A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES...

A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2010 : 95ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc95 ans de déni : ça suffit !

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VEILLE MEDIA

Jeudi 24 juin 2010

Retrouvez les news sur :http://www.collectifvan.org

SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigi-lance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une re-vue de presse des informations parues dans la presse franco-phone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide armé-nien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons égale-ment de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collec-tifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains ar-ticles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la rece-voir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

Les Arméniens : l’esprit de soumission d’« une race abjecte » Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le journaliste arméno-américain Harut Sassounian signe dans The California Courier, un éditorial dans le-quel il fustige l’esprit de soumission des Arméniens, hérité de plusieurs siècles de servitude dans l’Empire ottoman. Il rappelle qu’en 1871, le Dr. William Goodell décrivait les Arméniens de Constantinople en ces termes : « Quatre siècles de torture, d'oppression et d’incertitude ont imprimé sur

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=45330

http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1.

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une communauté entière, la crainte constante, le tourment constant et l'humiliation constante, qui ont effacé toute trace de virilité, au point qu’ils sont toujours serviles, obséquieux, une race abjecte. Seules plusieurs gé-nérations de descendants plus heureux pourront effacer les souillures mentales acquises au cours de ces longues années de vassalité. »

La Turquie : Mémorial pour un soi-disant «génocide turc » Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Les médias turcs annoncent la découverte, non loin d’Erzurum, de ce qui serait une fosse commune de musulmans turcs massacrés par les Arméniens. Les travaux étaient dirigés par l’archéologue Djevdeth Bacharan, professeur de l’Université Atatürk. Parmi les participants on note la présence du président du Centre de re-cherches de l’Université Atatürk, spécialiste des relations arméno-turques, Erol Kurkcuoglu. Selon lui, un monument va être érigé d’ici le 29 octobre 2010 à Erzurum en l’honneur de 50 000 Turcs massacrés par les Armé-niens. L’Etat turc se targue donc de reconnaître pour « génocide », un massacre de 50 000 victimes (supposées turques), par des Arméniens, mais se garde bien de qualifier de génocide celui perpétré par le gouver-nement turc en 1915 contre 1 500 000 Arméniens de l’Empire ottoman. Rappelons également qu’à l’époque, les autorités militaires ottomanes fal-sifiaient déjà les preuves de l’extermination des Arméniens : les cadavres arméniens étaient déshabillés et revêtus de costumes typiques de villa-geois turcs... Le Collectif VAN vous présente la traduction de cet article en arménien publié sur le site Tert.am le 16 juin 2010.

Presse arménienne : Revue du 23 juin 2010 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente cette Revue de Presse du 23 juin 2010 parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie. "Hayots Achkhar, Azg, Hayastani Hanrapetoutioun et Respoublika Armenia consacrent leur « une » à la visite officielle du chef de l’Etat arménien en Allemagne et à sa rencontre avec la Chancelière An-gela Merkel."

L'Azerbaidjan viole le régime du cessez-le-feu et lance une offen-sive contre le Haut-Karabagh Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous livre ce communiqué sur le Haut-Karabagh mis à notre disposition par la Représen-tation de la République du Haut-Karabagh en France. "Dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, violant le régime du cessez-le-feu de 1994, l'armée azerbaidjanaise a traversé la ligne de contact et a attaqué un des postes de défense du Haut-Karabagh dans la région de Martakert."

Revue de la presse turque 21.06.2010 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous propose la revue de la presse turque du 21 juin publiée sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Cette revue de presse n'est pas commentée de notre part. Elle






peut contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

Les Ouzbeks, victimes de nettoyage ethnique Un calme précaire règnait mercredi 23 juin dans le sud du Kirghizstan. La présidente Roza Otoumbaieva s'est rendue à Och, la grande ville du sud, où l'armée a commencé à retirer les barricades, tandis que la police procé-dait à des dizaines d'arrestations dans les milieux suspectés d'être à l'ori-gine des violences interethniques.

Schiff reprend sa campagne pour une reconnaissance par le Congrès du génocide arménien Le Représentant Adam Schiff (D-CA) a commencé à faire circuler une lettre à ses collègues, pressant les Membres de la Chambre de co-signer la réso-lution 252 reconnaissant le génocide arménien.

Le génocide des tsiganes en débat Manouche-Gadjé, le Mrap et la LDH organisent une soirée de discussion, demain vendredi, avec un historien spécialiste du sort qui leur a été réser-vé en 39-45. C'est un génocide qui n'est toujours pas reconnu comme tel et dont on parle peu.

La communauté turque vous invite à fêter l'été - Cerisy-Belle-Étoile Seyran, c'est le nom d'une fête traditionnelle annuelle de l'Est de la Tur-quie, près de la Russie, « d'où vient la grande majorité de la communauté turque de Flers », selon Subay Sahin, président de l'association amicale franco-turque de Flers. Cette fête célèbre l'arrivée de l'été, « pourtant, peu de nos membres l'ont déjà vécue car les familles sont arrivées ici dans les années 70. »

Lutte/terrorisme: l'UE n'en fait pas assez Le Premier ministre turc a reproché aujourd'hui à certains pays européens de ne pas aider suffisamment la Turquie dans sa lutte contre les rebelles kurdes, les accusant de ne pas extrader les militants réclamés et de ne pas couper pas leurs sources de financement.

Soudan: pas de contacts du gouvernement avec les diplomates US, venus ouvrir l'ambassade Le gouvernement soudanais n'envisage pas de contacts officiels avec les représentants du département d'Etat américain, arrivés à Khartoum pour participer jeudi à la cérémonie d'ouverture d'une nouvelle ambassade US, a annoncé mercredi aux journalistes une source au sein du gouvernement.

EGL est suspendue à la conclusion d’un accord de transit avec la











Turquie La société zurichoise de négoce d’énergie Electricité Laufenbourg, qui mène un vaste projet de gazoduc à travers l’Adriatique, négocie avec la société turque Botas pour obtenir le feu vert de la Turquie avec l’aide de Berne.

La restauration du musée du génocide d’Igdir lancée Le musée du génocide à Igdir qui a été construit à la mémoire des « Turcs massacrés par des gangs arméniens » est en cours de rénovation. Interne-thaber.com annoncé que le musée, qui a été ouvert le 5 octobre 1999, est restauré grâce à une initiative lancée par l’Administration Spéciale de la Province.

La Turquie s'apprête à porter la guerre au delà des frontières Depuis son affrontement avec les combattants kurdes à Semdinli (province de Hakkâri), le 19 juin dernier, l'armée turque transporte en hélicoptère ses unités spéciales aux frontières du Kurdistan Sud (Kurdistan irakien, n.d.l.r.) ; l'envoi de ces unités militaires annonce la préparation d'une opé-ration massive par voie terrestre.

L'info vue par la TRT (2) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a déclaré que certains pays d'Europe n'ont pas donné le soutien nécessaire à la Turquie au sujet de la lutte anti-ter-reur".

Refuser le négationnisme, respecter la liberté des historiens La Ligue des droits de l’Homme apporte son soutien à l’universitaire Karo-line Postel-Vinay, spécialiste du Japon, directrice de recherche au labora-toire Sciences-Po/CNRS, assignée en diffamation par la fondation franco-ja-ponaise Sasakawa.

Attentat à Istanbul: 27 arrestations, Erdogan critique les pays eu-ropéens Le Premier ministre turc a déploré mercredi le manque de soutien de cer-tains pays européens à Ankara dans sa lutte contre les rebelles kurdes alors que ceux-ci ont revendiqué un attentat meurtrier commis la veille à Istanbul, qui a conduit à l'arrestation de 27 suspects.

Appel presse européenne Des soldats azéris ont pénétré au-delà de la ligne de front entre l’Azerbaid-jan et le Haut-Karabagh dans la nuit du 18 juin au 19 juin 2010 jusqu’aux positions arméniennes. Les tirs sont fréquents le long de cette ligne de









front mais elle n’avait jamais été franchie jusqu’alors. 4 soldats arméniens sont morts.

L'info vue par la TRT (1) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Le Som-met des Chefs d’Etat et de gouvernement du Processus de coopération en Europe du Sud-Est (SEECP) s’est tenu à Istanbul".

L'OSCE dénonce des restrictions pesant sur internet en Turquie L'OSCE a annoncé mardi qu'elle avait écrit au gouvernement turc pour le presser de lever les restrictions qui pèsent en Turquie sur des sites internet comme YouTube, et de réformer une législation rigide qui entrave l'accès à internet.

USA: la Cour suprême valide une large acception des lois anti-ter-roristes La Cour suprême des Etats-Unis a validé lundi une large acception possible des réalités recouvertes par l'accusation de "soutien matériel au terro-risme", très utilisée aux Etats-Unis depuis le 11-Septembre, comme le lui demandait l'administration Obama.

Les noms des militaires tués rendus publics L’Armée de la Défense du Karabagh a annoncé les noms des militaires tués suite au combat sur la ligne de contact entre les forces armées du Na-gorno Karabakh et l’Azerbaïdjan. Parmi les victimes se trouve le sergent cadet Mnatsakan Gasparyan, des soldats Araik Barseghyan, Edouard Ma-nukyan et Paruyr Melkonyan.

Clermont-Ferrand : Contre l'expulsion de sans-papiers Deux adolescents d'origine arménienne, scolarisés au collège Albert-Ca-mus de Clermont-Ferrand, sont menacés d'expulsion, ainsi que leurs pa-rents. Les réactions de soutien se multiplient, pour tenter de faire reculer le préfet et leur permettre de rester en France.

L'avenir de l'Europe du Sud-Est est dans l'Union européenne L'avenir de l'Europe du Sud-Est est dans l'Union européenne (UE), a décla-ré le premier ministre, Georges Papandréou, s'adressant mercredi à la ren-contre au sommet des pays de la Coopération interbalkanique, dont les travaux se sont ouverts à Istanbul la veille.

Valence. L'Apollo se souvient des tziganes sacrifiés Le cinéma Apollo a projeté le film « Liberté » de Tony Gatlif. L'histoire d'une famille tzigane durant la seconde guerre mondiale qui ressemble

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45375








étrangement au massacre perpétré par la division SS Das Reich à Saint-Sixte ou 14 tziganes, pour la plupart des enfants en bas âge, périrent sous les balles des mitraillettes allemandes.

Turquie, Grèce, Italie : Quand le gaz réuni Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équi-valent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP) : "L'accord sur le transit en Turquie du gaz dans le gazoduc ITGI, qui doit relier la Caspienne à l'Italie via la Turquie et la Grèce, a été signé jeudi."

Retour des réfugiés kirghizes Près de 50.000 personnes réfugiées en Ouzbékistan suite aux violences ayant secoué le sud du Kirghiz-stan depuis le 10 juin ont pris le chemin du retour. Selon les pouvoirs publics kirghizes, il resterait 25.000 personnes déplacées.

Wilfried Martens : "La Turquie est le point de rencontre entre l’Orient et l’Occident" Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équi-valent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP) : " Evoquant les promesses non-tenues faites à la Turquie par l’UE, Wilfried Martens, chef de file des Chrétiens-démocrates flamands au Parlement européen s’est confié à Zaman lors de sa visite en Turquie à l’occasion du sommet TUSKON."

L'info vue par la TRT (3) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "La prési-dence espagnole de l'Union européenne a annoncé que les négociations pourraient être lancées la semaine prochaine, sur un nouveau chapitre dans le processus d'adhésion de la Turquie à l'UE".

Le Kirghizstan, entre Turquie et Russie Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équi-valent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP) : "Après la récente flambée de violences au Kir-ghizstan, la Turquie a promis une aide substantielle, en partenariat avec le







Kazakhstan, formant un bloc pouvant être rejoint par "d'autres pays amis et frères" a précisé le ministre turc des Affaires étrangères M. Davutoglu.

EGL ouvre une représentation en Azerbaïdjan EGL AG a ouvert un bureau de représentation à Bakou, en Azerbaïdjan. Il s'agit pour l'entreprise d'énergie de trouver de nouveaux partenaires afin de renforcer ses liens dans le domaine du gaz naturel, selon un communi-qué publié jeudi par la filiale d'Axpo Holding.

D’Istanbul à Kars L'Ekspres du peuple Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équi-valent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP) : "Alors que le TGV turc devrait bientôt permettre aux cadres stambouliotes de rejoindre la capitale en un temps record, le Dogu Ekspresi rassemble couches populaires et routards dans une magni-fique et nonchalante traversée de l'Anatolie.

Ouverture à Istanbul d'un sommet de coopération régionale de l'Europe du Sud-Est Les dirigeants de 11 pays d'Europe du Sud-Est ont entamé mercredi à Is-tanbul, en Turquie, un sommet de coopération régionale visant à renforcer la coopération régionale.

La terreur du PKK affecte aussi les Etats-Unis, l’UE et Israël Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Zaman (équi-valent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP) : "La campagne de terreur du Parti des tra-vailleurs du Kurdistan(PKK) connait encore une fois un essor en Turquie, mais cette fois-ci dans un acte de désespoir découlant de la crainte de perdre le soutien du peuple kurde et de tomber dans l'isolement interna-tional."

Sarkissian exhorte l’Occident à reconsidérer le rôle de l’Iran Le président Serge Sarkissian a exhorté les puissances occidentales à res-pecter les intérêts géopolitiques de l’Iran dans le Caucase du Sud et a pré-senté les projets économiques irano-arméniens comme un modèle de co-opération régionale.

Erdogan accuse des pays européens d'un manque de soutien face au PKK Le Premier ministre turc a reproché mercredi à certains pays européens de ne pas aider suffisamment la Turquie dans sa lutte contre les rebelles









kurdes, les accusant de ne pas extrader les militants réclamés et de ne pas couper pas leurs sources de financement.

Condamnation à 3 ans de prison pour avoir menacé l’hebdoma-daire Agos La 2ème Cour Criminelle de Première instance de Sisli à Istanbul a condamné Yasin Yildiz à 3 ans et 3 mois de prison pour avoir menacé par des courriers électroniques des employés de l’hebdomadaire arménien Agos.

INFOS COLLECTIF VAN

Les Arméniens : l’esprit de soumission d’« une race abjecte »Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le journaliste arméno-

américain Harut Sassounian signe dans The California Courier, un éditorial dans lequel il fustige l’esprit de soumission des Armé-niens, hérité de plusieurs siècles de servitude dans l’Empire otto-man. Il rappelle qu’en 1871, le Dr. William Goodell décrivait les Ar-méniens de Constantinople en ces termes : « Quatre siècles de torture, d'oppression et d’incertitude ont imprimé sur une com-munauté entière, la crainte constante, le tourment constant et l'humiliation constante, qui ont effacé toute trace de virilité, au point qu’ils sont toujours serviles, obséquieux, une race abjecte. Seules plusieurs générations de descendants plus heureux pour-ront effacer les souillures mentales acquises au cours de ces longues années de vassalité. » Au-delà des observations racistes anti-arméniennes qui ne sont pas sans rappeler celles de son contemporain Pierre Loti, la voix d’outre-tombe de cet aimable Dr. Goodell rappelle à qui voudra bien l’entendre, que déjà en 1871, les Arméniens vivaient donc depuis quatre siècles sous la torture, l'oppression et la peur du lendemain. Ce que certains apôtres de la « séculaire fraternité arméno-turque » ont une fâcheuse ten-dance à occulter. Il est vrai que cette mémoire-là ne sert pas leurs desseins… Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet édi-torial de Sassounian en date du 24 juin 2010.

Les Arméniens doivent prendre des mesures coura-geuses et préventives pour contrer tout acte hostile

De Harut Sassounian Édité par The California Courier Éditorial de Sassounian du 24 juin 2010




Victimes de nombreux conquérants à travers l'histoire, les Arméniens ont développé un fort instinct de survie. Pour éviter les ennuis, ils ont appris à être loyaux et même soumis aux États qui ont régné sur eux.

Si les Arméniens ont remporté de nombreuses “victoires morales”, leurs succès réels sur les champs de batailles ont été rares. Il faut remonter deux mille ans en arrière pour trouver un rare exemple de dirigeant armé-nien conquérant, le roi Tigrane le Grand (140-55 av. J.C) dont l’immense empire s’étendait de la Caspienne à la Méditerranée. Dans l'ère moderne, avant le génocide arménien, les volontaires arméniens (Fedayins) se sont battus contre les assassins turcs et les mercenaires kurdes.

Pendant le génocide, les Arméniens d’Aintab, de Hajin, du Musa Dagh, de Sassoun, de Van et Zeitoun se sont courageusement défendus, mais 1,5 million de leurs compatriotes furent massacrés comme des moutons. L’hé-roïque bataille de Sardarabad a permis de sauver ce qu’il restait du peuple arménien en Arménie orientale, aboutissant à la fondation de la première République d’Arménie en 1918. Et enfin, à partir de 1988, des jeunes hommes courageux et des femmes se sont battus contre les forces ar-mées de l’Azerbaïdjan, supérieures en nombre et en équipement, pour li-bérer l’Artsakh (Karabagh).

À la fin du 19e et au début du 20e siècle, de nombreux missionnaires occi-dentaux, des commerçants, des écrivains et des aventuriers, décrivaient souvent les Arméniens qu’ils rencontraient dans l’Empire ottoman comme des êtres « serviles. »

Le site internet arméno-canadien Keghart.com, a publié la semaine der-nière un article citant la description que le Dr. William Goodell a faite des Arméniens de Constantinople en 1871 : « Quatre siècles de torture, d'op-pression et d’incertitude ont imprimé sur une communauté entière, la crainte constante, le tourment constant et l'humiliation constante, qui ont effacé toute trace de virilité, au point qu’ils sont toujours serviles, obsé-quieux, une race abjecte. Seules plusieurs générations de descendants plus heureux pourront effacer les souillures mentales acquises lors de ces longues années de vassalité. »

Malheureusement, beaucoup d'Arméniens doivent encore surmonter cette « mentalité d'esclave » - profondément enracinée dans leur psychisme - héritée de leurs ancêtres qui ont vécu pendant des siècles sous le joug étranger. On trouve d’innombrables exemples de comportements soumis dans les communautés arméniennes de la diaspora et en Arménie elle-même. Bien trop souvent, des Arméniens acceptent humblement des in-justices et des insultes dont d’autres les accablent.

Il est grand temps que les Arméniens rejettent leurs chaînes et défendent

leurs droits inaliénables. Ils ne doivent pas rester silencieux face à l'abus ou à l'attaque physique, mais doivent répondre de façon appropriée sans recourir à des actions imprudentes qui peuvent mettre en danger leurs communautés ou la patrie.

Aux États-Unis, par exemple, quand des élus, des journalistes ou des au-teurs déforment les faits du génocide arménien, ils doivent être sévère-ment critiqués et discrédités, ce qui servirait d’avertissement aux autres, de s'abstenir de nier le génocide.

L'exemple le plus récent de l'inaction arménienne est la faible réponse ar-ménienne à l'attaque de nuit de la semaine dernière, des forces azéries sur l’Artsakh, causant la mort de quatre soldats arméniens et en blessant quatre autres. Mis à part les messages de sympathie aux victimes et la condamnation de l'attaque, aucune action concrète n'a été prise par les autorités arméniennes.

Suite à cette attaque vicieuse et délibérée, l’Arménie aurait dû annoncer l'annulation de la prochaine série de négociations avec l'Azerbaïdjan sur l’Artsakh. Il est absolument inacceptable de conduire des pourparlers de paix, alors que l'Azerbaïdjan est engagé dans la guerre. Dans ces circons-tances, les Arméniens ont le droit de prendre toutes les mesures possibles pour prévenir de futures attaques. Plutôt que de simplement émettre une condamnation, le côté arménien, au moment de son choix, devrait effec-tuer des frappes préventives pour que les Azéris y réfléchissent à deux fois avant de monter une autre attaque.

L'Azerbaïdjan devrait clairement comprendre que toute nouvelle agression de sa part :

1. Causerait la suspension des pourparlers de paix, retardant ainsi la réso-lution du conflit, plutôt que d’accélérer le processus des négociations.

2. Conduirait l’Arménie à éventuellement abandonner tout pourparler de paix, puisqu’elle a peu à gagner de ces négociations. L’Azerbaïdjan est ce-lui qui a désespérément besoin de négocier pour s’assurer que l’Arménie fasse des concessions.

3. Indiquerait au monde que cela n’intéresse pas le gouvernement de l’Azerbaïdjan de trouver une solution négociée au conflit et qu’il est res-ponsable de son échec.

4. Discréditerait l’effort de bonne foi des pays médiateurs - France, Russie et États-Unis.

5. Forcerait l’Arménie à engager une action militaire qui causerait une

quantité disproportionnée de destruction, voire même endommagerait les pipelines, afin de décourager l’Azerbaïdjan de toute nouvelle attaque.

Il faut que les Arméniens comprennent qu'ils ne vivent plus dans l'Empire ottoman et qu’ils ne sont les esclaves de personne. Ils devraient se débar-rasser de leurs entraves psychologiques et prendre toutes les mesures né-cessaires pour défendre leur intérêt national !

©Traduction de l'anglais: C.Gardon pour le Collectif VAN – 24 juin 2010 - 07:23 - www.collectifvan.org


Lire le texte original dans la Rubrique en anglais

La Turquie : Mémorial pour un soi-disant «génocide turc »Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les médias turcs an-

noncent la découverte, non loin d’Erzurum, de ce qui serait une fosse commune de musulmans turcs massacrés par les Arméniens. Les travaux étaient dirigés par l’archéologue Djevdeth Bacharan, professeur de l’Université Atatürk. Parmi les participants on note la présence du président du Centre de recherches de l’Université Atatürk, spécialiste des relations arméno-turques, Erol Kurkcuo-glu. Selon lui, un monument va être érigé d’ici le 29 octobre 2010 à Erzurum en l’honneur de 50 000 Turcs massacrés par les Armé-niens. L’Etat turc se targue donc de reconnaître pour « génocide », un massacre de 50 000 victimes (supposées turques), par des Ar-méniens, mais se garde bien de qualifier de génocide celui perpé-tré par le gouvernement turc en 1915 contre 1 500 000 Arméniens de l’Empire ottoman. Rappelons également qu’à l’époque, les au-torités militaires ottomanes falsifiaient déjà les preuves de l’ex-termination des Arméniens : les cadavres arméniens étaient déshabillés et revêtus de costumes typiques de villageois turcs... Le Collectif VAN vous présente la traduction de cet article en ar-ménien publié sur le site Tert.am le 16 juin 2010.

Ankara est en train d’ériger un mémorial dédié au « gé-nocide turc »

11:06 • 16.06.10




Depuis quelques jours dans le monde entier, les médias turcs annoncent la découverte de ce qui serait « une fosse commune de musulmans turcs massacrés par les Arméniens » et où l’on fait maintenant des recherches.

Les mass media turcs déclarent que les dépouilles du charnier découvert dans le village de Tepekyoy, à 8 kms d’Erzurum, ont été mises à jour hier. Et ils disent que les experts turcs auraient trouvé 30 squelettes dont trois d’enfants.

