AMÉNAGER UNE COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION L'EXEMPLE...

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AMÉNAGER UNE COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION L'EXEMPLE DU BIPÔLE LA ROCHELLE-ROCHEFORT Doc. 1 : Une intercommunalité en développement Cent-vingt aujourd'hui – 50 créations en 2000, 30 en 2002 –, les communautés d'agglomé- ration ont indéniablement rencontré leur public : elles représentent près de 15,5 millions d'habi- tants, soit un peu plus d'un Français sur quatre di- rectement concerné. En trois ans, l'essentiel de la France ur- baine a choisi cette nouvelle formule : plus qu'un succès, c'est un plébiscite. Si l'on y ajoute les 14 communautés urbaines, dont le club est désormais quasiment fermé, ce sont 134 aires urbaines qui sont organisées , sur les 143 initialement prévues par la loi Chevènement (1999). La France urbaine a changé en très peu de temps, et les quelque 2 000 communes rassemblées dans ces commu- nautés peuvent désormais raisonner à une autre échelle, tant en matière de politiques publiques et d'aménagement à long terme que de solidarité fi- nancière et fiscale. Au 1er janvier 2006, la France compte 2.573 structures intercommunales soit 32.913 com- munes (près de 90 % des communes) regroupant 53,3 millions d’habitants (85 %). De- puis 2003 213 nouvelles communautés ont vu le jour. Les chiffres de l'intercommunalité en 2003 Communautés urbaines Communautés d'agglomération Communautés de communes Nombre d'intercommunalités 4 120 2 033 Communes concernées 900 2 000 24 000 Population concernée 6 210 000 16 000 000 22 000 000 Site internet : www.intercommunalites.com , février 2002. Site internet de la DATAR : www.datar.gouv.fr . Doc. 2 : Les communautés d'agglomération : compétence et financement Les compétences obligatoires concernent l'aména- gement de l'espace (création de zones d'aménage- ment concertées et élaboration des plans d'occu- pation des sols), les actions de développement économique, l'équilibre social de l'habitat sur le ter- ritoire communautaire (politique de logement et en particulier de logement social) et la politique de la ville (développement urbain et prévention de la délinquance). Les compétences optionnelles portent sur les groupes suivants : voirie, assainis- sement de l'eau, environnement et cadre de vie, équipements culturels et sportifs ; par ailleurs, les communautés d'agglomération peuvent exercer toutes les compétences que les communes qui la composent voudront bien lui transférer. Le financement des communautés d'agglomération passe par la taxe professionnelle unique (TPU) que la communauté perçoit en lieu et place des com- munes qui la composent ; elle peut aussi, le cas échéant, percevoir taxes foncières et taxes d'habi- tation et les recettes fiscales qui correspondent aux compétences qui lui sont transférées (taxe sur les ordures ménagères, taxe de séjour, sur la publicité, les fournitures d'électricité...). La dotation globale de fonctionnement constitue, elle, le volet incitatif de l'État : la dotation est d'autant plus élevée que le degré d'intégration est poussé (elle atteint 38,11 euros par habitant pour les communautés d'agglo- mération). D'après Le Républicain lorrain, février 2002.

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AMÉNAGER UNE COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION

L'EXEMPLE DU BIPÔLE LA ROCHELLE­ROCHEFORT

Doc. 1 : Une intercommunalité en développement

Cent­vingt   aujourd'hui   –   50   créations   en 2000, 30 en 2002 –, les communautés d'agglomé­ration   ont   indéniablement   rencontré   leur   public : elles   représentent   près   de   15,5   millions   d'habi­tants, soit un peu plus d'un Français sur quatre di­rectement concerné.

En  trois  ans,   l'essentiel  de  la  France ur­baine a choisi cette nouvelle formule : plus qu'un succès, c'est un plébiscite. Si l'on y ajoute les 14 communautés urbaines, dont le club est désormais quasiment  fermé,  ce sont 134 aires urbaines qui sont organisées , sur les 143 initialement prévues par la loi Chevènement (1999). La France urbaine 

a  changé  en  très peu de  temps,  et   les  quelque 2 000 communes rassemblées dans ces commu­nautés peuvent désormais raisonner à  une autre échelle, tant en matière de politiques publiques et d'aménagement à long terme que de solidarité fi­nancière et fiscale.

Au   1er   janvier   2006,   la   France   compte 2.573 structures intercommunales soit 32.913 com­munes   (près   de   90   %   des   communes) regroupant  53,3  millions  d’habitants   (85  %).  De­puis 2003 213 nouvelles communautés ont  vu  le jour.

