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S uite au grand succès populaire des dernières années, le « City

Open Air Cinema with Orange », présenté par la Cinémathèque de la Ville de Luxembourg avec le soutien de Kinepolis Luxembourg et des Rotondes, s’installe à nouveau sur le parvis devant le Palais grand-ducal, en plein cœur du centre-ville. Un cinéma au clair de lune qui sera « plus grand que nature »: un écran géant, plus que 500 places et une atmosphère conviviale pour des nuits étoilées pleines d’émotions et de sensations fortes. L’Open Air prendra également place dans le cadre charmant de la cour intérieure du Théâtre des Capucins et, comme l’année dernière, dans la cour des Rotondes.

De La la Land à Manhattan, de Blade Runner à Robocop, de Tootsie à Buster Keaton : le programme se veut varié, divertissant et grand public, proposant des films classiques ou plus contemporains, ainsi que des films cultes qui vibrent au diapason de la magie du 7e art à ciel ouvert. Une belle brochette de films qui présenteront plus de stars que le ciel ne peut en compter…

PROGRAMME RENDEZ-VOUS SOUS LES ÉTOILES EXACTEMENT

@ PARVIS DU PALAIS GRAND.DUCAL

@ COUR DES CAPUCINS

@ROTONDES

Ve 21 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CASABLANCA Sa 22 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . AN AMERICAN IN PARISDi 23 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LA LA LANDLu 24 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MANHATTANMa 25 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . THE BEAUTY AND THE BEAST (1991)Me 26 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . BLADE RUNNERJe 27 | 07 . . . . . FANTASTIC BEASTS AND WHERE TO FIND THEMVe 28 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOOTSIESa 29 | 07 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PLANET OF THE APES (1968)

Je 03 | 08 . . . . . . . SHERLOCK JR. by BUSTER KEATON / live piano Ve 04 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ROBOCOPSa 05 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . THELMA & LOUISEJe 10 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . BLOW UPVe 11 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MIDNIGHT SPECIALSa 12 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TRAINSPOTTING

Lu 31 | 07 + Me 16 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . BLUE VELVETMa 01 | 08 + Lu 14 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PURPLE RAINMe 02 | 08 + Ma 15 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . GREMLINSDi 06 | 08 . . . . . . . . . . . . VIDEODROME / Ciné-Mix / RadioMentaleLu 07 | 08 + Je 17 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . THE BREAKFAST CLUBMa 08 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MOONWALKERMe 09 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LABYRINTHDi 13 | 08 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . THE GOONIES

Au nom de la Villede Luxembourg,

nous vous donnons donc rendez-vous sous les étoiles

exactement !Lydie Polfer

Bourgmestre de la Ville de Luxembourg

ENTRÉE-LIBRE-

4 5

PARVIS DU PALAIS GRAND-DUCAL

CASABLANCA, USA 1942 | 102’ /Michael Curtiz ' Humphrey Bogart, Ingrid Bergman, Paul Henreid

— Au Maroc, pendant la Seconde Guerre mondiale, un aventurier américain, cynique et sentimental à la fois, vient en aide à la Résistance alors qu’il retrouve une femme qu’il a aimée autrefois…

« Casablanca est à la fois l’une des plus belles histoires d’amour du cinéma hollywoodien, un mélodrame exotique et un thriller. » (Dictionnaire des films, Ed. Larousse)

« Curtiz's film is a classic for a reason - it's crafted with the precision, detail and beauty of a Fabergé egg; the dialogue is hauntingly memorable and, in Humphrey Bogart and Ingrid Bergman, it has one of the most magnetic screen pairings in history. » (Times)

« This is a perfect blend of a tight script, stylish cinematography and cult performances from Bogart and Bergman. » (Empire)

« Nobody lights a torch like Ingrid Bergman's Ilsa or carries one like Humphrey Bogart's Rick. » (Chicago Tribune)

AN AMERICAN IN PARIS, USA 1951 | 113’ /Vincente Minnelli ' Gene Kelly, Leslie Caron, Oscar Levant

— Installé à Paris, Jerry, peintre américain, peine à vivre de son art. En voyant ses toiles exposées dans la rue, une milliardaire tombe amoureuse de lui et décide d'être son mécène. C'est alors qu'il rencontre Lisa, une jeune Française dont il s'éprend, sans savoir que celle-ci est déjà fiancée à l'un de ses amis...