Les travaux étaient dirigés par l’archéologue Djevdeth Bacharan, profes-seur de l’Université Atatürk. Parmi les participants on note la présence du président du Centre de recherches de l’Université Atatürk, le spécialiste des relations arméno-turques, Erol Kurkcuoglu

En outre, avant le commencement des travaux de la mise à jour de la fosse commune, le 3 juin de l’année courant, Kurkcuoglu avait annoncé dans une interview accordée à l’agence turque Cian qu’en 1916 -1919, les Arméniens avaient tué 50 000 Turcs à Erzurum et que la Turquie se pré-pare à dresser un mémorial du « génocide turc » dans un lieu public d’Er-zurum. Selon Erol Kurkcuoglu, ce monument va être installé d’ici le 29 oc-tobre 2010.

Traduction Collectif VAN – 16 juin 2010 - 07:00 - www.collectifvan.org


http://tert.am/am/news/2010/06/16/monument/

L'Azerbaidjan viole le régime du cessez-le-feu et lance une offensive contre le Haut-KarabaghInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous

livre ce communiqué sur le Haut-Karabagh mis à notre disposition par la Représentation de la République du Haut-Karabagh en France.

Communiqué Dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, violant le régime du cessez-le-feu de 1994, l'armée azerbaidjanaise a traversé la ligne de contact et a attaqué un des postes de défense du Haut-Karabagh dans la région de Martakert. Suite à cette opération, quatre soldats arméniens sont morts et quatre


http://tert.am/am/news/2010/06/16/monument/


http://collectifvan.org/

autres blessés. L'unité azérie s'est retirée laissant un cadavre dans les po-sitions arméniennes.

Cet acte d'agression constitue une violation flagrante de l'accord de ces-sez-le-feu et d'autres engagements récents de l'Azerbaïdjan à œuvrer à un règlement pacifique du conflit.

L'attaque qui survient à peine 24 heures après la réunion des Présidents arménien et azéri tenue le 17 juin à Saint-Pétersbourg (Russie), est un défi lancé non seulement au Haut-Karabagh et à l'Arménie, mais aussi aux pays médiateurs, les Etats-Unis, la France et la Russie, ainsi qu'à tous les membres de la communauté internationale intéressés par la paix et la sta-bilité dans la région.

Méprisant les efforts des co-présidents du Groupe de Minsk de l'OSCE en vue de trouver une solution viable au conflit du Karabagh, les autorités azerbaidjanaises mettent en péril le processus de négociation.

La République du Haut-Karabagh reste attachée au règlement pacifique du conflit qui l'oppose à l'Azerbaïdjan. Les autorités de l'Artsakh soutiennent les négociations menées sous les auspices du Groupe de Minsk de l'OSCE, co-présidé par les Etats-Unis, la France et la Russie.

Le Haut-Karabagh appelle la communauté internationale à condamner fer-mement les provocations régulières de l'Azerbaïdjan et à tenir ses diri-geants responsables de la montée des tensions dans la région.

Représentation de la République d'Artsakh en France 10, rue Degas 75016 Paris Tél : 01 53 75 17 40 Fax : 01 53 75 17 41 Courriel : [email protected] Web : www.haut-karabagh.com


http://www.haut-karabagh.com/newsletter/2010-06-22/160/

Revue de la presse turque 21.06.2010Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous

propose la revue de la presse turque du 21 juin publiée sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Cette revue de presse n'est pas commentée de notre part. Elle peut contenir des propos négation-


http://www.haut-karabagh.com/newsletter/2010-06-22/160/


http://www.haut-karabagh.com/

nistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

Nous vous présentons la revue de la presse turque du lundi 21 juin 2010

Posted 21.06.2010 07:33:32 UTC

Updated 21.06.2010 07:33:32 UTC

"Ankara cherche une solution" titre le journal "Cumhuriyet" et rapporte que le président de la République Abdullah Gül réunira aujourd'hui le "sommet sur la sécurité" à la suite des 11 soldats tués dans une attaque terroriste à Hakkari.

Selon l'article, M. Gül rencontrera séparément, aujourd'hui au palais de Çankaya, le leader du Parti du mouvement nationaliste, Devlet Bahçeli, le secrétaire général du Parti de la paix et de la démocratie, Selahattin De-mirtaş, et se retrouvera demain avec le leader du Parti républicain du peuple, Kemal Kılıçdaroğlu. Des évaluations seront faites sur les récents développements.

Le quotidien "Zaman" annonce que le Premier ministre Recep Tayyip Er-doğan, accompagné du chef de l'état-major le général Ilker Başbuğ, a visi-té hier après-midi, le commandement du bataillon de frontière Tekeli, reçu un briefing sur l'attaque et participé à la cérémonie organisée à Van pour les 11 martyrs tués à Hakkari. Notant que cinq ministres étaient égale-ment présents sur les lieux, l'article rapporte les suivants propos du Pre-mier ministre, adressés aux terroristes et à leur sous-traitant: "Ils ne ga-gneront pas, ils n'obtiendront rien. Ils vont fondre dans leur obscurité. Nous allons davantage glorifier notre fraternité, unité et intégralité".

Le journal "Haber Türk" titre "Le terrorisme sanglant a été maudit dans les rues" et informe que le terrorisme du PKK a entrainé une haine dans l'en-semble du pays, que les réactions ont été manifestées dans bon nombre de villes avec des marches et que les citoyens se sont déversés dans les rues à Istanbul, Ankara et Izmir pour protester contre le terrorisme.

Dans son articlé titré "La conciliation nucléaire n'a pas été abandonnée" le journal "Sabah" relève qu'Ankara continuera à servir de médiateur sur le nucléaire iranien.

Le quotidien fait savoir que la Turquie reste en quête de moyens de conci-liation entre l'Occident et l'Iran et ajoute qu'au cas où le processus de dia-logue reprend, le but sera de réunir Said Jalili, secrétaire du Conseil iranien de la sécurité nationale, et Catherine Ahston, diplomate en chef de l'Union européenne.

Le journal "Vatan" rapporte dans ses pages consacrées au sport que le Brésil s'est imposé face à la sélection ivoirienne par 3-1 garantissant ainsi sa qualification pour le suivant tour. Le onze italien qui avait fait match nul sur un score de parité 1 partout, lors de son premier match contre le Para-guay, a obtenu le même score contre l'équipe néo-zélandaise.

La même information note que le onze slovaque s'est incliné contre le Pa-raguay par 2-0.


http://www.trtfrench.com/international/newsDetail.aspx?HaberKodu=ca3ff147-cac9-4fdc-8738-3d378d4997cd

Presse arménienne : Revue du 23 juin 2010Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente cette Revue de Presse du 23 juin 2010 parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie.

Visite du Président Sarkissian en Allemagne

Hayots Achkhar, Azg, Hayastani Hanrapetoutioun et Respoublika Armenia consacrent leur « une » à la visite officielle du chef de l’Etat arménien en Allemagne et à sa rencontre avec la Chancelière Angela Merkel. Lors d’une conférence de presse conjointe, le Président Sarkissian a appelé au renfor-cement des relations avec l’Allemagne, le deuxième soutien financier étranger de l’Arménie après les Etats-Unis, qui lui a alloué 220 millions d’euros de prêts et de subventions entre 1995 et 2009.

Outre les relations bilatérales les deux dirigeants ont abordé des questions relatives au contexte régional au Sud Caucase dont le conflit du HK et au processus arméno-turc. Mme Merkel a déclaré avoir également discuté des questions relatives à la démocratisation de l’Arménie. Le Président Sarkissian a remercié l’Allemagne pour sa politique équilibrée et son inté-rêt croissant vis-à-vis de la région du Sud Caucase.

Il a aussi remercié l’Allemagne pour son aide, en affirmant que celle-ci a été « essentielle » dans la réussite des réformes économiques menées par les gouvernements arméniens successifs. Quant au conflit du HK, Mme Merkel a réaffirmé le soutien de son gouvernement au processus de négo-ciation mené sous l’égide du Groupe de Minsk. Elle a fait part du soutien de l’Allemagne à ces efforts de paix.





Interrogé sur les relations arméno-turques, le Président Sarkissian a décla-ré qu’« il n’y avait pas de relations arméno turques ». Il a déploré que la nouvelle orientation de la politique étrangère turque soit peu propice à ces relations. « Cette nouvelle voie ne nous promet rien de positif et c’est re-grettable », a-t-il dit, ajoutant que les relations arméno-turques ne peuvent se développer que si une forte volonté politique est constatée. « Nous n’avons pas vu cette volonté du côté turc », d’où le gel par l’Arménie du processus de ratification des protocoles par l’AN. Enfin, les quotidiens re-lèvent que Mme Merkel a déclaré lors de la conférence de presse qu’elle se rendra en Arménie l’année prochaine.

Affaires intérieures

Dans une interview à Aravot, l’ex-Ministre du Travail et des affaires so-ciales Mkhitar Mnatsakanian, qui vient de démissionner, explique sa dé-mission par son insatisfaction vis-à-vis des résultats de son travail. Il écarte les allégations des médias selon lesquelles sa démission serait liée au conflit avec le président du parti « Arménie prospère » Gaguik Tsarou-kian.

D’après Azg, Haykakan Jamanak et Aravot, « Arménie prospère » propose-ra la candidature d’Arthur Grigorian, fonctionnaire à la Chambre de contrôle. Haykakan Jamanak et Aravot relèvent que demain le Gouverne-ment désignera, à l’occasion du Conseil des Ministres, les sociétés où, en vertu des amendements à la législation fiscale en octobre 2009, le Comité des recettes d’Etat peut nommer un inspecteur fiscal.

D’après Haykakan Jamanak, 24 sociétés devraient être concernées par la nouvelle législation dont une grande partie sont des sociétés appartenant à l’homme d’affaires Samvel Alexanian.

Azg, Hayastani Hanrapetoutioun, Haykakan Jamanak et Aravot relèvent que d’après un classement du magazine américain « Foreign Policy » sur les pays sûrs, l’Arménie occupe la 101ème place (plus le pays est haut pla-cé, plus son niveau de sûreté est élevé), pour la deuxième année consécu-tive, étant ainsi le pays le plus sûr de la région (l’Azerbaïdjan est la 55ème et la Géorgie la 37ème).

Accrochage sur la ligne de contact

Les quotidiens continuent à commenter l’accrochage sur la ligne de contact des forces armées du HK et d’Azerbaïdjan, le 18 juin, ainsi que la déclaration des coprésidents du Groupe de Minsk (cf. la revue du 22.06), qu’ils jugent « vague comme d’habitude ». Les commentateurs désap-prouvent notamment le fait que les coprésidents ne mettent pas en cause

directement l’Azerbaïdjan, sans même indiquer son nom.

Hayastani Hanrapetoutioun rapporte l’avis du député du parti « Héritage » Stépan Safarian, qui a jugé l’approche des coprésidents du Groupe de Minsk « inacceptable » dans la mesure où ils ne désignent pas l’Azerbaïd-jan comme principal responsable de l’incident, ce qui est « préoccupant », selon lui. Quel que soit l’auteur de la provocation, les coprésidents, ajoute-t-il, traitent les parties de manière égale et les appellent à s’abstenir de re-courir à la force.

L’Azerbaïdjan a organisé ce sabotage, pour tester les réactions de la com-munauté internationale en cas de reprise des opérations militaires. Le par-lementaire a aussi réclamé au Ministère de la défense des explications dé-taillées sur l’incident, vu le nombre important de victimes du côté armé-nien.

Le même quotidien rapporte aussi l’avis d’un autre politologue, Sergueï Chakariants, selon lequel les coprésidents du Groupe de Minsk doivent im-poser à l’Azerbaïdjan de signer un accord de non recours à la force non seulement avec l’Arménie, mais aussi le HK.

Le politologue estime que l’attaque azerbaïdjanaise était avant tout un coup porté à l’autorité de Dmitri Medvedev, puisque l’incident est survenu quelques heures après de la rencontre qu’il avait initiée. « La Russie n’est pas un pays qui permette aux petits pays de mettre en cause l’autorité de son leader ». Il a espéré que Moscou se prononcera encore sur cet incident et que cette réaction sera dure.

Les quotidiens n’approuvent manifestement pas non plus la réaction « tar-dive » du Président en exercice de l’OSCE, Kanat Saudabayev, qui exprime également sa « préoccupation sérieuse » face à l’incident du 18 juin. Il note qu’il n’y a pas d’alternative à la poursuite des négociations et qu’il faut prendre des mesures pour exclure la répétition de tels incidents à l’avenir.

Haykakan Jamanak estime que le silence de la communauté internationale comme la teneur des déclarations où « aucune critique n’a été adressée à l’Azerbaïdjan », laissent suggérer que la communauté internationale a donné « carte blanche » à l’Azerbaïdjan.

Selon Azg, plusieurs fois le cessez-le-feu a été violé, mais jamais une dé-claration susceptible de mettre un terme aux tirs qui coûtent des vies hu-maines n’a été faite par la communauté internationale. Les auteurs des déclarations qui condamnent les incidents se bornent aux mêmes formula-tions. Si l’un des principaux acteurs internationaux dans cette région avait forcé l’Azerbaïdjan à se taire et à se calmer, les « mensonges » et « l’inso-

lence » n’auraient pas revêtu une telle ampleur.

D’après Azg, la seule déclaration qui mette directement en cause l’Azer-baïdjan, a été faite par un membre du Congrès américain, Franck Pallone, qui a invité à condamner les provocations [azéries] et appelé le Gouverne-ment américain à réduire son aide militaire à l’Azerbaïdjan.

Haykakan Jamanak relève par ailleurs, qu’au cours de la journée du 22 juin la partie azerbaïdjanaise a violé le cessez le-feu 183 fois.

APCE

Azg, Haykakan Jamanak, Aravot et Jamanak font état de la rencontre du Président de l’APCE, Mevlüt Çavusoglu, avec les membres des délégations arménienne et azerbaïdjanaise à l’APCE avec lesquels il a discuté du réta-blissement du sous-comité chargé du HK.

Aravot relève que la délégation arménienne s’est « agréablement » éton-née du comportement des délégués azerbaïdjanais qui ont admis qu’au-cune structure de l’APCE ne saurait remplacer le Groupe de Minsk. De sur-croît, les délégués azéris ont exprimé leur disponibilité à coopérer avec les collègues arméniens en ce sens.

Par ailleurs Hayots Achkhar, Azg, Haykakan Jamanak et Aravot relèvent que le mandat du co-rapporteur de l’APCE pour l’Arménie, Georges Colom-bier (élu français) a expiré et qu’il sera bientôt remplacé. Le nom d’un élu suédois, Goran Linbland serait en lice, selon Haykakan Jamanak. Celui-ci avait mis en circulation un projet de résolution sur l’implication des forces armées dans les événements du 1er mars.

Image de la France

Selon Azg, un milliardaire russe, Gleb Fétissov, ancien sénateur, envisage racheter le quotidien « Le Monde ». Il aurait déjà déposé une offre. / « L’homme d’affaires russe souhaite devenir l’actionnaire principal du « Monde »- Azg « Les Bleus ont échoué »- Azg « La dernière gifle du destin à l’équipe française »- Hayots Achkhar

Rédaction : Merie Hakobian

Hayastani Hanrapetoutioun- quotidien, journal officiel, tirage-6000 exem-plaires ; Hayots Achkhar- quotidien proche du gouvernement, tirage- 3500 exemplaires ; Azg- quotidien proche du gouvernement, tirage- 3000 exem-plaires ; Haykakan Jamanak- quotidien proche de l’opposition, tirage-7810 exemplaires ; Aravot- quotidien proche de l’opposition, tirage- 2718 exem-

plaires ; Jamanak- quotidien proche de l’opposition, tirage- 3200 exem-plaires ; Golos Arménii- trihebdomadaire en langue russe proche du gou-vernement, tirage- 3425 exemplaires ; Novoyé Vrémiatrihebdomadaire en langue russe proche du gouvernement, tirage- 5 000 exemplaires ; 168 Jam- trihebdomadaire proche de l’opposition, tirage- 5000 exemplaires ; Chorrord Ishkhanoutioun- trihebdomadaire proche de l’opposition, tirage-5300 exemplaires ; Respoublika Arméniabihebdomadaire, journal officiel en langue russe, tirage- 1500 exemplaires

Réalisée à partir de publications arméniennes d’origines diverses parues au cours d’une journée définie, la présente revue de presse est un docu-ment de travail : il n’exprime en aucun c as les points de vue du gouverne-ment français sur les sujets abordés.


http://www.ambafrance-am.org/france_armenie/IMG/pdf/20100623.pdf

GENOCIDE ARMENIEN

USASchiff reprend sa campagne pour une reconnais-sance par le Congrès du génocide arménienjeudi24 juin 2010, par Stéphane/armenews

Le Représentant Adam Schiff (D-CA) a commencé à faire circuler une lettre à ses collègues, pressant les Membres de la Chambre de co-signer la réso-lution 252 reconnaissant le génocide arménien.

"Depuis trop longtemps, les Etats-Unis ont été d’accord avec l’intimidation de la Turquie et les efforts de reconnaître les victimes du génocide ont échoué" a dit le Représentant Schiff dans la lettre. “ La préservation des liens bilatéraux a remplacé notre devoir moral de perpétuer et honorer ceux qui sont morts et consoler leurs descendants qui craignent que le premier génocide du vingtième siècle soit perdu dans l’histoire. ”

Actuellement, 143 membres ont signé la résolution pour honorer les vic-times du Génocide arménien.


http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62011



http://www.ambafrance-am.org/france_armenie/IMG/pdf/20100623.pdf


HAUT-KARABAKH

Appel presse européennemercredi 23 juin 2010

Laurence Ritter, journaliste pour Les Nouvelles d’Arménie, correspondante de RFI et de TV5

Par Jean-François Cadet

Des soldats azéris ont pénétré au-delà de la ligne de front entre l’Azer-baidjan et le Haut-Karabagh dans la nuit du 18 juin au 19 juin 2010 jus-qu’aux positions arméniennes. Les tirs sont fréquents le long de cette ligne de front mais elle n’avait jamais été franchie jusqu’alors. 4 soldats arméniens sont morts.

La classe politique a commenté cette incursion comme une agression gra-tuite de la part de Bakou qui fragiliserait les pourparlers de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie. Les commentateurs, comme la population, sont dubitatifs alors même que les présidents des parties respectives s’étaient rencontrés la veille même de l’attaque à Saint-Pétersbourg pour réaffirmer leur engagement dans un processus de paix.


http://www.rfi.fr/emission/20100623-laurence-ritter-journaliste-nouvelles-armenie-correspondante-rfi-tv5

Les noms des militaires tués rendus publicsjeudi24 juin 2010, par Stéphane/armenews

L’Armée de la Défense du Karabagh a annoncé les noms des militaires tués suite au combat sur la ligne de contact entre les forces armées du Nagorno Karabakh et l’Azerbaïdjan. Parmi les victimes se trouve le sergent cadet Mnatsakan Gasparyan, des soldats Araik Barseghyan, Edouard Ma-nukyan et Paruyr Melkonyan.

Le sergent Cadet Garik Matevosyan, les soldats Galust Badasyan, Andranik Arzumanyan et Harutyun Mesropyan ont été blessés.

Le 18 juin, à 23h30, un groupe de reconnaissance armé est entré sur le




territoire du Nagorno Karabakh en provenance de l’Azerbaïdjan.

Les azéris ont réussi à pénétrer dans la partie nord-est de la ligne de contact entre les Forces armées du Nagorno Karabakh et l’Azerbaïdjan.



Sarkissian exhorte l’Occident à reconsidérer le rôle de l’Iranjeudi24 juin 2010, par Marion/armenews

Le président Serge Sarkissian a exhorté les puissances occidentales à res-pecter les intérêts géopolitiques de l’Iran dans le Caucase du Sud et a pré-senté les projets économiques irano-arméniens comme un modèle de co-opération régionale.

Mardi 22 juin, lors de sa visite en Allemagne, Sarkissian a affirmé que les projets d’énergie soutenus par l’Occident avec l’Azerbaïdjan et qui ex-cluent l’Arménie, ne font que compliquer une résolution pacifique du conflit du Nagorno-Karabakh.

« Je me rends compte qu’à lumière des sanctions imposées à l’Iran, cer-taines personnes traitent mon approche avec scepticisme, mais je suis convaincu que c’est mal et impossible d’ignorer l’Iran dans le cadre de so-lutions régionales. »

Sarkissian n’a pas précisé quel rôle concret l’Iran doit jouer dans la sécuri-té régionale. Le président arménien a ainsi fait valoir les projets de plu-sieurs millions de dollars de l’Arménie avec l’Iran.

Entre autres, le projet de construction d’une ligne de chemin de fer entrre l’Arménie et l’Iran et la modernisation des principales autoroutes de l’Ar-ménie à la frontière iranienne.

« En reliant la mer Noire au golfe persique et à l’océan Indien, ces projets d’infrastructures pourraient avoir une signification véritablement révolu-tionnaire en termes de voies de communication », a-t-il déclaré.

Sarkisian a en revanche mis en garde contre les pipelines transportant du pétrole et du gaz d’Azerbaïdjan vers les marchés internationaux à travers la Géorgie et la Turquie.



Il a assuré que les recettes exceptionnelles résultant de ce commerce ont seulement permis à l’Azerbaïdjan de s’engager dans une escalade mili-taire, ce qui augmente la probabilité d’une nouvelle guerre dans le Haut-Karabakh.

« Qu’est-ce qu’ont apporté ces projets à la région ? Le renforcement des frontières, la course à l’armement, l’augmentation de la rhétorique belli-queuse. Etait-ce cela qui était prévu dans le cadre du plan pour la “sécuri-té et la prospérité” ? »

« Les voies de communication pour le pétrole et les gazoducs ne fonction-nant que de l’Est vers l’Ouest, ne peuvent garantir à elles seules la stabili-té, la sécurité et la prospérité de la région », a-t-il ajouté.

Sarkissian a également critiqué l’Azerbaïdjan pour avoir rejeté toute co-opération économique avec l’Arménie avant une résolution du conflit du Karabakh.

Il a déclaré que « le processus d’intégration économique » impliquant tous les Etats de la région faciliterait grandement un règlement du Karabakh.

Reprinted with permission from RFE/RL Copyright(c)2007 Radio Free Europe / Radio Liberty, Inc.1201 Connecticut Ave, t N.W. Washington DC 200



USA

USA: la Cour suprême valide une large acception des lois anti-terroristesWASHINGTON - La Cour suprême des Etats-Unis a validé lundi une large acception possible des réalités recouvertes par l'accusation de "soutien matériel au terrorisme", très utilisée aux Etats-Unis depuis le 11-Sep-tembre, comme le lui demandait l'administration Obama.

