LE SOMMET DE LA QUINZAINE

Les enjeux de la neigeLa France enregistre les premières chutes de neige sur ses massifs, osant espérer un hiver enfin « nor-mal ». Pour autant, les exploitants de domaines skiables font appel en parallèle à la neige de culture pour assurer leur produit glisse.Il en va de la performance de l’offre Ski française sur une scène interna-tionale toujours plus concurrentielle ! Et pour cela, ils sont de plus en plus nombreux à s’équiper, ou à perfec-tionner leurs installations existantes pour saisir l’opportunité de produire durant chaque fenêtre de froid.Les investigations dans le cadre de l’enquête Investissements 2017 menées par Montagne Leaders, avec le soutien de Domaines Skiables de France (DSF) et d’Atout France, notent une forte augmentation des équipements de production de neige de culture, pour ce qui pourrait être une an-née record en la matière. (Les résultats définitifs de cette enquête paraîtront dans Montagne Leaders N° 265 du mois de février 2018.) Réelle prise de conscience après trois débuts d’hiver difficiles, ou opportunité d’investissements ?Il faut dire qu’entre le dispositif de sur-amortissement et les aides de collectivités, 2017 constituait un

exercice idéal pour investir dans la neige. A ce titre, et à l’occasion du Congrès de DSF qui s’est tenu à Beaune en octobre dernier, le co-président de la Commission Mon-tagne à la région Auvergne Rhône-Alpes, Fabrice Pannekoucke, a

mentionné qu’entre juin 2016 et septembre 2017, pas moins de 93 dossiers avaient été aidés par la collectivité, pour un total de 28 millions d’euros de subventions.En parallèle de ces équipements purs et durs, la neige de culture pourrait devoir livrer un autre combat, celui de la pédagogie vis-à-vis de la population, pour lever la barrière idéologique contre ce nouvel « or blanc ». C’est l’une des pistes de réflexion pour l’avenir évoquées par Michel Bouvard, également présent en Bourgogne en octobre ; le vice-président du Comité départemental de Savoie a mentionné tout le travail de communication nécessaire pour expliquer que les technologies ont évoluées, et qu’elles permettent désormais de produire plus vite, en plus grande quantité, et de façon plus économe.La prochaine bataille de la neige de culture ne fait que commencer, et elle pourrait désormais se tenir aussi sur le terrain médiatique !

(L’occasion est ici toute trouvée de remercier celles et ceux qui ont déjà contribué à cette enquête Investissements 2017, et de sollici-ter de nouveau celles et ceux qui n’auraient pas encore trouver le temps de le faire. Il n’est pas trop tard.)

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486 15 novembre2017Bimensuelle

ENTREPRISES MONTAGNE & STATIONS TOURISME

ENVIRONNEMENT POUVOIRS PUBLICS SPORT INTERNATIONAL

> Enseignement, Poma ouvre ses portes > Le Club Med investit au Canada> Les skis du Géant

> Pékin 2022, les autorités font le point> L’e-sport fait une percée> Sion 2026 avance

> Les finances à la loupe> La fiscalité locale pas à pas

> Les glaciers, témoins du réchauffement> Lumière sur le Salon des maires

> Montclar change de mains> Berlin : succès pour Sigma Composite> Zoom sur les investissements

> Ventron compte se transformer> Artouste, des dents qui grincent> And the winner is ...

15 novembre 2017 1 n°486

Bourse

Poma ouvre ses portes aux enseignants des SII de l’académie de GrenobleLe 20 octobre dernier, ont été accueillis au siège du groupe Poma les enseignants des Sciences Industrielles pour l’Ingénieur qui ont pour mis-sion de former les futurs ingé-nieurs, notamment des classes préparatoires et grandes écoles. Dans l’optique de rapprocher l’école de l’entreprise, le recto-rat a sollicité Poma pour orga-niser une journée de formation et d’échanges sur l’innovation et la technique, thématiques au cœur du savoir-faire de Poma.La participation de Madame Le Recteur Claudine Schmidt-Lainé, Jean-Michel Schmitt, Inspecteur Général de l’Educa-tion Nationale (groupe STI) en

charge de l’académie de Gre-noble, Michel Loisy, Inspecteur d’Académie, Inspecteur Péda-gogique Régional, en charge du dossier CPGE, Lhassen Bela-rouci, Inspecteur d’Académie, Inspecteur Pédagogique Ré-gional, ont permis par ailleurs d’enrichir les discussions autour de la formation scientifique et technologique en France, et du développement de l’innovation pédagogique.Pour Poma, ce projet s’inscrit pleinement dans une démarche de partage et de formation, et s’insère dans le champ des ac-tions RSE du groupe mises en place dans le domaine de l’édu-cation.