« A grand show - a brilliant combination of Hollywood's opulence and technical wizardry with the kind of taste and creativeness that most high-budgeted musicals notoriously lack. » (Time Magazine)

« Gene Kelly remains one of the best and brightest of the Golden Era musical stars and An American in Paris shows him in fine form. » (ReelViews)

« Une totale réussite, mémorable et merveilleuse. » (A voir, à lire)

LA LA LAND, USA 2016 | 128’ /Damien Chazelle ' Ryan Gosling, Emma Stone, John Legend

— Au cœur de Los Angeles, une actrice en devenir prénommée Mia sert des cafés entre deux auditions. De son côté, Sebastian, passionné de jazz, joue du piano dans des clubs miteux pour assurer sa subsistance. Le destin va réunir ces doux rêveurs, mais leur coup de foudre résistera-t-il aux tentations, aux déceptions, et à la vie trépidante d’Hollywood ?

« Merveilleux hommage à l'âge d'or de la comédie musicale hollywoodienne, La La Land est aussi une passionnante méditation sur la solitude de l'artiste et son difficile rapport au monde réel. » (Positif)

« It asks what the characters of a Cinemascope musical would have to dream about, and answers with a finale that lifts the film to a higher plane of wish fulfillment and melancholy. » (AV Club)

« It's a story as old as Hollywood and jazz, and Ryan Gosling and Emma Stone feel like a pairing for the ages. » (Slashfilm)

VENDREDI 21 | 07

SAMEDI 22 | 07

DIMANCHE 23 | 07

« The most iconic war romance in cinema history and deservedly so. »

(Empire)

« One of the most imaginative musical confections. »

(Variety)

« Soaring and gorgeous - La La Land does the genuine, generous work of

lifting hearts. » (Vanity Fair)

6Oscars

2017

6Oscars

1952

3Oscars

1944

6 7

PARVIS DU PALAIS GRAND-DUCAL

BLADE RUNNER, USA 1982 | 117’ /Ridley Scott ' Harrison Ford, Rutger Hauer, Sean Young

— En l’an 2019 à Los Angeles, devenue une ville tentaculaire où le tiers-monde côtoie les jardins de Babylone, un détective est chargé d’éliminer quatre « répliquants » qui se sont enfuis de leur planète pour venir sur la Terre demander à leur concepteur le secret de la vie…

« Modèle jamais surpassé, mais largement copié, le film de Ridley Scott est une splendeur visuelle. Dans le domaine de la science-fiction comme dans celui des films à suspense. Décor futuriste, monumental et crédible, parce que composé d’éléments familiers. C’est lui, le personnage principal : à savoir Los Angeles, en 2019. Une ville imaginaire, devenue mégalopole surpeuplée, véritable cloaque nocturne et pluvieux. » (Télérama)

« This is a seminal film, building on older classics like Metropolis or Things to Come, but establishing a pervasive view of the future that has influenced science fiction films ever since. » (Chicago Sun-Times)

FANTASTIC BEASTS AND WHERE TO FIND THEM, USA, GB 2016 | 133’ /David Yates ' Eddie Redmayne, Katherine Waterston, Colin Farrell, Dan Fogler

— En 1926, à New York. Les «moldus» (les non-sorciers) ont la vie dure, mais les sorciers, également, visés par un groupe fanatique, mené par une certaine Mary-Lou Bellebosse, qui souhaite rétablir les procès en sorcellerie. Alors que des destructions mystérieuses secouent les Etats-Unis, Norbert Dragonneau, qui parcourt le monde afin de répertorier tous les animaux fantastiques de la planète dans son grand bestiaire, est appelé en renfort.

« Au scénario, J.K. Rowling frappe le cinéma de sa baguette magique avec ce nouvel univers de sorciers, transposé dans le New York des années 1920. Un contexte historique qui apporte profondeur et résonance troublantes au monde fascinant de l’auteure anglaise. » (Les Fiches du Cinéma)

MANHATTAN, USA 1979 | 96’ /Woody Allen ' Woody Allen, Diane Keaton, Michael Murphy, Meryl Streep

— Isaac, auteur de sketches comiques new yorkais, vient de se faire larguer par sa femme Jil qui vit maintenant avec une autre femme. Jil entreprend d'écrire un bouquin sur son ancienne vie conjugale. Isaac, quant à lui, entretient une liaison avec une collégienne de 17 ans...

