a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur...

12
لى روحهاتحة الفاني . اهبهاة صادق بني والدهبهاة اسمت برحوميدة الى روح المذه الجردى ه تهLire Fatiha en la mémoire de la défunte Assamatte Bahbahani و ساعد عل اقرا ىقراءة كل شهر الJanvier / Fevrier2019/1440 Si vous désirez recevoir gratuitement des livres islamique, bien vouloir nous contacter. p12 Www.islamvictime.com La question de la participation politique des femmes en islam a toujours été lobjet dun débat fortement controversé et ce aus- si bien dans le discours islamique prédominant contemporain que dans les commentaires classiques. Il est vrai aujourdhui et ce, dans la grande majorité des sociétés musulmanes, que la question de la participation politique des femmes est admise du moins en théorie quoique sa mise en pratique reste relativement peu concrétisée voire dès fois impos- sible à réaliser dans certains pays du fait de la présence dun socle de traditions réfractaires à toute remise en question de ce préjugé. « Lislam interdit aux femmes daccéder aux postes de pouvoir politique, dêtre juge, dêtre chef détat » : cest làune des as- sertions les plus répandus en terre dislam, qui se nourrit dune part, de la profonde ignorance des musulmans de leur histoire et de leur religion et dautre part de la précarité socioculturelle dans laquelle se trouve la majorité des pays arabo – musulmans. La question de la participation politique des femmes en islam

Transcript of a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur...

Page 1: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

تهدى هذه الجريدة الى روح المرحومة اسمت بهبهاني والدة صادق بهبهاني . الفاتحة الى روحها Lire Fatiha en la mémoire de la défunte Assamatte Bahbahani

القراءة كل شهر ىاقرا و ساعد عل

Janvier / Fevrier2019/1440 Si vous désirez recevoir gratuitement des livres islamique, bien vouloir nous contacter. p12

Www.islamvictime.com

La question de la participation politique des femmes en islam a toujours été l’objet d’un débat fortement controversé et ce aus-si bien dans le discours islamique prédominant contemporain que dans les commentaires classiques. Il est vrai aujourd’hui et ce, dans la grande majorité des sociétés musulmanes, que la question de la participation politique des femmes est admise du moins en théorie quoique sa mise en pratique reste relativement peu concrétisée voire dès fois impos-sible à réaliser dans certains pays du fait de la présence d’un socle de traditions réfractaires à toute remise en question de ce préjugé. « L’islam interdit aux femmes d’accéder aux postes de pouvoir politique, d’être juge, d’être chef d’état » : c’est làune des as-sertions les plus répandus en terre d’islam, qui se nourrit d’une part, de la profonde ignorance des musulmans de leur histoire et de leur religion et d’autre part de la précarité socioculturelle dans laquelle se trouve la majorité des pays arabo – musulmans.

La question de la participation politique des femmes en islam

Page 2: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

2

L’imam Reza (as) disait: « Ô fils de Shabîb, si tu es en train de pleurer pour quelque chose, alors pleure sur mon aïeul al Hussein

fils de Alî fils d’Abû Tâleb (p) car il(p) a été égorgé comme un bélier. Avec lui, ont été tués dix huit membres de sa famille qui n’avaient pas d’égaux sur terre. Les sept cieux

et les terres ont pleuré...

Femme mère de l’humanité

Par Ali Bernard CHANGAM بسمه تعاىل و الصالة و السالم علي سيدنا محمد و آله اطهار

Au

tori

sati

on

de p

ub

licati

on

N°:

50

3/2

01

5/R

DJ/

C1

9/S

AA

JP

افتتاحي

Avant l'Islam, les peuples regardaient la femme, comme si elle était un animal ou comme si elle était partie des biens que l'homme possède. Les arabes de l'ère près islamique (jahilieh), que l'on s'est accordé à appeler l'ère ignorante, considéraient la femme telle une source de

scandale et certains d'entre eux enterraient leurs filles vivantes. Lorsque l'Islam éclaira par sa lumière les obscurités de l'ignorance, il avait protégé la femme de toute injustice et cardait ses droits en tant que fille, mère ou épouse. Et qui d'entre nous n'a pas lu le célèbre hadith du prophète (pslp) : "le paradis est sous les pieds des mères", ou en-core "le contentement de Dieu est du contentement de la mère et du père." Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde son honneur. Par exemple, le port du voile, loin d'être considéré comme une contrainte, est une véritable mise en valeur de la femme. Bien que jusqu’à nos jour il y a encore des peuples qui stigmatise la femme en restrant cer-tains de ses libertés fondamentales. Il est vrai que dans toute l'histoire nous ne trouvons pas une concrétisation meilleure pour la femme-modèle que la plus prestigieuse des femmes du monde : Fatima Zahra (pse) : - Fatima Zahra, la fille du prophète Muhammad (paix sur eux). - Fatima Zahra, l'épouse de Ali (psl) - Fatima Zahra, mère de Hassan, Hussein et Zeynab (paix sur eux). La naissance Fatima Zahra naquit en l'année 5 après la révélation et l'envoi de son père Muhammad (pslp) comme messager de Dieu, et trois ans après le Miêraj du prophète (son escalade vers le sep-tième ciel). C'était l'ange Gabriel (Jibril) lui-même qui avait apporté la bonne nouvelle de la naissance de Fatima Zahra (pse) à son père et la naissance fut le vendredi 20 Joumada. Ses parents, le Prophète Mohammad (saw) et Bibi Khadija (ahs) sont tous deux descendants du Prophète Ibrahim (as). Et en ce mois où nous célébrons sa naissance, il est important de la rendre un vivant hommage ainsi qu’à toutes les femmes du monde mère de l’humanité.