L’expérience d’un champion olympique de descente sous les spatules, c’est possible avec la gamme Dénériaz.Le 12 février 2006, Antoine Dénériaz décrochait l’or de la descente olympique à Turin, fai-sant taire par là même certains sceptiques. Deux ans après, le « Géant de Morillon » lançait sa propre marque d’accessoires de ski à l’attention des skieurs tous niveaux.Cette saison il lance trois mo-dèles, entièrement fabriqués à la main en petites séries dans un atelier d’Albertville en Savoie. Ils sont tous issus de la collabo-ration entre le champion olym-pique et le créateur de skis Alain Zanco. Ce dernier crée des skis depuis plus de 30 ans, d’abord pour une des plus grandes marques de ski au monde, et depuis quelques années au sein de son propre atelier. La gamme Dénériaz 2017/2018 comprend :- le Cruising’D pour les sportifs appréciant le confort tout au long d’une journée de ski,- le Giant’D pour le haut niveau et des sensations de course,- le Lucky’D polyvalent quelles que soient les conditions de neige.La gamme ne sacrifie pas la sécu-rité au profit de la performance puisqu’elle propose également des casques, notamment les To-rino GT, issus de la technologie Torino Carbon, homologuée FIS pour la compétition.De quoi attaquer la saison comme il le fit voilà plus de 10 ans sur la piste de Sestrières !

Les skis du Géant

SOCIÉTÉS COURS 30/10

COURS 13/11 VAR % MAX

2017TECHNOLOGIES

Kudelski 10,64 10,22 -4,11 17,55MND Group 6,62 6,25 -5,92 6,84OUTDOOR

Adidas 191,15 182,10 -4,97 198,20Lafuma 25,99 25,00 -3,96 26,80

TOURISMECompagnie des Alpes 27,34 25,60 -6,80 29,27

Compagnie du Mont Blanc 152,00 159,00 4,40 159,00TéléVerbier 45,00 47,00 4,26 47,00

Pierre & Vacances 46,00 43,00 -6,98 49,95

Alors qu’il ouvre ses nouveaux villages de montagne au cœur du Grand Massif en Haute-Savoie et à Tomamu sur l’île d’Hokkaido au Japon cet hiver, le Club Med poursuit son dé-veloppement à l’international et investit au Québec.

Le Club Med Le Massif de Char-levoix ouvrira à l’horizon 2020, et sera le premier resort im-planté au Canada par la marque au trident. Cet établissement sera en outre le premier resort montagne du groupe exploité quatre saisons.

Le Club Med investit au Canada

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ENTREPRISES

15 novembre 2017 2 n°486

Les World Ski Awards 2017 c’est cette semaine ! La 5e édition se déroulera du 17 au 19 novembre prochains à l’A-Rosa Kitzbühel, en Autriche.Année après année, l’évènement prend de l’am-pleur ; le palmarès, les nominations et ces Awards font parler dans le « petit » monde de la montagne et des stations ! Cocorico : quelles sont les chances tricolores ?Parmi les destinations Freestyle, deux françaises sont en lice pour succéder à Laax (Suisse) : Avoriaz et les 2 Alpes.Dans la catégorie « Best Ski Resort Company », la Compagnie des Alpes aura fort à faire, notamment face à Aspen Snowmass, Bergbahn AG Kitzbühel,

SkiStar ou encore Vail Resorts.Pas de nomination tricolore pour les centres de ski indoor alors que 7 nationalités sont représentées... Enfin sur le marché domestique, 12 stations sont en course pour succéder à Val Thorens, élu meilleure destination française à l’occasion des 4 premières éditions de ces Awards ! Il s‘agit de Chamonix, Courchevel, Les 2 Alpes, La Plagne, Les Arcs, Me-gève, Méribel, Serre Chevalier, Tignes, Val d’Isère, Valloire et ... Val Thorens.Les autres catégories de ce millésime 2017 : New Ski Hotel, Green Ski Hotel, New Ski Chalet, Ski Tour Operator, Ski Travel Agent, Heli-ski Operator, Ski Transfert Operator.

Dans les cartons depuis une dizaine d’années, le projet de transformation de la station de Ventron entre aujourd’hui dans une phase concrète.D’une station hivernale, Ventron souhaite se transformer en station 4 saisons, capable d’ac-cueillir des touristes toute l’année. Station de moyenne montagne, la station vosgienne compte diversifier ses activités, afin d’être moins dé-pendante, économiquement, de la neige. « On ne veut plus être dépendant de la saison d’hiver » confie Thibaut Leduc, le président de la station avant de préciser le projet qu’il imagine depuis quelques années déjà « il s’agit notamment de transformer l’actuel hôtel deux étoiles en quatre étoiles, construire un centre de spa et de remise

en forme, créer une salle pour organiser des exposi-tions culturelles et puis axer le tout sur l’environne-ment et la nature. Un projet créateur de 25 emplois à l’année en CDI ».Pour ce faire et car ce projet nécessite un impor-tant financement, une système de financement participatif d’un nouveau genre a été lancé : une campagne de prêt sur Internet. Chacun peut donc prêter de l’argent, et sera remboursé un an plus tard à un taux de 8%, via le site www.pretup.fr. Quelques jours après le lancement de cette opération, 100 000 euros ont d’ores et déjà été prêté. « C’est très intéressant pour nous car on est dans le vrai. Notre projet intéresse du monde au niveau régional » confie le président de Ventron.

And the winner is ...