« ‘Il adorait New York.’ Et on adore Manhattan. Point. » (aVoir-aLire.com)

« Allen could well strive vainly ever to better this film. » (TimeOut Film Guide)

« Allen has, in black and white, captured the inner beauty that lurks behind the outer layer of dirt and grime in Manhattan. » (Variety)

« Nearly four decades on, Allen’s lustrously shot comedy is as compelling as ever, its big-hitting scenes and performances sitting alongside numerous low-key gems. » (The Guardian)

THE BEAUTY & THE BEAST, USA 1991 | 84’ /Gary Trousdale et Kirk Wise

— Belle est une jeune fille sensible et imaginative, qui passe ses journées plongée dans la lecture et qui repousse obstinément les avances de Gaston, un bellâtre musclé et vaniteux. Seul Maurice, son père, un inventeur farfelu, compte dans sa vie. Un jour que ce dernier se perd dans la forêt, il doit se réfugier dans un château pour échapper à une meute de loups. Irrité par son intrusion, le maître des lieux, une Bête gigantesque et terrifiante, le jette dans un cachot. Pour sauver son père, Belle accepte d’être retenue prisonnière à sa place…

« Enchanting, sweepingly romantic, and featuring plenty of wonderful musical numbers, Beauty and the Beast is one of Disney's most elegant animated offerings. » (RottenTomatoes)

« Beauty and the Beast remains one of Disney's very best animated masterpieces. Featuring a timeless story, memorable characters, and beautiful music, it's an unforgettable film that has been admired by millions of fans for the last 25 years. » (The Blu Spot)

MERCREDI 26 | 07

LUNDI24 | 07

JEUDI 27 | 07

MARDI 25 | 07

« A masterpiece of dystopian science fiction on film. »

(Daily Telegraph)

« One of Woody's most aesthetically gorgeous films as well as his classic

love-hate letter to the city of his soul.» (Empire)

« A wonderfully enjoyabledark magic adventure in New York. »

(The Guardian)

« A lovely film that ranks with the best of Disney's animated

classics. » (Variety)

2Oscars

1992

98

PARVIS DU PALAIS GRAND-DUCAL

TOOTSIE , USA 1982 | 116’ /Sydney Pollack ' Dustin Hoffman, Jessica Lange, Teri Garr

— Michael Dorsey, acteur exigeant sur le déclin, désespère de décrocher à nouveau un rôle. Sans trop y croire, il décide alors de se créer une nouvelle personnalité : il sera Dorothy Michaels, une femme dotée d'une forte personnalité. Or son déguisement va non seulement lui permettre de jouer dans une série télévisée, mais même lui attirer un vrai public de fans. Si ce nouveau statut n'est pas pour lui déplaire, il se trouve bientôt confronté à un dilemme difficile…

« Grâce à la composition remarquable de la star - Dustin Hoffman - parfaitement crédible en femme, au rythme implacable insufflé par le montage et aux dialogues percutants, Tootsie est donc une comédie exemplaire qui ne prend jamais le spectateur pour un imbécile.» (aVoir-aLire.com)

« As hilarious as it is touching and tasteful at the same time, Tootsie will offend no one and uplift anyone who watches it. » (Empire)

PLANET OF THE APES, USA 1968 | 112’ /Franklin J. Schaffner ' Charlton Heston, Roddy McDowall, Kim Hunter

— Egaré dans l'espace-temps, un engin spatial américain s'écrase en 3978 sur une planète inconnue. Les astronautes Taylor, Landon et Dodge découvrent que les hommes primitifs de cette planète mystérieuse sont placés sous le joug de singes très évolués...