Page 3: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

3

Bilquiss la reine de Saba est souvent utilisée par ceux qui approuvent la participation po-litique des femmes, comme étant un exemple édifiant de la possibilité de la femme en islam d’accéder aux plus hautes sphères de la gouvernance politique. En effet, cette femme est décrite dans le Coran comme une véritable souveraine démocrate et très soucieuse des règles de la concertation politique avec les représentants de son peuple. Le Coran, à travers plusieurs versets, dépeint la sagesse et la perspicacité de cette femme et l’érige comme un modèle de dirigeante politique juste, habile et éclairée. Un des commentateurs musulmans classiques l’a désigne comme étant « une reine intelligente et judicieuse ». En effet, c’est elle que le Coran fait parler dans le verset qui critique le despotisme des souverains : « Quand les rois pénètrent dans une cité, ils la pervertissent et rendent ses nobles habitants les plus misérables des êtres et C’est ainsi qu’habituellement ils se com-portent » . C’est donc Bilquiss qui parle dans ce verset mais la dernière phrase de ce ver-set « C’est ainsi qu’habituellement ils se comportent » est une réponse qui émane de Dieu, selon les commentaires de Ibn Abass considéré comme l’un des plus grands exégètes du Coran. Une réponse qui va dans le sens de la critique de cette reine et que Dieu semble totalement approuver. Il est à noter qu’à ce stade et selon le récit du Coran, Bilquiss et à l’instar de tout son peuple, adorait le soleil et se prosternait devant lui mais sa remarque a été approuvé par Dieu lui même qui répond en l’entérinant de manière incontestable. La remarque de Bil-quiss à propos des rois est une marque de sagesse et le Coran démontre ici qu’il faut ac-cepter et partager toutes les sagesses universelles quelque soient leurs origines. Le Coran confirme donc son refus des autocraties despotiques puisqu’il adhère complètement à l'allégation de Bilquiss et en même temps il incite à l’acceptation des valeurs universelles partagées comme des dons de l’humanité. La remarque de Bilquiss a été acceptée par Dieu comme étant une vérité universelle et le polythéisme de cette reine n’a pas été une entrave à la diffusion et à la transmission de cette vérité à toute l’humanité par le biais du Coran, livre sacré monothéiste. C’est à travers ces petits détails subtils mais ô combien parlants que nous découvrons l’infinitude de la sagesse divine qui n’a eu de cesse d’éduquer les croyants et croyantes à s’ouvrir aux autres, à respecter et vivre la diversité comme don du Créateur et surtout à se réapproprier le savoir, la vérité, la vertu, là ou elle est et d’où elle provient, comme droit de tout être humain. Le prophète de l’islam n’avait il pas affirmé que « la sagesse est le bien perdu (el hikmatou dalatou el mouamine) de tout être croyant et que là où elle se trouve il y a droit plus que quiconque ». Cette remarque est importante à faire puisque de nombreux savants musulmans – aussi bien classiques que contemporains – refusent de considérer Bilquiss comme un exemple à suivre et la considère comme appartenant aux peuple infidèles et en déduisent ainsi le fait que l’on ne saurait utiliser son récit dans le Coran comme preuve de la validité de l’accès des femmes musulmanes aux plus hautes fonctions politiques. Un certain nombre d’exégètes, notamment classiques, dénigre ainsi son apport et semble refuser de voir la sensibilité, la beauté et l’intense générosité que le Coran déploie pour décrire cette reine décidemment pas comme les autres. Alors que le Coran en fait un portrait très élogieux, loue ses qualités de souveraine sage et pacifiste et souscris à ses remarques par rapport aux despotismes de certains rois, la majorité des savant musulmans refuseront de prendre l’exemple de cette reine comme un argument en faveur de la possibilité pour les femmes d’être chefs d’états. Pour ces savants, Bilquiss était « mécréante » et les femmes musulmanes croyantes ne devraient pas s’identifier à ce genre de personnages « infidèles » et bien qu’elle soit citée dans le Coran, elle ne peut être digne d’exemplarité. Or ceci est en contradiction, d’abord avec les versets coraniques qui décrivent la sagesse historique de cette femme chef d’état mais aussi avec le contenu de tous les autres versets coraniques qui retracent l’histoire des héros des peuples pré-décesseurs et qui tentent, à travers leurs récits, de les ériger en exemples vivants pour l’éternité. Le Coran ne dit –il pas : « Dans leurs récitsil y a certes une leçon pour ceux qui sont doués d’intelligence » Coran 12- 111. Paradoxalement, il y a lieu de noter ici que tout en refusant que Bilquiss soit un modèle de femme chef d’état, un grand nombre de savants musulmans, vont cependant recourir à certaines de ses affirmations afin de les appliquer comme bases juridiques au sein de la jurisprudence islamique ou fiqh. En effet, l’exégète Ibn Achour affirme que des savants ont déduit de la déclaration que fait Bilquiss devant les représen-tants de son peuple: « je ne prendrais aucune décision avant de connaître votre avis » Coran 27 ;32, l’obligation pour le juge musulman d’énoncer son jugement qu’en présence d’un comité d’érudits (ahl el ilm) et qu’il était dans l’obligation de les consulter avant d’émettre ce jugement . Ce qui nous mène à relever cette contradiction dans la logique des savants musulmans qui tout en refusant de considérer cette reine citée par le Coran comme modèle de dirigeante politique du fait qu’elle était « mécréante », ont toutefois déduit de ses propres commentaires un principe majeur à appliquer dans le droit musulman ! Les déductions des savants par rapport à la position politique de Bilquiss, en plus d’être erronées, vont à l’encontre de l’énoncé coranique qui érige cette femme comme exemple de dirigeante on ne peut plus démocrate et qui transmet à toute l’humanité son savoir et sa sagesse, considérés par le récit coranique comme étant des valeurs universelles.

