Bahiya et ses Soirées

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1 Laissons Bahiya nous raconter une de ses soirées : *** Bahiya : Un samedi soir, Jamel, mon mari a invité un de ses collègues Éric accompagné de sa femme Mélanie ; il m’informe de quelques discussions qu’il a eues avec Éric sur le sexe, lui laissant à penser que Mélanie et lui sont assez ouverts. Vingt heures, arrivée de nos convives ; Éric est grand blond bien proportionné ; sa femme mesure environ 1m65 pour un peu plus de 60 kg ; ronde, bien en chair attirante et dotée d’une grosse (105 D ?) poitrine légèrement tombante à ce qu’il semble. Elle est brune aux cheveux longs et possède de magnifiques yeux bleus. Ils ont environ 35 ans, quelques années de plus que nous donc. C’est l’été Jamel et Éric portent des pantalons de toile et des polos Lacoste (hasard et mêmes goûts). Mélanie porte une rode légère, noire, mi longue et fendue sur le devant de la cuisse droite, laissant entrevoir la naissance de ses bas noirs et ses cuisses bien développées. Pour ma part je porte une jupe blanche et un chemisier entrouvert qui ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien-gorge ; je ne porte pas non plus de culotte mais j’ai mis des bas blancs, les jarretières spéciales et un plug de taille moyenne dans mon petit cul ; je suis donc ouverte et enculée ce que j’ai appris à adorer. De plus, savoir que mes hôtes ne peuvent se douter mais que l’objectif de la soirée est qu’ils me voient et m’utilisent est terriblement excitant. J’aurais volontiers mis une jupe courte mais assise dans un fauteuil, ils auraient vu top tôt ma chatte ouverte ce qui aurait risqué de les faire fuir. Je les accueille donc en les embrassant tout en touchant distraitement et « involontairement » le sexe de Monsieur et les seins de Madame ; leurs visages se teintent de rose mais personne ne dit mot. Nous prenons les apéritifs puis nous passons à table ; les discussions sympathiques « glissent » parfois puis, au dessert, le sujet s’engage ouvertement sans que je me souvienne comment il fut amené. Le constat est que nous aimons tous les quatre le sexe ; que Mélanie et moi avons des penchants homos (penchant... moi ?) ; que nos maris ne sont pas attirés par les hommes, que nous les filles nous aimons les sucer et les boire puis... – Nous pratiquons aussi la sodomie, dit Jamel... enfin, Bahiya aime cela... elle a appris à aimer. – Dommage, Mélanie se refuse à cette pratique, dit Éric. – Pourquoi ? – C’est sale et ça doit être douloureux, répond la femme. J’interviens : – J’adore me faire enculer. – Oh... dit Mélanie, que c’est hard. – Oui, dis-je, j’adore les mots crus qui m’excitent. – Je crois que je ne pourrai jamais... – Avez-vous déjà vu faire ? – Non, jamais.

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Une femme mariée prend plaisir dans son humiliation perverse en présence d'un autre couple.

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Laissons Bahiya nous raconter une de ses soirées :

***

Bahiya :

Un samedi soir, Jamel, mon mari a invité un de ses collègues Éric accompagné de sa femme Mélanie ; il m’informe de quelques discussions qu’il a eues avec Éric sur le sexe, lui laissant à penser que Mélanie et lui sont assez ouverts.

Vingt heures, arrivée de nos convives ; Éric est grand blond bien proportionné ; sa femme mesure environ 1m65 pour un peu plus de 60 kg ; ronde, bien en chair attirante et dotée d’une grosse (105 D ?) poitrine légèrement tombante à ce qu’il semble. Elle est brune aux cheveux longs et possède de magnifiques yeux bleus. Ils ont environ 35 ans, quelques années de plus que nous donc. C’est l’été Jamel et Éric portent des pantalons de toile et des polos Lacoste (hasard et mêmes goûts). Mélanie porte une rode légère, noire, mi longue et fendue sur le devant de la cuisse droite, laissant entrevoir la naissance de ses bas noirs et ses cuisses bien développées.

Pour ma part je porte une jupe blanche et un chemisier entrouvert qui ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien-gorge ; je ne porte pas non plus de culotte mais j’ai mis des bas blancs, les jarretières spéciales et un plug de taille moyenne dans mon petit cul ; je suis donc ouverte et enculée ce que j’ai appris à adorer. De plus, savoir que mes hôtes ne peuvent se douter mais que l’objectif de la soirée est qu’ils me voient et m’utilisent est terriblement excitant. J’aurais volontiers mis une jupe courte mais assise dans un fauteuil, ils auraient vu top tôt ma chatte ouverte ce qui aurait risqué de les faire fuir. Je les accueille donc en les embrassant tout en touchant distraitement et « involontairement » le sexe de Monsieur et les seins de Madame ; leurs visages se teintent de rose mais personne ne dit mot.

Nous prenons les apéritifs puis nous passons à table ; les discussions sympathiques « glissent » parfois puis, au dessert, le sujet s’engage ouvertement sans que je me souvienne comment il fut amené. Le constat est que nous aimons tous les quatre le sexe ; que Mélanie et moi avons des penchants homos (penchant... moi ?) ; que nos maris ne sont pas attirés par les hommes, que nous les filles nous aimons les sucer et les boire puis...

– Nous pratiquons aussi la sodomie, dit Jamel... enfin, Bahiya aime cela... elle a appris à aimer.

– Dommage, Mélanie se refuse à cette pratique, dit Éric.

– Pourquoi ?

– C’est sale et ça doit être douloureux, répond la femme.

J’interviens :

– J’adore me faire enculer.

– Oh... dit Mélanie, que c’est hard.

– Oui, dis-je, j’adore les mots crus qui m’excitent.

– Je crois que je ne pourrai jamais...

– Avez-vous déjà vu faire ?

– Non, jamais.

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– Même pas dans des films ?

– Oh je n’ai pas bien regardé.

– Seriez-vous prude ?

– Non ce n’est pas cela, mais cette pratique me semble sale.

– Non, si vous êtes préparée.

– Préparée ?

– Oui... je me fais un lavement avant de me faire enculer... enfin, avant de commencer la séance.

– Séance ?

– Oui, je vis toute scène d’amour avec Jamel, et d’autres, comme une séance qui doit être préparée afin qu’après rien ne vienne interrompre l’action.

– Je vois dit-elle... mais... d’autres ?

– Oui, nous sommes très libres, nous pratiquons également à plusieurs ; nous aimons aussi le faire en public...

Mélanie se trémousse légèrement sur sa chaise tandis que Éric se caresse discrètement la queue à travers le pantalon, ce qui se voit à un léger mouvement de l’épaule ; il se lance... ce que Jamel et moi espérions.

– Vous le feriez devant nous ?

– Bien sûr, et même avec si vous le souhaitiez.

Mélanie garde le silence, ses mains tremblent légèrement ; Éric lui caresse la joue.

– Qu’en penses-tu, ma chérie ?

– Oh non, je n’ai pas connu d’autre homme que toi... et pas de fille non plus... même s’il m’arrive de fantasmer... tu es le seul à m’avoir fait l’amour.

– Juste pour regarder…

– Bon d’accord, mais si je dis stop vous arrêtez... OK ?

– OK, dit Éric.

– OK, dit Jamel.

Il sait que ce sera probablement trop tard, car l’excitation aura fait son chemin, et Éric, quant à lui, voudra continuer ; le seul risque serait que Mélanie crise... peu probable, et en outre probablement gérable. Il me regarde et me dit :

– Bahiya, va chercher les douceurs que nous terminions dignement ce repas ; Éric et Mélanie, suivez-moi au salon.

