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Argiles de la Guadeloupe :inventaire, caractérisation

et usages'".- : - Rapport final

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BRGM/RP-54917-FRDécembre 2006

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Géosciences pour une Terre durable

brgm

Argiles de la Guadeloupe :inventaire, caractérisation

et usagesRapport final

BRGM/RP-54917-FRDécembre 2006

Étude réalisée dans le cadre des projetsde Service public du B R G M 2006 06RESB07

F. Barthélémy, S . Bès de Berc, Y . Husson

Vérificateur :

Nom : P. Lebrel

Date : ¿ - V t - ? <*> C

Signature :

Approbateur :

Nom : JM Mompelat

Date: 08/12/06

Le système de management de la qualité du B R G M est certifié A F A Q ISO 9001:2000.


brgm

Mots clés : Argiles, gisements, inventaire, Guadeloupe, SIG, halloysite, smectite.

En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante :

F. Barthélémy, S. Bès de Berc, Y. Husson (2006) - Argiles de la Guadeloupe : inventaire,caractérisation et usages. - Rapport final. BRGM/RP-54917-FR, 104 p.

) BRGM, 2006, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l'autorisation expresse du BRGM.

Mots clés : Argiles, gisements, inventaire, Guadeloupe, SIG, halloysite, smectite.

En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante :

F. Barthélémy, S. Bès de Berc, Y. Husson (2006) - Argiles de la Guadeloupe : inventaire,caractérisation et usages. - Rapport final. BRGM/RP-54917-FR, 104 p.

) BRGM, 2006, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l'autorisation expresse du BRGM.

Inventaire des argiles de la Guadeloupe

Synthèse

Pour permettre la mise à disposition de toutes les données disponibles à ce jour sur lesargiles de la Guadeloupe, la présente étude, cofinancée par la Région et le BRGMdans le cadre des projets de Service public du BRGM n° 2006 06RESB07, a structuréces données dans un Système d'Information Géographique. Celui-ci intègre leséléments suivants :

- Les données radar (modèle numérique de terrain).

- la localisation des sondages réalisés dans le cadre de l'inventaire de 1976.

- Les contours des extensions possibles de gisements.

- Le contour des communes.

- Les zones bâties.

- Le contour du Parc National.

- La géologie de la Guadeloupe.

- La localisation des carrières.

- La carte pédologique

Les études d'orientation réalisées entre les années 1974 et 1990 ont permis de définirdeux types d'argiles bien distinctes : des argiles communes où l'halloysite estdominante sur Basse-Terre et des argiles smectitiques sur Grande-Terre. Lespropriétés de ces argiles : plasticité faible à Basse-Terre et importante sur Grande-Terre, jointes aux caractéristiques minéralogiques et granulométriques ont orientéd'emblée les usages. Il s'agira de produits de terre cuite pour les argiles de Basse-Terre et de produits « absorbants » pour les argiles de Grande-Terre.

Cependant, à Basse-Terre, pour les usages terre cuite les argiles identifiées nepourront intervenir que dans des proportions limitées pour obtenir des mélangesperformants. Le recours à des adjuvants élaborés et souvent importés rendra toutdéveloppement de nouvelle activité difficile. Il paraît donc souhaitable, pour le courtterme, de développer plutôt une activité artisanale, destinée au marché local, dans lesdomaines des terres cuites destinées à la construction (briques) ou à la poterie, enessayant de capitaliser sur une image « terroir ».

Pour les argiles de Grande-Terre, les usages à privilégier concernent une mise enoeuvre brute dans les domaines dédiés aux bentonites caldques. Cependant, lesmarchés industriels concernés : argiles pour boues de forage, charges pour pesticides,litières pour animaux voire absorbants de sols industriels doivent concerner une zone

BRGM/RP-5491 7-FR - Rapport final

Inventaire des argiles de la Guadeloupe

Synthèse

Pour permettre la mise à disposition de toutes les données disponibles à ce jour sur lesargiles de la Guadeloupe, la présente étude, cofinancée par la Région et le BRGMdans le cadre des projets de Service public du BRGM n° 2006 06RESB07, a structuréces données dans un Système d'Information Géographique. Celui-ci intègre leséléments suivants :

- Les données radar (modèle numérique de terrain).

- la localisation des sondages réalisés dans le cadre de l'inventaire de 1976.

- Les contours des extensions possibles de gisements.

- Le contour des communes.

- Les zones bâties.

- Le contour du Parc National.

- La géologie de la Guadeloupe.

- La localisation des carrières.

- La carte pédologique

Les études d'orientation réalisées entre les années 1974 et 1990 ont permis de définirdeux types d'argiles bien distinctes : des argiles communes où l'halloysite estdominante sur Basse-Terre et des argiles smectitiques sur Grande-Terre. Lespropriétés de ces argiles : plasticité faible à Basse-Terre et importante sur Grande-Terre, jointes aux caractéristiques minéralogiques et granulométriques ont orientéd'emblée les usages. Il s'agira de produits de terre cuite pour les argiles de Basse-Terre et de produits « absorbants » pour les argiles de Grande-Terre.

Cependant, à Basse-Terre, pour les usages terre cuite les argiles identifiées nepourront intervenir que dans des proportions limitées pour obtenir des mélangesperformants. Le recours à des adjuvants élaborés et souvent importés rendra toutdéveloppement de nouvelle activité difficile. Il paraît donc souhaitable, pour le courtterme, de développer plutôt une activité artisanale, destinée au marché local, dans lesdomaines des terres cuites destinées à la construction (briques) ou à la poterie, enessayant de capitaliser sur une image « terroir ».

Pour les argiles de Grande-Terre, les usages à privilégier concernent une mise enoeuvre brute dans les domaines dédiés aux bentonites caldques. Cependant, lesmarchés industriels concernés : argiles pour boues de forage, charges pour pesticides,litières pour animaux voire absorbants de sols industriels doivent concerner une zone


Argiles de la Guadeloupe

de chalandage nécessairement supra-régionale. Tout projet de développementindustriel ne pourra donc être envisagé sans une étude technico-économique préalableincluant une analyse du marché.

De nouvelles pistes d'utilisation pourraient s'ouvrir pour l'utilisation de ces argiles, il

s'agit notamment de leur mise en nuvre pour la réalisation de Centresd'Enfouissement Technique. Des mesures de perméabilité devront être réalisées enpréalable et, s'agissant des argiles de Grande-Terre, les possibilités d'échangescationiques devront aussi être contrôlées.

A partir des éléments ainsi rassemblés, l'outil de gestion constitué par le SIG devraitpermettre une mise à jour régulière des données disponibles pour mieux répondre auxbesoins de la communauté territoriale ou des agents économiques.



de chalandage nécessairement supra-régionale. Tout projet de développementindustriel ne pourra donc être envisagé sans une étude technico-économique préalableincluant une analyse du marché.

De nouvelles pistes d'utilisation pourraient s'ouvrir pour l'utilisation de ces argiles, il

s'agit notamment de leur mise en nuvre pour la réalisation de Centresd'Enfouissement Technique. Des mesures de perméabilité devront être réalisées enpréalable et, s'agissant des argiles de Grande-Terre, les possibilités d'échangescationiques devront aussi être contrôlées.

A partir des éléments ainsi rassemblés, l'outil de gestion constitué par le SIG devraitpermettre une mise à jour régulière des données disponibles pour mieux répondre auxbesoins de la communauté territoriale ou des agents économiques.



Sommaire

1. Introduction : objectifs de l'étude 5

2. Les argiles : généralités et utilisations 7

2.1. GENERALITES 7

2.2. ECONOMIE ET SECTEURS D'UTILISATIONS 8

2.3. GITOLOGIE ET RECHERCHE DE GISEMENTS 10

3. Aperçu géologique de la Guadeloupe 13

4. Ressources argileuses de la Guadeloupe et usages possibles 17

4.1. ARGILES DE BASSE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES 18

4.1.1.Produits de terre cuite s.l. : 19

4.1.2. Briques en argile stabilisées au ciment 21

4.2. ARGILES DE GRANDE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES 22

4.2.1. Adjuvants de produits de terre cuite s.l 22

4.2.2.Argiles bentonitiques s.l. (argiles absorbantes et liantes) 23

4.3. POTENTIEL ET PERSPECTIVES D'UTILISATION DES ARGILES DE LAGUADELOUPE 23

4.3.1. Fabrication de briques, poteries 24

4.3.2. Fabrication de carreaux de sols rustiques 25

4.3.3. Fabrication de carreaux de revêtement mural 26

4.3.4. Fabrication de briques d'argile-ciment 27

4.3.5. Fabrication d'agrégats d'argiles expansées 27

4.3.6. Argiles bentonitiques 28

4.3.7. Argiles d'étanchéité 28

4.3.8. Pigments naturels pour l'industrie du bâtiment 29

5. Présentation du Système d'Information Géographique 31



Sommaire

1. Introduction : objectifs de l'étude 5

2. Les argiles : généralités et utilisations 7

2.1. GENERALITES 7

2.2. ECONOMIE ET SECTEURS D'UTILISATIONS 8

2.3. GITOLOGIE ET RECHERCHE DE GISEMENTS 10

3. Aperçu géologique de la Guadeloupe 13

4. Ressources argileuses de la Guadeloupe et usages possibles 17

4.1. ARGILES DE BASSE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES 18

4.1.1.Produits de terre cuite s.l. : 19

4.1.2. Briques en argile stabilisées au ciment 21

4.2. ARGILES DE GRANDE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES 22

4.2.1. Adjuvants de produits de terre cuite s.l 22

4.2.2.Argiles bentonitiques s.l. (argiles absorbantes et liantes) 23

4.3. POTENTIEL ET PERSPECTIVES D'UTILISATION DES ARGILES DE LAGUADELOUPE 23

4.3.1. Fabrication de briques, poteries 24

4.3.2. Fabrication de carreaux de sols rustiques 25

4.3.3. Fabrication de carreaux de revêtement mural 26

4.3.4. Fabrication de briques d'argile-ciment 27

4.3.5. Fabrication d'agrégats d'argiles expansées 27

4.3.6. Argiles bentonitiques 28

4.3.7. Argiles d'étanchéité 28

4.3.8. Pigments naturels pour l'industrie du bâtiment 29

5. Présentation du Système d'Information Géographique 31



5.1. DESCRIPTION DES COUCHES 33

6. Conclusions-Recommandations 37

7. Bibliographie 39

Liste des annexes

Annexe 1 Sondages à la tarrière : liste et coupes 41

Annexe 2 Sondages carottés : coupes (données BSS) 79

Annexe 3 Cartes de localisation des gisements et des sondages sur fonds géologiqueet pédologique 1 1 1

Annexe 4 Vestiges d'ateliers 115



5.1. DESCRIPTION DES COUCHES 33

6. Conclusions-Recommandations 37

7. Bibliographie 39

Liste des annexes

Annexe 1 Sondages à la tarrière : liste et coupes 41

Annexe 2 Sondages carottés : coupes (données BSS) 79

Annexe 3 Cartes de localisation des gisements et des sondages sur fonds géologiqueet pédologique 1 1 1

Annexe 4 Vestiges d'ateliers 115



1. Introduction : objectifs de l'étude

Cette étude a consisté essentiellement en une synthèse et analyse documentaire etune valorisation des données existantes, dans le contexte socio-économique actuel etdans le contexte de la connaissance géologique et pédologique actuel.

Une autre part importante de l'étude a consisté en la mise à jour et la numérisation desdonnées pour la constitution du Système d'Information Géographique (SIG) quiagrémente ce travail.

Ainsi, le travail de terrain initialement prévu dans le cadre de cette étude et ayant pourbut de réaliser une vérification systématique des gisements (type d'argile et extension),n'a pu être réalisé étant donné l'ampleur d'un tel travail. Cependant, la numérisationdes données et leur mise en forme dans le SIG permet d'avoir un bon aperçu desgisements, de leur extension, de leur accessibilité, de leur cohérence par rapport auxdonnées géologiques et pédologiques et des aspects fonciers actuels qui représententune contrainte à leur exploitation.

Dans ce contexte, il ne nous est pas apparu pertinent de réaliser les analysessupplémentaires. En effet, il s'agit d'une approche globale, dans laquelle les analysesdéjà existantes sont suffisantes pour cadrer les différentes utilisations possibles enGuadeloupe.

Les ressources argileuses de la Guadeloupe ne font actuellement l'objet d'aucunevalorisation malgré les possibilités montrées dans les études préliminaires réaliséesentre 1974 et 1990.

Les résultats de ces études, bien que parcellaires et n'ayant conduit à ce jour à aucunevalorisation, méritent d'être rassemblés et organisés pour être mis à la disposition detous les utilisateurs potentiels : aménageurs, producteurs, représentants desadministrations, des collectivités territoriales.

Le moyen retenu pour leur structuration est un Système d'Information Géographique(SIG) qui permettra de rassembler les données géo-référencées et restera ouvert pourde futurs enrichissements, compte tenu de l'évolution des problématiques de lademande.

Plus de 15 ans après les dernières études, il apparaît important de mettre enperspective le potentiel de valorisation à la lumière des évolutions socio-économiqueset réglementaires récentes. Le contexte économique est en effet marqué par lamondialisation des échanges et la spécialisation des acteurs, dimension qu'il seranécessaire de prendre en compte pour tout marché à l'exportation. De leur côté, lesbesoins locaux concerneront, outre le secteur du bâtiment, celui de l'aménagement duterritoire avec la recherche de sites d'enfouissement technique notamment.



1. Introduction : objectifs de l'étude


Une autre part importante de l'étude a consisté en la mise à jour et la numérisation desdonnées pour la constitution du Système d'Information Géographique (SIG) quiagrémente ce travail.

Ainsi, le travail de terrain initialement prévu dans le cadre de cette étude et ayant pourbut de réaliser une vérification systématique des gisements (type d'argile et extension),n'a pu être réalisé étant donné l'ampleur d'un tel travail. Cependant, la numérisationdes données et leur mise en forme dans le SIG permet d'avoir un bon aperçu desgisements, de leur extension, de leur accessibilité, de leur cohérence par rapport auxdonnées géologiques et pédologiques et des aspects fonciers actuels qui représententune contrainte à leur exploitation.

Dans ce contexte, il ne nous est pas apparu pertinent de réaliser les analysessupplémentaires. En effet, il s'agit d'une approche globale, dans laquelle les analysesdéjà existantes sont suffisantes pour cadrer les différentes utilisations possibles enGuadeloupe.

Les ressources argileuses de la Guadeloupe ne font actuellement l'objet d'aucunevalorisation malgré les possibilités montrées dans les études préliminaires réaliséesentre 1974 et 1990.

Les résultats de ces études, bien que parcellaires et n'ayant conduit à ce jour à aucunevalorisation, méritent d'être rassemblés et organisés pour être mis à la disposition detous les utilisateurs potentiels : aménageurs, producteurs, représentants desadministrations, des collectivités territoriales.

Le moyen retenu pour leur structuration est un Système d'Information Géographique(SIG) qui permettra de rassembler les données géo-référencées et restera ouvert pourde futurs enrichissements, compte tenu de l'évolution des problématiques de lademande.

Plus de 15 ans après les dernières études, il apparaît important de mettre enperspective le potentiel de valorisation à la lumière des évolutions socio-économiqueset réglementaires récentes. Le contexte économique est en effet marqué par lamondialisation des échanges et la spécialisation des acteurs, dimension qu'il seranécessaire de prendre en compte pour tout marché à l'exportation. De leur côté, lesbesoins locaux concerneront, outre le secteur du bâtiment, celui de l'aménagement duterritoire avec la recherche de sites d'enfouissement technique notamment.



La présente étude, après une brève présentation des argiles, de leurs utilisations etdes différents types de gisements fera le point des connaissances concernant lesargiles rencontrées en Région Guadeloupe et de leurs perspectives de valorisation.

Les différents éléments intégrés dans le Système d'Information Géographique serontenfin brièvement présentés.

La présente étude est réalisée dans le cadre des opérations de service public duBRGM.

BRGM/RP-54917-FR - Rapport final


La présente étude, après une brève présentation des argiles, de leurs utilisations etdes différents types de gisements fera le point des connaissances concernant lesargiles rencontrées en Région Guadeloupe et de leurs perspectives de valorisation.

Les différents éléments intégrés dans le Système d'Information Géographique serontenfin brièvement présentés.

La présente étude est réalisée dans le cadre des opérations de service public duBRGM.

BRGM/RP-54917-FR - Rapport final


2. Les argiles : généralités et utilisations

2.1. GENERALITES

Pour mériter le nom d'argile, une roche doit présenter plus de 50% de minérauxargileux, silicates d'alumine hydratés qui constituent des feuillets, et dont la taille desgrains minéraux est inférieure à 2 \im.

Outre les minéraux argileux, l'argile pourra contenir des carbonates (calcite, dolomie),des silicates (quartz, feldspaths, micas), plus rarement des sulfates, de la matièreorganique ou des oxydes de fer.

Les propriétés physiques (plasticité, absorption, etc..) et géochimiques (échangescationiques etc.) d'une argile sont conditionnées par la chimie et la minéralogie desminéraux argileux qui la constituent mais aussi par les autres constituants dont laconcentration pourra être pénalisante suivant les utilisations.

On peut distinguer quatre familles principales de minéraux argileux, ce sont:

- les kaolinites, dont la réfractarité^ est due à une teneur élevée en alumine(39,5% AI2O3 dans la composition chimique théorique).

Les kaolins et les argiles kaoliniques souvent dites argiles nobles sont prioritairementdestinés aux usages céramiques et réfractaires sous forme brute ou le plus souventaprès une première transformation : les chamottes sont des argiles kaoliniquescalcinées et concassées mises en 'uvre comme dégraissant^ dans les pâtescéramiques

- les smectites sont caractérisées par leur capacité d'échange cationique (Ca-i-,Na+, K-h) élevée et leur possibilité d'hydratation qui leur valent le nom d'argilesgonflantes. Minéralogiquement on peut distinguer, la montmorillonite, la beidellite,l'hectorite et la saponite. Une plus faible teneur en alumine ainsi que la présenced'éléments fondants (alcalins et alcalino-terreux) en font des minéraux nonréfractaires. Les propriétés des smectites varient en fonction de la nature des cationsinterfoliaires. Comme ces cations sont échangeables, certaines propriétés dessmectites peuvent être obtenues par un traitement approprié : échange de Ca ** parNa*, greffage de cations organiques. Le terme de bentonite est un termecommercial qui désigne les argiles absorbantes et liantes du groupe dessmectites.

' Une argile réfractaire est une argile qui résiste à de très hautes températures.

^ Matériau utilisé pour limiter les déformations et les fissures de retrait constatées lors du séchage et lacuisson d'une argile plastique.



2. Les argiles : généralités et utilisations

2.1. GENERALITES

Pour mériter le nom d'argile, une roche doit présenter plus de 50% de minérauxargileux, silicates d'alumine hydratés qui constituent des feuillets, et dont la taille desgrains minéraux est inférieure à 2 \im.

Outre les minéraux argileux, l'argile pourra contenir des carbonates (calcite, dolomie),des silicates (quartz, feldspaths, micas), plus rarement des sulfates, de la matièreorganique ou des oxydes de fer.

Les propriétés physiques (plasticité, absorption, etc..) et géochimiques (échangescationiques etc.) d'une argile sont conditionnées par la chimie et la minéralogie desminéraux argileux qui la constituent mais aussi par les autres constituants dont laconcentration pourra être pénalisante suivant les utilisations.

On peut distinguer quatre familles principales de minéraux argileux, ce sont:

- les kaolinites, dont la réfractarité^ est due à une teneur élevée en alumine(39,5% AI2O3 dans la composition chimique théorique).

Les kaolins et les argiles kaoliniques souvent dites argiles nobles sont prioritairementdestinés aux usages céramiques et réfractaires sous forme brute ou le plus souventaprès une première transformation : les chamottes sont des argiles kaoliniquescalcinées et concassées mises en 'uvre comme dégraissant^ dans les pâtescéramiques

- les smectites sont caractérisées par leur capacité d'échange cationique (Ca-i-,Na+, K-h) élevée et leur possibilité d'hydratation qui leur valent le nom d'argilesgonflantes. Minéralogiquement on peut distinguer, la montmorillonite, la beidellite,l'hectorite et la saponite. Une plus faible teneur en alumine ainsi que la présenced'éléments fondants (alcalins et alcalino-terreux) en font des minéraux nonréfractaires. Les propriétés des smectites varient en fonction de la nature des cationsinterfoliaires. Comme ces cations sont échangeables, certaines propriétés dessmectites peuvent être obtenues par un traitement approprié : échange de Ca ** parNa*, greffage de cations organiques. Le terme de bentonite est un termecommercial qui désigne les argiles absorbantes et liantes du groupe dessmectites.

' Une argile réfractaire est une argile qui résiste à de très hautes températures.

^ Matériau utilisé pour limiter les déformations et les fissures de retrait constatées lors du séchage et lacuisson d'une argile plastique.



- les ¡Mites, surtout caractérisées par la présence de potassium, présentent unestructure voisine des smectites, mais les propriétés d'échange, d'hydratation et degonflement sont faibles (cations faiblement échangeables).

- les paligorskites sont parfois regroupées sous le terme d'hormites etcomprennent également, attapuigites et sépiolites, elles se caractérisentchimiquement par la présence de magnésium pouvant être partiellement remplacé parAl et Fe et minéralogiquement par leur forme fibreuse. Elles présentent une fortecapacité d'absorption.

Outre ces minéraux, il existe des argiles interstratifiées constituées de particules oùalternent des feuillets de nature différente.

2.2. ECONOMIE ET SECTEURS D'UTILISATIONS

En raison de leurs diversités, les argiles vont être mises en auvre dans des domainestrès différents qui sont principalement les suivants :

- terres cuites : briques, tuiles et poteries fabriquées à partir d'argiles qui, pour porterle nom d'argiles communes, devront néanmoins être suffisamment plastiques(grasses), mais contenir en proportion suffisante des éléments inertes (dégraissants),comme le quartz pour permettre un façonnage correct et faciliter le dégazage au coursde la cuisson. Les argiles utilisées seront donc en général des argiles mixtes danslesquels plusieurs minéraux argileux seront associés, en général illites, kaolinites etmontmorillonites.

- céramiques et réfractaires, pour les argiles les plus alumineuses depuis les argileskaoliniques jusqu'aux kaolins. Les domaines d'utilisation sont vastes : produitsréfractaires, céramiques sanitaires, carreaux de revêtement (murs ou sol), vaisselle(« arts de la table »).

- granulés absorbants pour les paligorskites (litières pour chats, absorbants pour solsindustriels). Ces argiles sont préférées aux bentonites pour l'absorption des liquidescar, à la différence de celles-ci, elles conservent une bonne résistance mécanique àsaturation en ne se délitant pas après absorption.

- moules de fonderie et bouletage du minerai de fer pour les bentonites en raisonde leur pouvoir liant et de leurs propriétés rhéologiques. Le pouvoir liant des bentonitesest lié à leur surface spécifique élevée qui permet d'enrober de petites particules avecune faible quantité d'argile et, en présence d'eau, de lier l'ensemble en une masserigide.

L'importance respective des principaux secteurs d'utilisation en France peut êtreappréhendée à partir de la consommation apparente des matières premières. Pour uneconsommation apparente totale française d'argile et de kaolin estimée en 1996 à7 709 000 t, la répartition entre les différentes ressources (Figure 1) montre, en



- les ¡Mites, surtout caractérisées par la présence de potassium, présentent unestructure voisine des smectites, mais les propriétés d'échange, d'hydratation et degonflement sont faibles (cations faiblement échangeables).

- les paligorskites sont parfois regroupées sous le terme d'hormites etcomprennent également, attapuigites et sépiolites, elles se caractérisentchimiquement par la présence de magnésium pouvant être partiellement remplacé parAl et Fe et minéralogiquement par leur forme fibreuse. Elles présentent une fortecapacité d'absorption.

Outre ces minéraux, il existe des argiles interstratifiées constituées de particules oùalternent des feuillets de nature différente.

2.2. ECONOMIE ET SECTEURS D'UTILISATIONS

En raison de leurs diversités, les argiles vont être mises en auvre dans des domainestrès différents qui sont principalement les suivants :

- terres cuites : briques, tuiles et poteries fabriquées à partir d'argiles qui, pour porterle nom d'argiles communes, devront néanmoins être suffisamment plastiques(grasses), mais contenir en proportion suffisante des éléments inertes (dégraissants),comme le quartz pour permettre un façonnage correct et faciliter le dégazage au coursde la cuisson. Les argiles utilisées seront donc en général des argiles mixtes danslesquels plusieurs minéraux argileux seront associés, en général illites, kaolinites etmontmorillonites.

- céramiques et réfractaires, pour les argiles les plus alumineuses depuis les argileskaoliniques jusqu'aux kaolins. Les domaines d'utilisation sont vastes : produitsréfractaires, céramiques sanitaires, carreaux de revêtement (murs ou sol), vaisselle(« arts de la table »).

- granulés absorbants pour les paligorskites (litières pour chats, absorbants pour solsindustriels). Ces argiles sont préférées aux bentonites pour l'absorption des liquidescar, à la différence de celles-ci, elles conservent une bonne résistance mécanique àsaturation en ne se délitant pas après absorption.

- moules de fonderie et bouletage du minerai de fer pour les bentonites en raisonde leur pouvoir liant et de leurs propriétés rhéologiques. Le pouvoir liant des bentonitesest lié à leur surface spécifique élevée qui permet d'enrober de petites particules avecune faible quantité d'argile et, en présence d'eau, de lier l'ensemble en une masserigide.

L'importance respective des principaux secteurs d'utilisation en France peut êtreappréhendée à partir de la consommation apparente des matières premières. Pour uneconsommation apparente totale française d'argile et de kaolin estimée en 1996 à7 709 000 t, la répartition entre les différentes ressources (Figure 1) montre, en


Argües de la Guadeloupe

volume l'importance du domaine des terres cuites relevant majoritairement du secteurde la construction.

Argiles communespour terres cuites, 76 %

Argileskaoliniques, 13%

Kaolin, 6%Attapulgites

3%Bentonites, 2 %

Figure 1 : Consommation apparente française d'argiles et de kaolin en tonnage (données 1996)

Cependant, la répartition en valeur de cette consommation montre que, compte tenude leur prix unitaire élevé, les argiles de spécialité (argiles kaoliniques, attapulgites,,bentonites), ont une importance économique prépondérante. Pour un chiffre d'affairestotal de l'ordre de 8,9 M € , les argiles de spécialité qui ne représentent que 28 % desvolumes « pèsent » pour 53 % du chiffre d'affaires de la branche d'activité, voire 92 %si on y rajoute le kaolin. Cette présentation sommaire montre d'emblée l'existenced'une dichotomie entre des ressources au faible coût unitaire qui relèveront d'un usagelocal et des ressources au coût unitaire plus élevé qui pourront concerner un marchéplus vaste dans la mesure où les coûts de transport impacteront moins les prix derevient finaux. La distinction est d'importance puisqu'elle conditionne la viabilitééconomique de tout projet et devra donc être prise en compte dès les stades d'intérêtinitiaux pour la ressource.

Argilesc o m m u n e spour terrescuites, 8 %

Kaolin. 3 9 %

Argileskaoliniques,

24%

Bentonites,

Attapulgites, 11 %18%

Figure 2 : Consommation apparente française d'argiles et de kaolin en valeur (données 1996)

B R G M / R P - 5 4 9 1 7 - F R - Rapport final


Les usages locaux vont concerner prioritairement les argiles pour terre cuitedestinées au secteur du bâtiment (briques) ou à celui de l'équipement ménager(poterie), aussi bien pour un niveau d'activité artisanal que semi-industriel, si le marchéle permet.

Parmi les autres usages locaux, il convient également de mentionner les argilesdestinées à jouer le rôle de barrière passive dans les Centres d'EnfouissementTechnique, soit en couche rapportée ou pour héberger un de ces centres. Amentionner également les briques argile-ciment.

Les usages supra-régionaux concerneront les argiles de spécialité pour des marchésplus ou moins proches dans des domaines souvent très concurrentiels. Dans cesdomaines, l'émergence d'une nouvelle source d'approvisionnement devra êtrecompatible à la fois avec le degré de concentration de la filière et la performancecomparée de cette ressource avec les ressources concurrentes.

Dans les deux cas, on le voit, tout développement d'activité devra reposer, après lacaractérisation et l'évaluation des réserves, sur une étude de marché qui permettra devalider les perspectives d'activité et si possible les chiffrer, compte tenu descaractéristiques des produits fabriqués.

2.3. GITOLOGIE ET RECHERCHE DE GISEMENTS

Les minéraux argileux sont le plus souvent formés aux dépens des roches de la croûteterrestre, au cours de processus d'altération chimique complexes, soit :

- en liaison avec les eaux météoriques, en milieu continental, (phénomènespédogénétiques),

- en liaison avec des circulations hydrothermales (c'est par exemple le cas pourles argiles exploitées par la briqueterie des trois ilets en Martinique).

La nature des minéraux formés varie en fonction de la nature de la roche mère, duclimat, mais aussi des conditions de drainage (les smectites sont par exemplecaractéristiques des milieux confinés). Les minéraux argileux peuvent aussi êtreformés par précipitation chimique en milieu marin ou lagunaire (illite).

Deux grands types de gisements d'argiles pourront être rencontrés suivant que l'argilereste sur place (gîte résiduel) ou est transportée en milieu aquatique (gîtesédimentaire), que ce dernier soit continental (fluviatile, lagunaire) ou marin.

Alors que les gisements résiduels ont souvent une morphologie irrégulière, lesgisements sédimentaires, sont en général plus réguliers et étendus en raison d'unehomogénéisation et d'un classement au cours du transport. Ils présentent cependantdes variations, latérales ou verticales liées aux rythmes climatiques en contexteepicontinental, voire aux processus sédimentaires.

10 BRGM/RP-5491 7-FR -Rapport final


Les usages locaux vont concerner prioritairement les argiles pour terre cuitedestinées au secteur du bâtiment (briques) ou à celui de l'équipement ménager(poterie), aussi bien pour un niveau d'activité artisanal que semi-industriel, si le marchéle permet.

Parmi les autres usages locaux, il convient également de mentionner les argilesdestinées à jouer le rôle de barrière passive dans les Centres d'EnfouissementTechnique, soit en couche rapportée ou pour héberger un de ces centres. Amentionner également les briques argile-ciment.

Les usages supra-régionaux concerneront les argiles de spécialité pour des marchésplus ou moins proches dans des domaines souvent très concurrentiels. Dans cesdomaines, l'émergence d'une nouvelle source d'approvisionnement devra êtrecompatible à la fois avec le degré de concentration de la filière et la performancecomparée de cette ressource avec les ressources concurrentes.

Dans les deux cas, on le voit, tout développement d'activité devra reposer, après lacaractérisation et l'évaluation des réserves, sur une étude de marché qui permettra devalider les perspectives d'activité et si possible les chiffrer, compte tenu descaractéristiques des produits fabriqués.

2.3. GITOLOGIE ET RECHERCHE DE GISEMENTS

Les minéraux argileux sont le plus souvent formés aux dépens des roches de la croûteterrestre, au cours de processus d'altération chimique complexes, soit :

- en liaison avec les eaux météoriques, en milieu continental, (phénomènespédogénétiques),

- en liaison avec des circulations hydrothermales (c'est par exemple le cas pourles argiles exploitées par la briqueterie des trois ilets en Martinique).

La nature des minéraux formés varie en fonction de la nature de la roche mère, duclimat, mais aussi des conditions de drainage (les smectites sont par exemplecaractéristiques des milieux confinés). Les minéraux argileux peuvent aussi êtreformés par précipitation chimique en milieu marin ou lagunaire (illite).

Deux grands types de gisements d'argiles pourront être rencontrés suivant que l'argilereste sur place (gîte résiduel) ou est transportée en milieu aquatique (gîtesédimentaire), que ce dernier soit continental (fluviatile, lagunaire) ou marin.

Alors que les gisements résiduels ont souvent une morphologie irrégulière, lesgisements sédimentaires, sont en général plus réguliers et étendus en raison d'unehomogénéisation et d'un classement au cours du transport. Ils présentent cependantdes variations, latérales ou verticales liées aux rythmes climatiques en contexteepicontinental, voire aux processus sédimentaires.

10 BRGM/RP-5491 7-FR -Rapport final


Pour être exhaustif, il faut également citer les gisements secondaires constitués par lesboues de lavage de carrières ou de mines, voire les boues résiduaires qui peuventreprésenter une ressource dont la qualité devra cependant être strictement contrôléeen raison des éléments traces contenus.

Les méthodes de prospection et la caractérisation des gisements de matériaux argileuxpeut-être résumée de la façon suivante (Berton et Le Berre, 1983) :

1- Phases d'identification et d'orientation :

- Prélèvements d'échantillons sur les affleurements (tarière à main) ;

- Analyses et tests :

sur tous les échantillons

- granulométrie : teneur en éléments > 40 \im (l'absence de refussur le tamis à 40 nm traduit une forte teneur en kaolinite)

- calcimétrie ;

- analyse minéralogique (diffractométrie de rayons X), voirevaleur au bleu pour une première orientation

sur quelques échantillons sélectionnés (pour valider les usagescéramiques)

- tests de cuisson sommaires à 1000, 1100 , 1200 et 1300 " C.sur pâte normale : définition de la perte au feu, de la coloration, del'absorption d'eau et du retrait

2- Phases d'évaluation de gisement :

- analyses et tests sur quelques échantillons sélectionnés :

- analyse chimique des éléments majeurs,

- essais industriels pour les céramiques : plasticité, coulabilité,retrait, cuissons à différentes températures, résistance mécanique,résistance pyroscopique. Ces essais se font en général en liaison avecles branches professionnelles concernées.

Pour être exploitable, la ressource considérée devra répondre à une double contrainte,en aval, disposer d'un marché et en amont, l'accès à la ressource devra êtrecompatible avec les réglementations en vigueur. Celles-ci relèvent du régime des

BRGM/RP-5491 7-FR - Rapport final 1 1


Pour être exhaustif, il faut également citer les gisements secondaires constitués par lesboues de lavage de carrières ou de mines, voire les boues résiduaires qui peuventreprésenter une ressource dont la qualité devra cependant être strictement contrôléeen raison des éléments traces contenus.

Les méthodes de prospection et la caractérisation des gisements de matériaux argileuxpeut-être résumée de la façon suivante (Berton et Le Berre, 1983) :

1- Phases d'identification et d'orientation :

- Prélèvements d'échantillons sur les affleurements (tarière à main) ;

- Analyses et tests :

sur tous les échantillons

- granulométrie : teneur en éléments > 40 \im (l'absence de refussur le tamis à 40 nm traduit une forte teneur en kaolinite)

- calcimétrie ;

- analyse minéralogique (diffractométrie de rayons X), voirevaleur au bleu pour une première orientation

sur quelques échantillons sélectionnés (pour valider les usagescéramiques)

- tests de cuisson sommaires à 1000, 1100 , 1200 et 1300 " C.sur pâte normale : définition de la perte au feu, de la coloration, del'absorption d'eau et du retrait

2- Phases d'évaluation de gisement :

- analyses et tests sur quelques échantillons sélectionnés :

- analyse chimique des éléments majeurs,

- essais industriels pour les céramiques : plasticité, coulabilité,retrait, cuissons à différentes températures, résistance mécanique,résistance pyroscopique. Ces essais se font en général en liaison avecles branches professionnelles concernées.

Pour être exploitable, la ressource considérée devra répondre à une double contrainte,en aval, disposer d'un marché et en amont, l'accès à la ressource devra êtrecompatible avec les réglementations en vigueur. Celles-ci relèvent du régime des

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carrières, de l'urbanisme, des SDAGE ou plus largement de la protection del'environnement.

On voit que le caractère exploitable d'une ressource évolue dans le temps en fonctionde paramètres techniques, économiques et réglementaires.

1 2 BRGM/RP-549 1 7-FR - Rapport final


carrières, de l'urbanisme, des SDAGE ou plus largement de la protection del'environnement.

On voit que le caractère exploitable d'une ressource évolue dans le temps en fonctionde paramètres techniques, économiques et réglementaires.

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3. Aperçu géologique de la Guadeloupe

La Guadeloupe est constituée de deux îles principales, la Grande-Terre et la Basse-Terre et d'îles moins étendues appelées « dépendances « : Marie-Galante, laDésirade, Petite-Terre, les Saintes, Saint-Martin et Saint-Barthélémy.

La partie orientale de la Guadeloupe, la Grande-Terre, l'île de Marie-Galante et Petite-Terre (Figure 3) sont principalement composées de calcaires récifaux plio-pléistocènes(Andreieff étal., 1987 ; Garrabé étal., 1988 ; Bouysse et ai, 1993). En Grande Terre,la série atteint une épaisseur de plus de 120 m .

Les trois îles forment des plateaux calcaires, soulevés de plusieurs dizaines oucentaines de mètres au dessus du niveau de la mer. A cause de l'érosion liée àl'environnement tropical, les plateaux sont disséqués par un réseau de vallées etparsemé par de nombreuses dolines karstiques, bien développées dans les GrandsFonds (Grande-Terre) ou Morne Piton et Morne Constant à Marie-Galante.

Basse-Terre

\

Pia

J

Mère y

Les Saintes

Sis

Fonds

Grande-Terre

^ ^

La Désirade

Petite-Terre

Marie-Galante

Figure 3 : Archipel Guadeloupe (Modèle Numérique de Terrain SRTM- cf Chap 5)

BRGM/RP-54917-FR - Rapport final 13


Morphologiquement plane dans son ensemble, la Grande-Terre est constituée deplusieurs plateaux calcaires, plus ou moins entaillés par l'érosion. Les déformationsquaternaires ont engendré un découpage des plateaux carbonates en plusieurs blocsbasculés provoquant un ennoyage de la côte ouest avec formation d'une vaste plainealluviale occupée en grande partie par la mangrove à palétuviers. A l'Est, la côte estconstituée par de hautes falaises calcaires. Au Nord de Morne à l'Eau, la plainealluviale côtière est prolongée vers l'intérieur par une importante dépression orientéeNW-SE, la plaine de Grippon longue de 5 km, large de 1.5 km, présentant unemorphologie typique de graben, effondré entre les plateaux du Nord et la zone deGrands Fonds.

L'île de Basse-Terre résulte de l'activité de 7 complexes éruptifs principaux dont le plusancien a débuté il y a 3 Ma (Samper ef al. 2004). Chaque complexe contient plusieurscentres éruptifs distincts qui forment une chaîne volcanique de 55km de long et 25 delarge et de direction NNW, culminant à 1467 m au dôme de la Soufrière. Ce dômeformé au cours de la dernière éruption magmatique date de 1440.

La moitié méridionale et le quart NW de l'île, au relief vigoureux, doivent leurmorphologie actuelle à plusieurs épisodes volcaniques qui se sont succédés duPliocène au Quaternaire récent. Au cours de ces phases d'activité volcanique, depuissantes séries de roches de nature dacitique, andésitique ou basaltique, sous formede coulées et dômes de lave massive, brèches variées, nuées ardentes, pyroclastites(cendres et lapillis) se sont mises en place.

La partie nord-orientale de la Basse-Terre est une vaste plaine, légèrement vallonnéequi descend en pente douce vers la mer et est constituée par des formations volcano-sédimentaires (tuffites, conglomérats) profondément altérés, argilisés. La zone côtièreest fréquemment envahie par la mangrove à palétuviers.

Une dissymétrie marquée, liée à des conditions climatiques très différentes existe entrele versant occidental et le versant oriental de l'île. Le versant occidental, « sous levent », présente des pentes abruptes et sèches constituées par des rochesvolcaniques partout affleurantes et peu altérées. Le versant oriental « au vent »,exposé continuellement aux alizés et très arrosé a été, et est encore soumis à uneintense érosion mécanique et à une altération chimique poussée aboutissant à latransformation complète des roches originelles en produits argileux. En outre, sousl'action des agents climatiques, une couverture d'argiles résiduelles s'est développéeen surface, masquant le substratum altéré. Ces argiles de teinte rouge dominante,parfois ocre ou jaunâtres, peuvent atteindre plus de 10 mètres d'épaisseur.

D'après la carte pédologique de la Guadeloupe (Colmet-Daage, 1981), les types desols qui ont été distingués pour la cartographie sont nombreux, mais peuvent êtreregroupés en quelques ensembles principaux :

14 BRGM/RP-54917-FR- Rapport final


Morphologiquement plane dans son ensemble, la Grande-Terre est constituée deplusieurs plateaux calcaires, plus ou moins entaillés par l'érosion. Les déformationsquaternaires ont engendré un découpage des plateaux carbonates en plusieurs blocsbasculés provoquant un ennoyage de la côte ouest avec formation d'une vaste plainealluviale occupée en grande partie par la mangrove à palétuviers. A l'Est, la côte estconstituée par de hautes falaises calcaires. Au Nord de Morne à l'Eau, la plainealluviale côtière est prolongée vers l'intérieur par une importante dépression orientéeNW-SE, la plaine de Grippon longue de 5 km, large de 1.5 km, présentant unemorphologie typique de graben, effondré entre les plateaux du Nord et la zone deGrands Fonds.