Bilquiss la reine du Coran

Page 4: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

4

Le vingtième jour de Jumâdâ II, l`an 5 après le début du Révélation, de la prophétie, est le jour de l'anniversaire par-fumé de la naissance de la Sainte, la Purifiée Sayyida Fatima az-Zahrâ' (p). En rappelant la mémoire de cet anniversaire, nous rappelons toute cette pureté et toute cette clarté vécues par Sayyida az-Zahrâ' (p) dans sa relation avec son Seigneur et avec les gens qu'elle a fréquentés. Nous le faisons pour dire qu'az-Zahrâ' doit être présente dans la vie de toute fille, de toute épouse et de toute mère, ainsi que dans la vie de toute femme porteuse du Message et dans la vie de tout homme.

Cette grande Dame la plus prestigieuse au monde, qui, à chaque fois que son nom est évoqué cela rappel la renaissance de l’esprit de justice, de courage, de détermination et de sainteté. Cette dame qui est un modèle vivant, un signe dans la voie de Dieu, et un objectif originel de la mission divine. Elle consacra sa vie entre les travaux ménagers, qu’elle partageait, à tour de rôle, avec sa servante la Dame Fidha, l’éducation de ses enfants et l’adoration nocturne. Elle proposait, souvent, des solutions aux pro-blèmes des femmes et aidait les nécessiteux du produit de la vente des cueillettes de son verger, nommé, Fadak, qu’elle avait reçu du Prophète (SAWA). Elle était très assidue, dans la préservation de la Sunna de son père, dont elle écrivait les paroles sur une peau qu’elle gardait jalousement. Un jour n’ayant pas retrouvé un de ses précieux objets, elle affirma à sa servante que ces écrits lui étaient aussi précieux qu’Al-Hassan (béni soit-il) et Al-Hussein (béni-soit-il). Elle était douée, également, d’un très fort caractère, ce qui est attesté par le discours qu’elle prononça, après la mort de son père (SAWA), dans la mosquée du Prophète (SAWA) et devant tous les Musulmans. Az-Zahrâ' est notre Dame pure, dévote, savante, enseignante, et puissante. Les hommes et les femmes de-vraient l'imiter pour ce qui est de toutes les valeurs spirituelles et humaines qu'elle incarnait. Elle a donné à la nation sa fille Sayyida Zaynab (p) qui a pris des attitudes très puissantes face aux Tyrans de son époque ( Zaynab la petite fille de Prophète (psl), était la patiente et la combattante qui s'est chargée de la responsa-bilité après le martyre de l'Imâm al-Hussein (p).) Az-Zahrâ’ (p) ne doit pas être pour la femme musulmane une simple femme, mais un modèle de pensée, d’esprit et de jihâd pour le vrai. Elle est la Maîtresse des femmes, la Pure et les femmes doivent la prendre comme modèle. ‘Alî (p) l’a bien expliqué en disant : « Votre Imâm se contente dans sa vie de ses deux robes usées et de ses deux morceaux de pain d’orge. Vous ne pouvez pas faire de même, mais vous devez m’aider avec votre piété et votre conséquence, votre abstinence et votre droiture ». Az-Zahrâ’ n’est pas un exemple pour les femmes seules. Elle l’est pour tous les Musulmans Que la paix soit sur elle, sur son père, sur son mari, et sur ses enfants ! Nous invoquons Dieu pour qu’Il per-mette à ce qu’elle intercède pour nous le Jour du Jugement à côté de son père, le messager de Dieu, car elle est grande parmi ceux qui intercèdent !