Ventron compte se transformer

Artouste, des dents qui grincentLa nouvelle est aujourd’hui officielle, la station pyrénéenne d’Artouste n’ouvrira, pour la saison à venir, que durant les week-ends et les vacances scolaires.Après une saison compliquée, ayant vu la sta-tion d’Artouste n’enregistrer que 29 000 jour-nées-skieurs, le conseil municipal de Laruns a du prendre une décision, lourde de sens et de consé-quences pour l’économie locale, même si dictée par des impératifs économiques. A l’unanimité, le conseil municipal a donc voté les nouvelles mo-

dalités d’ouverture de la station pour la saison à venir, une décision qu’Altiservice, l’opérateur du domaine, devait annoncer aux socioprofessionnels de la station via la voix de son directeur général Yves Rougier.Mathieu Adnot, qui vient de remplacer Jean-François Blachon à la tête de la station, se trouve face à un important challenge à relever : faire une grande saison pour que les élus reviennent sur leur décision…

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MONTAGNE & STATIONS

15 novembre 2017 3 n°486

Atout France publie la 11e édi-tion de son Tableau de Bord des Investissements Touris-tiques (TBIT), offrant un pano-rama fourni de l’évolution en matière d’investissement.L’ouvrage recense les différents postes d’investissements de l’économie touristique. Le TBIT balaie bien évidemment le sec-teur phare de l’hébergement marchand : des résidences se-condaires aux gîtes et chambres d’hôtes en passant par l’hôtelle-rie, l’hôtellerie de plein air, les villages de vacances et les rési-dences de tourisme.Les autres secteurs sont égale-ment étudiés en détails : res-tauration, équipements tou-ristiques - dont ceux relatifs aux domaines skiables recensés au travers de l’enquête Inves-tissements de Montagne Lea-ders, mais aussi les casinos, les parcs de loisirs, le thermalisme et la thalassothérapie - équipe-ments culturels, infrastruc-tures d’accueil et de manifes-tations, et infrastructures de transport.Pour chacun de ces secteurs, le TBIT établit un bilan ou une esti-mation pour 2016 ainsi qu’une prévision pour l’année 2017. Ce tableau de bord présente égale-ment les grandes tendances des nouveaux investissements ; cette 11e édition note notamment la poursuite de la montée en gamme des produits et services, mais aussi toute l’importance ac-cordée à l’expérience client par les professionnels du tourisme.

Zoom sur les investis-sements touristiquesLa station de Montclar, en

grandes difficultés financières, a été reprise par un collectif suite à une saison 2016/2017 particu-lièrement difficile. Face à cette situation, la commune s’était résolue à abandonner l’exploi-tation en régie pour passer en délégation de service public.Attachés à leur station, les habi-tants de Saint-Jean Montclar se sont donc mobilisés, et ont constitué une société, MDS pour Montclar Domaine Skiable, pour devenir le nouvel opéra-teur de la station de la Vallée de la Blanche. «Huit emplois à l’an-née sont ainsi sauvés grâce à cette reprise de la station. 300 emplois indirects profiteraient également de la station qui compte 25 com-merces, une école et une garde-rie [...] Il y a eu un grand élan de solidarité sur cette reprise. Nous sommes 49 actionnaires pour un capital de 210 000 euros. Il y a à la fois les professionnels du tourisme, on a eu l’aide des com-munes limitrophes, comme la nouvelle commune Ubaye Serre Ponçon, des communes de Seyne les Alpes, de Chabanon, du Grand

Puy...» a confié Alain Quièvre, le président de MDS à Alpes1.Souffrant des caprices de la mé-téo, la station compte également ne plus subir cet aléa et investir en faveur de la neige de culture. Comme l’a confié Lionel Haud, directeur technique chez MDS, 800 000 euros d’investissements sont prévus, et une réserve col-linaire de 15 000 m3 sera créée en 2018. « Pour cet hiver, il y a une première tranche de 400 000 euros et pour l’hiver prochain une seconde tranche de 400 000 euros avec une subvention de la région PACA » a tenu à préciser ce dernier.Commerçants, hébergeurs, loueurs de ski, pharmaciens et habitants se sont tous mobilisés et ont franchi le cap de deve-nir actionnaire de MDS. Fort de cette mobilisation, les idées fusent et la station sent un vent de dynamisme souffler. Pré-sence sur les réseaux sociaux, nouveaux canaux de commer-cialisation, la nouvelles équipe compte investir tous les fronts pour assurer une continuité à la station, et aux emplois locaux.

Montclar change de mains

Berlin : succès pour les cabines signées Sigma CompositeLes 56 cabines Sigma Compo-site présentes à Berlin, à l’occa-sion de l’International Garden Exhibition, ou IGA, sont résolu-ment les vedettes du salon. Inau-gurée en avril dernier, les cabines permettent de découvrir l’expo-sition d’une nouvelle manière et permettent de survoler les 104 hectares de terrain de l’IGA et

ses différentes réalisations hor-ticoles et architecturales. Les cabines réalisées par la filiale du groupe Poma ont d’ores et déjà assuré 3 millions de trajets. Les jours de pointe, près de 35 000 passagers sont montés dans les cabines : un succès indéniable pour la filiale de Poma implantée à Veyrins-Thuellin, dans l’Isère.