L'île de Basse-Terre résulte de l'activité de 7 complexes éruptifs principaux dont le plusancien a débuté il y a 3 Ma (Samper ef al. 2004). Chaque complexe contient plusieurscentres éruptifs distincts qui forment une chaîne volcanique de 55km de long et 25 delarge et de direction NNW, culminant à 1467 m au dôme de la Soufrière. Ce dômeformé au cours de la dernière éruption magmatique date de 1440.

La moitié méridionale et le quart NW de l'île, au relief vigoureux, doivent leurmorphologie actuelle à plusieurs épisodes volcaniques qui se sont succédés duPliocène au Quaternaire récent. Au cours de ces phases d'activité volcanique, depuissantes séries de roches de nature dacitique, andésitique ou basaltique, sous formede coulées et dômes de lave massive, brèches variées, nuées ardentes, pyroclastites(cendres et lapillis) se sont mises en place.

La partie nord-orientale de la Basse-Terre est une vaste plaine, légèrement vallonnéequi descend en pente douce vers la mer et est constituée par des formations volcano-sédimentaires (tuffites, conglomérats) profondément altérés, argilisés. La zone côtièreest fréquemment envahie par la mangrove à palétuviers.

Une dissymétrie marquée, liée à des conditions climatiques très différentes existe entrele versant occidental et le versant oriental de l'île. Le versant occidental, « sous levent », présente des pentes abruptes et sèches constituées par des rochesvolcaniques partout affleurantes et peu altérées. Le versant oriental « au vent »,exposé continuellement aux alizés et très arrosé a été, et est encore soumis à uneintense érosion mécanique et à une altération chimique poussée aboutissant à latransformation complète des roches originelles en produits argileux. En outre, sousl'action des agents climatiques, une couverture d'argiles résiduelles s'est développéeen surface, masquant le substratum altéré. Ces argiles de teinte rouge dominante,parfois ocre ou jaunâtres, peuvent atteindre plus de 10 mètres d'épaisseur.

D'après la carte pédologique de la Guadeloupe (Colmet-Daage, 1981), les types desols qui ont été distingués pour la cartographie sont nombreux, mais peuvent êtreregroupés en quelques ensembles principaux :



- sur roches dures et formations volcaniques anciennes, on rencontre les solsferralitiques friables (oxisols), les sols ferralitiques compacts, les sols vertiquesen régions sèches ;

- sur formations cendreuses perméables récentes, on trouve des sols encorerelativement jeunes sur cendres (mollisols), des sols argileux brun-rouille àhalloysite, dont le degré d'argilisation et d'évolution est variable et des sols àallophanes en régions humides, avec parfois la présence d'alumineindividualisée en gibbsite.

- Sur les calcaires coralliens, on rencontre les vertisols dans les parties bassesou concaves, et sur les collines, les sols rendziniformes plus ou moins vertiquesen profondeur, souvent caillouteux ;

- Les alluvions qui présentent des parentés avec les sols dont elles dérivent.

La classification adoptée s'efforce de tenir compte le plus possible à la fois du typed'altération argileuse et de l'évolution de la fraction argileuse dans le profil.

BRGM/RP-5491 7-FR -Rapport final 15


- sur roches dures et formations volcaniques anciennes, on rencontre les solsferralitiques friables (oxisols), les sols ferralitiques compacts, les sols vertiquesen régions sèches ;

- sur formations cendreuses perméables récentes, on trouve des sols encorerelativement jeunes sur cendres (mollisols), des sols argileux brun-rouille àhalloysite, dont le degré d'argilisation et d'évolution est variable et des sols àallophanes en régions humides, avec parfois la présence d'alumineindividualisée en gibbsite.

- Sur les calcaires coralliens, on rencontre les vertisols dans les parties bassesou concaves, et sur les collines, les sols rendziniformes plus ou moins vertiquesen profondeur, souvent caillouteux ;

- Les alluvions qui présentent des parentés avec les sols dont elles dérivent.

La classification adoptée s'efforce de tenir compte le plus possible à la fois du typed'altération argileuse et de l'évolution de la fraction argileuse dans le profil.


I


4. Ressources argileuses de la Guadeloupe etusages possibles

Au stade actuel, pour les différents domaines d'utilisation, les reconnaissances enGuadeloupe n'ont concerné que les phases préliminaires, aussi bien pour l'évaluationdes gisements que pour la mise au point de produits commercialisables.

Les études d'orientation menées fournissent néanmoins une base pour toutdéveloppement ultérieur qui ne pourra être envisagé sans études complémentaires.

Dans le cadre de l'inventaire réalisé en 1976 (C. Javey, G. Baudet) 114 sondages ontété réalisés à la tarière à main en Basse-Terre et Grande-Terre (Annexe 1). Sur les112 échantillons collectés, 57 échantillons d'argiles ont fait l'objet de tests dequalification pour des usages céramiques et terres cuites ainsi que pour des usages deliant (argiles bentonitiques ou colloïdales). Cinq analyses chimiques ont été réalisées(4 sur Basse-Terre, une sur Grande-Terre).

Pour plus de clarté et dans un esprit pratique, nous avons choisi de présenter d'abordles deux grandes unités argileuses individualisées, ainsi que les usages envisagéshistoriquement ; pour terminer par le potentiel de développement concernant lesusages possibles à ce jour, y compris, lorsqu'ils sont nouveaux.

Ce type de présentation peut entraîner quelques répétitions, mais il a l'avantage defaciliter l'orientation de l'utilisateur en fonction de ses impératifs de recherche.

Les argiles rencontrées en Guadeloupe sont des argiles résiduelles localementcolluvionnées dont la composition reflétera la nature du substratum.

Les formations superficielles argileuses rencontrées en Basse-Terre et Grande-Terrepeuvent être classées en deux grands ensembles (d'après Javey et Baudet, 1976) :

Sur Basse-Terre et l'extrémité occidentale de Grande-Terre :

des argiles communes riches en métahalloysite, peu àmoyennement plastiques.

Sur Grande-Terre :

des argiles plastiques smectitiques.


I


4. Ressources argileuses de la Guadeloupe etusages possibles

Au stade actuel, pour les différents domaines d'utilisation, les reconnaissances enGuadeloupe n'ont concerné que les phases préliminaires, aussi bien pour l'évaluationdes gisements que pour la mise au point de produits commercialisables.

Les études d'orientation menées fournissent néanmoins une base pour toutdéveloppement ultérieur qui ne pourra être envisagé sans études complémentaires.

Dans le cadre de l'inventaire réalisé en 1976 (C. Javey, G. Baudet) 114 sondages ontété réalisés à la tarière à main en Basse-Terre et Grande-Terre (Annexe 1). Sur les112 échantillons collectés, 57 échantillons d'argiles ont fait l'objet de tests dequalification pour des usages céramiques et terres cuites ainsi que pour des usages deliant (argiles bentonitiques ou colloïdales). Cinq analyses chimiques ont été réalisées(4 sur Basse-Terre, une sur Grande-Terre).

Pour plus de clarté et dans un esprit pratique, nous avons choisi de présenter d'abordles deux grandes unités argileuses individualisées, ainsi que les usages envisagéshistoriquement ; pour terminer par le potentiel de développement concernant lesusages possibles à ce jour, y compris, lorsqu'ils sont nouveaux.

Ce type de présentation peut entraîner quelques répétitions, mais il a l'avantage defaciliter l'orientation de l'utilisateur en fonction de ses impératifs de recherche.

Les argiles rencontrées en Guadeloupe sont des argiles résiduelles localementcolluvionnées dont la composition reflétera la nature du substratum.

Les formations superficielles argileuses rencontrées en Basse-Terre et Grande-Terrepeuvent être classées en deux grands ensembles (d'après Javey et Baudet, 1976) :

Sur Basse-Terre et l'extrémité occidentale de Grande-Terre :

des argiles communes riches en métahalloysite, peu àmoyennement plastiques.

Sur Grande-Terre :

des argiles plastiques smectitiques.



4.1. ARGILES DE BASSE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES

Les argiles, issues de l'altération de roches volcaniques se caractérisent par uneplasticité variable, en général faible à moyenne et un faible contenu en smectites. Lesétudes minéralogiques d'orientation effectuées sur plusieurs gîtes (Javey C, BaudetG., 1976) montrent qu'elles sont essentiellement constituées de méta-halloysite (kaolindéshydraté à feuillets empilés en désordre), assez pauvres en smectites(montmorillonite) et renferment un peu de quartz et/ou de cristobalite de granularitéfine ainsi que des oxydes de fer (hématite, goethite).

L'épaisseur de ces argiles, généralement supérieure à 4m peut atteindre localement 10à 15m, sauf dans le sud de Basse Terre où elle dépasse rarement 4m.

Les argiles de Basse-Terre présentent une fraction grossière (> 20 pm) variant de20,07 % (GBT 105) à 49,24 % (GBT 62).

Les analyses chimiques présentées dans le tableau 1 (Baudet, 1976) montrent desteneurs en silice variant de 40 % (GBT 88 ) à 54 % (GBT 105), des teneurs en AI2O3

variant de 23 % (GBT 105) à 33 % (GBT 88) et des teneurs en FezOa s'échelonnantentre 3,2 % (GBT 62) et 9,4 % (GBT 96) et des teneurs en oxyde de titane variant de0,73 % à 1 ,70 %.

N°sondage

GT52

GBT 62

GBT 88

GBT 96

GBT105

Lieu dit

David(Gosier)

Palétuviers(Trois

Rivières)

Trioncelle(Baie

Mahault)

Levens(MorneRouge)

Duzer(Ste Rose)

SÍO2%

46,4

46,4

40,3

42,1

54

AI2O3%

31,5

31,75

33,15

30,2

23,6

Fe203%

4,75

3,2

7,3

9,4

8,8

TÍO2%

1,81

1,03

1,7

1,17

0,73

H2O%

12,65

14,85

14,35

13,5

10

Perte au feu(1000°)

14,30

16

16,25

n.d.

11,6

Tableau 1: analyses chimiques de quelques argiles de la Guadeloupe (Baudet, 1976)

18 BRGM/RP-5491 7-FR - Rapport final


4.1. ARGILES DE BASSE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES

Les argiles, issues de l'altération de roches volcaniques se caractérisent par uneplasticité variable, en général faible à moyenne et un faible contenu en smectites. Lesétudes minéralogiques d'orientation effectuées sur plusieurs gîtes (Javey C, BaudetG., 1976) montrent qu'elles sont essentiellement constituées de méta-halloysite (kaolindéshydraté à feuillets empilés en désordre), assez pauvres en smectites(montmorillonite) et renferment un peu de quartz et/ou de cristobalite de granularitéfine ainsi que des oxydes de fer (hématite, goethite).

L'épaisseur de ces argiles, généralement supérieure à 4m peut atteindre localement 10à 15m, sauf dans le sud de Basse Terre où elle dépasse rarement 4m.

Les argiles de Basse-Terre présentent une fraction grossière (> 20 pm) variant de20,07 % (GBT 105) à 49,24 % (GBT 62).

Les analyses chimiques présentées dans le tableau 1 (Baudet, 1976) montrent desteneurs en silice variant de 40 % (GBT 88 ) à 54 % (GBT 105), des teneurs en AI2O3

variant de 23 % (GBT 105) à 33 % (GBT 88) et des teneurs en FezOa s'échelonnantentre 3,2 % (GBT 62) et 9,4 % (GBT 96) et des teneurs en oxyde de titane variant de0,73 % à 1 ,70 %.

N°sondage

GT52

GBT 62

GBT 88

GBT 96

GBT105

Lieu dit

David(Gosier)

Palétuviers(Trois

Rivières)

Trioncelle(Baie

Mahault)

Levens(MorneRouge)

Duzer(Ste Rose)

SÍO2%

46,4

46,4

40,3

42,1

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AI2O3%

31,5

31,75

33,15

30,2

23,6

Fe203%

4,75

3,2

7,3

9,4

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TÍO2%

1,81

1,03

1,7

1,17

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H2O%

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Perte au feu(1000°)

14,30

16

16,25

n.d.

11,6

Tableau 1: analyses chimiques de quelques argiles de la Guadeloupe (Baudet, 1976)



Les caractéristiques minéralogiques et chimiques permettent de qualifier ces argilesd'argiles communes. La mise en euvre de ces argiles, pour les usages céramiquesS.L, supposera la mise au point de mélanges en préalable à tout développementd'activité. Dans ce domaine, les études historiques n'ont fourni que des élémentsd'orientation.

A titre de comparaison nous présentons ci-après les caractéristiques des « argilesnobles pour céramiques », (P. Rocher 1992) :

- abondance de la fraction argileuse (< 2|im) dans la roche totale ( > 90 %) ;

- pureté minéralogique de cette fraction : prédominance de la kaolinite ;

- granulométrie : finesse exceptionnelle

- haute teneur en alumine sur cuit (entre 35 et 40 %)

- faible teneur en fer et titane, Fe203 inférieur à 1 ,8 %, TÍO2 inférieur à 1 ,8 %

- faible teneur en alcalins et alcalino-terreux

- coloration blanc crème à la cuisson.

- caractéristiques rhéologiques permettant tous les procédés de fabrication parcoulage.

Malgré toutes ces résen/es, les essais d'orientation réalisés avant 1990 ont conduit lesétudes de valorisation vers la fabrication de produits de terre cuite au sens large ou lafabrication de briques argile-ciment.

4.1.1. Produits de terre cuite s.l. :

Ces produits de terre cuite, compte tenu des teneurs en fer, assez élevées, des argilesde la Guadeloupe (entre 3 et 9 %) vont donner des produits cuits aux teintes rougestrès prononcées. Aucune argile cuisant blanc ou très clair n'a été rencontrée.

Les caractères généraux des produits cuits obtenus sont les suivants :

- Couleur rouge à brun après cuisson

- Diminution brutale de la porosité entre 1050 et 1 100 ° C, la plupart des argilesgrèsent entre 1 1 00 ° C et 1 1 50 ° C. Ce comportement lors de la cuisson a pourorigine les fortes teneurs en fondants ferrugineux, accompagné de MgO-i- CaO(souvent < 1 %), avec très peu d'alcalins.



Les caractéristiques minéralogiques et chimiques permettent de qualifier ces argilesd'argiles communes. La mise en euvre de ces argiles, pour les usages céramiquesS.L, supposera la mise au point de mélanges en préalable à tout développementd'activité. Dans ce domaine, les études historiques n'ont fourni que des élémentsd'orientation.

A titre de comparaison nous présentons ci-après les caractéristiques des « argilesnobles pour céramiques », (P. Rocher 1992) :

- abondance de la fraction argileuse (< 2|im) dans la roche totale ( > 90 %) ;

- pureté minéralogique de cette fraction : prédominance de la kaolinite ;

- granulométrie : finesse exceptionnelle

- haute teneur en alumine sur cuit (entre 35 et 40 %)

- faible teneur en fer et titane, Fe203 inférieur à 1 ,8 %, TÍO2 inférieur à 1 ,8 %

- faible teneur en alcalins et alcalino-terreux

- coloration blanc crème à la cuisson.

- caractéristiques rhéologiques permettant tous les procédés de fabrication parcoulage.

Malgré toutes ces résen/es, les essais d'orientation réalisés avant 1990 ont conduit lesétudes de valorisation vers la fabrication de produits de terre cuite au sens large ou lafabrication de briques argile-ciment.

4.1.1. Produits de terre cuite s.l. :

Ces produits de terre cuite, compte tenu des teneurs en fer, assez élevées, des argilesde la Guadeloupe (entre 3 et 9 %) vont donner des produits cuits aux teintes rougestrès prononcées. Aucune argile cuisant blanc ou très clair n'a été rencontrée.

Les caractères généraux des produits cuits obtenus sont les suivants :

- Couleur rouge à brun après cuisson

- Diminution brutale de la porosité entre 1050 et 1 100 ° C, la plupart des argilesgrèsent entre 1 1 00 ° C et 1 1 50 ° C. Ce comportement lors de la cuisson a pourorigine les fortes teneurs en fondants ferrugineux, accompagné de MgO-i- CaO(souvent < 1 %), avec très peu d'alcalins.



- Existence de deux paliers de cuisson entre 950 et 1000° C et entre 1100° et1200 °C.

- La présence de méta-halloysite en abondance accompagnée parfois deproportions notables de montmorillonite (jusqu'à 20 % dans l'échantillon GBT106), jointe à la proportion insuffisante ou à la granularité trop fine desdégraissants naturels, entraîne :

o De fortes proportions d'eau de façonnage et d'eau colloïdale.

o Des retraits après cuisson élevés.

- Grâce à la granularité naturellement fine de ces argiles et à une bonnedispersion des impuretés, donnée par un façonnage en pâte plastique, l'aspectaprès cuisson, est très homogène.

Les propriétés des argiles de Basse-Terre ne permettent pas de les mettre en nuvreseules, elles pourront cependant être retenues comme partie plastique - c'est-à-dire lafraction pondérale la plus élevée (> 50 %) - d'un mélange pour fabrication de produitsde terre cuite, ou bien pour la fabrication de carreaux de grès rouge rustiques du genre« tomettes », voire de carreaux de revêtements muraux.

Cependant, ces argiles présentent des retraits de séchage et de cuisson importants, lequartz, la cristobalite ou la tridymite contenue restant en proportion insuffisante ou degranularité trop fine (< 250 nm) pour être incorporée dans une pâte, sans un apportimportant (30 à 50 %) de dégraissant.

Les usages envisagés et testés dans les études antérieures : fabrication de briques,poteries ; fabrication de carreaux de sols rustiques ; fabrication de carreaux derevêtement mural sont détaillés ci-après.

Fabrication de briques, poteries

La mise au point des mélanges sera délicate, elle devra pallier d'importants retraits deséchage et cuisson (10 à 14 % sur produit sec). Une forte addition de dégraissantsen granularité grossière - 1,5 mm ou - 0,8 mm ) sera indispensable.

La nature de ce dégraissant sera primordiale : G. Beaudet (1976) recommandel'emploi de chamotte peu poreuse cuite à 1000-1050 ° C et convenablement broyée.

Le façonnage devra être réalisé par extrusion en pâte ferme.

Fabrication de carreaux de sols rustiques

La fabrication de carreaux de grès suppose l'ajout d'un élément fondant en l'absenced'argiles naturellement grésantes.

Pour la fabrication, deux solutions sont envisagées :



- Existence de deux paliers de cuisson entre 950 et 1000° C et entre 1100° et1200 °C.

- La présence de méta-halloysite en abondance accompagnée parfois deproportions notables de montmorillonite (jusqu'à 20 % dans l'échantillon GBT106), jointe à la proportion insuffisante ou à la granularité trop fine desdégraissants naturels, entraîne :

o De fortes proportions d'eau de façonnage et d'eau colloïdale.

o Des retraits après cuisson élevés.

- Grâce à la granularité naturellement fine de ces argiles et à une bonnedispersion des impuretés, donnée par un façonnage en pâte plastique, l'aspectaprès cuisson, est très homogène.

Les propriétés des argiles de Basse-Terre ne permettent pas de les mettre en nuvreseules, elles pourront cependant être retenues comme partie plastique - c'est-à-dire lafraction pondérale la plus élevée (> 50 %) - d'un mélange pour fabrication de produitsde terre cuite, ou bien pour la fabrication de carreaux de grès rouge rustiques du genre« tomettes », voire de carreaux de revêtements muraux.

Cependant, ces argiles présentent des retraits de séchage et de cuisson importants, lequartz, la cristobalite ou la tridymite contenue restant en proportion insuffisante ou degranularité trop fine (< 250 nm) pour être incorporée dans une pâte, sans un apportimportant (30 à 50 %) de dégraissant.

Les usages envisagés et testés dans les études antérieures : fabrication de briques,poteries ; fabrication de carreaux de sols rustiques ; fabrication de carreaux derevêtement mural sont détaillés ci-après.

Fabrication de briques, poteries

La mise au point des mélanges sera délicate, elle devra pallier d'importants retraits deséchage et cuisson (10 à 14 % sur produit sec). Une forte addition de dégraissantsen granularité grossière - 1,5 mm ou - 0,8 mm ) sera indispensable.

La nature de ce dégraissant sera primordiale : G. Beaudet (1976) recommandel'emploi de chamotte peu poreuse cuite à 1000-1050 ° C et convenablement broyée.

Le façonnage devra être réalisé par extrusion en pâte ferme.

Fabrication de carreaux de sols rustiques

La fabrication de carreaux de grès suppose l'ajout d'un élément fondant en l'absenced'argiles naturellement grésantes.

Pour la fabrication, deux solutions sont envisagées :



- extrusion en pâte ferme, d'une composition fortement chamottée contenant unfondant alcalin local (cendres volcaniques, perlite ou basalte broyé par exemple).

- pressage à sec d'un mélange : argiles cuisant rouge, chamotte et fondant.

Dans les deux cas, sous réserve de qualification, et donc d'études complémentaires,la mise en nuvre de matières premières locales est envisageable.

Fabrication de carreaux de revêtement mural

Compte tenu de la forte coloration des pâtes, il sera nécessaire de prévoir des émauxfortement opacifiés.

D'autre part, les ajouts suivants devront être envisagés : une argile liante cuisant blanc,un feldspath (fondant) et un dégraissant. Pour ces différents matériaux, desimportations seront nécessaires.

4.1.2. Briques en argile stabilisées au ciment

Un programme d'orientation réalisé en 1984 (P. Le Berre) soulignait l'intérêt constituépar le développement d'une activité de fabrication de briques en argiles stabilisées parl'ajout de ciment. Aucune suite n'a cependant été donnée à cette étude préliminaire.

Ces briques sont composées d'une argile pauvre en smectite (< 5 %) à laquelle estajoutée une charge généralement composée d'un sable siliceux voire de sables deroches concassées, ou des pouzzolanes de granularité inférieure à 3 mm.

Les proportions des différents constituants varient suivant les techniques de fabricationemployées : pressage ou extrusion.

Ils sont rappelés dans le tableau 2 ci-après.

Argiles

Sable

ciment

Briques extrudées

20 - 90 %

0 - 60 %

10-30%

Briques pressées

15-20%

65 - 80 %

3 - 8 %

Tableau 2: composition des briques en argiles ciment suivant les modes de fabrication

BRGM/RP-5491 7-FR - Rapport final 21


- extrusion en pâte ferme, d'une composition fortement chamottée contenant unfondant alcalin local (cendres volcaniques, perlite ou basalte broyé par exemple).

- pressage à sec d'un mélange : argiles cuisant rouge, chamotte et fondant.

Dans les deux cas, sous réserve de qualification, et donc d'études complémentaires,la mise en nuvre de matières premières locales est envisageable.

Fabrication de carreaux de revêtement mural

Compte tenu de la forte coloration des pâtes, il sera nécessaire de prévoir des émauxfortement opacifiés.

D'autre part, les ajouts suivants devront être envisagés : une argile liante cuisant blanc,un feldspath (fondant) et un dégraissant. Pour ces différents matériaux, desimportations seront nécessaires.

4.1.2. Briques en argile stabilisées au ciment

Un programme d'orientation réalisé en 1984 (P. Le Berre) soulignait l'intérêt constituépar le développement d'une activité de fabrication de briques en argiles stabilisées parl'ajout de ciment. Aucune suite n'a cependant été donnée à cette étude préliminaire.

Ces briques sont composées d'une argile pauvre en smectite (< 5 %) à laquelle estajoutée une charge généralement composée d'un sable siliceux voire de sables deroches concassées, ou des pouzzolanes de granularité inférieure à 3 mm.

Les proportions des différents constituants varient suivant les techniques de fabricationemployées : pressage ou extrusion.

Ils sont rappelés dans le tableau 2 ci-après.

Argiles

Sable

ciment

Briques extrudées

20 - 90 %

0 - 60 %

10-30%

Briques pressées

15-20%

65 - 80 %

3 - 8 %

Tableau 2: composition des briques en argiles ciment suivant les modes de fabrication



Selon des études réalisées en France par le CTTB (Centre Technique des Tuiles etBriques) les résistances à la compression de ces briques sont comparables à cellesdes briques en terre cuite.

Les avantages de cette technique résident avant tout dans la réduction des coûtsqu'elle peut impliquer. Par rapport à une brique en terre cuite, la chaîne de traitementest voisine, cuisson en moins et adaptation du malaxage en plus. Suivant la proportionde ciment utilisée, la réduction des coûts pourrait atteindre 25 % sur une base decalcul métropolitaine.

Aucune étude détaillée n'a permis de valider cette technique en Guadeloupe, ni saviabilité économique.

4.2. ARGILES DE GRANDE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES

Les argiles rencontrées sur Grande-Terre sont constituées majoritairement d'argiles dedécalcification. Elles peuvent localement dériver de matériaux volcaniquesinterstratifiés, ce qui explique la grande variabilité de composition de ces matériaux.Elles sont en général plastiques. Le cortège minéralogique est caractérisé par laprédominance de smectite (montmorillonite) dont la teneur, appréciée par les mesuresde capacité d'adsorption de bleu de méthylène, varie entre 40 et 90 %. A ces smectitessont associées des métahalloysites et ciu quartz en faible quantité ainsi que de lacalcite. Des traces d'oxydes de fer sont mentionnées : goethite, voire magnetite. Lafraction granulométrique supérieure à 20 |im est en général inférieure à 14 %. Seuls 2échantillons, sur les 7 ayant fait l'objet d'une analyse granulométrique (Baudet, 1976)dépassent 25 % (GGT 52 et GGT 46).

Ces argiles présentent des épaisseurs qui dépassent rarement 4m et varient suivantles irrégularités du toit du substratum calcaire sur lequel elles reposent.

Compte tenu de leurs caractéristiques, les argiles rencontrées, peuvent intervenir,comme adjuvant dans certains produits céramiques, ou, suivant la teneur enmontmorillonite comme argile liantes ou absorbantes.

4.2.1. Adjuvants de produits de terre cuite s.l.

Dans les pâtes céramiques, l'introduction de telles argiles doit être limitée à environ 3 à10 % en fonction de la teneur en montmorillonite. Dans les compositions pour produitsde terre cuite sensu stricto (produits rouges, briques, poteries), elles amélioreront laplasticité, la résistance mécanique en cru (à l'état vert et en cru) et pourront intervenirdans des proportions pouvant atteindre 20 %. Par contre, elles entraîneront desdifficultés lors du séchage du fait de leur forte proportion d'eau colloïdale et des fortesénergies de liaison eau-argile. Des phénomènes de reprise d'humidité sont égalementà prévoir entre les séchoirs et les fours.



Selon des études réalisées en France par le CTTB (Centre Technique des Tuiles etBriques) les résistances à la compression de ces briques sont comparables à cellesdes briques en terre cuite.

Les avantages de cette technique résident avant tout dans la réduction des coûtsqu'elle peut impliquer. Par rapport à une brique en terre cuite, la chaîne de traitementest voisine, cuisson en moins et adaptation du malaxage en plus. Suivant la proportionde ciment utilisée, la réduction des coûts pourrait atteindre 25 % sur une base decalcul métropolitaine.

Aucune étude détaillée n'a permis de valider cette technique en Guadeloupe, ni saviabilité économique.

4.2. ARGILES DE GRANDE-TERRE : CARACTERISTIQUES ET ETUDESANTERIEURES

Les argiles rencontrées sur Grande-Terre sont constituées majoritairement d'argiles dedécalcification. Elles peuvent localement dériver de matériaux volcaniquesinterstratifiés, ce qui explique la grande variabilité de composition de ces matériaux.Elles sont en général plastiques. Le cortège minéralogique est caractérisé par laprédominance de smectite (montmorillonite) dont la teneur, appréciée par les mesuresde capacité d'adsorption de bleu de méthylène, varie entre 40 et 90 %. A ces smectitessont associées des métahalloysites et ciu quartz en faible quantité ainsi que de lacalcite. Des traces d'oxydes de fer sont mentionnées : goethite, voire magnetite. Lafraction granulométrique supérieure à 20 |im est en général inférieure à 14 %. Seuls 2échantillons, sur les 7 ayant fait l'objet d'une analyse granulométrique (Baudet, 1976)dépassent 25 % (GGT 52 et GGT 46).

Ces argiles présentent des épaisseurs qui dépassent rarement 4m et varient suivantles irrégularités du toit du substratum calcaire sur lequel elles reposent.

Compte tenu de leurs caractéristiques, les argiles rencontrées, peuvent intervenir,comme adjuvant dans certains produits céramiques, ou, suivant la teneur enmontmorillonite comme argile liantes ou absorbantes.

4.2.1. Adjuvants de produits de terre cuite s.l.

Dans les pâtes céramiques, l'introduction de telles argiles doit être limitée à environ 3 à10 % en fonction de la teneur en montmorillonite. Dans les compositions pour produitsde terre cuite sensu stricto (produits rouges, briques, poteries), elles amélioreront laplasticité, la résistance mécanique en cru (à l'état vert et en cru) et pourront intervenirdans des proportions pouvant atteindre 20 %. Par contre, elles entraîneront desdifficultés lors du séchage du fait de leur forte proportion d'eau colloïdale et des fortesénergies de liaison eau-argile. Des phénomènes de reprise d'humidité sont égalementà prévoir entre les séchoirs et les fours.



4.2.2. Argiles bentonitiques s.l. (argiles absorbantes et liantes)

Pour ce type d'argile, les usages sont conditionnés non seulement par la teneur enmontmorillonite mais aussi par la nature du cation échangeable.

Des tests avancés menés en 1974 (G. Baudet) sur un échantillon présentant près de90 % de montmorillonite ont montré que l'argile étudiée pouvait être considéréecomme une bentonite calcique en raison de la teneur élevée en calcium échangeable(63,8 m.e.q.) représentant 67 % de la capacité totale d'échange de cations. Or, lamontmorillonite calcique ne possède pas les caractéristiques de gonflement, de« dispersabilité », de viscosité, de pouvoir liant à l'état sec recherchées pour lesutilisations suivantes : boues de forage, produits d'étanchéité, céramique, pelletisationdes minerais de fer, sables de fonderie.

Pour ouvrir le matériau au maximum de débouchés en usages industriels, G. Baudetpréconisait une activation par le carbonate de sodium à chaud, de façon à latransformer en bentonite sodique, comme c'est le cas pour la plupart des bentonitescaldques exploitées dans le monde.

Sous sa forme brute, l'argile séchée et pulvérisée pourrait être utilisable danscertains secteurs particuliers plus particulièrement dédiés aux bentonitescaldques :

- comme argile dans les boues de forage confectionnées à l'eau de mer ;

- comme charges pour pesticides ;

- comme litières pour animaux ;

- pour la purification des eaux, de certaines solutions et liquidesorganiques, le traitement des déchets radioactifs ;

- comme absorbants de sols industriels.

4.3. POTENTIEL ET PERSPECTIVES D'UTILISATION DES ARGILES DE LAGUADELOUPE

Pour mieux fixer les enjeux, les perspectives de développement pour les différentstypes d'usage déjà identifiés seront abordées suivant le niveau d'activité envisagé. Enplus des utilisations déjà inventoriées de nouvelles perspectives sont proposées. Danstous les cas, l'origine des matières premières à mettre en uvre sera précisée, qu'ils'agisse d'une ressource locale ou d'une ressource d'importation.



4.2.2. Argiles bentonitiques s.l. (argiles absorbantes et liantes)

Pour ce type d'argile, les usages sont conditionnés non seulement par la teneur enmontmorillonite mais aussi par la nature du cation échangeable.

Des tests avancés menés en 1974 (G. Baudet) sur un échantillon présentant près de90 % de montmorillonite ont montré que l'argile étudiée pouvait être considéréecomme une bentonite calcique en raison de la teneur élevée en calcium échangeable(63,8 m.e.q.) représentant 67 % de la capacité totale d'échange de cations. Or, lamontmorillonite calcique ne possède pas les caractéristiques de gonflement, de« dispersabilité », de viscosité, de pouvoir liant à l'état sec recherchées pour lesutilisations suivantes : boues de forage, produits d'étanchéité, céramique, pelletisationdes minerais de fer, sables de fonderie.

Pour ouvrir le matériau au maximum de débouchés en usages industriels, G. Baudetpréconisait une activation par le carbonate de sodium à chaud, de façon à latransformer en bentonite sodique, comme c'est le cas pour la plupart des bentonitescaldques exploitées dans le monde.

Sous sa forme brute, l'argile séchée et pulvérisée pourrait être utilisable danscertains secteurs particuliers plus particulièrement dédiés aux bentonitescaldques :

- comme argile dans les boues de forage confectionnées à l'eau de mer ;

- comme charges pour pesticides ;

- comme litières pour animaux ;

- pour la purification des eaux, de certaines solutions et liquidesorganiques, le traitement des déchets radioactifs ;

- comme absorbants de sols industriels.

4.3. POTENTIEL ET PERSPECTIVES D'UTILISATION DES ARGILES DE LAGUADELOUPE

Pour mieux fixer les enjeux, les perspectives de développement pour les différentstypes d'usage déjà identifiés seront abordées suivant le niveau d'activité envisagé. Enplus des utilisations déjà inventoriées de nouvelles perspectives sont proposées. Danstous les cas, l'origine des matières premières à mettre en uvre sera précisée, qu'ils'agisse d'une ressource locale ou d'une ressource d'importation.



4.3.1. Fabrication de briques, poteries

Les argiles rencontrées ne peuvent être utilisées seules et ne pourront intervenir qu'àhauteur d'environ 50 % de tout mélange.

Les adjuvants à mettre en tuvre seront :

- obligatoirement des dégraissants : sables ou chamottes afin d'éviter lesretraits au séchage et à la cuisson.

- Eventuellement des argiles liantes à teneur en montmorillonite ne dépassantpas 20 %.

Le mode de façonnage privilégié sera l'extrusion en pâte ferme.

Nature

proportion

origine

Argile

Argile commune

< 50 %

Basse-Terre

Adjuvants

Sable(éventuellementremplacé par la

Chamotte)

A valider

( 30 à 50 %)

Importation

Chamotte cuite à1000-1050 "Cetbroyée à 1 , 5 mm

A valider

(30 à 50 %)

Calcination argileBasse-Terre

Argile liante

< 20 %

Est de Basse-Terre (GBT 105)

Tableau 3 : Argiles de la Guadeloupe : éléments de mélange pour terres cuites et origine

Tout développement d'activité devra faire l'objet d'une étude de marché pour en validerla viabilité économique.

Les marchés qui pourraient être concernés sont ceux de la construction et les usagesdomestiques (poteries), tous deux marchés locaux.

Concernant les briques pour la construction, une exploitation industrielle paraît peuprobable étant donné l'inadéquation des argiles naturelles, l'absence de gisementidentifié avec l'ensemble des matières première en un même endroit (comme à laMartinique) et la saturation du marché par les parpaings en ciment.



4.3.1. Fabrication de briques, poteries

Les argiles rencontrées ne peuvent être utilisées seules et ne pourront intervenir qu'àhauteur d'environ 50 % de tout mélange.

Les adjuvants à mettre en tuvre seront :

- obligatoirement des dégraissants : sables ou chamottes afin d'éviter lesretraits au séchage et à la cuisson.

- Eventuellement des argiles liantes à teneur en montmorillonite ne dépassantpas 20 %.

Le mode de façonnage privilégié sera l'extrusion en pâte ferme.

Nature

proportion

origine

Argile

Argile commune

< 50 %

Basse-Terre

Adjuvants

Sable(éventuellementremplacé par la

Chamotte)

A valider

( 30 à 50 %)

Importation


A valider

(30 à 50 %)

Calcination argileBasse-Terre

Argile liante

< 20 %

Est de Basse-Terre (GBT 105)

Tableau 3 : Argiles de la Guadeloupe : éléments de mélange pour terres cuites et origine

Tout développement d'activité devra faire l'objet d'une étude de marché pour en validerla viabilité économique.

Les marchés qui pourraient être concernés sont ceux de la construction et les usagesdomestiques (poteries), tous deux marchés locaux.

Concernant les briques pour la construction, une exploitation industrielle paraît peuprobable étant donné l'inadéquation des argiles naturelles, l'absence de gisementidentifié avec l'ensemble des matières première en un même endroit (comme à laMartinique) et la saturation du marché par les parpaings en ciment.



Compte tenu de la taille du marché local, la priorité devrait être donnée audéveloppement d'activité artisanale, pour des raisons aussi bien techniques quecapitalistiques. Les défauts inhérents à l'ensemble des argiles testées (forte proportiond'eau de façonnage, retrait important) ne sont en effet pas rédhibitoires dans uneperspective artisanale.

A ce titre les activités artisanales existantes sont représentées par quelques artisanspotiers situés en Grande-Terre et à Marie-Galante. Cependant, ils n'utilisent pas lesargiles de Guadeloupe, celles-ci n'étant pas appropriées à leurs besoins en terme dequalité des argiles. 11 s'agit donc essentiellement d'importation (plusieurs tonnes/ an)en provenance de France métropolitaine.

Auparavant, un potier exerçait à Bananier dans les années 90 et extrayait environ 2 m^d'argiles par mois dans cette même zone. Depuis son décès, cette activité à cessé.

Une briqueterie existait également à Arnouville (Petit-Bourg), exploitant des argileslocales. Elle a fermé car le marché était insuffisant. Les gisements qu'elle utilisait sontaujourd'hui rendu inaccessibles par les constructions récentes.

11 faut également mentionner l'ancienne poterie de Terre-de-Bas (les Saintes)construite à l'époque coloniale en 1760 et aujourd'hui classée monument historique.Cette poterie a eu un grand succès à la fin du 18* siècle où il y était fabriqué desformes à sucre, des pots à mélasse et des carreaux en terre cuite. Elle était trèsappréciée des habitations sucreries de l'époque qui les utilisaient pour blanchir lesucre. Son déclin, au début du 19* siècle, est en partie lié à l'arrivée de la betteraveen métropole et aux cyclones successifs et dévastateurs qui détruisirent en grandepartie l'exploitation. Elle a cessé totalement son activité en 1901.

Enfin, un certain nombre de vestiges de poteries, briqueteries ou four ont étéinventoriés par la DRAC (annexe 3).

4.3.2. Fabrication de carreaux de sols rustiques

Les argiles communes mises en �uvre devront être associées dans des proportionsqui restent à étudier avec des dégraissants et des fondants de manière à obtenir ungrésage. Sous résen/e de qualification d'un fondant d'origine volcanique, des matièrespremières exclusivement locales peuvent être envisagées pour cette fabrication.

Comme dans le cas précédent, le niveau d'activité à privilégier est de type artisanal, cequi n'exclut pas la nécessité après la mise au point du produit, d'en étudier le marchélocal, qu'il s'agisse de la rénovation ou de la construction neuve.



Compte tenu de la taille du marché local, la priorité devrait être donnée audéveloppement d'activité artisanale, pour des raisons aussi bien techniques quecapitalistiques. Les défauts inhérents à l'ensemble des argiles testées (forte proportiond'eau de façonnage, retrait important) ne sont en effet pas rédhibitoires dans uneperspective artisanale.

A ce titre les activités artisanales existantes sont représentées par quelques artisanspotiers situés en Grande-Terre et à Marie-Galante. Cependant, ils n'utilisent pas lesargiles de Guadeloupe, celles-ci n'étant pas appropriées à leurs besoins en terme dequalité des argiles. 11 s'agit donc essentiellement d'importation (plusieurs tonnes/ an)en provenance de France métropolitaine.

Auparavant, un potier exerçait à Bananier dans les années 90 et extrayait environ 2 m^d'argiles par mois dans cette même zone. Depuis son décès, cette activité à cessé.

Une briqueterie existait également à Arnouville (Petit-Bourg), exploitant des argileslocales. Elle a fermé car le marché était insuffisant. Les gisements qu'elle utilisait sontaujourd'hui rendu inaccessibles par les constructions récentes.

11 faut également mentionner l'ancienne poterie de Terre-de-Bas (les Saintes)construite à l'époque coloniale en 1760 et aujourd'hui classée monument historique.Cette poterie a eu un grand succès à la fin du 18* siècle où il y était fabriqué desformes à sucre, des pots à mélasse et des carreaux en terre cuite. Elle était trèsappréciée des habitations sucreries de l'époque qui les utilisaient pour blanchir lesucre. Son déclin, au début du 19* siècle, est en partie lié à l'arrivée de la betteraveen métropole et aux cyclones successifs et dévastateurs qui détruisirent en grandepartie l'exploitation. Elle a cessé totalement son activité en 1901.

Enfin, un certain nombre de vestiges de poteries, briqueteries ou four ont étéinventoriés par la DRAC (annexe 3).

4.3.2. Fabrication de carreaux de sols rustiques

Les argiles communes mises en �uvre devront être associées dans des proportionsqui restent à étudier avec des dégraissants et des fondants de manière à obtenir ungrésage. Sous résen/e de qualification d'un fondant d'origine volcanique, des matièrespremières exclusivement locales peuvent être envisagées pour cette fabrication.

Comme dans le cas précédent, le niveau d'activité à privilégier est de type artisanal, cequi n'exclut pas la nécessité après la mise au point du produit, d'en étudier le marchélocal, qu'il s'agisse de la rénovation ou de la construction neuve.



Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

< 50 %

Basse-Terre

Fondant alcalin

Cendrevolcanique,

basalte broyé

A valider

(30 à 50 %)

Basse-Terre sousréserve de

qualification

dégraissant


A valider

(30 à 50 %)

Calcination etbroyage argileBasse-Terre

Tableau 4: argiles de la Guadeloupe : carreaux de sols rustiques, éléments de mélange etorigines

4.3.3. Fabrication de carreaux de revêtement mural

Compte tenu du contenu élevé en impuretés colorantes des argiles rencontrées, lesfaïences fabriquées auront des pâtes teintées. Cela engendre des répercussions sur lanature des émaux à envisager qui devront être suffisamment opaques.

Le type de fabrication envisagé impose majoritairement la mise en auvre de produitsimportés (feldspath, argile cuisant blanc, voire sable). Dès lors que la fabrication seradestinée à un marché local limité, la viabilité économique de tout projet s'en trouverafortement impactée. H paraît donc difficile d'envisager tout développement dans ledomaine des faïences murales. Les éléments des mélanges à mettre au point et leurorigine sont présentés dans le tableau 5.

Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

< 50 %

Basse Terre

Fondant alcalin

Cendrevolcanique,

basalte broyé

A valider

Importation ( ?)

dégraissant

sable

A valider

Importation ( ?)

Argile liante

Argile plastiquecuisant blanc

A valider

Importation

Tableau 5 : argiles de la Guadeloupe : carreaux de revêtement mural, éléments de mélange etorigine



Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

< 50 %

Basse-Terre

Fondant alcalin

Cendrevolcanique,

basalte broyé

A valider

(30 à 50 %)

Basse-Terre sousréserve de

qualification

dégraissant


A valider

(30 à 50 %)

Calcination etbroyage argileBasse-Terre

Tableau 4: argiles de la Guadeloupe : carreaux de sols rustiques, éléments de mélange etorigines

4.3.3. Fabrication de carreaux de revêtement mural

Compte tenu du contenu élevé en impuretés colorantes des argiles rencontrées, lesfaïences fabriquées auront des pâtes teintées. Cela engendre des répercussions sur lanature des émaux à envisager qui devront être suffisamment opaques.

Le type de fabrication envisagé impose majoritairement la mise en auvre de produitsimportés (feldspath, argile cuisant blanc, voire sable). Dès lors que la fabrication seradestinée à un marché local limité, la viabilité économique de tout projet s'en trouverafortement impactée. H paraît donc difficile d'envisager tout développement dans ledomaine des faïences murales. Les éléments des mélanges à mettre au point et leurorigine sont présentés dans le tableau 5.

Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

< 50 %

Basse Terre

Fondant alcalin

Cendrevolcanique,

basalte broyé

A valider

Importation ( ?)

dégraissant

sable

A valider

Importation ( ?)

Argile liante

Argile plastiquecuisant blanc

A valider

Importation

Tableau 5 : argiles de la Guadeloupe : carreaux de revêtement mural, éléments de mélange etorigine



4.3.4. Fabrication de briques d'argile-ciment

Parallèlement à la technologie traditionnelle de fabrication de briques en terre cuite, lamise au point de nouveaux procédés de fabrication de briques de terre ou d'argile cruestabilisées au ciment pourrait convenir en Guadeloupe.

Aucune étude de faisabilité technique et financière n'a cependant été menée à ce jour,à notre connaissance. S'agissant d'un produit nouveau, la difficulté consistera àconvaincre les prescripteurs du secteur du bâtiment pour faire évoluer les habitudes,notamment pour permettre la substitution vis-à-vis du parpaing béton.

Les argiles qui pourraient être concernées sont d'abord les argiles de Basse-Terre présentant de faibles teneurs en smectites.

Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

15 à 90%

Basse Terre

sable

sable

0 à 80 %

Importation ( ?)

ciment

ciment

3 à 30 %

Importation

Tableau 6 : argiles de la Guadeloupe : éléments de mélange pour briques argile-ciment etorigine

4.3.5. Fabrication d'agrégats d'argiles expansées

Cette activité est répertoriée à titre indicatif. Au cours des essais réalisés en 1976 (G.Baudet), un échantillon localisé à l'est de Basse-Terre (GBT 106) s'est expansé dansl'intervalle de température 1100 - 1140 ° C. Selon G. Baudet (1976), «La variationrapide de la masse volumique du granulat obtenue au four du laboratoire, en fonctionde la température de cuisson, n'est pas un élément favorable, de même que latempérature optimale d'expansion (1100-1120 ° C) proche de la températured'apparition du collage intergranulaire (1 140 °C) ».



4.3.4. Fabrication de briques d'argile-ciment

Parallèlement à la technologie traditionnelle de fabrication de briques en terre cuite, lamise au point de nouveaux procédés de fabrication de briques de terre ou d'argile cruestabilisées au ciment pourrait convenir en Guadeloupe.

Aucune étude de faisabilité technique et financière n'a cependant été menée à ce jour,à notre connaissance. S'agissant d'un produit nouveau, la difficulté consistera àconvaincre les prescripteurs du secteur du bâtiment pour faire évoluer les habitudes,notamment pour permettre la substitution vis-à-vis du parpaing béton.

Les argiles qui pourraient être concernées sont d'abord les argiles de Basse-Terre présentant de faibles teneurs en smectites.

Nature

proportion

origine

Argile commune

Argile commune

15 à 90%

Basse Terre

sable

sable

0 à 80 %

Importation ( ?)

ciment

ciment

3 à 30 %

Importation

Tableau 6 : argiles de la Guadeloupe : éléments de mélange pour briques argile-ciment etorigine

4.3.5. Fabrication d'agrégats d'argiles expansées

Cette activité est répertoriée à titre indicatif. Au cours des essais réalisés en 1976 (G.Baudet), un échantillon localisé à l'est de Basse-Terre (GBT 106) s'est expansé dansl'intervalle de température 1100 - 1140 ° C. Selon G. Baudet (1976), «La variationrapide de la masse volumique du granulat obtenue au four du laboratoire, en fonctionde la température de cuisson, n'est pas un élément favorable, de même que latempérature optimale d'expansion (1100-1120 ° C) proche de la températured'apparition du collage intergranulaire (1 140 °C) ».



L'échantillon (GBT 106) considéré était une argile à méta-halloysite contenant uneproportion notable de montmorillonite (20 à 25 %) cuisant rouge à brun sanshétérogénéités notables sur éprouvette extrudée.

Aucune argile de la Guadeloupe ne présente donc de potentiel pour lafabrication d'agrégats d'argile expansée sans la mise en euvre de nombreuxadjuvants, ce qui compromet sérieusement tout futur développement.

4.3.6. Argiles bentonitiques

Lors des études d'orientation réalisées par G. Baudet (1976), celui-ci envisageait deuxpossibilités :

- transformer les bentonites caldques rencontrées en bentonites sodiques aprèsactivation au carbonate de sodium ;

- utiliser les bentonites existantes avec un traitement limité à un broyage et unesélection granulométrique en voie sèche.

Si la première solution permettait d'envisager tous les types d'utilisation propres à unebentonite (pelletisation des minerais, moules de fonderie), les coûts de productioninduits par ces traitements risquent fort de devenir prohibitifs pour des marchésdestinés à l'exportation.

La deuxième solution, par la mise en de moyens limités pourrait êtreenvisagée pour des finalités telles que la litière pour animaux ou les absorbantsde sols industriels.

Par analogie avec les argiles bentonitiques exploitées en Dordogne (Buisson deCadouin) par la société Argicure, ces argiles pourraient également être utilisées dansle secteur de la santé ou la parapharmacie.

Sous réserve d'une étude de faisabilité technico-économique, de petites unitésde production pourraient être envisagées dans le cadre d'un marché régional, àpartir des argiles de Grande-Terre les plus riches en montmorillonite (> 65 %).

4.3.7. Argiles d'étanchéité

L'arrêté du 9 septembre 1997 stipule, dans son article 11, que dans le cas d'unedécharge de classe 2 (déchets ménagers et assimilés) : « la barrière de sécuritépassive est normalement constitué par le substratum du site qui doit présenter de hauten bas une perméabilité inférieure à 1. 10 '^ m/s sur au moins 1 mètre et inférieure à1.10'® m/s sur au moins 5 mètres. Lorsque la perméabilité naturelle du substratum nerépond pas à ces exigences, des mesures compensatrices pourront être proposées



L'échantillon (GBT 106) considéré était une argile à méta-halloysite contenant uneproportion notable de montmorillonite (20 à 25 %) cuisant rouge à brun sanshétérogénéités notables sur éprouvette extrudée.

Aucune argile de la Guadeloupe ne présente donc de potentiel pour lafabrication d'agrégats d'argile expansée sans la mise en euvre de nombreuxadjuvants, ce qui compromet sérieusement tout futur développement.

4.3.6. Argiles bentonitiques

Lors des études d'orientation réalisées par G. Baudet (1976), celui-ci envisageait deuxpossibilités :

- transformer les bentonites caldques rencontrées en bentonites sodiques aprèsactivation au carbonate de sodium ;

- utiliser les bentonites existantes avec un traitement limité à un broyage et unesélection granulométrique en voie sèche.

Si la première solution permettait d'envisager tous les types d'utilisation propres à unebentonite (pelletisation des minerais, moules de fonderie), les coûts de productioninduits par ces traitements risquent fort de devenir prohibitifs pour des marchésdestinés à l'exportation.

La deuxième solution, par la mise en de moyens limités pourrait êtreenvisagée pour des finalités telles que la litière pour animaux ou les absorbantsde sols industriels.

Par analogie avec les argiles bentonitiques exploitées en Dordogne (Buisson deCadouin) par la société Argicure, ces argiles pourraient également être utilisées dansle secteur de la santé ou la parapharmacie.

Sous réserve d'une étude de faisabilité technico-économique, de petites unitésde production pourraient être envisagées dans le cadre d'un marché régional, àpartir des argiles de Grande-Terre les plus riches en montmorillonite (> 65 %).

4.3.7. Argiles d'étanchéité

L'arrêté du 9 septembre 1997 stipule, dans son article 11, que dans le cas d'unedécharge de classe 2 (déchets ménagers et assimilés) : « la barrière de sécuritépassive est normalement constitué par le substratum du site qui doit présenter de hauten bas une perméabilité inférieure à 1. 10 '^ m/s sur au moins 1 mètre et inférieure à1.10'® m/s sur au moins 5 mètres. Lorsque la perméabilité naturelle du substratum nerépond pas à ces exigences, des mesures compensatrices pourront être proposées



par l'exploitant pour assurer un niveau de protection équivalent. Ces propositions etleurs justifications doivent figurer dans le dossier de demande d'autorisation. ».

Après vérification in situ de la perméabilité des matériaux argileux en fond de fouille,sur les sites éventuels, les argiles smectitiques de Grande-Terre pourraient êtremises en uvre si besoin était, notamment pour la mise en place de la couchesupérieure de la barrière de sécurité passive.

Il faudra cependant, au préalable, veiller à valider les propriétés de l'argile miseen euvre.

4.3.8. Pigments naturels pour l'industrie du bâtiment

A l'image des ocres qui sont constitués de kaolin et d'oxydes de fer, les argiles deBasse-Terre pourraient être valorisées comme colorants naturels principalement àdestination du secteur du bâtiment pour la fabrication d'enduits.

La fabrication de ces pigments, parce qu'elle nécessite très peud'investissements pourrait se prêter à une activité de type artisanal, pour unmarché qu'il reste à individualiser.

A titre indicatif le procédé de fabrication pourrait comporter les opérations suivantes :

- lavage par arrosage ;

- décantation des eaux de lavage dans des cuves ou bassins ;

- élimination de l'eau par evaporation ;

- broyage du résidu sec ;

- calcination à 600 °C environ ;

- conditionnement en sac.



par l'exploitant pour assurer un niveau de protection équivalent. Ces propositions etleurs justifications doivent figurer dans le dossier de demande d'autorisation. ».

Après vérification in situ de la perméabilité des matériaux argileux en fond de fouille,sur les sites éventuels, les argiles smectitiques de Grande-Terre pourraient êtremises en uvre si besoin était, notamment pour la mise en place de la couchesupérieure de la barrière de sécurité passive.

Il faudra cependant, au préalable, veiller à valider les propriétés de l'argile miseen euvre.

4.3.8. Pigments naturels pour l'industrie du bâtiment

A l'image des ocres qui sont constitués de kaolin et d'oxydes de fer, les argiles deBasse-Terre pourraient être valorisées comme colorants naturels principalement àdestination du secteur du bâtiment pour la fabrication d'enduits.

La fabrication de ces pigments, parce qu'elle nécessite très peud'investissements pourrait se prêter à une activité de type artisanal, pour unmarché qu'il reste à individualiser.

A titre indicatif le procédé de fabrication pourrait comporter les opérations suivantes :

- lavage par arrosage ;

- décantation des eaux de lavage dans des cuves ou bassins ;

- élimination de l'eau par evaporation ;

- broyage du résidu sec ;

- calcination à 600 °C environ ;

- conditionnement en sac.



5. Présentation du Système d'InformationGéographique

Pour ce volet de l'étude, toutes les données ont été traduites en format compatibleavec les logiciels d'ArcGis utilisés par la suite. Les données sont également transmisesau format Mapinfo.

Les formats de données retenus sont :

- Shapefile pour les données vectorielles ;

- ESRI Grid pour les données Raster telles que le mnt ;

- ESRI Tin pour les modèles 3D.

Les fichiers MXD sont des documents ArcMap (ArcGis) : ils présentent les donnéesavec les légendes ainsi que les mises en page finales. La version utilisée pour ce SIGest la 9.1 Desktop (licence Arclnfo).

Ceci signifie que l'ouverture du « .MXD » avec ArcMap ne sera possible que sur unposte de travail équipé au minimum de la version 9.1 .

L'utilisation des grilles est subordonnée à la présence du module Spatial Analyst, celledu Tin à la présence de 3D Analyst. Mais ces extensions ne sont pas nécessaires pourune simple visualisation dans ArcMap ou ArcCatalog.

Le système de coordonnées retenu pour l'étude est le suivant :

Datum WGS84 - Projection Transverse Mercator (UTM Fuseau 20 zone Nord).

Le tableau ci-dessous enumere les différentes sources de données composant le SIG,ainsi que leur emplacement et leur type.



5. Présentation du Système d'InformationGéographique

Pour ce volet de l'étude, toutes les données ont été traduites en format compatibleavec les logiciels d'ArcGis utilisés par la suite. Les données sont également transmisesau format Mapinfo.

Les formats de données retenus sont :

- Shapefile pour les données vectorielles ;

- ESRI Grid pour les données Raster telles que le mnt ;

- ESRI Tin pour les modèles 3D.

Les fichiers MXD sont des documents ArcMap (ArcGis) : ils présentent les donnéesavec les légendes ainsi que les mises en page finales. La version utilisée pour ce SIGest la 9.1 Desktop (licence Arclnfo).

Ceci signifie que l'ouverture du « .MXD » avec ArcMap ne sera possible que sur unposte de travail équipé au minimum de la version 9.1 .

L'utilisation des grilles est subordonnée à la présence du module Spatial Analyst, celledu Tin à la présence de 3D Analyst. Mais ces extensions ne sont pas nécessaires pourune simple visualisation dans ArcMap ou ArcCatalog.

Le système de coordonnées retenu pour l'étude est le suivant :

Datum WGS84 - Projection Transverse Mercator (UTM Fuseau 20 zone Nord).

Le tableau ci-dessous enumere les différentes sources de données composant le SIG,ainsi que leur emplacement et leur type.



Repertoire

Argiles/Gisements Sondages

Argiles/Gisements_Extensions

Argiles/Géographie

Argiles/Géographie

Argiles/Géographie

Argiles/Géologie

ArgilesCarrieres

Argiles/Carrières

Argiles/Carrières

Argiles/Poteries

Argiles/Pedologie/Basse Terre

Argiles/Pedologie/Grande_Terre

Argiles/MNT SRTM

Argiles/MNT SRTM

Argiles/MNT_SRTM

Argiles/ Documents Layers



Source de données

Sondages argile

Extensionj30ssible_de_gisements

Communes

Parc National

Bâti SA

Géologie Guadeloupe

Carrières DRIRE

Carrières GT

Carrières MG

terre cuite

Carte Pedologique

Carte_pedoIogique 150000 ORSTOM 1979

mnt_proj

mnt shade

tin 1m

Pédologie

Géologie

Legende_Pedologique

Type

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

Grille ESRI

Grille ESRI

TIN (modèle 3D)

Document ArcMap (*.MXD)


Database Access (*.MDB)



Repertoire

Argiles/Gisements Sondages

Argiles/Gisements_Extensions

Argiles/Géographie

Argiles/Géographie

Argiles/Géographie

Argiles/Géologie

ArgilesCarrieres

Argiles/Carrières

Argiles/Carrières

Argiles/Poteries


Argiles/Pedologie/Grande_Terre

Argiles/MNT SRTM

Argiles/MNT SRTM

Argiles/MNT_SRTM




Source de données

Sondages argile

Extensionj30ssible_de_gisements

Communes

Parc National

Bâti SA

Géologie Guadeloupe

Carrières DRIRE

Carrières GT

Carrières MG

terre cuite

Carte Pedologique

Carte_pedoIogique 150000 ORSTOM 1979

mnt_proj

mnt shade

tin 1m

Pédologie

Géologie

Legende_Pedologique

Type

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

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ShapeFile (*.SHP)

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ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

ShapeFile (*.SHP)

Grille ESRI

Grille ESRI

TIN (modèle 3D)



Database Access (*.MDB)



5.1. DESCRIPTION DES COUCHES

Les données SRTM (Shuttle Radar Topography Mission)

Cette donnée est disponible sur l'Internet sous forme de tuiles de un degré carré auformat BIL. Elle est géoréférencée en degrés dans le datum WGS84. Elle a étéprojetée dans le système de coordonnées du SIG et enregistrée au format ESRI Grid.La maille vaut environ 90 mètres, (89.976870500792614 mètres exactement, soit àune maille originale de 3 secondes d'arc) et la grille complète se compose de 1195colonnes et de 1445 rangées). Ce sont des données continues au format 16 bitsentiers signés.

On pourra se reporter aux propriétés de la grille dans ArcCatalog pour plus de détails.

mntjDroj : mnt proprement dit.mnt_shade : c'est un ombrage 2D1/2 avec un soleil à 315 degrés W sousun angle de 45 degrés.Tin 1 m : le tin est aussi une donnée dérivée du mnt.

Sondages_argile :

Ces données ponctuelles regroupent l'ensemble des sondages pour argiles réalisésdans le cadre de l'inventaire de 1976. Ils sont identifiés par un identifiant et la tablerenseigne la profondeur de l'ouvrage.

ExtensionjDOSsible_de_gisements :

Ce sont des entités surfaciques qui délimitent grossièrement les zones d'intérêtpotentiel en argile. Il est à noter que ces contours sont avant tout indicatifs, comptetenu du nombre limité de sondages disponibles pour la sélection. Ces données sontissues de l'étude Javey et Baudet (1976).

Communes :

Il s'agit du découpage communal. Cette source de données nous a servi de gabaritpour d'éventuels recalages (rapides) de données. La table attributaire renseigne lenuméro INSEE et le nom de la commune.



5.1. DESCRIPTION DES COUCHES

Les données SRTM (Shuttle Radar Topography Mission)

Cette donnée est disponible sur l'Internet sous forme de tuiles de un degré carré auformat BIL. Elle est géoréférencée en degrés dans le datum WGS84. Elle a étéprojetée dans le système de coordonnées du SIG et enregistrée au format ESRI Grid.La maille vaut environ 90 mètres, (89.976870500792614 mètres exactement, soit àune maille originale de 3 secondes d'arc) et la grille complète se compose de 1195colonnes et de 1445 rangées). Ce sont des données continues au format 16 bitsentiers signés.

On pourra se reporter aux propriétés de la grille dans ArcCatalog pour plus de détails.

mntjDroj : mnt proprement dit.mnt_shade : c'est un ombrage 2D1/2 avec un soleil à 315 degrés W sousun angle de 45 degrés.Tin 1 m : le tin est aussi une donnée dérivée du mnt.

Sondages_argile :

Ces données ponctuelles regroupent l'ensemble des sondages pour argiles réalisésdans le cadre de l'inventaire de 1976. Ils sont identifiés par un identifiant et la tablerenseigne la profondeur de l'ouvrage.

ExtensionjDOSsible_de_gisements :

Ce sont des entités surfaciques qui délimitent grossièrement les zones d'intérêtpotentiel en argile. Il est à noter que ces contours sont avant tout indicatifs, comptetenu du nombre limité de sondages disponibles pour la sélection. Ces données sontissues de l'étude Javey et Baudet (1976).

Communes :

Il s'agit du découpage communal. Cette source de données nous a servi de gabaritpour d'éventuels recalages (rapides) de données. La table attributaire renseigne lenuméro INSEE et le nom de la commune.



Bati_SA :

Cette source de données surfaciques contient un sous-ensemble du plan d'occupationdes sols, ne montrant que les zones bâties. Ces données sont issues de la BD TopoIGN.

Parc_National :

H s'agit du contour du parc national. Il ne porte aucune information particulière.

Geologie_Guadeloupe :

Elle est extraite de la carte régulière à l'échelle du 1/50 000. La table comporte deuxchamps textes, commentaires des formations rencontrées. Nous avons fait unecartographie (légende) avec le champ description et avons regroupé certaines valeursproches (exemples : Alluvions des rivières; Terrasse).

Carrieres_DRlRE :

Ces carrières ponctuelles proviennent de la DRIRE. Elles possèdent entre autre unchamp WEB, permettant un hyperiien vers des pages internet présentant lesrenseignements propres à chacune d'elles. Ce lien est effectif dans les documentsArcMAp.

Carrieres_GT et Carrieres_MG :

H s'agit des carrières sauvages répertoriées en Grande-Terre et Marie-Galante.

Carte_Pedologique (Basse Terre) :

Il s'agit de la carte ORSTOM 1979, scannée par l'INRA. Nous avons modifié la tabled'origine pour faire une cartographie des faciès rencontrés, dans une optique desimplification. Le champ leg_new est un code qui renvoie à un lexique dans la baseAccess Legende.Mdb (table LegendejDedologie_basse_terre). Le champ exist_morenseigne de la présence (valeur 1) ou de rabsence(O) de montmorillonite. La légendeArcMap tient compte de ces 2 champs.

CartejDedologique_1 50000_ORSTOM_1 979

Cette carte pédologique de 1979 a été crée par l'Orstom. Les entités suriaciques qui lacomposent sont des régions.



Bati_SA :

Cette source de données surfaciques contient un sous-ensemble du plan d'occupationdes sols, ne montrant que les zones bâties. Ces données sont issues de la BD TopoIGN.

Parc_National :

H s'agit du contour du parc national. Il ne porte aucune information particulière.

Geologie_Guadeloupe :

Elle est extraite de la carte régulière à l'échelle du 1/50 000. La table comporte deuxchamps textes, commentaires des formations rencontrées. Nous avons fait unecartographie (légende) avec le champ description et avons regroupé certaines valeursproches (exemples : Alluvions des rivières; Terrasse).

Carrieres_DRlRE :

Ces carrières ponctuelles proviennent de la DRIRE. Elles possèdent entre autre unchamp WEB, permettant un hyperiien vers des pages internet présentant lesrenseignements propres à chacune d'elles. Ce lien est effectif dans les documentsArcMAp.

Carrieres_GT et Carrieres_MG :

H s'agit des carrières sauvages répertoriées en Grande-Terre et Marie-Galante.

Carte_Pedologique (Basse Terre) :

Il s'agit de la carte ORSTOM 1979, scannée par l'INRA. Nous avons modifié la tabled'origine pour faire une cartographie des faciès rencontrés, dans une optique desimplification. Le champ leg_new est un code qui renvoie à un lexique dans la baseAccess Legende.Mdb (table LegendejDedologie_basse_terre). Le champ exist_morenseigne de la présence (valeur 1) ou de rabsence(O) de montmorillonite. La légendeArcMap tient compte de ces 2 champs.

CartejDedologique_1 50000_ORSTOM_1 979

Cette carte pédologique de 1979 a été crée par l'Orstom. Les entités suriaciques qui lacomposent sont des régions.



11 n'existe pas de données pédologiques sur les Saintes, et la carte de Marie-Galanten'existe pas en format numérisé.

Pedologie.MXD et Geologie.MXD

Ces 2 documents ArcMAp présentent la totalité des données du SIG de manièresimple et complète : chaque document permet, après ouverture, de visualiser,interroger... .et toute opération ArcMap. L'ouverture se fait en mode layout, permettantune impression presqu'immédiate (vérification de l'imprimante par défaut)

BRGM/RP-54917-FR- Rapport final 35


11 n'existe pas de données pédologiques sur les Saintes, et la carte de Marie-Galanten'existe pas en format numérisé.

Pedologie.MXD et Geologie.MXD

Ces 2 documents ArcMAp présentent la totalité des données du SIG de manièresimple et complète : chaque document permet, après ouverture, de visualiser,interroger... .et toute opération ArcMap. L'ouverture se fait en mode layout, permettantune impression presqu'immédiate (vérification de l'imprimante par défaut)



6. Conclusions-Recommandations


Les argiles rencontrées en Région Guadeloupe sont des argiles résiduelles dont lanature est étroitement liée à celle des formations géologiques dont elles sont issues.En Basse-Terre et la partie occidentale de Grande-Terre, il s'agit d'argiles communesoù la méta-halloysite domine; leur épaisseur, variable, peut dépasser 10 m. Cesargiles sont peu à moyennement plastiques, leur teneur en alumine varie de 23 à 33 %pour des teneurs en oxyde de fer de 3,2 à 9,4 %. En Grande-Terre, les argiles issuesdu substratum calcaire sont de nature smectitique et se caractérisent par leur forteplasticité. Les épaisseurs rencontrées sont très variables mais dépassent rarement 4m.

Compte tenu de ces caractéristiques, l'utilisation des argiles de Basse-Terres'orientera prioritairement vers des usages terres cuites et céramiques tandis quecelles de Grande-Terre seront plutôt destinées à des rôles d'absorbants.

Cependant, les premières études d'orientation réalisées entre 1974 et 1990 ontmontré, d'emblée, les limites de leurs utilisations dans ces différents domaines.

Pour les usages terres cuites et céramiques, les argiles de Basse-Terre, compte tenude leur nature minéralogique et granulométrique, ne pourront intervenir dans lesmélanges qu'à hauteur d'environ 50 %. Le recours à des adjuvants, notammentdestinés à jouer le rôle de dégraissant, s'avère indispensable. La nature et laproportion de ces adjuvants, sable ou chamotte reste encore à mettre au point dans lecadre d'études complémentaires.

Parmi les usages terres cuites et céramiques l'orientation la plus plausible est celled'une activité artisanale destinée à un marché local dans les secteurs de laconstruction (briques) ou des usages domestiques et décoratifs (poteries). Ce typed'activité permettrait de renouer avec des traditions locales anciennes et maintenantdisparues : potier à Bananier (Basse-Terre), briqueterie d'Arnouville (Petit-Bourg), voirele centre de poterie de Terre-de-Bas aux Saintes, maintenant classé monumenthistorique.

Dans ce domaine, il subsiste des activités en Grande-Terre et à Marie-Galante, maiselles mettent en uvre des argiles importées qui sont des produits aux propriétéscontrôlées et régulières. La dynamisation de ce secteur avec le recours à une matièrepremière locale permettrait de développer un label de type « terroir », les défautsinhérents à l'ensemble des argiles testées n'étant pas rédhibitoires dans uneperspective artisanale. Ceci implique toutefois la réalisation d'études pour optimiser les



6. Conclusions-Recommandations


Les argiles rencontrées en Région Guadeloupe sont des argiles résiduelles dont lanature est étroitement liée à celle des formations géologiques dont elles sont issues.En Basse-Terre et la partie occidentale de Grande-Terre, il s'agit d'argiles communesoù la méta-halloysite domine; leur épaisseur, variable, peut dépasser 10 m. Cesargiles sont peu à moyennement plastiques, leur teneur en alumine varie de 23 à 33 %pour des teneurs en oxyde de fer de 3,2 à 9,4 %. En Grande-Terre, les argiles issuesdu substratum calcaire sont de nature smectitique et se caractérisent par leur forteplasticité. Les épaisseurs rencontrées sont très variables mais dépassent rarement 4m.

Compte tenu de ces caractéristiques, l'utilisation des argiles de Basse-Terres'orientera prioritairement vers des usages terres cuites et céramiques tandis quecelles de Grande-Terre seront plutôt destinées à des rôles d'absorbants.

Cependant, les premières études d'orientation réalisées entre 1974 et 1990 ontmontré, d'emblée, les limites de leurs utilisations dans ces différents domaines.

Pour les usages terres cuites et céramiques, les argiles de Basse-Terre, compte tenude leur nature minéralogique et granulométrique, ne pourront intervenir dans lesmélanges qu'à hauteur d'environ 50 %. Le recours à des adjuvants, notammentdestinés à jouer le rôle de dégraissant, s'avère indispensable. La nature et laproportion de ces adjuvants, sable ou chamotte reste encore à mettre au point dans lecadre d'études complémentaires.

Parmi les usages terres cuites et céramiques l'orientation la plus plausible est celled'une activité artisanale destinée à un marché local dans les secteurs de laconstruction (briques) ou des usages domestiques et décoratifs (poteries). Ce typed'activité permettrait de renouer avec des traditions locales anciennes et maintenantdisparues : potier à Bananier (Basse-Terre), briqueterie d'Arnouville (Petit-Bourg), voirele centre de poterie de Terre-de-Bas aux Saintes, maintenant classé monumenthistorique.

Dans ce domaine, il subsiste des activités en Grande-Terre et à Marie-Galante, maiselles mettent en uvre des argiles importées qui sont des produits aux propriétéscontrôlées et régulières. La dynamisation de ce secteur avec le recours à une matièrepremière locale permettrait de développer un label de type « terroir », les défautsinhérents à l'ensemble des argiles testées n'étant pas rédhibitoires dans uneperspective artisanale. Ceci implique toutefois la réalisation d'études pour optimiser les



mélanges et pérenniser les approvisionnements dans des conditions économiquementviables.

Pour les argiles smectitiques de Grande-Terre, leur usage en tant qu'absorbantconcerne avant tout leur mise en éuvre sous forme brute après séchage dans dessecteurs particuliers dédiés aux bentonites caldques : argiles pour boues de forage,charges pour pesticides, litières pour animaux voire absorbants de sols industriels.Pour ces différentes finalités, les produits élaborés s'adresseront à un marché supra-régional. Le développement de toute activité dans ces domaines ayant commepréalable une étude de faisabilité technico-économique incluant la mise au point d'unproduit, l'identification du marché et la viabilité économique du projet.

D'autres pistes d'utilisations pourraient également éventuellement être explorées,celles d'argiles riches en oxydes de fer à mettre en puvre comme pigments (Basse-Terre), voire le développement de briques crues en argiles stabilisées au ciment. Pourtoutes ces activités nouvelles les études préalables devront valider le modèleéconomique retenu.

Enfin, compte tenu de l'évolution réglementaire concernant la gestion des déchets, lalocalisation de centres d'enfouissements techniques de classe 2 pourrait se faire avecles argiles smectitiques de Grande-Terre. Des mesures de perméabilité devront aupréalable être réalisées. S'agissant de bentonites, les possibilités d'échangescationiques devront également être étudiées.

La somme de connaissances existantes sur les argiles de la Guadeloupe estmaintenant organisée, grâce à leur géo-référencement, dans un Système d'InformationGéographique. Celui-ci intègre les éléments suivants :

- les données radar (modèle numérique de terrain),- la localisation des sondages réalisés dans le cadre de l'inventaire de 1976.- Les contours des extensions possibles de gisements- Le contour des communes- Les zones bâties- Le contour du Parc National,- La géologie de la Guadeloupe- La localisation des carrières- La carte pédologique

Ce Système d'Information Géographique permet dorénavant de capitaliser les donnéeshistoriques avec toute nouvelle connaissance géo-référencée de manière à optimisercet outil clé pour l'aide à la décision dans des domaines tels que l'aménagement ou ledéveloppement d'activité économique. Il est remis au Conseil Régional avec le présentrapport.



mélanges et pérenniser les approvisionnements dans des conditions économiquementviables.

Pour les argiles smectitiques de Grande-Terre, leur usage en tant qu'absorbantconcerne avant tout leur mise en éuvre sous forme brute après séchage dans dessecteurs particuliers dédiés aux bentonites caldques : argiles pour boues de forage,charges pour pesticides, litières pour animaux voire absorbants de sols industriels.Pour ces différentes finalités, les produits élaborés s'adresseront à un marché supra-régional. Le développement de toute activité dans ces domaines ayant commepréalable une étude de faisabilité technico-économique incluant la mise au point d'unproduit, l'identification du marché et la viabilité économique du projet.

D'autres pistes d'utilisations pourraient également éventuellement être explorées,celles d'argiles riches en oxydes de fer à mettre en puvre comme pigments (Basse-Terre), voire le développement de briques crues en argiles stabilisées au ciment. Pourtoutes ces activités nouvelles les études préalables devront valider le modèleéconomique retenu.

Enfin, compte tenu de l'évolution réglementaire concernant la gestion des déchets, lalocalisation de centres d'enfouissements techniques de classe 2 pourrait se faire avecles argiles smectitiques de Grande-Terre. Des mesures de perméabilité devront aupréalable être réalisées. S'agissant de bentonites, les possibilités d'échangescationiques devront également être étudiées.

La somme de connaissances existantes sur les argiles de la Guadeloupe estmaintenant organisée, grâce à leur géo-référencement, dans un Système d'InformationGéographique. Celui-ci intègre les éléments suivants :

- les données radar (modèle numérique de terrain),- la localisation des sondages réalisés dans le cadre de l'inventaire de 1976.- Les contours des extensions possibles de gisements- Le contour des communes- Les zones bâties- Le contour du Parc National,- La géologie de la Guadeloupe- La localisation des carrières- La carte pédologique

Ce Système d'Information Géographique permet dorénavant de capitaliser les donnéeshistoriques avec toute nouvelle connaissance géo-référencée de manière à optimisercet outil clé pour l'aide à la décision dans des domaines tels que l'aménagement ou ledéveloppement d'activité économique. Il est remis au Conseil Régional avec le présentrapport.



7. Bibliographie

Andreieff p., Bouysse p. et Westercamp D. (1987) - Géologie de l'arc insulaire desPetites Antilles et évolution géodynamique de l'Est-Caraïbe. - Thèse, Bordeaux I.

Baudet G. (1976) - Etude d'orientation réalisée sur des matières premières pourcéramique en provenance de la Guadeloupe. Rapport BRGM :76 SGN 347 Min. 219 p.

Baudet G. (1974) - Etude d'orientation réalisée sur un échantillon d'argile bentonitiquede la Guadeloupe. Rapport BRGM : SGN/MIN n° 379- 6 juin 1974. 9 p.

Beretta m. (1987) - Echantillonnage d'argiles et de pouzzolane en Guadeloupe.Rapport BRGM 87 GLP 145. 4p. ; 2 annexes.

Berton y. et Le Berre P. (1983) - Guide de prospection des matériaux de carrière.Manuels et méthodes, n°5. Editions BRGM , 160 p.

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Samper A., Quidelleur X., Komorowski J-C. et Boudon G. (2004) - Timing ofeffusive volcanism within the whole Basse Terre Island (Guadeloupe, French WestIndies) from new K-Ar Cassignol-Gillot Ages, European Geosciences Union, 1^'

General Assembly, Nice, France, 25-30 April 2004. Geophysical Research Abstracts 6.



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General Assembly, Nice, France, 25-30 April 2004. Geophysical Research Abstracts 6.



Annexe 1

Sondages à la tarrière : liste et coupes

(Javey Cl et Baudet G., 1976)

41


Annexe 1

Sondages à la tarrière : liste et coupes

(Javey Cl et Baudet G., 1976)

41


61


61

U S T É ET SITUATION DES S O P A S E S A LA TARIERE

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La Haute Plaine

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66


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B. R. G. M.

Service Géolo9lquo ^ 2des Ant II íes

COUPES GEOLOGIQUE DES SONDAGES A LA TAf^lERE & MAIN

5îil - 0»00 * 0,50 m : terre végétale et argtla marron, plastique0,50 â 1,70 m : argile brun-Jaunètre, veinée de gris, plastiqueRefus h 1,70 m sur rognons calcaires.

gJ^J - 0,00 a 0,50 m ; terre végétale et argi le gris-foncé, plastique0,50 i 1,60 m : argI le brun-Jaunâtre, avec quelques veines grises,

plastiqua1,60 S 3,25 m : argile de teinte grise dominante, variée de brun

Jaunâtre et ocre. Présence de débris végétaux décom¬posés et de granules calcaires A la base.

Refus 8 3,25 m, sur rognons calcaires.

Çl^'¡ - 0,00 *> 0,60 m : terre végétale et argI le gris brun, plastique, avecracines et débris végétaux

0,50 h 1,50 m î argI le brun-Jaunâtre, plastique avec granules calcairesh la base.

Refus h 1,50 m sur rognons calcaires

yX»i - 0,00 â 0,50 m : terre végétale et argile gris-brun, sllteuse, plastique0,50 * 2,00 m : argile brun-Jaunâtre, plastiqueRefus è 2 m, sur rognons calcaires.

5X«S, " 0»00 â 0,40 m : terre végétale et argile gris-foncé, plastique0,40 â 1,20 m : argile grise, plastique, avec granules calcaires

h la base.Refus â 1,20 m sur rognons calcaires

§Ii§ " 0»^ ^ 0»^ "> ' terre végétale et argile brunâtre0,50 â 1,60 m : argile plastique brun-Jaunâtre, veinée de gris et ocre,

avec taches noires.1,60 I 4,00 m : argile bariolée gris-clair et brun-Jaunâtre, avec

taches noires, plastique.Arrêt S 4 m, dans l'argile.

SïtZ " '^OO â (t,30 tn : terre végétale et argile marron0,50 à 1,80 m : argile brun-Jaunâtre avec filets noirâtres et

taches grises1,80 h 3,10 m ; argile grise, veinée de Jaune, plastiqueRefus. â 3,10 m sur rognons calcaires.

§I»5 ~ 0,00 à 0,50 m : terre végétale et argile marron, plastique0,50 à 1,80 m : argile brvin-jaunâtre, plastique, avec filets noirâtres

et petits nodules friables, noirs1,80 5 4,10 m : argI le bariolée grise et Jaune, plastique, avec petits

cristaux de gypse vers 3,80 m

Arrêt è 4,10 tn dans l'arglte.

S?îi2 - 0,00 â 0,80 m : terre végétale et argile marron0,80 è 1,80 m : argile brun-Jaunâtre, plastique, renfermant de nombreux

granules et rognons calcairesRefus â 1,80 n sur rognons calcaires.

67


il

B. R. G. M.

Service Géolo9lquo ^ 2des Ant II íes

COUPES GEOLOGIQUE DES SONDAGES A LA TAf^lERE & MAIN

5îil - 0»00 * 0,50 m : terre végétale et argtla marron, plastique0,50 â 1,70 m : argile brun-Jaunètre, veinée de gris, plastiqueRefus h 1,70 m sur rognons calcaires.

gJ^J - 0,00 a 0,50 m ; terre végétale et argi le gris-foncé, plastique0,50 i 1,60 m : argI le brun-Jaunâtre, avec quelques veines grises,

plastiqua1,60 S 3,25 m : argile de teinte grise dominante, variée de brun

Jaunâtre et ocre. Présence de débris végétaux décom¬posés et de granules calcaires A la base.

Refus 8 3,25 m, sur rognons calcaires.

Çl^'¡ - 0,00 *> 0,60 m : terre végétale et argI le gris brun, plastique, avecracines et débris végétaux

0,50 h 1,50 m î argI le brun-Jaunâtre, plastique avec granules calcairesh la base.

Refus h 1,50 m sur rognons calcaires

yX»i - 0,00 â 0,50 m : terre végétale et argile gris-brun, sllteuse, plastique0,50 * 2,00 m : argile brun-Jaunâtre, plastiqueRefus è 2 m, sur rognons calcaires.

5X«S, " 0»00 â 0,40 m : terre végétale et argile gris-foncé, plastique0,40 â 1,20 m : argile grise, plastique, avec granules calcaires

h la base.Refus â 1,20 m sur rognons calcaires

§Ii§ " 0»^ ^ 0»^ "> ' terre végétale et argile brunâtre0,50 â 1,60 m : argile plastique brun-Jaunâtre, veinée de gris et ocre,

avec taches noires.1,60 I 4,00 m : argile bariolée gris-clair et brun-Jaunâtre, avec

taches noires, plastique.Arrêt S 4 m, dans l'argile.

SïtZ " '^OO â (t,30 tn : terre végétale et argile marron0,50 à 1,80 m : argile brun-Jaunâtre avec filets noirâtres et

taches grises1,80 h 3,10 m ; argile grise, veinée de Jaune, plastiqueRefus. â 3,10 m sur rognons calcaires.