20 Jumâdâ Sani: journée mondiale de la femme

Page 5: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

5

Un jour, une révélation invita notre Prophète à se retirer hors de la ville et à méditer pendant 40 jours. A la fin de cette période, de la nourriture de Jannat (paradis) fut apportée au Prophète avec la bonne nouvelle qu'Allah S.T. le comblera d'un enfant. Peu après, Bibi Khadija (ahs) se sentit envahie d'un parfum rafraichissant qui ne la quittait plus. Le Pro-phète lui dit que c'est parce qu'elle portait Fatima (ahs). Au moment de la naissance de l'enfant, les femmes de la Mecque ont refusé d'aider Bibi Khadija (ahs) car elle soutenait le Prophète et l'Islam, alors Allah S.T. a envoyé l'âme de quatre Dames du Paradis pour as-sister, à savoir: - Sarah (ahs), l'épouse du Prophète Ibrahim (as), - Mariam (ahs), la mère du Prophète Issa (as), -Oumm Koulsoum, la sœur du Prophète Moussa (as), - Aassyia (ahs), l'épouse de Firaunn. Dans la maison de la révélation Fatima Zahra grandit dans les bras de la prophétie et de la révélation. Sa demeure d'enfance était toujours animée par les paroles de Dieu et les versets du Saint Coran. Le prophète (pslp) n'avait jamais caché son amour profond pour sa fille, et ceci avait toujours suscité l'envie de certaines de ses femmes privées d'en-fants... Un jour, Aïcha, la femme la plus jeune du prophète, lui demanda la cause de cet amour qui dépassait toutes les limites habituelles de l'affection d'un père pour sa fille car, chaque fois que Fatima (pse) entrait chez lui, il se levait, et embrassait sa tête et sa Main...

La naissance aux origines paradisiaques

Page 6: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

6

On assimile très souvent le jeûne uniquement à la période du Ramadan. Mais il existe une autre forme de jeûne aussi importante dans la vie d’un musulman: le jeûne des trois jours dans le mois appelés les jours blancs. Un miracle révélé après (14) siècle. Le prophète nous ordonne de prier Dieu, ainsi que de jeûner les jours blancs

de chaque mois, mais l'étrange n'est pas la parole du messager d'Allah (PBSLF). Les laboratoires américains ont confirmé que la lune avait la capa-cité d'absorber de l'eau stagnante du corps humain et étrange que ce soit selon les laboratoires américains: la lune absorbe de l'eau stagnante dans le corps humain les jours de son achèvement (13/14/15) du mois lunaire "et l'eau stagnante est l'eau qui n'est pas mise en sueur ni dans l'urine" "Nous conseillons au peuple améri-cain de manger et de boire moins pendant les jours (13, 14 et 15) du mois. Une étude remarquable sur plusieurs points conclut que jeûner pendant trois jours peut régénérer l’ensemble du système immuni-taire, même chez les personnes âgées ou malades. La découverte des scientifiques de l’Université de Californie du Sud est qualifiée de remarquable. Valter Longo, Professeur en gérontologie et sciences biologiques à l’université californienne explique :

Il [le jeûne] donne le feu-vert aux cellules souches pour qu’elles s’activent et commencent à proliférer jusqu’à reconstruire l’ensemble du système immunitaire. Et l’autre bonne nouvelle est que le corps se débarrasse des par-ties vieilles, endommagées et inefficaces, au cours du jeûne. Si vous partez d’un système immunitaire fortement endommagé par la chimiothérapie ou le vieillissement, les cycles de jeûne peuvent littéralement générer un nou-veau système immunitaire. En fait, jeûner 3 jours contraint le corps à consommer ses réserves de glucose et de graisses. Ce faisant, une quantité importante de globules blancs est éliminée : Quand vous vous privez de nourriture, le corps essaye d’économiser l’énergie dépensée. Pour cela il recycle un grand nombre de cellules du système immunitaire qui ne sont pas indispensables, notamment celles qui sont abi-mées. Ainsi, pendant le jeûne, le nombre de globules blancs baisse fortement et augmente rapidement quand la per-sonne s’alimente à nouveau. Le jeûne a d’autres effets bénéfiques Durant les tests, les bénévoles ont été invités à jeûner ré-gulièrement entre deux et quatre jours sur une période de six mois. Les scientifiques ont alors découvert que le jeûne prolongé réduit également l’enzyme PKA. Cette enzyme est impli-quée dans le vieillissement, elle augmente le risque de cancer et favorise la croissance tumorale. Allah dit dans le coran il y a 14 siècles concernant le pro-phète : "il ne parle pas sous l’effet de la passion, c'est une révélation inspirée par Allah Gloire à lui! ".

