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Tél. 04 79 72 38 71 www.forum-cinemas.com PROGRAMME DU 11 AU 17 JUILLET 2018 Tél. 04 79 33 40 53 FORUM ASTRÉE Mercredi 11/07 Jeudi 12/07 Vendredi 13/07 Samedi 14/07 Dimanche 15/07 Lundi 16/07 Mardi 17/07 14h30 14h30 11h * 14h30 Les parapluies de Cherbourg * tarif unique de 5 € 16h30 17h15 16h30 L’île au trésor 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 14h / 16h 18h / 20h 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 14h30 / 16h45 18h45 / 20h45 Dogman 17h30 / 18h45 17h30 / 18h45 17h30 / 18h45 17h30 / 18h45 15h45 / 17h45 17h30 / 18h45 17h30 / 18h45 Dark river 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 17h45 / 19h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 Zama 14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h / 15h30 14h30 / 15h45 15h45 Parvana 14h15 / 19h15 20h30 14h15 / 19h15 20h30 14h15 / 19h15 20h30 14h15 / 19h15 20h30 14h / 19h15 20h45 14h15 / 19h15 20h30 14h15 / 19h15 20h30 Au poste ! 14h15 11h * 14h15 2001 l’odyssée de l’espace 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 15h45 / 20h 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 Woman at war 11h * Bécassine 11h * Une année polaire 17h 17h 14h30 17h 14h 14h30 17h Le dossier Mona Lina Woman at war Islande / France / Ukraine - 1h40 - 2018 - V.O.s.t. Prix SACD Semaine interna- tionale de la critique Cannes 2018 Un film de Benedikt Erlings- son avec Halldora Geirhards- dottir, Jóhann Sigurðarson, Davíd Thór Jónsson. Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orphe- line dans sa vie… « Mais qui est cette guerrière nommée Halla ? Un peu super héroïne, un peu Fantômette me- nant une double vie aventureuse, sûrement activiste écolo pure et dure et pourtant fantaisiste, Hal- la n’est pas facilement identifia- ble. Tonique, drôle, émouvante, stupéfiante au bout du compte. Avec cette manière à la fois très réfléchie et très joueuse de faire du cinéma et de parler du monde d’aujourd’hui, Erlingsson s’affirme définitivement comme un drôle de zèbre, talentueux et décomplexé. » Télérama « La dialectique propre aux sagas islandaises – le destin, l’honneur et la vengeance – se retrouve dans Woman at War, transformée et enluminée par la baguette magique d’une fée. En d’autres termes par la mise en scène de Benedikt Erlingsson, qui se joue des ressorts du film d’action, d’aventures, de sus- pense, les mêlant sans en adop- ter un seul en particulier. » Le Monde Dogman Italie - 1h42 - 2018 - V.O.s.t. Un film de Matteo Garrone avec Marcello Fonte, Edoardo Pesce, Alida Baldari Calabria. Prix d’interprétation mascu- line Cannes 2018 7 Nastri d’argento Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement Dans une banlieue déshéritée, Marcello, toiletteur pour chiens discret et apprécié de tous, voit revenir de prison son ami Simoncino, un ancien boxeur accro à la cocaïne qui, très vite, rackette et brutalise le quartier. D’abord confiant, Marcello se laisse entraîner malgré lui dans une spirale criminelle. Il fait alors l’apprentissage de la trahison et de l’abandon, avant d’imaginer une vengeance féroce... « En ces temps de chiennerie idéologique et de montée de la loi de la force, la métaphore politique de Dogman semble transparente. Mais c’est aussi une fable humaine qui dépasse son manichéisme apparent. La misère appelle la violence, mais sous les