§I»5 ~ 0,00 à 0,50 m : terre végétale et argile marron, plastique0,50 à 1,80 m : argile brvin-jaunâtre, plastique, avec filets noirâtres

et petits nodules friables, noirs1,80 5 4,10 m : argI le bariolée grise et Jaune, plastique, avec petits

cristaux de gypse vers 3,80 m

Arrêt è 4,10 tn dans l'arglte.

S?îi2 - 0,00 â 0,80 m : terre végétale et argile marron0,80 è 1,80 m : argile brun-Jaunâtre, plastique, renfermant de nombreux

granules et rognons calcairesRefus â 1,80 n sur rognons calcaires.

67


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68

I

I - ÇTiiS " 0,00 s 0,60 m : 1:erre végétale et argile marroni '" 0,60 à 2,00 m ; argile Jaunâtre, plastique, avec granules et rognonsI calcaires â partir da 1,60 m

i Refus è 2 n sur rognons calcaires.

terre végétale argileuseargile grise, plastiqueargile plastique, bariolée rouge, gris. Jaune, ocreargile brun-Jaunitre et grisa, avec nombreuses veinesnoirâtres, plastiqua, renfenrant des petits cristauxde gypse à la base.

Refus â 3,50 m sur calcaire.

ÇT^n - 0,00 Í 0,20 m

0,20 à 0,50 m

0,50 è 1,85 m

1,85 â 3,50 m

Slil? ' 0'^ * ^'^ " * ^^''f^ végétale et argile grise0,50 â 1,60 m î argile plastique, gris-Jaunâtre, renfermant des granules

calcaires S partir de 1 m

Regus à 1,60 fflj sur rognons calcaires,

ÇT^IJ - 0,00 h 0,40 m j terre végétale et argile gris-foncé¡ 0,í0 è 2,20 m : argile plastique, bariolée, rouge, gris, Jauns, ccreI 2,20 A 4,50 m : argile gris-JaunStre, plastique, avec nonbrôusss tschss¡ et filets noirâtres. Présence de cristaux de gypse entreI 2,20 et 2,50 m.! Arrêt è 4,50 m dans l'argile.i

I Sîili " 0»^ * 0,50 m ; terre végétale et argI le narronI ' " 0,50 à 4,10 m : argile plastique, brun-Jaurâtre, avec quelques nodules

et veines noirâtres,j Arrêt à 4,10 m dans l'argile.

gX,1J - 0,00 > 0,40 m : terre végétale et argile trarron0,40 è 1,20 m : argi le Jaunâtre, rentermant des granules calcairesRefus â 1,20 m sur rognons calcaires.

GT,16 - 0,00 è 0,30 n ; terre végétale et argile marron; 0,30 i 0,70 m : argi le Jaunâtre renfermant des granules calcairesj Refus Í 0,70 n sur calcaire

ql^l^ - 0,00 h 0.30 m

0,30 h 0.80 n0,20 è 3,10 m

3,10 è 6,00 m

terre végétale brunâtreargI le gris-belge, plastiqueargile bariolée, gris, rougo, Jaune, ocre, plastiqueargile grise et brun-Jajnâtre, plastique, avec nombreuxfilets noirâtres.

Arrêt â 6 m,, dans l'argile.

9Iti2 ~ ^'^0 * 0,20 m ; terre végétale brun-noirâtre0,20 I 1,60 m ; argile bariolée gris, rouge, belge, plastiqueRefus à 1,60 m sur rognons calcaires.

SIil2 " ^'^ * 0,30 m : terre végétale argI leuse, noirâtre0,30 è 1,50 m ; argile grise, veinée de jaune, plastiqueRefus ô 1,50 m sur calcaire.

ÇT^SQ - 0,00 A 0,20 n : terre végétale brun-noirâtre0,20 è 1,50 m : argile belge-Jaunâtre, plastique, avec veines noires.Refus ft 1,50 m sur rognons calcaires.


lt

68

I

I - ÇTiiS " 0,00 s 0,60 m : 1:erre végétale et argile marroni '" 0,60 à 2,00 m ; argile Jaunâtre, plastique, avec granules et rognonsI calcaires â partir da 1,60 m

i Refus è 2 n sur rognons calcaires.

terre végétale argileuseargile grise, plastiqueargile plastique, bariolée rouge, gris. Jaune, ocreargile brun-Jaunitre et grisa, avec nombreuses veinesnoirâtres, plastiqua, renfenrant des petits cristauxde gypse à la base.

Refus â 3,50 m sur calcaire.

ÇT^n - 0,00 Í 0,20 m

0,20 à 0,50 m

0,50 è 1,85 m

1,85 â 3,50 m

Slil? ' 0'^ * ^'^ " * ^^''f^ végétale et argile grise0,50 â 1,60 m î argile plastique, gris-Jaunâtre, renfermant des granules

calcaires S partir de 1 m

Regus à 1,60 fflj sur rognons calcaires,

ÇT^IJ - 0,00 h 0,40 m j terre végétale et argile gris-foncé¡ 0,í0 è 2,20 m : argile plastique, bariolée, rouge, gris, Jauns, ccreI 2,20 A 4,50 m : argile gris-JaunStre, plastique, avec nonbrôusss tschss¡ et filets noirâtres. Présence de cristaux de gypse entreI 2,20 et 2,50 m.! Arrêt è 4,50 m dans l'argile.i

I Sîili " 0»^ * 0,50 m ; terre végétale et argI le narronI ' " 0,50 à 4,10 m : argile plastique, brun-Jaurâtre, avec quelques nodules

et veines noirâtres,j Arrêt à 4,10 m dans l'argile.

gX,1J - 0,00 > 0,40 m : terre végétale et argile trarron0,40 è 1,20 m : argi le Jaunâtre, rentermant des granules calcairesRefus â 1,20 m sur rognons calcaires.

GT,16 - 0,00 è 0,30 n ; terre végétale et argile marron; 0,30 i 0,70 m : argi le Jaunâtre renfermant des granules calcairesj Refus Í 0,70 n sur calcaire

ql^l^ - 0,00 h 0.30 m

0,30 h 0.80 n0,20 è 3,10 m

3,10 è 6,00 m

terre végétale brunâtreargI le gris-belge, plastiqueargile bariolée, gris, rougo, Jaune, ocre, plastiqueargile grise et brun-Jajnâtre, plastique, avec nombreuxfilets noirâtres.

Arrêt â 6 m,, dans l'argile.

9Iti2 ~ ^'^0 * 0,20 m ; terre végétale brun-noirâtre0,20 I 1,60 m ; argile bariolée gris, rouge, belge, plastiqueRefus à 1,60 m sur rognons calcaires.

SIil2 " ^'^ * 0,30 m : terre végétale argI leuse, noirâtre0,30 è 1,50 m ; argile grise, veinée de jaune, plastiqueRefus ô 1,50 m sur calcaire.

ÇT^SQ - 0,00 A 0,20 n : terre végétale brun-noirâtre0,20 è 1,50 m : argile belge-Jaunâtre, plastique, avec veines noires.Refus ft 1,50 m sur rognons calcaires.


§If il " ^'^ * *^''^ "" ' terre végétale, brunâtre0,30 S 2,60 m ; argile belge Jaunâtre, veinée de gris et de brun, avec

veines noirâtres â partir de 1,50 m

Refus à 2,60 m sur rognons calcaires.

9I*?2 " 0»^ * 0»'*^ "* ' terre végétale brun-noirâtre0,30 à 2,50 m : argile plastique beige-Jaunâtre, avec veines grises et

noires et petits granules calcaires.2,50 â 4,10 m : argile plastique, grise, veinée de Jaune, avec taches

noires.Refus S 4,10 n, sur calcaire altéré, arglllsé.

terre végétale gris-brunargile plastique belge-Jeunâtre, veinée de grisargile plastique, bariolés gris-Jaune, ocre, avecveines et taches narron et noires. Nombreux petitscristaux de gypse entre 2,50 et 3,50 m.

Arrêt â 4,20 m, dans l'argile.

qr^¡} - 0,00 â 0,30 m

0,30 â 1,00 m

1,00 h 4,20 n

S.iiî - 0,00 i 0,20 n : terre végétale et argile grIs-noIrâtre0,20 h 3,20 m : argile plastique, bariolée, gris Jaune, ocre, avec

filets et taches noires et quelques petits granulescalcaires.

Refus A 3,20 n sur rognons calcaires.

5L?5.tî.iLiiS '0,00 à 0,20 m ; terre végétale grIs-noIrâtre0,20 h 1,00 m : argile Jaunâtre, renfermant des granules calcairesRefus è 0,60 m (GT.25 bis) et 1 i\ (GT.25), sur calcaire.

GT.26 - 0,00 à 0,20 m

0,20 à 0,50 m

0,50 * 4,00 m

Arrêt à 4 m., dans l'argile.

terre végétale argileuse, gris-brunargile grise, plastiqueargile plastique, barloléo, gris, rouge. Jaune, ocre

ÇT,27 - 0,00 à 0,30 m

0,30 â 1,00 m

1,00 â 1,20 m

Refus ft 1,20 n sur rognons calcaires.

terre végétale et argile griseargile plastique, bariolée, gris. Jaune, rougeargile Jaunâtre, è rognons calcaires

§îi?§ " °>0° * 0«20 m0,30 â 0,80 m

0,80 * 2,20 m

terre végétale et argile gris-foncéargile plastique, griseargile plastique, bariolée, gris, rouge. Jaune

Refus â 2,20 m sur rognons calcaires

51*22 ''»^ * °'^0 "> terra végétale brunâtre, avec débris de quartz0,20 â 1,60 m : argi le plastique, bariolée, gris, rouge, ocre, renfer¬

mant quelques petits cristaux do quartr1,60 è 2,00 m : argile plastique, brun-Jaunâtre, avec nombreux filets

et taches noiresRefus â 2 m sur calcaire altéré, arglllsé.

¿>i....l. - 0 â 0,20 m : terre végétale argileuse, gris-brun0,20 â 1,60 ra : argI le plastique, brun-JaunâtreRefus â 1,60 m, sur rognons calcaires

69


§If il " ^'^ * *^''^ "" ' terre végétale, brunâtre0,30 S 2,60 m ; argile belge Jaunâtre, veinée de gris et de brun, avec

veines noirâtres â partir de 1,50 m

Refus à 2,60 m sur rognons calcaires.

9I*?2 " 0»^ * 0»'*^ "* ' terre végétale brun-noirâtre0,30 à 2,50 m : argile plastique beige-Jaunâtre, avec veines grises et

noires et petits granules calcaires.2,50 â 4,10 m : argile plastique, grise, veinée de Jaune, avec taches

noires.Refus S 4,10 n, sur calcaire altéré, arglllsé.

terre végétale gris-brunargile plastique belge-Jeunâtre, veinée de grisargile plastique, bariolés gris-Jaune, ocre, avecveines et taches narron et noires. Nombreux petitscristaux de gypse entre 2,50 et 3,50 m.

Arrêt â 4,20 m, dans l'argile.

qr^¡} - 0,00 â 0,30 m

0,30 â 1,00 m

1,00 h 4,20 n

S.iiî - 0,00 i 0,20 n : terre végétale et argile grIs-noIrâtre0,20 h 3,20 m : argile plastique, bariolée, gris Jaune, ocre, avec

filets et taches noires et quelques petits granulescalcaires.

Refus A 3,20 n sur rognons calcaires.

5L?5.tî.iLiiS '0,00 à 0,20 m ; terre végétale grIs-noIrâtre0,20 h 1,00 m : argile Jaunâtre, renfermant des granules calcairesRefus è 0,60 m (GT.25 bis) et 1 i\ (GT.25), sur calcaire.

GT.26 - 0,00 à 0,20 m

0,20 à 0,50 m

0,50 * 4,00 m

Arrêt à 4 m., dans l'argile.

terre végétale argileuse, gris-brunargile grise, plastiqueargile plastique, barloléo, gris, rouge. Jaune, ocre

ÇT,27 - 0,00 à 0,30 m

0,30 â 1,00 m

1,00 â 1,20 m


terre végétale et argile griseargile plastique, bariolée, gris. Jaune, rougeargile Jaunâtre, è rognons calcaires

§îi?§ " °>0° * 0«20 m0,30 â 0,80 m

0,80 * 2,20 m

terre végétale et argile gris-foncéargile plastique, griseargile plastique, bariolée, gris, rouge. Jaune

Refus â 2,20 m sur rognons calcaires

51*22 ''»^ * °'^0 "> terra végétale brunâtre, avec débris de quartz0,20 â 1,60 m : argi le plastique, bariolée, gris, rouge, ocre, renfer¬

mant quelques petits cristaux do quartr1,60 è 2,00 m : argile plastique, brun-Jaunâtre, avec nombreux filets

et taches noiresRefus â 2 m sur calcaire altéré, arglllsé.

¿>i....l. - 0 â 0,20 m : terre végétale argileuse, gris-brun0,20 â 1,60 ra : argI le plastique, brun-JaunâtreRefus â 1,60 m, sur rognons calcaires

69


- 4

GT,32 - 0,00 à 0,20 n : terre végétale brunâtre0,20 ft 1,50 m : argile brun-Jaunâtre à belge, plastique, renfermant

quelques granules calcairesRefus à 1,50 m sjr rognons calcaires

Çïall " ^'^ ^ 0'^ " ' terre végétale marron, argileuse0,30 â 2,80 m : argile plastique, bariolée gris, rouge, ocre. Jaune

renfermant de nombreux débris da quartz2,80 à 4;00 m : argile plastique, bariolés gris, ocre, noir.

Présence de taches ocrçs et noires, d'aspect terreux.Arrêt ft 4 m, dans l'argile,

ÇT.32 - 0,00 à 0,20 n : terre végétale, brun-foncé, argileuse0,20 ft 1,70 m : argile belge à brun-Jaunâtre, plastique, très humide.1,70 è 4,00 n 5 argile plastique, bariolée, gris-bleu, rouge, ocre

Présence d'eau à 1,70 n.Arrêt à 4 m, dans l'argile.

ÇTjJJ - 0,00 â 0,20 m

0,30 à 1,50 m

1,50 ft 4,00 m

terre végétale brun-fcncô, argileuseargile plastique, beige ft brun-Jaur.âtreargile plastique, gris-bleu, avec filets marron etnombreux débris végétaux déccfnposés entre 2,20 m et2,70 n. Présence da petits cristaux et débris de quartz.

Présence d'eaj â 1,50 m

Arrêt à 4 m, dans l'argile.

^ïtli ' '^'^ ^ '^'^ "" ' terre végétale marron foncé, argileuse0,30 ft 1,00 m ; argile brun-Jaurâtre, plastique avec granules et ro¬

gnons calcaires ft partir do 0,70 nRefus â 1 m, sur calcaire.

iïilt ' 0»*^ * 0,30 m : terre végétale marron, argileuse0,30 à 1,50 m : argi le plastique, belge è brun-jaunâtre1,50 ft 2,20 m : argi le plastique, bariolée gris-bleu et brun-Jaunâtre,

très humide, renfermant quelques granules calcaires.Présence d'eau S 1,50 m

Refus ft 2,20 m sur rognons calcaires,

QIi2§ " 0'^ * 0'^ "" ' terre végétale marron foncé0,20 ô 0,80 m : argile belge â brun-Jaunitre, plastique renfermant

quelques granules calcaires0,80 ft 1,50 m : argi le gris-bleu et Jaune, plastique, avec granules

calcairesRefus â 1,50 m sur rognons calcaires.

GTj37 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale narron0,20 S 1,00 m ; argile plastique belge à brun-Jaunâtre à granules

calcaires1,00 S 1,80 m ; argile gris-bleu et brun-Jaunâtre, avec granul3S cal¬

caires.Présence d'eau ft 1,60 ir.Refus à 1,80 m sur rognons calcaires.

§Iiî§ * '^>'^ * 0,30 m : terre végétale argi lo-tourbeuse0,30 à 2,00 ra : argile gris-bleu, molle, veinée de brun-Jaunâtre, avec

débris végétaux an décompositionPrésence d'eau à 0,30 m

Refus à 2 m sur rognons calcaires. ,

70


- 4

GT,32 - 0,00 à 0,20 n : terre végétale brunâtre0,20 ft 1,50 m : argile brun-Jaunâtre à belge, plastique, renfermant

quelques granules calcairesRefus à 1,50 m sjr rognons calcaires

Çïall " ^'^ ^ 0'^ " ' terre végétale marron, argileuse0,30 â 2,80 m : argile plastique, bariolée gris, rouge, ocre. Jaune

renfermant de nombreux débris da quartz2,80 à 4;00 m : argile plastique, bariolés gris, ocre, noir.

Présence de taches ocrçs et noires, d'aspect terreux.Arrêt ft 4 m, dans l'argile,

ÇT.32 - 0,00 à 0,20 n : terre végétale, brun-foncé, argileuse0,20 ft 1,70 m : argile belge à brun-Jaunâtre, plastique, très humide.1,70 è 4,00 n 5 argile plastique, bariolée, gris-bleu, rouge, ocre

Présence d'eau à 1,70 n.Arrêt à 4 m, dans l'argile.

ÇTjJJ - 0,00 â 0,20 m

0,30 à 1,50 m

1,50 ft 4,00 m

terre végétale brun-fcncô, argileuseargile plastique, beige ft brun-Jaur.âtreargile plastique, gris-bleu, avec filets marron etnombreux débris végétaux déccfnposés entre 2,20 m et2,70 n. Présence da petits cristaux et débris de quartz.

Présence d'eaj â 1,50 m


^ïtli ' '^'^ ^ '^'^ "" ' terre végétale marron foncé, argileuse0,30 ft 1,00 m ; argile brun-Jaurâtre, plastique avec granules et ro¬

gnons calcaires ft partir do 0,70 nRefus â 1 m, sur calcaire.

iïilt ' 0»*^ * 0,30 m : terre végétale marron, argileuse0,30 à 1,50 m : argi le plastique, belge è brun-jaunâtre1,50 ft 2,20 m : argi le plastique, bariolée gris-bleu et brun-Jaunâtre,

très humide, renfermant quelques granules calcaires.Présence d'eau S 1,50 m

Refus ft 2,20 m sur rognons calcaires,

QIi2§ " 0'^ * 0'^ "" ' terre végétale marron foncé0,20 ô 0,80 m : argile belge â brun-Jaunitre, plastique renfermant

quelques granules calcaires0,80 ft 1,50 m : argi le gris-bleu et Jaune, plastique, avec granules

calcairesRefus â 1,50 m sur rognons calcaires.

GTj37 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale narron0,20 S 1,00 m ; argile plastique belge à brun-Jaunâtre à granules

calcaires1,00 S 1,80 m ; argile gris-bleu et brun-Jaunâtre, avec granul3S cal¬

caires.Présence d'eau ft 1,60 ir.Refus à 1,80 m sur rognons calcaires.

§Iiî§ * '^>'^ * 0,30 m : terre végétale argi lo-tourbeuse0,30 à 2,00 ra : argile gris-bleu, molle, veinée de brun-Jaunâtre, avec

débris végétaux an décompositionPrésence d'eau à 0,30 m

Refus à 2 m sur rognons calcaires. ,

70


- 5 -

GTjJS - 0,00 â 0,30 n : terre végétale noirâtre, organique0,30 â 4,00 n : argile plastique, gris-bleu, veinée de brun et ocre

renfermant de nombreux débris végétaux en décompositionPrésence d'eau à 1,50 m

Arrêt i 4 m, dans l'argile.

§îii2 * ^'^ * 0'^^ " terre végétale marron, argileuse0,20 ft 3,20 n : argile plastique gris-bleu, veinée de brun-Jaunâtre, .

renfermant des petits granules calcaires et des débrisvégétaux en décomposition.

Présence d'eau à 0,20 m

Refus * 3,20 m sur rognons calcaires.

fj^41 - 0,00 ft 3,20 m ; argi le gris-bleu, noi le, veinée de brun-Jaunâtre, ren¬fermant des débris végétaux en décomposition.L'argile devient da plus en plus consistante S partirde 2,50 m.


Refus â 3;20 m sur rognons calcaires.

SI»i2 ' 0'^ * 0,20 m : terre végétale brunâtre, argileuse0,20 à 1,40 m : argi le gris-belge, plastlqu3


5T^4J, - 0,00 â 0,50 m t argile gris-belge, plastique0,50 ft 1,50 m : argile plastique, brun-Jaunâtre, veinée de grisRefus à 1,50 m sur rognons calcaires.

iltii ' O»'^ * 0,20 m ; terre végétale, narron, argileuse0,20 ft 1,40 n : argile plastique grise et belgeRefus à 1,40 m sur rognons calcaires.

0,00 ft 1,20 m ; argile gris-bleu ft gris-vert, molle, renfenmant dosgranules calcaires à partir de 1 m


Refus â 1,20 m, sur rognons calcaires.

ÇJ,4g - 0,00 â 0,30 m : terre végétale narron. argileuse0,30 ft 2,20 n : argile plastique, bariolée, gris-bleu et beige2,20 A 4,20 n ; argile plastiqua gris-bleu, avec taches inarron¡ ocre,

noires, d'aspect terreux.Arrêt â 4,20 m, dars l'argile.

ÇHaH " ^'^ * 0,30 m : terre végétale marron, argi leuse0,30 ft IjSû m : argile plastique, belge à brun-Jaur.âtre, veinée de gris.1,80 ft 4,00 n : argile plastique gris-bleu et rouge avec tache ocre,

d'aspect terieux.Légère venue d'esu ft 2,50 m


5I,4J - 0,00 à 0,20 n0,20 ft 1.80 m

1,B0 ft 4;00 m

terre végétale, marron, argileuseargile plastique, belge â brun-Jaunâtre, veinée de grisargile plastique bariolée, gris-bleu, rouge, brun -Jaunâtre.

Arrêt ft 4 m, dans l'argile.

71


- 5 -

GTjJS - 0,00 â 0,30 n : terre végétale noirâtre, organique0,30 â 4,00 n : argile plastique, gris-bleu, veinée de brun et ocre

renfermant de nombreux débris végétaux en décompositionPrésence d'eau à 1,50 m

Arrêt i 4 m, dans l'argile.

§îii2 * ^'^ * 0'^^ " terre végétale marron, argileuse0,20 ft 3,20 n : argile plastique gris-bleu, veinée de brun-Jaunâtre, .

renfermant des petits granules calcaires et des débrisvégétaux en décomposition.


Refus * 3,20 m sur rognons calcaires.

fj^41 - 0,00 ft 3,20 m ; argi le gris-bleu, noi le, veinée de brun-Jaunâtre, ren¬fermant des débris végétaux en décomposition.L'argile devient da plus en plus consistante S partirde 2,50 m.


Refus â 3;20 m sur rognons calcaires.

SI»i2 ' 0'^ * 0,20 m : terre végétale brunâtre, argileuse0,20 à 1,40 m : argi le gris-belge, plastlqu3


5T^4J, - 0,00 â 0,50 m t argile gris-belge, plastique0,50 ft 1,50 m : argile plastique, brun-Jaunâtre, veinée de grisRefus à 1,50 m sur rognons calcaires.

iltii ' O»'^ * 0,20 m ; terre végétale, narron, argileuse0,20 ft 1,40 n : argile plastique grise et belgeRefus à 1,40 m sur rognons calcaires.

0,00 ft 1,20 m ; argile gris-bleu ft gris-vert, molle, renfenmant dosgranules calcaires à partir de 1 m


Refus â 1,20 m, sur rognons calcaires.

ÇJ,4g - 0,00 â 0,30 m : terre végétale narron. argileuse0,30 ft 2,20 n : argile plastique, bariolée, gris-bleu et beige2,20 A 4,20 n ; argile plastiqua gris-bleu, avec taches inarron¡ ocre,

noires, d'aspect terreux.Arrêt â 4,20 m, dars l'argile.

ÇHaH " ^'^ * 0,30 m : terre végétale marron, argi leuse0,30 ft IjSû m : argile plastique, belge à brun-Jaur.âtre, veinée de gris.1,80 ft 4,00 n : argile plastique gris-bleu et rouge avec tache ocre,

d'aspect terieux.Légère venue d'esu ft 2,50 m


5I,4J - 0,00 à 0,20 n0,20 ft 1.80 m

1,B0 ft 4;00 m

terre végétale, marron, argileuseargile plastique, belge â brun-Jaunâtre, veinée de grisargile plastique bariolée, gris-bleu, rouge, brun -Jaunâtre.


71


- 6

5IjÎ2 0,00 à 0,30 n : terre végétale marron, argileuse0,30 ft 1,50 m : argi le belge-Jaunâtre, plastique1,50 à 2,50 m : argile plastique beige-Jaunâtre, veinée de gris, ren¬

fermant des débris végétaux en décomposition.Présence d'eau è 2 ra

Refus à 2,50 n, sur rognons calcaires.

GT,55 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale marron, argileuse0,20 ft 4,00 m : argi le plastique gris-bleu et marron avec nombreuses

taches noires et nodules noires, s'écrasant sous lapression des doigts.

Présence d'eau â 2,60 m

Arrêt â 4 m, dans l'argile.

9I<«« " ^''^ * 0,30 m : terre végétale, marron, argileuse0,30 ft 4,00 m : argile bariolée rouge, ocre, gris-bleu, sèche, peu plas¬

tique, avec présence de taches noires et quelques petitscristaux et débris de quartz.


<ilill^- 0,00 ft 0,30 n terre végétale, marron, argileuse0,30 ft 2,80 m : argile plastique, bariolée, gris, rouge, ocre, svec

taches noires.1,80 ft 4,00 n ; argile grise, plastique, légerement veinée de gris et

d'ocre avec rares débris do quartz.Arrêt â 4 m, dans l'argile noire.

lïtîi ~ 0'^ ^ ^'^ "^ ""glle gris-belge, molle, S débris végétaux en décompo¬sition

Refus S 1,50 m sur élément dur. Indéterminé.

ÇJjg^ - 0,00 ê 0,20 n ; terre végétale, narron0,20 ft 4,00 n i argile ro'jge brique, veinée de gris, d'aspect tuffeux,

pulvérulente, compacte.Arrêt à 4 m, dsns l'argile.

ÇT^J5 - 0,00 3 0,30 m : terre végétale rarron, argileuse0,30 â 2,20 .T : argi le gris-brun, slltouse, plastiqueRefus â 2,20 n sur élément dur Indéterminé.

Çît5§ " ^'^ * '^'^'^ "^ terre végétale marron, argileuse0,30 â 1,50 m : argile plastique, brun-rougeStre, renfermant quelques

petits cristaux et débris de quartz.1,50 à 4,00 n : argile marron et ocre, pc-u plastique, d'aspect tuffeux,

pulvérulente, conpacte.Arrêt ê 4 n, dans l'argile.

SffKTGT.57 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 â 2,30 m

2,30 ft 3.00 m

terre végétale marron, argileuseargile plastique, bariolée rouge et grisargile plastique, grise, veinée de brun-Jaunâtre- avectaches ocre et noires.

Refus â 3 m, sur rognons calcaires.

§Î*S§ 0'^ * ''^"^ "" ' argile plastique, gris-brun, très humide1,70 â 3,50 m : argi lo brun-Jaunâtre, plastique, renfermant quelques

granules calcaires ft la base.Présence d'eau ft 1,60 m

Refus ft 3n50 m., sur rognons calcaires.

72


- 6

5IjÎ2 0,00 à 0,30 n : terre végétale marron, argileuse0,30 ft 1,50 m : argi le belge-Jaunâtre, plastique1,50 à 2,50 m : argile plastique beige-Jaunâtre, veinée de gris, ren¬

fermant des débris végétaux en décomposition.Présence d'eau è 2 ra

Refus à 2,50 n, sur rognons calcaires.

GT,55 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale marron, argileuse0,20 ft 4,00 m : argi le plastique gris-bleu et marron avec nombreuses

taches noires et nodules noires, s'écrasant sous lapression des doigts.



9I<«« " ^''^ * 0,30 m : terre végétale, marron, argileuse0,30 ft 4,00 m : argile bariolée rouge, ocre, gris-bleu, sèche, peu plas¬

tique, avec présence de taches noires et quelques petitscristaux et débris de quartz.


<ilill^- 0,00 ft 0,30 n terre végétale, marron, argileuse0,30 ft 2,80 m : argile plastique, bariolée, gris, rouge, ocre, svec

taches noires.1,80 ft 4,00 n ; argile grise, plastique, légerement veinée de gris et

d'ocre avec rares débris do quartz.Arrêt â 4 m, dans l'argile noire.

lïtîi ~ 0'^ ^ ^'^ "^ ""glle gris-belge, molle, S débris végétaux en décompo¬sition

Refus S 1,50 m sur élément dur. Indéterminé.

ÇJjg^ - 0,00 ê 0,20 n ; terre végétale, narron0,20 ft 4,00 n i argile ro'jge brique, veinée de gris, d'aspect tuffeux,

pulvérulente, compacte.Arrêt à 4 m, dsns l'argile.

ÇT^J5 - 0,00 3 0,30 m : terre végétale rarron, argileuse0,30 â 2,20 .T : argi le gris-brun, slltouse, plastiqueRefus â 2,20 n sur élément dur Indéterminé.

Çît5§ " ^'^ * '^'^'^ "^ terre végétale marron, argileuse0,30 â 1,50 m : argile plastique, brun-rougeStre, renfermant quelques

petits cristaux et débris de quartz.1,50 à 4,00 n : argile marron et ocre, pc-u plastique, d'aspect tuffeux,

pulvérulente, conpacte.Arrêt ê 4 n, dans l'argile.

SffKTGT.57 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 â 2,30 m

2,30 ft 3.00 m

terre végétale marron, argileuseargile plastique, bariolée rouge et grisargile plastique, grise, veinée de brun-Jaunâtre- avectaches ocre et noires.

Refus â 3 m, sur rognons calcaires.

§Î*S§ 0'^ * ''^"^ "" ' argile plastique, gris-brun, très humide1,70 â 3,50 m : argi lo brun-Jaunâtre, plastique, renfermant quelques

granules calcaires ft la base.Présence d'eau ft 1,60 m

Refus ft 3n50 m., sur rognons calcaires.

72


BTj52 - 0,00 ft 0,30 m ; terre végétale marron foncé0,30 ft 2,10 m ; argi le brun-Jaunâtre, pulvérulente

Refus ft 2;10 n sur éléments volcaniques rocheux.

§îèfl " ^'^ * ^'^^ '" ' terre végétale marron fonoô0,20 â 1,70 m ; argile brun-jaunâtre, pulvérulente, renfermant des

granules de roches volcaniques plus ou moins altérés.Refus ô 1,70 m sur éléments volcaniques rocheux.

eT.62 - 0,00 à 0,30 m

0,30 i 1,80 m

1,80 ft 4,00 m


Arrêt à 4 m dans la tourbe

terre végétale, marron, argllo-call louteuseargile gris-blanc, légèrtrient veinée d'ocre, plastique.tourbe.

2ÏA*5 ~ O»*^ * °'50 " argile bariolée gris, rouga, ocre, inolle, renfermantdes granules de roches volcaniques.

0,50 ô 4,00 m : tourbe argi leusePrésence d'eau â 0,30 m

Arrêt â 4 m dans la tourbe.

ÏÏLiii ' 0'^ * 0,20 m : terre végétale argileuse0,20 ft î,50 n : argile Jaunâtre, veinée da gris, plastique, molle.

Présence d'eau à 0,50 m.Refus â 1,60 m sur roche volcanique décomposée.

lîiSS " 0,00 à 1,30 m ! argile rouge-violacé, d'aspect limoneux, peu plastique.1,30 à 1,80 m : roche volcanique argi I Isôe, pulvérulente.Présence d'eau ft 0,60 m

Refus ft 1.80 tn sur roche volcanique altérée

gjj66 - 0,00 à 1,00m : argile rouge-violacé, molle1,00 ft 2,00 m : roche volcanique grise, argillséePrésence d'eau ft 0,20 m

Refus i 2 m sur roche volcanique altéré©

Sî»§2 " O'OO â 0,30 m0,30 ft 0,80 m

0,80 ft 1,80 m

terre végétale, marronargile plastique. Jaunâtre, veinée de grisargile grise, molle


Refus ft 1,80 n sur éléments volcaniques rocheux.

§I»Î5 " 0,00 ft 3,00 m : argi le brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux, pulvérulente.Refus ft 3 m sur éléments volcaniques rochsux.

§Iiê2 ' 0,00 ft 1,50 m : argile brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux, pulvérulente.Refus ft 1,50 m sur éléments volcaniques rocheux.

gl.22.fî.25.6'50,00 â 0,40 n : terre végétale narron foncé renfermant des débris de

roches volcaniques.0,40 à 2,00 n : argile marron â brun-Jaunâtre, renfermant des éléments

de roches volcaniques décomposés.Refus ft 2 m (61.70) et 1,40 m <OT.70 bis) sur éléments volcaniques rocheux.

tf 0 * *

73


BTj52 - 0,00 ft 0,30 m ; terre végétale marron foncé0,30 ft 2,10 m ; argi le brun-Jaunâtre, pulvérulente

Refus ft 2;10 n sur éléments volcaniques rocheux.

§îèfl " ^'^ * ^'^^ '" ' terre végétale marron fonoô0,20 â 1,70 m ; argile brun-jaunâtre, pulvérulente, renfermant des

granules de roches volcaniques plus ou moins altérés.Refus ô 1,70 m sur éléments volcaniques rocheux.

eT.62 - 0,00 à 0,30 m

0,30 i 1,80 m

1,80 ft 4,00 m


Arrêt à 4 m dans la tourbe

terre végétale, marron, argllo-call louteuseargile gris-blanc, légèrtrient veinée d'ocre, plastique.tourbe.

2ÏA*5 ~ O»*^ * °'50 " argile bariolée gris, rouga, ocre, inolle, renfermantdes granules de roches volcaniques.

0,50 ô 4,00 m : tourbe argi leusePrésence d'eau â 0,30 m

Arrêt â 4 m dans la tourbe.

ÏÏLiii ' 0'^ * 0,20 m : terre végétale argileuse0,20 ft î,50 n : argile Jaunâtre, veinée da gris, plastique, molle.

Présence d'eau à 0,50 m.Refus â 1,60 m sur roche volcanique décomposée.

lîiSS " 0,00 à 1,30 m ! argile rouge-violacé, d'aspect limoneux, peu plastique.1,30 à 1,80 m : roche volcanique argi I Isôe, pulvérulente.Présence d'eau ft 0,60 m

Refus ft 1.80 tn sur roche volcanique altérée

gjj66 - 0,00 à 1,00m : argile rouge-violacé, molle1,00 ft 2,00 m : roche volcanique grise, argillséePrésence d'eau ft 0,20 m

Refus i 2 m sur roche volcanique altéré©

Sî»§2 " O'OO â 0,30 m0,30 ft 0,80 m

0,80 ft 1,80 m

terre végétale, marronargile plastique. Jaunâtre, veinée de grisargile grise, molle


Refus ft 1,80 n sur éléments volcaniques rocheux.

§I»Î5 " 0,00 ft 3,00 m : argi le brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux, pulvérulente.Refus ft 3 m sur éléments volcaniques rochsux.

§Iiê2 ' 0,00 ft 1,50 m : argile brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux, pulvérulente.Refus ft 1,50 m sur éléments volcaniques rocheux.

gl.22.fî.25.6'50,00 â 0,40 n : terre végétale narron foncé renfermant des débris de

roches volcaniques.0,40 à 2,00 n : argile marron â brun-Jaunâtre, renfermant des éléments

de roches volcaniques décomposés.Refus ft 2 m (61.70) et 1,40 m <OT.70 bis) sur éléments volcaniques rocheux.

tf 0 * *

73


RT,71 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale brun-noirâtre.siée

0,20 à 1,50 m : argile narron renfenrant des granules de roches volca¬niques

1,50 â 2,00 m ; roche volcanique décomposéeRefus à 2 m, sur éléments volcaniques rocheux.

terre végétale brun-noirâtreargile marron-foncé, peu plastique, pulvérulenteargile brun-jaunâtre, pulvérulente, renfermant desgranules de roches volcaniques plus ou moins décomposés.

Refus à 2,30 m sur éléments volcaniques rocheux.

eT.72 - 0,00 ft 0,20 m

' ' 0,20 ft 1,00 m

1,00 ft 2,30 m

§1*22 " 0,00 à 0,20 m ; terre végétale tiarron foncé0,20 ft 2,00 m : argile marron, pulvérulente, avec quelques granules da

roches voocaniques.2,00 â 3,00 m : roche volcanique argillsée, bariolée, gris, brun, ocre,

friable, renfermant des granules incomplètement décon--posés.

Refus è 3 n sur élériônts volcaniques rocheux.

ïïliïi ' 0,00 â 0,30 m : terre végétale marron foncé0,30 ft 2,20 n : argile marron, puis brun-Jaur.âtre, pulvérulente, renfer¬

mant quelques cristaux de quartz et des granules deroches volcaniques.

Refus â 2,20 n sur éléments volcaniques rocheux.

gTj7| - 0,00 â 0,20 n : terre végétale, marron foncé0,20 â 1,50 m ; argile marron ft brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux1,50 à 2,20 n : argile Jaune et rouge, plastique2,20 * 4,50 n : tuf volcanique entièrement arglllsé, rouge-violacé,

pulvérulent.Arrêt â 4,50 m dans tuf volcanique srglltsé.

§I*ZS ' 0,00 i 1,20 fi : argile marron, renfermant des granules da roches volca¬niques

1,20 â 1,80 n : argi le gris-vert, molle, d'aspect tuffeuxRefus ft 1.80 m sur éléments volcanique» rocheux.

BItZZ " 0,00 ft 0,50 m : terre végétale et argile d'aspect limoneux, brun-foncé,renfermant quelques petits cristaux de quartz.

0,50 â 4,20 ra : argile brun-Jaunâtre ^ d'aspect limoneux, pulvérulente,renfermant quelques granules de roches volcaniques etpassant vers 4 ra ft tuf volcanique arglllsé.

Arrêt ft 4,20 m dans le tuf volcanique arglllsé.

gTj7§ - Coupe du talus de la RN.1

0,00 ft 0,30 n : terre végétale brun-foncé.0,30 â 1,00 m : argi le brun-jaunâtre â débris de quartz1,00 ft 1,60 m ! tuftite argillsée Jaunâtre, pulvérulente1,80 ê 3,50 m : tuff Ite argi I îsée marron, pulvérulente3,50 ft 5,00 m : tuf f Ite argi I Isôe rougeâtre, pulvérulente5,00 â 8,00 m : tufflte argillsée brun-Jaurâtre, pulvérulente,Ensemble volcanique (tufflte) arglllsé en masse mais la structure de la rocheest encore bien visible.

74


RT,71 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale brun-noirâtre.siée

0,20 à 1,50 m : argile narron renfenrant des granules de roches volca¬niques

1,50 â 2,00 m ; roche volcanique décomposéeRefus à 2 m, sur éléments volcaniques rocheux.

terre végétale brun-noirâtreargile marron-foncé, peu plastique, pulvérulenteargile brun-jaunâtre, pulvérulente, renfermant desgranules de roches volcaniques plus ou moins décomposés.

Refus à 2,30 m sur éléments volcaniques rocheux.

eT.72 - 0,00 ft 0,20 m

' ' 0,20 ft 1,00 m

1,00 ft 2,30 m

§1*22 " 0,00 à 0,20 m ; terre végétale tiarron foncé0,20 ft 2,00 m : argile marron, pulvérulente, avec quelques granules da

roches voocaniques.2,00 â 3,00 m : roche volcanique argillsée, bariolée, gris, brun, ocre,

friable, renfermant des granules incomplètement décon--posés.

Refus è 3 n sur élériônts volcaniques rocheux.

ïïliïi ' 0,00 â 0,30 m : terre végétale marron foncé0,30 ft 2,20 n : argile marron, puis brun-Jaur.âtre, pulvérulente, renfer¬

mant quelques cristaux de quartz et des granules deroches volcaniques.

Refus â 2,20 n sur éléments volcaniques rocheux.

gTj7| - 0,00 â 0,20 n : terre végétale, marron foncé0,20 â 1,50 m ; argile marron ft brun-Jaunâtre, d'aspect limoneux1,50 à 2,20 n : argile Jaune et rouge, plastique2,20 * 4,50 n : tuf volcanique entièrement arglllsé, rouge-violacé,

pulvérulent.Arrêt â 4,50 m dans tuf volcanique srglltsé.

§I*ZS ' 0,00 i 1,20 fi : argile marron, renfermant des granules da roches volca¬niques

1,20 â 1,80 n : argi le gris-vert, molle, d'aspect tuffeuxRefus ft 1.80 m sur éléments volcanique» rocheux.

BItZZ " 0,00 ft 0,50 m : terre végétale et argile d'aspect limoneux, brun-foncé,renfermant quelques petits cristaux de quartz.

0,50 â 4,20 ra : argile brun-Jaunâtre ^ d'aspect limoneux, pulvérulente,renfermant quelques granules de roches volcaniques etpassant vers 4 ra ft tuf volcanique arglllsé.