Un miracle révélé après (14) siècle.

Page 7: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

7

وأشار الى أن "توجيهات

المتولي الشرعي للعتبة الحسينية المقدسة على

ضرورة أن يكون مركز للنشاطات القرآنية والدينية المختلفة في دولة بوركينا

فاسو".وأوضح القرعاوي أن

"مذكرة التعاون والعمل جاءت من خالل التنسيق مع دار القرآن الكريم في العتبة الحسينية المقدسة

حيث تم توقيع القانون الذي ينص على افتتاح

هذه المؤسسة وهي ستكون باكورة عمل

مستقبلي ألعمال النشاطات الثقافية والعلمية

والدينية لخدمة المجتمع في بوركينا فاسو".

كربالء المقدسة –تحرير: انمار الفضلي

العتبة الحسينية المقدسة تفتح آفاق التعاون المشترك بينها وبين دولة بوركينا فاسو.

زار وفد العتبة الحسينية المقدسة دولة بوركينا فاسو غرب قارة افريقيا من أجل

توقيع مذكرة تعاون مشترك الفتتاح فرع مؤسسة وارث

األنبياء للنشاطات الدينية والثقافية.

وذكر الشيخ علي القرعاوي موفد

العتبة المقدسة الى دولة بوركينا فاسو

لموقع مجموعة قنوات كربالء

الفضائية أن" وفد العتبة الحسينية

المقدسة وقع مذكرة تعاون الفتتاح مؤسسة وارث األنبياء )عليهم

السالم( فرعا جديدا في دولة بوركينا فاسو التي تقع

غرب قارة افريقيا".

نجف -العتبة الحسينية تواصل نقل الماء الصالح للشرب للنازحين في طريق كربالء

حسب توجيه األمانة العامة للعتبة الحسينية المقدسة أقامت وحدة السواقين في قسم الصيانة بحملة توزيع المياه والماء الخام ألغراض الغسل واالستعماالت العامة على النازحين الساكنين (R.O)الصالحة للشرب اآلرو الـ

نجف. -في طريق كربالء قال رئيس قسم الصيانة التابع للعتبة الحسينية المقدسة األستاذ )كريم األنباري( في هذا الصدد: "إن العتبة

على النازحين على طريق كربالء نجف (RO)الحسينية المقدسة تقوم بتوزيع المياه الصالحة للشرب ومياه الـ وبشكل يومي، لتخفف عن معاناتهم وهم في المخيمات".

وأضاف األنباري: "إن عجالت العتبة الحسينية المقدسة تقوم بنقل المياه يوميا من محطات التنقية التابعة لها إلى قسم الصيانة، ومن ثم توزعها على الخزانات الثابتة في مخازن سيد إسماعيل والروضات والخباطة المركزية

التابعة للعتبة الحسينية المقدسة".وتابع رئيس قسم الصيانة في العتبة الحسينية المقدسة األستاذ )كريم األنباري( قوله: "إن الطاقة اإلنتاجية لمياه الـ

(RO) ( لتر مكعب، وأن الطاقة 100التي تقوم السيارات الحوضية بتوزيعها في اليوم الواحد تبلغ نحو )الفمليون( لتر 1اإلنتاجية للماء الخام الذي تقوم السيارات الحوضية بتوزيعه في اليوم الواحد تصل إلى نحو )

مكعب".

