

Question : Vous personnellement, si vous étiez au chômage depuis six mois et que l’on vous propose un emploi compatible avec votre qualification mais rémunéré jusqu’à 15% de moins que votre ancien salaire, l’accepteriez-vous?

19

S/T Oui

76%

66%

64%

62%

S/T Non

22%

31%

35%

36%