Arrêt ft 4,20 m dans le tuf volcanique arglllsé.

gTj7§ - Coupe du talus de la RN.1

0,00 ft 0,30 n : terre végétale brun-foncé.0,30 â 1,00 m : argi le brun-jaunâtre â débris de quartz1,00 ft 1,60 m ! tuftite argillsée Jaunâtre, pulvérulente1,80 ê 3,50 m : tuff Ite argi I îsée marron, pulvérulente3,50 ft 5,00 m : tuf f Ite argi I Isôe rougeâtre, pulvérulente5,00 â 8,00 m : tufflte argillsée brun-Jaurâtre, pulvérulente,Ensemble volcanique (tufflte) arglllsé en masse mais la structure de la rocheest encore bien visible.

74


- 9

§1*32 ~ 0,00 ft 2,00 m ; argile rouge, plastique, passant ft une tufflterouge, argillsée, friable.

Refus â 2 m dons tuftite altérée.

BT.§2 - 0,00 ft 0,40 m

0,40 à 1,00 m

t.OO ft 3,10 m

terre végétale, tnarron-foncé.argi le marronargile brun-rougeâtre, d'aspect tuffeux

Refus ft 3,10 tn sur roche volcanique décomposée.

ëltSi " 0,00 ft 0,30 m : terre végétale marron-foncé0,30 ft 1,80 m ; argile marron renfermant des granules de roches

volcaniques plus ou tnoins dâcomposés1,80 ft 2,00 m : roche volcanique altérée, friable, argi lo-sab louse.Refus ft 2 n sur roche volcanique altérée.

Sîi§S " 0,00 à 0,20 m : terre végétale, marron0,20 ft 2,<X5 m ; argile tuffeuse, brun-rougeâtre, avec débris da

quartz2,00 â 4,00m : tufflte argillsée, friable, brun â brun-rougeâtre.Arrêt à 4 m dans la tufflte argillsée, pulvérulente.

§îi2î. " 0,00 i 0,30 m : tsrre végétale brun-noirâtre0,30 à 1,50 R : argi le ir^rron, plastique, d'aspect limoneux1,50 ft 2,20 n : argile grise et marron, plastique, mollePrésence d'eau â 0,50 m

Refus ft 2,20 m sur rognons rocheux.

terre végétale marron, argileuseargile llrnoneuse, brun-rougeâtre, ft débris de quartztufflte violacée, entièrement argillsée, pulvéru¬lente.

Arrêt à 3 ir. dans la tufflte argillsée

§T.84 - 0,00 à 0.30 ro

0,30 h 2,00 n2,00 ft 3,00 m

vltMi - 0,00 ft 0,30 m : terre végétale, marron0,30 ft 5,80 m : argile marron, un peu granuleuse, plastique, mollo3,80 2 4,30 m ; argile tuffeuse, bariolée, rouge et grisPrésence d'eau â 0,50 m

Arrêt i 4,30 ro dans l'argile.

ëIaS> " ^'^ * 0,20 m : tçrre végétale, marron foncé0,20 à 1,00 n : argile marron, sllteuse1,00 ft 3,60 m I argile grise et marron, sllteuse, molle.Présence d'eau vers 1 m

Refus â 3,60 m sur rocha décomposée, graveleuse.

BTj82 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 ft 1,00 m

1 ,00 ft 3,00 aRefus â 3 m sur rognon» rocheux

terre végétale, tnarron foncéargile marron, sllteuseargile bariolée rouge et grise, tuffeuse.

?!*§§. " 0,00 â 0,20 m0,20 â 0.60 m

0,60 â 4,00 m

terre végétale, marron-foncéargile brun-Jaunâtre, plastique, ft débris de quartzargile tuffeuse, compacte,, bariolée rouge, gris,ocre, renfermant des cristaux et débris de quartz.

Arrêt ft 4 m dans l'argile, .

75


- 9

§1*32 ~ 0,00 ft 2,00 m ; argile rouge, plastique, passant ft une tufflterouge, argillsée, friable.

Refus â 2 m dons tuftite altérée.

BT.§2 - 0,00 ft 0,40 m

0,40 à 1,00 m

t.OO ft 3,10 m

terre végétale, tnarron-foncé.argi le marronargile brun-rougeâtre, d'aspect tuffeux

Refus ft 3,10 tn sur roche volcanique décomposée.

ëltSi " 0,00 ft 0,30 m : terre végétale marron-foncé0,30 ft 1,80 m ; argile marron renfermant des granules de roches

volcaniques plus ou tnoins dâcomposés1,80 ft 2,00 m : roche volcanique altérée, friable, argi lo-sab louse.Refus ft 2 n sur roche volcanique altérée.

Sîi§S " 0,00 à 0,20 m : terre végétale, marron0,20 ft 2,<X5 m ; argile tuffeuse, brun-rougeâtre, avec débris da

quartz2,00 â 4,00m : tufflte argillsée, friable, brun â brun-rougeâtre.Arrêt à 4 m dans la tufflte argillsée, pulvérulente.

§îi2î. " 0,00 i 0,30 m : tsrre végétale brun-noirâtre0,30 à 1,50 R : argi le ir^rron, plastique, d'aspect limoneux1,50 ft 2,20 n : argile grise et marron, plastique, mollePrésence d'eau â 0,50 m

Refus ft 2,20 m sur rognons rocheux.

terre végétale marron, argileuseargile llrnoneuse, brun-rougeâtre, ft débris de quartztufflte violacée, entièrement argillsée, pulvéru¬lente.

Arrêt à 3 ir. dans la tufflte argillsée

§T.84 - 0,00 à 0.30 ro

0,30 h 2,00 n2,00 ft 3,00 m

vltMi - 0,00 ft 0,30 m : terre végétale, marron0,30 ft 5,80 m : argile marron, un peu granuleuse, plastique, mollo3,80 2 4,30 m ; argile tuffeuse, bariolée, rouge et grisPrésence d'eau â 0,50 m

Arrêt i 4,30 ro dans l'argile.

ëIaS> " ^'^ * 0,20 m : tçrre végétale, marron foncé0,20 à 1,00 n : argile marron, sllteuse1,00 ft 3,60 m I argile grise et marron, sllteuse, molle.Présence d'eau vers 1 m

Refus â 3,60 m sur rocha décomposée, graveleuse.

BTj82 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 ft 1,00 m

1 ,00 ft 3,00 aRefus â 3 m sur rognon» rocheux

terre végétale, tnarron foncéargile marron, sllteuseargile bariolée rouge et grise, tuffeuse.

?!*§§. " 0,00 â 0,20 m0,20 â 0.60 m

0,60 â 4,00 m

terre végétale, marron-foncéargile brun-Jaunâtre, plastique, ft débris de quartzargile tuffeuse, compacte,, bariolée rouge, gris,ocre, renfermant des cristaux et débris de quartz.

Arrêt ft 4 m dans l'argile, .

75


- 10

BT,e9 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale, marron'"" 0,20 à 0,60 n : argi le brun-Jaunâtre avec quelques débris de quartz

0,60 ft 4,00 m : argi le tuffeuse, rougo, bariolée de gris et ocre.,ft débris de quartz rares

Arrêt 3 4 n dans l'argile.

ei*2Q -

BT.91

gî*?i -

ei*S2

0,00 è 0,30 IS : terre végétale brun-noirâtre0,30 à 0,70 m ! argile narron0,70 â 2,50 m : argi le pisstiq'je, brun-Jaunâtre2,50 ft 5,00 n ; argile gris-bleu, mollePrésence d'eau vors 0,60 m

Arrêt a 5 m, dans l'argile gris-bleu,

0,00 ft 0,20 m : terre végétale, marron0,20 à 4,00 n ; argile brun-rougeâtre, légèrement plastique au

sommet, puis pulvérulente, avec nombreux petitscristaux et débris de quartz.


§1.22

0,00 â 0,30 m

0,30 à 1,00 m

1,00 â 4,00 m


terre végétale, marronargile brun-Jaunâtre, légèrement plastiqueargile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre. Jaune.

0,00 ft 0,50 11

0,50 à 1,00 m

1,00 à 2,40 m

2,40 à 4,00 m

Présence d"eau vers 2,50 m

Arrêt S 4 m dans l'argile.

terre végétale et argile rsrron-foncéargile marronargile brun-Jaunâtreargile bariolée, rouge, gris, ocre

§îi25 -

BÎ.95

0,00 è 0,20 m ; terra végétale, marren0,20 à 4,00 m : argile brun-Jaunâtre, puis brun-rougeâtre,

pulvérulente avec rares débris de quartz.Arrêt à 4 m dans l'argile.

0,00 â 0,30 n ; argi le brun-jaunâtre0,30 ft 4,00 n ; argile tuffeuse, bariolée rouoe, gris, ocre

Présence d'eau vers 2,50 m

Arrêt â 4 m dcns l'argile.

2Î»2§ ' 0,00 ft 0,30 m ; terre végétale, marron0,30 â 4,00 m : argile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre.Arrêt Í 4 m, dans l'argile.

0,00 â 0,20 m

0,20 â 0,70 m

0,70 â 3,00 m

terre végétale, marronargile plastique, barloléo gris et brun-Jaunâtroargile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre, brun,avec rares débris de quartz.


Arrêt à 3 m dans l'argile.

./...

76


- 10

BT,e9 - 0,00 ft 0,20 m : terre végétale, marron'"" 0,20 à 0,60 n : argi le brun-Jaunâtre avec quelques débris de quartz

0,60 ft 4,00 m : argi le tuffeuse, rougo, bariolée de gris et ocre.,ft débris de quartz rares

Arrêt 3 4 n dans l'argile.

ei*2Q -

BT.91

gî*?i -

ei*S2

0,00 è 0,30 IS : terre végétale brun-noirâtre0,30 à 0,70 m ! argile narron0,70 â 2,50 m : argi le pisstiq'je, brun-Jaunâtre2,50 ft 5,00 n ; argile gris-bleu, mollePrésence d'eau vors 0,60 m

Arrêt a 5 m, dans l'argile gris-bleu,

0,00 ft 0,20 m : terre végétale, marron0,20 à 4,00 n ; argile brun-rougeâtre, légèrement plastique au

sommet, puis pulvérulente, avec nombreux petitscristaux et débris de quartz.


§1.22

0,00 â 0,30 m

0,30 à 1,00 m

1,00 â 4,00 m


terre végétale, marronargile brun-Jaunâtre, légèrement plastiqueargile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre. Jaune.

0,00 ft 0,50 11

0,50 à 1,00 m

1,00 à 2,40 m

2,40 à 4,00 m

Présence d"eau vers 2,50 m

Arrêt S 4 m dans l'argile.

terre végétale et argile rsrron-foncéargile marronargile brun-Jaunâtreargile bariolée, rouge, gris, ocre

§îi25 -

BÎ.95

0,00 è 0,20 m ; terra végétale, marren0,20 à 4,00 m : argile brun-Jaunâtre, puis brun-rougeâtre,

pulvérulente avec rares débris de quartz.Arrêt à 4 m dans l'argile.

0,00 â 0,30 n ; argi le brun-jaunâtre0,30 ft 4,00 n ; argile tuffeuse, bariolée rouoe, gris, ocre


Arrêt â 4 m dcns l'argile.

2Î»2§ ' 0,00 ft 0,30 m ; terre végétale, marron0,30 â 4,00 m : argile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre.Arrêt Í 4 m, dans l'argile.

0,00 â 0,20 m

0,20 â 0,70 m

0,70 â 3,00 m

terre végétale, marronargile plastique, barloléo gris et brun-Jaunâtroargile tuffeuse, bariolée rouge, gris, ocre, brun,avec rares débris de quartz.


Arrêt à 3 m dans l'argile.

./...

76


- M

§1*22 0,00 â 0,20 m ; terre végétale, marron0,20 ft 0,70 m : argile plastique, brun-Jaunâtre0,70 ft 3,00 m : argile tuffeuse, bariolée., rouge, gris, ocre, avec

rares débris de quartz.Présence d'eau vers 1,50 nArrêt S 3 m dans l'argile.

BT.99 0,00 â 0,20 m ; terra végétale, marron0,20 ft 0,60 ro : argile plastique brun-Jaunâtre ft rares débris do

quartz.0,60 ft 2,50 m : argile plastique, bariolée gris, rouge, ocre pas¬

sant ft la base ft uns argile ocre, pulverulento.Refus i 2,50 m sur rcgnon rocheux.

BT.tOO- 0,00 â 0,20 n0,20 ft 0,50 m

0,50 a 2;i'0 m

2,60 ft 4,C0 m



terre végétaleargile gris-brun plastiqueargile ocre, veinée de gris, plastiqueargile plastique, bariolée gris ot rouge

§r*lîl " 0,00 â 0,40 m ; terre végétale et argi le marron0,40 â 1,20 m : argile brun-Jaunâtre, peu plastiqua1,20 ft 4,00 m : argile tuffeuse, pulvérulente, bariolée rouge,

gris, ocre.Arrêt S 4 mj dans l'argile.

§1*122 ' 0,00 ft 0,20 m :0,20 ft 0,80 m :

0,80 ft 4,00 m ;

Arrêt Í 4 m, dans

terre végétale, marronargile sllteuse, brun-clair, avec nombreux noduleset taches noiresargile tuffeuse, bariolée. Jaune, gris, rose, lieds vin, pulvérulente,

l'argile.

OT. 103 - 0,00 & 0,20 m :

0,20 ft 0,70 n :

0,70 ft 4,00 m :

Arrêt â 4 n, dans

terre végétale, marronargile brun-Jaunâtre., un pou sllteuse, légèrenentplastiqueargile tuffeuse, bariolée rouge, g'''*» Jaune, ocre.Ile de vin, pulvérulente,

l'argile.

gl»i54 - 0,00 â 0,30 m ;

0,30 â 4,00 m ;terre végétale marron foncéargile brun-rougeâtro, légèrement plastique en tStapuis tuffeuse, pulvérulente. Présence de débris doquartz rares et de potlts nodules et taches noires.


fl*]î5 - 0,00 ft 0,20 m ;0,20 ft 3,40 m :

3,aO à 4,00 n :Arrêt â 4 m, dans

terre végétale narron foncéargile tuffeuso, bariolée rouge-vlolacé veinée degris, pulvérulenteargile tuffeuse grise, pulvérulente

l'argile grise.

77


- M

§1*22 0,00 â 0,20 m ; terre végétale, marron0,20 ft 0,70 m : argile plastique, brun-Jaunâtre0,70 ft 3,00 m : argile tuffeuse, bariolée., rouge, gris, ocre, avec

rares débris de quartz.Présence d'eau vers 1,50 nArrêt S 3 m dans l'argile.

BT.99 0,00 â 0,20 m ; terra végétale, marron0,20 ft 0,60 ro : argile plastique brun-Jaunâtre ft rares débris do

quartz.0,60 ft 2,50 m : argile plastique, bariolée gris, rouge, ocre pas¬

sant ft la base ft uns argile ocre, pulverulento.Refus i 2,50 m sur rcgnon rocheux.

BT.tOO- 0,00 â 0,20 n0,20 ft 0,50 m

0,50 a 2;i'0 m

2,60 ft 4,C0 m



terre végétaleargile gris-brun plastiqueargile ocre, veinée de gris, plastiqueargile plastique, bariolée gris ot rouge

§r*lîl " 0,00 â 0,40 m ; terre végétale et argi le marron0,40 â 1,20 m : argile brun-Jaunâtre, peu plastiqua1,20 ft 4,00 m : argile tuffeuse, pulvérulente, bariolée rouge,

gris, ocre.Arrêt S 4 mj dans l'argile.

§1*122 ' 0,00 ft 0,20 m :0,20 ft 0,80 m :

0,80 ft 4,00 m ;

Arrêt Í 4 m, dans

terre végétale, marronargile sllteuse, brun-clair, avec nombreux noduleset taches noiresargile tuffeuse, bariolée. Jaune, gris, rose, lieds vin, pulvérulente,

l'argile.

OT. 103 - 0,00 & 0,20 m :

0,20 ft 0,70 n :

0,70 ft 4,00 m :

Arrêt â 4 n, dans

terre végétale, marronargile brun-Jaunâtre., un pou sllteuse, légèrenentplastiqueargile tuffeuse, bariolée rouge, g'''*» Jaune, ocre.Ile de vin, pulvérulente,

l'argile.

gl»i54 - 0,00 â 0,30 m ;

0,30 â 4,00 m ;terre végétale marron foncéargile brun-rougeâtro, légèrement plastique en tStapuis tuffeuse, pulvérulente. Présence de débris doquartz rares et de potlts nodules et taches noires.


fl*]î5 - 0,00 ft 0,20 m ;0,20 ft 3,40 m :

3,aO à 4,00 n :Arrêt â 4 m, dans

terre végétale narron foncéargile tuffeuso, bariolée rouge-vlolacé veinée degris, pulvérulenteargile tuffeuse grise, pulvérulente

l'argile grise.

77


12

BT 106.«* 0,00 i 0,20 m ! terre véoétale, marron foncé0,20 ft 2,00 m : argi le gris-brun, plastique, renfermant des

granules de roches volcaniques décomposés.Arrêt ft 2 m sur rognons rochoux.

SÏ*I2Z " 0,00 à 0,20 m i terre végétale marron0,20 ft 2,20 m : argi le gris-brun, puis brun-jaunâtre, plastique,

renfermant des petits nodules noirâtres.Refus â 2,20 n sur rognons calcaires,

QÏ*J2S " 0,00 ft 0..50 r, ! terre végétale et argile marron0,50 ft 3,20 m : errllô plastique, barlolêO; rouge, gris, ocre.3,20 ft 4,00 m : argile brun-Jaunâtre, plastique, avec nombreux

filets et taches noirs.Refus â 4 m sur rognons calcaires.

GT,109 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 ft 1,90 m

1,90 à 2,50 m

terre végétale marron forcé, argileuseargile plastique, bariolée Qris, beige, rougeargile plastique brun-Jaunâtre avec filets noirs

Refus è 2,50 m, sur rognons calcaires.

SI*112 " Carrière de OEVARIEUX - SAIMT FRAfCOIS -Calcarénite d'une grande blancheur, visible sur 3 m de hauteur aufront de taille de la carrière.

21*211 " 0,00 ft 0,20 m : terre végétale marron forcé0,20 S 1,80 m : argi le plastique, gris-beige

Refus â 1,30 ra sur rognons calcaires.

GTjllJ - 0,00 ft 0,20 n0,20 à 1,60 m

1,60 à 2,20 m

torro végétale, marronargile bariolée grise et rouge, plastiqueargile plastique, jaunâtre avec filets noirs ftla baS9.

Refus ft 2,20 m sur rognons calcaires.

78


12

BT 106.«* 0,00 i 0,20 m ! terre véoétale, marron foncé0,20 ft 2,00 m : argi le gris-brun, plastique, renfermant des

granules de roches volcaniques décomposés.Arrêt ft 2 m sur rognons rochoux.

SÏ*I2Z " 0,00 à 0,20 m i terre végétale marron0,20 ft 2,20 m : argi le gris-brun, puis brun-jaunâtre, plastique,

renfermant des petits nodules noirâtres.Refus â 2,20 n sur rognons calcaires,

QÏ*J2S " 0,00 ft 0..50 r, ! terre végétale et argile marron0,50 ft 3,20 m : errllô plastique, barlolêO; rouge, gris, ocre.3,20 ft 4,00 m : argile brun-Jaunâtre, plastique, avec nombreux

filets et taches noirs.Refus â 4 m sur rognons calcaires.

GT,109 - 0,00 ft 0,20 m

0,20 ft 1,90 m

1,90 à 2,50 m

terre végétale marron forcé, argileuseargile plastique, bariolée Qris, beige, rougeargile plastique brun-Jaunâtre avec filets noirs

Refus è 2,50 m, sur rognons calcaires.

SI*112 " Carrière de OEVARIEUX - SAIMT FRAfCOIS -Calcarénite d'une grande blancheur, visible sur 3 m de hauteur aufront de taille de la carrière.

21*211 " 0,00 ft 0,20 m : terre végétale marron forcé0,20 S 1,80 m : argi le plastique, gris-beige

Refus â 1,30 ra sur rognons calcaires.

GTjllJ - 0,00 ft 0,20 n0,20 à 1,60 m

1,60 à 2,20 m

torro végétale, marronargile bariolée grise et rouge, plastiqueargile plastique, jaunâtre avec filets noirs ftla baS9.

Refus ft 2,20 m sur rognons calcaires.

78


Annexe 2

Sondages carottés : coupes (données BSS)

79


Annexe 2

Sondages carottés : coupes (données BSS)

79

COo

i 27,01 460 Wb o â 2},00

0 ¡O»

I8a.59c^»

0 f,,at,i«iw. wwtw06Sf VATIQNS

Cl*pla* « 18,00à 23,00 . m IS* grartar *« 16,à 2},00.

It«p4r« oliinéhlqw* i Sol Cf ëw npérm t l^.jg

NIVEAU nCzOMfniQut

1W19«} 23,00

pl»« a

16.20 * 1,12

Ob««rvailom i

<^

oe»T

DoM

16-IT/V6J20 su 2VVd}27 «1 SQ/Ví i

22(00

25,0023,00

Dwt««

20 k

66 k

75 h«15

V* C* «hMta. ** *"'Art«tlM *..tm4'»m

1,12

1,071,12

.1,10-1,23-1,0»

2,2Í

2,30Z.1T

f»!»* Obi«.v«lloiN

i WeCÍ «nat1< **tlit 4u

44aa(At iMlàl*f Im tu Miu I* «4tlt

260 mt/l

11 nabl* tu* 1* **u.t lulBUi * e* ^ta aolt *a l'artr* 4a U aV^

Afclilvags á«t 4acw**n'* OflfiiirawK non rspro^Mlli t

S.O.B*iatlllaa

<>«um<.ai*BACNY*,- coupa taohalqua tu foraca.. t f«l«t 4'uwa ck 1»^

Donlar iiHHvll par ; SBBUTI. 1 - 3 - 1966

MU a jour |Mt I

I. ! - 3 - 19«e

Moaibfa 4'tirt«r«a)«lrM iDouta* C |u.qo'au

lo la - 3 > 1968 CaM,*U IM, I (á.Kl<EUFK(lU(6

dCpADTEMENT i ODUIBiOaFI N* t.«.O.M. 4'~,.,¡.l.»,,. ,

COMMUNE t

dCsignation

ion L01II3

Forana Baauplalalr

CMIl GÍqi. AU 1/5^000' I Fouilla

ORAISS - TSBBJt

OMI ,

Doto 4'o.4cut*on i

Pfofoo^wf finólo t

Baoharoha d*aau

Oetobra-ItoTaabra lt62

25' Foollló 3 . PaUV-Canal

Nolufo :Modo do lorogo t

ïoraga

S.á daa Ualnaa 4a ''oaujMotTro 4o l'ooMvfO t

ProprIOfoho on If <2

EMfOfMonow, I Sit BACHT

TiOvooa conaolllOi ew MlvIs for t 7

Clahio 4oi 4««oao«h I SIf-SlCHT

Howtow* 4o tobeao oo 4o lo «ofgollo dépotwnl lo loi 1

O, 20 a

AccOMibittU I /^«SMod* 4*4<iwip«m«M 1 Poffp* trp* ZSB four 1m tfaalad« ddblW ! ««bl«p«a ltT« MtuaU«Miit èqui-p4 - It fon«% «at r*ooin«rt d*iBi« pl«qiM fuit «Hé* «u tuteg*.

ndic* 4« elttM«M

N- 1 i/e

1135 -

in» I

[n * 4'«iitf 4*suit ttrchtvMi

34 {

ArchivofO

Coo.4onn«oa LoMbor* i X 663. 61-- "111; 99y - lail

Zono

ClCoto do .ol ,-, I '"*"'"" lllNG- M, 32

Corlo ddloilUo oo croowl* «614 i

ECM. 1/ll«»

oktorwotien, t la foraga, blan qu*4tant à qnalqua* aètraa du ofaamlA aat tarlalbla, al laoanna B*aat paa ooup4a.Ca forafa a' aat paa iploit4.

hCfeXMCES iiaLlOOAPHIQUES II CEOIOGIC I

9'apr4a la aarta (4ologlqua au VSO.OOO da la Oraada-farra, la fora<a a 4t4 ai4o\^t4 4aiia »» arglla ta dtealelfloaUaa at daa T4altua da laaalraca tt lattrlta* ( )neoinrant taa *ealoalna blanoa rtetfaux* (ut) du Uoetaa Inttrlaur.

Cclmtflllona I Itaat.

y1/iss-z2oo zi^/f/îlc. -y\

><3

aCD

ac

CL2.oc

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Cl*pla* « 18,00à 23,00 . m IS* grartar *« 16,à 2},00.

It«p4r« oliinéhlqw* i Sol Cf ëw npérm t l^.jg

NIVEAU nCzOMfniQut

1W19«} 23,00

pl»« a

16.20 * 1,12

Ob««rvailom i

<^

oe»T

DoM

16-IT/V6J20 su 2VVd}27 «1 SQ/Ví i

22(00

25,0023,00

Dwt««

20 k

66 k

75 h«15

V* C* «hMta. ** *"'Art«tlM *..tm4'»m

1,12

1,071,12

.1,10-1,23-1,0»

2,2Í

2,30Z.1T

f»!»* Obi«.v«lloiN

i WeCÍ «nat1< **tlit 4u

44aa(At iMlàl*f Im tu Miu I* «4tlt

260 mt/l

11 nabl* tu* 1* **u.t lulBUi * e* ^ta aolt *a l'artr* 4a U aV^

Afclilvags á«t 4acw**n'* OflfiiirawK non rspro^Mlli t

S.O.B*iatlllaa

<>«um<.ai*BACNY*,- coupa taohalqua tu foraca.. t f«l«t 4'uwa ck 1»^

Donlar iiHHvll par ; SBBUTI. 1 - 3 - 1966

MU a jour |Mt I

I. ! - 3 - 19«e

Moaibfa 4'tirt«r«a)«lrM iDouta* C |u.qo'au

lo la - 3 > 1968 CaM,*U IM, I (á.Kl<EUFK(lU(6

dCpADTEMENT i ODUIBiOaFI N* t.«.O.M. 4'~,.,¡.l.»,,. ,

COMMUNE t

dCsignation

ion L01II3

Forana Baauplalalr

CMIl GÍqi. AU 1/5^000' I Fouilla

ORAISS - TSBBJt

OMI ,

Doto 4'o.4cut*on i

Pfofoo^wf finólo t

Baoharoha d*aau

Oetobra-ItoTaabra lt62

25' Foollló 3 . PaUV-Canal

Nolufo :Modo do lorogo t

ïoraga

S.á daa Ualnaa 4a ''oaujMotTro 4o l'ooMvfO t

ProprIOfoho on If <2

EMfOfMonow, I Sit BACHT

TiOvooa conaolllOi ew MlvIs for t 7

Clahio 4oi 4««oao«h I SIf-SlCHT

Howtow* 4o tobeao oo 4o lo «ofgollo dépotwnl lo loi 1

O, 20 a

AccOMibittU I /^«SMod* 4*4<iwip«m«M 1 Poffp* trp* ZSB four 1m tfaalad« ddblW ! ««bl«p«a ltT« MtuaU«Miit èqui-p4 - It fon«% «at r*ooin«rt d*iBi« pl«qiM fuit «Hé* «u tuteg*.

ndic* 4« elttM«M

N- 1 i/e

1135 -

in» I

[n * 4'«iitf 4*suit ttrchtvMi

34 {

ArchivofO

Coo.4onn«oa LoMbor* i X 663. 61-- "111; 99y - lail

Zono

ClCoto do .ol ,-, I '"*"'"" lllNG- M, 32

Corlo ddloilUo oo croowl* «614 i

ECM. 1/ll«»

oktorwotien, t la foraga, blan qu*4tant à qnalqua* aètraa du ofaamlA aat tarlalbla, al laoanna B*aat paa ooup4a.Ca forafa a' aat paa iploit4.

hCfeXMCES iiaLlOOAPHIQUES II CEOIOGIC I

9'apr4a la aarta (4ologlqua au VSO.OOO da la Oraada-farra, la fora<a a 4t4 ai4o\^t4 4aiia »» arglla ta dtealelfloaUaa at daa T4altua da laaalraca tt lattrlta* ( )neoinrant taa *ealoalna blanoa rtetfaux* (ut) du Uoetaa Inttrlaur.

Cclmtflllona I Itaat.

y1/iss-z2oo zi^/f/îlc. -y\

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y\y\1>S'^1^^^^ /fA c-zDÉPT : 971 COMMUNE : PORT MOTSD4>itutiaa : Forage BeauplalslrCouixaui 1/200 «abilapan SIP^AOTY

Indica do

nvi .21.Xo

Intarprtt4* par : DRSAK665, 61 Y. 1817,99

iioi. + 19t32rnbM.

"ITïl

1.10

Doml-coupa tachnioua

10.00

S

DESCRIPTION CEOIOCIOUE

Terre végétale

Arplle conp.'icte jaune et grloe.

Argile Jaune et débris calcaire

Stmi-groatiia

17. to

23.00

SCalcaire dur fiesuré et argile Jauneet ¿riae.

î^mj

-Ttritr m

SCalcaire dur très fiesuzé et argileJaime.

^

Data Horüon aptt NIMMiHiuonUtqaa

Cotapi4fleinotrlqtta

046ÍC04 ni>/h«ar« Robattamont OUEUVATIONS

To.lóilKMlt

i w "** «ttidOMC Co Ma

81


y\y\1>S'^1^^^^ /fA c-zDÉPT : 971 COMMUNE : PORT MOTSD4>itutiaa : Forage BeauplalslrCouixaui 1/200 «abilapan SIP^AOTY

Indica do

nvi .21.Xo

Intarprtt4* par : DRSAK665, 61 Y. 1817,99

iioi. + 19t32rnbM.

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1.10

Doml-coupa tachnioua

10.00

S


Terre végétale

Arplle conp.'icte jaune et grloe.

Argile Jaune et débris calcaire

Stmi-groatiia

17. to

23.00

SCalcaire dur fiesuré et argile Jauneet ¿riae.

î^mj

-Ttritr m

SCalcaire dur très fiesuzé et argileJaime.

^

Data Horüon aptt NIMMiHiuonUtqaa

Cotapi4fleinotrlqtta

046ÍC04 ni>/h«ar« Robattamont OUEUVATIONS

To.lóilKMlt

i w "** «ttidOMC Co Ma

81


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B,R,G.M. d'enragittrement i

COMMUNE :

DfSIGNATION

PETIT CAHAL

Pont SoTllle Plésomètre

CARTE cfoL. AU 1/ g) 000

Feuille

QBASSB TEBBS

OBJET :

Dote d'ex<culion :

Profondeur finóle :

Hecoonaissance eau

Mal 1969

Noture :

Mode de forogesondageEotaiy

MoTtre de l'oeuvre : Génie Bural

Propriétoire en 1969 Génie ^UTal

Entrepreneur : SIP BACHT

Trovaux conteillét ou lulvli por : BHOI Génie Bural

Origine dei document! : BRCU - Génie Bural

Hauteur du tubage ou de la morgelle dtpaiiant le lol :

0,50 a protégé par une boite

Acceuibilité : Eoute Petit Casal à Home à l'eauau pont de la raTlne Derllle, à la aortie de P»-tlt Canal.Mode d'équipement : Sans

ATLAS AU 1/2 000

Feuille letit - CanalIndice de ctoiiement :

1/8 N'd'entréeauxorchlvet

1135 49

Archivoge

Coordonniei Lambert : X = .')52 , 9Û0Y - lai , 360

ZonelEPD

:-ÎENG[RNG = 2,756

Coteb I

e

'orifice I

Carte détoillie ou croquis c&té

ECH. 1/20000

Obter^ti^N» Cadenas 5364.

Cote rlu 0 Hive.'clo dtí lu bulto do protection : 3,206

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE :

D'après la carte gécloeique, le forado oerait foncé dai;8 les calcaires blrmcarécifaux du ;.iocène inférieur Md,

Echontillont : /momC

JÂyU3522ook^ /s /£C>^

82


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B,R,G.M. d'enragittrement i

COMMUNE :

DfSIGNATION

PETIT CAHAL

Pont SoTllle Plésomètre

CARTE cfoL. AU 1/ g) 000

Feuille

QBASSB TEBBS

OBJET :

Dote d'ex<culion :

Profondeur finóle :

Hecoonaissance eau

Mal 1969

Noture :

Mode de forogesondageEotaiy

MoTtre de l'oeuvre : Génie Bural

Propriétoire en 1969 Génie ^UTal

Entrepreneur : SIP BACHT

Trovaux conteillét ou lulvli por : BHOI Génie Bural

Origine dei document! : BRCU - Génie Bural

Hauteur du tubage ou de la morgelle dtpaiiant le lol :

0,50 a protégé par une boite

Acceuibilité : Eoute Petit Casal à Home à l'eauau pont de la raTlne Derllle, à la aortie de P»-tlt Canal.Mode d'équipement : Sans

ATLAS AU 1/2 000

Feuille letit - CanalIndice de ctoiiement :

1/8 N'd'entréeauxorchlvet

1135 49

Archivoge

Coordonniei Lambert : X = .')52 , 9Û0Y - lai , 360

ZonelEPD

:-ÎENG[RNG = 2,756

Coteb I

e

'orifice I

Carte détoillie ou croquis c&té

ECH. 1/20000

Obter^ti^N» Cadenas 5364.

Cote rlu 0 Hive.'clo dtí lu bulto do protection : 3,206


D'après la carte gécloeique, le forado oerait foncé dai;8 les calcaires blrmcarécifaux du ;.iocène inférieur Md,

Echontillont : /momC

JÂyU3522ook^ /s /£C>^

82


FORAGE TUBAGE0 Epoïnaur, noture

OBSERVATIONSDe _2- Oe

OÍP 3>A O

I Z*- X

< UJa! I-<

0 à 6 K

6 & 12 B

12 à 20 »

igi«.«

168 Nnv

140 ikai 0 à 14 m 4" plastique

Repère oitimètrîque ! jpl Cote du repère : J?,"iS

NIVEAU PIÉZOMÉTRIQUEProfondeur Profondaur du Cota obwlu*du fofog» pion d'«ou du ploft d'tovDoté Observotioni

i^ \^b<] ¡Loôo 4Êo + 0^W

DÉBIT

DateProfondeurdu forag*

Duré*Débit m3/h

ponpog* ArtAiItnCot« obtoluadu plond'aau

Col* obioluadu nivaoudynomlqut

Danivtllaiton

T* fois» Observations

(Ârchivage des documents originaux non reproduits :

S6R^vtill«S .un rat)|>ortr BR(âM .''69RME MAffT* voir 1135 - 47Í

- 1 coupe de sondage BACHY

Dosslei instruit par i S. OOTTEZ

le liai 1969Mis a jour par : 29 mal 1970

le

Nombre d'Intercoloires i -iDossier C jusqu'au

le 29 Bal 1970 ConiriU par i G. BBBEnFBOQBGle 2 Juillet 1970

yt\^S7ZooU6, /s /RC-^

83


FORAGE TUBAGE0 Epoïnaur, noture

OBSERVATIONSDe _2- Oe

OÍP 3>A O

I Z*- X

< UJa! I-<

0 à 6 K

6 & 12 B

12 à 20 »

igi«.«

168 Nnv

140 ikai 0 à 14 m 4" plastique

Repère oitimètrîque ! jpl Cote du repère : J?,"iS

NIVEAU PIÉZOMÉTRIQUEProfondeur Profondaur du Cota obwlu*du fofog» pion d'«ou du ploft d'tovDoté Observotioni

i^ \^b<] ¡Loôo 4Êo + 0^W

DÉBIT

DateProfondeurdu forag*

Duré*Débit m3/h

ponpog* ArtAiItnCot« obtoluadu plond'aau

Col* obioluadu nivaoudynomlqut

Danivtllaiton

T* fois» Observations

(Ârchivage des documents originaux non reproduits :

S6R^vtill«S .un rat)|>ortr BR(âM .''69RME MAffT* voir 1135 - 47Í

- 1 coupe de sondage BACHY

Dosslei instruit par i S. OOTTEZ

le liai 1969Mis a jour par : 29 mal 1970

le

Nombre d'Intercoloires i -iDossier C jusqu'au

le 29 Bal 1970 ConiriU par i G. BBBEnFBOQBGle 2 Juillet 1970

yt\^S7ZooU6, /s /RC-^

83


DÉP'^ : 971 COMMUNE : Vi-riIT C.W.fJj

04ai|natia<i ! piézomètre l'ont 'invine Devllleceupaaui 1/200 «tabuataf !" '1 G- It

Miudidimiooiic I ^^35 I - I 49

" 652,900 V- 1811,560Intarprttéa par ! "n ". C '' tuAm '>.'';

3.S0

10.00

12.50

2000

D.»l.»,p. uchnlau. |^L°3"y..u

/

For ^191

Tib.ym

6.00

For j/l6»Tub.VU89.00

12.00

For.yuo

2 30

Piézo.X100

J. 19.10

EcKirit.

=:®=

^^

Coup*

BZE5S

CilnmLTTT

3Sm

^^pESÊ

DESCRIPTION CiOLOCIOUE Strod.graphlo

rv/iltí corapjiclc i>l.-.rtJ.'jtu- '.v<;c lUv^l-nurjdibi'in ci'lcslicî, i'jocrmrt.t i'.'.lc -li- ." ¡m.ml;.roj:t-jit3 voivi 2,5 m.

C'ilc.-iU"- ri;., Ul*.' 'VOS ¡-i-; ..;.!) i.i, ui-L-jil«i'Je C'iMi, (;r.'lt ..'.iir

'.ili.ie c;,-li;.;ir. "l.'; iipj.--.r!. I. :- 1 .u- J.1.t.;iJ'ari-uc lleuu

calCMlre contact r.vec par; ;.T.¿,f;n tr^ri a'ibleit:et traces d'iir¿..le bleue

c%>

exücutá du 5 au 9 ru-,1 1969,

Md

oete Horuon apte NlYOaaeMagautrlaa.

CetapiAnaiotriqo.

MbitMmVIiaor. Rtbattamoflt OBSERVATIONS

«tiMom C. Me Ht+K a SO* t«i»i»i«

yi/i'bS'zio^ Uâ /s /r <^^'3

84


DÉP'^ : 971 COMMUNE : Vi-riIT C.W.fJj

04ai|natia<i ! piézomètre l'ont 'invine Devllleceupaaui 1/200 «tabuataf !" '1 G- It

Miudidimiooiic I ^^35 I - I 49

" 652,900 V- 1811,560Intarprttéa par ! "n ". C '' tuAm '>.'';

3.S0

10.00

12.50

2000

D.»l.»,p. uchnlau. |^L°3"y..u

/

For ^191

Tib.ym

6.00

For j/l6»Tub.VU89.00

12.00

For.yuo

2 30

Piézo.X100

J. 19.10

EcKirit.

=:®=

^^

Coup*

BZE5S

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3Sm

^^pESÊ

DESCRIPTION CiOLOCIOUE Strod.graphlo

rv/iltí corapjiclc i>l.-.rtJ.'jtu- '.v<;c lUv^l-nurjdibi'in ci'lcslicî, i'jocrmrt.t i'.'.lc -li- ." ¡m.ml;.roj:t-jit3 voivi 2,5 m.

C'ilc.-iU"- ri;., Ul*.' 'VOS ¡-i-; ..;.!) i.i, ui-L-jil«i'Je C'iMi, (;r.'lt ..'.iir

'.ili.ie c;,-li;.;ir. "l.'; iipj.--.r!. I. :- 1 .u- J.1.t.;iJ'ari-uc lleuu

calCMlre contact r.vec par; ;.T.¿,f;n tr^ri a'ibleit:et traces d'iir¿..le bleue

c%>

exücutá du 5 au 9 ru-,1 1969,

Md

oete Horuon apte NlYOaaeMagautrlaa.

CetapiAnaiotriqo.