Cet ordre est clair, je dois me préparer ; je me rends donc dans notre chambre ; je retire ma jupe et mon chemisier ; je retends les jarretelles sur les bas écartant bien mes lèvres ; mon bouton est dressé, tendu, décapuchonné, écarlate...

J’ai envie de jouir mais je dois attendre sinon Jamel le verra et je serai punie ; je sors néanmoins le plug et je le remets ce qui m’arrache un soupir. Je me tourne et me regarde

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dans la glace ; je suis très belle : nue sauf les bas et les escarpins, ouverte par les petites jarretelles, mes poils soulignant la fente, enculée par le plug ; mon corps présente quelques traces de cravache datant de plusieurs jours sur mes seins et sur mon pubis convergeant vers la chatte béante ; comment nos invités vont-ils prendre cela ? Est ce qu’ils vont être apeurés ? Je m’interpelle : « salope ».

Enfin, je décide de me lancer ; je prends la position d’offrande pour rentrer au salon : mains par-dessus la tête, marchant cuisses bien ouvertes ; j’entre et les regards convergent vers moi ; Mélanie est estomaquée mais ne réagit pas si ce n’est sa main qui vient de se poser sur le dessus de la cuisse d’Éric ; celui-ci réagit et avance le bassin pour que la main de sa femme touche sa queue mais elle la retire... la bosse entre ses jambes témoigne d’une érection prometteuse ; je remarque également que Mélanie ne serre pas ses jambes et ne tire pas sur le bas de sa robe... tout cela a pris quelques trois secondes au maximum.

Jamel se lève, une belle bosse aussi ; il passe derrière moi et me malaxe les seins avec fermeté m’arrachant des soupirs mi douleur mi plaisir puis une de ses mains attrape mon clitoris et le masse ; je devine son autorisation et je jouis une première fois face à ce couple rêvant de leur être livrée en pâture. Mon jus s’échappe de ma chatte ouverte et suinte le long de mes cuisses.

– Regarde Mélanie, dit Éric, elle mouille beaucoup.

Jamel continue et appuie son branle clitoridien ; il cherche à présent à me faire mal et il y parvient comme en témoignent mes gémissements et les ondulations fuyantes de mon bassin ; il pince le seigneur d’amour entre ses ongles et me chuchote « tais-toi salope »... il me fait mal, je me tends, je regarde Mélanie bien dans les yeux ; elle ne détourne pas son regard ; mon époux me libère et continuant à me triturer les mamelles :

Voilà mes amis, je vous présente ma putain Bahiya ; elle est en cours de dressage ; comme vous pouvez le voir, elle est maintenue béante et porte des marques de coups ; ce que vous ne voyez pas en revanche c’est qu’elle est enculée d’un plug ; nous y viendrons tout à l’heure ; elle a appris à se faire payer, mais ce soir elle est à vous gratuitement si vous en avez envie. Éric regarde Mélanie assise à côté de lui dans l’autre fauteuil ; son érection est maintenant bien visible sous le pantalon ; il se branle ostensiblement et interroge :

– Qu’en penses-tu Mélanie ?... on essaye ?

– J’ai un peu peur, dit-elle en baissant les yeux... mais...

– Mais ? demande Éric.

– Bahiya est belle... elle me fait envie... enfin... un peu... je crois... et tu as vu comme elle est ouverte par ces jarretelles, comme son clitoris est dressé et rouge, disponible... elle bande…

Elle a dit cela de manière fuyante comme une vierge un peu effarouchée ; Jamel m’interpelle :

– Bahiya, décule et montre-leur bien comme tu es ouverte derrière.

Je me retourne et me penche en avant, le cul bien au niveau du regard de Mélanie qui me regarde retirer lentement le superbe plug en plastique bleu (longueur de 20 cm et diamètres de 4 cm au plus gros et de 2 cm au plus étroit avant la base) ; Jamel le prend et lui tend ; elle le prend entre deux doigts et remarque :

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– Oh oui, il est propre effectivement ; il est lubrifié aussi... mais il est gros... vous n’avez pas mal ?

– Non au contraire ; je peux prendre beaucoup plus gros... vous verrez un jour si vous voulez, mais pas ce soir ; oui, je suis lubrifiée ; toujours lorsque je suis enculée au plug... seules les queues peuvent me mettre à sec ; surtout les grosses...

– Et elles vous font du bien ?

– Je prends ainsi beaucoup de plaisir.

Jamel :

– Ouvre-toi Bahiya, écarte les fesses... Mélanie réenculez-la si vous l’osez.

Elle regarde Éric qui acquiesce en continuant à se branler à travers le pantalon ; et elle présente l’objet qu’elle enfonce d’un coup en disant « oh que vous êtes ouvertes ! ». Elle m’a entendue gémir mais ne s’y est pas arrêtée... un rien de sadisme hummmm ; elle le confirme du reste :

– Si je devais jouer à ces jeux, je serais volontiers soumise aux hommes et cruelle avec les femmes.

Je saute sur l’occasion

– Désirez-vous essayer avec moi ?

–... Comment... mais...

– Qu’aimeriez-vous que vous fasse une femme ?

– Allez, dit Éric, nous avons souvent fantasmé... vas-y !

– Non, je veux rentrer…

– Il faut savoir ce que tu veux ; moi je reste, dit Éric, je veux gouter à ce fruit ; bien sûr je préférerais avec toi, mais si tu ne veux pas...

– Tu es un monstre ! dit-elle en se réinstallant confortablement dans le fauteuil, bien qu’un peu crispée.

Je m’approche d’elle et m’agenouille à ses pieds.

– Laissez-moi faire, dis-je ; dans l’action vous pourrez vous fier à votre intuition et à vos envies ; je vous ferai tout ce que vous voudrez, mais je pourrai aussi être votre jouet... n’hésitez pas !

La robe n’est pas pratique, mais elle a une fermeture dans le dos que j’ouvre afin de la dépoitrailler, puis je dégrafe le soutien-gorge et caresse ses énormes seins qu’elle essaye de dissimuler ; je l’en empêche.

– Montrez-les, ils sont superbes... comme vous avez de gros bouts saillants... . J’aime, dis-je en suçant les tétons...

– Non, ils sont trop gros.

– Pas du tout, dit Jamel, deux magnifiques mamelles.

– Oh... ces mots humiliants.

– Troussez-vous et laissez-moi faire, dis-je.

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Mélanie prend les deux pans de sa jupe mi longue fendue et les écarte assez haut bien que timidement mais elle garde les cuisses serrées ; elle montre cependant bien ses bas noirs et sa petite culotte de la même couleur assortie au soutien-gorge, désormais inutile et dérisoire sous les beaux pis de cette belle femelle.

Je suis atrocement excitée... mon Dieu qu’une femme bien en chair peut être désirable pour la petite gouine que je suis devenue ! Dire qu’il a fallu que mon maître Patrick me menace pour que je cède à Nadia, ma première, et jusqu’à présent ma seule, expérience lesbienne... Je me place sur le côté pour ne pas occulter la vue des mâles sur le spectacle des seins et l’entrejambe que je vais m’offrir... leur offrir... Jamel se rend compte de mon excitation extrême :

– Tu en as envie, n’est-ce pas ma chérie ?

– Oh oui Jamel, je vais vous offrir un spectacle d’enfer à Éric et toi... mais vous devriez vous mettre à l’aise... sortez vos belles queues bandées et montrez-les nous... faites-vous plaisir et excitez-nous... dis-moi Mélanie que tu as envie de les voir (c’est à partir de ce moment que tout le monde se tutoie).