« Film d'aventures rondement mené, vibrant prêche écolo-philosophique sur d'immenses terres désertiques et cuivrées, La Planète des singes se nimbe de poétique déréliction, qui trouve son apogée dans l'éblouissante scène finale. » (Télérama)

« This generational touchstone remains a playful widescreen fable of the bestiality that defines and destroys cultures. » (Slant Magazine)

« Enthralling and timeless. » (Cinemaholic)

VENDREDI 28 | 07

SAMEDI 29 | 07

« Remarkably funny and entirely convincing! »

(Variety)

« A film rich with unforgettable imagery, killer lines and

physical thrills.» (Empire)

JEUDI 03 | 08

« Sit back and enjoy one of cinema’s greatest and influential directors... you’ll be hooked. »

(The New York Times)

COURS DES CAPUCINS

SHERLOCK JR, USA 1924 | 45’ /+ ' Buster Keaton

ONE WEEK, USA 1920 | 25’ /+ ' Buster Keaton

Buster Keaton

Night with

live piano

accompaniment

by Hughes

Maréchal

— Sherlock est un jeune projectionniste de cinéma qui rêve de devenir détective. Pour cela, il lit des manuels et cherche l’occasion qui lui permettra de prouver ses dons. Il est amoureux de la fille de son patron, le directeur du cinéma. En visite chez eux, Sherlock offre une bague à la jeune fille, en gage de son amour. Commence alors une grande aventure rocambolesque !

« Not only one of the funniest movies of all time, filled with staggering stunts, amazing sight gags,and mind-boggling cinematic tricks, but it's also a brilliant meditation on the nature of the film medium itself, perhaps the best ever made. » (TV Guide)

Avant-programme

10 11

COURS DES CAPUCINS

ROBOCOP, USA 1977 | 103’ /Paul Verhoeven ' Peter Weller, Nancy Allen, Dan O'Herlihy

— A l'aube de l'an 2000, Detroit est la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible état, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...

« Robocop is one weird and entertaining hybrid of camp and sci-fi shoot-'em-up. » (WashingtonPost)

« A first-rate production full of nonstop action and inventive special effects but what truly makes Robocop spellbinding is a superior script. » (TVGuideMagazine)

« It’s a suspenseful, hyper-violent black comedy that’s at once skillfully exploitative and politically astute. It’s also an anxious meditation on the boundary between technology and organic life that still rings freakishly true. » (Slate)

THELMA & LOUISE, USA 1991 | 130’ /Ridley Scott ' Susan Sarandon, Geena Davis, Harvey Keitel, Brad Pitt, Michael Madsen

— Deux amies, Thelma et Louise, frustrées par une existence monotone l'une avec son mari, l'autre avec son petit ami, décident de s'offrir un week-end sur les routes magnifiques de l'Arkansas. Premier arrêt, premier saloon, premiers ennuis et tout bascule. Un évènement tragique va changer définitivement le cours de leurs vies.

« Right from its gratuitously gorgeous opening shot - a beckoning panorama of red-rock mesas, Thelma & Louise lets you know that it's going to be well, bigger than just another road movie. » (Entertainment Weekly)

« Thelma & Louise is a rare thrill - a gleefully offbeat road movie in which two women, instead of the usual footloose fellas, exult in the heady freedom of America's lonesome highways. » (New York Daily News)

« Euphorisant et enthousiasmant mais pourtant terriblement triste et mélancolique. » (Ecranlarge)

VENDREDI 04 | 08

SAMEDI 05 | 08

« A sardonic but perfectly-realised depiction of a mayhem-fuelled

near future. »(Empire Online)

« Thelma & Louise isn't only a movie, it's also a journey. »

(Orlando Sentinel)

BLOW UP , GB 1967| 111’ /Michelangelo Antonioni ' David Hemmings, Vanessa Redgrave, Sarah Miles; Nouvelle restauration numérique à l’occasion du 50e anniversaire du film

— Un photographe à la mode prend un couple d’amoureux en photo dans un parc de Londres.La femme le poursuit jusque dans son atelier. Thomas finit par lui donner un rouleau de négatifs et développe lui-même les photos réelles. Il découvre, dans un buisson, une main qui tient un revolver et un corps allongé…

« Blow-Up est le genre de film que l’on peut voir et revoir des centaines de fois. Un film casse-tête, un labyrinthe qui offre à chaque vision des surprises, des interrogations, des secrets, et que des cinéphiles psychopathes connaissent par cœur, plan par plan.» (Critikat)

« Les images d'Antonioni parlent, avec une économie d'une rare et lente beauté. » (aVoir-aLire.com)

« At once provocative and mystifying, dazzlingly immersive and utterly remarkable. » (TheFilmFile)

MIDNIGHT SPECIAL , USA 2016 | 112’ /Jeff Nichols ' Michael Shannon, Jaeden Lieberher, Joel Edgerton

— Fuyant d'abord des fanatiques religieux et des forces de police, Roy, père de famille et son fils Alton, se retrouvent bientôt les proies d'une chasse à l'homme à travers tout le pays, mobilisant même les plus hautes instances du gouvernement fédéral. En fin de compte, le père risque tout pour sauver son fils et lui permettre d'accomplir son destin.