Les chiffres de l'intercommunalité en 2003

Communautés urbaines

Communautés d'agglomération

Communautés de communes

Nombre d'intercommunalités 4 120 2 033

Communes concernées 900 2 000 24 000

Population concernée 6 210 000 16 000 000 22 000 000

Site internet : www.intercommunalites.com, février 2002.Site internet de la DATAR : www.datar.gouv.fr.

Doc. 2 : Les communautés d'agglomération : compétence et financement

Les compétences obligatoires concernent l'aména­gement de l'espace (création de zones d'aménage­ment concertées et élaboration des plans d'occu­pation   des   sols),   les   actions   de   développement économique, l'équilibre social de l'habitat sur le ter­ritoire communautaire (politique de logement et en particulier de logement social) et la politique de la ville   (développement   urbain   et   prévention   de   la délinquance).   Les   compétences   optionnelles portent sur les groupes suivants : voirie, assainis­sement de  l'eau,  environnement  et  cadre de vie, équipements culturels et sportifs ; par ailleurs, les communautés   d'agglomération   peuvent   exercer toutes les compétences que les communes qui la composent voudront bien lui transférer.

Le financement des communautés d'agglomération passe par la taxe professionnelle unique (TPU) que la communauté perçoit en lieu et place des com­munes qui   la composent ;  elle peut aussi,   le cas échéant, percevoir taxes foncières et taxes d'habi­tation et les recettes fiscales qui correspondent aux compétences qui lui sont transférées (taxe sur les ordures ménagères, taxe de séjour, sur la publicité, les   fournitures d'électricité...).  La dotation globale de  fonctionnement constitue, elle,  le volet  incitatif de l'État : la dotation est d'autant plus élevée que le degré   d'intégration   est   poussé   (elle   atteint   38,11 euros par habitant pour les communautés d'agglo­mération).

D'après Le Républicain lorrain, février 2002.

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Doc. 3 : La CALR

18 communes se donnent la main pour aborder ensemble le devenir d'un territoire.

18 communes solidaires composent un bassin de vie pour 147 000 habitants, ouvert sur l'Atlantique et sur le monde.

18 communes ont des atouts, des projets et ainsi réunies, des moyens accrus pour les mettre en œuvre.

C'est la Communauté d'Agglomération de La Rochelle !

Communauté d'agglomération de La Rochelle,

 http://www.agglo­larochelle.fr

Doc. 4 : La CAPR

La Communauté d’Agglomération du Pays Rochefortais compte 18 communes membres, Cabariot étant la dernière à avoir rejoint la communauté.

La   Communauté   d’Agglomération   du Pays   Rochefortais   (CAPR)   est,   avec   la Communauté   de   Communes   Sud­Charente,   l’une   des   2   composantes   du "Pays   rochefortais".   Elle   appartient également   au   "bipôle"   La   Rochelle   – Rochefort.

Son rôle...

Sous l’autorité du président, le Conseil communautaire conduit des projets d’intérêt communautaire et communs dans différents secteurs de compétences : 

• Développement économique• Politique touristique • Animations culturelles• Environnement et gestion des déchets • Aménagement du territoire• Equilibre social et de l’habitat• "Travailler ensemble et partager l'espace"

Le logo de la CAPR

Logo de la C.A. de La Rochelle

http://paysrochefortais.fr/paysr­ochefortais/communaute­agglomeration

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Doc. 5 : Le bipôle La Rochelle­Rochefort

À elles deux, les agglomérations de La Rochelle et Rochefort rassemblent 200 000 habitants, autant dire le bassin de vie le plus important du Poitou­Charentes. Un espace où les gens se croisent dans un sens ou dans l’autre pour les besoins du travail, des études, des plaisirs de la vie.

En 1996, les maires et présidents des structures intercommunales de La Rochelle et Rochefort décidaient de coopérer étroitement sur toutes les questions ayant trait à l’aménagement et au développement du territoire représenté, et signaient une charte d’objectifs concrétisant ce rapprochement.

Depuis : un syndicat mixte «La Rochelle – Rochefort : Territoire Interactif» a été créé qui met en œuvre des services basés sur les TIC, destinés aux habitants et entreprises du bipôle ; une desserte ferroviaire cadencée entre La Rochelle et Rochefort a été inscrite au XIIème Plan Etat­Région ; les ports de commerce de La Rochelle, Rochefort et Tonnay­Charente ont fait cause commune à travers une «Charte Portuaire» ; les Chambres de Commerce et d’Industries oeuvrent ensemble pour le développement des formations professionnelles ; les acteurs culturels font naître des projets communs ou complémentaires ; une coopération inter­

hospitalière se met en place peu à peu…

Doc. 6 : La liaison cadencée La Rochelle­Rochefort Liaison ferroviaire cadencée La Rochelle ­ Rochefort

Le  projet   de   liaison   ferroviaire cadencée entre La Rochelle et Roche­fort connaît une étape décisive.