Dans une décision à six voix contre trois, la plus haute juridiction des Etats-Unis a donné raison au gouvernement américain qui conserve ainsi une marge de manoeuvre très large pour poursuivre des personnes soup-çonnées de terrorisme, même avec très peu d'éléments à charge.



La Cour a estimé que Humanitarian law Project (HLP), une association de défense des droits de l'homme pouvait être poursuivie pour soutien maté-riel au terrorisme quand elle formait des cadres du PKK (parti kurde en Turquie) ou des LTTE (Tigres tamouls au Sri Lanka), deux organisations identifiées comme terroristes par le département d'Etat américain, à la ré-solution pacifique de conflits ou au respect des droits de l'homme.

Le HLP argumentait que son intervention auprès de ces organisations rele-vait de la liberté d'expression et de la liberté d'association garanties par la Constitution.

"Il est hautement prévisible que le PKK utilise les compétences que (HLP) propose de lui transmettre afin d'élargir sa stratégie pour promouvoir le terrorisme", conteste la Cour. "Le PKK pourrait par exemple engager des discussions de paix afin, à court terme, de se rétablir après avoir enregis-tré des revers (...)", ajoute-t-elle.

Créée en 1996, la notion de "soutien matériel" a été renforcée dans le Pa-triot Act, batterie législative votée par le Congrès dans la foulée des atten-tats du 11 Septembre 2001, puis encore remodelée par amendement en 2004.

Elle permet en général de poursuivre ceux qui ont par exemple participé à des repérages avant des attentats ou qui ont récolté des fonds pour les or-ganiser. Ici, le HLP contestait l'ajout des notions de "formation", d'"exper-tise" ou de "service", qu'une cour d'appel a reconnu être "approxima-tives".

Devenue un outil crucial pour les procureurs, elle a permis depuis dix ans de juger environ 150 personnes aux Etats-Unis et d'obtenir une soixan-taine de condamnations, allant jusqu'à la perpétuité.

Sur le fond, estime la Cour suprême, HLP "conteste le jugement du Congrès et de l'exécutif selon lequel fournir un soutien matériel à une or-ganisation identifiée comme terroriste - même ce qui semble être un sou-tien inoffensif - encourage les activités terroristes de ces organisations". Mais il a tort, poursuit-elle, "étant donné les enjeux en termes de sécurité nationale et de politique étrangère".

De plus, les formations et conseils du HLP au PPK et au LTTE "aident à confèrer une légitimité à ces groupes terroristes, légitimité qui facilite leur tache pour poursuivre leurs activités, recruter et obtenir des financements afin d'organiser des attentats".

(©AFP / 21 juin 2010 19h38)

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45346http://www.romandie.com/infos/news2/100621173804.wk4xu21e.asp

FRANCE

Clermont-Ferrand : Contre l'expulsion de sans-pa-piersLutte Ouvrière n°2186 du 25 juin 2010

Deux adolescents d'origine arménienne, scolarisés au collège Albert-Ca-mus de Clermont-Ferrand, sont menacés d'expulsion, ainsi que leurs pa-rents. Les réactions de soutien se multiplient, pour tenter de faire reculer le préfet et leur permettre de rester en France.

Il y a une vingtaine d'années, les parents ont fui l'Arménie alors en guerre contre l'Azerbaïdjan, d'où est originaire l'épouse. Ils sont allés en Russie d'où ils ont été expulsés après y avoir vécu une vingtaine d'années. Venus en France, « le pays des droits de l'homme » croyaient-ils, et installés à Clermont-Ferrand, ils ont déposé une demande d'asile ; la préfecture a re-fusé et fin avril, ils ont reçu l'ordre de quitter le territoire.

Ne sachant pas où aller, interdits de séjour en Russie et en Arménie, ils souhaitent rester ici où leurs deux enfants se sont très bien intégrés et ont appris le français en quelques mois. Aidés par le Réseau Éducation Sans Frontières et un comité de soutien, la famille a adressé un recours au tri-bunal administratif pour pouvoir rester en France.

Les élèves et les enseignants du collège se sont fortement mobilisés avec réunions, pétition, manifestation en ville, appel aux médias. Presse et télé-vision régionales ont largement fait écho à cette affaire. Jeudi 17 juin, les enseignants de l'établissement étaient quasiment tous en grève et ont dé-filé sous une pluie battante pour dire non à l'expulsion, en portant une banderole au style percutant, faisant allusion au titre d'un ouvrage de Ca-mus : « Collège Albert-Camus : Un homme révolté. Un collège aussi. »

Samedi 19 juin, trois cents manifestants rassemblés d'abord devant la pré-fecture, ont à nouveau défilé sous la pluie au centre ville. La colère se ma-nifeste contre la politique de Sarkozy et du gouvernement, et contre le préfet de la région Auvergne, particulièrement zélé, ancien directeur de cabinet du ministre Hortefeux. Selon les associations de soutien aux sans-papiers, il aurait fait expulser quatorze personnes en une dizaine de jours ! La mobilisation se maintient, et une nouvelle manifestation était prévue

http://www.romandie.com/infos/news2/100621173804.wk4xu21e.asp


mercredi 23 juin, devant la préfecture, pour empêcher les expulsions.

Correspondant LO


http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2186&id=24

UE/TURQUIE

L'info vue par la TRT (2)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas

commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

Reproche du Premier ministre Erdoğan à l’UE

M. Erdoğan a reproché à certains pays d'Europe ne na pas avoir soutenu suffisamment la Turquie

Posted 23.06.2010 18:14:40 UTC Updated 23.06.2010 18:14:40 UTC

Le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a déclaré que certains pays d'Europe n'ont pas donné le soutien nécessaire à la Turquie au sujet de la lutte anti-terreur.

" Ils ne coupent pas le flux financier de l'organisation terroriste en Europe, ne nous extradent pas les membres de l'organisation qu'ils capturent. An-noncer que le PKK est une organisation terroriste, n'est pas suffisant." a déclaré M. Erdoğan.

" La sécurité des Balkans commence par Hakkari, Şemdinli " a ajouté le Premier ministre Eroğan en appelant à la lutte commune contre le terro-risme.

Le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a offert un dinner en l'honneur des leaders se trouvant à Istanbul pour le sommet des pays d'Europe du sud-orientale.

Critiquant lors de son discours tenu lors du dinner, que la Turquie ne soit pas soutenue dans la lutte anti-terreur, M. Erdoğan a poursuivi en ces

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2186&id=24


termes : "malgré tous les malheurs vécus, les pays d'Europe ne coupent toujours pas le flux financier de l'organisation terroriste PKK. ".


http://www.trtfrench.com/trtinternational/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=1b9cf9b2-257b-45c0-94a2-e4a835336aa0

L'info vue par la TRT (3)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-

vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

La présidence espagnole a annoncé que les négociations pour-raient être lancées

Un nouveau chapitre dans le processus d'adhésion de la Turquie à l'UE pourrait être ouvert


La présidence espagnole de l'Union européenne a annoncé que les négo-ciations pourraient être lancées la semaine prochaine, sur un nouveau chapitre dans le processus d'adhésion de la Turquie à l'UE.

La présidence de l'UE exercée depuis 6 mois par l'Espagne et qui sera re-mise à la Belgique le 1er juillet, a été discutée lors des entretiens au parle-ment.

Le Premier ministre espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a réitéré l'ap-pui de l'Espagne à l'adhésion de la Turquie à l'UE.

"Malgré les facteurs négatifs conditionnant les négociations, un nouveau chapitre pourrait être ouvert la semaine à venir" a dit M. Zapatero au sujet de l'ouverture de nouveaux chapitres de négociations.

L'Espagne s'était engagée au début de sa présidence européenne à lancer les négociations avec la Turquie sur 3 ou 4 chapitres.






http://www.trtfrench.com/trtinternational/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=3cc6e12f-035c-438f-8da6-25dfb69605ee

Lutte/terrorisme: l'UE n'en fait pas assezAFP 23/06/2010 | Mise à jour : 15:05

Le Premier ministre turc a reproché aujourd'hui à certains pays européens de ne pas aider suffisamment la Turquie dans sa lutte contre les rebelles kurdes, les accusant de ne pas extrader les militants réclamés et de ne pas couper pas leurs sources de financement.

"Malheureusement, certains Etats européens n'ont pas fourni le soutien nécessaire à la Turquie dans sa lutte de longue haleine contre le terro-risme", a déploré Recep Tayyip Erdogan lors d'un sommet régional, sans citer nommément un ou plusieurs pays.

Il s'exprimait lors d'un sommet de 12 pays de l'Europe du Sud-Est, à Istan-bul. M. Erdogan a affirmé que l'organisation séparatiste kurde du Parti des tra-vailleurs du Kurdistan (PKK), considérée comme une structure terroriste par Ankara et l'Union européenne, constituait aussi bien une menace pour son pays que pour ceux de l'Europe.

La Turquie exhorte ainsi depuis des années le Danemark à interdire une chaîne de télévision kurde, Roj TV, qui émet de son territoire et qu'elle considère comme un porte-voix du PKK.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/23/97001-20100623FILWWW00534-lutteterrorisme-l-ue-n-en-fait-pas-assez.php

Wilfried Martens : "La Turquie est le point de ren-contre entre l’Orient et l’Occident"Le Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Za-

man (équivalent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP).






Evoquant les promesses non-tenues faites à la Turquie par l’UE, Wilfried Martens, chef de file des Chrétiens-démocrates flamands au Parlement eu-ropéen s’est confié à Zaman lors de sa visite en Turquie à l’occasion du sommet TUSKON.

L’ancien Premier ministre belge a déclaré qu’il existait un changement de direction dans la politique internationale de la Turquie ces derniers temps. Il partage la vision du président américain selon laquelle la Turquie est le point de rencontre entre l’Orient et l’Occident et il a également affirmé que les relations qu’entretenait la Turquie avec ses voisins n’allaient pas à l’encontre de son entrée dans l’UE. Selon lui, la poursuite des efforts du Premier ministre turc dans ce sens ne font pas de doute. Enfin, il a expri-mé son désaccord quant à la commission d’enquête internationale d’Is-raël, ainsi que concernant l’idée de "partenariat privilégié".

Commençons par le point le plus sensible : la Turquie a-t-elle changé de direction concernant sa politique internationale ?

Je soutiens la déclaration qu’a faite Obama au Parlement turc l’année der-nière, la Turquie est le point de rencontre entre l’Orient et l’Occident et elle est au centre de beaucoup de choses. Je suis tout à fait d’accord avec cela. Le ministre des Affaires étrangères déclarait ce matin que l’Union eu-ropéenne ne devait pas être vue absolument comme une alternative. Mais je m’interroge tout de même sur la véracité de votre politique européenne et sur vos relations avec les pays voisins pour savoir si elles sont ou non en contradiction avec l’Union européenne.

Et vous, pensez-vous qu’il y a un changement de politique ?

Non. Vous, vous avez des relations avec vos voisins et l’Union européenne a ses politiques régionales. Ces politiques régionales ne veulent pas dire que l’UE rejette la candidature de la Turquie.

Le ministre de la Défense américain Gates a reproché à l’UE d’éloigner la Turquie de l’Occident à la suite du raid israélien contre le Mavi Marmara. Etes-vous d’accord ?

Non, l’UE entretient de très bonnes relations tant avec la Turquie qu’avec Israël et les relations entre ces deux pays n’ont aucun lien avec les rela-tions qu’elles ont avec l’UE. Les pays de l’Union ont des idées différentes sur la Turquie, mais considérer que ces idées sont à l’origine de l’éloigne-ment de la Turquie de l’UE serait faux.

La Turquie est dans le processus d’adhésion depuis 1963 (date de l’Accord d’association CEE-Turquie). Il ne faut pas oublier que pour signer cet ac-cord, Konrad Adenauer s’est rendu à Ankara. Même s’il y a des avis très

différents sur l’aboutissement de ce processus, tous les avis convergent vers l’idée d’une relation très proche avec la Turquie. Le débat ne concerne en fait que le résultat du processus : une adhésion complète ou un autre type de relation ?

Le refus de la part de l’UE ne serait-il pas un risque que la Turquie se tourne vers l’Orient ?

Ce serait un résultat tragique car tous les pays de l’UE sont pour des liens étroits avec la Turquie.

Que pensez-vous vous de cette adhésion ?

Le Parti populaire européen est pour une coopération privilégiée. La Tur-quie va réaliser des réformes et va il se créer un climat de confiance. Il est vrai que s’il y avait un referendum aujourd’hui beaucoup de pays adhé-rents seraient défavorables à l’adhésion. Je pense que nous devons tra-vailler à changer l’opinion publique.

L’UE n’a-t-elle pas promis à l’unanimité l’adhésion en 2002?

Oui, mais il s’agissait d’un accord, ce n’était pas une décision, c’était une promesse. Comme je le dis, ceux qui ont fait cette promesse doivent s’y tenir. Mais la plupart des leaders de l’époque ne sont plus au pouvoir maintenant.

Le Groupe des Sages créé à l’initiative de Nicolas Sarkozy était aussi en fa-veur de l’adhésion…

Oui, mais ils ne sont plus au pouvoir. Helmut Kohl m’avait dit qu’ils l’avaient promis mais qu’ils n’avaient pas pu réaliser le projet. L’on doit te-nir les promesses mais nous sommes aussi confrontés au problème de l’opinion publique.

Quelle est votre réaction quant au raid israélien contre le bateau turc ?

J’étais en Egypte à ce moment, lorsque nous avons eu la nouvelle nous avons exprimé notre indignation. Il faut rapidement mettre en place une enquête qui révélera la vérité sur cet événement. Il est temps pour l’UE de prendre une position pour le règne de la paix et la stabilité dans la région. J’ai également déclaré à ce moment qu’il était nécessaire de lever le blo-cus de Gaza car celui-ci est illégal. Je pense que c’est le moment idéal pour que l’UE prenne une décision par rapport à l’événement.

La Turquie demande une commission d’enquête internationale, mais Israël refuse. Quelle forme doit avoir cette enquête ?

Nous voulons une enquête fiable. Pour qu’elle soit fiable elle doit évidem-ment être internationale. Elle doit être indépendante et fiable.

La Turquie attend aussi des excuses…

Si l’enquête reconnait la responsabilité d’Israël alors oui, elle aura des ex-cuses. Comme je l’ai dit précédemment, cet événement qui a eu lieu dans les eaux internationales doit être condamné.

Dans votre livre Parole donnée quel est le message pour la Turquie concernant l’adhésion à l’UE ? "Continue" ou "abandonne" ?

Evidemment que la Turquie doit poursuivre ses efforts et réussir. La Tur-quie doit finir de mener à terme ses réformes et poursuivre sa perspective de l’UE.

Cela veut donc dire que le fait que la Turquie soit un pays musulman ne posera pas problème ?

Non, non et non.

Que pensez-vous des efforts de la Turquie concernant l’affaire Ergenekon dont l’équivalent est Gladio en Europe ?

Lors de mon mandat de Premier ministre, j’ai été confronté à la même si-tuation en Belgique. Peut-être était-elle moins grave que la vôtre. Cette affaire a impliqué plusieurs soldats de première classe, une partie d’entre eux doit être en prison maintenant. Ce genre d’événement ne m’est pas étranger.

Et vous qu’avez-vous fait lorsque vous avez pris connaissance de l’exis-tence de l’organisation ?

J’ai dû faire une déclaration en tant que Premier ministre. J’ai annoncé à l’opinion publique que ce réseau existait et que nous avions mis fin à ses activités.

Auriez-vous alors un conseil à donner à M. Erdogan à ce sujet ?

D’après ce que je sais le sujet a été porté en jugement en Turquie. Le sujet relève du tribunal à présent.

24.06.2010


http://fr.zaman.com.tr/fr/newsDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=4186

TURQUIE/OSCE

L'OSCE dénonce des restrictions pesant sur internet en TurquieAFP le 23 Juin 2010

Vienne - L'OSCE a annoncé mardi qu'elle avait écrit au gouvernement turc pour le presser de lever les restrictions qui pèsent en Turquie sur des sites internet comme YouTube, et de réformer une législation rigide qui entrave l'accès à internet.

"Je suis alarmée par la décision de la Présidence turque aux télécommuni-cations de bloquer l'accès à des dizaines d'adresses IP liées aux services de Youtube et de Google", a écrit la représentante de l'Organisation pour la coopération et la sécurité en Europe (OSCE) pour la liberté des médias, Dunja Mijatovic, au ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu.

"Je demande aux autorités turques de mettre fin aux blocages qui em-pêchent les citoyens de participer à la société de l'information (que nous connaissons) aujourd'hui", a-t-elle précisé dans un communiqué.

Ces restrictions, imposées plus tôt ce mois-ci, seraient la conséquence d'un différend financier entre Google et les autorités turques.

Mijatovic a également prôné la "réforme nécessaire" de ce qu'Ankara ap-pelle la Loi internet, jugeant qu'elle "limite considérablement la liberté d'expression, et restreint gravement le droit des citoyens à accéder à l'in-formation".

Ces entraves à internet n'ont rien de nouveau, a-t-elle déploré, notant que plus de 5.000 sites web ont été bloqués en Turquie ces deux dernières an-nées.

Il s'agit là d'un "inquiétant indicateur, qui montre qu'au lieu d'autoriser le




libre accès à internet, les nouvelles mesures qui émergent peuvent res-treindre la libre circulation de l'information dans le pays", a-t-elle ajouté.

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45337http://www.emarrakech.info/L-OSCE-denonce-des-restrictions-pesant-sur-internet-en-Turquie_a39403.html

EUROPE DU SUD-EST

Ouverture à Istanbul d'un sommet de coopération ré-gionale de l'Europe du Sud-Est

Mise à jour 24.06.2010 07h56

Les dirigeants de 11 pays d'Europe du Sud-Est ont entamé mercredi à Is-tanbul, en Turquie, un sommet de coopération régionale visant à renforcer la coopération régionale.

Le président turc Abdullah Gul, qui a présidé la réunion du Processus de coopération de l'Europe du Sud-Est (Southeast European Cooperation Pro-cess, SEECP) au Palais de Ciragan, a indiqué que des pays de la région avaient enregistré des avancées sur la voie menant à l'intégration de l'Eu-rope.

Lors de la session d'ouverture du sommet, l'adhésion de la Slovaquie à l'organisation a été approuvée. Le président slovaque Danilo Tuerk a dé-claré que son pays s'engageait à coopérer avec d'autres pays de la région.

Parmi les autres chefs d'Etat présents au sommet figurent le président al-banais Bamir Topi, le président croate Ivo Josipovic, le président bulgare Georgi Parvanov et le président de Monténégro, Filip Vujanovic.

Le Premier ministre grec George Papandreou et son homologue macédo-nien, Nikola Gruevski, ont également participé au sommet.

Le président turc a indiqué dans son discours d'ouverture que cette région des Balkans constituait une partie inaliénable de l'Europe, ajoutant que la Turquie était déterminée à "couronner" les valeurs communes qu'elle par-tage avec les pays des Balkans en vue son adhésion à l'Union européenne.

"Nous considérons l'UE comme un ensemble de valeurs et un projet de ci-

http://www.emarrakech.info/L-OSCE-denonce-des-restrictions-pesant-sur-internet-en-Turquie_a39403.html

http://www.emarrakech.info/L-OSCE-denonce-des-restrictions-pesant-sur-internet-en-Turquie_a39403.html


vilisation. Je suis sûr que nos chemins se croiseront sous le parapluie de l'Union européenne. Et nous sommes déterminés à nous approcher de cet objectif", a-t-il souligné.

Les dirigeants de la région ont échangé des points de vue sur les princi-paux sujets concernant la coopération régionale dans les domaines de la sécurité, de la stabilité, de la démocratie, du respect du droit, de la lutte contre le crime organisé et des relations de bon voisinage.

Des représentants venus des Etats-Unis et de la Russie, ainsi que Stephan Fule, commissaire eurpéen à l'élargissement et à la politique de voisinage, et des fonctionnaires de l'UNESCO et de l'Organisation de coopération de la Mer noire, sont également présents au sommet.

Source: xinhua


http://french.peopledaily.com.cn/International/7037678.html

L'info vue par la TRT (1)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-

vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

SEECP : Le président Gül a fait appel aux pays balkaniques

« Nos routes vont se croiser sous le parapluie de l’UE »


Le Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement du Processus de coopé-ration en Europe du Sud-Est (SEECP) s’est tenu à Istanbul.

Lors de son allocution d’ouverture, le président Abdullah Gül a déclaré considérer l’Union européenne en étant un agencement de valeurs et un projet de civilisation en faisant appel aux pays balkaniques en ces termes : « Les routes de nous tous vont se croiser sous le parapluie de l’Union euro-péenne, nous en sommes certain ».

http://french.peopledaily.com.cn/International/7037678.html


Le président Abdullah Gül a affirmé la nécessité d’entreprendre des tra-vaux de longues haleine pour résoudre les conflits dans les Balkans en vue de ne pas les laisser aux générations à venir.

Signalant la prééminence de faire de nouveau des Balkans un berceau de tolérance et d’entente réciproque, M. Abdullah Gül a relevé : “En réalité nous devons prouver que nous sommes le cœur et pas le pourtour de l’Eu-rope”.

M. Gül a souligné la possibilité de résoudre les conflits par l’intermédiaire du dialogue en demandant que le Kosovo fasse partie de la coopération régionale.

Le Chef d’Etat a fait aussi appel à la coopération internationale pour lutter contre la terreur.

Les dirigeants des pays membres ont évalué la situation générale régio-nale en attirant l’attention sur l’importance de la coopération en vue de rendre durable la stabilité dans la géographie des Balkans.

Les leaders ont également relaté que la crise économique européenne avait aussi affecté les pays de la région et ont réclamé la mise en applica-tion au plutôt des mécanismes pour établir les bases solides de la coopé-ration.

Entre temps, la présidence en exercice du Processus de coopération en Europe du Sud-Est est passée de la Turquie au Monténégro, qui a pris la releve.

A l’ouverture du Sommet, l’intégration de la Slovénie au Processus a été soumise au vote.

Le nombre des pays membres est passé ainsi à douze.

Au Processus de coopération en Europe du Sud-Est, fondé sur l’initiative de la Turquie en 1996, sont adhérés auprès de la Turquie, l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, la Bulgarie, la Macédoine, la Roumanie, la Serbie, la Grèce, la Croatie, la Moldavie, le Monténégro et également la Slovénie.

Dans le cadre du Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement du Proces-sus de coopération en Europe du Sud-Est, se tient la « 8ème édition du Fo-rum du Sommet des Corridors culturels du Sud-Est européen » sous l’égide de l’Unesco et du Conseil de l’Europe et sous les auspices du président Ab-dullah Gül dans l’après-midi à Istanbul.


http://www.trtfrench.com/trtinternational/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=7d8c6113-ad23-46ba-ae4b-9acae50810a2&title=SEECP%20:%20%20Le%20pr%C3%A9sident%20G%C3%BCl%20a%20fait%20ap-pel%20aux%20pays%20balkaniques

L'avenir de l'Europe du Sud-Est est dans l'Union eu-ropéenneJeudi 24/06/2010

L'avenir de l'Europe du Sud-Est est dans l'Union européenne (UE), a décla-ré le premier ministre, Georges Papandréou, s'adressant mercredi à la ren-contre au sommet des pays de la Coopération interbalkanique, dont les travaux se sont ouverts à Istanbul la veille.