MbitMmVIiaor. Rtbattamoflt OBSERVATIONS

«tiMom C. Me Ht+K a SO* t«i»i»i«

yi/i'bS'zio^ Uâ /s /r <^^'3

84


85


85


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M, d'enregistrement

COMMUNE : ÎOM lûDIS

DÉSIGNATION : Felletan - Beutler piéeoD&tre S" 1

CARTE Ofoi. AU l/SOOOO

Feuille

GBAITDS TEBBE

OBJET :

Dote d'exécution

Profondeur finale

Heconnaissance eau

30/6A969 au ^7/1969

10 m

Nature :

Mode de forage rotary

Moítre de l'oeuvre : Génie Buxal

Propriétaire en 1969 O^nie Bural

Entrepreneur : SI? EACHT

Trovaux conselllis ou suivis par i B B Q M

Origine des documents : B B G M

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépossont le sol

0,50 - Protégé par une boite aétalllquacadenassée

Accessibilité t

Mode d'équipement i _

ATLAS AU 1/20 000

Feuille 3 . Petit CanalIndice de classement :

1/8 N'd'enlréeouxorchives

1135 54

Archivoge

Coordonnées Lambert ! X = 662, 'J60Y = 101Ó, 310

Zone

Cote du sol6 l'orifice

JEPDENG =

|RNG - 4,046

Carte détaillée ou croquis cité

ECH. 1/20000

ObservationsCo!.<.' iîu couvercle de la boite de protection : 4jjt>3

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÉOLOGIE :

D'après la cr.rte gáologique le forage traverserait lea calciirea blancs

récifaux du Lîiocène inférieur Ud, j/* '

Échantillons ! tutcmtrV

^^5^2oo5M/5 Ac-^

86


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M, d'enregistrement

COMMUNE : ÎOM lûDIS

DÉSIGNATION : Felletan - Beutler piéeoD&tre S" 1

CARTE Ofoi. AU l/SOOOO

Feuille

GBAITDS TEBBE

OBJET :

Dote d'exécution

Profondeur finale

Heconnaissance eau

30/6A969 au ^7/1969

10 m

Nature :

Mode de forage rotary

Moítre de l'oeuvre : Génie Buxal

Propriétaire en 1969 O^nie Bural

Entrepreneur : SI? EACHT

Trovaux conselllis ou suivis par i B B Q M

Origine des documents : B B G M

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépossont le sol

0,50 - Protégé par une boite aétalllquacadenassée

Accessibilité t

Mode d'équipement i _

ATLAS AU 1/20 000

Feuille 3 . Petit CanalIndice de classement :

1/8 N'd'enlréeouxorchives

1135 54

Archivoge

Coordonnées Lambert ! X = 662, 'J60Y = 101Ó, 310

Zone

Cote du sol6 l'orifice

JEPDENG =

|RNG - 4,046

Carte détaillée ou croquis cité

ECH. 1/20000

ObservationsCo!.<.' iîu couvercle de la boite de protection : 4jjt>3


D'après la cr.rte gáologique le forage traverserait lea calciirea blancs

récifaux du Lîiocène inférieur Ud, j/* '

Échantillons ! tutcmtrV

^^5^2oo5M/5 Ac-^

86


DÉP^ : 971 COMMUNE s «¡SE d::i1 .RU-i)D«ii(nuien ; piizoafetie Tullfit-'in 1 - Afluvilcoupe tu. l/pr)ri «tabllaeari n ? fl '.'.

Mk. rfo I yxTdouooMnt i -''--'

2.00

3.00

S.OO

laoo

DoniJ'Ceupo tochfliqu.

toy.

10%

so%

eov.

' For. Vl8g

5.00

For. yuO

3.70

PlIIO.X100

J0,I1!L

Intarprétea par ! n B 0 l! V- 1016,315

2»l. /t.3'5

'£>

DESCRIPTION CEOLOCIQUS Stnti-efiphJ.

. rijilt lie V'c ilciric'.'.; .o ¡I- r.t\->\.'u'iiTon

. :;,.: -IL.

.IV il M ;.:...

lui.; ..r.

tu

ex^cutvS du 7,0/ 6 '.u 2/7/19(73.

Horiion apte pUmaotrioiia

Ta

CetapUtoaiotriewa

0«l>i<ani>/hMr.

RibMt«ii.nt OBSERVATIONS

I »<! RWdaw. C. He Wa-K O *0» C»t»i>»

/M^52Z ooSk A ItC-Z.

87


DÉP^ : 971 COMMUNE s «¡SE d::i1 .RU-i)D«ii(nuien ; piizoafetie Tullfit-'in 1 - Afluvilcoupe tu. l/pr)ri «tabllaeari n ? fl '.'.

Mk. rfo I yxTdouooMnt i -''--'

2.00

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DoniJ'Ceupo tochfliqu.

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J0,I1!L

Intarprétea par ! n B 0 l! V- 1016,315

2»l. /t.3'5

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DESCRIPTION CEOLOCIQUS Stnti-efiphJ.

. rijilt lie V'c ilciric'.'.; .o ¡I- r.t\->\.'u'iiTon

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.IV il M ;.:...

lui.; ..r.

tu

ex^cutvS du 7,0/ 6 '.u 2/7/19(73.

Horiion apte pUmaotrioiia

Ta

CetapUtoaiotriewa

0«l>i<ani>/hMr.

RibMt«ii.nt OBSERVATIONS

I »<! RWdaw. C. He Wa-K O *0» C»t»i>»

/M^52Z ooSk A ItC-Z.

87


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : ABYMES

DfSIGNATION : LEONIE

CAIITE GÎOL. AU l/5o 000

N*n Feuille

GRANDE TERRE

OBJET : Reconnaissance du sous-sol - CarteGéotechnique

Dote d'exécution : 19-08 OU 12.08.1972

Profondeur finale : 12,50 m

Noture : ^ sondage corotté S. 4Mode de foroge : rotation XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E. (G.E.P.)

Propriétaire en 1972

Entrepreneur : SIF BACHY

Travaux conseillés ou suivis por : B.R.GtM.

Origine des documents : B.R.G.M.SIF BACHY

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépassant le sol

Néant

Accessibilité : Départementale n° 14

Mode d'équipement :

Néant

ATLAS AU 1/2 0 000_

"Feull¡;~viEUX-BOURG~ñ°' 7Indice d« clossement :

1139 /N* 1/8 N*d'entréeaux archives

Archivage

Coordonnées Lambert : X = 660,08Y - 1802,30

ZoneEPD = 11 m

'IGCoâ l'or.fice li^^ç

Corte détaillée ou croquis c&lé

N

ECHELIE 1/20 000-TtTT

Observotions

Prélèvement de deux échantillons intacts (A.P.M. 78)


D'après la carte géologique de Grande Terre au 1/50.000 ce sondage estimplanté dans les argiles résiduelles du complexe volcanique antimiocène.

Echantillons ; 2 pour essois de sols

^3,02^000 z/skA^ 'A

88


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : ABYMES

DfSIGNATION : LEONIE

CAIITE GÎOL. AU l/5o 000

N*n Feuille

GRANDE TERRE

OBJET : Reconnaissance du sous-sol - CarteGéotechnique

Dote d'exécution : 19-08 OU 12.08.1972

Profondeur finale : 12,50 m

Noture : ^ sondage corotté S. 4Mode de foroge : rotation XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E. (G.E.P.)

Propriétaire en 1972


Travaux conseillés ou suivis por : B.R.GtM.

Origine des documents : B.R.G.M.SIF BACHY

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépassant le sol

Néant

Accessibilité : Départementale n° 14


Néant

ATLAS AU 1/2 0 000_

"Feull¡;~viEUX-BOURG~ñ°' 7Indice d« clossement :

1139 /N* 1/8 N*d'entréeaux archives

Archivage


ZoneEPD = 11 m

'IGCoâ l'or.fice li^^ç

Corte détaillée ou croquis c&lé

N

ECHELIE 1/20 000-TtTT

Observotions

Prélèvement de deux échantillons intacts (A.P.M. 78)


D'après la carte géologique de Grande Terre au 1/50.000 ce sondage estimplanté dans les argiles résiduelles du complexe volcanique antimiocène.

Echantillons ; 2 pour essois de sols

^3,02^000 z/skA^ 'A

88


DÉP^ : 971 COMMUNE : abbJESD«ii|n«ia«: Carte géotechnique S. 4Coupeiui l/lOO éobllapar' 'B..!.g.!J.

^.. .. n. --. L.i N.OD.. CL.

Indico diclowofnont 1139 02 Z]

X-, 660,08 V- 1602,30Intarprétta par ! B.lî.G.t;!. Iiol. 11 m

0.20

1.10

s.soS.90

7.00

7.SO

7.10

\M9.30

D«mi-coup« l«chniaw«

sov.

100 V.

100 V,

100V,

lOOVo

100 V.

100 V.

11.00

12.) 0

mv.

For. l/ltO

Tub ./UO

/

-y

100 V.

100 V.

t.so

Far./nt

ite Coupa

ï=ï

Wf^">'-'

T-T .

T¿TT

T TT

DESCRIPTION CCOLOCIQUE

"T7Í bnttlS"

Argile b.^riolée rou^e, nris, ':ri9-blfiu

(mu^;e do:.ânint) pla.3l.i';i:') , oolL'-JVle.

Arjrile bariolée brun-grj.s, plaetlquco

Argile tuffeuse brune

Tuf arglllsé brunâtre

Tuf altéré pulvérulent brun-JaunâtreaTuf eain cohérent, renfermant de groo élé-

\ mente volcaniques et calcalrea Çg 2 à 5 cmTuf olt^ré argileux, pulvérulent brun -jaunâtre, avec petite niveaux arglleuxo

A Tuf altéré, compact, cohérent, brun\ Tuf altéré^ argileux, pulvérulent, bnnio

Tuf sain, cohérent, dur, à éléments moyens1 k 5 cm, quelques éléments + gros (lave)pouvant atteindre plusieurs en de fS»

f Tuf sain dur cohérent, homogène à grainplus fin (l & 3 Ktm) sana gros élémentSo

Stntl.grophi.

du 19 au 22 août 1972.

ttorlton apte NiTCMpiéianutflaoo

Cotapuiamotrlawa n «..'hoiira

To

OMERVATlOIrt

Rhlitlvittt ]0> tOMlii toc Ca Me Na+K O tO«

yt^sa¿¿ooo¿/S(< /^c-x

89


DÉP^ : 971 COMMUNE : abbJESD«ii|n«ia«: Carte géotechnique S. 4Coupeiui l/lOO éobllapar' 'B..!.g.!J.

^.. .. n. --. L.i N.OD.. CL.

Indico diclowofnont 1139 02 Z]

X-, 660,08 V- 1602,30Intarprétta par ! B.lî.G.t;!. Iiol. 11 m

0.20

1.10

s.soS.90

7.00

7.SO

7.10

\M9.30

D«mi-coup« l«chniaw«

sov.

100 V.

100 V,

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100 V.

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11.00

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For. l/ltO

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100 V.

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t.so

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DESCRIPTION CCOLOCIQUE

"T7Í bnttlS"

Argile b.^riolée rou^e, nris, ':ri9-blfiu

(mu^;e do:.ânint) pla.3l.i';i:') , oolL'-JVle.

Arjrile bariolée brun-grj.s, plaetlquco

Argile tuffeuse brune

Tuf arglllsé brunâtre

Tuf altéré pulvérulent brun-JaunâtreaTuf eain cohérent, renfermant de groo élé-

\ mente volcaniques et calcalrea Çg 2 à 5 cmTuf olt^ré argileux, pulvérulent brun -jaunâtre, avec petite niveaux arglleuxo

A Tuf altéré, compact, cohérent, brun\ Tuf altéré^ argileux, pulvérulent, bnnio

Tuf sain, cohérent, dur, à éléments moyens1 k 5 cm, quelques éléments + gros (lave)pouvant atteindre plusieurs en de fS»

f Tuf sain dur cohérent, homogène à grainplus fin (l & 3 Ktm) sana gros élémentSo

Stntl.grophi.

du 19 au 22 août 1972.

ttorlton apte NiTCMpiéianutflaoo

Cotapuiamotrlawa n «..'hoiira

To

OMERVATlOIrt

Rhlitlvittt ]0> tOMlii toc Ca Me Na+K O tO«

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89

CDO

Ar«lilvo,0 tfo. aocoMonl. orlgl

SOIr. 4a r

- 1 »e*e «<.UH,« B a <a J jag...*»«>«alaaaiio« (laMat t'aivUa (aandasa k U tail»»)".

- 1 «Ktialt « pia, 4, «ItuaUo» <ae aaadacoe s I «(nwpert Oavallar).

Do»l.t Ifvtnih por .

NoMbr. a'Intofcololro. i

Do»iof C liooo'oo

Mh a IM. ,., ,

" 10 - J - 6a

lo 1« - 3 - 68 Coolrtlt plo U eetobre igfo

COMMUNE

DtSIONAIION I in ClMBtarla

outr t 1 aanlav* < raoanaaleaaaait«rl»p»o

Doto 4'o>«y«lo« I loTafitira-dieaBlira

Pn>l>~'o..r rioolo I 15 at 1 *

^''G.M^;^...

N«»to >

Moao ao lonaoODdaganUxr et tarltra

Manto do foooor* 1 B^ 1. 0. «^

fnptlaialto on I* T

tioopraooo. I Sir SICHT

Trovovji «oatollUi oo lolvU par i OAVELIB

Orlgloo do. dooonooM I Ispp«rt tUTIB es 12»

Hovtoor do rvbopo oo do la oior«ollo dépouon*

AMoaikUiid , xoute 1.6 .

him ee «til«aut Tare iV. . ^.^ .j Modo d'aquipooio,» 1 ae attoa le eoiriase

OfcMr.«rioM 1 le «eiidaffe prowra aattaaaot tufaible dyalaaeír at tu'aUaa raaoumnt

ÍFEIIENCES SiaLIOGII

B'spxta 1M «arte (4ala«l«iM a««rfeat4 «ana la« foaaUaoa nleanlrties à taataaea latdiltltua* (I).

MtoorilU, , Idant (iehantlLUae analTade

A-\U.oZl Ck=K33/éli /^Q

>

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Q.(D

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Oc

CDO

Ar«lilvo,0 tfo. aocoMonl. orlgl

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- 1 »e*e «<.UH,« B a <a J jag...*»«>«alaaaiio« (laMat t'aivUa (aandasa k U tail»»)".

- 1 «Ktialt « pia, 4, «ItuaUo» <ae aaadacoe s I «(nwpert Oavallar).

Do»l.t Ifvtnih por .

NoMbr. a'Intofcololro. i

Do»iof C liooo'oo

Mh a IM. ,., ,

" 10 - J - 6a

lo 1« - 3 - 68 Coolrtlt plo U eetobre igfo

COMMUNE

DtSIONAIION I in ClMBtarla

outr t 1 aanlav* < raoanaaleaaaait«rl»p»o

Doto 4'o>«y«lo« I loTafitira-dieaBlira

Pn>l>~'o..r rioolo I 15 at 1 *

^''G.M^;^...

N«»to >

Moao ao lonaoODdaganUxr et tarltra

Manto do foooor* 1 B^ 1. 0. «^

fnptlaialto on I* T

tioopraooo. I Sir SICHT

Trovovji «oatollUi oo lolvU par i OAVELIB

Orlgloo do. dooonooM I Ispp«rt tUTIB es 12»

Hovtoor do rvbopo oo do la oior«ollo dépouon*

AMoaikUiid , xoute 1.6 .

him ee «til«aut Tare iV. . ^.^ .j Modo d'aquipooio,» 1 ae attoa le eoiriase

OfcMr.«rioM 1 le «eiidaffe prowra aattaaaot tufaible dyalaaeír at tu'aUaa raaoumnt

ÍFEIIENCES SiaLIOGII

B'spxta 1M «arte (4ala«l«iM a««rfeat4 «ana la« foaaUaoa nleanlrties à taataaea latdiltltua* (I).

MtoorilU, , Idant (iehantlLUae analTade

A-\U.oZl Ck=K33/éli /^Q

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- 3

1) Terre végétale noire cv-u\r»rte ( lu sol ) 0e Tuart/blpyrinldÎB ^-» 0,10

2) Limon irgileux j-iunitra piaeant à '"' 1, iCi) Argll« ''risa iv«c "ueloaas cristaux

<! gy»#« trapéilitt au aoaiMt (nrds) î,iOk) Argile Irise at brune IccKluaant

granuleuse "' '.w

5) Arglla brunâtre chirgéa da petits blocacvlcalras ferrurlnaux . auinten<ints '^ 't,¿;C

6) .Vrglla brunfltra *'t,ii5

7) Argils brunâtre chargée de petitsbloos oaloaires _ ;, 5,1^

Arrit sur bloss - eau TarsfH,'!;^ y?la du sondage - W.3. k,!^

Pr41»T«lMnts 767> A - 7679 B - 7680 A

7680 B - 7681 A - 7681 B

1} Isrrs fé(4t«la aolra «ouvurte ( au sol ) d« quavttbipyraaidls :.-, 0,(9

2) LlBOn argileux Jaune > 0,95'}) Argile giise chargés de blocs oaleniras -^ 1,00

Arr*t(Î l.OOûr te»rain dur ( bloe 7)Pu d'eau

Prélèvamsnt eoaplat 7682 A 0 4 100

2* asaal à 1 du précèdent arr<té A ü,60 m sur terrain dur (bloo 7)

3> assat à 2 B du lar arríté ala sur calo .tire.

^Ít0^ôoo3/Î,/Or_

91


- 3

1) Terre végétale noire cv-u\r»rte ( lu sol ) 0e Tuart/blpyrinldÎB ^-» 0,10

2) Limon irgileux j-iunitra piaeant à '"' 1, iCi) Argll« ''risa iv«c "ueloaas cristaux

<! gy»#« trapéilitt au aoaiMt (nrds) î,iOk) Argile Irise at brune IccKluaant

granuleuse "' '.w

5) Arglla brunâtre chirgéa da petits blocacvlcalras ferrurlnaux . auinten<ints '^ 't,¿;C

6) .Vrglla brunfltra *'t,ii5

7) Argils brunâtre chargée de petitsbloos oaloaires _ ;, 5,1^

Arrit sur bloss - eau TarsfH,'!;^ y?la du sondage - W.3. k,!^

Pr41»T«lMnts 767> A - 7679 B - 7680 A

7680 B - 7681 A - 7681 B

1} Isrrs fé(4t«la aolra «ouvurte ( au sol ) d« quavttbipyraaidls :.-, 0,(9

2) LlBOn argileux Jaune > 0,95'}) Argile giise chargés de blocs oaleniras -^ 1,00

Arr*t(Î l.OOûr te»rain dur ( bloe 7)Pu d'eau

Prélèvamsnt eoaplat 7682 A 0 4 100

2* asaal à 1 du précèdent arr<té A ü,60 m sur terrain dur (bloo 7)

3> assat à 2 B du lar arríté ala sur calo .tire.

^Ít0^ôoo3/Î,/Or_

91


«IL'; I 1140 I - I 03Indkt

daiOÉP^ : 971 COMMUNE t IKiaíá A L'EAUCMfifaatien: sondsg» xUcheval 3.11 Cimenterie ". 664,97 *- 1608,23Ceupeau. VXOi.) «taWapar. T'.nr,:/ nAYBT.Tm l..t«rprtna par , 22ÛU IsL^ +i2_..

0.10

tso

zoo

zso

3.50

S.00

Oood-coupo todtnlqiia

10.SO

ISjOO

N.POMoc piwi d'.«f

DESCRIPTION CÉOIOCIOUE

Argile ¿riae .iv^r; jetit.'? blocs de cnlcnire

Arçllc pl.-ii)tli.:c "volcaiJiûe"nloco Je c^.lcilï-9 colraat¿3

Blocs de calciiire

2nMe (¡ros.dor ü fonujinlfirea (jrls-jnime.

Sable grossier à foraminifères devenant

plus fin vers 8,50 m

Calcaire sain.

Date Horiten 1

(teCMfMCtlQMCat*

D076inbr« - déeeobro I964* m ^

OMC tthmmRWMtVflWflt OUERVATIOMS

> i» WdoMC Co

yMU^Zôoo-i/^n/i^c. t

92


«IL'; I 1140 I - I 03Indkt

daiOÉP^ : 971 COMMUNE t IKiaíá A L'EAUCMfifaatien: sondsg» xUcheval 3.11 Cimenterie ". 664,97 *- 1608,23Ceupeau. VXOi.) «taWapar. T'.nr,:/ nAYBT.Tm l..t«rprtna par , 22ÛU IsL^ +i2_..

0.10

tso

zoo

zso

3.50

S.00

Oood-coupo todtnlqiia

10.SO

ISjOO

N.POMoc piwi d'.«f

DESCRIPTION CÉOIOCIOUE

Argile ¿riae .iv^r; jetit.'? blocs de cnlcnire

Arçllc pl.-ii)tli.:c "volcaiJiûe"nloco Je c^.lcilï-9 colraat¿3

Blocs de calciiire

2nMe (¡ros.dor ü fonujinlfirea (jrls-jnime.

Sable grossier à foraminifères devenant

plus fin vers 8,50 m

Calcaire sain.

Date Horiten 1

(teCMfMCtlQMCat*

D076inbr« - déeeobro I964* m ^

OMC tthmmRWMtVflWflt OUERVATIOMS

> i» WdoMC Co

yMU^Zôoo-i/^n/i^c. t

92


BICONNAISSANCt OISKMSNTS D'^ROILE( Sondsige k la taritrs )

Sondage 1 - 111. 1,.' < Í

- -^1) Terra noire ^ '\20

2) Linon tris argileux Jauna avec patita blocs cilcdirca

3) Arglla grise tveo petits bloos cilciiresia rencontria vers 1,20

'.rrflt a^Jl,';0^ sur rocha durs ( bloc 7)frilàvareants 7672 A et 7672 B

-' i,i;>-^1,90

;t essai k 1 m du précédent

reoontra «4ae terrain«rrlt sar >ocb« dura

^^'i.eu

PréUvsMat 4iaa arglla griaa 7673 A

1) Linon tris argileux jaune

2) Argile grlBe1,201,30

Buptora da la tarlira J<1,90^âau ranooafeaéa vara 1 m

FiriUvaBont 7673 B

Seprlsatla landenaia venue d'eau -;> boue & 1 a" A/flt définitif

2ai>e aaanl à 5 du précédent

1) Llaen trka argileux jaune ^^ 0,90

2) Arglla grlae avae «ualquaa petits nodules ¡ ,_farauglMux an tita { 4ptg4aLa da ealotira?) ^ J/ 'êau ranaoDtréa à 1,30 remontée à 0,70 « en fin

i<ê sondaga

arrlt (i\3ia) sur rupturu da la tarlàr».

1) Terra Mira2) L1«0H .argileux ||auna

î T.i0,20

3) Arglla grisa plaatlqaée svae noahraux petitsbloca «aloe Ira» . ^ 1,50 *

arrêt (^~1^30^ aur tarr.iln durlau raMQOtfM A 1,35 ^ reaontéa à 0,90à la fia da aaadaga pula 0,70 1/2 h après

P»éleva«aBt» 767*» B et 7675 A

y\Ai\oZlncô 3/s w/^^ -^

93


BICONNAISSANCt OISKMSNTS D'^ROILE( Sondsige k la taritrs )

Sondage 1 - 111. 1,.' < Í

- -^1) Terra noire ^ '\20

2) Linon tris argileux Jauna avec patita blocs cilcdirca

3) Arglla grise tveo petits bloos cilciiresia rencontria vers 1,20

'.rrflt a^Jl,';0^ sur rocha durs ( bloc 7)frilàvareants 7672 A et 7672 B

-' i,i;>-^1,90

;t essai k 1 m du précédent

reoontra «4ae terrain«rrlt sar >ocb« dura

^^'i.eu

PréUvsMat 4iaa arglla griaa 7673 A

1) Linon tris argileux jaune

2) Argile grlBe1,201,30

Buptora da la tarlira J<1,90^âau ranooafeaéa vara 1 m

FiriUvaBont 7673 B

Seprlsatla landenaia venue d'eau -;> boue & 1 a" A/flt définitif

2ai>e aaanl à 5 du précédent

1) Llaen trka argileux jaune ^^ 0,90

2) Arglla grlae avae «ualquaa petits nodules ¡ ,_farauglMux an tita { 4ptg4aLa da ealotira?) ^ J/ 'êau ranaoDtréa à 1,30 remontée à 0,70 « en fin

i<ê sondaga

arrlt (i\3ia) sur rupturu da la tarlàr».

1) Terra Mira2) L1«0H .argileux ||auna

î T.i0,20

3) Arglla grisa plaatlqaée svae noahraux petitsbloca «aloe Ira» . ^ 1,50 *

arrêt (^~1^30^ aur tarr.iln durlau raMQOtfM A 1,35 ^ reaontéa à 0,90à la fia da aaadaga pula 0,70 1/2 h après

P»éleva«aBt» 767*» B et 7675 A

y\Ai\oZlncô 3/s w/^^ -^

93


- 2

/ Zèiaa aaaai^ à 1 m du précédant

Profondeur sttelntareaontéa k 0,70

ih'M aajai A 10 (a du >ar

1,50 )- eau ranoontrâ k 0,7^'"S~TSr4t sur dur

eau raneontrée k 1,10 > rsoiontéa de l'enu très r<iplda conatatéude visu > N.o. 0,50 fin du sondage - profondeur attalnte ¿:,90 m

nombreux blocs ooloaires k pirtlr de 1 m. ArrSt sur durttrélatanant ! 7675 B - entro 1,5<> ot />,90

La présence da ciloaire an place (7) dtna la soaa-sol estégalaoent prév iJlbla grtoa à l'exiateaca d'une petite buttapris de la dlstlllaria ruinée da la t'olnta à Aé qui aontra dstrès neabraux bloca ealeairaa lu soi.

Le 3è eaaal est effectué dana le ebaap an terrain plat,lea 2 prealera sona laa eoeotlara à

l££iUSjt.' û,'.,1 ?-'1) Terra solra ^P»0,10

2) Llaan argileux jaune ^ 1,20

5) Argile grise et jaune avao graviers CHlcairtfA t-;*l,50

Arrlt 4 1,30 aur terrain durlau reneentrée i 1,20 ramoatéa A 0,70 après 15 ainutas

Prélètaaent 7676 A

2è eaaal à 2 du précédanttaa terrain - eau rencontrée à 1 n

A partir de 1,30 très aeabreux bloca calcaires

Arrêt à(l,90à)ir terrain dur

Prélèvanent 7676 B dana h at k'

--> 1,90

Sondane ? - ; -¿ , _ ., ,,

1) Terra végétale noire ^ 0,102) Llaon argileux jaune p'tasant & vers 1,503) Arglla grisa et fauve, plastique ( ngftist) ou

granuleuaa (f«ttve). Trèa raras patita blocaealaalrea. débris ooqullliel aSaec fréquents » 3,20

>*) Argile grla^ bleu et brua vlelaoé -^ '»,60

5) Arglla klaa vert chargée de petits bloea aalealres ;;|<5TÔ)NArrêt sur blets ealealres ^.J^

-^'3,20Préllveaants 7677 A7678 A ï.i»,60

7677 » )7676 B

yt4 U^'2-2_ooo 3/S n/ù i_^

94


- 2

/ Zèiaa aaaai^ à 1 m du précédant

Profondeur sttelntareaontéa k 0,70

ih'M aajai A 10 (a du >ar

1,50 )- eau ranoontrâ k 0,7^'"S~TSr4t sur dur

eau raneontrée k 1,10 > rsoiontéa de l'enu très r<iplda conatatéude visu > N.o. 0,50 fin du sondage - profondeur attalnte ¿:,90 m

nombreux blocs ooloaires k pirtlr de 1 m. ArrSt sur durttrélatanant ! 7675 B - entro 1,5<> ot />,90

La présence da ciloaire an place (7) dtna la soaa-sol estégalaoent prév iJlbla grtoa à l'exiateaca d'une petite buttapris de la dlstlllaria ruinée da la t'olnta à Aé qui aontra dstrès neabraux bloca ealeairaa lu soi.

Le 3è eaaal est effectué dana le ebaap an terrain plat,lea 2 prealera sona laa eoeotlara à

l££iUSjt.' û,'.,1 ?-'1) Terra solra ^P»0,10

2) Llaan argileux jaune ^ 1,20

5) Argile grise et jaune avao graviers CHlcairtfA t-;*l,50

Arrlt 4 1,30 aur terrain durlau reneentrée i 1,20 ramoatéa A 0,70 après 15 ainutas

Prélètaaent 7676 A

2è eaaal à 2 du précédanttaa terrain - eau rencontrée à 1 n

A partir de 1,30 très aeabreux bloca calcaires

Arrêt à(l,90à)ir terrain dur

Prélèvanent 7676 B dana h at k'

--> 1,90

Sondane ? - ; -¿ , _ ., ,,

1) Terra végétale noire ^ 0,102) Llaon argileux jaune p'tasant & vers 1,503) Arglla grisa et fauve, plastique ( ngftist) ou

granuleuaa (f«ttve). Trèa raras patita blocaealaalrea. débris ooqullliel aSaec fréquents » 3,20

>*) Argile grla^ bleu et brua vlelaoé -^ '»,60

5) Arglla klaa vert chargée de petits bloea aalealres ;;|<5TÔ)NArrêt sur blets ealealres ^.J^

-^'3,20Préllveaants 7677 A7678 A ï.i»,60

7677 » )7676 B

yt4 U^'2-2_ooo 3/S n/ù i_^

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/

DÉP^ : 971COMMUNE : VO'.-¿r. K L'EAUtMaignatian : Piézoniètio 3cr\rlllc_Coupe lu I 1/200 «m>iia par ' BnG'tJ_

Indicadadiucmont 1140 23

Interprétée per i DIÎGIiX- ers, 770 Y. ICC 6, 735

iKl. g,. .'3

ISO

ISO

s.00

K.oa

1S.00

Donl-coupo IKhniqoa

100%

90 V.

Rêcup.

1S%

1100

2aoo

ac pion d'.MCaiipa

E=IE=rE=IE

nrrz

onj?

.'///.,

!r!-".\J';y.=ü.

DESCRIPTION CÉOLOCIOUEeropiMO

Argile í;ruíi<! Cíir."-.ct-i, ti-j'i nov.tnu/.,'^i-ain!3 ae qnii'tz

liognons de calcaire ¿nriS ort;lle bruna à gii^rtcalcnii-e aavcmeux coiaaté par argiJ-oh quartz. Ca1c.'.,lre tria Jur.

y^

Cilcfiiro trio ¿ínísetu i.üLa tciiilre. Quant,on le casae, on voit vn ajpect de brècheavec des él¿i.;ei¡ts oxydóa ou milieu d'unciment blanc - Macrofaune Importante :limnée (ou planorbe). Ce calcaire estsous foime de banc dans des calcairestrës sableux.

Calcaire cristallise très dur, iumacQeij]|-que reeristalliaé - Madrépores et gasti-ijpodes.

Vide *- sable et traces d'argile.

Cailloux usés de calcaire très dur etfin, dans du sable coqulllier puis retom

-\ au calcaire rencontré entre 14 et 15 m./-

Août-Set)t. 69

*S

Date HorUen oot* CotapiiMMatrleaa tu /kaare dvmmlaoa OBSERVATIONS

KiiM<ir«a 20* «««idawc C» >le tM-f g 50' t«t»Mu

^ Uo 2 ¿oo 2,3 /f/<^ ^'^

95


/

DÉP^ : 971COMMUNE : VO'.-¿r. K L'EAUtMaignatian : Piézoniètio 3cr\rlllc_Coupe lu I 1/200 «m>iia par ' BnG'tJ_

Indicadadiucmont 1140 23

Interprétée per i DIÎGIiX- ers, 770 Y. ICC 6, 735

iKl. g,. .'3

ISO

ISO

s.00

K.oa

1S.00

Donl-coupo IKhniqoa

100%

90 V.

Rêcup.

1S%

1100

2aoo

ac pion d'.MCaiipa

E=IE=rE=IE

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!r!-".\J';y.=ü.

DESCRIPTION CÉOLOCIOUEeropiMO

Argile í;ruíi<! Cíir."-.ct-i, ti-j'i nov.tnu/.,'^i-ain!3 ae qnii'tz

liognons de calcaire ¿nriS ort;lle bruna à gii^rtcalcnii-e aavcmeux coiaaté par argiJ-oh quartz. Ca1c.'.,lre tria Jur.

y^

Cilcfiiro trio ¿ínísetu i.üLa tciiilre. Quant,on le casae, on voit vn ajpect de brècheavec des él¿i.;ei¡ts oxydóa ou milieu d'unciment blanc - Macrofaune Importante :limnée (ou planorbe). Ce calcaire estsous foime de banc dans des calcairestrës sableux.

Calcaire cristallise très dur, iumacQeij]|-que reeristalliaé - Madrépores et gasti-ijpodes.

Vide *- sable et traces d'argile.

Cailloux usés de calcaire très dur etfin, dans du sable coqulllier puis retom

-\ au calcaire rencontré entre 14 et 15 m./-

Août-Set)t. 69

*S

Date HorUen oot* CotapiiMMatrleaa tu /kaare dvmmlaoa OBSERVATIONS

KiiM<ir«a 20* «««idawc C» >le tM-f g 50' t«t»Mu

^ Uo 2 ¿oo 2,3 /f/<^ ^'^

95


DÉPARTEMENT : caUEL(.OUTE N* B.R.G.M. d'etireaUlremen

COMMUNE :

DESIGNATION

srJC A l'EAU

ri^!a<>..'¿ .l'u ricari n" 1

CARIE Gfoi. AU 1

Feuille/go 000

GiUlniS IE::22

OBJET : .iecoiiiril:.-; ai.-e lo'-^.rc.ti'ùlu^lq'ie

Date d'exécution ; 1" -.,''. l,'.'

Profondeur finóle : X) Il

Nature ;

Mode de forageVacîyRoi,!.-!-./

Moítre de l'oeuvre : D.D.A, JV' Jelonje

Propriétaire en Itg

Entrepreneur : Sli' UACilY

Trovaux conseillé, ou lulvit par : BliGtS

i

Origine dei document, i B.R.O.Ma

Hauteur du tubage ou de la irorgelle dépoiiant le toi ;

0,50 m dans une enceinte métallique cadenass e

Acceuibilité : p^r la N.6 - Tourner à 1 loa aprèsUome à l'jîau, route longeant un CES. en conatrution puis longer ancienne vole du chemin de ferMode d'équipement : de cannes,

néant.

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille :;.iv:ci:i n" 8Indice de cloitement :

N» 1/8 N'd'entréeoux archive.

n.|r;

Archivage

Coordonnées lombert ; X =Y =

ZoneEPDCote du sol

à l'oiificc (Z) -.ÊNG »RNG -

067, ICOlo&e, CCO

4,714

Corte détaillée ou croquis cfité

PICARD

! ', ' Wor.g. ^r

UNS .

/pÊRANCt-TH'

^ l

- ECH. 1/20000

ObservotionsCoto du couvercle 5,031


D'après la c'aute géolo:;ique, ce piézomfetre serait foncé dans les "formationavolcaniques et leurs destructions ayant subi une altération à tendance latéritique",

En fait, calcaires récifaux blancs et beiges tertiaires

Echontillons t néant* 4

^WoZiooZS /f /iS^Â

96


DÉPARTEMENT : caUEL(.OUTE N* B.R.G.M. d'etireaUlremen

COMMUNE :

DESIGNATION

srJC A l'EAU

ri^!a<>..'¿ .l'u ricari n" 1

CARIE Gfoi. AU 1

Feuille/go 000

GiUlniS IE::22

OBJET : .iecoiiiril:.-; ai.-e lo'-^.rc.ti'ùlu^lq'ie

Date d'exécution ; 1" -.,''. l,'.'

Profondeur finóle : X) Il

Nature ;

Mode de forageVacîyRoi,!.-!-./

Moítre de l'oeuvre : D.D.A, JV' Jelonje

Propriétaire en Itg

Entrepreneur : Sli' UACilY

Trovaux conseillé, ou lulvit par : BliGtS

i

Origine dei document, i B.R.O.Ma

Hauteur du tubage ou de la irorgelle dépoiiant le toi ;

0,50 m dans une enceinte métallique cadenass e

Acceuibilité : p^r la N.6 - Tourner à 1 loa aprèsUome à l'jîau, route longeant un CES. en conatrution puis longer ancienne vole du chemin de ferMode d'équipement : de cannes,

néant.

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille :;.iv:ci:i n" 8Indice de cloitement :

N» 1/8 N'd'entréeoux archive.

n.|r;

Archivage

Coordonnées lombert ; X =Y =

ZoneEPDCote du sol

à l'oiificc (Z) -.ÊNG »RNG -

067, ICOlo&e, CCO

4,714

Corte détaillée ou croquis cfité

PICARD

! ', ' Wor.g. ^r

UNS .

/pÊRANCt-TH'

^ l

- ECH. 1/20000

ObservotionsCoto du couvercle 5,031


D'après la c'aute géolo:;ique, ce piézomfetre serait foncé dans les "formationavolcaniques et leurs destructions ayant subi une altération à tendance latéritique",

En fait, calcaires récifaux blancs et beiges tertiaires

Echontillons t néant* 4

^WoZiooZS /f /iS^Â

96


FORAGE TUBAGE OBSERVATIONSDe

< UJos -<

0 à 6 m

6 è 13 m

13 & 20 m

^ De

191

165

140

0

06m

12 m

^191165

Époisseur, noture

soupape par In-termittence

Repère oitimètrique ! SOl Cote du repère : 4,7l4

NIVEAU PliZOMéTRIQUEI Profond.ur 'Profond.ur dul Coto obioluo »o

Dote du loroflo I pion d'.ou du pion d'.QU __^__ Observations

Août 1969 20 3,10 1,614

DfflÎT

DoteProfondaurdu forogo

DuréeDébit m 3/1.

pon^poga | ArttolanCola obwloodu plond'oou

Cola obioluodu nivaoud/nomlqua

0.i>i«*llallon

fàie- Observotions

Archivoge des documents originoux non reproduits 1

SOBI AntiUes

Sapport EHfflt 1 70 Alfl 14 "Stude des Sessources en eau souterraine de laGrande Terre - Seconda phase t Etude la Plaine de

Crippon",

- 1 coofíí BACrty

Dossier Instruit por : S. OOTTEZ

leMis à ¡our por : F.U. THIBAUT

le 25 - U - 1970

Nombre d'intercalaires : 1Dmili.1 C [umu'ue

le 25 - U - 1970 Contrôlé par : 5.atr>t\iF&ày>Afrle 2 3 D£C. 1170

ylA k<9 2 t OalS /T/ÏO

97


FORAGE TUBAGE OBSERVATIONSDe

< UJos -<

0 à 6 m

6 è 13 m

13 & 20 m

^ De

191

165

140

0

06m

12 m

^191165

Époisseur, noture

soupape par In-termittence

Repère oitimètrique ! SOl Cote du repère : 4,7l4

NIVEAU PliZOMéTRIQUEI Profond.ur 'Profond.ur dul Coto obioluo »o

Dote du loroflo I pion d'.ou du pion d'.QU __^__ Observations

Août 1969 20 3,10 1,614

DfflÎT

DoteProfondaurdu forogo

DuréeDébit m 3/1.

pon^poga | ArttolanCola obwloodu plond'oou

Cola obioluodu nivaoud/nomlqua

0.i>i«*llallon

fàie- Observotions

Archivoge des documents originoux non reproduits 1

SOBI AntiUes

Sapport EHfflt 1 70 Alfl 14 "Stude des Sessources en eau souterraine de laGrande Terre - Seconda phase t Etude la Plaine de

Crippon",

- 1 coofíí BACrty

Dossier Instruit por : S. OOTTEZ

leMis à ¡our por : F.U. THIBAUT

le 25 - U - 1970

Nombre d'intercalaires : 1Dmili.1 C [umu'ue

le 25 - U - 1970 Contrôlé par : 5.atr>t\iF&ày>Afrle 2 3 D£C. 1170

ylA k<9 2 t OalS /T/ÏO

97


DÉP^ :971 COMMUNE : frju A L'EAUDétifnatian: Pi-'>zoni6tre Ticard n* 1Coupa eut 1/200 «tatillapari BRGM

1140 - 25

667.100IntarpréUa par ; BUCM

V. 1806.e6Oi«.i. 4.714

soo5.700.00

9.00

DmiI.coupo todifllaua

lOOV.

lifj.

«00'

20.00^

3S%

7

_Jgb,

/

.¿EL

F°r.<165

Tub.^165

1/////

-/-

For.^WO

NippMM plwi d'.a

:.ú.';ü'":'r.V.-!'.-',

T~r

(Vide)


.\rjllc ilriHtl:iue bariol'îe l.!.';:i coi.ij-.irtcfivec quelques; paacaijba plus ou nolnii jHtiiuNombreuï fragments de qtiartz.

argile plnotlque brune

\ rgllo plastique brune enrobant des ro.-i.cnocalcaire cristallisé extrêmement dur

Sable calcaire coqulllier J.^aune avec ronnohariB /nir'niyp r-HntnTHne PYtT-Smpmpn+ rlv.r.

Faible récupération - Beaucoup de sablecalcaire et de bancs de calcaire récifaitrès cristallisé.

Quelques passées d'argile brun-Jaune.

Vide du carottier.

/\K\ollc^=^lS /f Z^^'-js:^

Stmi*

m

Date Horlion capté CatapKjoamrlaoa

Mbita nVKawa RJMttSIMflt :» iTlONS

> W '"^ «otldoioc I CdH« a so* bAMUi

98


DÉP^ :971 COMMUNE : frju A L'EAUDétifnatian: Pi-'>zoni6tre Ticard n* 1Coupa eut 1/200 «tatillapari BRGM

1140 - 25

667.100IntarpréUa par ; BUCM

V. 1806.e6Oi«.i. 4.714

soo5.700.00

9.00

DmiI.coupo todifllaua

lOOV.

lifj.

«00'

20.00^

3S%

7

_Jgb,

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.¿EL

F°r.<165

Tub.^165

1/////

-/-

For.^WO

NippMM plwi d'.a

:.ú.';ü'":'r.V.-!'.-',

T~r

(Vide)


.\rjllc ilriHtl:iue bariol'îe l.!.';:i coi.ij-.irtcfivec quelques; paacaijba plus ou nolnii jHtiiuNombreuï fragments de qtiartz.

argile plnotlque brune

\ rgllo plastique brune enrobant des ro.-i.cnocalcaire cristallisé extrêmement dur

Sable calcaire coqulllier J.^aune avec ronnohariB /nir'niyp r-HntnTHne PYtT-Smpmpn+ rlv.r.

