Augusto Lunel MON AIMÉ Est Un Jour Des Deux Soleils

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MON AIMÉ est un jour des deux soleils, son regard est la gare des métaux. Je voyage par sa gorge, par des planètes nues qu'habitude avec les lèvres. Mes mains rêvent, ils traversent des jardins où les fleurs sont des oiseaux. Ses épaules, anges recueillis dans le vol, ils me rattrape dans la fuite. Son coeur et le mien palpitent entre ses cuisses. Je voyage par ses cheveux jusqu'au réservoir des poissons d'or, par des eaux d'une autre planète, quand il se surveillera. Mon aimé est la ville où par toutes les rues on arrive à la lune, beaux tigres ils sont montrés aux fenêtres. -- L'oiseau qui se nourrit de son vol dévore sa chute et l'éloignement lui mange l'intérieur. Prisonnier dans la cage dorée de la nuit, Surveillé par ses propres yeux ce devenus aveugles; Sa voix, muette et sa vie éteinte L'oiseau qui a mangé les ailes s'est écrasé contre le ciel et les éclats de verre brisé ont mouillé la rue Une fille vu ses doigts coupés par le bleu, sa hauteur la transperce profondément. Un oiseau a pleuré et est tombé avec ses larmes. Du livre : « Miroirs parallèles __________________ Si vous, si je, si personne ne me reste dans votre mémoire, Si personne ne le voulait , seulement, Je vais laisser dans votre bouche, cette chanson que personne ne chante cette vie que personne ne vit, On ne sait pas que ce qu'il y a à savoir un jour , c’est que nous ne savons rien. Je me suis blessé mon corps. __________________ Tout, de la moitié de ma mort; tout ce que vous; toute personne qui est en attente; l'éternité, seul. __________________ Je suis la seule chose de vous. __________________

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Augusto Lunel, french

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MON AIM est un jour des deux soleils,

MON AIM est un jour des deux soleils,

son regard est la gare des mtaux.

Je voyage par sa gorge,par des plantes nues qu'habitude avec les lvres.Mes mains rvent,ils traversent des jardins o les fleurs sont des oiseaux.

Ses paules, anges recueillis dans le vol,ils me rattrape dans la fuite.

Son coeur et le mien palpitent entre ses cuisses.

Je voyage par ses cheveux jusqu'au rservoir des poissons d'or,par des eaux d'une autre plante, quand il se surveillera.

Mon aim est la villeo par toutes les rues on arrive la lune,beaux tigres ils sont montrs aux fentres.

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L'oiseau qui se nourrit de son voldvore sa chuteet l'loignement lui mange l'intrieur.Prisonnier dans la cage dore de la nuit,Surveill par ses propres yeux ce devenus aveugles;Sa voix, muette et sa vie teinte

L'oiseau qui a mang les ailess'est cras contre le cielet les clats de verre bris ont mouill la rue Une fille vu ses doigts coups par le bleu,sa hauteur la transperce profondment.

Un oiseau a pleuret est tomb avec ses larmes.

Du livre : Miroirs parallles

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Si vous,si je,si personne ne me reste dans votre mmoire,Si personne ne le voulait , seulement,Je vais laisser dans votre bouche,

cette chanson que personne ne chante cette vie que personne ne vit,On ne sait pas que ce qu'il y a savoir un jour , cest que nous ne savons rien.

Je me suis bless mon corps.

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Tout, de la moiti de ma mort;tout ce que vous;toute personne qui est en attente;l'ternit, seul.

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Je suis la seule chose de vous.

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O m'emmenez-vous pendant que j'attends?O je l'espre vous voir partir?

Je vois que vous n'avez pas vu,J'ai entendu dire que des calsJe sens que je suis seul.

(Spcial Poetry =)

Les pomes publis dans le cadre d'un volume record de pruvienne LUNEL pote AUGUSTO. [Posie originale Remarque revue de posie =.]