A   l'occasion   d'une   rencontre avec la presse à bord du TER n° 64795 (départ La Rochelle 16h41 ­ Arrivée Ro­chefort 17h03), Ségolène Royal, Prési­dente  de   la  Région  Poitou­Charentes, Maxime BONO, Président de  la Com­munauté   d'agglomération   de   La   Ro­chelle et Bernard GRASSET, Président de la Communauté d'agglomération du Pays rochefortais,  ont annoncé   le  lan­cement de la première phase de cette desserte pour septembre 2007.

Cette   décision   est   l'aboutisse­ment   d'une   ambition   commune   aux deux agglomérations et à la Région. Ce projet vise en particulier à  diminuer  le trafic automobile sur la RN 137 en dé­veloppant une offre ferroviaire plus ré­gulière et plus dense.

Dossier de presse, http://www.poitou­charentes.fr/fr/exergue/presse/acces_reserve/detai

l.dml?id=87&t=d

Communauté d'agglomération de La Rochelle,  http://www.agglo­larochelle.fr/cda/avecqui_laroch.php

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Doc. 7 : Lettre du maire de La Rochelle

Chers amis rochelais,Ouvrons cette lettre sur une excellente nouvelle : entre La Rochelle et Rochefort, la desserte ferroviaire 

de qualité que nous attendions depuis longtemps est désormais acquise, grâce à l'engagement décisif de la Ré­gion sur ce dossier, conforme à sa volonté d'encourager le rail !

Avec des TER de la nouvelle génération, confortables et silencieux, dès le 1er septembre 2007, 12 allers­retours, dont 1 toutes les 40 minutes en moyenne aux heures de pointe, seront désormais à la disposition de tous !

Il était temps ! La quatre voies à destination de Rochefort est l'axe le plus chargé de tout le Poitou­Cha­rentes, au point d'en devenir particulièrement dangereux !

Et à l'heure où le prix du carburant ne cesse d'augmenter, où l'effet de serre nous menace, sans d'ailleurs que cela ne semble trop émouvoir ceux qui nous gouvernent, c'est une excellente réponse à bien des problèmes.

Et comme un bonheur ne vient jamais seul, l'engagement sans faille du Département pour que l'autoroute La Rochelle/Fontenay­le­Comte se réalise, est venu compléter l'assurance d'une meilleure desserte de notre terri­toire.

Une autoroute indispensable pour nous rendre à Nantes sans danger et dans un temps raisonnable. Rap­pelons aussi combien ce handicap nous a parfois rendu difficile l'accueil d'entreprises.

Ces deux beaux succès du bipôle « La Rochelle/Rochefort » devraient faire taire ceux qui n'y croyaient pas ! Mais rappelons­le aussi, rien n'aurait été possible si notre détermination n'avait été comprise et soutenue par la Région et le Département.

Lettre du maire de La Rochelle Maxime Bono, Juin 2006

Doc. 8 : Les alternatives à l'A 831

Nous avons mené de nombreuses consultations auprès du monde agricole et des municipalités rurales et nous sommes amenés à formuler des solutions moins pénalisantes pour l'équilibre de la ruralité, pour les finances publiques, pour l'environnement, pour l'amélioration du trafic routier de la région.

DES RÉALISATIONS URGENTES

Aménagements routiers à effectuer au niveau de :­ Marans, avec la réalisation d'une déviation,­ La RN137  : nous demandons le lancement d'une étude sur la transformation de la RN137 en 2x2 voies.­ La Rochelle : nous préconisons l'étude d'un contournement court de la Rochelle

Développement des transports en commun­ Desserte périurbaine La Rochelle / Rochefort / Tonnay­CharenteLa ville de La Rochelle est confrontée comme de nombreuses villes en France, à une congestion urbaine que le train et le recadencement des navettes ferroviaires sont seuls à pouvoir résoudre.­ Renforcement de l'offre de la SNCF pour le transport de passagers. 

Développement du transport de marchandises par cabotage :Bénéficiant d'une façade atlantique tout le long du département, la Charente Maritime avec son bipôle portuaire La Rochelle­Pallice/Rochefort est bien équipé puisque cité comme un des quatre ports français susceptible de développer une activité de cabotage / merroutage. Ce qui dans le contexte rochefortais nous semble plus porteur d'espoir de développement que la réalisation de l'A831.