"Je souhaiterais réitérer la nécessité d'une nouvelle dynamique dans la procédure d'adhésion (à l'UE), car notre message est que l'avenir de la ré-gion de l'Europe du Sud-Est se trouve dans l'Union européenne", a affirmé M. Papandréou, notant que la Grèce soutient tout particulièrement l'op-tique européenne de la Turquie.

M. Papandréou a observé par ailleurs que depuis 9 mois, les relations entre l'UE et les Balkans sont placées très haut à l'agenda des instances européennes, se félicitant de ce fait très positif, a-t-il dit, puis se référant aux tout récents contacts à haut niveau, notamment à Sarajevo.

"L'UE, a poursuivi le premier ministre, a affirmé son attachement à l'op-tique européenne des pays balkaniques, et naturellement la voie vers l'UE est une voie pleine de défis, une Odyssée difficile vers Ithaque".

M. Papandréou a d'autre part évoqué des questions spécifiques aux Bal-kans, telles que la suppression des visas facilitant la marche européenne, mais aussi les relations entre pays de la région.

"L'héritage de la Guerre froide nous a maintenu divisés, les nombreuses années d'antagonismes nationaux, en particulier au siècle dernier, l'ab-sence de respect tant des frontières que des minorités, ont démantelé les Balkans et nous a fait de plus apparaître comme des pantins face aux grandes puissances mondiales, le mot +balkanisation+ s'identifiant alors avec désagrégation".

Concluant, M. Papandréou a relevé que "aujourd'hui, nous nous dirigeons

http://www.trtfrench.com/trtinternational/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=7d8c6113-ad23-46ba-ae4b-9acae50810a2&title=SEECP%20:%20%20Le%20pr%C3%A9sident%20G%C3%BCl%20a%20fait%20appel%20aux%20pays%20balkaniques




vers l'intégration, et c'est pourquoi la famille européenne et l'UE a une telle importance, puisque créant un cadre sûr pour l'adhésion et un vrai plan de paix pour la région. Ceci est tout l'enjeu de l'Initiative pour 2014".

Papandréou s'entretient avec son homologue turc à Istanbul

Le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a mis en relief le resser-rement encore plus poussé des relations gréco-turques, lors de sa ren-contre mercredi à Istanbul, avec son homologue grec, Georges Papan-dréou, insistant notamment sur l'importance de l'application des accords signés lors de sa récente visite à Athènes et la mise en valeur des capaci-tés et opportunités économiques qui se présentent.

A l'issue de la rencontre, M. Papandréou a informé de son côté avoir discu-té avec M. Erdogan, entre autres aussi, des derniers développements au-tour de la question de l'embargo israélien sur Gaza et avoir eu l'occasion de présenter à son homologue turc les décisions prises à l'unanimité par l'Internationale socialiste (IS), au sein de laquelle sont représentés à la fois les Israéliens et les Palestiniens.

M. Erdogan a fait part en outre de l'inquiétude que crée en Turquie la nou-velle reprise de violences avec les attaques du PKK et les attentats à la bombe dans de grandes villes de Turquie.

Par ailleurs, M. Erdogan a assuré M. Papandréou que la Turquie appliquera la récente décision de la Cour européenne des droits de l'Homme et resti-tuera au Patriarcat oecuménique le bâtiment historique de l'orphelinat de Prinkipos. M. Erdogan confirme ainsi une annonce qu’il avait faite en août dernier que la Turquie respecterait la décision de la Cour.

Notons enfin que M. Papandréou a eu mercredi, en marge des travaux du Sommet des pays du Sud-Est de l'Europe, une brève entrevue avec le pré-sident de la FYROM, Nikola Gruevski.

Papandréou s'entretient avec le président turc M. Gul à Istanbul

Le premier ministre, Georges Papandréou, a rencontré le président turc, Abdullah Gul, peu après son arrivée mercredi matin à Istanbul, où il assiste au Sommet du Processus de Coopération de l'Europe du Sud-Est (SEECP).

M. Gul, qui a demandé le renforcement de la coopération avec la Grèce, a souligné l'importance de tout ce qui a été convenu à Athènes lors de la vi-site du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, se félicitant à ce point des très bonnes relations qui existent déjà entre hommes d'affaires des deux pays et de la très bonne coopération bilatérale dans la construc-tion d'infrastructures énergétiques.

M. Gul a salué le gouvernement grec pour l'assistance qu'il apporte à la Turquie dans sa marche européenne et fait part de la volonté de la Tur-quie d'en faire de même, de quelque façon que ce soit, pour que la Grèce s'en sorte de la crise économique.

La Turquie a fait face à des problèmes semblables, voire même plus diffi-ciles, parce qu'elle n'avait pas de soutien européen en 2001, mais elle a réussi à les surmonter, a expliqué M. Gul, se déclarant convaincu que la Grèce réglera très rapidement ses problèmes.

Enfin, M. Gul a souligné l'importance qu'ont l'information pour l'opinion pu-blique et l'explication de la marche des relations des deux pays.

En provenance de New York, M. Papandréou et la délégation grecque ont été accueillis par le représentant du premier ministre turc, l'ambassadeur de Turquie à Athènes, Mehmet Hassan Gogus, et l'ambassadeur de Grèce en Turquie, Fotis Xidas, ainsi que par le consul général de Grèce à Istan-bul, Vassilis Bornovas.


http://web.ana-mpa.gr/anafrench/articleview1.php?id=10718

DROITS DE L’HOMME

Refuser le négationnisme, respecter la liberté des historiensCommuniqué LDH

La Ligue des droits de l’Homme apporte son soutien à l’universitaire Karo-line Postel-Vinay, spécialiste du Japon, directrice de recherche au labora-toire Sciences-Po/CNRS, assignée en diffamation par la fondation franco-ja-ponaise Sasakawa.

Elle avait rappelé, en décembre 2008, en même temps qu’une cinquan-taine de chercheurs, quelques vérités historiques sur le rôle de Ryôichi Sa-sakawa, accusé comme criminel de guerre devant le Tribunal international de Tokyo et bien connu pour son rôle dans la politique expansionniste du Japon des années 1930 à 1945, et pour ses liens avec la mafia.

Ryôichi Sasakawa a été arrêté en 1945 par les Américains et mis en accu-sation comme criminel de guerre de classe A devant le Tribunal internatio-nal de Tokyo pour crimes contre la paix, en vertu de l’article 6 alinéa « a »

http://web.ana-mpa.gr/anafrench/articleview1.php?id=10718


de la Charte des tribunaux militaires internationaux de Nuremberg et To-kyo, sur la base duquel ont été jugés, entre autres, Goering, Keitel, Rosen-berg et Ribbentrop. Avant sa mort en 1995, Sasakawa avait créé une fon-dation qui dispense des fonds sur toute la planète tout en encourageant le négationnisme des crimes de guerre commis par le Japon en Asie, en parti-culier du massacre de Nankin, notamment par la distribution d’un ouvrage en anglais niant la réalité de ce massacre.

Karoline Postel-Vinay est assignée en justice pour avoir initié une pétition collective, adressée au ministère français des Affaires étrangères, lui de-mandant de retirer son patronage au colloque marquant les 150 ans de l’établissement des relations diplomatiques franco-japonaises, qui devait se tenir le 18 décembre 2008, à Paris, avec comme principal partenaire la fondation Sasakawa. Cette démarche a amené le ministère à retirer toute participation qui l’aurait amené à apparaître garant d’une opération de ré-vision de l’histoire.

La Ligue des droits de l’Homme exprime son attachement à la liberté d’ex-pression des historiens et des chercheurs, et son soutien à cette universi-taire et à tous ses collègues qui se sont indignés des poursuites engagées contre elle.

Paris, le 9 juin 2010.


http://www.ldh-france.org/Refuser-le-negationnisme-respecter

TURQUIE

D’Istanbul à Kars L'Ekspres du peupleLe Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Za-


Alors que le TGV turc devrait bientôt permettre aux cadres stambouliotes de rejoindre la capitale en un temps record, le Dogu Ekspresi rassemble couches populaires et routards dans une magnifique et nonchalante tra-versée de l'Anatolie. D'Istanbul à Kars, travelling ferroviaire à travers une Turquie de la débrouille qui fait, elle aussi, face à la crise économique.

Tout commence dans la majestueuse gare d'Haydarpasha posée sur un polder à l'entrée du Bosphore. 8 h du matin, comme chaque jour, le Dogu

http://www.ldh-france.org/Refuser-le-negationnisme-respecter


Ekspresi (l'Express de l'Est) s'élance pour un long voyage de 1.900 km. C'est une des lignes historiques de la compagnie turque des chemins de fer qui symbolise l'unité du territoire.

Le train relie les deux extrémités du pays : Istanbul et Kars. Deux anti-podes tout autant géographiques que sociaux et culturels. Le départ est ponctuel mais nous sommes prévenus d'avance, les horaires inscrits sur les panneaux ne sont que purement indicatifs. L'arrivée est prévue pour le lendemain soir.

Peu de passagers, à l'exception de quelques routards en transit vers le Caucase, font le trajet dans son intégralité. Au prix de 75 TL (35€), le billet de train en cou-chette pour Kars est abordable mais la concurrence de l'avion (35€ aussi) et du bus (20€) est trop forte sur les longs trajets. Le train est donc un moyen de transport plutôt utilisé par les étudiants et les classes populaires pour les distances courtes ou moyennes.

Malgré la lenteur, les wagons sont plutôt modernes et les couchettes sont confortables. Au centre du train, le compartiment restaurant dont les tarifs sont raisonnables. Il n'est pourtant guère fréquenté. Tarik, un jeune em-ployé, n'a pas plus de succès lorsqu'il passe entre les rangées de passa-gers avec son chariot rempli de biscuits et de boissons. À 22 ans, lui qui n'a pas terminé le lycée, regrette de n'avoir pas fait plus d'études. Tra-vailler dans le train permet de voir du pays mais c'est un métier dur et difficilement conciliable avec une vie de famille : "Un homme marié ne peut pas faire ce travail", affirme son collègue Tecer.

L'affable chef cuisinier Cevdet Ismaïloglu, 52 ans, originaire de Trabzon, sait entretenir une ambiance conviviale : "Auparavant, je travaillais au ba-zar à Ankara, je suis surtout ici pour cotiser pour ma retraite". Lorsqu'il n'est pas aux fourneaux, fredonnant des airs de la Mer Noire ou d'Ibrahim Tatlises, il aime lire, que ce soit des romans d'Elif Safak ou de volumineux essais sur la géopolitique.

La Turquie : un train à deux vitesses

À la sortie d'Istanbul, le train passe à côté des chantiers navals de Tuzla et des industries de Gebze, des zones fortement touchées par la crise écono-mique. Niyazi Önal, 31 ans, est aide-cuisinier à Gebze dans la cantine d'une usine qui fabrique des ceintures pour automobiles.

Ses horaires sont pénibles, il travaille une semaine de jour et une semaine de nuit entre 17h et 7h. Il doit se rendre à Bilecik, un peu plus au Sud, pour payer ses arriérés d'impôts : "L'État est toujours près de toi", glisse-t-il avec ironie. Le convoi poursuit sa route le long du tumultueux fleuve Sa-karya. Harun Tosun, jeune homme de 23 ans habitant à Bilecik, attend

avec impatience l'arrivée à Eskisehir où se trouve sa petite amie.

"J'étais agent de sécurité privé, je suis au chômage depuis quinze mois, confie-t-il, et maintenant c'est dur de trouver du travail dans une petite ville sans industrie". Il était pourtant très mal payé, 12h de travail par jour pour 300€ par mois, le salaire minimum ! Harun vit toujours chez ses pa-rents et ses projets sont en suspens depuis qu'il a perdu son emploi : "Je pensais me marier mais à cause de mes problèmes financiers ce n'est pas possible pour le moment".

Entre Eksisehir et Ankara, la nouvelle ligne de train rapide est déjà en ser-vice, filant sur les hauts plateaux anatoliens à 250 km/h. Le Dogu Ekspresi et le TGV turc semblent appartenir à deux mondes différents, métaphore d'une société à deux vitesses profondément divisée par les inégalités éco-nomiques et sociales.

Après la dynamique ville industrielle de Kayseri, située au centre géogra-phique du pays, le train se vide de plus en plus. Dans les allées errent quelques étudiants et des conscrits à l'air maussade en chemin pour le service militaire. Sivas, Erzurum et Kars sont les dernières destinations. Le relief se fait plus accidenté, la région semble quasi-désertique et les cimes enneigées rappellent la rudesse du climat.

A l'Est, parler de crise économique n'a plus trop de sens tant le sous-déve-loppement est structurel. Les jeunes, en particulier, ont du mal à trouver leur place. Mehmet Akif, étudiant de 27 ans en ingénierie agricole à Erzu-rum, a pris le train pour méditer. Pas du tout motivé par des études que lui a imposé son père professeur, il a tenté le concours pour devenir fonction-naire mais n'a pas obtenu une note suffisante: "Je reviens d'Ankara où j'ai rencontré un député AKP d'Erzurum, mais il n'a rien pu faire pour moi".

24.06.2010 Clément Girardot Istanbul



La restauration du musée du génocide d’Igdir lancéejeudi24 juin 2010, par Stéphane/armenews




Le musée du génocide à Igdir qui a été construit à la mémoire des « Turcs massacrés par des gangs arméniens » est en cours de rénovation. Interne-thaber.com annoncé que le musée, qui a été ouvert le 5 octobre 1999, est restauré grâce à une initiative lancée par l’Administration Spéciale de la Province.

Faisant une visite du chantier de construction, le Secrétaire général de l’Administration Spécial de la Province Ferhat Akkus a déclaré que 118000 TL financeront les travaux de restauration.

« Il y avait des déformations sur les murs dû à des facteurs naturels. Le musée sera totalement restauré » a dit Akkus.



Condamnation à 3 ans de prison pour avoir menacé l’hebdomadaire Agosjeudi24 juin 2010, par Stéphane/armenews

La 2ème Cour Criminelle de Première instance de Sisli à Istanbul a condamné Yasin Yildiz à 3 ans et 3 mois de prison pour avoir menacé par des courriers électroniques des employés de l’hebdomadaire arménien Agos.

Les cours de Sisli avaient précédemment condamné Kenan Celepoglu à une amende de 8000 TL (4000€) pour envoi de courriers électroniques contenant des insultes, des menaces et pour racisme. Dans le même contexte, Muhammet Karay a été condamné à trois ans et trois mois de prison ; Zafer Filiz a été condamné à trois ans et Ridvan Dogan à deux ans de prison.

Les demandes pour suspendre les sentences des quatre accusés non rete-nus ont été écartées.

Yildiz a déclaré qu’il avait été agité à cause des publications et de la pro-pagande liée à la question turco-arménienne. Il a envoyé les courriers électroniques à l’adresse du journal pour « lâcher la vapeur » a-t-il affirmé.

Les avocats communs de l’hebdomadaire ont avancé que les messages ont harcelé les employés du journal puisqu’ils contenaient des insultes et



des menaces. Ainsi, ils ont déposé plainte.

L’avocate Fethiye Çetin a dit que les décisions de pouvoir judiciaire avaient changé dans une direction positive après le meurtre de Hrant Dink.



Erdogan accuse des pays européens d'un manque de soutien face au PKKMercredi 23 juin 2010 à 15h00

ISTANBUL, 23 juin 2010 (AFP) — Le Premier ministre turc a reproché mer-credi à certains pays européens de ne pas aider suffisamment la Turquie dans sa lutte contre les rebelles kurdes, les accusant de ne pas extrader les militants réclamés et de ne pas couper pas leurs sources de finance-ment.

"Malheureusement, certains Etats européens n'ont pas fourni le soutien nécessaire à la Turquie dans sa lutte de longue haleine contre le terro-risme", a déploré Recep Tayyip Erdogan lors d'un sommet régional, sans citer nommément un ou plusieurs pays.

"Malgré toutes les souffrances et les attaques très sanglantes visant les forces de sécurité (turques), certains pays n'ont pas coupé les canaux de financement de l'organisation terroriste, ils tolèrent sa machine de propa-gande et ne renvoient pas les criminels", a-t-il accusé, cité par l'agence Anatolie.

Il s'exprimait lors d'un sommet de 12 pays de l'Europe du Sud-Est, à Istan-bul.

M. Erdogan a affirmé que l'organisation séparatiste kurde du Parti des tra-vailleurs du Kurdistan (PKK), considérée comme une structure terroriste par Ankara et l'Union européenne, constituait aussi bien une menace pour son pays que pour ceux de l'Europe.

La Turquie enjoint régulièrement les pays européens d'agir contre les fi-lières européennes du PKK, qui a multiplié ses attaques contre les forces turques, tuant, depuis le week-end dernier, 17 soldats et un civil lors d'at-taques dans le sud-est et dans un attentat à la bombe mardi à Istanbul.



La Turquie, qui souhaite intégrer l'UE, estime qu'une large part des finan-cements du PKK provient de ses activités de blanchiment d'argent, de tra-fic de drogue et de migrants clandestins en Europe, où le mouvement dis-pose au sein de la communauté immigrée kurde d'un vaste réseau de mili-tants.

La Turquie exhorte ainsi depuis des années le Danemark à interdire une chaîne de télévision kurde, Roj TV, qui émet de son territoire et qu'elle considère comme un porte-voix du PKK.


http://www.institutkurde.org/info/depeches/erdogan-accuse-des-pays-euro-peens-d-un-manque-de-soutien-face-au-pkk-2629.html

La terreur du PKK affecte aussi les Etats-Unis, l’UE et IsraëlLe Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Za-


"Les partis de l’opposition sont prêts à tirer profit de la mort des soldats victimes des raids du PKK. Le premier exemple qui illustre cela est le chef du parti nationaliste qui appelle à des élections anticipées et à l'état d'ur-gence dans le sud-est du pays, après la mort de neuf soldats. "

La campagne de terreur du Parti des travailleurs du Kurdistan(PKK) connait encore une fois un essor en Turquie, mais cette fois-ci dans un acte de désespoir découlant de la crainte de perdre le soutien du peuple kurde et de tomber dans l'isolement international.

Bien que le gouvernement ait lancé une initiative pour assurer l'élargisse-ment des droits des Kurdes en Turquie, la violence à laquelle se livre le PKK provoque le chaos dans la région comme ce fut le cas dans les années 80 et 90. Au cours de ces années, l'approche musclée de l’Etat turc a ren-du la situation plus mauvaise que jamais.

Cette fois-ci, le gouvernement semble agir avec plus de sang-froid, en res-tant à l'écart du piège du cercle vicieux de la violence. Cela ne signifie pas que l'indignation croissante du public se calme pour autant. Par ailleurs,

http://www.institutkurde.org/info/depeches/erdogan-accuse-des-pays-europeens-d-un-manque-de-soutien-face-au-pkk-2629.html

http://www.institutkurde.org/info/depeches/erdogan-accuse-des-pays-europeens-d-un-manque-de-soutien-face-au-pkk-2629.html


les partis de l’opposition sont prêts à tirer profit de la mort des soldats vic-times des raids du PKK.

Le premier exemple qui illustre cela est le chef du parti nationaliste qui ap-pelle à des élections anticipées et à l'état d'urgence dans le sud-est du pays, après la mort de neuf soldats. L’AKP (Parti pour la justice et le déve-loppement), le parti au pouvoir, ne sera pas le seul à être enfoncé pendant ce processus.

Il y a probablement une cause internationale au règne du PKK et de la ter-reur. De plus que le jour suivant l'attaque meurtrière de Semdinli, qui a coûté la vie à neuf soldats turcs, nous avons vu de nombreux rapports dans la presse turque pointer du doigt les alliés, y compris les Etats-Unis, l'UE et Israël. Bien que les autorités turques rejettent les rapports sur l'en-gagement international d’alliés proches du PKK, les théories de complot sont déjà populaires aux yeux des Turcs de la rue.

Je crois que le PKK essaie de marquer des points avec la violence, tant sur le plan national qu’international. Nos alliés devraient se montrer plus forts que jamais pour condamner ces attaques terroristes et offrir un appui technique pour endiguer la violence. Ils doivent utiliser tous les moyens disponibles pour acculer le PKK et ses membres pour qu’ils renoncent à leurs méthodes terroristes. La complaisance et le refus d'agir sur le réseau du PKK ajoutera de la crédibilité à ces prétendus rapports, non fondés, qui apparaissent ici et là.

Et nous pouvons constater (ce qui est alarmant) que ces nouvelles his-toires ne sont pas marginales, mais qu’elles apparaissent également dans les journaux grand public. Les États-Unis, dont la popularité est faible en Turquie, sont bien sûr une cible de choix. Ces groupes ont misé sur les nouvelles concernant l'annulation de dernière minute de la rencontre sur le terrorisme entre les responsables turcs et américains du 16 Juin.

Nous avons récemment vu des rapports sur le partage de renseignements en temps réel. Ces derniers n’aident pas vraiment l’armée turque à lutter contre les terroristes en raison des délais de temporisation et du méca-nisme de filtrage. Après l'attaque du PKK de dimanche, certains experts ont accusé les Etats-Unis de ne pas partager avec la Turquie, leur informa-tion sur les groupes qui se sont réunis autour de la frontière pour préparer l'attaque.

Quel que soit le niveau d’exactitude de ces affirmations, elles réussissent à dépeindre les Etats-Unis comme ayant d’une certaine façon soutenu le terrorisme du PKK en Turquie. La seule façon de contrer ces revendica-tions est de s'exprimer sur ces questions et d'offrir des détails crédibles sur le cadre de coopération. Je me souviens de l’interview de Shari Villaro-

sa, vice-coordinatrice des affaires régionales du Bureau américain du contre-terrorisme en mars à la résidence de Douglas Silliman, chargé d’affaires à l'ambassade des Etats-Unis à Ankara.

Elle avait fourni un compte-rendu de la façon dont les États-Unis avaient joué un rôle clé dans une récente vague d'arrestations visant les entre-prises affiliées au PKK en France, en Belgique, en Italie et en Allemagne Villarosa a reconnu que les États-Unis avaient instamment demandé aux Européens de prendre des mesures contre le PKK.

"Nous avons encouragé une plus grande coopération entre les Turcs et les fonctionnaires de justice européens, les procureurs et les forces de l'ordre. Nous pouvons prétendre à un [certain] mérite car nous aidons au rassem-blement des gens afin aboutir à des résultats positifs ", avait-elle déclaré. La remarque qu’elle avait faite en disant que le PKK devait être mis hors d’état de nuire, comme Al Capone, avait fait la une des journaux en Tur-quie à l'époque.