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TOURISME

15 novembre 2017 4 n°486

Pour la première fois depuis 40 ans, le glacier de la station des 2 Alpes n’a pu ouvrir durant les congés de la Toussaint. La raison, une fonte prononcée due à de faibles précipitations, un été chaud et un au-tomne sec, rendant impossible l’accès au public et aux skieurs.Au cœur de toutes les attentions, le glacier fait l’ob-jet d’une surveillance constante et d’une attention toute particulière : des enneigeurs ont notamment été installés afin de fabriquer de la neige et de limiter les effets du réchauffement climatique. La neige de culture étant plus dense que la neige naturelle, elle fond moins vite et est plus résistante aux rayons du soleil.Si les glaciers français sont impactés par les effets du réchauffement climatique, leurs homologues suisses suivent la même tendance. En un an, ces derniers ont perdu 3% de leur volume, soit près de 1,5 mil-

liard de mètres cubes de glace ! Avec 2003 et 2011, 2017 est l’année où la fonte des glaciers a été la plus importante depuis un siècle et le début des relevés. Selon la commission d’experts des mesures cryos-phère de l’Académie suisse des sciences natu-relles, qui étudie 20 glaciers helvètes, « la fonte de glace enregistrée entre octobre 2016 et septembre 2017 permettrait à chaque ménage du pays de rem-plir une demi-piscine olympique, d’une longueur de 25 mètres ». La fonte enregistrée a touché toutes les régions de Suisse, mais selon les experts de l’Acadé-mie suisse des sciences naturelles, les glaciers entre l’Ouest de l’Oberland bernois et le Valais ont enre-gistré les plus fortes pertes : l’épaisseur de glace a diminué de 2 à 3 mètres alors que « la plupart des autres glaciers ont eu connu une diminution de 1 à 2 mètres ».

Les glaciers, témoins du réchauffement

Pour son édition 2017, le Salon des Maires et des Collectivités Locales * et l’Association Française de l’Eclairage (AFE) ont signé un partenariat pour créer le débat autour de l’éclairage des collectivités, et informer : entre enjeux et obligations.D’ici à 2020, les collectivités devront repenser leurs éclairages dans le respect des réglementations fran-çaise et européenne. Dépense inéluctable, cette contrainte peut aussi devenir un levier de finance-ment par les économies d’énergie potentielles.Trois ateliers techniques AFE sont ainsi organisés, à l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités Locales, sur les enjeux à venir de l’éclairage dans les collectivités.- Eclairage public. Les obligations réglementaires fran-çaises et européennes face aux investissements - Ana-lyse et explications.L’AFE dresse un inventaire des obligations et de leurs conséquences en termes de coûts d’investissement et de coûts opérationnels.- Eclairage intérieur des bâtiments publics (bureaux, écoles, salles polyvalentes…) : quels enjeux, quelles solutions ?L’éclairage intérieur consomme plus que l’éclairage

public. Avec 280 millions de m2, le gisement d’éco-nomies est énorme pour un retour sur investisse-ment plus rapide qu’en éclairage public. L’Associa-tion française de l’éclairage évoque notamment les enjeux sur la santé et l’environnement.- LED et éclairage public : pollution lumineuse, santé, sécurité, performances. Etat des lieux et analyse.80 % des rénovations et nouvelles installations d’éclairage public sont aujourd’hui réalisées avec des appareils spécifiques pour source LED. Peu de solutions alternatives aux LED seront maintenues dans les cinq prochaines années du fait des régle-mentations françaises et européennes. Relativement récente, la technologie est aujourd’hui mature pour la plupart des installations en éclairage public. De nombreuses interrogations demeurent toutefois sur les LED. L’AFE propose un état scientifique des connaissances sur les LED : santé, performances réelles, pollution lumineuse, sécurité… Des retours d’expérience de collectivités illustreront les don-nées présentées.(* : Le Salon des Maires et des Collectivités Locales se tiendra du 21 au 23 novembre à Paris.)

Lumière sur le Salon des maires

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15 novembre 2017 5 n°486

172 pages consacrées aux services de la DGFiP, aux ressources fiscales et non fiscales perçues par les collectivités territoriales et les établissements publics de coopération intercommunale. C’est l’une des publications de la DGFiP.L’amélioration du service rendu aux partenaires pu-blics fait partie des objectifs constants de la direction générale des Finances publiques. Par leur activité de conseil, les services de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) sont des interlocu-teurs de premier plan des collectivités locales.S’inscrivant dans cette démarche de partenariat, la DGFiP publie un guide complet dédié à la fiscalité directe locale, à l’usage des agents des collectivités

et établissement locaux.Au-delà de leur mission traditionnelle de recouvre-ment de l’impôt et de la tenue de la comptabilité des collectivités, la DGFiP rappelle dans ce guide son « rôle d’expert comptable et financier », « d’assistance technique en matière domaniale » et de « conseiller en matière de fiscalité locale mais aussi commerciale (TVA) » auprès des collectivités et des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI).Ce guide détaille les règles fiscales par impôt, et présente de manière synthétique l’ensemble des prestations proposées aux collectivités locales et aux EPCI en matière fiscale.