« Midnight Special announces the arrival of a filmmaker in total control of his technique as well as our emotions. A bravura science-fiction thriller that explores emotional areas like parenthood and the nature of belief, it's a riveting genre exercise as well as something more. » (Los Angeles Times)

« La confiance du père dans son enfant est aussi celle que met Jeff Nichols dans le cinéma américain. Il retrouve le grand secret du meilleur cinéma américain dans une oeuvre qui mêle action, profondeur et une candeur magnifique dans son dénouement. » (Positif)

JEUDI 10 | 08

VENDREDI 11 | 08

« Michelangelo Antonioni's arty thriller remains an absorbing,

eerie enigma. » (Total Film)

« Midnight Special is a one-of-a-kind experience. »

(Film Inquiry)

1Oscars

1991

1312

COURS DES CAPUCINS ROTONDES

SAMEDI 12 | 08

«Trainspotting is supercharged with sulphurous humour and brutal recklessness. »

(The Guardian)

LUNDI 31 | 07

MARDI 16 | 08

« The last real earthquake to

hit cinema. » (Village Voice)

TRAINSPOTTING , UK 1996 | 93’ /Danny Boyle ' Ewan McGregor, Ewen Bremner, Jonny Lee Miller BLUE VELVET

, USA 1966 | 120’ /David Lynch ' Isabella Rossellini, Kyle MacLachlan, Dennis Hopper

— Les aventures tragi-comiques de Mark Renton, junkie d'Edimbourg, qui va tenter de se séparer de sa bande de copains, losers, menteurs, psychopathes et voleurs.

— Des fleurs aux couleurs vives, un jardin pimpant, un concentré de rêve américain: et là, au milieu des herbes, une oreille humaine, proprement tranchée…

« Trainspotting is a searing pop-art portrait of a lost generation blowing out its brains. As they rail, chuckle, shout and dive into darkness, you're trapped yourself between a bellylaugh and a scream. » (Chicago Tribune)

« Exuberant and pitiless, profane yet eloquent, flush with the ability to create laughter out of unspeakable situations, Trainspotting is a drop-dead look at a dead-end lifestyle that has all the strength of its considerable contradictions. » (Los Angeles Times)

« As fascinating as it is freakish. It confirms Mr. Lynch's stature as an innovator, a superb technician, and someone best not encountered in a dark alley. » (The New York Times)

« The most brilliantly disturbing film ever to have its roots in small-town American life. » (Los Angeles Times)

« Une oeuvre insolite, envoûtante, qui subvertit l’univers et les stéréotypes du film noir pour mieux mettre en scène un singulier itinéraire initiatique. Transposition urbaine et nocturne d’Alice aux pays des merveilles. » (Dictionnaire du film, Ed Larousse)

etour vers les films cultes des eighties, cette dernière décennie sans internet où l'on rembobinait encore les

cassettes audio pour son Walkman et les cassettes vidéo pour son magnétoscope. De Prince à Michael Jackson, des Gremlins aux

Goonies en passant par les trois David (Lynch, Bowie et Cronenberg) : revisiter les idoles et les mythes des glorieuses années 80

revient aujourd'hui à une expérience délicieusement vintage (ah, les codes vestimentaires !) et des guilty pleasures finalement

pas si coupables que ça (ah, il y avait quand même du génie !).

R

14 15

ROTONDES

PURPLE RAIN, USA 1984 | 111’ /Albert Magnoli ' Prince, Apollonia Kotero, Morris Day

— Intransigeant et mégalomane, le « Kid », musicien de génie, se cloître dans un isolement protecteur. Le leader d'un groupe funk, Morris Day, lui dispute une notoriété grandissante et le coeur de la belle et mystérieuse Apollonia.