Développement du transport ferroviaire :La ligne Nantes / Bordeaux souffre d'un retard patent d'investissements rendant son utilisation laborieuse en terme de transports de marchandises et de voyageurs. Il serait bon de développer cette alternative au transport routier.

Notre demandeLes citoyens que nous représentons nous ont demandé d'exiger l'abandon du projet A831; Ils demandent des réalisations nécessaires à la région : fer, mer, route et en particulier le contournement court de Marans à propos duquel Jean­Pierre Raffarin déclarait le 21 décembre 2000 au journal sud­ouest :"il est inacceptable que l'on puisse s'entendre dire par l'État que, sur un dossier de cette importance, aucune étude sérieuse n'a été faîte..."

Non­A831.com, Les alternatives à l'A 831, http://non­a831.chez­alice.fr

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Doc. 9 : Un budget pour notre tramway Rochefort­La Rochelle

Isolément, la Communauté d'agglomération de Rochefort comme la Communauté d'agglomération de La Rochelle, estiment ne pas pouvoir "se payer" un réseau de tramway. (...)

Or, la présence à La Rochelle d’un constructeur de tramway mondialement connu, Alstom, présence qui ne laisse personne indifférente, devrait inciter à la construction d’un tel réseau de tramway !

Comment résoudre un tel dilemme et avoir une ambition pour ce territoire s’inscrivant dans les conclu­sions du Grenelle de l’Environnement ?

Réponse : en changeant d’échelle, en abordant ce problème à l’échelle de l’aire urbaine, du bassin de vie du bipôle La Rochelle–Rochefort, structuré par deux cordons ombilicaux ; d’une part, par la RN 137 et ses 45000 véhicules quotidiens, soit 60.000 personnes, surutilisée ; par la voie ferrée, sous utilisée, avec ses 11 al­lers­retours et 230 clients par jour.

Le département de la Charente­Maritime peut être à l’origine, le fédérateur du réseau armature, préco­nisé sur cette aire urbaine, ce bipole, et structuré par le tramway. (...)

Jacques Maret, Rochefort 2008, http://jacquesmaret.canalblog.com

Doc. 10 : Vers des élections intercommunales ?

   Les « conquêtes » électorales de l’intercom­munalité ne possèdent pas la même résonance que   dans   les   assemblées   élues   au   suffrage universel   direct.   L’obtention   de   la   présidence possède certes une vraie signification politique. Mais la conduite d’une d’agglomération ne ré­pond   que   rarement   à   des   enjeux   politiciens. Les  enquêtes   menées   lors  de   la  précédente mandature (2001­2008) (...) ont montré que 3% seulement des conseils  communautaires sont organisés   en   groupes   parlementaires.   Pour preuve, des présidents et des vice­présidents de bords politiques opposés peuvent coexister ce qui n’est jamais le cas au sein d’un conseil municipal   entre   un   maire   et   ses   adjoints. Chaque élu représente ainsi plus fréquemment sa   commune   d’origine   qu’un   bord   politique. Mais   l’état   de   fait   ne  saurait   durer   éternelle­ment.

   L’introduction probable du suffrage universel dans   la   représentation   intercommunale   pour les prochaines élections de 2014 mettra fin – il faut le craindre – à ce bel édifice consensuel.

Bulletin des communes, 18­05­2008, http://www.bulletindescommunes.fr

Questions :

1. Montrer l'importance prise, depuis quelques années, par l'intercommunalité urbaine et repérer les acteurs de cette recomposition des collectivités locales. (docs. 1, 2 et 11)

2. Quelles sont les principales caractéristiques des communautés d'agglomération de La Rochelle et du Pays Rochefortais ? (docs. 3 et 4)

3. Pour quelles raisons le bipôle La Rochelle­Rochefort est­il nécessaire à l'aménagement régional ? (docs. 5, 7 et 9)

4. Quelles ont été les réalisations du bipôle ? Quels sont les projets ? (docs. 6 et 7 et 9)

5. Quels obstacles peuvent s'opposer à l'action intercommunale ? (doc. 8, 10 et 11)

Doc. 11 : La France de l'inter­communalité

AdCF, http://www.intercommunalites.com/

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L'AMÉNAGEMENT DU BIPÔLE LA ROCHELLE­ROCHEFORT

Des atouts à valoriser davantage Des faiblesses à surmonter

Une région marquée par le tourisme

Des activités spécifiques

Un pôle de transport dynamique

Des axes incomplets

Des projets du bipôle

Des ports sous­utilisés

Un chômage important

De nouveaux axes

Un projet controversé

Des alternatives