Faible récupération - Beaucoup de sablecalcaire et de bancs de calcaire récifaitrès cristallisé.

Quelques passées d'argile brun-Jaune.

Vide du carottier.

/\K\ollc^=^lS /f Z^^'-js:^

Stmi*

m

Date Horlion capté CatapKjoamrlaoa

Mbita nVKawa RJMttSIMflt :» iTlONS

> W '"^ «otldoioc I CdH« a so* bAMUi

98


DÉPARTEMENT : (ju.\Da:/:n-j N° B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE :

DESIGNATION

::r>-:ir.: » T.'rL'.u CAR TE GÎOl. AU 1^ 0 000

N«~l Feuille

;i.M;:\: r.v.r.r.

OBJET: i,t.c0niviijj vif.C '...V-îroJ-'ulo 1.II i.

Dote d'exécution > J.'urrtor "; .''rrlsv l.'7v'

Profondeur finóle : 70 u

Nature :

Mode de forageïoragolio'; r

Maître de l'oeuvre : D.'^.\. - Srtose Tei'io

Propriétaire en 19 VO ",, T.,

Entrepreneur i Zli' r»,'.;ilï

Trovaux conseillés ou suivis par : RnSU

Origine des documents : BliCM

Hauteur du tubage ou de la margelle dépassant le sol

Accessibilité i 11.6 - Au Sortir de Home & l'eauprendre le C.V. bord.?Jit le nouveau CES. à drolte|

Mode d'équipement : rjans.

ATLAS AU 1/20 000

Feuille arîirvcîîIndice de classement

1/8 N'd'entiéeauxorchives

11 IC

Archivage

Coordonnées Lambert i X " 607, 575Y - 1806, 2f>0

Zone

°!:'',;"'(z)..J1n''g:''»""" Irng- ^6,346

1 1

^ -, - -

\ » <>.

ECH. 1/20000

Observation, :

\s-REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GEOLOGIE :

Piésomitre foré dans les "formations volcaniques et leur deatruotion ayant subiune altération k tendance latéritique" (l), d'après la carte géologique au 1/30.000

de Orando Terre.

Échantillons i néant.

/MUCi2-tOOl¤ /f /«.C-/1

99


DÉPARTEMENT : (ju.\Da:/:n-j N° B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE :

DESIGNATION

::r>-:ir.: » T.'rL'.u CAR TE GÎOl. AU 1^ 0 000

N«~l Feuille

;i.M;:\: r.v.r.r.

OBJET: i,t.c0niviijj vif.C '...V-îroJ-'ulo 1.II i.

Dote d'exécution > J.'urrtor "; .''rrlsv l.'7v'

Profondeur finóle : 70 u

Nature :

Mode de forageïoragolio'; r

Maître de l'oeuvre : D.'^.\. - Srtose Tei'io

Propriétaire en 19 VO ",, T.,

Entrepreneur i Zli' r»,'.;ilï

Trovaux conseillés ou suivis par : RnSU

Origine des documents : BliCM


Accessibilité i 11.6 - Au Sortir de Home & l'eauprendre le C.V. bord.?Jit le nouveau CES. à drolte|

Mode d'équipement : rjans.

ATLAS AU 1/20 000

Feuille arîirvcîîIndice de classement

1/8 N'd'entiéeauxorchives

11 IC

Archivage

Coordonnées Lambert i X " 607, 575Y - 1806, 2f>0

Zone

°!:'',;"'(z)..J1n''g:''»""" Irng- ^6,346

1 1

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ECH. 1/20000

Observation, :

\s-REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GEOLOGIE :

Piésomitre foré dans les "formations volcaniques et leur deatruotion ayant subiune altération k tendance latéritique" (l), d'après la carte géologique au 1/30.000

de Orando Terre.

Échantillons i néant.

/MUCi2-tOOl¤ /f /«.C-/1

99


/

DÉPT : 071 COMMUNE : u. ï:c .'. L'::\UDéslfnitlen ; i J Zu- A l ..v- j ica;-il n' ?.

Coupa lui 1/2 >*' étJt)llapari Ij.l.j..¿

I ii4o| - I re

too

4J)0

7.00

DomJ.ceopo tochnJquO

15.00

USO

2e.so27.niioa-

3000

noo31S0

3U03S.M3 S.OO.

3t.OO

3Ï.00

N.POMM plan d'ooi

O

îfeS

^^

Interprétée par;

Y. lroc.2COzioi. <- C,34C


TeiTB i-ii.lre v-t;''.t .l-. u'j i 1 .-ii. 'C

AiV.il^- l-iii.-a (lu Tn.ilcJfiuitirir'. .¡t i.vi¿;:ion.:

ÍB C:J.7 'i-i'C dur

Calcaire bl.-uic /ilt'ní et colmató 'l'::x-,ilcbelge.

Calcaire bien cristallisé à caaouro blancheHoules internes de lamellibranches. Tracesde circulations. ITombreux madrépores - Bonn*

fissuration.

MS:je calcaire avec pasoages altérés argileuj

.\r-ile baige ¿\ petits 'rog lOriO do calcaire

.irElle beige de décalcification à petits'li;i'i"ito Oo ciiln, îeii criBt.illl.';i' b. caac'.i:' rillaiite.

x;

^13

:;alc. très bien cristallisé extrêmement dur-1 .enontant s .aa fome de rognons cmouasés.\ .'alble récupération d'.ar¿ile belge. Très fli

uré.Calcaire altéré'able calcaire .il Un,¡idc. blanc très dur, bien criotalHcé, fa-

\clè3 sublithocrnplilqie.r\Oable fin calcaire,\Iiane d e calcaire blanc très dur

jable calcJre p.vcc ¡¡"buísb arjiluv.ees.

Str«|.sriphi.

m

Cale, blanc sublithographique fissuré.

DMa Hortion capté pUnmotrioiía riémiwKîrtMWc

RtMCtMMOt OBSERVATIONS

11lyl4UoZt oo^6 /F /^c. l

100


/

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Coupa lui 1/2 >*' étJt)llapari Ij.l.j..¿

I ii4o| - I re

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4J)0

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DomJ.ceopo tochnJquO

15.00

USO

2e.so27.niioa-

3000

noo31S0

3U03S.M3 S.OO.

3t.OO

3Ï.00

N.POMM plan d'ooi

O

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Interprétée par;

Y. lroc.2COzioi. <- C,34C


TeiTB i-ii.lre v-t;''.t .l-. u'j i 1 .-ii. 'C

AiV.il^- l-iii.-a (lu Tn.ilcJfiuitirir'. .¡t i.vi¿;:ion.:

ÍB C:J.7 'i-i'C dur

Calcaire bl.-uic /ilt'ní et colmató 'l'::x-,ilcbelge.

Calcaire bien cristallisé à caaouro blancheHoules internes de lamellibranches. Tracesde circulations. ITombreux madrépores - Bonn*

fissuration.

MS:je calcaire avec pasoages altérés argileuj

.\r-ile baige ¿\ petits 'rog lOriO do calcaire

.irElle beige de décalcification à petits'li;i'i"ito Oo ciiln, îeii criBt.illl.';i' b. caac'.i:' rillaiite.

x;

^13

:;alc. très bien cristallisé extrêmement dur-1 .enontant s .aa fome de rognons cmouasés.\ .'alble récupération d'.ar¿ile belge. Très fli

uré.Calcaire altéré'able calcaire .il Un,¡idc. blanc très dur, bien criotalHcé, fa-

\clè3 sublithocrnplilqie.r\Oable fin calcaire,\Iiane d e calcaire blanc très dur

jable calcJre p.vcc ¡¡"buísb arjiluv.ees.

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Cale, blanc sublithographique fissuré.

DMa Hortion capté pUnmotrioiía riémiwKîrtMWc

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/DÉPT : ç,7i COMMUNE : wr¿}2 A L»E,ûDé>i|nttio«: '.'znvrM.TO Ticurl '^ (suite ot fin)Coupe eu I l/ZOO éulinepar' BROM Intirprétéa par ;

1140 Sis

BRGMflS7,575 V. 1806,260

z«d. + 6,346

OJO

éloo

ts.so

47.00

SlOO

S3.I0

ss.to

S7.00

Doml'Ceopo todiniqoo

100 V.

7000

NippMt plM d'oa

^

Coup*

nn

rn

A |A

DESCRIPTION CEOLOCIOUi

Înlci'-'O .'Iv^ '>\i "xin.i M.iiu-û:Co

C;.'J.c(.il-a iir,,,nv'.'i.iri-ii.ü tr^-:. cji.'rú..V. .,.!;. . .,

colii.\t.'. I.'or.i.reuiu faiir.e do n'idrci.orc-;j ctde pütit:. ln:.iellll;rnri<-Lcí.

Cale, 'jlu.'io-'ceiííe uhIii et tree .^«¡...uivt^fliJVfilhinlIlfl,

HTT

ras3a¿o tr-'j.. .i-..,,*li:-'.i.\ - Cale, tr'i^ í.lt'r-;.

Calcaire blaric-beige relativement oain etfissuré avec intei-c-ilations de petits baiïcsaltérés.Calcaire mameiac & pectensCale, pétri d'éléments argileux YolcanicjuesI.%me cale, très altéré et friable.Cale, -assant à un grès 4 ciment cale, trèscompaat,

Crès à ciment calcaire avec petites Inclu¬sions d'origine volcanique -Terrain trèscompact - Récupération 100 /»!

SUMi-

m

AAôtZo^Lé /fAc^^Date Honaoo capté NKrwa Cota

M «i>/K*wr* rfvmmioH*OBSERVATIONS

,IIWmMc4i M- «MdoMC Ca a S0< [MrM:

101


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1140 Sis

BRGMflS7,575 V. 1806,260

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47.00

SlOO

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Doml'Ceopo todiniqoo

100 V.

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Calcaire blaric-beige relativement oain etfissuré avec intei-c-ilations de petits baiïcsaltérés.Calcaire mameiac & pectensCale, pétri d'éléments argileux YolcanicjuesI.%me cale, très altéré et friable.Cale, -assant à un grès 4 ciment cale, trèscompaat,

Crès à ciment calcaire avec petites Inclu¬sions d'origine volcanique -Terrain trèscompact - Récupération 100 /»!

SUMi-

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AAôtZo^Lé /fAc^^Date Honaoo capté NKrwa Cota

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1

N- iM

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Sz»- z

ya<

láj

oooo>-X

roiAGID. a

0 i fléOi»

0

1,»i»

rutAOE g otsEivAriONSD. « f? EpoliMwr, natwr« ||

1

lopOro olllwShi^vO i CofO do ropero t

NIVEAU nlzoMíniQínDoto

s/i2/aaapt.61

í/5/68

4. *«.

5,í8,40

r..tt.,.m o*

2,103,70

4,«5

C, .. 1

« 4,803,20

2,25

I* 04Mrw«tl*m 1

T*n*vr «n Noel « 470 «g/l

OElll

DoM_ .

, Do...

0,S aO

AftMé»»

1,

Cm. rtnl T*

20»

f*ir Oki«rv«r»Mii

Ijgireaantjaunfitr*

Anciannaaant exploité à 10 BS/jaiir ou 5 «3/Jour « puiti obortdonné.

Af«klvoao 4** do.ow.iiH orlalnow. ooo r.produi«i t

SCR

Antillas por F. FERRARI.

Donlor Inmilt por iC OENEUFBOURG

loMk a (M. p« < OREAN

lo 8/5/68

Nonbro d'iWMC.I.Iro. 0 lo O/S/óSDoMior C lut.o'oo

CmI*«I« p«r 1 û KNCvPftOUM> M DCT. VI

DÍfAüTtMENT i GUADELOUPE N* i.l.G.M. d'nr.(lir,.i0.i« i

COMMUNE > MORNE A L'EAU

DÍSICNATION 1 Pvita - RICHEVAL

c«trt ofot. AU i¿tdo<«i

Grane/a Terra

osjiT Rocharctia d'aou

Pof. d'udoatiaa XlXa liécla

ProfoiidoM floolo I 5,8 poia 8,40

ATiASAu i/ao aoo

Fo.illo 8 C8IPP0Niidl.0 do «iow.io.ot I

NoloMi puit» p 1,50 I

Modo do Sofopo I

Monra do l*ooovro I

ProptldMho o. 1,68 SIAPAP. H. HERaER

EoTroproooo. i

Trovow. ooo..Illé. oo Mlvk por i

Orlp'oo do. docoMoon t Service da, nirratB R G N

IW I 1/1 |N'd'o«lraooo.o^.ÎI4<J . ÎÔ

ArcklirOeO

Howtoor do tvboao oo do lo »ara.ll. d*p.,i.nr lo mI t

0,50

A«co>lkilli4 1 , , .en berdura at la N 6 antra Grippon at

ROUJOLModo d*«oolpoio.nl t

Margelle tn aeconnariaEel lanna hora d*uaoga

CM>dwo«« La>Urt X - ¿65,49r- 1808,11

Zooo|(ro - 6,9Coto do mI .

a l'orlfko (Z) i{W6 -

Corto dSioilIta o« woaol. cftrd i

I «¿Pults

'isRIPPON *'*- WKIW4

Obswwarlom i Puitl obondonné

«¿FCICNCIS lULfOGIAPHIQUfS tT CfOLOOlE i

O*oprit lo corta gôlogiqu* ow l/SO.OOOo do lo Crondo Torro, lo puitto é\é foncA dona "loa forMitions voIcoaÍquoi ot lovrt dtttructiont oyont lubiwflo altiroiien à tondonco lottfritiqua" (l) do l*Ant¿ Hiocino.

íclMirtilUw I ntfont. »/.A^M.OttO^^-a/f'/SÍC/tU

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OcCDO.£2.ocT3

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Ijgireaantjaunfitr*

Anciannaaant exploité à 10 BS/jaiir ou 5 «3/Jour « puiti obortdonné.

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Antillas por F. FERRARI.

Donlor Inmilt por iC OENEUFBOURG

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Nonbro d'iWMC.I.Iro. 0 lo O/S/óSDoMior C lut.o'oo

CmI*«I« p«r 1 û KNCvPftOUM> M DCT. VI

DÍfAüTtMENT i GUADELOUPE N* i.l.G.M. d'nr.(lir,.i0.i« i

COMMUNE > MORNE A L'EAU

DÍSICNATION 1 Pvita - RICHEVAL

c«trt ofot. AU i¿tdo<«i

Grane/a Terra

osjiT Rocharctia d'aou

Pof. d'udoatiaa XlXa liécla

ProfoiidoM floolo I 5,8 poia 8,40

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Modo do Sofopo I

Monra do l*ooovro I

ProptldMho o. 1,68 SIAPAP. H. HERaER

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ROUJOLModo d*«oolpoio.nl t

Margelle tn aeconnariaEel lanna hora d*uaoga

CM>dwo«« La>Urt X - ¿65,49r- 1808,11

Zooo|(ro - 6,9Coto do mI .

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Corto dSioilIta o« woaol. cftrd i

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'isRIPPON *'*- WKIW4

Obswwarlom i Puitl obondonné

«¿FCICNCIS lULfOGIAPHIQUfS tT CfOLOOlE i

O*oprit lo corta gôlogiqu* ow l/SO.OOOo do lo Crondo Torro, lo puitto é\é foncA dona "loa forMitions voIcoaÍquoi ot lovrt dtttructiont oyont lubiwflo altiroiien à tondonco lottfritiqua" (l) do l*Ant¿ Hiocino.

íclMirtilUw I ntfont. »/.A^M.OttO^^-a/f'/SÍC/tU

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DÉPARTEMENT u'T.\_,;'r;:..; N* B.R.G.M. d'enregisiremerit

COMMUNE :

DÉSIGNATION\ r.

CAR TE GÔl. AU 1/50 000

N* 1 Feuille

OBJET :

Date d'exécution

Profondeur finale

Noture :

Mode de forage

Martre de l'oeuvre : .1. . ' .

Propriétaire en 19^ >' ' . .

Entrepreneur : "II' '.* '

Trovaux conseillés ou suivis par :

Origine des documents :

.) lï G U

B n G K

Hauteur du tuboge ou de la margelle dépassant le sot

Accessibilité : 11,5 à partir .le Uome & l'Eau verstioule.


G.ans.

ATLAS AU 1/2 000

Feuille , " I. - n" 9Indice de classement :

N* l 1/8 N'd'entréeoux archives

Archivage

Coordonnées Lambert ! X = !''.'),C"''0

Zone

Cote du solà l'orifice

lEPD -(Z) iJeng =

|rNG = 10,133

Carte détaillée ou croquis cité :

UsineBIANCHET

ECH. 1/20000

Observations

RÎFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE :

S'apria la «art» géologique au l/SO.OOO de Grande Terre, le forage est laplantek la llolts da reeourrement des fonctions TolcEuilques altérées et plus ou noins latérltlséet (l) par les calcaires ocres à algues et éléments Tolcaniquee du Miocène ^fa^j

Echantillons i néant.

Â\\AZl ^^>\S /F À^^'

103


DÉPARTEMENT u'T.\_,;'r;:..; N* B.R.G.M. d'enregisiremerit

COMMUNE :

DÉSIGNATION\ r.

CAR TE GÔl. AU 1/50 000

N* 1 Feuille

OBJET :

Date d'exécution

Profondeur finale

Noture :

Mode de forage

Martre de l'oeuvre : .1. . ' .

Propriétaire en 19^ >' ' . .

Entrepreneur : "II' '.* '

Trovaux conseillés ou suivis par :

Origine des documents :

.) lï G U

B n G K

Hauteur du tuboge ou de la margelle dépassant le sot

Accessibilité : 11,5 à partir .le Uome & l'Eau verstioule.


G.ans.

ATLAS AU 1/2 000

Feuille , " I. - n" 9Indice de classement :

N* l 1/8 N'd'entréeoux archives

Archivage

Coordonnées Lambert ! X = !''.'),C"''0

Zone

Cote du solà l'orifice

lEPD -(Z) iJeng =

|rNG = 10,133

Carte détaillée ou croquis cité :

UsineBIANCHET

ECH. 1/20000

Observations

RÎFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE :

S'apria la «art» géologique au l/SO.OOO de Grande Terre, le forage est laplantek la llolts da reeourrement des fonctions TolcEuilques altérées et plus ou noins latérltlséet (l) par les calcaires ocres à algues et éléments Tolcaniquee du Miocène ^fa^j

Echantillons i néant.

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103


m

oîG«2 O

UJ /- X

^^<( UJ

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FORAGE

-a.TUBAGE

De 0 tpohsçwr,OBSERVATink^f;

Repéra ollimèlfique t bqI Cote du repère : + 10,123

NIVEAU PIÉZOMÉTRIQUE

DatePcofondiurdu toroga

Ptofondtur dwpion d'aou

Cora obtoluadu pion d'aov Observations

v/V'7- + 1,243

DÉBIT

Dote Profondaurdû foroga

Dur<aDébit m3/h

pontpoga ArtéiianCota obioluadu plan d'aou

Cota obioluidu nivaoudynomiqua

Dtnival.lotion

f618' Observations

Archivage des documents originoux non reproduits

3 a EAntilles

Happort B.H.O.M, n" 70 AOT 14 d'arrll 1970, intitulé \ ]!>. À 'l:- \"Stude des resaouroea en eau souterraine de la Grande Terre - Seconde phase t

Etude de la Plains de Grippon".

Dossier instruit par : S. COTT£Zle

Mit 4 jour por : P.lí, ÜBIBUTOle 4 noTsmbra 1970

Nombre d'Intercoloirest?rotgi-C iumxHnu

le 4 norembre I970 Contrôlé parle

M\sAn ^^AS h /^^-'^

104


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oîG«2 O

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Repéra ollimèlfique t bqI Cote du repère : + 10,123

NIVEAU PIÉZOMÉTRIQUE

DatePcofondiurdu toroga

Ptofondtur dwpion d'aou

Cora obtoluadu pion d'aov Observations

v/V'7- + 1,243

DÉBIT

Dote Profondaurdû foroga

Dur<aDébit m3/h

pontpoga ArtéiianCota obioluadu plan d'aou

Cota obioluidu nivaoudynomiqua

Dtnival.lotion

f618' Observations

Archivage des documents originoux non reproduits

3 a EAntilles

Happort B.H.O.M, n" 70 AOT 14 d'arrll 1970, intitulé \ ]!>. À 'l:- \"Stude des resaouroea en eau souterraine de la Grande Terre - Seconde phase t

Etude de la Plains de Grippon".

Dossier instruit par : S. COTT£Zle

Mit 4 jour por : P.lí, ÜBIBUTOle 4 noTsmbra 1970

Nombre d'Intercoloirest?rotgi-C iumxHnu

le 4 norembre I970 Contrôlé parle

M\sAn ^^AS h /^^-'^

104


DÉPT : 971 COMMUNE s W ùG A L'EAUDé..,«.i.-: ?-ra e TTC Ire ?1-Jichct u» r-

.. l/or-" *..hlL.n.ri Tl;-,K

X. 6'9,35C Y

Interprétée eer; n!¿':J »iolDESCRIPTION CEOIOCIOUE

Arcllt pl''Jti-ii'0 b,-i'ol't d'ürljine volcaniq'

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105


DÉPT : 971 COMMUNE s W ùG A L'EAUDé..,«.i.-: ?-ra e TTC Ire ?1-Jichct u» r-

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X. 6'9,35C Y

Interprétée eer; n!¿':J »iolDESCRIPTION CEOIOCIOUE

Arcllt pl''Jti-ii'0 b,-i'ol't d'ürljine volcaniq'

:..W.-r:i :".. :.2o-.iV'5 *rô.-i Ou- ¿t fii.rlc..tal'tii d.vt'i v.i. g:-.n,'ie ù'.iijle iu-lgole .iicalclfic-.tlcri

105


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE : BAIE MAHAULT

DÍSIGNATION : Carte géotechnique S. 2

CARTE GÉOL. AU I/SOOOO

Carte gëotechnique 3.2(s.l feuille Pointe à Pitre).

Feuille

OBJET ; Recopnaissonce au sous sol

Dote d'exécution : 13 OU IS/l/ZI

Profondeur finale ; 15 m

Nature : 1 sondoge corottéMode de foroge : rotâtion(XCH 60)

Martre de l'oeuvre : D.D.E.

Propriétoire en 197.1


Travaux conseillés ou suivis par : B.R.G.M.

Origine des documents : B.R.G.M. - BACHY

Hauteur du tubage ou de la margelle dépossont le sol

NEANTAccessibilité 1

D2(de lo RN1 h la Retraite^Mode d'équipement :

Observotions i

BASSE -TERRE/NORD

ATLAS AU 1/2, 000

feuille LAMENTIN 13Indice de ctoiiement :

1/8 N'd'enlréeoux archives

1146 /Archivage

Coordonnées Lambert : X = 649,74Y " 1794,55

ZoneJEPD - 35

Irng =

Cote du sol Ij& rorlfiee ' ' |¡

Carte détoillée ou croquis cflti

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÉOLOGIE :

D'après la carte géologique av l/SO.OOO de BASSE TERRE, ce sondogeaurait été implanté dans le complexe volcanique anté-miocène.-

ichantlllons : 3 (j.itacts)

y|/m62.ZOoo2./e¿ /(^C-^

106


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE : BAIE MAHAULT

DÍSIGNATION : Carte géotechnique S. 2

CARTE GÉOL. AU I/SOOOO

Carte gëotechnique 3.2(s.l feuille Pointe à Pitre).

Feuille

OBJET ; Recopnaissonce au sous sol

Dote d'exécution : 13 OU IS/l/ZI

Profondeur finale ; 15 m

Nature : 1 sondoge corottéMode de foroge : rotâtion(XCH 60)

Martre de l'oeuvre : D.D.E.

Propriétoire en 197.1



Origine des documents : B.R.G.M. - BACHY

Hauteur du tubage ou de la margelle dépossont le sol

NEANTAccessibilité 1

D2(de lo RN1 h la Retraite^Mode d'équipement :

Observotions i

BASSE -TERRE/NORD

ATLAS AU 1/2, 000

feuille LAMENTIN 13Indice de ctoiiement :


1146 /Archivage

Coordonnées Lambert : X = 649,74Y " 1794,55

ZoneJEPD - 35

Irng =

Cote du sol Ij& rorlfiee ' ' |¡

Carte détoillée ou croquis cflti

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÉOLOGIE :

D'après la carte géologique av l/SO.OOO de BASSE TERRE, ce sondogeaurait été implanté dans le complexe volcanique anté-miocène.-

ichantlllons : 3 (j.itacts)

y|/m62.ZOoo2./e¿ /(^C-^

106


,971 COMMUNE: BAIE MAHAULT

Sîieetien: Corte géotechnigue S21/1 nn ét»t)nei)ari H.K.b.n.

X. 649,74Interprétée par: R.R.G.M.

DESCRIPTION GEOLOGIQUE

Argile tuffeuse marron plastique, à petit;grains de quartz.

Tv

Tuf très argilisé rouge-brique

Tuf marron è rouge-brique,argilisé, maiscompact.

Tu^blanc b blonc-}aunâtre,è gros grainsde quartz (02-3 m/mj

yl^u t>^? oooe ^¿ Ac-t I

OMitenei*/lttare

OMEKVATIONS

" H^HÎI PI '-^ MOL.

^*« IHiW.4!,J '.t'ir*

107


,971 COMMUNE: BAIE MAHAULT

Sîieetien: Corte géotechnigue S21/1 nn ét»t)nei)ari H.K.b.n.

X. 649,74Interprétée par: R.R.G.M.

DESCRIPTION GEOLOGIQUE

Argile tuffeuse marron plastique, à petit;grains de quartz.

Tv

Tuf très argilisé rouge-brique

Tuf marron è rouge-brique,argilisé, maiscompact.

Tu^blanc b blonc-}aunâtre,è gros grainsde quartz (02-3 m/mj

yl^u t>^? oooe ^¿ Ac-t I

OMitenei*/lttare

OMEKVATIONS

" H^HÎI PI '-^ MOL.

^*« IHiW.4!,J '.t'ir*

107


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M; d'enregistrement ;

COMMUNE : gAIE MAHAULT

DÍSIGNATION : HABITATION BELCOURT

OBJET ! Reconnaissance géologique et gëotech¬nique - Carte géotechniqueDate d'exécution : 30.08. OU 01.09.1972

Profondeur finale ; 15,50 m

Nature : 1 sondoge carotté 5.5Mode de forage : rotation XCH,60

Moine de l'oeuvre : D.D.E. (G.E.P.)

Propriétaire en 19 ¡72



Origine des documents : B.R.G.M.B.R.G.M. /SIF BACHY


Néant

Accessibilité : RN.1

Mode d'équipement

Néant

CARTE GÎOL. AU_l/So 000

N* 1 Feuille"

BASSE TERRE NORD

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille 13 _ LAMENFINIndice de classement :

N* 1/8 |N*d'entréeoux archives

1146 / 03

Archivoge

D


Zone22 mCote

t, I »"''" Irng»

-t-^'r^w^y ECH! 1/20000

Observations :

Prélèvement de deux échantillons intacts (A. P.M. 78)

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÉOLOGIE

D'après la carte géologique de Basse Terre ou 1.50.000, ce sondage estimplanté dans les argiles résiduelles du complexe volcanique antimiocène

Echontillons i 2 pour essois de sols

'A-

108


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M; d'enregistrement ;

COMMUNE : gAIE MAHAULT

DÍSIGNATION : HABITATION BELCOURT

OBJET ! Reconnaissance géologique et gëotech¬nique - Carte géotechniqueDate d'exécution : 30.08. OU 01.09.1972

Profondeur finale ; 15,50 m

Nature : 1 sondoge carotté 5.5Mode de forage : rotation XCH,60

Moine de l'oeuvre : D.D.E. (G.E.P.)

Propriétaire en 19 ¡72



Origine des documents : B.R.G.M.B.R.G.M. /SIF BACHY


Néant

Accessibilité : RN.1

Mode d'équipement

Néant

CARTE GÎOL. AU_l/So 000

N* 1 Feuille"

BASSE TERRE NORD

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille 13 _ LAMENFINIndice de classement :

N* 1/8 |N*d'entréeoux archives

1146 / 03

Archivoge

D


Zone22 mCote

t, I »"''" Irng»

-t-^'r^w^y ECH! 1/20000

Observations :

Prélèvement de deux échantillons intacts (A. P.M. 78)

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÉOLOGIE

D'après la carte géologique de Basse Terre ou 1.50.000, ce sondage estimplanté dans les argiles résiduelles du complexe volcanique antimiocène

Echontillons i 2 pour essois de sols

'A-

108


Immune > bus msKwsOeit« géotechnlque 3.5

n B.R.G.M., X. 651,15

Interprétée par ! B.R.fl.M.

DESCmPTION CEOlOClOUC

tsm vegetáis b-rtifigArgile terreuse î.irun*. Jaunâtre * concrettion noirâtre liira) et éléments volcaniques

Argile rouge, plastique, feuilletée.Argile bariolée, à dominante rouge (gris-blanc, Jaunâtre; plus ou moins toCreuse,plastique.

Argile bariolés & dominante rouge, (grla -blanc, Jaunâtre) compacte, plastique,passages mous de 5 & 5,30 m et da 6,00 h.

6,23 m.

av

Axslle bariolée, jaune-gris, brune, violet¬te, lie de vin, compacte, par endroittuffeuse.

Du 30 août au 1er septembre 1972.

M^^Zl ooos/S5 /(i<i-1O8SEEVATI0HS

tUHiK Ce Me Nep" a so«

109


Immune > bus msKwsOeit« géotechnlque 3.5

n B.R.G.M., X. 651,15

Interprétée par ! B.R.fl.M.

DESCmPTION CEOlOClOUC

tsm vegetáis b-rtifigArgile terreuse î.irun*. Jaunâtre * concrettion noirâtre liira) et éléments volcaniques

Argile rouge, plastique, feuilletée.Argile bariolée, à dominante rouge (gris-blanc, Jaunâtre; plus ou moins toCreuse,plastique.

Argile bariolés & dominante rouge, (grla -blanc, Jaunâtre) compacte, plastique,passages mous de 5 & 5,30 m et da 6,00 h.

6,23 m.

av

Axslle bariolée, jaune-gris, brune, violet¬te, lie de vin, compacte, par endroittuffeuse.

Du 30 août au 1er septembre 1972.

M^^Zl ooos/S5 /(i<i-1O8SEEVATI0HS

tUHiK Ce Me Nep" a so«

109


yMkVîo%1^/>i /L/w /lDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE ! BAIE MAHAULT

DfSIGNATION : Carte géotechnique SI (S2 feuille LAMENTIN)

CAUTE GÎOL. AU 1/& 000

Feuille

BASSE TERRE

OBJET : Reconnaissance du sous sol

Dole d'exécution : 8 OU ]2/}/7\

Profondeur finale i 15 00 m

Nature : 1 Sondage carotttMode de forage : (XCH.60) ro^rv

Mettre de l'oeuvre i D.D.E.

Propilétalrc en 19 :71

Entrepreneur i SIF BACHY

Trovaux conseillé! ou suivis par ; B.R.G.M.

Origine des document, : B.R.G.M. - BACHY

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépossont le sol :

NEANTAccessibilité :

Chemin de MOUDONG

Mode d'équipement t //¿,iZ7o7-3?

NEANT L.

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille 14 POINTE A PITREIndice de classement :

N* l/e [N'd'entréeouxerchives

1147 / 797

Archivage

Coordonnées Lambert : X " 651,600y = 1796,300

Zone

Carte détaillée ou croquis cAté

'Ytrt ftlII-Bturt I ECH. 1/20000

Observations

^ «*.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE i

D'oprès la carte géologique de Bosse Terre au l/SO.OOO, ce sondage

aurait été inplanté dons le complexe volcanique onti-oiiocène

Echontillons : (3 échantillons intactsj-

110


yMkVîo%1^/>i /L/w /lDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE ! BAIE MAHAULT

DfSIGNATION : Carte géotechnique SI (S2 feuille LAMENTIN)

CAUTE GÎOL. AU 1/& 000

Feuille

BASSE TERRE

OBJET : Reconnaissance du sous sol

Dole d'exécution : 8 OU ]2/}/7\

Profondeur finale i 15 00 m

Nature : 1 Sondage carotttMode de forage : (XCH.60) ro^rv

Mettre de l'oeuvre i D.D.E.

Propilétalrc en 19 :71

Entrepreneur i SIF BACHY

Trovaux conseillé! ou suivis par ; B.R.G.M.

Origine des document, : B.R.G.M. - BACHY

Hauteur du tubage ou de la morgelle dépossont le sol :

NEANTAccessibilité :

Chemin de MOUDONG

Mode d'équipement t //¿,iZ7o7-3?

NEANT L.

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille 14 POINTE A PITREIndice de classement :

N* l/e [N'd'entréeouxerchives

1147 / 797

Archivage

Coordonnées Lambert : X " 651,600y = 1796,300

Zone

Carte détaillée ou croquis cAté

'Ytrt ftlII-Bturt I ECH. 1/20000

Observations

^ «*.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE i

D'oprès la carte géologique de Bosse Terre au l/SO.OOO, ce sondage

aurait été inplanté dons le complexe volcanique onti-oiiocène

Echontillons : (3 échantillons intactsj-

110


AA k^ ^1 40 As/Sa A;FORAGE TUBAGE OBSERVATIONS

De .SL De 0 Époisseur, nature

OÍ2

^ Xllai y-<

Repire oitimètrique : Cote du repère

NIVEAU PIÍZOMÍTRIQUE

DotePfolond.urdu lorog*

Profond.ur dipion d'.ou

Colo ebtoluodu pion d'oou Observations

fév. mors1973

14.50m

27,00m

1,25mà

2,30m

+ 1,75 m

+ 0,70 m

;|l<?ZZ-/ô83 o.'/û3f

0ÍBIT

DoteProfondeurdu forogo

DuréeDébit mVh

pooipogo ArfétlonColo ebtolw.i\t plond'oorj

Coto ob«oluodu nlvooudjrnomlquo

D.niv.l.lotion

fais- Observations

Archivage des documents originaux non reproduits :

pld^-F ' " ''«'PP®'^* B.R.G.M. nO 73.ANT.6 intitulé"Reconnaissance géotechnique des sols de fondation du site de MortenolSud à Pointe h Pitre"

Plan d'implantation des immeubles et des voies de circulation de iaSODEG - échelle 1/500.

Dossier instruit por : Claude JAVEYle 21.03.1973.-

Mis â jour porlo

Nombre d'intercalaires i '0i-Oewie» C jwf^w'ow

le 21.03.1973 Contrôlé par i Ph. DREAM

111


AA k^ ^1 40 As/Sa A;FORAGE TUBAGE OBSERVATIONS

De .SL De 0 Époisseur, nature

OÍ2

^ Xllai y-<

Repire oitimètrique : Cote du repère

NIVEAU PIÍZOMÍTRIQUE

DotePfolond.urdu lorog*

Profond.ur dipion d'.ou

Colo ebtoluodu pion d'oou Observations

fév. mors1973

14.50m

27,00m

1,25mà

2,30m

+ 1,75 m

+ 0,70 m

;|l<?ZZ-/ô83 o.'/û3f

0ÍBIT

DoteProfondeurdu forogo

DuréeDébit mVh

pooipogo ArfétlonColo ebtolw.i\t plond'oorj

Coto ob«oluodu nlvooudjrnomlquo

D.niv.l.lotion

fais- Observations

Archivage des documents originaux non reproduits :

pld^-F ' " ''«'PP®'^* B.R.G.M. nO 73.ANT.6 intitulé"Reconnaissance géotechnique des sols de fondation du site de MortenolSud à Pointe h Pitre"

Plan d'implantation des immeubles et des voies de circulation de iaSODEG - échelle 1/500.

Dossier instruit por : Claude JAVEYle 21.03.1973.-

Mis â jour porlo

Nombre d'intercalaires i '0i-Oewie» C jwf^w'ow

le 21.03.1973 Contrôlé par i Ph. DREAM

111


A^WMl^oii/S'^ÁDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : POINTE A PITRE

DÍSIGNATION : MORTENOL SUD

CARTE GÍOL. AU 1/50 000

Feuille

GRANDE TERRE

OBJET I Reconnaissance du sous-sol

Dote d'exécution : du 14.02 au 14.03.1973

Profondeur finale : 14,50 b 27,00 m

Nature : iQ Sondages corottésMode de foroge : Rototion - Craélius XCH.60

Mettre de l'oeuvre ! S.l. G. délégué SODEG

Propriétaire en 19 73


Travaux conseillés ou suivis par : B.R.G.M,

Origine des documents : B.R.G.M.

Hauteur du tubage ou de la margelle dépossont le sol :

NéantAccessibilité ; lli,^2ri£)?3a.''jo32

Mode d'équipement i Route des Petites Abymes

Néant

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille POINTE A PITRE - n° 14Indice de clossement :

1/8 N'd'entréeouxorchives

1147 / 1083 - 1092

Archivage

Coordonnées Lambert ; X " .75^»^§é

^r;"'(Z,:|[L°G: ''"* '""''" Irng-

Carte détaillée ou croquis ctté :

ECH: 1/10000

Observations ;

Campagne de reconnaissance proposée, suivie et interprétée par

le B.R.G.M.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE :

D'après la carte géologique au l/SO.OOO de la Grande Terre, cessondages ont été effectués dons une zone occupée par des vases àpalétuvier (ora) et actuellement remblayée.

Echontillons

112


A^WMl^oii/S'^ÁDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : POINTE A PITRE

DÍSIGNATION : MORTENOL SUD

CARTE GÍOL. AU 1/50 000

Feuille

GRANDE TERRE

OBJET I Reconnaissance du sous-sol

Dote d'exécution : du 14.02 au 14.03.1973

Profondeur finale : 14,50 b 27,00 m

Nature : iQ Sondages corottésMode de foroge : Rototion - Craélius XCH.60

Mettre de l'oeuvre ! S.l. G. délégué SODEG

Propriétaire en 19 73


Travaux conseillés ou suivis par : B.R.G.M,


Hauteur du tubage ou de la margelle dépossont le sol :

NéantAccessibilité ; lli,^2ri£)?3a.''jo32

Mode d'équipement i Route des Petites Abymes

Néant

ATLAS AU 1/2 0 000

Feuille POINTE A PITRE - n° 14Indice de clossement :


1147 / 1083 - 1092

Archivage

Coordonnées Lambert ; X " .75^»^§é

^r;"'(Z,:|[L°G: ''"* '""''" Irng-

Carte détaillée ou croquis ctté :

ECH: 1/10000

Observations ;

Campagne de reconnaissance proposée, suivie et interprétée par

le B.R.G.M.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GÍOLOGIE :

D'après la carte géologique au l/SO.OOO de la Grande Terre, cessondages ont été effectués dons une zone occupée par des vases àpalétuvier (ora) et actuellement remblayée.

Echontillons

112


'> ^,V^>.<.^ ,-t<S A . it:«--- \:."^rj:r^' BíIlCH¥^55 ZZOûOl

56R. N. I CHRISTOPHE

Sunday,c!e [To!

Ç. C13.

5 00

* 00

5 40

7 30

a 00

u 99

l< 40

ir 00

e r

Nit'jre (i J tprrain

Arailr t\,Ht.jtr TOrrOT r'O'f

jSktnr eo'V'corf*

Argile ^rti t<jtt*^»f iT«rroi

rouÇÉ

Arf ( fiif fts/»f «or roo fofi(ff feOtr

Tw' OrÇ'lf4t rodfff ftrtfur

Ovff dff '</*' (rtcâtrti

Arçifr pfojftût rouff« hrmut Osivc

dvi ^Jffs gr.iafr«i d'oaptrf tufftuf

Tu* 9'$'hút ovfe «% poiiogfi

grqiurrui tfr rouçr brlûf Sris

¿ fr««of «orren frit orQiltut

Or 95 0 Ó JO OOti

Tuf a^gtifti tfr reu9# brtqaf

û tn» 1 oie

T«# irtfibWwf k'oïc Iak'

?

-

il>

o_

c"6

ó

6 "

o

9_

ô ,.

_¿~

o

1

cûfrmenrc le ?'

Cl'QltagA

«0 %

eo %

100 H

100 %

100 %

«0 %

0 r.

eo %

OuttI«ttubege

oo oo .m

o

o 1^

4 - 72 terminé (^ ?« - 4 - 72

Pf*i**«»*>«nt

- !

Oo

'

ooo

tt

/IP* 78

/ 60*1t 36 rotipi

2 lOj

eoGl... 40 COuOf6 SOJ

>5oJ""""'

iOiiC ' / '

Observations

NiveauK d't-au(p.' rapport ou voij

Fond du Niv.ijtondtoc d. 1 «Aw

(7 rO<r

113


'> ^,V^>.<.^ ,-t<S A . it:«--- \:."^rj:r^' BíIlCH¥^55 ZZOûOl

56R. N. I CHRISTOPHE

Sunday,c!e [To!

Ç. C13.