pavés de la violence subsiste parfois la plage de l’hu- manisme. » Les Inrocks « Garrone revient à Cannes avec l’espace qu’on lui connaît, la banlieue sinistrée de Naples. Ses grands ensembles HLM res- semblent aux débris d’un théâtre grec du Péloponnèse, situant le drame dans un ailleurs tragique où l’horizon est un orage. Tra- gédie au sens propre du terme : Dogman joue la tension perma- nente de l’injustice et de la colère rentrée qui tord le bide, jusqu’à l’explosion de violence finale. On en sort sonné, comme si le film avait justement rempli son rôle de catharsis. » Première Dark river Grande-Bretagne - 1h29 - 2018 - V.O.s.t. Un film de Clio Barnard avec Ruth Wilson, Mark Stanley, Sean Bean. Après la mort de son père et quinze ans d’absence, Alice revient dans son Yorkshire na- tal réclamer la ferme familiale qui lui était promise. Mais son frère Joe, usé par les années à s’occuper de l’exploitation et de leur père malade, estime que la propriété lui revient. Malgré les trahisons et les blessures du passé, Alice va tenter de re- construire leur relation et sauver la ferme. « Ce troisième film de Clio Bar- nard vient confirmer l’immense talent de la réalisatrice anglaise, qui se renouvelle sans rien per- dre de la force qui parcourait ses deux longs métrages précédents. À bien des égards, son oeuvre naissante évoque le cinéma de Jane Campion. La réalisatrice a puisé dans ‘Les Silences’, roman de Rose Tre- main, dont l’action prend place dans les Cévennes. Du livre elle n’a gardé que l’idée d’un frère et d’une soeur séparés par un passé trop lourd à porter, ainsi que quelques moments porteurs d’une grande puissance visuelle, comme cette douce immersion d’un corps qui devient celui du père abusif. La comparaison du film avec le roman montre quelle conception Clio Barnard a de son art. Sans cesse, elle retranche, elle met à nu, elle dépouille pour atteindre la vérité de ses person- nages. » Positif Zama France / Argentine / Brésil / Espagne / Rép. dominicaine / Mexique / Portugal / Pays-Bas / Suisse / États-Unis / Liban - 1h55 - 2018- V.O.s.t. Un film de Lucrecia Martel avec Daniel Giménez Cacho, Lola Dueñas, Juan Minujin. Fin du XVIII ème siècle, dans une colonie d’Amérique latine, le juge don Diego de Zama espère une lettre du vice roi du Río de la Plata signifiant sa mutation pour Buenos Aires. Souffrant de l’éloignement et du manque de reconnaissance, il perd pa- tience et, pour se libérer de son attente, se lance à la poursuite d’un mystérieux bandit. « Martel parvient ici à nous faire éprouver par les sens l’état de ces colons décadents, comme soumis à un espace-temps qui les dépasse alors qu’ils s’en croient les maîtres. Puis, dans sa dernière demi- heure, le film bascule totalement dans la démence en même temps que les personnages pénètrent dans un territoire do- miné par des Indiens peints en rouge. Nous sommes plongés dans leur espace-temps, ce qui se traduit par un changement soudain de mise en scène, plus sèche, brutale, hachée, et le film devient alors vraiment génial, si- dérant. C’est à peu près tout ce qu’on peut dire après une pre- mière vision déroutante de ce Zama que nous avons presque le sentiment d’avoir rêvé. » Libération Fermeture estivale Prochaines sorties facebook.com/cinemaastree Pour recevoir par mail le programme des cinémas Astrée et Forum inscrivez-vous sur : www.forum-cinemas.com