La Direction générale des collectivités locales (DGCL) publie le Bulletin d’Information Statis-tique n°118, consacré aux finances des collectivités locales en 2016 et 2017. Cette étude est menée par le Département des études et des statistiques locales.La situation financière de l’ensemble des collectivités locales connaît une certaine amélioration en 2016.Après plusieurs années de ralentissement, les dé-penses de fonctionnement baissent en 2016 (-0,2 %). C’est surtout le fait des communes, et en particulier des plus grandes d’entre elles. Les régions ont aussi réduit leurs dépenses de fonctionnement, mais pour elles cela constitue plutôt une rupture par rapport aux années précédentes. Malgré la baisse des dotations, les recettes de fonctionnement continuent de progresser, bien que modérément (+0,5 %). C’est le cas en particulier pour les dépar-tements grâce à la bonne tenue de leurs recettes fiscales. En revanche, les recettes des communes et des régions baissent. L’épargne brute de l’ensemble des collectivités locales se renforce légèrement en 2016 (+4,5 %), là encore surtout du fait des dépar-tements.Les investissements diminuent en 2016 pour la troisième année consécutive, mais de façon moins marquée qu’en 2014 et en 2015 (-3,0 %, après -7,7 % et -8,4 %). Cette baisse concerne tous les niveaux de collectivités. Pour les communes, elle est le fait des plus grandes d’entre elles.

La diminution des investissements ne concerne que les communes de plus de 10 000 habitants et les EPCI de plus de 50 000 habitants ; elle est la plus forte pour les communes de plus de 100 000 habi-tants (-4,4 %). À l’inverse, les communes de 2 000 à 5 000 habitants affichent en 2016 une nette reprise des investissements réalisés.L’encours de la dette augmente encore en 2016 (+1,8 %) mais cette croissance est plus faible que les années précédentes. Pour les départements, il est même en très légère diminution. La capacité de désendettement des collectivités locales (encours de dette rapportée à l’épargne brute) s’améliore pour les départements, du fait de l’augmentation de leur épargne brute, mais continue de se dégrader pour les régions et pour les groupements de com-munes.Les transferts de compétences des départements vers les régions en 2017 rendent peu lisibles les évolutions entre 2016 et 2017 pour ces collectivi-tés. Prises globalement, les ressources des collecti-vités locales devraient progresser davantage qu’en 2016, mais, selon les budgets primitifs, les dépenses de fonctionnement, et notamment les frais de per-sonnel, devraient aussi progresser un peu plus qu’en 2016.Les dépenses d’investissement devraient quant à elles renouer avec la croissance, en particulier dans le bloc communal.(Source : DGCL)

La fiscalité locale pas à pas

Les finances à la loupe

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15 novembre 2017 6 n°486

« Nous généraliserons la pratique de l’exercice phy-sique à une large échelle, accélérerons la construction d’une puissance sportive et ferons avancer les prépa-ratifs des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Beijing », tels ont été les propos du Président chinois Xi Jinping à l’occasion de la lecture d’un rapport le 18 octobre dernier, en plein cœur du 19e Congrès du Partie Communiste chinois qui a eu lieu au Pa-lais du Peuple, sur la place de Tiananmen de Pékin. Si les termes « Jeux olympiques et Paralympiques » n’ont été prononcés qu’à une seule reprise dans le rapport lu par le Président chinois, ils ont immédia-tement été suivis de faits.Dès le lendemain, le maire adjoint de Pékin, Zhang Jiandong, a en effet annoncé que les travaux de

construction des sites et infrastructures des Jeux d’hiver de Pékin avaient entièrement commencé, et que la planification globale de la zone de compéti-tion de Yanquing et de Zhangjiakou a été confirmée.En ce qui concerne les autres aménagements, le maire adjoint de Pékin a indiqué que la ligne ferro-viaire à grande vitesse ainsi que l’extension de l’au-toroute qui reliera Pékin à Zhuhai seront achevés fin 2019 afin d’être prêts pour des tests dès 2020.Zhang Jiandong a également profité du 19e Congrès du Parti pour rappeler que « la construction des sites ne se concentre pas seulement sur les besoins en matière de compétition, mais elle accorde aussi une attention à la protection de l’environnement, et à l’uti-lisation de ces sites après les Jeux ».

Encore inimaginable il y a quelques années, l’e-sport est aujourd’hui en train de se faire une place de choix dans le monde de l’olympisme et postule même à devenir une épreuve olympique. Si la reconnaissance de l’e-sport par les grandes institutions et fédérations n’est pas (encore ?) actée, le CIO a tout de même, très récemment, exprimé la possibilité que l’e-sport soit reconnu comme une discipline sportive et avait même indiqué que le CIO s’engageait à explorer davan-tage les liens entre les sports électroniques et le

mouvement olympique, l’e-sport organisera un tournoi officiel en amont des Jeux de 2018.Le CIO a conditionné l’intégration de l’e-sport au programme olympique, à la création d’une fédé-ration internationale, nul doute que cela devrait être le cas à court voir à très court terme. Et que fera le CIO ? Faire entrer l’e-sport aux JO tant d’été que d’hiver ? Ce qui était inimaginable encore hier pourra devenir concret demain : ga-gner une médaille d’or olympique, sans effort ou presque...