– Oh oui, dit Mélanie, je ne connais que la queue d’Éric... allez les mâles, montrez-nous et branlez-vous bien... si vous jouissez, on vous nettoiera avec nos langues... oh nonnn pas moi !

– Que se passe-t-il ?, dis-je.

– Ce n’est pas moi qui ai dit cela... laissez-moi partir !

– Non s’il te plait continuons, dit Éric... regarde…

Il se lève et retire son polo puis son pantalon ; il apparaît en slip taille basse noir qu’il retire également faisant apparaître une queue bandée à l’extrême et deux belles couilles bien pendantes. Mon mari Jamel, ne voulant pas être en reste, fait de même... ils s’installent chacun dans un des quatre fauteuils et se branlent lentement. Spectacle superbe, Mélanie regarde subjuguée.

– Oh c’est magnifique... oui, j’irai au bout même si tu ne me veux plus après, dit-elle à Éric.

– Et pourquoi est-ce que je ne te voudrais plus ?

– Parce que je suis une salope dans ma tête, et non pas la « charmante » épouse que tu pensais connaître... j’ai lutté longtemps contre cette nature profonde ; ce soir je vais me lancer ; j’ai envie de toi, j’ai envie de Bahiya, j’ai envie de me montrer, j’ai envie de la queue d’Éric, de celle de Jamel, si tu permets Bahiya... .

– C’est superbe pour moi... tu me donneras et tu t’offriras un maximum de plaisir.

Nous regardons les deux hommes nus dans leurs fauteuils jambes bien écartées, nous montrant le plus ostensiblement possible leurs couilles et leurs queues bandées, se branlant doucement mais sur toute la longueur, faisant apparaître les glands décalottés et les freins tendus.

Je demande à Mélanie de retirer sa robe ; elle se lève et s’exécute se plaçant bien en face des deux mâles qui, visiblement, se branlent avec de plus en plus de plaisir. Elle apparaît alors en bas et petite culotte étroite ce qui est en soi excitant mais elle ne se contente pas de cela, elle regarde les deux hommes bien dans les yeux et malaxe amoureusement ses deux gros seins, puis elle en triture les bouts, les faisant grossir et durcir. Elle ondule du bassin et une tache d’’humidité se dessine sur sa culotte noire ; elle interpelle Éric :

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– Je te plais mon chéri, je suis assez salope ? Tu as envie de me prendre ?

– Oh c’est merveilleux, regarde comme nous bandons. J’ai aussi envie de te voir prendre par quelqu’un d’autre... par Jamel par exemple !

– Ohhh salaud... je t’aime... j’ai envie d’une autre queue, moi aussi.

J’interviens, je lui retire sa culotte et, la laissant debout, lui aspire le clitoris entre mes lèvres et le mordille un peu ; elle est bonne et excitée, son bouton est dressé et, enfonçant la langue je goute à son jus... c’est bon ! Elle gémit et ondule, elle vient à la rencontre de ma langue. Elle regarde les deux hommes, prend ma tête entre ses mains, l’appuie bien sur sa chatte et se lâche :

– Ouiiii regarde Éric, c’est la première fois, je gouine pour toi... . J’aime... vas-y Bahiya, lèche, aspire... ouiiiiiiiiiiiii... salooope...

Mélanie a joui, elle continue à vibrer debout ; je la fais asseoir dans un fauteuil cuisses écartelées posées sur les accoudoirs. Je lui montre comment s’écarter les petites lèvres en les écartant avec les doigts pour bien se montrer. Ses gros seins légèrement pendants et sa chatte ouverte sont offerts à la vue des hommes ; son clitoris dégagé est bien dressé... elle est obscène. Elle est magnifiquement bandante avec ses grosses cuisses écartées.

Je l’embrasse sur la bouche, elle me rend un baiser fougueux. Je la quitte, je me lève et lui interdis de se masturber... interdiction confirmée par Éric, son mari qui ajoute :

– Dans cette position, on voit aussi très bien ton petit cul vierge, ma chérie... tu vas y passer.

– Oh j’ai peur, dit Mélanie sans bouger et en continuant de fixer les deux queues lentement masturbées par leur propriétaire.

Je regarde Jamel :

– Autorisation de sucer Éric, mon cher mari ? De le sucer à fond comme la belle putain que vous m’avez appris à être ?

– Accordé, ma chérie ; montre-lui ce que tu sais faire.

Mélanie m’interpelle en tirant encore plus sur ses lèvres pour s’ouvrir bien ; elle est toute mouillée et son clitoris est à la fois bien dressé et dégagé... beau... j’ai envie de cette femme... j’ai envie de son mari... j’ai envie de sucer sa queue, une nouvelle queue. Jamel en profite pour m’exciter d’un mot :

– Tu sais Bahiya, si je compte bien, ce sera ta seizième queue.

– Seize déjà ?

– Oui : Patrick, Majid, le patron du bistrot et les douze « clients »…

– Et toi, mon mari ?

– Ah oui j’oubliais ; alors ça fait dix-sept !

Le chiffre me semble élevé ce qui m’excite, mais je devine bien que ce n’est qu’un début ; il faut que je trouve une position qui excite un max cette belle plante... qu’elle nous voie bien... qu’elle ait vraiment envie de se lâcher. Mélanie nous encourage, son mari et moi :

– Oh oui salope, vas-y, suce-lui bien la queue, il adore cela, comme ça tu nous auras eus tous les deux... vas-y Éric profites-en bien je vous regarde... regarde-moi aussi, vois comme je suis excitée... comme je t’aime... regarde mon bouton... si tu savais comme j’aimerais me

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caresser pour toi... tu sais que je n’ai jamais vraiment osé, enfin pas comme je pourrais aujourd’hui... Mais maintenant tu ne veux pas... et j’aime que tu ne veuilles pas... Je suis excitée à l’idée que tu m’imposes de t’attendre.

Moi, j’ai trouvé la position idéale : j’installe la table basse à roulettes à droite du fauteuil où Éric continue de se branler consciencieusement ; je m’assieds dessus face à Mélanie ; j’ai les genoux pliés et les cuisses bien écartées ; la position me force un peu le plug dans l’anus ce qui me fait gémir ; le regard de Mélanie passe de la belle queue de son mari à ma chatte tenue ouverte par les jarretelles.

Je la regarde fixement et vicieusement ; je passe ma langue sur les lèvres dans un appel silencieux ; en touchant de mes doigts, je lui montre que je suis bien enculée ; en conservant la position du bas de mon corps, je me penche sur la queue d’Éric. Je la décalotte à fond, je suce le gland du bout des lèvres, je caresse les couilles de ma main gauche... hummmm elle est dure, elle est bonne.

Je l’avale à fond en descendant lentement, très lentement, ma bouche jusqu’aux couilles. Puis je me retire entièrement et lui demande « retiens-toi... profites de moi » avant de l’avaler de nouveau. Je vais le traiter ainsi plusieurs minutes ; alternativement, il ondule, se tend, je le calme puis je reprends... il gémit profondément... je serre les couilles, j’adore ! Il faut qu’il attende. Je fais une pause et lui susurre à l’oreille :

– Et si ta femme participait... sucer mon mari, par exemple.

– Elle refusera, chuchote-t-il.

– Qu’est-ce que vous racontez ? s’écrie Mélanie, toujours ouverte sur son fauteuil, qui n’a pas entendu mais a bien vu que nous parlions à voix basse.

Éric se lance :

– Je voudrais que tu suces Jamel... maintenant.

– En public ?

– Eh bien oui, Bahiya est bien en train de me sucer.

– Pour moi ce sera la deuxième, mais tu ne m’en voudras pas ?

– Mais non, j’en ai envie !!!