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programme DU 11 aU 17 jUillet 2018

Tél. 04 79 33 40 53

ForUm

aStrÉeMercredi 11/07 Jeudi 12/07 Vendredi 13/07 Samedi 14/07 Dimanche 15/07 Lundi 16/07 Mardi 17/07

14h30 14h30 11h * 14h30Les parapluies de Cherbourg

* tarif unique de 5 €

16h30 17h15 16h30L’île au trésor

14h30 / 16h4518h45 / 20h45

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Dogman

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18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30 17h45 / 19h30 18h15 / 20h30 18h15 / 20h30Zama

14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h30 / 15h45 14h / 15h30 14h30 / 15h45 15h45Parvana

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Au poste !

14h15 11h * 14h152001 l’odyssée de l’espace

16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45 15h45 / 20h 16h15 / 20h45 16h15 / 20h45Woman at war

11h *Bécassine

11h *Une année polaire

17h 17h 14h30 17h 14h 14h30 17hLe dossier Mona Lina

Woman at war

Islande / France / Ukraine - 1h40 - 2018 - V.O.s.t.Prix SACD Semaine interna-tionale de la critique Cannes 2018

Un film de Benedikt Erlings-son avec Halldora Geirhards-dottir, Jóhann Sigurðarson, Davíd Thór Jónsson.

Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orphe-line dans sa vie…

« Mais qui est cette guerrière nommée Halla ? Un peu super héroïne, un peu Fantômette me-nant une double vie aventureuse, sûrement activiste écolo pure et dure et pourtant fantaisiste, Hal-la n’est pas facilement identifia-ble. Tonique, drôle, émouvante, stupéfiante au bout du compte. Avec cette manière à la fois très réfléchie et très joueuse de faire du cinéma et de parler du monde d’aujourd’hui, Erlingsson s’affirme définitivement comme un drôle de zèbre, talentueux et décomplexé. »télérama

« La dialectique propre aux sagas islandaises – le destin, l’honneur et la vengeance – se retrouve dans Woman at War, transformée et enluminée par la baguette magique d’une fée. En d’autres termes par la mise en scène de Benedikt Erlingsson, qui se joue des ressorts du film d’action, d’aventures, de sus-pense, les mêlant sans en adop-ter un seul en particulier. »le monde

Dogman

Italie - 1h42 - 2018 - V.O.s.t.

Un film de Matteo Garrone avec Marcello Fonte, Edoardo Pesce, Alida Baldari Calabria.Prix d’interprétation mascu-line Cannes 20187 Nastri d’argentoInterdit aux moins de 12 ans avec avertissement

Dans une banlieue déshéritée, Marcello, toiletteur pour chiens discret et apprécié de tous, voit revenir de prison son ami Simoncino, un ancien boxeur accro à la cocaïne qui, très vite, rackette et brutalise le quartier. D’abord confiant, Marcello se laisse entraîner malgré lui dans une spirale criminelle. Il fait alors l’apprentissage de la trahison et de l’abandon, avant d’imaginer une vengeance féroce...« En ces temps de chiennerie idéologique et de montée de la loi de la force, la métaphore politique de Dogman semble transparente. Mais c’est aussi une fable humaine qui dépasse son manichéisme apparent. La misère appelle la violence, mais sous les pavés de la violence subsiste parfois la plage de l’hu-manisme. » les inrocks« Garrone revient à Cannes avec l’espace qu’on lui connaît, la banlieue sinistrée de Naples. Ses grands ensembles HLM res-semblent aux débris d’un théâtre grec du Péloponnèse, situant le drame dans un ailleurs tragique où l’horizon est un orage. Tra-gédie au sens propre du terme : Dogman joue la tension perma-nente de l’injustice et de la colère rentrée qui tord le bide, jusqu’à l’explosion de violence finale. On en sort sonné, comme si le film avait justement rempli son rôle de catharsis. » première

Dark river

Grande-Bretagne - 1h29 - 2018 - V.O.s.t.

Un film de Clio Barnard avec Ruth Wilson, Mark Stanley, Sean Bean.

Après la mort de son père et quinze ans d’absence, Alice revient dans son Yorkshire na-tal réclamer la ferme familiale qui lui était promise. Mais son frère Joe, usé par les années à s’occuper de l’exploitation et de leur père malade, estime que la propriété lui revient. Malgré les trahisons et les blessures du passé, Alice va tenter de re-construire leur relation et sauver la ferme.