Les fonctionnaires américains devraient organiser plus d'événements sur l'échange d'informations comme ceux-ci. Israël est, bien sûr, le suspect idéal. Des histoires sur l'implication secrète du Mossad ont déjà refait sur-face dans certains médias. Le moment ne pourrait être pire car il coïncide avec les relations envenimées avec Israël à cause du raid israélien qui a tué neuf Turcs de la flottille d’aide dans les eaux internationales.

Bien que l'armée turque ait démenti les rumeurs vendredi sur l’éventuelle implication d'Israël dans les attaques du PKK, et sur le fait que ces his-toires manquaient de preuves crédibles, la machine à rumeurs continue de fonctionner, rendant les dommages encore plus difficiles à contrôler par les responsables israéliens des relations publiques. Les nouvelles concer-nant le dysfonctionnement des drones espions téléguidés, fabriqués par des Israéliens, et le retrait de Turquie des formateurs israéliens ont aussi alimenté ces spéculations.

Je pense qu'Israël doit agir rapidement pour raccommoder les relations avec la Turquie concernant la crise de la flottille avant que la spéculation sur l’aide et la complicité avec le PKK ne finisse par détruire les relations. L'UE pourrait également être une cause de l'augmentation de la violence du PKK. Ce n'est pas un secret que certaines personnes en Turquie croient fermement que l'UE veut démembrer la Turquie, à commencer par la ré-gion kurde du sud.

Ces rumeurs sont répandues par le mouvement anti-UE, qui gagne du ter-rain au détriment des groupes pro-européens. L'UE a reconnu le PKK comme étant une organisation terroriste en 2002 après 20 ans d'attentats sanglants contre la Turquie. Ce n'est que depuis peu que les pays euro-

péens prennent des mesures contre les organisations financées par le PKK en Europe. Ces opérations ne sont pas aussi élaborées que la Turquie vou-drait qu'elles le soient, et elles ne visent pas à éradiquer complètement le PKK des pays qui le protègent.

24.06.2010


http://fr.zaman.com.tr/fr/columnistDetail_getNewsById.action;.node1?new-sId=4189&columnistId=39

La Turquie s'apprête à porter la guerre au delà des frontières

KNK 22.06.2010

Depuis son affrontement avec les combattants kurdes à Semdinli (pro-vince de Hakkâri), le 19 juin dernier, l'armée turque transporte en hélico-ptère ses unités spéciales aux frontières du Kurdistan Sud (Kurdistan ira-kien, n.d.l.r.) ; l'envoi de ces unités militaires annonce la préparation d'une opération massive par voie terrestre. Déjà, près de 10 000 soldats sont massés à la frontière et les régions frontalières sont systématiquement bombardées par les hélicoptères. Les bases militaires turques d'Amediya et de Bamerne, au Kurdistan Sud (Kurdistan irakien, n.d.l.r.), sont en pleine effervescence. En attendant, les avions de chasses ne cessent leurs attaques et leurs bombardements. Les bombardements ont fait 4 morts et 8 blessés parmi les civils kurdes. Des centaines de familles ont dû quitter leurs villages. Les étangs et les champs, propriétés des villageois, ont été sérieusement endommagés tout comme les terres de broutage des ani-maux. La Turquie et l'Iran continuent leurs bombardements en dehors des frontières et prennent pour cibles les civils kurdes.

Déjà, au soir du 10 mai, des obus ont frappé une habitation du village de Benistan, près du bourg de Şeladize à Duhok, tuant le propriétaire de la maison, Rekan HÜSEYİN REKANİ (27 ans), ainsi que sa femme et ses trois enfants Bihar, Esen et Huseyn, âgés de 4 à 9 ans, et blessant gravement leur voisin Kerim ŞEKİR.

Le 15 mai, l'aviation turque a bombardé de façon intense et permanente le village de Yekmalê dans la vallée de Xabur. Lors de ces attaques, un vil-lageois du nom d'Izbat TEMEL a été blessé.

http://fr.zaman.com.tr/fr/columnistDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=4189&columnistId=39

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Le 19 juin, elle récidivait, tuant une jeune fille de 15 ans, Zahide MIHEMED MECID, qui était au milieu de ses champs, et blessant grièvement son jeune frère, Şexawan MİHEMED MECİD, âgé de 6 ans, et sa mère Gelawej MELA EHMEDI (36 ans).

Le soir du 21 juin, des hélicoptères militaires iraniens ou turcs ont survolé certaines zones de la sous préfecture de Çoman au Kurdistan Sud (Kurdis-tan irakien, n.d.l.r.) : Pîrelok, Kanî Reş, Omer Xeyat, Gomdelawan, Wêza, Ênze, Kanî Spî, Sîngure et Çiyayê Kotoyê.

Ils ont, selon nos informations, survolé deux fois cette région dans la même journée ; les villageois qui habitent près de la frontière ont, par crainte des bombardements, fuient la région pour trouver refuge dans des lieux moins exposés. Il semblerait que, lors des réunions du conseil de Sé-curité, l'État turc se soit engagé à intensifier la sale guerre. C'est ce même Etat qui aurait déclaré vouloir instaurer la paix au Moyen Orient alors qu'il refuse de reconnaître les droits les plus élémentaires à 20 millions de Kurdes et qu'il n'hésite pas à réprimer durement tous ceux qui luttent pour obtenir ces libertés fondamentales.

Cet Etat turc, qui essaie de donner de lui-même une bonne image sur la scène internationale, mène une sale guerre contre le peuple kurde à l'inté-rieur des frontières officielles ; depuis deux jours, dans le cadre de som-mets sur la sécurité, il réunit son conseil de sécurité en vue de décider une intensification de la sale guerre ; ces décisions vont entrainer plus de morts, plus de drames ; elles vont provoquer de nouveaux massacres et de nouvelles injustices.

A l'opinion publique et au peuple kurde,

Toute opération militaire menée par l'armée turque à l'intérieur ou l'exté-rieur du territoire tend à empêcher la résolution démocratique de la Ques-tion kurde. Ces opérations ne font qu'alimenter les sentiments de haine entre les peuples. Il faut avant tout condamner cette sale guerre qui viole les droits humains et les libertés fondamentales ainsi que les principes qui régissent le droit international.

Nous appelons l'ensemble des partis politiques kurdes et la population kurde à s'opposer, dans l'union et la solidarité, à la guerre menée par l'ar-mée turque et le gouvernement de l'AKP.

Nous appelons l'ONU, Nous appelons l'ONU, l'UE, le CE ainsi que les USA à prendre position contre la Turquie qui, par ses incursions militaires sur le territoire d'un État tiers, viole les règles fondamentales du droit internatio-nal.

KNK Commission Exécutive 22.06.2010


http://www.kongrakurdistan.net/Nu/index.php?option=com_content&view=article&id=120%3Adaxuyaniya-capemeni-22062010&catid=37%3Adaxuyani&Itemid=60&lang=fr

Attentat à Istanbul: 27 arrestations, Erdogan critique les pays européens(AFP) – Il y a 16 heures

ISTANBUL — Le Premier ministre turc a déploré mercredi le manque de soutien de certains pays européens à Ankara dans sa lutte contre les re-belles kurdes alors que ceux-ci ont revendiqué un attentat meurtrier com-mis la veille à Istanbul, qui a conduit à l'arrestation de 27 suspects.

"Malheureusement, certains Etats européens n'ont pas fourni le soutien nécessaire à la Turquie dans sa lutte de longue haleine contre le terro-risme", a déclaré à Istanbul Recep Tayyip Erdogan lors d'un déjeuner en l'honneur de chefs d'Etats des Balkans.

"Malgré toutes les souffrances et les attaques très sanglantes visant les forces de sécurité (turques), certains pays n'ont pas coupé les canaux de financement de l'organisation terroriste, ils tolèrent sa machine de propa-gande et ne renvoient pas les criminels", a-t-il accusé, cité par l'agence Anatolie.

Les reproches de M. Erdogan surviennent alors que l'explosion d'une bombe télécommandée au passage d'un autocar civil transportant des mi-litaires a fait cinq morts --quatre soldats et une fille de militaire âgée de 17 ans-- mardi dans la périphérie d'Istanbul.

L'attentat a été revendiqué par un groupe radical kurde, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), considéré par Ankara comme un prête-nom uti-lisé par les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) quand ceux-ci commettent des attentats pouvant être réprouvés par l'opinion pu-blique.

L'agence de presse semi-officielle Anatolie a annoncé mercredi l'interpella-tion de 27 personnes lors d'une opération conjointe de la branche antiter-roriste et des forces spéciales de la police en lien avec l'enquête sur l'at-





tentat.

Les victimes ont été inhumées mercredi après des obsèques organisées dans plusieurs villes de Turquie et auxquelles ont assisté des milliers de gens.

Des ministres et le chef d'état-major, le général Ilker Basbug, ont participé à la cérémonie religieuse tenue à Elmadag, une banlieue d'Ankara, pour Buse Sariyag, la lycéenne tuée dans l'attentat, a rapporté un journaliste de l'AFP.

Sa mort a provoqué l'émoi en Turquie.

"Les martyrs ne meurent pas, la nation ne se divise pas" a scandé une foule d'environ 5.000 personnes qui brandissaient le drapeau turc.

M. Erdogan, qui avait entrepris l'an dernier de renforcer les droits des Kurdes, a promis de "noyer dans leur sang" les rebelles qui ont multiplié leurs attaques depuis début juin.

"Nous ne renoncerons pas à la démocratie, en dépit de toutes les provoca-tions", a-t-il dit mardi au Parlement.

Le PKK, une organisation terroriste selon Ankara et bon nombre de pays, lutte pour l'autonomie dans le sud-est, zone kurde, mais a aussi visé par le passé des grandes villes et des stations balnéaires de l'ouest.

Ankara enjoint régulièrement les pays européens d'agir contre les filières européennes du PKK, qui a tué au total, depuis le week-end dernier, 17 soldats et un civil lors d'attaques dans le sud-est et dans l'attentat d'Istan-bul.

La Turquie, qui souhaite intégrer l'UE, estime qu'une large part des finan-cements du PKK provient de ses activités de blanchiment d'argent, de tra-fic de drogue et de migrants clandestins en Europe, où le mouvement dis-pose au sein de la communauté immigrée kurde d'un vaste réseau de mili-tants.

Copyright © 2010 AFP


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hbaLqry6pD_TQX_QxWALmiNqmKyg




TURQUIE/SUISSE

EGL est suspendue à la conclusion d’un accord de transit avec la TurquieEnergie jeudi24 juin 2010

Stéphane Bussard

La société zurichoise de négoce d’énergie Electricité Laufenbourg, qui mène un vaste projet de gazoduc à travers l’Adriatique, négocie avec la société turque Botas pour obtenir le feu vert de la Turquie avec l’aide de Berne

La société de négoce d’énergie EGL (Electricité de Laufenbourg) attend toujours de se faire livrer du gaz d’Iran. La filiale du groupe Axpo avait conclu, en mars 2008 à Téhéran, en présence de la conseillère fédérale Mi-cheline Calmy-Rey, un accord avec la société iranienne Nigec pour se faire livrer 5,5 milliards de mètres cubes par an de gaz durant vingt-cinq ans.

Selon des rumeurs persistantes, les retards seraient dus aux capacités de production de gaz insuffisantes de l’Iran paralysé par les sanctions de l’ONU qui contraignent la République islamique à importer toujours plus de gaz du Turkménistan.

Aide de Moritz Leuenberger

Porte-parole d’EGL, Lilly Frei dément toute incapacité iranienne de respec-ter le contrat: «Nous n’avons aucun signe qui laisse entendre que l’Iran pourrait ne pas fournir le gaz. Il incombe à Nigec de décider des sources d’approvisionnement qu’elle utilise pour honorer les livraisons à EGL.

Pour nous qui recevrons le gaz à la frontière, peu importe que le gaz vienne de South Pars (ndlr: le plus grand champ gazier du monde réparti entre l’Iran et le Qatar) ou du Turkménistan.»

Pour l’heure, EGL attend surtout que le dossier se débloque à Ankara: «Pour mettre en œuvre le contrat avec Nigec, nous avons besoin d’un ac-cord de transit avec la Turquie.» La Confédération a apporté son soutien à EGL, comme elle l’avait fait avec l’Iran en 2008. En novembre 2009, le mi-nistre suisse de l’Energie Moritz Leuenberger a conclu un accord de prin-cipe avec son homologue turc Taner Yildiz. Le document réaffirme l’impor-tance du projet de gazoduc transadriatique (TAP) qu’EGL développe dans le cadre d’un consortium avec le norvégien Statoil et l’allemand E.ON et encourage la société turque Botas à négocier un accord de transit avec EGL.

La Turquie n’a peut-être pas d’hydrocarbures, mais sa position géostraté-gique lui permet de monnayer le transit du gaz et du pétrole. Elle vient de conclure, le 8 juin dernier, un accord de transit avec l’Azerbaïdjan qui porte sur 16 milliards de mètres cubes de gaz.

De ce volume, 6 milliards resteront en Turquie et 10 seront acheminés vers l’Europe. Pour alimenter le gazoduc transadriatique, qui devrait être achevé d’ici à 2016 et transporter jusqu’à 20 milliards de mètres cubes par an, EGL compte sur le gaz iranien, mais aussi azéri. La société zuri-choise aura toutefois fort à faire. Trois projets se concurrencent et vont se disputer les 10 milliards de mètres cubes de gaz azéri: TAP, le projet d’EGL, le ITaly Turkey Greece Interconnection (ITGI) Project et enfin Na-bucco, le projet soutenu par l’Union européenne qui ambitionne de trans-porter 30 milliards de mètres cubes par an.

Avant d’accorder un droit de transit à EGL, Ankara a jugé prioritaire le cas de l’Azerbaïdjan. Il pourrait aussi donner la priorité au projet ITGI.

Centrales à gaz en Italie

Pour EGL, dont le bénéfice net a chuté de 69% au premier semestre de son exercice 2009-2010, les retards sont gênants, mais ils sont loin de re-mettre en cause ses projets. La prise de participation à hauteur de 15% du géant allemand E.ON dans le projet TAP est une bonne nouvelle pour Elec-tricité Laufenbourg qui peut ainsi espérer un soutien plus marqué de l’Union européenne. Le gaz iranien et azéri transporté par le TAP est es-sentiel pour alimenter les deux centrales à gaz d’EGL déjà en fonction en Italie.

Une troisième centrale devrait être opérationnelle cet été. En raison de la crise économique toutefois, la société zurichoise a dû renoncer à un projet de quatrième centrale à gaz déjà bien avancé, Energy Plus. Elle attend la première livraison de 1,5 milliard de mètres cubes de gaz d’Iran au début 2011. Si tout va bien. A propos des nouvelles sanctions adoptées par l’ONU, les Etats-Unis et l’UE contre l’Iran, Lilly Frei reste sereine: «Elles ne concernent pas l’achat de gaz et n’affectent pas notre contrat.»


http://www.letemps.ch/Page/Uuid/37207fc0-7f08-11df-b539-5d63add52629/EGL_est_suspendue_%C3%A0_la_conclusion_dun_accord_de_transit_avec_la_Turquie





GAZ: TURQUIE/GRECE/ITALIE

Turquie, Grèce, Italie : Quand le gaz réuniLe Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Za-man (équivalent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en

Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP).

L'accord sur le transit en Turquie du gaz dans le gazoduc ITGI, qui doit re-lier la Caspienne à l'Italie via la Turquie et la Grèce, a été signé jeudi.

"Edison, Depa, la société gazière publique grecque et Botas, la société pu-blique gazière turque ont signé aujourd'hui l'accord pour le transit en Tur-quie du gaz du projet ITGI (Interconnexion Turquie-Grèce-Italie)", indique le groupe Edison. La signature de cet accord "représente un grand pas en avant pour l'ITGI" et va permettre "d'accélérer la finalisation des contrats d'achat de gaz avec l'Azerbaïdjan", s'est félicité le directeur général d'Edi-son Umberto Quadrino, cité dans le communiqué.

Cet accord "définit les termes généraux et les conditions de transit" du gaz azéri en Turquie et "renforce le partenariat" entre les trois groupes à tra-vers une possible entrée de Botas dans le capital de la société en charge de la partie sous-marine du gazoduc entre l'Italie et la Grèce. Actuelle-ment, cette société est détenue à parts égales par Edison et Depa. Cette signature intervient un mois après un accord le 14 mai entre les gouverne-ments grec et turc sur l'avancement du projet ITGI. Le gazoduc ITGI per-mettra d'acheminer du gaz azéri vers l'Europe via la Turquie et la Grèce.

La construction de l'interconnexion entre la Turquie et la Grèce, d'une ca-pacité maximale de 11,5 milliards de mètres cube par an, a été finalisée en 2007 tandis que l'interconnexion entre la Grèce et l'Italie, d'une capaci-té de 10 milliards de mètres cube, est en cours de réalisation.

24.06.2010



AZERBAIDJAN

EGL ouvre une représentation en Azerbaïdjan




Romandie News

Dietikon/ZH (awp) - EGL AG a ouvert un bureau de représentation à Bakou, en Azerbaïdjan. Il s'agit pour l'entreprise d'énergie de trouver de nouveaux partenaires afin de renforcer ses liens dans le domaine du gaz naturel, se-lon un communiqué publié jeudi par la filiale d'Axpo Holding.

Le gaz naturel issu de l'Azerbaïdjan présente un complément "idéal" aux gaz russe et iranien dans le portefeuille de l'approvisionnement.

Cette diversification permettra aussi de soutenir l'augmentation de la sé-curité de l'approvisionnement visée par l'Union européenne (UE).

cf/uh/ds (AWP/24 juin 2010 10h31)


http://www.romandie.com/infos/news/201006241031041AWPCH.asp

KIRGHIZISTAN

Le Kirghizstan, entre Turquie et RussieLe Collectif VAN relaye ici les articles du journal franco-turc Za-man (équivalent du Today's Zaman en langue anglaise, diffusé en

Turquie). Attention : ces articles ne sont pas commentés de notre part. Il s'agit pour l'essentiel de traductions des versions turque et anglaise du Zaman, journal proche du parti au pouvoir (AKP).

Après la récente flambée de violences au Kirghizstan, la Turquie a promis une aide substantielle, en partenariat avec le Kazakhstan, formant un bloc pouvant être rejoint par "d'autres pays amis et frères" a précisé le ministre turc des Affaires étrangères M. Davutoglu. La Turquie fait ainsi contrepoids à l’influence russe, toujours présente dans la région.

La Turquie, qui a été l'un des premiers pays à reconnaître officiellement l’indépendance de chacun des pays d’Asie centrale, a assuré qu’elle allait aider le Kirghizstan. C’est ce qu’ont décidé le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu et son homologue kazakh, lundi 21 juin, à la suite des violences survenues dans le sud du Kirghizstan.

Ces dernières ont éclatées dans la nuit du 10 au 11 juin entre la commu-nauté kirghize, majoritaire, et les ouzbèkes qui représentent 15 à 20% de la population. Ces rixes, qui ont débuté suite à l’instabilité politique du pays, ont fait jusqu'à 2.000 morts, selon la présidente kirghize. On compte

http://www.romandie.com/infos/news/201006241031041AWPCH.asp


au moins 300.000 réfugiés et déplacés selon l'ONU. Enfin, 150 ressortis-sants turcs ont été rapatriés bien que l'ambassade de Turquie reste ou-verte à Bichkek, capitale kirghize.

Les bases militaires russes

Au lendemain de l’effondrement de l’URSS, la Turquie avait affirmé ne pas vouloir s’imposer en Asie centrale lors de ses premières visites officielles. Elle a cependant joué sur un partenariat important pour ces pays turco-phones nouvellement indépendants. La Turquie, qui avait fait table rase de son passé au début du siècle dernier, a donc renoué avec ses racines cen-trasiatiques facilitant ainsi l’émergence d'un espace turcophone.

Ancien maître des lieux, la Russie est en concurrence directe. Le pays n’a en effet pas renoncé à son influence culturelle et politique sur une région si stratégique, aux portes de la Chine. Cette réalité n’est d’ailleurs pas un secret, et la présidente par intérim du Kirghizstan a lancé un appel à l’aide à la Russie à la suite des violences récentes, espérant trouver un allié poli-tique. Sa demande d’assistance militaire a cependant essuyé un refus.

Aux yeux du président russe, Dimitri Medvedev, "il s'agit d'un conflit in-terne et la Russie ne voit pas, pour le moment, les conditions pour partici-per à sa résolution". La stabilité du Kirghizstan reste cependant primor-diale pour la Russie qui dispose d’une base militaire stratégique dans ce pays, voisin de l’Afghanistan et frontalier de la Chine. Les troupes russes vont donc se rendre au Kirghizstan mais uniquement pour protéger cer-taines installations stratégiques du pays, dit-on de sources officielles.

Les républiques turcophones de l’ ex-URSS

Azerbaïdjan

Superficie : 86 000 km2

Population : 8, 3 millions

Turcophone : 92,5 %

Kazakhstan

Superficie : 2,7 millions de km2

Population : 15,4 millions

Turcophone : 64%

Kirghizistan



Turcophone : 79%

Ouzbékistan



Turcophone : 79%

Tadjikistan



Turcophone : 90%

Turkménistan



Turcophone : 81%

24.06.2010 http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45369


Retour des réfugiés kirghizes[ 24/06/10 - 01H00 - Les Echos - actualisé à 00:37:54 ]

Près de 50.000 personnes réfugiées en Ouzbékistan suite aux violences ayant secoué le sud du Kirghiz-stan depuis le 10 juin ont pris le chemin du




retour. Selon les pouvoirs publics kirghizes, il resterait 25.000 personnes déplacées.

L'ONU a aussi déploré hier que la persistance de tensions interethniques entrave la distribution de l'aide internationale. Selon elle, plus de 30 avions humanitaires sont arrivés au Kirghizstan et en Ouzbékistan depuis deux semaines.

Les autorités intérimaires, arrivées au pouvoir en avril suite à un soulève-ment populaire, ont maintenu mardi l'organisation d'un référendum di-manche prochain sur une révision de la Constitution, mais nombre d'ob-servateurs craignent que cela ne provoque de nouvelles tensions dans cette ex-République soviétique particulièrement pauvre d'Asie centrale.

Les Echos http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45374

http://www.lesechos.fr/info/inter/020625088518-retour-des-refugies-kir-ghizes.htm

Les Ouzbeks, victimes de nettoyage ethniqueKirghizistan

Article publié le : mercredi 23 juin 2010 - Dernière modification le : mer-credi 23 juin 2010

Par Sophie Malibeaux

Un calme précaire règnait mercredi 23 juin dans le sud du Kirghizstan. La présidente Roza Otoumbaieva s'est rendue à Och, la grande ville du sud, où l'armée a commencé à retirer les barricades, tandis que la police procé-dait à des dizaines d'arrestations dans les milieux suspectés d'être à l'ori-gine des violences interethniques.