Jamel est toujours installé dans son fauteuil ; Mélanie se lève, s’agenouille entre ses cuisses et le prend en bouche. Elle le suce lentement mais maladroitement ; je dois lui montrer :

– Regarde, ma chérie.

Et je reprends mon traitement sur la queue d’Éric... elle observe puis s’y met... elle apprend vite, et Jamel se met également à gémir.

– Superbe ma chérie, dit Éric, suce-le bien.

Pour ma part j’ai envie de lui apprendre un nouveau jeu et je lui propose de ne pas avaler mais de tout garder en bouche lorsque Jamel jouira ; la première qui aura obtenu sa « petite dose » attendra l’autre.

Nous reprenons nos jeux. Le silence est uniquement troublé par les bruits de succion et les gémissements des hommes ; ils se retiennent longtemps puis Éric se lâche... suivi de près par Jamel qui éjacule dans la bouche de Mélanie. Je me relève et me dirige vers Mélanie ; je

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m’agenouille devant elle, lui prend la tête et l’embrasse sur la bouche ; elle me rend fougueusement le baiser et nous échangeons les éjaculations de nos maris ; nous mélangeons plutôt.

Après quelques minutes de calme où chacun se repose dans un fauteuil ; les deux garçons bandent toujours ; j’ai envie qu’ils se lâchent ; je sais que je dois prendre la main pour exciter chacun sans effaroucher Mélanie et Éric. Jamel me fait approcher et me place debout, cuises béantes, mains derrière la nuque devant son fauteuil ; il obtient d’Éric l’autorisation de « jouer » avec Mélanie ; celle-ci continue de fixer les deux queues avec envie mais ne proteste pas... nous prenons cette attitude pour un consentement.

Mon mari la fait agenouiller devant moi et légèrement sur le côté afin qu’il puisse officier et qu’elle voie ce qu’il fait. Il lui impose également mains derrière la nuque ; la bouche de cette belle femelle est à quelques centimètres de mon sexe maintenu ouvert par les jarretelles élastiques.

Jamel a décidé de me faire souffrir en public ; il resserre durement les pinces et retend les élastiques... cruellement ; mes petites lèvres apparaissent étirées, obscènes et, compte tenu de leur position, mon clitoris est dressé offert. Malgré un contrôle maximum que je porte sur mes réactions, mon corps se tend et je laisse échapper une plainte.

– Silence ! ordonne Jamel.

– Tu as mal ? demande Mélanie, les yeux brillants et se passant la langue sur les lèvres.

– Oui, ma chérie...

– Mais ton clito est tout tendu... et puis tu coules... oh... le long des cuisses

– Elle aime ça, dit Jamel ; elle est soumise et un peu maso ; elle va continuer à apprendre... je voudrais que tu la lèches, que tu lui aspire le clito...

– Je n’ai jamais fait dans ce sens mais...

– Tu en as envie, demande Éric.

– Oh oui... enfin, je crois...

– Vas-y !

Elle se penche et aspire mon bouton ; il faut que je résiste ; il faut qu’elle mérite mon plaisir... que ça dure ; mais elle aspire trop bien ; elle me le mordille ; puis elle prend les jarretelles et tire m’arrachant un cri de douleur ; oui, en effet, cette femme a des dispositions de cruauté.

La voilà qui alterne l’aspiration du clitoris et la pénétration de la langue profondément au fond de ma chatte béante ; je ne vais pas pouvoir résister longtemps ; je lui prends la tête entre mes mains, j’avance mon ventre à la rencontre de sa bouche, j’ondule. Jamel passe derrière moi et me malaxe les seins fermement il me dit afin que chacun entende bien :

– Ne jouis pas, sinon tu perdras ta récompense.

– Ohh... je comprends.

Je pressens qu’il veut me voir enculer par Éric ; quant à moi j’en meurs d’envie... son ordre agit sur moi comme un calmant ; je continue à onduler mais je me retiens ; je ne lui tiens plus la tête, je me contente de déguster mes sensations. Mélanie sentant qu’il se passe quelque chose s’active de plus belle. Jamel lui demande :

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– Décule-la.

Ma lécheuse me travaille de plus belle et retire doucement le plug qui occupe mon anus ; je pousse un soupir. Jamel lui ordonnera ainsi, pour le plus grand plaisir d’Éric entre autres de me réenculer et de me déculer une bonne dizaine de fois ; je dois lutter pour ne pas exploser ; la queue d’Éric me fait tellement envie... Jamel :

– Tu aimes, ma chérie ?

– Oui mais...

– Mais quoi ? Allez, dis-le si tu l’oses.

– Je voudrais me faire enculer par Éric.

– Avec plaisir, dit Éric.

– Ohhh ouiii, dit Mélanie, avant de se remettre à me travailler, ce qui stupéfie tous les participants, et en particulier Éric.

Jamel, après avoir poussé la table basse, fait allonger Mélanie sur le tapis du salon ; il m’installe en levrette, tête bêche ; Mélanie me prend aux cuisses sans oublier de tirer cruellement les élastiques et recommence à me travailler avec une science du plaisir inattendue pour une débutante ; Éric, qui a compris, se place derrière moi et m’encule d’un trait ; sa queue rentre sans coup férir ; il entame un va et vient trop rapide et trop désordonné par manque d’habitude ; je le guide lui conseillant de me prendre lentement en rythme mais avec force et rentrant et ressortant entièrement à chaque fois ; il se met vite en ordre et trouve la bonne cadence ; je le sens bien ; je me contrôle pour préparer un orgasme dévastateur.

Mélanie nous indique entre deux succions que le spectacle des couilles de son mari qui m’encule en gros plan est insupportablement excitant. Jamel nous observe en se branlant doucement. Éric, sans changer de rythme, se fait de plus en plus puissant ; Mélanie m’aspire de plus en plus loin et me tire les élastiques juste ce qu’il faut... je démarre en hurlant un orgasme qui va durer plus de deux minutes serrant la queue d’Éric avec mon sphincter et arrosant la bouche de Mélanie qui avale goulument en nous indiquant que c’est bon.

Alors que je me calme, je constate qu’Éric, devenu immobile, est toujours aussi dur... il nous informe qu’il n’a pas encore joui et demande à sa femme de le prendre en bouche quand il déculera ; elle le traite de salaud mais accepte et se tient à disposition en dessous de moi, avec gourmandise bouche grande ouverte entre mes cuisses ; trois allers et retours suffisent au mari qui décule et s’enfonce profondément dans la bouche de Mélanie où il se vide en criant.

Repos pour tous... nous sommes assis dans des fauteuils ; Éric rebande et se touche doucement ; Jamel qui n’a pas participé cette fois bande toujours et se touche également... j’imagine qu’il attend la réciprocité du procédé ; qu’il a envie d’enculer Mélanie dont ce sera la première fois et qui, pour le moment, a posé ses jambes sur les accoudoirs en nous montre avec une obscénité consommée sa chatte dans laquelle elle fait aller et venir trois doigts. Nous lui rappelons tous quatre qu’il lui est interdit de jouir. Elle s’interroge, nous questionne et c’est Éric qui lui répond :

– Tu vas devoir rendre la politesse à Jamel.

– Tu veux dire que... comme Bahiya avec toi ?

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Pour augmenter l’excitation, je m’agenouille devant Éric et l’embouche ; dans un gémissement, il dit à Mélanie :

– Oh regarde... c’est bon... tu disais ? Exprime-toi clairement tu n’es plus adolescente... Ouiii Bahiya comme ça, à fond

– Tu veux que Jamel me sodomise... qu’il m’encule... pour la première fois... je voudrais enfin je préfèrerais que ce soit toi... je vais souffrir non ?