5 00

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l< 40

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Nit'jre (i J tprrain

Arailr t\,Ht.jtr TOrrOT r'O'f

jSktnr eo'V'corf*

Argile ^rti t<jtt*^»f iT«rroi

rouÇÉ

Arf ( fiif fts/»f «or roo fofi(ff feOtr

Tw' OrÇ'lf4t rodfff ftrtfur

Ovff dff '</*' (rtcâtrti

Arçifr pfojftût rouff« hrmut Osivc

dvi ^Jffs gr.iafr«i d'oaptrf tufftuf

Tu* 9'$'hút ovfe «% poiiogfi

grqiurrui tfr rouçr brlûf Sris

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Or 95 0 Ó JO OOti

Tuf a^gtifti tfr reu9# brtqaf

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T«# irtfibWwf k'oïc Iak'

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4 - 72 terminé (^ ?« - 4 - 72

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Observations

NiveauK d't-au(p.' rapport ou voij

Fond du Niv.ijtondtoc d. 1 «Aw

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113


DÉPARTEMENT : GUADaOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE : GOYAVE

DfSIGNATION : Rectif icotion RN.I Christophe et La Rom

O'J^' = reconnaissance

Date d'exécution : 14.3 OU 10.4.72

Profondeur finale : 20 b 35,00 M

N»'"" : sondageMode de foroge : ^^^^^^^n XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E.

Propriétoire en 19 :

Entrepreneur : jjp g^Q^y

Trovaux conseillés ou suivis par : B.R.CoM.

Origine des documents : BRGM

Hauteur du tubage ou de la margelle dépassent le sol :

néant

Accessibilité : po, CoV de Goyove il Bois Sec et d

part et d'outre de la petite riviire b Goyave.


néant

CAUTE Gfot. AU l/SoiFeuille

BASSE TERRE /SUD

AllAS AU 1/^^ 000

Feuille GOYAVEIndice de clasiement


1155 / 2à4Archivage

Coordonnées Lombert : X = 652,28^ ° 1784,25)57

Zone

^;;:-"'u,:]In^g: «'^4 l'orifice |rng.

SjtiCarte

Observations

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GEOLOGIE :

Iuplonté (S7 et S8) donm les "alluvions fluviatile» " et (S9) dansle "conpleM volcanique volcanique onti miocène" d'oprès la carte ou 1/50.00C

Échantillons ; néont

^^ys^^oox^^ /s-i /i

114


DÉPARTEMENT : GUADaOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement :

COMMUNE : GOYAVE

DfSIGNATION : Rectif icotion RN.I Christophe et La Rom

O'J^' = reconnaissance

Date d'exécution : 14.3 OU 10.4.72

Profondeur finale : 20 b 35,00 M

N»'"" : sondageMode de foroge : ^^^^^^^n XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E.


Entrepreneur : jjp g^Q^y

Trovaux conseillés ou suivis par : B.R.CoM.


Hauteur du tubage ou de la margelle dépassent le sol :

néant

Accessibilité : po, CoV de Goyove il Bois Sec et d

part et d'outre de la petite riviire b Goyave.


néant

CAUTE Gfot. AU l/SoiFeuille

BASSE TERRE /SUD

AllAS AU 1/^^ 000

Feuille GOYAVEIndice de clasiement


1155 / 2à4Archivage

Coordonnées Lombert : X = 652,28^ ° 1784,25)57

Zone

^;;:-"'u,:]In^g: «'^4 l'orifice |rng.

SjtiCarte

Observations


Iuplonté (S7 et S8) donm les "alluvions fluviatile» " et (S9) dansle "conpleM volcanique volcanique onti miocène" d'oprès la carte ou 1/50.00C

Échantillons ; néont

^^ys^^oox^^ /s-i /i

114


DÉPARTEMENT : GUADELOUPEN" B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : GOYAVE

DESIGNATION : Rectif icoilon RN.1 Christophe et La Rose

CARTE cfoL. AU 1/So 000

N* Feuille

BASSE TERRE /SUD

OBJET i reconnaissance

Date d'exécution ; 14,3 OU 10,4,72

Profondeur finóle : 20 h 35,00 «I

Nature : SOndogeMode de forage : y<rtotÍOn XCH,60

ATLAS AU l/î_ 000

Feuille GOYAVEIndice de classement

Moitre de l'oeuvre : D.D.E.


Entrepreneur : jjp g^Q^

Trovaux conseillés ou suivis par : B.R.GoM,


Haut eur du tuboge ou de la margelle dépassent le sol


1155 / 2Í.4 I

Archivage

Coordonnées Lambert ; X = 652,28.Y= 1784,25)57

Zone

néant

Accessibilité ! par C.V de Goyave b Bois Sec et d.|

port et d'outre de la petite rivière è Goyove.


néant

Observotions :

RÍFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GEOLOGIE

Lplonté (57 et SB) don. le, """«r}»"? [J^n^îiîi'prts lô Mrte'L*'v50.C1, -complexe volcanique volconxque onti miocène d opres

Échantillons : néant

^/\ss ^^ 0°^ Ââ /L

115


DÉPARTEMENT : GUADELOUPEN" B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : GOYAVE

DESIGNATION : Rectif icoilon RN.1 Christophe et La Rose

CARTE cfoL. AU 1/So 000

N* Feuille

BASSE TERRE /SUD

OBJET i reconnaissance

Date d'exécution ; 14,3 OU 10,4,72

Profondeur finóle : 20 h 35,00 «I

Nature : SOndogeMode de forage : y<rtotÍOn XCH,60

ATLAS AU l/î_ 000

Feuille GOYAVEIndice de classement



Entrepreneur : jjp g^Q^

Trovaux conseillés ou suivis par : B.R.GoM,


Haut eur du tuboge ou de la margelle dépassent le sol


1155 / 2Í.4 I

Archivage

Coordonnées Lambert ; X = 652,28.Y= 1784,25)57

Zone

néant

Accessibilité ! par C.V de Goyave b Bois Sec et d.|

port et d'outre de la petite rivière è Goyove.


néant

Observotions :

RÍFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET GEOLOGIE

Lplonté (57 et SB) don. le, """«r}»"? [J^n^îiîi'prts lô Mrte'L*'v50.C1, -complexe volcanique volconxque onti miocène d opres

Échantillons : néant

^/\ss ^^ 0°^ Ââ /L

115


LDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : CAPESTERRE

DESIGNATION : Rectification RN1 de Christophe La Rose

CA«Tt GtOL. AU 1/53 000

Feuille

BASSE TERRE / SUD

°*-"^ ' reconnaissance

Dote d'exécution : 22/2 OU 9/3/72

Profondeur finale ; 12,3 il 18,5

Nature : SOndogeMode de forage i rotation por XCH,60

Martre de l'oeuvre : D,D,E,

Propriétaire en 19 :

Entrepreneur : Slf BACHY

Travaux conseillés ou suivis par : B.RoCH,

Origine des documents : R C G M

Hauteur du tubage ou de la margelle dépassant le sol i

néantAccessibilité : par chemin portont de la RNI veri|l'Est devant l'école de Christophe, -Mode d'équipement :

nônt

ATLAS AU UX) 000

Feuille CopesterreIndice de classement :


1157 / 3 à 5

Archivage

Coordonnées Lambert ; X " 663,14Y " 1781,87)S1

Zone

Cote .uso... I- : -12 (SI)Cote du sol . . jà l'orifice ' ' "I

RNG =

^'Y Car)( détoTlTîyou^roqu

1 11 Hofn*

y' \.S: CHRtSîOP.

is c&té

ÊCH.1/I0N0ten

Observotions : ' y^'^'jl


Implanté dons les "olluvions de rivière" " et le "complexe volcanique

onti Miocène"

Échantillons : (iôd

116


LDÉPARTEMENT : GUADELOUPE N* B.R.G.M. d'enregistrement


DESIGNATION : Rectification RN1 de Christophe La Rose

CA«Tt GtOL. AU 1/53 000

Feuille

BASSE TERRE / SUD

°*-"^ ' reconnaissance


Profondeur finale ; 12,3 il 18,5

Nature : SOndogeMode de forage i rotation por XCH,60

Martre de l'oeuvre : D,D,E,



Travaux conseillés ou suivis par : B.RoCH,

Origine des documents : R C G M

Hauteur du tubage ou de la margelle dépassant le sol i

néantAccessibilité : par chemin portont de la RNI veri|l'Est devant l'école de Christophe, -Mode d'équipement :

nônt

ATLAS AU UX) 000

Feuille CopesterreIndice de classement :


1157 / 3 à 5

Archivage

Coordonnées Lambert ; X " 663,14Y " 1781,87)S1

Zone

Cote .uso... I- : -12 (SI)Cote du sol . . jà l'orifice ' ' "I

RNG =

^'Y Car)( détoTlTîyou^roqu

1 11 Hofn*

y' \.S: CHRtSîOP.

is c&té

ÊCH.1/I0N0ten

Observotions : ' y^'^'jl


Implanté dons les "olluvions de rivière" " et le "complexe volcanique

onti Miocène"

Échantillons : (iôd

116


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE

L


DESIGNATION : Rectification RNI de Christophe La Rose

N* B.R.G.M. d'enregistrement ;

°*-'" ' reconnoissonce


Profondeur finóle : 12 3 Ù 18 5

Nature : SOndooeMode de foroge ; rototlOn por XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E,


Entrepreneur : Sjp BACHY

Trovoux conseillés ou suivis por : B,R,G,H,

Origine des documents B.R.G.M.

Houteur du tuboge ou de lo margelle dépossont le sol :

néantAccessibilité : par chemin portant de la RNI yenl'Est devont l'école de Christophe.-Mode d'équipement ;

néant

j* =î

CA«IE ofoL. AU i/5b 000Feuille

BASSE TERRE / SUD

ATLAS AU 1/20 000

Feuille CopesterreIndice de clossement :

1/8 N'd'entréeoux archives

1157 / 3 à 5

Archivage

Coordonnéei Lambert : X = 663^ l4\*-Y -1781,87^

Zone

alor.f.ce Irng-

^'\' Caiii détoTÎTîS" ou croquis côté

ÊCH.I/tOOOO

Observations :" ^'^J

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET ofOLOGIE :

Implanta dons les "alluvions de rivière" " et le "complexe volcanique

onti Miocène"

Échantillons : Non

117


DÉPARTEMENT : GUADELOUPE

L


DESIGNATION : Rectification RNI de Christophe La Rose

N* B.R.G.M. d'enregistrement ;

°*-'" ' reconnoissonce


Profondeur finóle : 12 3 Ù 18 5

Nature : SOndooeMode de foroge ; rototlOn por XCH.60

Maître de l'oeuvre : D.D.E,


Entrepreneur : Sjp BACHY

Trovoux conseillés ou suivis por : B,R,G,H,

Origine des documents B.R.G.M.

Houteur du tuboge ou de lo margelle dépossont le sol :

néantAccessibilité : par chemin portant de la RNI yenl'Est devont l'école de Christophe.-Mode d'équipement ;

néant

j* =î

CA«IE ofoL. AU i/5b 000Feuille

BASSE TERRE / SUD

ATLAS AU 1/20 000

Feuille CopesterreIndice de clossement :

1/8 N'd'entréeoux archives

1157 / 3 à 5

Archivage

Coordonnéei Lambert : X = 663^ l4\*-Y -1781,87^

Zone

alor.f.ce Irng-

^'\' Caiii détoTÎTîS" ou croquis côté

ÊCH.I/tOOOO

Observations :" ^'^J

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET ofOLOGIE :

Implanta dons les "alluvions de rivière" " et le "complexe volcanique

onti Miocène"

Échantillons : Non

117


\\5=fZZooo^ '"}

DÉPARTEMENT : GUADELOUPE n' B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : GOYAVE

DESIGNATION : Rectif icotion RN.1 de Christophe à Lo Rose

CAUTE gEoL. au I/^OOOO

Feuille

BASSE TERRE / SUD

OBJET ! reconnaissance

Dote d'exécution : février et Bors 1972

Profondeur finóle : 14,0 à 21,00 n

Noture : SOndogOMode de foroge -. rototion XCH.60




Trovoux conseillés ou suivis por : B.R.G.M,


Hauteur du tubage ou de la margelle dépassant le sol :

néantAccessibilité : près de lo rivière Coscognette b400 m environ de la RN.1 octuelle

ATLAS AU 1/20 000

Feuille CAPESTERREIndice de classement :

N* 1/8 N'd'entréeouxorchives

1157 / 6 et 7

Archivoge

Coordonnées Lambert : X - 652,72 \çz,Y = 1782,55 ^^*

Zone

Cote"ot. du .»i 1 "° ' 28,0 m

S l'orif.ce ¡RNG»

Corte détoillée ou croquis côtéMorna Rouge v\V ï«a Coyave

Mode d'équipement

néant

\flr^^ >

Observotions


Implontés d'oprès la carte géologique ou 1/50.000 dons le " complexevolcanique onti miocène"

Echontillons : néant.*

118


\\5=fZZooo^ '"}

DÉPARTEMENT : GUADELOUPE n' B.R.G.M. d'enregistrement

COMMUNE : GOYAVE

DESIGNATION : Rectif icotion RN.1 de Christophe à Lo Rose

CAUTE gEoL. au I/^OOOO

Feuille

BASSE TERRE / SUD

OBJET ! reconnaissance

Dote d'exécution : février et Bors 1972

Profondeur finóle : 14,0 à 21,00 n

Noture : SOndogOMode de foroge -. rototion XCH.60




Trovoux conseillés ou suivis por : B.R.G.M,


Hauteur du tubage ou de la margelle dépassant le sol :

néantAccessibilité : près de lo rivière Coscognette b400 m environ de la RN.1 octuelle

ATLAS AU 1/20 000

Feuille CAPESTERREIndice de classement :

N* 1/8 N'd'entréeouxorchives

1157 / 6 et 7

Archivoge

Coordonnées Lambert : X - 652,72 \çz,Y = 1782,55 ^^*

Zone

Cote"ot. du .»i 1 "° ' 28,0 m

S l'orif.ce ¡RNG»

Corte détoillée ou croquis côtéMorna Rouge v\V ï«a Coyave

Mode d'équipement

néant

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Observotions


Implontés d'oprès la carte géologique ou 1/50.000 dons le " complexevolcanique onti miocène"

Echontillons : néant.*

118

^ M

«A O

S zOo

<u

(U

O.io(û>-X

FORAGE0» *

0 i 2^20*

tapé

0

Î.30".

'USAGE u OSS»V*tlONSD. «

1

R Cp«t«s«wf( iMtwr* H

y

1

H

«lliNtAttiqu* : vol Cota 4w r«p«r« t ^, Q

MIViAU PlÎZOMfnilQuC

Oar*

1V3A954

>njéB.J«M4SI tOe^V"

27»ao

^.1....»

X,»

C«. ib.l>

* 1,00

t* ObMivatiftitt t

cUa 280 ÉcA

OElll

D«i« t>w«.D.4>H

iOi>3^ -

CM.I~I« Cm mfc-t». Pe*i 1-

Imiiw»

0

T*

20-ai

r*ii' Ofas«VW«fiOfM

Puita atandooné

Af«hlTOga 4«« <»CW*wH rigiaMiN Hou t«fi««dwl»» i

S.O.S.AatUlM

*1m Msa BoutamiiMa de Gxende-^Tem en Ouedaloupe* p*y T. rstRARI.

0«hI«« U«*nii» par t &. UBÊSSUCWiU

Mb II )Mr por t n{£UI! TAA»e

NmO»** 4'ln*«tc«(«bn 1 U VÂSMDaatïM C Im^'wi

C«Ms«4 f« 1 « KNtunwAfrU A.«7e

D^PAKTtMINT t 00ADEU>at>B H* I.I.O.M. rf**w «!*«)« t

COMMUN£ I

dCsignaiion 1

mit CAMAL

INdta CHARBOFII

outi t r*«h«rah« d'am

Dst« 4'««éc«*»>M I 19X2

helondnr rinaU i 27*^

Natw* iMad« 4« f«r««* 1

pulta Jf ?,30

EntraprMMiM i T

Trmyw «nMlllél « feulvh p«f I Y

OftaUM rfM Jtwafc I S«rTle« < Mia*«

Blblioer*Pbi*

CAtTI g(o1.. au 1^0 OOÇ

[ FmwtTu

atutms TawB

_ATIAS AU »/30 000_"f.Vuia B» 3 - P«Ut Car*!

biika im cImscmsm i

1/B |N*d>*nir««awK«(clilwM

UÎ5

Archivât*

Co<Mëonn*M L«Hib*f« t Xiii?:??

C«*.»l,,, l'"» «7, 84 iwn.. 1 ,ç ,

HowlM. 4w twb,e« *, é« it iMr0,ll, itfmntÊiâ I, toi I

1,(0 a

AccMlkUh. I SUué à 450 SI «u l«f eu beTTefourClUIBDflI (l.( - ehwla anurt à U 1.8)

««.^ e'é.alrMwM KolleiBe egaplétîiat hsnd'e

CHn.ri.ll.M I PuiteO

à eee (ea ])U%.e reabUjé) SoUeiaa taiUlle&ble.

ICFOENCES IISIIOGIAPHIOUCS El cfOlOOIE iB'eprte le eerte (éelaelq<ie ta VW.000 de le Snnée Terre, ee pulte e été fsnaé

«ne ! ralealree Uuee récifaz' (at) du aloctoe laférlrar.

CckMtUI.M I a¿«ai«

yU-JS 72 «>-»>\o /P/R.C.-1/p/e

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*1m Msa BoutamiiMa de Gxende-^Tem en Ouedaloupe* p*y T. rstRARI.

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Mb II )Mr por t n{£UI! TAA»e

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dCsignaiion 1

mit CAMAL

INdta CHARBOFII

outi t r*«h«rah« d'am

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helondnr rinaU i 27*^

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EntraprMMiM i T

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OftaUM rfM Jtwafc I S«rTle« < Mia*«

Blblioer*Pbi*

CAtTI g(o1.. au 1^0 OOÇ

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««.^ e'é.alrMwM KolleiBe egaplétîiat hsnd'e

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à eee (ea ])U%.e reabUjé) SoUeiaa taiUlle&ble.

ICFOENCES IISIIOGIAPHIOUCS El cfOlOOIE iB'eprte le eerte (éelaelq<ie ta VW.000 de le Snnée Terre, ee pulte e été fsnaé

«ne ! ralealree Uuee récifaz' (at) du aloctoe laférlrar.

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5ÉPT :97l COMMUNE : îeTIT CABAL

>«ti|nstiofl: Puits QHASaOPIH:oupeiui 1/200 éubilewr: BeaupOrt

Inéiu itutntnttïïit U35 10

X. 662,96Interprétée par ; lïiîEAff

»- ia3,972»l. + g7.R a+ 27,

3.00

3.00

U.00

12.00

1)00

U.00IS.OO

H.OO

17.00

1t.00

2000

D*<M>cobp« tachniqui N*ppMt plan d'*M

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M!»//A^V//^

DESCRIPTION CCOICCIOUE

roche et tuf couleur Jaune

terre Jaune

^^

T T

nzE^f-H-

T-î^T

Saa

tuf jaune

tuf et roche mélangés couleur Jaune

tuf blanc mélangé avec rocheroche et tuf couleur blancheterre et tuf blanoterre et tuf mélangée Jaunes et blancstuf mélangé Jaune et blanocaye'et tuf blano

cajrs et tuf couleur Jaune,

Stml-

Hlj

C^vv^*'

y|y<^S ZZ a^Ao/P/Rc- Z-

17.3. i:»4

Horison upté NivMUpiiiomMriqu,

Cmp<éi^;MtTieiM tnaVlteur,

Nw,Méviuail4M OBSERVATIOttS

HMnMté»«<ld«i,c O M,

1 1

120


5ÉPT :97l COMMUNE : îeTIT CABAL

>«ti|nstiofl: Puits QHASaOPIH:oupeiui 1/200 éubilewr: BeaupOrt

Inéiu itutntnttïïit U35 10

X. 662,96Interprétée par ; lïiîEAff

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3.00

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D*<M>cobp« tachniqui N*ppMt plan d'*M

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DESCRIPTION CCOICCIOUE

roche et tuf couleur Jaune

terre Jaune

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Saa

tuf jaune

tuf et roche mélangés couleur Jaune

tuf blanc mélangé avec rocheroche et tuf couleur blancheterre et tuf blanoterre et tuf mélangée Jaunes et blancstuf mélangé Jaune et blanocaye'et tuf blano

cajrs et tuf couleur Jaune,

Stml-

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17.3. i:»4

Horison upté NivMUpiiiomMriqu,

Cmp<éi^;MtTieiM tnaVlteur,

Nw,Méviuail4M OBSERVATIOttS

HMnMté»«<ld«i,c O M,

1 1

120


iv/io/iMaFeuille N» .

S. a; u« Unini'n i» HKaUIÔRT

lEClARATIflW PK3 VÜITS OK ÜOHUAGK glüTASTS

d'une profondeur supérieure è irnln nètrea

(Décret du 11 uars 19A0)

Penandeur t SOCIi;?'': VMOHYHi DE? V",r.".iJ VX. /lEUiTOltT

Siège Social l 18 PI ce den Jnlncoaces - UuinKVl'L - Olromle ->

Sxploltutiou I ro.i'T U'.ilS - Guadeloupe -Pl'iitr.iiotks - .'Sucrerie- Distillerie rb'.im et alcool -

Rsprésentants HubtUtés t Arthur 1LL!.';>EHTve» riI:îOKLéon 'l''.<.ri

Date de aise en eerviee Je l'ouTr^ge i l sr Oéceiibre 1002

Btepl»ce«eut t Deauport

Cet, do sol t 8,10

Profondeur i 12,50 n

Plfiaètre » 0,36 M

Miveau anolfère exploité t nappe pliróatijaM - llVi^'i TCRur -

Tubage l 'ruba4,o /( S-tO-aRO ; créplaé de 8,B0 i lS,Stha| plein de 0,00 i 8,5(

Caraetériiiti-iufiii du diapoiitif de cuptKne i iiou-nge

PlsposltlOBS prises pour ¿Titer la pollutioa Jes eaux aoutarratnes t pérlnètre deprotection ) puits feraé.

Mtveao statique (neiuré depuis l'orifice) i 8,SO u

Piblt Instantané luaxtaoM t SS M3/U«<ira

Velf e nen»alM>nt extraits IS aS/lleured' exhaure

Caraetérlstlqna de l'Installation i poapo IniHiergëe

Variations des débits (mesurés ou estlnés) depuis aise en serTiee t -

tîallté de lUau «aptée i salinité iBstalile \ SOO mgr par litre

Otmsatten projetée i i arreaage d'arbres tmltlers ot peleases

yl/13^^ôoo3 Je/t>\

121


iv/io/iMaFeuille N» .

S. a; u« Unini'n i» HKaUIÔRT

lEClARATIflW PK3 VÜITS OK ÜOHUAGK glüTASTS

d'une profondeur supérieure è irnln nètrea

(Décret du 11 uars 19A0)

Penandeur t SOCIi;?'': VMOHYHi DE? V",r.".iJ VX. /lEUiTOltT

Siège Social l 18 PI ce den Jnlncoaces - UuinKVl'L - Olromle ->

Sxploltutiou I ro.i'T U'.ilS - Guadeloupe -Pl'iitr.iiotks - .'Sucrerie- Distillerie rb'.im et alcool -

Rsprésentants HubtUtés t Arthur 1LL!.';>EHTve» riI:îOKLéon 'l''.<.ri

Date de aise en eerviee Je l'ouTr^ge i l sr Oéceiibre 1002

Btepl»ce«eut t Deauport

Cet, do sol t 8,10

Profondeur i 12,50 n

Plfiaètre » 0,36 M

Miveau anolfère exploité t nappe pliróatijaM - llVi^'i TCRur -

Tubage l 'ruba4,o /( S-tO-aRO ; créplaé de 8,B0 i lS,Stha| plein de 0,00 i 8,5(

Caraetériiiti-iufiii du diapoiitif de cuptKne i iiou-nge

PlsposltlOBS prises pour ¿Titer la pollutioa Jes eaux aoutarratnes t pérlnètre deprotection ) puits feraé.

Mtveao statique (neiuré depuis l'orifice) i 8,SO u

Piblt Instantané luaxtaoM t SS M3/U«<ira

Velf e nen»alM>nt extraits IS aS/lleured' exhaure

Caraetérlstlqna de l'Installation i poapo IniHiergëe

Variations des débits (mesurés ou estlnés) depuis aise en serTiee t -

tîallté de lUau «aptée i salinité iBstalile \ SOO mgr par litre

Otmsatten projetée i i arreaage d'arbres tmltlers ot peleases

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jal14,90amo.

ceo Vi

T^QSSEKVAItONS

TubKg, ^«ia d* I rtltr, «n rrsrl,0,00 à 8,M I e, e,V> t 1?,V>crépine da 8,V) él12,50 a

R.p*i. ollia.tiiqw. Ct. du rap... I

NIVEAU nCzoMíniouEftttlmi..!. *il C O*. otaolw

12,50 P,50 1 0,60

ObiM^..!.... :

0(tll

3V<iA9624 ett '1/V62

12,50 a12,50 a 17 h

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D«>ii -y. c^ .11.1..

1522

* 0,60

f.ie* Ok..i«MiMi

Débit de 15 aVls dMaadé pour lUTMege de plaatatloiM d erbna rrultlare et peloueÑ'et pour l*vaiBe égaltarat.

Af.ki.,9. ,M duLUIW.IlH .«IfllMW. MMt t.ffOjMlt. I

- déclarettoa de ee fonge par la S.A. dee "etrwa de Beauport- coupe tcohoiqu» établie par la SIP_ m plan de cituatioa au 1/1000.

I.veuté aara 196S.

MW a |«.f p« I noAII, a arrU 19«e

y N.«bi. d*lii(.f.alair.. i

f DoMiw C |w.^«'mB anll 1968

I,

DÎrAlIiMfNT : GtUSKLOUFX M* i.l.O.M. d'«».tlut«.M> I

COMMUNE ion uxna

DÍSIGNATION i forage Uelna Bcauport

CMII GÔt. AU l/yO OOC

I "r.»iii.etAioE - TE.aB

GUET t RMharobe d'eau

0.*. d'aaaci.*!.* : juin 1062

riolMdw. "> 1?,50 a

ATLAS Au l/IO 000Fmiii. n* 7 - ih.;b nrU?i<>in>bidlc. d. cl«M«.iil I

MW. d. lM«ea 1

forage N" I l/a JN'd'..tT*.,wi,.cKUw

11}< 05

M.M«. a, r,«i.f. I *i.A. dca IJfttnae da Boauport

PraffiM.b, « l«<iP *

E«nr>M«f I 3ir BACBY

1r,TwtK cat«.IHé« aa tulvl. par i T

Odeiaa dM dMiMMat. t S.A. dae tlclnea de Baauport H

AKktvag.

C«>ard«nn*.i Laabart X 65», OTr 1815, Í»

ZaaaIEPD - 9, 10

ENGING > S,9oe

H.at.11* da Iwhac. m, da U wa.,,ll, d.puM.t 1, mI i

0,20 a

A..ntiail»« I chaola prtaé rallant la I.é k la I.éet paaaaat légéraaeat à l<£at da la dtetlUa-xle eaoztére Baauport.

Mada d'aaalpawawt t poape l^Mrsée

Ot,...aii..i t la puite aat tn^, aale le pérlaétra de protaetloi., InltUlMoat pmrua* ariete paa

trEIIENCEl lilLIOCtAPHIOUES El cCOLOGIE i

B'aprée la earte (éologliua au 1/50.000 d« Giaale-Tarre, lo torage a été exécu¬té daoa lea aeloalroa blanoe réotfaur* da MlDcéoe Inférioux.

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y^^1,y\^^.^ Û003/F /RC..A

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B'aprée la earte (éologliua au 1/50.000 d« Giaale-Tarre, lo torage a été exécu¬té daoa lea aeloalroa blanoe réotfaur* da MlDcéoe Inférioux.

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// yiAz^zz 0003/ F /(î- rDÉP^ : 071 COMMUNE : rORT lûUISDéiiinition : Pults Usine BeauportCoupe lu 1 1/100 établie per; SI? BACHY

1114 J3.

Intamrétée eer ;X. 659,07

DHEAJfY. 181'j,90

»»!. 9.10 m

OSO

2.00

7.00

0.50

12.S0

Daml-caupa tochniqua

'a]

/ '

/'i

/.'

/

/

/-For. y Í so

Tub.U' 3S0.360crépiint de:t.Solà 12.S0

I

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0

0 o

N.PPMat pUfl d'*w

ISO

Edwt.

T.

Coup*

T

QaJ

n^-i

s

un

DESCRIPTION CEOLOCIOUE

Terre végétale

Argile plastique Jaune

Tut et rognons calcaires

Calcaire tendre.

Strati-«raphia

7.7. 19M

Hortion raptépléxamatrfqua

Cacapiáiemrtrtqaa

DdUtaamr/haara

OBSERVATIONS

.RáibtÑitéi 20- t»« Uta»ai|J<»CI

500 m 1/1

124


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CAIACTEIISTIOUES TECHNIQUES

ooo>-X

FOIAGED. a

0 ¿ lia.

l.par. ohiM

Dot.

17/V1954

7/5/M68

01,30-

TUBAGE H OISIRVATIONSD« PI tpm'ttatvt, iwtwr* ||

*i*i.w. 1 eol Ca*. d. .apa.a i I7.9

NIVEAU PlfZOMEnilOUEr»«i.ii..Mi

16 a

16 a

h«r<»rfee. *JCe*e ^.Jva

V7,m

15,70

* ?.10 m

4 ?,30 m

T" ObxrvMioM i

COBa t 730 mA

DEllI

0,1,

a-

_ .

a.i~< m

16 a

;

Vmtém

Ql

fatU

AM«*ta«CaM fcwfae c. Ill 1 O..Í..I

IMIM

0

t*

Î0.2!

f*ir OktunmUmma

V,...^' Aselaonaaeiit exploité à 20 aVlour.

ArcKlvog. dat dacwaanl* ailoliiOTjM aoa tapvadwil. t

S.6.K.AntUlea *laa eaux eouterralaae da I*lle de RreadcTerre en Guadaloupe* par F. FERHAfil

Oouiar lam.» pa 0. OOKmOOHIila

Mto « )«*r pw 1 IBSAVU W19M

NMk, d'Uuaraalalia. i 1 la T/i/WBDoMlar C Iwâ'aa

Caahdld pa> (KNCUFBOUdé'la Jl.6.70

D£rA(TEMENT : SOAniLOlIFB N* b.t.G.M. d*.w.oi.*rw..nt 1

COMMUNE :

DfSIGNATION 1

rSFIT CABAL

Tutta coner ou cLOsn

CAilE cfoL. AU I,-50 000

" [ " r..iii.CIUMU IJ<B£

DaN rf*«a«cirtfo«t 1

Pt»foM4*w f4»«l* t

N«t«t« tMod* d« lof«t« t

IneoTuiu*

16 K

rulta 0 ItÔ «

rAflAS AU I/TO OM

Mill* 5 - fetit 'âtMlndk* 4* cl«t**«»*nl 1

N* 1 l/S [N*d'*nlié**«>xo^K)v*i

1155 - 09

Archlvog*

Propti«t«Ir* *« IV I * "

la»r*r**iM«f I T

Ti««««w c««Mlllét Mf n*lvk fmi t t

Ovtti** *m 4*cwMitta t S«rrle« A*a HlJit»B.B.a.11*Blbllo(T%phl«

C*ord**ft4 X - C6?t 15Y - 1B14, 35

H«Mt«wv é» lHb«|* « 4* I* *«rt«lla ^«pauant 1* mI t

0,95

A««*«ibll(M 1 li«i»-dlt Ood*t (Pt-<;uftl)

Mod* J'ét*lp*w*wt I Boliann* hox« i*UBas« pulta

''"* |«NG-

KCN. trIODM

ObMnatiM. 1 Ce pulta a* eat plue «loité dapula la daetruetlon de l'dollaoue par leetcloBO Ignfae. /

ÎFEIENCES eilLIOGIAnilOUES II GÔIOGIE >

9'aprée la earte céolagifua au 1/50.000 de OiaadcTarre, ce pulte a i^té foiKédana laa aoaloalrae Uasea réeUauz* (ad) du alocéae laférlaur.

(cbaatlllam t néaat.

A\i,szt oooa /eAc-/^

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ÎFEIENCES eilLIOGIAnilOUES II GÔIOGIE >

9'aprée la earte céolagifua au 1/50.000 de OiaadcTarre, ce pulte a i^té foiKédana laa aoaloalrae Uasea réeUauz* (ad) du alocéae laférlaur.

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/[/\'3S 22. OoojS /f Ac-LDÉPT:971 COMMUNE: PETIT CAHAL

Déil{n>tlee ; PultS QOCETCoupe lut 1/100 établie pan RnaupoTH:

1135 -

X. 662,15Interprétée par ; DREAH

^Z3" 1814,35

126


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roVI

osKg

22,00

le_ »a.

4«0 Va

TUIAGE 0 tpqlMww. natyrt

2,00 460^1

OISE«YATION»

»erf«e 1 éboulé

K.p*.. alti»a»flq».a I Cata du rapara t

NIVEAU rifzOMÍitioue

2VW1962

2VV1968

22,00

17,70

fZS^^ *J¿VTÊmi.

17,7C « 0,60

17,6!

C>a..r.ali.tM t

PE 11 1

n-u/Wii 22,00 f k

Pteit w V*

V0,60 * 0,40 0,2C

rale'

jCltol arant

i lad aprée) k de poaw»(e I ISIO

AtcklwQQ* étn d«Kui**M» Biigíf 1 «o» ripfoduhi t X

8 O RAntillM aoup* t*ebni«u« áií fong* 4t*bll* pat 1* SI9-BACBT

(iy

ÜM.IW lailf.il par ; ISBUII. 26 - 2 - 196S

Mk a |m« pac 1 SUSI, 2t > 4 - X96S

^ N,abf. d'lal.c<alalcn i 2t Danlw C (taaa'aa

25> 4.1X8 Caalrtld par Ila

OÍrARTEMENT i OUABKLOUPS N* a.l.O.M. d'af.r.ahtM«aiu t

COMMUNE I ÏOICt uiins

DÍSIGNATION i Rorage "Ceaplcbe"

otJEt I Bacharohe d'aau

Dala d'aM4cutlwi i Oetobra 1962

Proleadaur flnala ) 22,00 M

Mada da («.aga Iforage

T

Maftta da i'tf^t t 5.1. dee Valaca da (aaupert

ft.pria*ai.a t» 1162

(Mtapranaur I SIY BACST

fra.aw. caaaallUi au MtivU par i T

Orlglaa dat da«iiMaAlf i SI1.A&CBT

Navlaw da tabaea aa da I. nwpalla dépauaal la wl t

o,y>B

A..uilkllk< I V.2 alast de Caapéche k la portade l'enfer, à BOO aa lord de Caaptche.

Mada d'aqulpa«aa» i

BXAH

CA«ti cioi. AU yyoooI Fnlll.

eXAIIIB TBIBS

_AÏLAJ AU l/t 0 000

Fnill. ) . PctlùcanaiIndica da clauaMaal i

1/8 lN'd'aflt*aaait.ar.hlva.1Ü5

Archlvog*

Caer4«Mi4*i L«*tb*it i XY

2*n*

Via::;"'""]'-;

666, 411S19, 60

|llNG a 18,3

cr.a.la cftta trcfa.

OI»at<>a>la~ > la taaeuT aa Bacl était laltlalaaaat de 660 ag/l. Aprê 9 k de pcapagepour ua débit de 20 aVk, cette taoaur e'eat éleaéa à 1510 lo/l, le forage a étéabandoaaé.

tfniENCES IIIIIOGIAPHIQUES (I gEolOGIE :

S'aprée la earte géolOfl«« au 1/50.000 da la SiaBle.Terre , oe forage a été axéoutédam loeâlcalrae blence récifaux* (al) du aloeiae laférlaur.

IctaMIlUn. i

^55?i0o-ini /f/i RC-/1

>to

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âOcao.52.oc

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K.p*.. alti»a»flq».a I Cata du rapara t

NIVEAU rifzOMÍitioue

2VW1962

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OÍrARTEMENT i OUABKLOUPS N* a.l.O.M. d'af.r.ahtM«aiu t

COMMUNE I ÏOICt uiins

DÍSIGNATION i Rorage "Ceaplcbe"

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Dala d'aM4cutlwi i Oetobra 1962

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Mada da («.aga Iforage

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OI»at<>a>la~ > la taaeuT aa Bacl était laltlalaaaat de 660 ag/l. Aprê 9 k de pcapagepour ua débit de 20 aVk, cette taoaur e'eat éleaéa à 1510 lo/l, le forage a étéabandoaaé.

tfniENCES IIIIIOGIAPHIQUES (I gEolOGIE :

S'aprée la earte géolOfl«« au 1/50.000 da la SiaBle.Terre , oe forage a été axéoutédam loeâlcalrae blence récifaux* (al) du aloeiae laférlaur.

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yl^'ss ^^ ^^^% /f/rc-7DÉP^ : 971 COMMUNE : POET LOUIS

Détifnaiiaii : Forage "CsjnpSche"Ceupeeu; 1/200 éubllepar- SIP BACHY

indic* i%eUtMm*nt i"-^ I - I m

iT^terprétée par ;

X- 666, 41JBEAU

Va 1819, 60

-Lir * 7ñ.?AdMd.

aso

2.00

11.00

1S00

22.00

Dami-ceupa tachnioua

"TiÍ|>."/^¿M~

Fer, y ttO

Nappaiat plin d'aaii

17.70

Echant.

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DESCRIPTION CCOIOCICUE

Terre végétaleargile compacte jaune

Argile compacte Jaune avec débris

de calcaire.

Strati'graphia

Calcaire très duPa

Argile Jaune et calcaire dur

(90 % d'areUe)a

128


yl^'ss ^^ ^^^% /f/rc-7DÉP^ : 971 COMMUNE : POET LOUIS

Détifnaiiaii : Forage "CsjnpSche"Ceupeeu; 1/200 éubllepar- SIP BACHY

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Terre végétaleargile compacte jaune

Argile compacte Jaune avec débris

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Strati'graphia

Calcaire très duPa

Argile Jaune et calcaire dur

(90 % d'areUe)a

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129


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Annexe 3

Cartes de localisation des gisements et dessondages sur fonds géologique et pédologique

111


Annexe 3

Cartes de localisation des gisements et dessondages sur fonds géologique et pédologique

111


Carte 1 : Carte de localisation des extensions possibles de gisements argileux et dessondages existants sur fond géologique.

Carte 1 : Carte de localisation des extensions possibles de gisements argileux et dessondages existants sur fond pédologique.

Les deux cartes au 1/100 OOOème sont à coté du rapport.

113


Carte 1 : Carte de localisation des extensions possibles de gisements argileux et dessondages existants sur fond géologique.

Carte 1 : Carte de localisation des extensions possibles de gisements argileux et dessondages existants sur fond pédologique.

Les deux cartes au 1/100 OOOème sont à coté du rapport.

113


Annexe 4

Vestiges d'ateliers

115


Annexe 4

Vestiges d'ateliers

115


Identifiant

97 130 0006

97 130 0009

97 1160123

97 132 0020

97 132 0068

97 132 0078

97 120 0016

97 118 0008

97 118 0009

Vestiges etInterprétation

Atelier d e potier

Atelier d e potier

Atelier d e terre cuitearchitecturale

Four (Atelier d epotier)

Atelier d e potier

Atelier d e potier

Atelier d e terre cuitearchitecturaleAtelier d e terre cuitearchitecturale

Atelier d e terre cuitearchitecturale

Commune

Terre de Bas

Terre de Bas

Morne à l'Eau

Trois-Rivières

Trois-Rivières

Trois-Rivières

Pointe-à-Pitre

Petit-Bourg

Petit-Bourg

Nom Usuel

Poterie de Grand Baie

Poterie Anse à Dos

Source Babin

Poterie Grande Anse

C a m p (le) - Belle AnsePoterie de Bord de mer

Briqueterie de Carénage

Briqueterie d'Arnouville

Briqueterie Marsolle

Epoque

Colonial moderne -Période contemporaine

Colonial moderne •Période contemporaine

Historique

Colonial moderne -Période contemporaine

Historique

Colonial moderne

Colonial moderne

Colonial moderne •Période contemporaine

Période contemporaine

Latitude

647477

644927

658016

643466

642474

645272

657092

650902

643252

Longitude

1753217

1753377

1806891

1765137

1765321

1766059

1794345

1794897

1789057

117


118


118

Eéosciinceî pour une Terre durable

Centre scientifique et technique3, avenue Claude-Guillemin

BP 600945060 - Orléans Cedex 2 - France

Tél. : 02 38 64 34 34

Service géologique régional GuadeloupeMorne HouëlmontRoute de l'Observatoire97 113GourbeyreTél. : 05 90 41 35 48


Centre scientifique et technique3, avenue Claude-Guillemin

BP 600945060 - Orléans Cedex 2 - France

Tél. : 02 38 64 34 34

Service géologique régional GuadeloupeSGR/GUAMorne Houëlmont, Route de l'Observatoire97113-GourbeyreTél. : 05.90.41.35.48

Argiles de la Guadeloupe : inventaire,...

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