L’étude de faisabilité des Jeux Olympiques et Para-lympiques de Sion 2026, celle là même qui avait été présentée et transmise au Conseil fédéral helvétique, a été rendue publique et est désormais accessible à tous. « Il ne s’agit pas d’un dossier de candidature » a tenu à rappeler Jean-Philippe Rochat, le président de Sion 2026, tout en soulignant que le dossier mis en ligne sera complété dans les semaines et mois à venir, au fil des échanges avec le CIO, les communes et les cantons notamment. « C’est un processus évolutif, Il n’est pas possible d’avoir aujourd’hui un dossier com-plet pour des Jeux qui se dérouleront dans neuf ans », a souligné le président de Sion 2026. La candidature valaisanne a publié différents documents (https://sion2026.ch/analyse-de-faisabilite), regroupé autour

de trois grandes thématiques : Faisabilité technique, Faisabilité budgétaire et Héritage Sion 2026. « Nous le faisons par souci de transparence, mais aussi pour montrer la crédibilité du travail accompli » a souligné Jean-Philippe Rochat avant de rapeler que « le CIO nous a dit que nous avions déjà gagné une première médaille d’or au vu du niveau très avancé de notre pro-jet ». Mais, si Sion 2026 a déjà convaincu le CIO, il lui reste à convaincre les élus locaux car la candida-ture de Sion provoque des prises de position très tranchées. Par un communiqué, le PS haut-valaisan a réclamé « l’abandon immédiat » du projet, craignant une explosion des coûts, notamment ceux liés à la sécurité. De son coté, le PLR croit « dur comme fer » au projet porté par Sion 2026…

Pékin 2022, les autorités font le point

L’e-sport fait une percée

Sion 2026 a publié son étude de faisabilité

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15 novembre 2017 7 n°486

L’événement phare de lancement de la saison de ski aura lieu du 23 au 26 novembre à Paris.Durant 4 jours, le quartier de Saint-Germain des Prés (6ème arrondissement - Place Saint-Sulpice, rues Guisarde, Prin-cesse et des Canettes) se transforme sur la thématique d’un Noël magique à la montagne.

Croiser des monitrices et moniteurs de ski en tenue au détour d’une rue, déguster de bons produits régionaux, entrer dans un chalet ou encore s’initier au biathlon, tout cela sera possible en plein centre de Paris.

Du côté des animations, un nouveau circuit de Fat Bike (vélo à pneus surdimensionnés tout terrain) sera installé dans le village.Et toujours un grand nombre d’activités familiales participatives : jardin des neiges (proposé par les Houches / Saint-Gervais Mont Blanc), piste de luge (proposée par Pierre & Vacances), des animations autour du ski comme si vous y étiez : Big Air «Avis » (démonstrations de freestyle et possibilité de s’élancer en bouée), biathlon avec Nordic France, simulateur de ski (proposé par l’Alpe d’Huez, les 2 Alpes et Vaujany), espace bien-être avec le Club Med, de gros câlins aux très attendus chiens de traineau de Val Cenis...

Les bars et restaurants du quartier seront aux couleurs de la montagne et des chalets de dégustation de produits montagnards seront installés.Les partenaires proposeront également des soirées thématiques, B2B ou B2C, dans les établissements en soirée.Séjours, forfaits de ski, goodies des partenaires à gagner sur place durant les 4 jours de l’événement.

Jeudi 23/11 (14h-19h), vendredi 24/11 (14h-19h), samedi 25/11 (10h-21h- nocturne !) et dimanche 26/11 (10h-17h). Programme complet sur www.saintgermaindesneiges.com

En piste pour Saint-Germain des Neiges !

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15 novembre 2017 8 n°486

I. IDENTIFICATION DE LA COLLECTIVITE DELEGANTECommune de VillarogerChef-Lieu73640 VILLAROGER04 79 06 90 98 / Mail : mairie.villaroger@wanadoo.fr

II. COMMUNICATIONDes informations complémentaires peuvent être obtenues aux numéros et à l’adresse sus mentionnés.Les dossiers de candidature devront être adressés par voie postale.

III. OBJET DE LA DELEGATION DE SERVICE PUBLICDélégation de service public pour l’exploitation des remontées mécaniques et du domaine skiable de Villa-roger, situé au sein du domaine relié de Paradiski.Le délégataire supportera le risque d’exploitation et le risque d’investissement. Début d’exploitation àcompter de juin 2020.Codes CPV : 92610000-0 Service d’exploitation d’installations sportives. 45234200-8 Systèmes de transport par câble

IV. DUREELa durée de la convention sera fonction de la durée d’amortissement des investissements pris en charge par le délégataire. Elle n’excédera pas 40 ans.

V. PROCEDURELa consultation est organisée conformément aux articles 9-1° du Décret N° 2016-86 du 1er février 2016relatif aux contrats de concession (procédure normale).

VI. CRITERES DE SELECTION ET D’ANALYSELes candidats admis à présenter une offre seront sélectionnés après examen de leurs garanties profession-nelles et financières, de leur respect de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés prévue aux article L 5212-1 à 5212-4 du code du travail et de leur aptitude à assurer la continuité du service public et l’égalitédes usagers devant le service public.