« The considerable appeal of the film depends upon his presence, and luckily the man sweats charisma. » (TimeOut Film Guide)

« Il y a mille manières de (re)découvrir Purple Rain : doc sur une époque qui vit naître le vidéoclip, doc sur la scène funk-rock de Minneapolis et les groupes ébouriffants de la galaxie Prince ; modèle de concerts filmés… et souvenir lointain d'un temps où Prince enchaînait les merveilles pop avec une telle aisance qu'on avait l'impression que ça ne s'arrêterait jamais. » (Télérama)

GREMLINS, USA 1984 | 106’ /Joe Dante ' Zach Galligan, Phoebe Cates, Hoyt Axton

— Un jeune garçon reçoit pour Noël un étrange petit animal qui possède le don de se métamorphoser en redoutables monstres et de se reproduire à une vitesse fulgurante…

« D'un côté, la douce bébête, prototype spielbergien ; de l'autre, le gnome punkoïde. Franc-tireur ingénieux du cinéma fantastique, Joe Dante pervertit l'univers de Spielberg (tout de même producteur du film) en pulvérisant gentiment l'american way of life. Clins d’œil cinéphiliques réjouissants ! » (Télérama)

« A wildly original roller-coaster ride of hilarious mischief. » (Time Magazine)

« A delightfully offbeat reminder of how inventive and witty blockbusters seemedwhen you were a kid. » (Empire)

MARDI 01 | 08

LUNDI 14 | 08

MERCREDI 02 | 08

MARDI 15 | 08

« The film is a love letter to collaboration, to passion, and to

the power of music: this is Prince's legacy. »

(sbs.com.au)

« An ingenious, delightfully scary fairytale horror flick.»

(Observer)

DIMANCHE 06 | 08

CINÉMIX LIVE PAR RADIOMENTALE

« David Cronenberg's

most visionary and audacious

film. » (TV Guide)

VIDEODROME, Canada 1983 | 89’ /David Cronenberg ' James Woods, Deborah Harry, Sonja Smits

— Le patron d'une petite chaîne érotique sur le câble capte par hasard un mystérieux programme-pirate dénommé Vidéodrome, qui met en scène tortures et sévices sexuels. Son visionnage provoque peu à peu des hallucinations et autres altérations physiques. La frontière entre réalité et univers télévisuel devient bien mince, et la folie guette...

RadioMentale apporte au film culte de David Cronenberg une nouvelle dimension sonore et électronique, plus hypnotique et immersive, grâce à des titres issus du domaine de l'ambient, de l'électro et de l'electronica, notamment une grande partie de titres personnels. RadioMentale s’approprie du film et se livre, en direct, à une ré-interprétation en créant une nouvelle bande originale et tout en conservant les dialogues originaux. Le créateur sonore propose une autre lecture sonore du film qui, sans dénaturer sa narration, lui apporte une nouvelle dimension, à la fois originale et personnelle.

« Trente ans après, le film reste inépuisable. Sur le mélange aliénant de plaisir et de dégout qu’engendre la télévision, on a rarement fait mieux depuis. » (Télérama)

MusicOscars

1985

16 17

ROTONDES

THE BREAKFAST CLUB , USA 1985 | 97’ /John Hughes ' Emilio Estevez, Anthony Michael Hall, Molly Ringwald, Ally Sheedy

— Cinq lycéens aux caractères totalement opposés se retrouvent en colle un samedi après-midi. Au fur et à mesure que la journée passe, ils discutent, se déchirent et finissent par se trouver plus de points communs qu'ils ne pensaient.

« Quant à John Hughes, le réalisateur mort en 2009, également auteur de Sixteen Candles ou Weird Science, il restera éternellement le Bourdieu du teen movie. Et pour certains d'entre nous, éternellement John, qui traverse un stade de foot désert, le poing levé sur Simple Minds…» (Télérama)

« From the neon-sign opening titles to the derivative angst of the dialogue, it's a touchstone of '80s pop culture, and a schizophrenic one, too. » (Entertainment Weekly)

« Rarely have on-screen teens felt this authentic. They bluster, bicker and trade horrible insults, then suddenly expose their most guarded feelings. » (Newsday)

MOONWALKER, USA 1988 | 93' /Jerry Kramer, Colin Chilvers & Jim Blashfield' Michael Jackson, Joe Pesci, Sean Lennon, Kellie Parker

— Michael Jackson incarne un héros aux pouvoirs magiques évoluant aux rythmes de certains de ses plus grands tubes. Une incursion dans le monde du The King of Pop, superstar du rock et du funk ; à la fois une rétrospective artistique, une compilation de clips et une œuvre de fiction.