– Peu importe, dit Jamel... merci Éric, mais j’ai une autre idée... elle sera d’abord rodée par Bahiya au gode ceinture... pour la dilater…

Je suis instantanément hyper excitée par cette proposition et, en gémissant, je m’enfonce la queue d’Éric à fond de gorge.

– Tu vois ça l’excite, dit Jamel, le spectacle va être saisissant mais avant, Bahiya tu vas emmener Mélanie dans la salle de bains pour la « préparer ».

– Oui, mon chéri.

– C’est à dire, demande Éric.

– Nous aimons enculer, mais nous avons horreur des traces brunes ; comme tu as pu le voir ta queue est ressortie sans taches du cul de Bahiya ; elle va lavementer Mélanie.

– Oh dit Mélanie... non pas cela... ne m’enculez pas, je préfère.

– Ne me fais pas honte, dit Éric, je dois remercier Jamel.

– Ne sois pas trop dure, me dit Mélanie en se levant.

Je délaisse la queue d’Éric en lui promettant de recommencer et de le finir ; je me lève, j’attrape la tête de Mélanie entre mes mains et je l’embrasse profond tout en me frottant vicieusement et amoureusement seins et chatte ; elle répond à mon baiser et à mes ondulations ; elle est prête ; je la prends par la main et la conduis dans la salle de bains.

– Vous êtes magnifiques, dit Éric.

– Je confirme, reprend Jamel qui ajoute : ne trainez pas trop ne nous faites pas attendre, et Bahiya, n’oublie pas qu’elle est analement vierge ; tu utiliseras donc le lubrifiant spécial après le liquide de lavement.

– Oui, mon cher époux.

Le lubrifiant spécial dont parle Jamel est une préparation asiatique qui provoque une légère démangeaison de la rondelle qui ne peut être calmée que par le va et vient de l’enculage ; je suis excitée à cette idée ; elle ne va plus pouvoir refuser.

Je la fais mettre en levrette dans la baignoire et je lui montre la poire d’un demi litre terminée par une canule de un centimètre de diamètre et que je remplis d’un liquide blanchâtre conçu à cet effet et permettant d’éviter les allergies et les irritations. Je rentre doucement la canule non sans la caresser sur le clitoris... elle recule elle-même venant au-devant de la pénétration en gémissant... c’est bien, elle aimera cela ; je vide doucement la poire ; elle se crispe ; elle dit avoir un peu mal au ventre.

Je lui demande de bouger lentement les muscles de son ventre ; elle s’exécute et au bout d’une minute, je l’autorise à expulser ; je regarde le jet s’évacuer et l’entends pousser un soupir de soulagement. Je recommencerai par trois fois l’opération ; à chaque fois, elle

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viendra plus profondément à la rencontre de la canule. Enfin, je prends le tube de lubrifiant spécial et lui travaille l’anus de trois doigts ; elle gémit : « c’est bon ». Je retire mes doigts et immédiatement elle ressent le léger picotement.

– Qu’est ce qui se passe ? demande-t-elle.

– C’est le lubrifiant spécial dont parle Jamel.

– Oh… ça me donne envie d’avoir quelque chose dedans.

– Oui, c’est fait pour !

– Et l’effet dure longtemps ?

– Une heure ou deux.

– Oh nooon, je ne pourrai jamais me faire enculer tout ce temps…

– Sois sans crainte, dis-je, et je l’embrasse à pleine bouche avant de la reconduire dans le salon où nous attendent les hommes nus et bandés dans leur fauteuil respectif.

Jamel, plus expérimenté qu’Éric prend les choses en mains ; il va chercher dans le tiroir de notre chambre un plug rouge plus gros que le précédent (huit centimètres au plus large sur vingt-cinq de longueur) et un gode ceinture noir double et d’une forme particulière : l’un des deux côtés est constitué par un long pénis factice de vingt centimètres de long et de cinq de diamètre ; l’autre côté est formé d’une grosse boule de 7 centimètres de diamètre située au bout d’un petit manche de huit à dix centimètres de long ; ce petit manche permet la boule de rester bien au fond du vagin de la femme qui le porte et, ainsi de lui procurer un maximum de sensations pendant qu’elle prend une autre femme (ou un homme) ; les deux parties sont séparées par une sorte de cloison plate hérissée de picots et dont la fonction est de râper en permanence le clitoris de l’officiante qui peut, selon ses désirs, se faire jouir ou souffrir pendant qu’elle « travaille » sa proie ; le tout est en plastique rigide et la parie centrale, plus souple, permet à l’angle de s’adapter aux différentes positions respectives des deux officiantes. Un système de sangles élaboré qui passe à la ceinture et entre les cuisses se ferme dans le dos et permet à la femelle qui le porte d’être libre de ses mains.

Éric admire les deux objets tandis que Mélanie les observe avec une certaine appréhension :

– Oh c’est gros, dit-elle... j’ai peur.

Jamel me l’ayant ordonné, je me place en levrette, la tête à portée de sa queue et je le suce profondément tout en lui travaillant les couilles. J’aime être ainsi livrée en pâture et en spectacle ; ces humiliations me sont devenues indispensables. Il tend le gros plug à Mélanie et lui dit « à toi l’honneur, encule-la bien ».

Elle me pénètre doucement ; l’objet est gros au milieu, elle a peur de me blesser mais je sens qu’elle pousse inexorablement, elle ira jusqu’au bout ; j’ai mal, je tète encore plus amoureusement ; Jamel me prend les cheveux et me redresse afin que je le regarde droit dans les yeux ; il me caresse la joue de la main gauche tout en me maintenant la tête puis, après environ une minute après laquelle ayant compris je lui dis « je t’aime » il me gifle à la volée ; comme me l’a appris Patrick au cours de mon dressage je lui réponds « encore... je t’aime » schlaak... etc. ; par intuition Mélanie en profite pour faire aller et venir le plug à fond dans les deux sens ; mon mari me frappe plus de dix fois ainsi pour me libérer... je suis en transes, je me lâche... je crie :

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– Je suis ton objet, je suis tes trous, une grande putain gratuite pour toi... finis-moi mon seigneur, tape... encore.

Alors une synchronisation s’installe entre les gifles de plus en plus appuyées et les va et vient du plug manipulé par Mélanie... je m’explose dans un orgasme ravageur ; Mélanie me laisse le plug profondément planté et Jamel me lâche ; je l’embouche à fond tout en lui tordant doucement les couilles ; il est tellement excité qu’il jouit immédiatement ; Éric se lève pour aller se vider dans la bouche de Mélanie ; il jouit également très vite. Une fois de plus nous échangeons, Mélanie et moi, nos salives chargées de sperme.

Mélanie qui subit les effets du lubrifiant gémit :

– A moi à présent, enculez-moi, je n’en peux plus…

Après quelques minutes de repos, Jamel interroge Éric :

– Dans quelle position aimerais-tu que Bahiya encule Mélanie ?

– Je ne vois que la levrette, avec le cul bien haut.

– Il y a aussi une position de face.

– Oh oui je vois... vas-y Bahiya ; Mélanie te regardera bien dans les yeux et ne pourra oublier qu’elle est enculée par une femme.

Je fais installer ma belle femelle dans un fauteuil cuisses relevées à l’extrême, l’arrière des genoux posé sur les accoudoirs, le cul accessible ; elle se tient bien offerte ; elle est obscène.