« Ce troisième film de Clio Bar-nard vient confirmer l’immense talent de la réalisatrice anglaise, qui se renouvelle sans rien per-dre de la force qui parcourait ses deux longs métrages précédents. à bien des égards, son oeuvre naissante évoque le cinéma de Jane Campion. La réalisatrice a puisé dans ‘Les Silences’, roman de Rose Tre-main, dont l’action prend place dans les Cévennes. Du livre elle n’a gardé que l’idée d’un frère et d’une soeur séparés par un passé trop lourd à porter, ainsi que quelques moments porteurs d’une grande puissance visuelle, comme cette douce immersion d’un corps qui devient celui du père abusif. La comparaison du film avec le roman montre quelle conception Clio Barnard a de son art. Sans cesse, elle retranche, elle met à nu, elle dépouille pour atteindre la vérité de ses person-nages. » positif

Zama

France / Argentine / Brésil / Espagne / Rép. dominicaine / Mexique / Portugal / Pays-Bas / Suisse / états-Unis / Liban - 1h55 - 2018- V.O.s.t.

Un film de Lucrecia Martel avec Daniel Giménez Cacho, Lola Dueñas, Juan Minujin.

Fin du XVIIIème siècle, dans une colonie d’Amérique latine, le juge don Diego de Zama espère une lettre du vice roi du Río de la Plata signifiant sa mutation pour Buenos Aires. Souffrant de l’éloignement et du manque de reconnaissance, il perd pa-tience et, pour se libérer de son attente, se lance à la poursuite d’un mystérieux bandit.

« Martel parvient ici à nous faire éprouver par les sens l’état de ces colons décadents, comme soumis à un espace-temps qui les dépasse alors qu’ils s’en croient les maîtres. Puis, dans sa dernière demi-heure, le film bascule totalement dans la démence en même temps que les personnages pénètrent dans un territoire do-miné par des Indiens peints en rouge. Nous sommes plongés dans leur espace-temps, ce qui se traduit par un changement soudain de mise en scène, plus sèche, brutale, hachée, et le film devient alors vraiment génial, si-dérant. C’est à peu près tout ce qu’on peut dire après une pre-mière vision déroutante de ce Zama que nous avons presque le sentiment d’avoir rêvé. » libération

Fermeture estivale

Prochaines sorties

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Astro’kids

Les parapluies de Cherbourg

France / Allemagne - 1h31 - 1964 (version restaurée)à partir de 10 ansPalme d’or Cannes 1964

Une comédie musicale de Jacques Demy avec Cathe-rine Deneuve, Nino Castel-nuovo, Anne Vernon.Madame Emery et sa fille Ge-neviève tiennent une boutique de parapluies. La jeune femme est amoureuse de Guy, un ga-ragiste. Mais celui-ci part pour la guerre d’Algérie. Enceinte et poussée par sa mère, Ge-neviève épouse Roland, un riche bijoutier. « Dans Les Parapluies de Cherbourg, tout est réussi : le récit qui embrasse plusieurs années et rebondissements af-fectifs, le sujet qui mêle l’intime et la grande Histoire, le roma-nesque et le sociétal, la moder-nité des thèmes, les motifs mé-lodiques, les dialogues-paroles de chansons qui n’oublient pas l’humour, les décors et costu-mes, la narration chromatique, le casting, l’élégance des sen-timents exprimés au diapason de celle des déplacements des êtres, et la somme gracieuse et fluide de tous ces éléments. »les inrocks

Bécassine !France - 1h42 - 2018Un film de Bruno Podalydès avec Emeline Bayart, Karin Viard, Denis Podalydès.

Bécassine naît dans une mo-deste ferme bretonne, un jour où des bécasses survolent le village. Devenue adulte, sa naï-veté d’enfant reste intacte. Elle rêve de rejoindre Paris mais sa rencontre avec Loulotte, petit bébé adopté par la marquise de Grand-Air va bouleverser sa vie. Elle en devient la nourrice et une grande complicité s’installe entre elles. Un souffle joyeux rè-gne dans le château. Mais pour combien de temps ? Les dettes s’accumulent et l’arrivée d’un marionnettiste grec peu fiable ne va rien arranger. Mais c’est sans compter sur Bécassine qui va prouver une nouvelle fois qu’elle est la femme de la situation.