VII. PRESENTATION ET CONTENU DES CANDIDATURESLes candidatures devront être adressées par voie postale en pli recommandé avec accusé de réception ou être déposées au secrétariat de la Mairie de Villaroger, contre récépissé.

Commune de Villaroger

DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC POUR L’EXPLOITATION DES REMONTEES

MECANIQUES ET DU DOMAINE SKIABLE DE VILLAROGER

AVIS DE CONCESSION

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AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSP OFFRES D’EMPLOIFRANCE MONTAGNES APPELS D’OFFRES / DSP

15 novembre 2017 9 n°486

L’envoi se fera sous double enveloppe :- l’enveloppe extérieure sera adressée à :

« Monsieur le Maire de VillarogerChef-Lieu

73640 VILLAROGER »- l’enveloppe intérieure portera la mention :

« Appel à candidature pour l’exploitation du domaine skiable et des remontées mécaniques- A n’ouvrir qu’en Commission »

et contiendra :a) une lettre de candidature,b) une déclaration sur l’honneur attestant :- qu’il ne fait l’objet d’aucune exclusion prévue aux articles 39 et 42 de l’ordonnance n° 2016-65 du 29 janvier 2016,- que les renseignements et documents relatifs à ses capacités et à ses aptitudes, exigées en application de l’art 45 de l’ordonnance précitée, sont exacts.- du respect de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés prévue aux articles L 5212.1 à L 5212.4 du Code du Travail.

c) les documents justifiant l’absence d’exclusion au titre des articles 39 et 42 précités dont :- les certificats et attestations de régularité fiscale et sociale délivrés par les administrations et organismes compétents,- un extrait du registre pertinent de moins de 3 mois (K, Kbis, D1),- copie des jugements pour les candidats en redressement judiciaire

d) toutes pièces justificatives démontrant :- les capacités techniques et professionnelles : les moyens humains et techniques dont il dispose pour la gestion du service ; les références du candidat dans le domaine d’activité concerné, tout élément permettant de juger l’aptitude du candidat à assurer l’activité, et notamment la continuité du service public et l’égalité des usagers devant ledit service.- les capacités économiques et financières : les bilans et comptes de résultats des 3 derniers exer-cices, le CA global et le CA relatif à des prestations similaires réalisées au cours des 3 dernières années; une note de présentation du candidat (forme juridique, date de création, capital social, actionnaires).Si pour une raison justifiée, le candidat n’est pas en mesure de produire les renseignements et documents ci-avant demandés, il est autorisé à produire tout document approprié de nature à faire apparaitre la capacité économique et financière du candidat.

VIII. DATE LIMITE DE RECEPTION DES CANDIDATURESLe 15 décembre 2017 à 12h00.

VIIII. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRESDes renseignements complémentaires sur l’AAPC peuvent être demandés par les candidats par mail ou par courrier postal au secrétariat de la Commune de Villaroger à l’adresse indiquée au I du présent avis.

X. PROCEDURES DE RECOURSInstance chargée des procédures de recours :Tribunal administratif de Grenoble, 2 Place de Verdun, Boîte Postale 1135, 38022 Grenoble CedexTéléphone : 04 76 42 90 00Télécopie : 04 76 42 22 69http://grenoble.tribunal-administratif.fr

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AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSPFRANCE MONTAGNES OFFRES D’EMPLOIAPPELS D’OFFRES / DSP

15 novembre 2017 10 n°486

MERGER, Fabricant Français de réducteur de vitesse, historiquement implanté dans les montages, recherche un agent commercial indépendant.

Déjà présent dans ce monde, possédant une bonne expérience dans les remontées mécanique.En complément de votre activité dans le domaine, votre mission sera d’assurer la relation entre les utilisateurs de nos réducteurs et nos services, de développer la vente de nos produits, de promouvoir nos capacités d’expertise, entretien et réparation de réducteurs de toutes marques.

Pour postuler, envoyez votre candidature et votre lettre de motivation à :M. Stéphane MOREL commercial@merger.fr

Agent commercial indépendant

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AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSP OFFRES D’EMPLOIFRANCE MONTAGNES OFFRES D’EMPLOI

COMMERCIAL FRANCE INDUSTRIE

ENTREPRISESociété BEAL basée à Vienne (38), n° 1 mondial, produisant du matériel de montagne et de sécurité pour des activités sportives (alpinisme, escalade, spéléologie, etc.) et professionnelles (travaux en hauteur, élagage, etc.), recherche un Commercial France IndustriePOSTEDate de début le 03 janvier 2018 CDI à temps plein rattaché directement à la Direction, pour assurer principalement les missions suivantes :- Gérer et animer un portefeuille client important et déjà existant- Maintenir une présence forte sur le terrain- Développer le CA dans toute la France- Gérer l’activité de façon autonome tout en veillant à une parfaite communication avec les équipes de l’entreprise

- Fidéliser les clientsPROFIL- Formation commerciale- Expérience de la vente et du contact client dans le domaine des protections individuelles de catégorie 3- autonome, dynamiqueAUTRES INFORMATIONS- Mise à disposition 1 véhicule, 1 ordinateur, 1 téléphone portable.