« Overall, Moonwalker is a celebration of Jackson’s real world magical ability to conceptualise and manifest ground breaking music videos as both experimental artforms and as fully fledged Hollywood-style short films. Although incoherent, (it’s not really a movie, it’s an anthology or collection) the film is Jackson’s legacy and a time capsule that became a best selling home video and much adored retro-tastic classic that continues to marvel Jackson’s fans and video collectors. While Moonwalker isn’t written in the stars, it’s definitely written from Michael’s creative heart, soul and mind before it became completely broken. » (vhsmate)

LABYRINTH , GB-USA 1986 | 101’ /Jim Henson ' David Bowie, Jennifer Connelly, Toby Froud

— Une toute jeune fille romantique se sentant mal à l'aise dans sa famille s'évade en lisant des contes fantastiques. Son livre favori "le Labyrinthe" lui ouvre une nuit les portes d'un autre monde. Sarah voit son jeune frère, Toby, enlevé par une troupe de lutins aux ordres du séduisant et cruel Jareth. Elle part au secours de l'enfant et pénètre dans le labyrinthe qui mène au palais du ravisseur.

« Even after 30 years, Labyrinth remains a fantasy classic, utilizing its beloved characters, unique creature and set designs, and a charming performance from David Bowie to deliver a memorable film filled with magical elements. » (The Blu Spot)

« Produit, entre autres, par Georges Lucas, porté par un duo excellent (Bowie dans un de ses rôles phares, Jennifer Connelly prometteuse) et surtout par l’univers graphique de Henson, Labyrinthe rappelle une époque où l’artisanat au cinéma faisait rêver. » (Onrebobine)

THE GOONIES, USA 1985 | 114' /Richard Donner ' Sean Astin, Josh Brolin, Corey Feldman

— Alors que leurs maisons du quartier des Goon Docks vont être prochainement saisies et qu'ils passent leurs derniers jours ensemble, quatre adolescents, Mickey, Brand, Mouth et Data, découvrent dans un grenier une carte dessinée par le célèbre pirate Willy-le-Borgne. Sans la moindre hésitation, et se laissant porter par un rêve fou, ils décident de retrouver le trésor qui pourra ainsi redresser la situation financière de leurs parents…

« The Goonies is the kind of hyperactive peril-packed movie young audiences can't resist. » (New York Daily News)

« Persists as one of the great fables of young adult cinema not merely because it's very skilled at what it does, but because it weaves that magic into the minds and hearts of kids that serve as identifiable facets of our universal journey towards maturity.» (Cinemaphile.org)

« A rolicking good time is had by all in this adventure that is built on archetypal plot strands that tie together oh so well. » (Empire)

LUNDI 07 | 08

MERCREDI 09 | 08

JEUDI 17 | 08

MARDI 08 | 08

DIMANCHE 13 | 08

« The Breakfast Club is one of the most beloved high school

films ofall time. »(eonline)

« A wonderful eighties fantasy gem. »

(Cinema Crazed)

« Moonwalker is a celebration of Jackson’s music and his legacy. »

(vhsmate)

« The Goonies has every imaginable funhouse flourish. »

(New York Times)

18 19

COUR INTÉRIEURE DU THÉÂTRE DES CAPUCINSRUE DES CAPUCINS / PLACE DU THÉÂTRELUXEMBOURG-CENTRE

PARVIS DU PALAIS GRAND-DUCALRUE DU MARCHÉ AUX-HERBESLUXEMBOURG-CENTRE

ROTONDESPLACE DES ROTONDESLUXEMBOURG-BONNEVOIE

Version Originale+

Sous-Titres Français

intertitres anglais

Déconseillé aux moins de 12 ans

Déconseillé aux moins de 16 ans

TOUTES LES SÉANCESDÉBUTENT AU COUCHER DU SOLEIL VERS

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