« Dans ce monde en roue libre débarrassé de tout réalisme et de toute psychologie, l’enchan-tement se suspend le plus sou-vent à quelques ficelles que le cinéaste actionne de toute sa fu-rie enfantine d’inventions à la Pif Gadget en irrésistibles clowne-ries de langage. »les Cahiers du cinéma

« Une fable régénérante qui nous replonge sans mièvrerie ni tapa-ge dans le monde de l’enfance. Une bouffée d’oxygène ! »aVoir-alire

TARIFS- Normal Astrée : 8,80 € / Normal Forum : 5,80 €

- Carte abonnement de 10 places : 68 € (+ 1 € achat carte)

Tarifs réduits à l’Astrée- le Mercredi : 6,80 €

(sauf jours feriés et veille de fête)- 1ère séance de l’après-midi en semaine : 6,80 €

(sauf jours feriés et veille de fête)- Etudiants, Famille nomb., Séniors (+60 ans), Invalidité :

>> Réduit semaine : 6,80 €>> Réduit week end, jours feriés et veille de fête : 7.80 €

- Carte amicale de la ville de Chambéry : 6.80 €- Moins de 14 ans : 4 €

- Demandeurs d’emploi : 5 € (sur présentation d’un justificatif de moins de 6 mois)

Parvana

Canada / Irlande / Luxem-bourg - 1h33 - 2018 - à partir de 8 ansPrix du Jury et Prix du Public Festival du film d’animation Annecy 2018

Un film d’animation de Nora Twomey.

En Afghanistan, sous le régime taliban, Parvana, 11 ans, grandit à Kaboul ravagée par la guerre. Elle aime écouter les histoires que lui raconte son père, lecteur et écrivain public. Mais un jour, il est arrêté et la vie de Parvana bascule à jamais. Car sans être accompagnée d’un homme, on ne peut plus travailler, ramener de l’argent ni même acheter de la nourriture. Parvana décide alors de se couper les cheveux et de se travestir en garçon afin de venir en aide à sa famille. Risquant à tout moment d’être démasquée, elle reste détermi-née à trouver un moyen de sau-ver son père. Parvana est un conte merveilleux sur l’émanci-pation des femmes et l’imagina-tion face à l’oppression.

« Éloge de l’évasion par l’ima-ginaire et de la pugnacité, de la lumière plus vaillante que les ténèbres, Parvana nous emporte grâce à une héroïne attachante. Son courage n’est pas sans rap-peler celui de Malala, cette ado-lescente pakistanaise qui faillit mourir en 2012 sous les balles des talibans pour avoir milité en faveur de la scolarisation fémi-nine. Le rythme parfait du film, entre pauses oniriques, humour et action, n’élude ainsi guère une certaine gravité. à l’heure où l’Afghanistan semble bien loin, très loin, d’être débarrassé de l’obscurantisme des fous d’Allah, cette belle histoire fait vibrer nos cœurs et éclaire nos âmes par son humanisme résistant. » le point

« Un film généreux et boulever-sant. » elle

« Un plaidoyer pour la culture et pour la mémoire, sources de ré-sistance à l’obscurantisme. Et un éloge vibrant de l’imaginaire qui nous console de la réalité, tout en nous inspirant pour la rendre meilleure… »télérama

2001 l’odyssée de l’espaceétats-Unis / Grande-Bretagne - 2h21 - 1968 - V.O.s.t.Un film de Stanley Kubrick avec Keir Dullea, Gary Loc-kwood, William Sylvester.A l’aube de l’Humanité, dans le désert africain, une tribu de pri-mates subit les assauts d’une bande rivale. La découverte d’un monolithe noir inspire au chef des singes assiégés un geste inédit et décisif. Brandis-sant un os, il passe à l’attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est né.En 2001, quatre millions d’an-nées plus tard, un vaisseau spa-tial évolue en orbite lunaire. A son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête sur la découverte d’un monolithe noir qui émet d’étran-ges signaux vers Jupiter.Dix-huit mois plus tard, les astro-nautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter, sous le contrôle de HAL 9000, un ordinateur doué d’intelligen-ce et de parole. HAL commence à donner des signes d’inquié-tude : à quoi rime cette mission et que risque-t-on de découvrir sur Jupiter ?