المحرر: عبـــدالرحمن الالمي

Page 8: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

8

Lorsque Abraham (Nabi Ibrahim ‘alayhis salam) s’est entretenu avec son oncle Azar au sujet de la croyance en Un Dieu Unique, celui-ci refusa de l’écouter et le menaça. Abraham déclara à ce moment qu’il allait donc s’éloigner d’eux et se tourner vers Allah ‘azza wa-jall. Dans le verset ci-dessus, il exprime sa confiance en Allah, en disant qu’il L’invoquera et qu’il espère ne pas être déçu. Le Saint Prophète sallallahou ‘alayhi wa-alihi wa-salam avait recours à ce verset pour rappeler aux Musulmans la nécessité de continuer à prier avec l’espoir d’être entendu. Il disait : Puisse Allah faire miséri-corde au serviteur qui invoque avec persistance Allah, Le Très-Elevé, Le Majestueux, pour ses besoins, qu’ils soient exaucés ou pas. Et ensuite, il récitait le verset précité. (Al-Kāfī, v.6, p.375, H.6 – traduit de l’anglais) Ce verset fait mention de quelques points importants concernant l’attitude du croyant lors de ses supplications. Le mot ‘assaa signifie peut-être, éventuellement. Il y a donc une possibilité que la supplication soit acceptée. Il n’y a cependant pas de certitude qu’Allah acceptera cette invocation, même si elle est formulée par un Pro-phète. Le croyant doit toujours osciller entre l’espoir et la crainte. L’espoir en Allah lui permet d’exprimer son amour et sa confiance envers son Seigneur et cela motive ses bonnes actions. La crainte le pousse à agir avec pru-dence et retenue. Ensemble, ces deux sentiments permettent au croyant de rester sur le droit chemin. Imam Ja‘far as-Sadiq (a) dit : Espérez en Allah de telle sorte que cela vous dissuade de Lui désobéir et craignez-Le de telle sorte que cela vous empêche de désespérer de Sa Miséricorde. (Bihārul Anwār, v. 70, p. 384, H. 39 – traduit de l’anglais). Il a dit également : Mon père avait pour habitude de dire ‘il n y a pas de serviteur croyant qui n’ait deux lumières dans son cœur, une lueur de crainte et une lueur d’espoir, si elles étaient mesurées, l’une n’excéderait pas l’autre.’ (Al-Kāfī, v. 2, p.67, H. 1 – traduit de l’anglais). Sayyid Mahdi al-Sadr dit dans son livre The Ahlul Bayt: Ethical Role Models (Les Ahloul Bayt : des Rôles modèles dans le domaine de l’Ethique) : « L’espoir…correspond à la seconde aile, la première étant la crainte, avec lesquelles les croyants volent dans les horizons de l’obéissance à Dieu. » L’espoir en Allah lors des invocations doit se baser sur certains fondements. Des conditions prérequises au Dou’a, telles que la soumission, la reconnaissance, la gratitude, le désir d’être pardonné, etc… sont absolument nécessaires et doivent accompagner l’invocation. Al-Sadr dit également : « L’espoir correspond à l’attente d’une chose qui nous est chère, dont la préparation a déjà était faite, tel que rendement d’une terre qui a déjà été ensemencée, arrosée, contrôlée. Avoir de l’espoir dans le cas où les dispositions nécessaires ne seraient pas prises, serait une ineptie. » A noter également que le mot Rabbi est répété deux fois dans ce verset. Abraham invoque Allah en utilisant les termes « mon Seigneur et mon Pourvoyeur ». Ceux-ci indiquent une forme de proximité dans la relation, une dépendance et de la confiance. Cette manière de s’exprimer lie le serviteur à son Seigneur et élimine toute autre source d’espoir. Ceci fait partie de l’étiquette du Dou’a. Le mot shaqiyyah signifie être déçu, qui n’a pas été béni ou qui traverse des difficultés. Son contraire, sa’id, signifie chanceux ou béni. Le Prophète Abraham dit qu’il espère que son invocation le délivrera des difficultés et le rendra heureux. La douceur de la supplication, soit la connexion entre un serviteur et son réel Seigneur qui a pouvoir sur toute chose, est en soit une annihilation de la détresse du serviteur avant même que la réponse ne soit reçue. Récitons ce verset avec nos invocations en ce mois de Shaban et encore plus intensément durant le mois béni de Ramadhan. Ayons l’espoir de ne pas être déçu, comme Abraham l’a exprimé si magnifiquement à travers ce verset. Cela nous apportera inshāAllah plus de paix et de tranquillité lors de nos invocations. Sources: Āyatullāh Nāsir Makārim Shirāzī (Ed.), Tafsīr-e amūneh

L’espoir dans les invocations وأدعو ربي عسى ألا أكون بدعاء ربي شقيا

…et j’invoquerai mon Seigneur. J’espère ne pas être malheureux dans mon appel à mon Seigneur.

(Soūrat Maryam, No.19, Āyat 48)

Page 9: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

9

De l’imam Ali ibn abi talib (as)

《منهومان ل يشعبان : طالب علم و طالب دنيا 》

٧٥٤نهج البالغة: الحكمة

《 Deux types d'avide sont des éternels insatiables: l'avide du savoir

et l'avide des biens matériels de ce monde》

«Nous voulons favoriser ceux qu'on a affaiblis sur terre, et en faire les di-rigeants, et en faire des héritiers»1. Interprétant ce verset, l'imâm Mâlik Ibn Anas, le fondateur de l'Ecole Mâlikite dit: «L'application de ce verset ne s'est pas encore réalisée. La Umma attend encore la ve-nue de celui par lequel cette prédiction sera réalisée». En effet, selon Abu-l-Faraj al-Içfahânî, alors que les 'Alawites subissaient de plus en plus la répression des Abbassides, Mohammad Ibn Ja'far, un 'Alawite est venu s'en plaindre auprès d'Anas Ibn Mâlik, celui-ci lui a répondu: «Attends jusqu'à ce que l'interprétation de ce verset se réalise: "Nous voulons favoriser ceux qu'on a affaiblis sur terre, et en faire les dirigeants et en faire des héritiers"»2. Tels sont quelques versets coraniques qui font allusion à l'apparition de l'Imâm al-Mahdî (p), selon l'interprétation des Imâms d'Ahl-ul-Bayt (p) qui sont les interprètes les plus crédibles de ce Saint Livre, selon le Noble Prophète (P) lui-même, dans son célèbre Hadîth al-Thaqalayn. Nous nous contentons de citer seulement ce verset, parmi beaucoup d'autres que le Cheikh al-Qandûzî, le Hanafite, a cités dans "Yanâbî' al-Mawaddah" (3/76-85, section 71).