La population de cette ancienne république d'URSS compte un peu plus de 5 millions de personnes, dont 400 000 obligées de fuir les violences. L'en-chaînement des événements depuis la nuit meurtrière du 10 juin pose de nombreuses questions. Une seule certitude : les citoyens kirghizes d'ori-gine ouzbèke sont les premières victimes. L'écrivain spécialiste de la ré-gion René Cagnat, résident à Bishkek, raconte un accrochage vécu il y a quelques jours non loin de Och.

Une estimation officielle porte à 2 000 le nombre de morts. C’est encore

http://www.lesechos.fr/info/inter/020625088518-retour-des-refugies-kirghizes.htm

http://www.lesechos.fr/info/inter/020625088518-retour-des-refugies-kirghizes.htm


un bilan provisoire, et non vérifié car les grandes organisations humani-taires internationales n'ont pas accès à toutes les zones du pays.

D'autres témoignages font état d'actions similaires à celle que décrit René Cagnat, des opérations de nettoyage ethnique qui se sont multipliées entre le 10 et le 15 juin dans les régions de Och et Djalalabad. La ville de Och elle-même, deuxième ville du pays, portera longtemps les cicatrices des affrontements de ces derniers jours.

Les habitants d’origine ouzbèke constituent près de la moitié de la popula-tion de cette ville, centre important des échanges dans la vallée de Fer-ghana. René Cagnat dépeint cette ville autrefois vivante et colorée, grouillante d’animation autour des bazars tenus par les Ouzbeks comme une ville désormais « noire, grise et blanche », après les incendies qui l’ont ravagée, une « ville morte » insiste-t-il.

Des Kirghizes, à la recherche de boucs-émissaires

En écoutant le témoignage de René Cagnat, on se rend compte que ces populations risquent d'avoir du mal à vivre ensemble désormais. En appa-rence, elles cohabitaient jusque là sans trop de difficultés.

Mais au fil des ans, un profond malaise s'est installé, facilement exploi-table par les milieux criminels, eux-mêmes manipulables à des fins poli-tiques, comme le dénoncent les autorités de transition à Bishkek, pointant du doigt le clan Bakiev.

Catherine Poujol de l'Inalco -l'Institut des langues orientales- s’est intéres-sée aux différentes étapes de l’installation des populations de la région, avant l’arrivée des soviétiques et la délimitation des frontières entre le Kir-ghizstan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan.

D’emblée, il a fallu trouver des compromis pour permettre aux populations d’origines diverses de cohabiter. Or, plusieurs décennies se sont écoulées, sans que le pouvoir kirghize ne parvienne à établir un régime respectueux des citoyens de divers origines ethniques. Même si cela ne suffit pas à ex-pliquer les derniers événements, Catherine Poujol évoque le fort ressenti-ment des anciens pasteurs kirghizes sédentarisés à l’égard des Ouzbèkes.

L’attentisme face à la crainte d’un embrasement régional

La plupart des observateurs notent le rôle des mafieux dans les affronte-ments actuels. Une donnée qui contribue à brouiller les cartes, et semble peser dans les réticences des Etats voisins à intervenir. Les pays voisins et notamment le grand frère russe tentent d'éviter de se mêler de ce qu'ils présentent comme les «affaires intérieures» du Kirghizistan. D’autant que

les tentatives d’ouverture démocratique du Kirghizistan depuis le renver-sement du président Akaiev par la rue en 2005 ne sont pas du goût des responsables régionaux, l’ouzbek Karimov en tête.

Quant aux grandes puissances telles que la Chine et les Etats-Unis, elles ont –elles aussi- intérêt à ce que la situation se stabilise, mais pour l'ins-tant tous se réfugient dans l'attentisme. Le pouvoir de Bishkek insiste pour que se tienne un référendum constitutionnel ce dimanche, alors que 300 000 personnes se trouvent toujours déplacées et 100 000 réfugiées à l'ex-térieur du pays. C'est un pouvoir aux abois, en mal de légitimité, qui ne sait pas comment sortir de cette crise.

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=45357http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20100623-ouzbeks-victimes-nettoyage-ethnique

GENOCIDE DES TZIGANES

Le génocide des tsiganes en débat24 juin 2010 06h00

Manouche-Gadjé, le Mrap et la LDH organisent une soirée de discussion, demain vendredi, avec un historien spécialiste du sort qui leur a été réser-vé en 39-45.

C'est un génocide qui n'est toujours pas reconnu comme tel et dont on parle peu. Victimes oubliées, on estime que près de la moitié de la popula-tion tsigane européenne a été exterminée pendant la Seconde Guerre mondiale, c'est-à-dire entre 400 000 et 500 000 personnes. Depuis des an-nées, de nombreuses associations demandent la reconnaissance de ce crime du nazisme.

« Notre souhait pourrait être enfin exaucé à l'occasion de la prochaine Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisé-mites de l'État français et d'hommage aux Justes, en juillet. En effet, Hu-bert Falco (le secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants, NDLR) a indiqué par courrier à la Fnasat-Gens du voyage (1) qu'il pré-voyait de s'exprimer sur ce sujet », explique Jeanine Lafenêtre, présidente de Manouche-Gadjé. Dernier film de Tony Gatlif

C'est précisément pour « porter à la connaissance du grand public ce sombre pan de l'histoire auquel la France pétainiste a amplement participé

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20100623-ouzbeks-victimes-nettoyage-ethnique

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20100623-ouzbeks-victimes-nettoyage-ethnique


» que l'association, en collaboration avec le Mrap et la Ligue des droits de l'Homme des Landes, organise une soirée au cinéma Le Royal, demain, sur le sort réservé aux tsiganes entre 1939 et 1945.

Emmanuel Filhol, historien spécialiste des gitans, maître de conférences à l'Université Bordeaux I et co-auteur avec Marie-Christine Hubert de l'ou-vrage « Les Tsiganes en France, un sort à part », animera une conférence à partir de 19 heures, suivie de la projection du dernier film de Tony Gatlif, « Liberté ».

Ce livre met en lumière comment les tsiganes, qu'ils soient manouches, gi-tans, roms ou yénisches ont été persécutés avant, pendant et après la guerre. Dès le début de la guerre, environ 16 000 tsiganes sont assignés à résidence en France, puis internés dans 30 camps qui leur sont destinés, en zone occupée ou libre. Livrés à eux-mêmes, ils vont vivre dans des conditions misérables. Leur libération ne sera effective qu'en 1946. Quant aux internés dans le camp de Poitiers, ils furent déportés à Oranienbourg-Sachsenhausen et Buchenwald.

À partir de 19 heures au cinéma Le Royal.

(1) Fédération nationale des associations solidaires d'action avec les tsi-ganes et les gens du voyage.


http://www.sudouest.fr/2010/06/24/le-genocide-des-tsiganes-en-debat-124739-3452.php

Valence. L'Apollo se souvient des tziganes sacrifiésPublié le 24/06/2010 10:44 | Anne-Sophie Fontanet

Cinéma

Le cinéma Apollo a projeté le film « Liberté » de Tony Gatlif. L'histoire d'une famille tzigane durant la seconde guerre mondiale qui ressemble étrangement au massacre perpétré par la division SS Das Reich à Saint-Sixte ou 14 tziganes, pour la plupart des enfants en bas âge, périrent sous les balles des mitraillettes allemandes.

Hier matin, la famille d'Eugène-Alain Daumas s'est réunie sur une stèle à Saint-Sixte.

Jour d'une autre commémoration, celle d'un massacre aussi meutrier à




Dunes (14 pendus par la même division) il y a 66 ans. Le président de l'Union française des associations tziganes a tenu à rappeler le sort de ceux qu'il estime oubliés. Eugène Daumas se bat depuis les années 1990 pour la reconnaissance des atrocités vécues par les Tziganes durant la se-conde guerre mondiale. Un film bouleversant

« Je connais très bien Tony Gatlif, le producteur, pour avoir participé au co-mité de pilotage du film. Cela fait 5 fois que je le vois et à chaque fois je pleure de voir ces enfants derrières des barbelés. Ce film est pour nous un élément propulseur. Même s'il ne dit pas tout, il affiche les atrocités que ces gens ont vécues.

En outre qu'ils ont été libérés des camps de concentration deux ans après la fin de la guerre » rappelle Eugène Daumas. Avec sa fille Jessy, prési-dente de l'association « Romnie », femme en tzigane, ils se battent pour une reconnaissance de l'État français de l'internement et de la déportation des Tziganes. « Ca fait partie de l'histoire de France. Ca devrait être ensei-gné dans les livres d'histoires aux élèves » soutient Eugène.

En attendant, il privilégie l'information auprès de tous les publics. Il y a trois, c'est à Montauban que le film était projeté avec une salle comble où le débat a été autant constructif qu'instructif. Le film sortit le 14 février dernier doit permettre de faire mieux connaître le sort de ces nombreux Tziganes sacrifiés durant la seconde guerre mondiale.


http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/24/861295-Valence-L-Apollo-se-souvient-des-tziganes-sacrifies.html

SOUDAN

Soudan: pas de contacts du gouvernement avec les diplomates US, venus ouvrir l'ambassade20:55 23/06/2010

KHARTOUM, 23 juin - RIA Novosti

Le gouvernement soudanais n'envisage pas de contacts officiels avec les représentants du département d'Etat américain, arrivés à Khartoum pour participer jeudi à la cérémonie d'ouverture d'une nouvelle ambassade US, a annoncé mercredi aux journalistes une source au sein du gouvernement.




"Le programme de séjour de la délégation américaine ne prévoit pas de rencontres avec des officiels soudanais… Leur mission se limite aux af-faires de la nouvelle représentation diplomatique des Etats-Unis", a indi-qué la source.

Et d'ajouter que l'ouverture d'une nouvelle ambassade US à Khartoum per-mettrait de "promouvoir les relations bilatérales" et de faciliter l'obtention de visas pour des Soudanais se rendant aux Etats-Unis qui étaient obligés jusqu'ici d'aller chercher des visas au Caire.


http://www.fr.rian.ru/world/20100623/186950832.html

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Armenians Must Take Bold, Pre-emptive Measures to Counter all Hostile Acts

By Harut Sassounian Publisher, The California Courier Sassounian's column of June 27, 2010

Having been victimized by many conquerors throughout history, Armenians have developed a strong instinct for survival. To stay out of trouble, they have learned to be loyal and even subservient to the states that ruled over them.

While Armenians gained plenty of â€œmoral victories, their actual battlefield successes have been few and far between. One has to go back to two thousand years to find a rare example of a conquering Armenian ruler, King Tigran the Great (140-55 BC) whose vast empire extended from the Caspian to the Mediterranean Sea. In the modern era, prior to the Armenian Genocide, Armenian Freedom Fighters (Fedayees) fought back against the murderous Turks and Kurdish mercenaries. During the Genocide, the Armenians of Aintab, Hajin, Musa Dagh, Sassoun, Van, and Zeitoun bravely defended themselves, while 1.5 million of their kinsmen were slaughtered like sheep. The heroic Battle of Sardarabad saved the remnants of the Armenian people in Eastern Armenia, culminating in the establishment of the first Armenian Republic in 1918. Finally, beginning in 1988, brave young men and women battled the much larger and better armed forces of Azerbaijan to liberate Artsakh (Karabagh).

In the late 19th and early 20th centuries, many western missionaries,

http://www.fr.rian.ru/world/20100623/186950832.html


tradesmen, writers and adventurers, often described the Armenians they encountered in the Ottoman Empire as â€œcringing. Canadian-Armenian website Keghart.com, in an editorial posted last week, quoted Dr. William Goodellâ€™s depiction of the Armenians of Constantinople in 1871: Four centuries of torture, of oppression, and of suspense have stamped its impress upon an entire community constant fear, constant agony, constant humiliation have so crushed out every trace of manhood, that they are still cringing, fawning, an abject race. Several generations of happier descendants can alone efface the mental taints acquired in those long years of vassalage.

Regrettably, many Armenians have yet to overcome the â€œslave mentalityâ€ � -- deeply ingrained in their psyche -- inherited from ancestors who lived for centuries under foreign yoke. One comes across countless examples of self-effacing behavior in Armenian communities throughout the Diaspora and in Armenia itself. All too often Armenians meekly accept injustices and insults heaped on them by others.

It is high time that Armenians throw off their shackles and defend their inalienable rights. They must not remain silent in the face of abuse or physical attack, but respond appropriately without resorting to reckless actions that may endanger their communities or the homeland.

In the United States, for example, when elected officials, journalists or writers distort the facts of the Armenian Genocide, they must be severely criticized and discredited, so others would be warned to refrain from Genocide denial.

The most recent example of Armenian inaction is the feeble Armenian response to last week’s night-time attack by Azeri forces on Artsakh, causing the deaths of four Armenian soldiers and the wounding of four others. Beyond expressions of sympathy for the victims and condemning the attack, no concrete action was taken by Armenian officials.

In the aftermath of this vicious and unprovoked attack, Armenia should have announced the cancellation of the next round of negotiations with Azerbaijan over Artsakh. It is completely unacceptable to conduct peace talks, while Azerbaijan is engaged in warfare. Under these circumstances, Armenians have the right to take all possible actions to defend themselves from future attacks. Rather than merely issuing a condemnation, the Armenian side at a time of its choosing should carry out punishing pre-emptive strikes so that Azeris would think long and hard before mounting another attack. Azerbaijan should clearly understand that any further aggression on their part would: 1. Cause the suspension of the peace talks, thus delaying the resolution

of the conflict rather than expediting the negotiating process. 2. Lead Armenia to eventually abandon all peace talks, since it has little to gain from these negotiations. Azerbaijan is the one that desperately needs to negotiate in order to secure concessions from Armenia. 3. Signal to the world that the government of Azerbaijan is not interested in finding a negotiated settlement to the conflict and is responsible for its collapse. 4. Discredit the good faith effort of the mediating countries â€“ France, Russia and the United States. 5. Force Armenia to initiate military action, causing a disproportionate amount of destruction, even damaging the oil pipelines, in order to discourage Azerbaijan from further attacks. Armenians must realize that they no longer live in the Ottoman Empire and are no one’s slave. They should shake off their psychological shackles and take all necessary measures to defend their national interest!

Armenians Must Take Bold, Pre-emptive Measures to Counter all Hostile Acts

By Harut Sassounian Publisher, The California Courier Sassounian's column of June 27, 2010

Having been victimized by many conquerors throughout history, Armenians have developed a strong instinct for survival. To stay out of trouble, they have learned to be loyal and even subservient to the states that ruled over them.

While Armenians gained plenty of â€œmoral victories, their actual battlefield successes have been few and far between. One has to go back to two thousand years to find a rare example of a conquering Armenian ruler, King Tigran the Great (140-55 BC) whose vast empire extended from the Caspian to the Mediterranean Sea. In the modern era, prior to the Armenian Genocide, Armenian Freedom Fighters (Fedayees) fought back against the murderous Turks and Kurdish mercenaries. During the Genocide, the Armenians of Aintab, Hajin, Musa Dagh, Sassoun, Van, and Zeitoun bravely defended themselves, while 1.5 million of their kinsmen were slaughtered like sheep. The heroic Battle of Sardarabad saved the remnants of the Armenian people in Eastern Armenia, culminating in the establishment of the first Armenian Republic in 1918. Finally, beginning in 1988, brave young men and women battled the much larger and better armed forces of Azerbaijan to liberate Artsakh (Karabagh).

In the late 19th and early 20th centuries, many western missionaries, tradesmen, writers and adventurers, often described the Armenians they encountered in the Ottoman Empire as â€œcringing. Canadian-Armenian website Keghart.com, in an editorial posted last week, quoted Dr. William Goodellâ€™s depiction of the Armenians of Constantinople in 1871: Four centuries of torture, of oppression, and of suspense have stamped its impress upon an entire community constant fear, constant agony, constant humiliation have so crushed out every trace of manhood, that they are still cringing, fawning, an abject race. Several generations of happier descendants can alone efface the mental taints acquired in those long years of vassalage.

Regrettably, many Armenians have yet to overcome the â€œslave mentalityâ€ � -- deeply ingrained in their psyche -- inherited from ancestors who lived for centuries under foreign yoke. One comes across countless examples of self-effacing behavior in Armenian communities throughout the Diaspora and in Armenia itself. All too often Armenians meekly accept injustices and insults heaped on them by others.

It is high time that Armenians throw off their shackles and defend their inalienable rights. They must not remain silent in the face of abuse or physical attack, but respond appropriately without resorting to reckless actions that may endanger their communities or the homeland.

In the United States, for example, when elected officials, journalists or writers distort the facts of the Armenian Genocide, they must be severely criticized and discredited, so others would be warned to refrain from Genocide denial.

The most recent example of Armenian inaction is the feeble Armenian response to last week’s night-time attack by Azeri forces on Artsakh, causing the deaths of four Armenian soldiers and the wounding of four others. Beyond expressions of sympathy for the victims and condemning the attack, no concrete action was taken by Armenian officials.

In the aftermath of this vicious and unprovoked attack, Armenia should have announced the cancellation of the next round of negotiations with Azerbaijan over Artsakh. It is completely unacceptable to conduct peace talks, while Azerbaijan is engaged in warfare. Under these circumstances, Armenians have the right to take all possible actions to defend themselves from future attacks. Rather than merely issuing a condemnation, the Armenian side at a time of its choosing should carry out punishing pre-emptive strikes so that Azeris would think long and hard before mounting another attack. Azerbaijan should clearly understand that any further aggression on their part would:

1. Cause the suspension of the peace talks, thus delaying the

resolution of the conflict rather than expediting the negotiating process.

2. Lead Armenia to eventually abandon all peace talks, since it has little to gain from these negotiations. Azerbaijan is the one that desperately needs to negotiate in order to secure concessions from Armenia.

3. Signal to the world that the government of Azerbaijan is not interested in finding a negotiated settlement to the conflict and is responsible for its collapse.

4. Discredit the good faith effort of the mediating countries â€“ France, Russia and the United States.

5. Force Armenia to initiate military action, causing a disproportionate amount of destruction, even damaging the oil pipelines, in order to discourage Azerbaijan from further attacks.

Armenians must realize that they no longer live in the Ottoman Empire and are no one’s slave. They should shake off their psychological shackles and take all necessary measures to defend their national interest!

http://asbarez.com/82470/manoyan-says-osce-appeasing-azerbaijan/

EU, NATO ‘Regret’ Karabakh FightingJune 23rd, 2010 | Posted by Asbarez Staff

EU foreign-affairs chief Catherine Ashton addresses a news conference af-ter a meeting of European foreign ministers at the EU Council in Brussels

BELGIUM (RFE/RL)–The European Union and NATO on Wednesday added their voice to international mediators’ concerns about the worst ceasefire violation in Nagorno-Karabakh in over two years that was reported late last week.

Azerbaijan, meanwhile, sought to rationalize this and other skirmishes be-tween Armenian and Azerbaijani forces, saying that they are the inevitable result of the unresolved dispute over the Armenian-populated territory.

The EU’s High Representative for Foreign Affairs and Security Policy Catherine Ashton said through a spokesperson that she regrets the June 18-19 armed incident in northeastern Karabakh that left four Armenian and one Azerbaijani soldiers dead.

http://asbarez.com/author/asbarez-staff/

http://asbarez.com/82470/manoyan-says-osce-appeasing-azerbaijan/

“The High Representative calls on both sides to respect the ceasefire, re-strain from the use of force or any threat thereof, and continue efforts for the peaceful resolution of the Nagorno-Karabakh conflict,” read a state-ment issued by the spokesperson. “The EU reiterates its full support to the efforts of the OSCE Minsk Group and the work of the three co-chairs.”

“NATO regrets these incidents and we certainly monitor the situation,” Guenter Bretschneider, the head of the alliance’s Euro-Atlantic Disaster Response Coordination Center, told journalists in Yerevan. “That’s all I can say at this moment.”

Neither Ashton, nor the NATO official blamed Azerbaijan for the fighting which came just one day after a meeting of Armenia’s and Azerbaijan’s presidents in Russia. Armenian leaders claim that Aliyev ordered an Azer-baijani army unit to attack a Karabakh Armenian outpost to sabotage the negotiating process.

In a joint statement issued late on Monday, the Minsk Group’s American, Russian and French chairs condemned the incident as an “unacceptable vi-olation of the 1994 Ceasefire Agreement.” They reiterated their view that “there is no alternative to a peaceful negotiation solution of the conflict and that war is not an option.” The co-chairs similarly did not blame Azer-baijan.

“The co-chairs are urging us not give the war a chance, but in order for that to happen, the armed forces of Armenia must leave Azerbaijan’s terri-tories,” Azerbaijani Foreign Minister Elmar Mammadyarov told a news con-ference in Baku on Wednesday. “The sooner that process begins, the bet-ter for everyone.”

“Armenia wants to sign with us some agreement on non-use of force,” he said, according to the APA news agency. “But force was already used and its consequences must be eliminated.”

Mammadyarov also said that Armenia has still not formally responded to what the co-chairs call “an updated version” of their basic principles of a Karabakh settlement that were originally put forward in Madrid in 2007. “It is very difficult to work in such circumstances,” he said.

Official Yerevan has repeatedly downplayed the still unpublicized changes made by the mediators in the Madrid document. Armenian leaders say they always accepted the original document as “a basis for negotiations.” They also dispute Baku’s stated acceptance of its modified version.

Meanwhile, the warring sides continued on Wednesday to accuse each other of violating the ceasefire regime in various sections of the Karabakh frontline. Neither side reported fresh casualties.

The Trend news agency cited the Azerbaijani Defense Ministry as saying that its forces came under “intense fire” from Armenian positions east and north of the disputed region on Tuesday and Wednesday.

A Karabakh military spokesman denied this, saying that Karabakh Arme-nian forces only returned fire to “silence the enemy.” “The Karabakh side did not breach the ceasefire,” Senor Hasratian told RFE/RL’s Armenian ser-vice from Stepanakert.

http://asbarez.com/82500/eu-nato-%E2%80%98regret%E2%80%99-karabakh-fighting/

Turkey’s ‘Zero Problems’ Policy Yield ‘Zero Results’ Says SarkisianJune 23rd, 2010 | Posted by Asbarez Staff

BERLIN (Combined Sources)—The strategic South Caucasus region will re-main divided and its potential untapped as long as Turkey continues to im-pose its will on Armenia and refuses to act in accordance with the interests of the entire region, Armenian President Serzh Sarkisian said Wednesday.

Speaking at the Konrad Adenauer Foundation headquarters, a leading think tank in Berlin, Sarkisian said, Turkey’s so-called policy of “zero prob-lems with neighbors, yields zero results” because Ankara does not work in coordination with its neighbor’s interests, but in collision.