Pour postuler envoyer candidature et lettre de motivation à : recrut@beal-planet.com

15 novembre 2017 11 n°486

En parallèle du tapis roulant, Sunkid mise avec son programme de remontées mécaniques sur les facteurs qualité et confort en tant que clé du succès pour ses partenaires exploitants.

Jusqu’à présent, Sunkid a produit plus de 4.500 re-montées mécaniques et les a installées dans le monde entier comme remontées d’entraînement, téléski ou de remontée mécaniques pour enfants.

Avec la mise en place du tapis de transport de person-nes appelé tapis roulant, on pensait au début qu’il pren-drait la place des petites remontées mécaniques des es-paces de l’école du ski d’enfant. Aujourd’hui, cependant, on sait que les remontées mécaniques avec guide de câble rabaissé sont devenues indispensables en plus du tapis roulant et que les deux aides à la remontée forment en-semble une offre complète.

Remontée mécanique ou tapis roulant ?

Ce sont les exigences qui déterminent si l’on doit op-ter pour un tapis roulant ou une petite remontée méca-nique. Notamment, le terrain et le groupe d’utilisateurs potentiel déterminent quel système de transport doit être utilisé et préféré. Chaque système, qu’il s’agit d’un tapis de convoyage de personne ou d’une petite remontée mé-canique, a ses propres avantages qui se complètent très bien lorsqu’ils sont placés correctement. De nombreux exploitants de téléphériques et d’écoles de ski ont identi-fié cela et ont élargi leur palette d’offres. En plus de l’élargissement de l’offre, on remarque une volonté d’augmenter la qualité de transport, l’efficacité et la ren-tabilité chez les exploitants.

Un développement énorme

Sunkid a tenu compte de cette tendance et reflète cel-le-ci dans le développement rapide de ces dernières an-

DES PETITES REMONTÉES MÉCANIQUES QUI ONT TOUT DES GRANDES

nées, également dans le domaine des petites remontées mécaniques. Avec des entraînements commandés par un convertisseur de fréquence et une régulation continue de la vitesse, des arceaux sans guidage avec assiettes con-fort et un réglage mécanique de l’inclinaison des roues et un réglage en hauteur des stations, les petites remontées mécaniques de Sunkid possèdent désormais ces éléments de manière standard.

Grâce au système modulaire éprouvé, le client ne re-çoit pas seulement un produit au prix attrayant qui est de qualité et fiable mais qui peut être également configuré individuellement.

Contactez-nous et découvrez quelle solution de trans-port vous convient, sous forme d’une petite remontée mé-canique ou du tapis roulant.

Nous concevons et réalisons des espaces ludiques pour l‘été

comme pour l‘hiver.

Sunkid France Tel: 04 50 07 66 96 • D. Blanchard Tel: 06 71 32 52 28

Découvrez le monde Sunkid !

Réalisé par Montagne Expansion SAS6 avenue de l’Europe 38029 GRENOBLE Cedex 2, FranceTél : 04 76 90 84 38 - Fax : 04 76 90 80 63

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NOVEMBRELe 16 et 17 • Congrès Data Marketing,

Paris (France)

Le 17 • Colloque UNAT « Les colos : de l’image à la

promotion », Paris (France)

Les 20 et 21 • Colloque « Les remontées

mécaniques et le droit », Chambéry (France)

Du 20 au 23 • 100e Congrès des maires et

présidents d’intercommunalités, Paris (France)

Du 23 au 24 • Les Rencontres de la Smart

Itinérance, Chambéry (France)

Du 23 au 26 • Saint-Germain-des-Neiges,

Paris (France)

DÉCEMBRELe 01 • Présentation du plan d’actions

du Cluster Montagne, Mery (France)

Les 09 et 10 • Etape de Coupe du Monde

masculine de ski alpin, Val d’Isère (France)

Du 09 au 18 • Critérium de la Première Neige,

Val d’Isère (France)

Du 14 au 17 • Etape de Coupe du Monde de

biathlon, Le Grand Bornand (France)

Les 16 et 17 • Etape de Coupe du Monde

féminine de ski alpin, Val d’Isère (France)

Les 19 et 20 • Etape de Coupe du Monde

féminine de ski alpin, Courchevel (France)

JANVIER 2018Les 17 et 18 • Museum Connections,

Paris (France)

Le 22 • Les Rencontres de Grand Ski,

Chambéry (France)

Les 23 et 24 • Grand Ski,

Chambéry (France)

Du 24 au 27 PA R T E N A I R E

• ISPO & Alpitec China,

Pékin (Chine)

Les 26 et 27 • Rencontres Climat Météo

Montagne, La Plagne (France)

FÉVRIER 2018Du 09 au 25 • XXIIIes Jeux olympiques d’hiver,

Pyeongchang (Corée du Sud)

MARS 2018Du 12 au 14 • Salon Sport Achat,

Lyon (France)

Les 28 et 29 • Heavent Meetings,

Cannes (France)

AVRIL 2018Du 18 au 20 • Mountain Planet

Grenoble (France)

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AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSP OFFRES D’EMPLOIFRANCE MONTAGNES AGENDA

15 novembre 2017 13 n°486