« 2001 est un trip d’une irréduc-tible étrangeté, à la fois specta-culaire dans son ambition, ses effets spéciaux, ses maquettes d’aéronefs, sa station orbitale, son show futuriste clignotant, et complètement expérimental avec ses durées, ses moments de vide, sa rareté de dialogue, son montage long, son épaisseur philosophique et son emballage final ésotérique. Mais par quel sortilège ce film demeure-t-il un objet de rêverie inépuisable pour les spectateurs qui l’ont vu quin-ze fois ? Où réside son abyssale suprématie sur tous les Star wars ou Star trek du monde ? Dans le monolithe noir, c’est-à-dire dans sa teneur existentielle, théologi-que, métaphysique...2001 confronte l’espèce hu-maine à sa relativité, sa solitude et sa fragilité dans l’immensité des espaces infinis. Tant qu’on n’aura pas répondu au triple qui sommes-nous ? d’où venons-nous ? où allons-nous ?, 2001, film-question sans réponse ne sera pas démodé. Autant dire que c’est pas demain la veille. Rendez-vous en 3001 ? »les inrocks

Au poste !

France - 1h13 - 2018

Une comédie de Quentin Dupieux avec Benoît Poel-voorde, Grégoire Ludig, Marc Fraize.

Un poste de police. Un tête-à-tête, en garde à vue, entre un commissaire et son suspect.

« Comédie noire rondement menée, la nouvelle oeuvre de Quentin Dupieux, qui navigue entre tension, suspense et hu-mour, rappelle à l’ordre le ciné-ma français. » rolling Stone

« Le résultat parle de lui-même : on sort de ce huis clos avec l’im-probable impression d’avoir pris une grande, très grande, bouffée d’air frais. Absurde ? Non, Du-pieux. » Cinema teaser

« L’œuvre de Dupieux est aussi singulière que délicieusement perchée. De Steak à Rubber en passant par Wrong Cops ou Réalité, le cinéma de Dupieux est iconoclaste, fantaisiste, drôle à condition d’accepter de rentrer dans des univers basés sur la poésie du bizarre et l’abandon des canons narratifs tradition-nels. Il ne faut pas toujours y chercher un sens immédiat ou une logique premier degré, car c’est généralement dans l’incon-gru que le cinéaste aime nous embarquer pour des voyages déroutants, certes parfois mala-droits ou teintés d’un léger sno-bisme, mais souvent enthousias-mants dans leurs propositions audacieuses faisant un gentil doigt d’honneur au cinéma ac-tuel de plus en plus formaté. Avec Au Poste, Quentin Dupieux signe une farce décalée, même si cette nouvelle comédie pourra apparaître comme l’un de ses films les plus abordables et nar-rativement rectiligne. Construit comme une pièce de théâtre farfelue, Au Poste ! fait rire par intermittence tant Du-pieux cultive son sens inné de l’ubuesque dans une proposition fantasque qui, en filigrane, es-saie de glisser un commentaire sur nos sociétés angoissantes derrière la plaisanterie d’un dé-lire décalé. »mondociné

Le dossier Mona Lina

Israël / Allemagne / France - 1h33 - 2018 - V.O.s.t.

Un film de Eran Riklis avec Golshifteh Farahani, Neta Ris-kin, Yehuda Almagor.

Mona, libanaise, est soupçon-née par le Hezbollah d’être une informatrice des services secrets israéliens. Craignant qu’elle soit démasquée, le Mossad l’exfiltre vers l’Allemagne et lui fait chan-ger de visage. Pendant deux se-maines, le temps de se remettre de son opération, ils la cachent dans un appartement à Ham-bourg. Naomi, agent du Mossad, est chargée de lui tenir compa-gnie et de la protéger. Mais le Hezbollah est à la poursuite de Mona et la planque ne s’avère pas aussi sûre que prévu...