“Turkey refused to fulfill its obligations by ratifying the protocols and re-sorted, again, to the language of threats and preconditions,” Sarkisian said. “Of course, the failure of the Armenian-Turkish normalization can be explained by the unwillingness of the Turkish political leadership and possi-bly Azerbaijan’s pressures.”

Many of the issues in the region are resolved in this way, through force, Sarkisian said. “The more powerful countries try to impose their own solu-tions.

The Armenian President went on to further outline what he said was neces-sary for a secure and prosperous future for his region.




He characterized the South Caucasus as a place where opposing realities exist, where peace and war, instability and security all exist because of an imbalance between the region’s neighboring countries.

“Our region has been called a bridge linking Asia to Europe, as an energy security link, as a factor of stability or instability, as a transit zone for com-munication routes, as a platform of competition or clash of interests,” Sarkisian said.

The end of the Cold War, he continued, brought stability to peace and sta-bility to many countries throughout the word, but for the South Caucasus it ushered in a period of “severe conflicts” made worse by the uneven bal-ance of power and relations in the region.

Azeri Attacks

Sarkisian also challenged the response by the OSCE Minsk Group and other international bodies to last week’s attack by Azerbaijan on Armenian forces in the Nagorno-Karabakh Republic, saying they failed to properly condemn Azerbaijan for inciting violence and violating the cease-fire.

“The entire world knows that it was Azerbaijan that violated the ceasefire in the contact line between the Azeri and Nagorno-Karabakh armed forces, on June 18,” said Sarkisian adding the international community’s unwilling-ness to single-out the responsible party disrupts the negotiations.

“We signed a trilateral ceasefire agreement in 1994 between Azerbaijan, Nagorno-Karabakh and Armenia. We did this at Azerbaijan’s suggestion and with Russia’s mediation. That is to say, we have a legal obligation not to violate the ceasefire, but ceasefire violations do occur. The incident, which occurred only hours after my meeting with Azerbaijan’s president, which took place with the mediation of the Russian president, was simply something unacceptable. It was a challenge to the Minsk Group, and Rus-sia and to us, of course,” stressed Sarkisian.

Relations with Iran

Sarkisian also urged Western powers to respect Iran’s geopolitical interests in the South Caucasus and held up Armenia’s economic projects with the Islamic Republic as a model for regional cooperation.

In a speech at the Konrad Adenauer Foundation headquarters in Berlin, he said: “I do realize that in the light of the sanctions imposed on Iran some people will treat my approach with skepticism, but I am convinced that it is wrong and not possible to ignore Iran in regional solutions.”

“It is extremely important for the region to address Iran’s sense of being in danger. Without that, there can be no solution to future challenges or even the current [Iranian] nuclear problem,” he said.

The Armenian leader promoted his administration’s plans to implement more multimillion-dollar projects with Iran. He singled out the planned con-struction of an Armenian-Iranian railway and the unfolding upgrading of Armenia’s main highways stretching from the Iranian border to southern Georgia.

“These infrastructure projects could have a truly revolutionary significance in terms of transport communication as they would connect the Black Sea to the Persian Gulf and Indian Ocean,” he declared.

Sarkisian juxtaposed them against the pipelines carrying Azerbaijani oil and gas to international markets through Georgia and Turkey. He said the resulting windfall revenues have only enabled Azerbaijan to embark on a military build-up, thereby increasing the likelihood of renewed war in Nagorno-Karabakh.

“What has that project given the region?” he said, referring to the Baku-Tbilisi-Ceyhan oil pipeline. “Deepening of division lines, an arms race, an increase in bellicose rhetoric. Was this the anticipated ‘security and pros-perity?’”

“Oil and gas pipelines, communication lines stretching only from the east to the west can not guarantee stability, security and prosperity in the re-gion,” he added.

Sarkisian also denounced Azerbaijan for rejecting any economic coopera-tion with Armenia before a resolution of the Karabakh conflict. He said “economic integration processes” involving all regional states would greatly facilitate a Karabakh settlement.

http://asbarez.com/82457/turkish-approach-to-south-caucasus-damaging-to-peace-stability-says-sarkisian/

Attack on Karabakh a ‘Message’ to the World, Says Azeri Foreign MinisterJune 23rd, 2010 | Posted by Asbarez Staff

BAKU (News.az)–The recent Azerbaijani attack on a security outpost in Karabakh that left four Armenian soldiers dead is a “message to the entire




world” that such attacks will continue until Baku regains control over Nagorno-Karabakh, Azerbaijan’s Foreign Minister Elmar Mammadyarov warned on Wednesday.

Mammadyarov’s remarks come less than a week after Azeri forces on June 18 launched an attack on positions in Mardakert, killing four Karabakh sol-diers and wounding as many one day after an Armenian and Azeri presi-dential summit on Nagorno-Karabakh in St. Petersburg, mediated by Rus-sia. The skirmishes continued throughout the weekend, with Azeri forces violated the cease fire regime some 284 times.

The incident occurred amid heightened tension in the region as Official Baku, frustrated with the Karabakh peace process, steps up its threats to invade the Nagorno-Karabakh Republic.

“Some, including Armenia, accuse Azerbaijan of bellicose rhetoric, but this rhetoric will not end before the settlement of the conflict,” Mammadyarov told a joint press conference with Austrian counterpart Michael Spindeleg-ger in Baku on Wednesday.

Meanwhile, Azerbaijan’s president, Ilham Aliyev, on Wednesday told an an-nual session of the Islamic Development Bank that he expected to gain control over Karabakh soon.

The fledgling state, sandwiched between Armenia and Azerbaijan, de-clared its independence from the crumbling Soviet Union in 1991. The move, hailed as the Soviet Union’s first genuine democratic movement, was met with violence as Azerbaijan invaded the young republic, sparking a devastating war that lasted until 1994.

The region, a historic province of Armenia, was placed under the jurisdic-tion of the Soviet Republic of Azerbaijan in the 1920s as part of a deal be-tween Russia and Turkey that paved the way for the Sovietization of the Caucasus.

Despite that, Aliyev maintained that “Karabakh is ancient Azerbaijani land” and added that he did” not doubt that it would be liberated.”

http://asbarez.com/82463/attack-on-karabakh-a-%E2%80%98message%E2%80%99-to-the-world-says-azeri-foreign-minister/



PACE President Meets Armenian, Azeri Delegates to Discuss Role in Karabakh

June 23rd, 2010 | Posted by Asbarez Staff

STRASBOURG (Combined Sources)—The Armenian and Azeri delegations to the Parliamentary Assembly of the Council of Europe (PACE) met Wednesday with PACE President Mevlut Cavusoglu to discuss the revival of a failed PACE subcommittee on the Nagorno-Karabakh conflict.

The meeting came two days after Cavusoglu, who is a member of the Turk-ish parliament, confirmed at a press conference that he was devising a plan to reestablish a PACE subcommittee on the Nagorno-Karabakh con-flict.

According to Armenian PACE delegate Armen Rustamian, the Armenian and Azeri sides agreed that no structure established by the PACE could substitute the OSCE Minsk Group format.

“We oppose the creation of any platform that might grow into a new stage for propaganda, thus further aggravating the strained relations,” said Rus-tamian, who chairs Armenia’s Parliamentary Foreign Relations committee and heads the Armenian Revolutionary Federation’s (ARF) Supreme Coun-cil in Armenia.

In the talks with Cavusoglu, Rustamian said, the Armenian delegates “questioned whether any PACE format with no experience and institutional capacity could play a role in the conflict settlement.”

According to Rustamian, the Azeri deputies showed “willingness to con-tinue cooperation” within the Minsk Group format. He said Baku should echo the position of its PACE delegates.

Speaking to reporters earlier this week, Cavusoglu sought to make a case for his proposed Karabakh committee by citing a 2005 PACE resolution dealing with the conflict. “I may say that one of the best options for a solu-tion lies in respect for PACE Resolution №1416 passed in 2005. This is a very well-prepared document and realization of this resolution by both sides will bring peace and stability to Azerbaijan and Armenia, as well as to the entire region,” he said.

Cavusoglu said the resolution called for the PACE Bureau to create an ad hoc committee on the Karabakh conflict, which stopped work after the death of its chairman, Lord Russell-Johnston, in July 2008.


Speaking to News.am Wednesday, ARF Political Director Giro Manoyan crit-icized Cavusoglu’s plans and warned that any attempt to address the con-flict within PACE will unravel more than a decade of diplomacy by the Minsk Group and be detrimental to the entire peace process.

Manoyan stressed that Armenia should oppose “the consideration of the Karabakh conflict by any other agency than the OSCE Minsk Group.” He said that the impression in Armenia is that Azerbaijan and Turkey are using PACE to derail the peace initiative.

“Each international agency has its powers and responsibility. The OSCE is the coordinator of security issues in the region,” he added. “Shifting the is-sue from the OSCE to another agency is unacceptable.”

“If PACE seeks to have a role in the Karabakh peace process, it can do so within its mandate, raising issues on democracy and human rights,” Manoyan said. “If PACE has something to say on the matter, let it say and send an observer to NKR elections.”

On June 21, PACE President Mevlut Cavusoglu met with the Armenian and Azerbaijani delegations and discussed the re-establishment of the PACE Subcommittee on Nagorno-Karabakh

http://asbarez.com/82508/pace-president-meets-armenian-azeri-dele-gates-to-discuss-role-in-karabakh/

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New memorial to Armenian Genocide THE MARTYRS’ CHAPEL IN ANTELIAS DEEPENS OUR FAITH AND REAF-FIRMS OUR COMMITMENT YO JUSTICEANTELIAS, Montreal (Canada) - On Saturday 19 June 2010, after the Evening Service, His Holiness Aram I blessed the new monument Khatchkar (stone cross), named “Red Gospel”. Located in the courtyard of the Prelacy in Montreal, was built to commemorate the Armenian Genocide of 1915.

After placing remains of the genocide victims that he had brought from An-telias at the foot of the monument, His Holiness said: “This Khatchkarwill become a constant reminder of our genocide on this continent. TheCatholicosate of Cilicia deported from its homeland is a testimony of theimpunity condoned by world politicians. The Martyrs’ Chapel, withits mass grave in Antelias is the witness of the Gospel in our lives. TheCatholicosate of Cilicia will continue to advocate the just cause of our

http://asbarez.com/82508/pace-president-meets-armenian-azeri-delegates-to-discuss-role-in-karabakh/

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people through its prayer-life and diakonia.” He then continued, “weshould pursue our demand with one voice but with complementary grounds of action. Armenia and Diaspora should complement one another in their claims for justice.”

At the end of the Catholicos’s inspiriting message, the people sangthe Anthem of the Catholicosate and greeted him.

JUSTICE FOR IMPRISONED KURDISH CHILDREN IN TURKEYou are kindly invited to our forthcoming concert and film screening and seminar in solidarity with imprisoned Kurdish children in Turkey

Talk

Ms Milena Buyum

Campaigner on Turkey for Amnesty International

Ms Fatma Unsal, Justice for Children Initiative’

Concert

Aygul Erge, singer-song writer

Film Screening

'Taslanan Vicdanlar/Brutal Consciences'by Cenk Örtülü & Zeynel Koç Turkish and Kurdish with English subtitles, Running time 50 minutes.

Date and time:24 June 2010,@ 6:00Venue:Khalili Lecture Theatre, School of Oriental and African Studies SOAS, Thornhaugh Street, Russell Square, London WC1H 0XG

Organised by Kurdish society at SOAS(KSSOAS),Kurdish Studies and Student Organisation(KSSO) and BritainPeace Council

Seminar abstract and program

We are deeply concerned about the routine and systematic beating, ill-

treatment and imprisonment of Kurdish children in Turkey. According to Amnesty International's newly published report, “since 2006, thousands of children in Turkey, some as young as 12, have been prosecuted under anti-terrorism legislation solely for their alleged participation in demon-strations”.

Children aged 10-18 are being detained, interrogated and tried under the same conditions as adults. As a consequence, some are sentenced and jailed for 5 to 25 years under the anti-terror law. The children are accused of participating in street protests, doing the victory sign, shouting slogans, throwing stones at the Turkish police or singing Kurdish songs.

Children have been forced to make statements in adult courts without their lawyers or social workers present. They have been imprisoned in adult prisons and were deprived of their rights to education, Moreover chil-dren have been deported to other prisons far from their families so their families have difficulties regularly visiting them.

Reports about this mistreatment of children have caused an outcry amongst Kurdish communities and the international public. Families of the children, Kurdish and Turkish civil organisations, human rights organisa-tions and intellectuals have called on the Turkish government to release children and abandon discriminatory laws against the Kurdish ethnic mi-nority, especially towards Kurdish children. The human rights group Justice for Children Initiative has begun a campaign to force the Turkish govern-ment to find a solution for the imprisoned children before the Turkish par-liament goes on summer holiday. Turkey is a signatory to the Convention of the Rights of the Child and has a duty to protect the rights of all children. Article 2 of the UN Convention on the Rights of the Child bans discrimination against children. It states that “Within the jurisdictions and authorities bestowed upon them, Signa-tory States of this convention recognise and guarantee the rights defined in this Convention to all children without any discrimination based on the children’s, their parents’ or guardians’ race, colour, gender, language, po-litical or otherwise opinions, national, ethnic or social background, prop-erty, disability, birthright or any other status.”

We have invited Ms Milena Buyum, campaigner on Turkey for Amnesty In-ternational to talk about Amnesty International research and report on im-prisoned Kurdish children. Ms Fatma Unsal, Chairperson of ‘Justice for Chil-dren Initiative’ (ÇİAÇ) will talk about ‘Justice for Children Initiative’ newly announced campaign to force the Turkish government to stop these poli-cies towards Kurdish children.

Aygul Erge, singer-song writer who has composed a song titled “Dayê Min Bifiltîne/ My mum rescue me” on imprisoned Kurdish children will sing be-fore starting the seminar.We will screen the film 'Taslanan Vicdanlar/Brutal Consciences' by Cenk Örtülü & Zeynel Koç (running time 50 minutes). The film focuses on impris-oned Kurdish children who are subjected to the Turkish state's physical and psychological violence.

Further information on www.ksso.org.uk , [email protected] or www.baris-meclisi.com • [email protected]

--- The UK Kurdish Studies & Student Organisation is a non-political body that strives to promote greater awareness of the Kurds, their political and cul-tural situation in the Middle East and as a significant minority community in the UK. Email: [email protected] Website: www.ksso.org.uk

RASSEMBLEMENTSEXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS

Agenda - 25 juin/France 3: "Le voyage en Arménie" de Robert GuédiguianLe Collectif VAN vous informe: Le vendredi 25 juin 2010 de 0H05 à 2H00 (115') sur France 3 "Le voyage en Arménie" [drame] de

Robert Guédiguian

Origine : France

Durée : 1 heure 55 minutes

Sous-titrage malentendant (Antiope).

Stéréo

En 16:9

Musique : Arto Tunçboyaciyan

http://www.ksso.org.uk/

mailto:[email protected]

http://www.ksso.org.uk/2010/06/19/

RÉSUMÉ

Barsam est un homme bien malade. Comprenant qu'il n'en a plus pour longtemps, il décide de rejoindre sa terre natale, l'Arménie. Consternée de ce départ qu'elle n'a pas vu venir, sa fille Anna ne saisit pas la raison pro-fonde de ce qu'elle considère comme une fuite. Lorsqu'elle découvre les indices que son père a laissés derrière lui, elle décide de partir à sa re-cherche. Mais elle doit affronter maintes tracasseries en cours de route, car le trajet est long jusqu'au Caucase. Anna laisse peu à peu ses certi-tudes et son immaturité derrière elle. Elle veut surtout comprendre le sens du mystérieux message que son père lui a laissé sous forme d'indices par-cellaires...

CRITIQUE TELERAMA

Film de Robert Guédiguian (France, 2006). Scénario : Ariane Ascaride, Ma-rie Desplechin, R. Guédiguian. 115 mn. Avec Ariane Ascaride : Anna. Gé-rard Meylan : Yervanth.

Genre : échappée belle.

En 2005, le moment était venu pour Guédiguian d'explorer ses origines ar-méniennes. L'héroïne de ce film est pourtant une femme qui fait (long-temps) la gueule, et à laquelle Ariane Ascaride donne une séduction bien-venue : Anna est une cardiologue pour qui tout est catégorique. Mais son père, qui devait être opéré du coeur, disparaît, laissant une piste pour le retrouver : l'Arménie, où il est né.

A Erevan, la capitale, Anna ne s'émerveille guère. Heureusement pour nous. On craignait en effet de voir Robert Guédiguian fêter ce retour aux sources dans une émotion attendue et bricoler une fiction pour rendre hommage à la mémoire d'un peuple martyr. Plutôt que de délivrer un mes-sage prévisible, Guédiguian part à la recherche de celui qu'il pourrait nous adresser d'Arménie. A travers de nombreux personnages aux ambitions di-verses, il réussit à évoquer différentes réalités du pays. Le passé, le pré-sent, tout s'engouffre dans ce Voyage, la question de la mémoire comme celle du chaos économique actuel. Cette soif de tout dire rend le film foi-sonnant et lui donne finalement un souffle réjouissant.

Frédéric Strauss

Télérama, Samedi 19 juin 2010



http://television.telerama.fr/tele/emission.php?id=17363366

Agenda - 27 juin: Chœur lyrique dirigé par Madame Gayané HovhannisyanDIMANCHE 27 JUIN à 18 heures

ASSOCIATION CULTURELLE ARMENIENNE CALAS CABRIES

Choeur lyrique. Avez vous entendu chanter en arménien par des voix di-vines qui n'ont aucune attache arménienne en dehors de l'amour qu'elles portent à notre musique ?

Choeur dirigé par Madame Gayané Hovhannisyan - distinguée entre autre par ARTE "choeur lyrique des enfants de l'Estaque".

Entrée libre. Château de la Trébillane, avenue René Cassin, 13480 Cabries http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=45295

http://www.armenoscope.com/agenda/rech.asp?type_info=ponctuelle#Art,%20culture%20et%20histoire

Agenda - 1er juillet: Conférence-débat de Nil Agopoff sur Arméniens et Arabes

JEUDI 1er JUILLET à 20h30

UCFAF

Conférence-débat de Nil Agopoff sur Arméniens et Arabes, aperçu des re-lations historiques et culturelles aux cours des siècles.

Avec projection,de reproductions de monnaies, monuments d'architecture, cartes anciennes, gravures, manuscrits, portraits et photos d'actualités.

PAF 5€ réduit 3€. Centre Culturel UCFAF-JAF,




http://television.telerama.fr/tele/emission.php?id=17363366

6 cité du Wauxhall, 75010 Paris (M° République) http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=45311http://www.armenoscope.com/agenda/rech.asp?type_info=ponctuelle#Art,%20culture%20et%20histoire

Agenda - 25 juin : Une conférence-débat sur le Dja-vakhkVENDREDI 25 JUIN à partir de 19h00 précises

COMITÉ RÉGIONAL HAY DJAMPA DE CANNES

Une conférence-débat sur le Djavakhk avec la participation d'Arménag Aprahamian, membre du Conseil National Arménien.

Pour tous renseignements : 06 64 39 96 26. Entrée libre. Maison des Asso-ciations, 9 rue Louis Braille, 06400 Cannes http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=45280


Agenda - 25 juin: Inauguration du rond point Hrant DinkMonsieur Jean Claude Perrin maire de Bouc Bel Air, Vice Président de la Communauté des Communes, Monsieur Edmond Eutedjian Président de

l’Association Culturelle Arménienne de Bouc Bel Air vous prient de bien vouloir assister à l’inauguration du rond point Hrant Dink (journaliste as-sassiné en Turquie en janvier 2007 ).

Le Vendredi 25 juin à 19h00 heures au rond point Décathlon (en-trée principale) à Bouc Bel Air, en présence de Rakel Dink, son épouse et sous le haut patronage de Richard Mallié député de la 10ème circons-cription des BDR.









Agenda - Concert d'Alain Altinoglu au Festival de Saint-DenisAvant les Chorégies d’Orange, fraîchement rentré d’une Carmen au Met, Alain Altinoglu fait étape à Saint-Denis où il dirigera l'Orchestre National de France dans Stabat Mater de Poulenc, Concerto pour trompette et or-chestre de Haydn, les 24 & 25 juin 2010 à 20H30 à la Basilique Cathé-drale. Si vous ne pouvez assister à ce concert donné dans le cadre du Festival de Saint-Denis, vous avez la possibilité de le voir en direct, le Vendredi 25 Juin à 20h30 (heure de Paris : GMT+2h), sur le site de www.medici.tv http://www.medici.tv/ ou sur le lien suivant :http://www.medici.tv/#/a/590/font-size-2-festival-de-saint-denis-font/591/br-concerts/

STABAT MATER DE POULENC Concerto pour trompette et orchestre de Haydn

Sophie Marin-Degor, soprano Alison Balsom, trompette

Choeur de Radio France

Orchestre National de France Daniele Gatti, directeur musical Alain Altinoglu, direction

Poulenc, le surréaliste, est un personnage libre qui écoute toutes ses pas-sions : tantôt la fantaisie, tantôt l’ascèse et la foi. Son Stabat Mater pos-sède ainsi la palette sombre de l’oraison funèbre, la sensualité d’une at-mosphère champêtre jusqu’au final paradisiaque, fait alterner le tragique de la crucifixion et l’illumination sur le nom de la Vierge. Pour l’interpréter, il faut la délicatesse de Blanche des Dialogues des Carmélites que la chan-teuse dionysienne Sophie Marin-Degor interprétait encore hier au Capitole de Toulouse et la perfection des lignes de Gluck qu’elle a récemment chan-té sous la direction de Muti. Ce qui unit Poulenc à Haydn, c’est d’une part la trompette, présente dans les deux oeuvres, d’autre part l’interprète fé-minine soliste, une fois n’est pas coutume dans l’univers très masculin des cuivres ! Star dans les pays anglo-saxons, Alison Balsom est une musi-cienne éclatante à découvrir urgemment en France. Avant les Chorégies d’Orange, fraîchement rentré d’une Carmen au Met, Alain Altinoglu fait étape à Saint-Denis pour un concert aux deux visages, « de moine et de voyou » comme se définissait Poulenc lui-même.