20. Sourate al-Qaçaç, 28: 5 21. Abu-l-Faraj al-Içfahânî, "Maqâtil al-Tâlibîn", p. 539.

Le Mahdi dans le coran

Page 10: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

10

5سورة ابراهيم ت لكل صباار شكور لك لءاي إنا فى ذ رهم بأياىم ٱللا وذك

« ...Et rappelle-leur les jours d’Allah». [les évènements]. Dans tout cela il y a des signes pour tout homme plein d’endurance et de reconnaissance. »

Coran 14/5

Mardi 05 fevrier 2019 est Premier Joumada ath-Thaniya

Trois Joumada ath-Thaniya Martyre de Fatima Zahra (a) fille du Prophète Mohammad (p.s.l )- selon une version -,3 Joumada ath-Thaniya 11 H. Décès de l'Ayatollah Mortadha MOTAHARI, 1399 H.

Quatre Joumada ath-Thaniya Décès de Haroun Rachid calife abbasside, 193 H.

Cinq Joumada ath-Thaniya Naissance de Taqiye-eddine Hassen b. Ali b. Daoud HILLI, 647 H. Décès d’Ibn Abi Haddid commentateur de Nahj al-Balagha, 656 H. Décès de Jalal-eddine Romi Mowlawi, 672 H.

Huit Joumada ath-Thaniya Naissance de Mohammad Taqiye BAHLLOUL, 1328 H.

Douze Joumada ath-Thaniya Bataille de Khaybar, 7 H. )غزوة خيبر(

Treize Joumada ath-Thaniya Décès d'Omm al Banine, 64 H.

Quinze Joumada ath-Thaniya Bataille de Jamel, 36 H. )حرب الجمل(

Dix-huit Joumada ath-Thaniya Mariage d'Abdallah b. Abdel Motaleb et d'Amina bint Wahb; parents du prophète Mohammad (p.s.l).

Vingt Joumada ath-Thaniya Naissance de Fatima Zahra (a) fille du Prophète Mohammad (p.s.l), 5 av.la révélation. Naissance de l'Imam Ayatollah Sayed Rûhollâh Mûsawi Khomeini, 1320 H.

Vingt-et-un Joumada ath-Thaniya Décès d'Omm Kaltoum fille d'Ali b. Abi Taleb (a), 50 H.

Vingt-deux Joumada ath-Thaniya Dècés d'Abou Bakar b. Abi Qohafa, 13 H.

Vingt-six Joumada ath-Thaniya Martyre de l'Imam Hadi (a) - selon une version -, 254 H. Décès de Fadhel Moqtad, 826 H.

Vingt-sept Joumada ath-Thaniya Martyre d'Ali b.Mohammad Baqer (a),116 H.

Vingt-huit Joumada ath-Thaniya Remise du Prophète Mohammad - enfant - (p.s.l) à Halima Sa'diya.

Vingt-neuf Joumada ath-Thaniya Décès de Sayyed Mohammad fils de l'Imam Hadi (a), 252 H.

Dernier Joumada ath-Thaniya Martyre d'Ibrahim b. Malek Ashtar, 71 H.