« Oscillant entre différentes at-mosphères, le film de Riklis n’est, lui, jamais enfermé dans une case et ouvre aux spectateurs le champ des possibles, au point parfois de confondre fantasmes et réalité. Le tout porté par la complicité éclatante de deux co-médiennes remarquables. »Studio magazine

L’île au trésor

France - 1h37 - 2018

Un documentaire de Guillau-me Brac.

Un été sur une île de loisirs en région parisienne. Terrain d’aventures, de drague et de transgression pour les uns, lieu de refuge et d’évasion pour les autres. De sa plage payante à ses recoins cachés, l’explora-tion d’un royaume de l’enfance, en résonance avec les tumultes du monde.

« Sous son air espiègle, L’Île au trésor se révèle être un film ambitieux, d’une beauté remar-quable : un éclat solaire qui rend joyeux, désirant, et d’autant plus sensible à une réalité sociale qu’elle prend forme à travers la singularité magique des vi-vants. » les Cahiers du cinéma

« Après la station balnéaire pi-carde hors saison (Un monde sans femmes), après la bour-gade bourguignonne sous la neige (Tonnerre), c’est à nou-veau d’un lieu et d’une saison, la base de loisirs de Cergy en été, que Guillaume Brac est parti pour concevoir avec son regard incisif et parfois amusé, son éblouissant nouveau film, son meilleur peut-être : L’Ile au tré-sor. Comme une fable politique sur la France d’aujourd’hui. » les inrocks« Une partie de l’enfance consis-te à s’opposer aux règles que l’on est en train de comprendre. Une partie de l’adolescence consiste à contourner les règles que l’on a bien comprises. Une partie de la vie aménage ensuite l’existence entre les règles et les aspirations, imagine des îles, sur lesquelles les règles sont sus-pendues. On les intègre autant qu’on peut les subvertir. Guillau-me Brac dédie L’ile au trésor à son frère et à l’enfance éternelle. Peut être, parce qu’au-delà de réaliser un film sur l’île de loisirs de Cergy Pontoise, il réalise un film sur le sentiment d’être vi-vant, libre et ivre d’été ; un film sur la banlieue parisienne et tou-tes ses variations dans le temps - y compris météorologique. » France Culture

Une année polaire

France - 1h34 - 2018 - V.O.s.t.

Un film de Samuel Collardey avec Anders Hvidegaard, As-ser Boassen, Thomasine Jo-nathansen.

Pour son premier poste d’insti-tuteur, Anders choisit l’aventure et les grands espaces : il part enseigner au Groenland, à Tini-teqilaaq, un hameau inuit de 80 habitants. Dans ce village isolé du reste du monde, la vie est rude, plus rude que ce qu’An-ders imaginait. Pour s’intégrer, loin des repères de son Dane-mark natal, il va devoir appren-dre à connaître cette commu-nauté et ses coutumes.

« Sans affabulation, ce film a la vitalité d’une fable. La réalité engendre la poésie ; les mythes se concrétisent. Entre documen-taire et fiction, l’équilibre des genres est atteint. «Une année polaire» exprime un amour sur-volant l’étendue sauvage ; mé-lancolique et blanche. »positif

« Le réalisateur renoue tout en délicatesse avec les valeurs de transmission et de partage qui lui sont chères et qui valurent à son premier long-métrage L’ap-prenti de recevoir en 2008 de nombreux prix, dont celui de la semaine de la critique à la Mos-tra. Il fait preuve de son talent à saupoudrer ses propos d’une sensibilité habilement dosée et développe, entre humour et gra-vité, un récit qui touche droit au cœur d’autant que l’authenticité en est renforcée par un scéna-rio, en tous points documenté tout en fleurant bon la fiction. Les comédiens, tous amateurs, imprègnent d’une étonnante sincérité les liens qui relient les personnages les uns aux autres pendant que la caméra pose sur eux un regard tendre et crée avec le spectateur une compli-cité immédiate. De cette aventure en territoire inexploré, il reste un voyage lu-mineux qui, en dit plus long qu’il n’y paraît sur la manière dont notre héritage culturel et fami-lial façonne notre rapport aux autres. » aVoir-alire