Jamel demande à Éric de me harnacher avec le gode ceinture ; je m’installe à quatre pattes et de dos sur les accoudoirs de l’autre fauteuil pour être à bonne hauteur. Éric a une vue inoubliable sur mon anus violé par le plug dont il ne distingue que la base et sur mon sexe ouvert par les jarretelles d’où coule mon jus de plaisir. De ma position je ne peux le voir mais je surprends un signe de tête affirmatif de mon mari dans sa direction... immédiatement trois doigts me pénètrent sans précautions... puis quatre, la main tourne et retourne... puis je sens le pouce rejoindre les autres doigts et chercher une voie... il pousse, il tourne... la main rentre entièrement... j’ai beaucoup joui, je suis très sensible... il ferme le poing et le tourne lentement... le plug diminue la place disponible...

J’ai mal, très mal, je crie, je supplie qu’il arrête mais en espérant qu’il continuera : curieuse sensation que cette souffrance qui provoque un plaisir d’orgueil où je montre à cette femme ce que j’offre à son mâle et qu’il ne peut aujourd’hui espérer d’elle. Éric qui a bien compris le jeu, s’adresse à Jamel

– Dois-je arrêter ?

Jamel se lève et se place derrière moi à côté d’Éric afin de bien regarder.

– Oh ma Bahiya, c’est la première fois que je te vois ainsi ouverte... dire que je ne te l’ai jamais fait... Patrick, Majid et Nadia non plus ; Éric n’arrête surtout pas... force encore... tourne bien et tire un peu vers l’extérieur... Voilà, tire encore... enfonce maintenant.

Éric se plie aux demandes de Jamel, et devient un peu plus cruel à chaque mouvement.

– Humm, je sens bien le gros plug à travers les parois ; elle mouille à mort et je sens des contractions pourtant elle semble souffrir... elle jouit ou elle souffre la salope ?

– Elle a mal, mais ça lui plait, dit Jamel.

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– Laissez-la salauds, dit Mélanie... arrêtez de la martyriser.

Je me sens obligée d’intervenir entre deux cris, car Éric me torture toujours.

– Tais-toi Mélanie, tu es maintenant à notre service ; garde la position et attend... . Aiiieee (Éric vient de tirer fort vers l’extérieur)... peut-être que je te ferai subir la même chose tout à l’heure ; qu’en penses-tu mon chéri ?

– Bonne idée... vraiment... . à condition qu’Éric accepte.

– Excellente idée, dit-il ; ta main est fine Bahiya, elle devrait rentrer facilement.

Mélanie crie de colère en s’adressant visiblement à Éric, mais curieusement elle garde sa position obscène ; sa chatte ouverte et fort humide témoigne de son état :

– Salaud, salaud, si tu fais cela je te quitte…

– On en reparlera quand tu l’auras vécu, lui dit le mari qui me fouille de plus en plus durement, et attrape par dessous le clitoris sur lequel il tire en tournant.

Hurlement de ma part.

– Déconne-la sans ouvrir le poing, dit Jamel, mais va doucement, ne la déchire pas.

– Nonnnnn mon chéri, nonnnn pitié.

Mélanie me regarde toujours sans bouger et ondule légèrement de plus en plus obscène... je me dis en silence : « salope, tu ne perds rien pour attendre » ; je sens le poing qui tente de sortir et qui écartèle mes parois ; Jamel commente le spectacle « de mon trou prêt à se déchirer » ; à sa voix, je constate qu’il est super excité et très fier de moi.

Éric tire encore... je hurle de nouveau ; la sensation est insoutenable comme si on voulait m’ouvrir en deux. Jamel demande à Éric de maintenir ainsi la pression mais de ne pas l’augmenter et il prend le plug qu’il tire lentement mais sans instant de repos ; les deux douleurs conjuguées sont intenses mais je dois les supporter pour plaire à Jamel qui fera son rapport à Patrick...

Voilà, je suis déculée et, profitant de l’espace, le poing d’Éric sort lentement... voilà je suis vide... quelle impression d’absence ! Je supplie qu’on me remplisse... des deux côtés... je sens le plug reprendre sa place dans mes reins... lequel des deux l’a poussé ? Je ne le saurai pas mais la sensation d’être de nouveau enculée me remet en état de désir intense. Enfin, je sens la partie destinée à ma chatte de l’attribut artificiel s’enfoncer dans mon vagin et je gémis... la boule plus le plug c’est gros ; aux conseils prodigués par Jamel, je sais que c’est Éric qui me prépare...

Enfin, la boule est bien à fond et je sens les picots qui griffent légèrement mon clitoris... quatre mains tendent et attachent bien les sangles. Sur ordre, je me lève et, comme à chaque fois, je me sens terriblement pleine mais aussi terriblement mâle avec cet objet érigé entre mes cuisses... Les sensations de la queue artificielle qui, sous son poids tire sur la boule vers le haut et fait légèrement bouger le plug sont intenses ; mon envie de prendre à Mélanie son dernier pucelage provoque une contraction de mon vagin et de mon anus qui me fait presque jouir... surtout que vingt centimètres sur cinq, c’est volumineux pour un anus vierge... j’espère qu’elle criera, qu’elle résistera un peu. Je m’approche :

– Tu vois belle chienne, tu es vide et je suis pleine, je vais te mettre comme si j’étais un mec... tu m’excites... qu’est ce qui te ferait plaisir ?

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Mélanie s’écarte bien et m’offre son devant.

– Je voudrais que tu commences par ma chatte, pour me préparer.

– Non ! crie sèchement Éric, encule-la à fond... maintenant.

Je m’approche et je redresse encore plus haut les jambes de Mélanie de façon que son trou soit presque à la verticale pour que je puisse la perforer sans trop plier le genoux et que, en plus, mon poids permettent un enculage en profondeur ; je me penche un peu, je suis juste à la bonne hauteur, je lui caresse le visage « regarde-moi dans les yeux » ; elle obéit ; je pose une main sur le dossier du fauteuil pour garder l’équilibre et de l’autre, je guide la queue artificielle à l’entrée du petit trou... je pousse doucement et je m’interromps, restant sur le bord maintenant la pression

– Tu as envie salope ?

– J’ai peur... Éric s’il te plait... dis-leur d’arrêter.

– Non, tu as promis, je dois rendre la politesse à Jamel... allez, sois femelle, donne-toi du cul... ça m’excite de penser que je vais te voir ouverte.

– Alors dis-je, j’attends... sinon je te mets dehors et nous continuons la fête avec Éric à qui je donnerai un maximum de plaisir... peut-être que par la suite il ne voudra plus de toi.

– Oh non pitié... viens Bahiya.

– Viens comment ?

– Sodomise-moi.

– Sois plus crue.

– Encule-moi... encule-moi bien salope, qu’ils me voient tous les deux... que ça les excite... mais sois douce... ne me fais pas mal... la fausse bite est si grosse...

– Maintenant ?

– Maintenant... oui... fais-moi l’anus... regarde Éric comme je me prépare bien pour que tu en profites après... c’est pour toi que j’accepte.

Éric me demande de patienter, il s’approche sur le côté du fauteuil la prend par les cheveux à l’aide de sa main gauche et lui présente l’autre, celle qui a dilaté ma chatte et qui est couverte de mes sécrétions plus ou moins sèches ; il lui ouvre la bouche de deux doigts ; Mélanie les lèche d’abord timidement puis après avoir murmuré « c’est bon, je t’aime salope » en me regardant dans les yeux, elle se met à téter les doigts comme s’il s’agissait d’une petite bite ; il lui présente trois puis quatre doigts qu’elle nettoie amoureusement.