Page 11: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

11

Zîyâra Jâmi’a Kabîra الزيارة الجامعة الكبيرةest l’un des plus importants et des plus complets manuels de "visites pieuses" (zîyrât) des saints Imams. Il est écrit par l’Imam Hâdî le dixième Imam à la demande d’un chiite. Il contient les croyances chiites sur l’imamat, la place des Imams et les devoirs des chiites envers leurs Imams im-peccables. Zîyâra Jâmi’a Kabîra peut être considérée comme un cours d’imâmologie présenté sous forme de phrases éloquentes et agréables. Dans la partie inaugurale de la zîyâra, « السالمسالة ة و موضع الر salut sur) « عليکم يا أهل بيت النبوvous ô gens de la maison du Prophète, ô place de la prophétie fréquentée par les anges), l’Imam Hâdî évoque ces thèmes : Par Sa Miséricorde, le Seigneur Très Haut a accordé une place privilégiée aux Ahl al-Bayt, les considérant comme base de la prophétie, position fréquentée par les anges et site de la révélation. Ce privilège vient des attributs de perfection dont jouissent les Ahl al-Bayt, attributs par les-quels, ils ont atteint le sommet de la science, de la patience, de la dignité et de la miséricorde. Les Ahl al-Bayt sont la base choisie par le Seigneur pour la prophétie, parce qu’Il les a choisis dans le passé, non seulement pour l’orientation des musulmans, mais pour celle de toute l’humanité. Pour ce qui est de la phrase « السالم علی ائمة الهدی و مصابيح الدجی » (salut sur les chefs de l’orientation et les lumières dans les ténèbres), l’Imâm Hâdî met l’accent sur ces points : Dans quelques parties de la zîyâra, on fait allusion aux dimensions pratiques du comportement des Imâms im-peccables: 1.Appliquer de serment divin et renforcer la soumission à l’Ipséité divine 2.Donner des conseils aux gens et être bienveillant envers eux, visiblement ou invisiblement, afin d’obtenir la satisfaction divine 3.Appeler les gens à suivre le droit chemin, en argumentant, en donnant de bons conseils et en invitant aux bonnes œuvres 4.Sacrifier en permanence dans la voie de Dieu en offrant sa vie et en se patientant devant les difficultés 5.Accomplir la prière, payer la ''zakat'' (aumône islamique), appliquer toujours les autres prières et lois isla-miques 6.Protéger la sharia face aux dangers d’altération 7.Se soumettre à la providence divine 8.Souligner que les voies suivies par les prophètes sont une même voie et confirmer les prophètes venus dans le passé Un autre passage de la zîyâra « فالراغب عنکم مارق والالزم لکم الحق والمقصر فی حقکم زاهق » (Celui qui vous quitte, quitte la religion, celui qui vous accompagne, vous rejoint et celui qui manque à ses devoirs envers vous sera anéanti) évoque le dénouement des amateurs des Ahl al-Bayt et de leur ennemis, présentant les amateurs comme les gens du salut et les ennemis comme les gens du malheur. Le passage « بکم أشرف محل المکرمين وأعلی منازل المقربين وأرفع درجات المرسلين فبلغ للا » fait allusion aux points suivants : 1.Nécessité de la foi en le retour des Imâms et de l’instauration de leur Etat 2.Importance de la visite des tombes des Imâms 3.Importance de la foi en la parousie 4.Nécessité de se préparer en permanence pour aider leur gouvernement jusqu’au jour où leur souveraineté se complète sur toute la terre 5.Nécessité d’annoncer son hostilité envers leurs ennemis 6.Etre satisfait de ce que Dieu Très Haut leur accorde via les Ahl al-Bayt 7.La vraie unité des musulmans ne peut se réaliser que sous le drapeau des Ahl al-Bayt 8.La foi en les Ahl al-Bayt n’est une chose d’affection, mais elle vient de la conscience, de la compréhension, de l’enquête et des recherches

Zîyâra Jâmi’a Kabîra

Page 12: a question de la participation politique des femmes en islam · Ainsi, l'Islam a mis en valeur l'humanité de la femme en imposant une législation qui protège sa dignité et garde

12

{Ils veulent éteindre de leurs bouches la Lumière de Dieu, alors que Dieu veut absolument

parachever Sa Lumière, même si les incroyants détestent cela.} (32/IX

دول 9229عنوان: صب: الكاميرونجمهورية

٠٠٧٧٣٣٠٧٧٣٢٠٠هاتف مبى: Adresse:

Revue Binour Boite postale:

9229 Bassa Douala Cameroun

tel: +239 290229910 +239 294035292

Directeur de publication: Ali CHANGAM

Superviseur de rédaction: Dr Fadhel Abdulreza

ساعدونا على الستمرار في هذا العمل النبيل و نرحب بمساعدتكم و اقتراحاتكم و آرائكم الوجيزة في هذا المجال

[email protected]

whatsApp: 00239290229910

Pour aider ce journal contact:

Regard sur le monde

La militante de la minorité chiite saoudienne Israa al-Ghomgham, emprisonnée depuis décembre 2015, ne risque plus la peine mort, ont indiqué Amnesty International et une organisation régio-nale, le Gulf Centre for Human Rights (GCHR). Selon ces deux organisations, la justice saoudienne a renoncé à requérir la peine de mort contre la militante jugée pour avoir documenté les manifestations hostiles au régime saoudien dans le sil-lage du Printemps arabe en 2011.

En Mauritanie, un projet de loi a été voté ce lundi par le Parlement et autorise un accord de coo-pération entre la Mauritanie et l’Arabie saoudite en matière de «lutte contre le terrorisme, le crime organisé, le trafic d'armes et d'êtres humains». L’opposition mauritanienne crie au scan-dale. Selon elle, le royaume wahhabite n’est pas un bon partenaire en matière du respect des droits de l’homme.

Quelque 30.000 personnes ont fui Rann, dans le nord-est du Nigeria, pour échapper aux terro-ristes du groupe «Boko Haram», qui ont pris le contrôle de la ville. Les terroristes sont entrés dans l'agglomération sans rencontrer de résistance, à la suite du retrait des troupes camerou-naises et nigérianes. «Toute la population semble paniquée et a pris la fuite pour tenter d'échapper à la mort en l'es-pace de 48 heures», a déclaré le porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR), Babar Baloch, au cours d'un point de presse à Genève mardi 29 janvier.