Satisfait, il la prive de sa main tout en la tenant par les cheveux ; il lui redresse la tête et lui ordonne de bien écarter ses fesses avec ses mains pour faciliter l’intromission. Elle obéit docilement et avec zèle... elle est béante... je sens que je ne devrai pas forcer énormément malgré sa virginité. Je suis en attente, je n’en peux plus, je déplace un peu mon ventre pour que les picots touchent mon clitoris ; je gémis et Jamel remarque mon manège. « Tu seras punie dit-il »... « Oui mon chéri » ; c’est fou ce que j’ai envie de percer cette femme et je me demande combien de temps ils vont encore nous faire attendre quand Éric relevant alors la tête dit d’une voix sourde :

– Regarde bien Mélanie... enfonce-toi Bahiya... lentement... qu’elle en profite bien !

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Je force doucement, le sphincter résiste puis cède ; j’enfonce d’une seule poussée très lente la bite de plastique à fond dans le cul de Mélanie qui émet un long feulement et me fixe amoureusement tandis que sur ordre de Jamel je demeure immobile plantée à fond...

– Enculée, je suis une enculée... c’est tellement gros, j’ai mal mais c’est bon... regarde Éric je vais devenir une putain pour toi... tu pourras me donner ou me vendre... surtout en public... j’adore qu’on me regarde ; oh ma Bahiya vas-y maintenant... doucement... baise-moi... encule-moi !

N’ayant pas reçu d’ordre, en bonne élève, je ne bouge pas. Mélanie lâche ses fesses et se malaxe les gros seins en tirant sur les bouts puis une de ses mains descend à son sexe où elle se contente de faire vibrer le clito. Jamel se lève queue dressée et, se caressant doucement les couilles d’un geste dont le spectacle m’émoustille au plus haut point, s’installe à genoux de l’autre côté du fauteuil par rapport à Éric. Celui-ci tourne la tête de sa femme et ordonne « suce-le ».

Elle ne se fait pas prier et embouche ce qu’elle peut du sexe de mon époux qui lui ordonne de se mettre trois doigts dans la chatte et de continuer à se branler. Tableau magnifique : je suis plantée à fond avec un gode ceinture dans le cul de Mélanie tandis que son mari lui guise la bouche sur la queue de mon mari et qu’elle se travaille une de ses énormes mamelles de sa main droite tandis que de trois doigts de l’autre elle se fouille la chatte. Elle insiste sur l’arrière des muqueuses.

Elle cherche le contact avec le sexe artificiel à travers les parois... elle le trouve et le caresse comme une vraie queue ; le mouvement de sa main fait bouger la paroi hérissée de picots sur mon clitoris... je ne bouge pas, je savoure... quant à elle, elle est partie... elle jouira, sinon du cul du moins analement pleine. Mon mari se relève, s’éloigne en quittant mon champ de vision puis revient en montrant à Mélanie une belle cravache rouge :

– Je vais guider le rythme de ton enculage en cravachant ma femme, lui dit-il... je vais me mettre derrière elle qui ne pourra pas voir venir les coups, mais toi tu verras et tu anticiperas le mouvement de pénétration qui accompagnera chaque frappe.

Elle se tortille et se touche encore plus fort. Éric tient toujours sa tête... « Ouiii » gémit-elle, de plus en plus excitée. En colère non parce qu’elle obéit mais parce que cela semble lui plaire énormément, je lui gifle doucement la joue en la traitant de salope enculée. Jamel passe derrière moi et me caresse les fesses d’un petit coup sec de la cravache :

– Décule-la !

– Complètement mon chéri ?

– Complètement !

– Non pitié, ne me videz pas.

– Ne t’inquiète pas Mélanie, c’est pour mieux te remettre... tu seras enculée jusqu’à ce que tu cries grâce ! Allez Bahiya sors mais reste en position pour la perforer. La règle est simple : pour te faire déculer je te donne un petit coup et pour te faire rentrer je te cingle fort les fesses ; tu feras chacun des mouvements en une seule fois sans fioriture mais de plus en plus vite. Toi Mélanie, tu ne jouiras qu’avec mon accord sinon tu seras punie attachée sur le lit et obligée à nous regarder évoluer sans pouvoir ni bouger ni te toucher.

– Oh ooonnn…

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– Alors obéis !

Je décule lentement regardant le trou qui se referme car il est encore peu éduqué. Mélanie se branle doucement pour éviter un orgasme qui la conduirait à la punition faite d’une immense frustration. Schlaaak, je replonge à fond... Mélanie crie, la douleur est encore présente, elle caresse le gode à travers la paroi pour se calmer et chercher du plaisir ; l’effet de pression de la paroi artificielle sur mon clitoris est délicieux, la boule au fond de ma chatte commence à se faire sentir sérieusement, mon cul se resserre autour du plug. Une demi minute passe... une éternité... clac, coup sec et bref... je décule... dix secondes, schlaaak, je plonge de nouveau ; le conduit semble plus souple ; elle crie encore ; mes sensations montent exacerbées par l’idée que je suis en train d’enculer une femme ; mais moi non plus je ne dois pas jouir... hummm je vais devenir folle.

Clac après cinq secondes... je décule et le constate que, déjà, Mélanie vient à ma rencontre... « Baise-moi fort, encule-moi à fond... regarde Éric... ça m’excite que tu regardes » ; à peine deux secondes... Schlaaak... je replonge encore plus vite et plus brutalement. Elle crie moins mais gémit plus ; plus je plonge profond et vite et plus la boule me fait de l’effet, plus mes jarretelles se tendent, plus mon clitoris est frotté et plus mon anus se resserre... je vais devenir folle à me retenir ainsi.

Clac, je sors, Schlaaak, je replonge. À un rythme soutenu, les ordres transmis par la cravache se succèdent. Je sors et je replonge de plus en plus vite, de plus en plus brutalement. Je suis branlée de partout et je me retiens comme je peux. Mélanie ondule et gémit à chaque perforation de la bite artificielle ; à chaque sortie elle vient de plus en plus à ma rencontre ; elle se branle de plus en plus profond avec deux doigts de chaque main. Éric lui malaxe les deux mamelles et susurrant : « Retiens-toi ma salope .. . Attends encore... tu es belle offerte comme cela ».

Quant à elle, elle prononce des mots sans suite : « Enculée, putain, esclave des mâles et des femelles... ». Je suis sortie. La voix de Jamel m’immobilise par-dessus cet océan de désirs :

– Avec ta permission, Éric.

– Oui comme tu voudras, tu as de l’expérience.

Les coups de cravache se succèdent alors sur mon dos, et les ordres sont donnés :

– Bahiya défonce-la, mais interdit de jouir... Mélanie tu peux jouir enfin... lâche-toi, enculée.

Je vais et viens dans l’orifice rendu souple, je la baise vraiment au cul sauvagement. Brutalement elle bascule elle sort sa langue et me demande de l’embrasser ; elle retire une main de sa chatte pour se triturer le clitoris et y plonge quatre doigts de l’autre cherchant intensément le contact de la fausse bite ; elle se tend et se met à hurler en me tétant la langue ; je réussis à la maintenir dans cet état un long moment puis nous nous calmons tous.

Je décule Mélanie et me relève. Je contemple ma fausse queue ; je n’ai pas joui, je suis en manque. Éric et Jamel vont s’asseoir dans deux fauteuils, ils bandent durement ; Jamel m’ordonne de rester debout et garnie. Je suis heureuse, ça m’excite. Mélanie est restée dans sa position d’enculage, elle récupère et gémit doucement. Éric veut maintenant couronner la soirée :

– Debout ma femme, dit-il, face à nous cuisses bien ouvertes !

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Elle s’exécute ; à la voix de son mari, elle sent que ce n’est pas fini ; ses jambes flageolent légèrement à cause de l’orgasme et de l’anxiété « que vont-ils me faire ? »

– Tu as aimé, salope ?

– Oui mon mari, je suis désormais ta femelle enculée... c’est bon.

– Es-tu prête à prendre la queue de Jamel ?

– Dans mon petit cul ?

– Oui, par politesse... souviens-toi qu’il m’a offert le cul de Bahiya.

– Mais tu m’en voudras si je te dis que j’en ai envie ?

– Surement pas.

– Alors Jamel, mon boyau est à toi... encule-moi... paye-toi du cadeau que tu as fait à Éric.

– Oh ce langage, dit Éric.

– J’espère que cela t’excite, salaud.

– Oui, ma petite putain... allez, donne-toi.

Jamel se lève en se touchant la queue hyper dure.

– Mets-toi en levrette Mélanie, cul bien haut et bien ouvert que je te force enfin.

Elle prend la position et Jamel se place derrière accroupi dans sa position favorite. Il guide sa queue et s’attarde vicieusement à l’entrée. Elle s’ouvre les fesses avec les mains et s’offre en regardant Éric :

– Toi mon mari chéri, tu acceptes que je me fasse enculer pour la première fois par une autre queue que la tienne, tu te contenteras de regarder... .Oui ta queue Jamel, mets-la moi, j’en ai atrocement envie...

Jamel la pénètre facilement car le trou est bien ouvert... elle feule.

– Ouiii enculée par une queue... Regarde Éric, ça doit être beau mais je ne peux pas voir... il faudra qu’on mette des miroirs dans notre chambre.

Jamel la besogne lentement et puissamment. Elle gémit et va à la rencontre de la queue pour se faire mettre bien à fond... elle y a vraiment pris goût. Je suis toujours debout devant elle, elle lève la tête et me regarde en s’attardant sur l’organe artificiel qui vient de la déflorer. Elle passe une main entre ses cuisses et se masturbe le clitoris... elle jouit une première fois...

Jamel ne s’interrompt pas et continue de la pilonner. Il m’ordonne de me branler debout comme un mâle en manipulant la fausse queue mais sans toucher à mon clitoris... j’exécute alors des mouvements de haut en bas qui font fortement remuer la boule dans mon ventre je jouis une première fois et je continue.

Jamel m’arrête : « attends salope » ; il m’ordonne de garder mon harnais sexuel complet et de m’allonger tête bêche sous Mélanie. J’obéis et je me trouve avec, en gros plan au-dessus de mes yeux la queue de mon mari enculant une autre femme. Il continue de la travailler avec puissance et sérénité. Il veut parfaire le tableau et propose à Éric de se faire sucer la queue en la tenant par les cheveux. « Bonne idée » dit-il ; il s’agenouille et il embouche profondément sa femme qui le prend avidement.

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Jamel ordonne à Mélanie de me branler comme si j’étais un mâle ; elle prend la queue artificielle en mains et la fait aller et venir sauvagement activant la boule en moi... cette salope va me rendre dingue... je pars et je jouis longuement... elle continue, je crois que je pourrai repartir... c’est doux. Les deux mâles la dérouillent bouche et cul. Le spectacle du petit cul défoncé par cette queue que j’adore et les doigts qui titillent le clitoris m’offrent un spectacle qui me donne envie de participer.

J’écarte la main de Mélanie, je m’accroche à ses jambes et je lui tète le clitoris ce qui la fait jouir une nouvelle fois. Elle continue à manipuler mon double dong. Je suis prise d’une envie soudaine :

– Jamel, j’ai envie de lui mettre la main pendant que tu l’encules.

– Tu as ma permission, ouvre-la bien.

La bouche de Mélanie lâche la queue de son mari ; elle proteste :

– Nonn pitié, ne me déchire pas...

Éric la maintient fermement par les chevaux et lui dit doucement :

– Je veux que tu ailles jusqu’au bout salope, et puis regarde, tu ne crains rien, la main de Bahiya est fine... allez, accepte !

– Oui, dit-elle, pour votre plaisir.

Elle en profite pour me forcer un peu le gode... elle veut me faire mal et elle y parvient mais je ne crierai pas. Jamel se retire pour me laisser le champ libre. Mélanie proteste et réclame qu’on l’encule... Jamel lui demande de patienter.

Je lui offre trois doigts et je constate qu’elle est largement assez mouillée pour les absorber ; je force doucement pour aller au plus profond et place un quatrième doigt... le tout pénètre facilement jusqu’à la racine du pouce. Je fais aller et venir. Elle gémit en émettant de petites plaintes nasales, sa bouche étant occultée par la queue de son mari.

Celui-ci la libère et lui demande si elle aime. « Oui mais je suis vide... derrière ». Il la rassure en lui disant qu’elle sera sauvagement enculée mais que je dois d’abord lui rentrer toute la main. Je place le pouce face aux autres doigts et je lui dis « ouvre-toi putain ». Je force doucement et je suis surprise de constater que ma main rentre assez facilement. Je ferme le poing et je tourne ; les contractions de son vagin me rassurent : elle aime, je la branle donc doucement en faisant aller et venir ma main, elle prend du plaisir en silence.

Jamel se positionne, elle se tend d’impatience, il force son cul... elle gémit longuement. Je caresse la queue de mon mari à travers les parois et il se met à l’enculer sauvagement ; elle lâche la queue de son mari et crie une série d’orgasmes dévastateurs. Je la force plus durement et je crie à Jamel :

– Vas-y mon chéri, gicle-lui dedans !

Mon mari ne peut plus tenir, il râle et se vide dans le cul de Mélanie qui crie que c’est la première fois qu’on lui jouit dans le cul et qu’elle adore, qu’elle ne pourra plus s’en passer. Jamel la décule et me donne sa queue à nettoyer ce que je fais avec amour tout en gardant ma main dans la salope qui l’a fait jouir. Il se relève, je libère doucement Mélanie dans un bruit de succion puis je me lève également. Mélanie est consciente qu’Éric n’a pas joui et elle reste en position. Elle le regarde :

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– Encule-moi Éric, à toi, je ne pourrai plus jouir et j’aurai surement un peu mal, mais j’ai tellement envie de me montrer enculée par mon mari que je veux que tu prennes ton plaisir et que tu te vides en moi. Allez viens... remplis-moi et fais-toi du bien.

Éric se place derrière sa femme et l’encule doucement ; elle nous regarde tour à tour fièrement et nous dit « je suis enfin femelle... c’est bon ». Puis, contrairement à ce qu’elle avait prétendu, son plaisir monte, elle se met à gémir et à onduler ; elle divague entièrement. Elle crie :

– Oui salaud bourre-moi le cul, fous ta femelle, prends ton pied... allez gicle aaahhhhhh viiiitte.

Et sous nos yeux, ils jouissent ensemble, se séparent puis se relèvent, s’embrassent tendrement.

– je suis à toi dit-elle, donne-moi à qui tu veux mais ne t’en prive pas ; ce que j’ai appris ce soir je ne pourrai plus m’en passer.

Repos, cafés, digestifs ; il est tard. Mon mari me demande de retirer mes attributs. Je le fais doucement tant je suis sensible, pinces et double gode mais je garde le plug anal et Jamel indique que mon état de soumise exige que je le garde la nuit entière. Éric demande à sa femme si elle accepterait. Réponse affirmative ; c’est moi qui serai chargée d’officier. Je prends le plus petit des deux plugs (celui que j’avais en début de soirée) et je la perce doucement tournant un peu pour mettre l’objet en place sans pincement.

Nos invités se rhabillent et prennent congé. Mélanie m’embrasse à pleine bouche et dit :

– C’est vraiment bon l’amour dans le cul, j’ai envie de vous revoir…

...

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