Captation en direct par France Musique pour une diffusion en direct

http://www.medici.tv/#/a/590/font-size-2-festival-de-saint-denis-font/591/br-concerts/

http://www.medici.tv/#/a/590/font-size-2-festival-de-saint-denis-font/591/br-concerts/

http://www.medici.tv/

http://www.medici.tv/

Ce concert sera diffusé en direct en streaming sur www.medici.tv http://www.medici.tv/#/a/590/festival-de-saint-denis/591/br-concerts/

sur notre site et sur nos sites partenaires : www.radiofrance.fr http://www.radiofrance.fr/

www.riccardomuti.com http://www.riccardomuti.com/cover.aspx

www.plainecommune.fr

http://www.plainecommune.fr/ www.ville-saint-denis.fr http://www.ville-saint-denis.fr/

Coproduction Festival de Saint-Denis / Radio France

Chœurs de Radio France Orchestre National de France Radio France

TARIFS 50€ - 32€ - 19€http://www.festival-saint-denis.com/concert.php?id=48http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=44962

Agenda - Michel Legrand en concert à MarseilleSamedi 26 juin 2010 à 17h00 – Auditorium du Pharo

Michel Legrand en concert à Marseille

Pour fêter ses 100 ans, l’Union Générale Arménienne de Bienfaisance de Marseille organise un concert exceptionnel de Michel Legrand avec, en ou-verture, le Chœur arménien Sahak-Mesrop.

Ce concert unique, ouvert à tous, réunira de nombreuses personnalités re-présentant les républiques française et arménienne ainsi que les respon-sables européens de l’Ugab.


http://www.festival-saint-denis.com/concert.php?id=48

http://www.plainecommune.fr/

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http://www.riccardomuti.com/cover.aspx

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http://www.radiofrance.fr/

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http://www.medici.tv/#/a/590/festival-de-saint-denis/591/br-concerts/

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A la fin du concert de Michel Legrand, Alain Terzian, Président de l’Acadé-mie des César, Président de l’Union des Producteurs de Films Français et Président d’Honneur de la soirée de Gala « 100 ans de l’UGAB » , remettra solenellement au nom de la communauté franco-arménienne, un « Toros d’Honneur » à l’un des plus grands compositeurs de sa génération.

Samedi 26 Juin à 17 h 00, Auditorium du Pharo – 58, Boulevard Charles Livon – 13007 Marseille

Réservations - Billets : Auchan, Virgin Mégastore, Cultura – 0892 390 100 – www.tickenet.fr http://www.tickenet.fr/ Fnac, Carrefour, Géant, Magasins U – 0892 683 622 – www.fnac.com http://www.fnac.com/promo/prehomes/prehome_ipad.asp?NID=0&RNID=0

Relations Presse : Richard Findykian - 06 09 20 73 86 - [email protected] http://fr.mc239.mail.yahoo.com/mc/[email protected]

Une interview de Michel Legrand paraîtra dans La Provence le 14 Juin 2010.Elle sera diffusée sur Radio Dialogue ( 89.6 à Marseille - 101.9 Aix-en-Provence et Etang de Berre ) et sur la web-tv franco-arménienne : Ara-rat Tv ( www.ararat-tv.com http://www.ararat-tv.com/ )


Agenda - L'Arménie à l'Hay-les-Roses- L'Hay-les-Roses - Les Troup'Adour - L'ensemble Naïri - La compa-gnie de danse Yéraz dans le ballet "Parfums d'Arménie". le samedi 26 juin à 20h30 dans le cadre du Festival des droits humains et des cultures du monde qui se tient du 18 juin au 1er juillet :

L' Arménie et Les Troup'Adour seront à l'honneur le 26 juin à L'Haÿ-les-Roses (Val de Marne), en compagnie de l'ensemble Naïri et de la troupe de danse Yéraz, dans le cadre du 2ème Festival des cultures du monde et des droits humains.Toujours très appréciés en concert, ces jeunes chanteurs âgés de 18 à 26 ans interprèteront des chants arméniens d'hier et d'au-jourd'hui pour débuter la soirée exceptionnelle consacrée à l'Arménie. Ils seront accompagnés au piano, au doudouk et, pour la première fois au ka-mantcha . Si le "choeur" vous en dit, vous pouvez les rejoindre dès sep-tembre ! Ils répètent tous les lundis soirs de 19 à 21h à L'Haÿ-les-Roses avec un véritable travail vocal et musical. Pour tout renseignement com-plémentaire, visitez notre site, http://lestroupadour.wordpress.com ou adressez-vous directement à Onnick Adourian, directeur musical des Troup'Adour et professeur de musique à la Maison de Solenn-Maison des


http://www.ararat-tv.com/

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http://fr.mc239.mail.yahoo.com/mc/[email protected]




http://www.fnac.com/promo/prehomes/prehome_ipad.asp?NID=0&RNID=0

http://www.fnac.com/

http://www.tickenet.fr/

http://www.tickenet.fr/

Adolescents Tél: 01 46 86 31 73 adresse mail: [email protected]

Portrait des Troup'Adour http://www.diasporamag.com/magazine/por-traits/0454b29d3c11c0e17/0454b29d9a0940d18.html

- L'Ensemble Naïri est l'aboutissement de 15 ans d'expériences musi-cales partagées entre un chef d'orchestre et des musiciens complices et passionnés. Tout au long de sa carrière de violoniste et de chef d'or-chestre, Haïk Davtian, fondateur et directeur artistique de cet ensemble a su fédérer l'énergie et la sensibilité de chacun pour donner vie à ce projet.

Les musiciens, issus des meilleurs conservatoires français l'accompagnent depuis sa création et contribuent à sa cohérence artistique par un véri-table engagement personnel.

La formation, souple et adaptable, repose sur une vingtaine d'instrumen-tistes à cordes en formation «Mozart» à laquelle peuvent s'adjoindre tous les autres instruments de l'orchestre symphonique pour couvrir un plus large éventail du répertoire.

Au fil des ans est né le désir de constituer un répertoire alliant les grands compositeurs classiques à la musique issue des folklores du Caucase. Le fruit de cette longue et riche collaboration permet aujourd'hui à l'En-semble Naïri d'offrir une interprétation vivante et authentique de ces dif-férents répertoires.

Ensemble Naïri - 170, avenue de Paris 94300 Vincennes Contact Dominique Bonavita Tel. 06 16 89 74 15

Portrait de l'Ensemble Naïri http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/0454b29d3c11c0e17/en-semblenairi.html

- La Compagnie Yeraz - Parfums d'Arménie est, avec 70 artistes sur scène, la première création de la Compagnie Yeraz. Sous la direction artistique de la chorégraphe Christi-na Galstian-Agoudjian, « Parfums d'Arménie » est une fresque vivante chargée d'une grande émotion Le site de Compagnie Yeraz: Compagnie Yeraz http://yerazcom.free.fr/

Organisé par la mairie à l'espace culturel Dispan de Floran.T : 10 € (réservation obligatoire).

http://yerazcom.free.fr/

http://yerazcom.free.fr/

http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/0454b29d3c11c0e17/ensemblenairi.html



http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/0454b29d3c11c0e17/0454b29d9a0940d18.html



Tél. 06-84-01-29-70 g e o r g e s . b o u k o f f @ f e s t i v a l - d e - l h a y - l e s -roses.fr

www.festival-de-lhay-les-roses.fr http://www.festival-de-lhay-les-roses.fr/

Mairie : 01-46-15-33-33.

Espace culturel Dispan de Floran 11, rue des Jardins 94240 L’HAY-LES-ROSES Téléphone : 01 46 15 78 85

- L'Hay-les-Roses - Antoine Agoudjian - Photographe - Festival des droits humains et des cultures du monde - Du 18 juin au 1er juillet :

Exposition "Les yeux brûlants" du photographe Antoine Agoudjian à l'espace culturel Dispan de Floran. Entrée libre. Vernissage : le samedi 26 juin à 19h.

Biographie d'Antoine Agoudjian ici http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/photographes/antoinea-goudjianphotographe.html

Samedi 26 Juin à l'Hay les Roses http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/narihaylesroses.html

Varduhi Yeritsyan - Pianiste http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9211e4912.html

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9a084e201.htmlhttp://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=45052

Agenda - Du 17 au 26 juin: "Projet Mata Hari : exécu-tion"Simon Abkarian


http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9a084e201.html

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9a084e201.html

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9211e4912.html



http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/narihaylesroses.html

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http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/photographes/antoineagoudjianphotographe.html



http://www.festival-de-lhay-les-roses.fr/

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- Toulouse - du jeudi 17 au samedi 26 juin 2010 à 20h - Projet Mata Hari : exécution - Texte Jean Bescós - Mse en scène Simon Abkarian au TNT - Petit Théâtre -

Communiqué

Artiste invité du TNT, Simon Abkarian a joué Lélio dans Le Menteur de Car-lo Goldoni, et présenté la saison dernière sa première pièce Pénélope, ô Pénélope.

C’est une autre figure légendaire qu’il porte à la scène aujourd’hui en se penchant sur le destin de Margaretha Geertruida Zelle, agent H 21, entrée dans l’Histoire sous le nom de Mata Hari.

« Grâce au travail d’écrivain et d’auteur de Jean Bescós, nous sommes en-trés dans la vie de Mata Hari devenue mythe, une vie excentrique et libre, donc répréhensible et condamnable. Et c’est là que notre travail a com-mencé : le mythe, comment le représenter ? Comment représenter un mythe qui se dévoile à nous comme une danseuse impudique tout en se jouant de nous et de nos sens ? Cette quête a très vite pris la forme d’un cabaret onirique, précis et drôle, organique, où la sensualité en est le cory-phée incontesté, où les trois éléments - verbe, musique et corps - s’em-brassent et s’embrasent telles des muses qui s’étaient trop longtemps quittées. Les voilà enfin réunies…Les acteurs prennent vie sous les feux de la rampe (et il y en a une !). C’est là qu’ils scintillent, ondulent, tombent, se relèvent. C’est là qu’ils dansent et chantent... là qu’ils se livrent à moi, à nous... ils sont trois : Ma-cha Gharibian, pianiste concertiste, dompteuse de sons aux doigts ar-dents, Philippe Ducou, danseur jongleur prophétique, mais les balles sont des mots, Catherine Schaub, actrice danseuse indienne et furibonde dont les orteils sont les couronnes des dieux anciens et à venir.»

SIMON ABKARIAN

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES LIEU DES REPRÉSENTATIONS TNT-Théâtre de la Cité 1 rue Pierre Baudis - Toulouse Petit théâtre DATES DES REPRÉSENTATIONS JE 17, VE 18, SA 19, MA 22, ME 23, JE 24, VE 25, SA 26 JUIN 2010 HORAIRE DES REPRÉSENTATIONS 20h TARIFS EUROS

Plein 21€ Abonnés 8 >14€ Réduit * 12 € * Le Tarif réduit est réservé aux étudiants, aux moins de 26 ans et aux de-mandeurs d’emploi. ACCUEIL ET LOCATION TNT-Théâtre de la Cité 1 rue Pierre Baudis – BP 50 919 31009 Toulouse Cedex 6 du mardi au samedi de 13h jusqu’au début du dernier spectacle (13h à 19h les soirs de relâche) T 05 34 45 05 05 [email protected] Billetterie en ligne www.tnt-cite.com

Projet Mata Hari : exécution Texte Jean Bescós Mise en scène Simon Abkarian Avec Mata Hari Catherine Schaub-Abkarian Monsieur Loyal ou l’homme qui danse Philippe Ducou La Pianiste Macha Gharibian Collaborateur artistique Pierre Ziadé Création musique .Macha Gharibian Création lumière Jean-Michel Bauer Création son Antoine de Giuli Scénographie Simon Abkarian Costumes Simon Abkarian réalisés par Louise Watts Travail de la voix chantée Tania Valmont Voix off Audrey Fleurot, Fabienne Rocaboy, Rémi Gibier, Simon Abkarian et

Catherine Schaub Abkarian Contact production Karinne Méraud-Avril [email protected] Production Compagnie TERA, coproduction Théâtre National de Toulouse Midi- Pyrénées, Aide à la production DRAC Ile de France Avec le soutien de L’Arcal pour le prêt de la salle de répétition. Merci à Erik Ben Hartog pour sa traduction en hollandais, Nella Bielski pour le russe, Xavier Ricard pour le javanais, Berty Schaub pour l’allemand, Louise Watts pour l’anglais, Jean Bescos pour l’espagnol.

Projet Mata Hari : Exécution de Jean Bescos (texte de la pièce, commen-taires de l’auteur et documents inédits) sont à paraître début 2011 aux éditions Solo ma non troppo

Photos Jean Bescós Durée 1h 15

Mata Hari

Mata Hari (Margaretha Gertruida Zelle, dite), danseuse et aventurière néerlandaise (Leeuwarden 1876-Vincennes 1917). Convaincue d’espion-nage en faveur de l’Allemagne elle fut fusillée. (NOUVEAU LAROUSSE EN-CYCLOPÉDIQUE P 198) « Convaincue » ? A l’aube du lundi 15 octobre 1917, une femme est fusillée dans le bois de Vincennes. On exécute l’agent H 21, Margaretha Geertruida Zelle tombe, Mata Hari entre dans l’histoire... Une âme voit son corps gisant sur la terre humide et que personne ne ré-clame, une âme voit son corps de femme découpé sur la table de dissec-tion et s’interroge. « Je ne suis pas coupable, je suis hollandaise ! » : vrai ! « Je suis née aux Indes, ma grand-mère était la fille d’un prince javanais... » : faux !

Simon Abkarian - Metteur en scène

Comédien et metteur en scène, il présente avec son équipe Peines d'amour perdues de Shakespeare (Théâtre des Bouffes du Nord-1998), L’Ultime Chant de Troie dont il fait l’adaptation d'après Euripide, Eschyle, Sénèque et Parouïr Sevak (MC93 de Bobigny-2000) et Titus Andronicus de Shakespeare, dont il fait la traduction (Théâtre National de Chaillot-2003). En 2008 il écrit et met en scène Pénélope ô Pénélope, édité à Actes Sud papiers et remporte le prix du syndicat de la critique 2008 pour le meilleur texte théâtral. Il est créé au Théâtre national de Chaillot en juin 2008 et en tournée 2009/2010 à Toulouse, Nantes, Beyrouth, Madrid, Paris (TOP), Chambéry, Arles, Draguignan, Perpignan, Petit Quevilly....

Au Théâtre du Soleil dirigé par Ariane Mnouchkine, il joue dans L’Histoire terrible mais inachevée de Norodom Sihanouk et L’Indiade d’Hélène Cixous, dans Les Atrides d’Euripide et Eschyle où il incarne Agamemnon, Achille, le Coryphée, Oreste... Il travaille par la suite avec Irina Brook dans Une bête sur la lune (Molière du meilleur comédien 2001) de Richard Kali-noski et avec Silviu Purcarete L’Orestie ; Paul Golub Il circo populare Po-quelino, Le Songe d’une nuit d’été, Macbeth ; Antoine Campo L’Histoire du soldat ; Simon McBurney Piece in the dark ; Peter Brook Je suis un phéno-mène ; Cécile Garcia- Fogel Le Marchand de Venise ; Laurent Pelly Et vian en avant la zique, Le Menteur de Goldoni ... En 2004 et 2005, il dirige la classe d'improvisation au Conservatoire Natio-nal d'Art Dramatique de Paris.

Au cinéma il tourne avec Cédric Klapisch Riens du tout, Chacun cherche son chat, Ni pour ni contre bien au contraire ; Jean-Claude Codsi Histoire d’un retour ; Marie Vermillard Lila Lili, Petites révélations ; Michel Deville Un monde presque paisible ; Xavier Durringer J’irai au paradis car l’enfer est ici ; Atom Egoyan Ararat ; Jonathan Demme The truth about Charlie ; Robert Kéchichian Aram ; Santiago Amigorena Quelques jours en septembre ; Serge Lepéron J’ai vu tuer Ben Barka ; Bourlem Gerdjou Zaina cavalière de l’Atlas ; Marie Pas-cale Osterrieth Le démon de midi ; Frédérique Balekdjian Les mauvais joueurs ; Sophie Marceau La disparue de Deauville ; Thomas Vincent S.A.C. des hommes dans l’ombre ; Ronit et Shlomi Elkabetz Prendre femme (prix du meilleur acteur au Festival International de Thessalonique 2004 et mention spéciale au Festival des Trois Continents de Nantes), Les sept jours ; Jean Pierre Sinapi L’affaire Ben Barka ; Sally Potter Yes, Rage ; Ro-bert Guédigian Le Voyage en Arménie, L’Armée du crime ; Martin Camp-bell Casino Royale ; Eric Barbier Le Serpent ; Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud Persépolis ; Karim Dridi Gris-Blanc, Khamsa ; Philippe Haim Se-cret Défense ; Jean-Michel Ribes Musée haut, Musée bas ; Karine Albou Le chant des mariés ....


http://www.diasporamag.com/agenda/sudouest/0454b29d9b0d86a25.html

Agenda - 27 juin: Fête champêtre avec buffet de spé-cialités arméniennesECOLE TEBROTZASSERE

- Le Raincy - Fête champêtre avec buffet de spécialités armé-niennes - Dimanche 27 juin de 11h à 20h

11h: spectacle de la maternelle. 14h: animations des élèves du Primaire. Jeux pour les petits et les grands, Tournoi de nardi, Tombola.

Renseignements : 06.84.87.98.88 ou 01.43.81.01.72. Ecole Tebrotzassere Carrefour d'Arménie 1 Boulevard du Nord 93340 Le Raincy

http://www.diasporamag.com/agenda/sudouest/0454b29d9b0d86a25.html



http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9b00d0f8f.html

Agenda - Exposition des oeuvres d'Eva ArsEva Ars

Marseille - Atelier Portes Ouvertes - les samedis 19 et 26 et les di-manches 20 et 27 juin 2010 14h à 20h - Exposition des oeuvres d'Eva Ars

Les oeuvres qu'elle expose dans son Atelier présente l'ensemble panora-mique de son travail. Une série choisie par l'artiste sur les thèmes divers et très vastes comme la mer , la danse Médiévale arménienne, la mu-sique ,la nature et les grenades.

Sa grande technique, ses formes géométrique et ses couleurs très vives mettent en évidence l'expression du dessin dans la peinture avec une poé-sie et harmonie naturelle dans une atmosphère ensoleillée.

Elle s'est forgée son propre style en totale adéquation avec son tempéra-ment, sa sensibilité et ses conceptions plastiques. C'est pourquoi, on re-trouve dans ses oeuvres, une couleur riche et une exécution soignée. Une peinture saine et de ton alors qui ne cherche ni à dédaigner les éléments fondamentaux ni à étonner pour des empunts aux lois esthétiques nou-velles aux procédés inédits. C'est la rencontre avec la grande peinture que celle avec Eva Ars.

Atelier 42 Bd Pinatel, Marseille - 12ème. Rens. et confirmation : 06-18-42-19-67 [email protected] www.artmajeur.com/eva-ars Exposition permanente toute l'année sur rdv à l'atelier.

Biographie

1962 - 1967 : Etudes à Erevan (Arménie) à l'école des Beaux Arts de Terle-mezian avec Maître Kamalian 1970 - 1973 : Etudes aux Beaux Arts de Marseille-Luminy

http://www.artmajeur.com/eva-ars/




1973 : Diplôme de céramiste à Bourges Sociétaire du Salon d'Automne et du Salon des Indépendants au Grand Pa-lais à Paris Exposition dans les galeries marseillaises, aixoises, parisiennes et dans les associations culturelles de ces régions.

1971 : 1er Prix de céramique " Emile Decoeur " de Grés - Marseille-Luminy 1979 : 1er Prix du Grand Prix International de Peinture de Marseille 1980 : Prix de la JAF - Paris 1983 : Grand Prix International Maine-Montparnasse - Paris 1985 : Diplôme et Médaille de Vermeil Académie Inter Lutece - Paris 1986 : Diplôme d'honneur et coupe du Roy René - Aix en Provence


http://www.diasporamag.com/agenda/pacacorse/0454b29d980fe3009.html

Agenda - 27 juin: Fête champêtre à L'Ecole Tarkmant-chatz- Issy-les-Moulineaux- Dimanche 27 Juin 2010 à à partir de 11h - Fête champêtre -

L'Ecole Tarkmantchatz vous convie à la Fête champêtre de fin d'année. Spectacle des enfants et distribution des prix à partir de 11 heures. Fête champêtre à partir de 12 heures. Spécialités arméniennes, tombola, ambiance musicale. Entrée libre. Venez nombreux ! Ecole Tarkmantchatz 19-27, sentier des Epinettes 92130 Issy-les-Moulineaux

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/ecoletarkmantchatz.html


Agenda - Projection de "Chienne d'histoire", Palme d'or du Court


http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/ecoletarkmantchatz.html

http://www.diasporamag.com/agenda/pacacorse/0454b29d980fe3009.html


SACREBLEU PRODUCTIONS est heureux de vous inviter à la projection du film de SERGE AVEDIKIAN "CHIENNE D'HISTOIRE" Palm d'Or du Court-Métrage.

Projection le dimanche 27 juin à 20h, 20h20 et 20h40 à l'Archipel Paris-Ciné (17, bld de Strasbourg, 75010 Paris) suivie d'un verre et d'un concert improvisé.

Réponse souhaitée: [email protected]


Agenda - 3 juillet: Festival des cultures juives à Cra-covieSamedi 3 juillet de 12h à 15 h

Juifs de Pologne : à la recherche de ses racines

Le Mémorial de la Shoah, le Centrum Badań nad Historią i Kulturą Mniejs-zości Narodowych et l’Institut Français vous invitent à une rencontre avec Frédéric Brun, romancier, auteur de Une prière pour Nacha (Editions Stock, 2010), Esther Hoffenberg, réalisatrice du film Les deux vies d’Eva (Paris, 2004), Françoise Milewski, auteure de Un livre du souvenir (Editions La Dé-couverte, 2009) et Krzysztof Szwajca, psychiatre et psychothérapeute du Collegium Medicum à l’Université Jagellon de Cracovie.

Rencontre animée par Jean-Yves Potel du Mémorial de la Shoah, auteur de La fin de l'innocence, la Pologne face à son passé juif (Editions Autrement, 2009, en polonais chez Znak, en 2010).

A 13h 15 env. projection du film d’Esther Hoffenberg Les Deux vies d’Eva (coproduction Les Films du poisson, ARTE France, Lapsus, Paris, 2004, 85')

Ce film raconte le destin singulier d'un couple de réfugiés polonais en France. Elle est de nationalité allemande, élevée dans une famille d'indus-triels de Sosnowiec. Lui est juif, rescapé du ghetto de Varsovie et du camp de Po-niatowa. Leur fille, Esther Hoffenberg, a cherché a reconstituer l'histoire occultée de sa mère pour réunir les deux vies d'Eva. Ce film a reçu de nombreux prix, dont celui du Festival du réel à Paris (2005).



Jewish Community Center, ul. Miodowa 24, wstęp wolny

http://www.memorial-cdjc.org/a_actus/getDetailsAction.do;jsessionid=03B2F7283A151C5FA99AD78C98C56C2B?actuId=563


Agenda - Abdullah frères. Photographes- Paris - jusqu'au 4 juillet 2010 au musée Nissim de Camondo- Le Constantinople des Camondo, les années 1860-1890. Photogra-phies d’Abdullah frères (actifs entre 1858 et 1899)

D’origine arménienne, les frères Abdullah, photographes attitrés des sul-tans Abdulaziz et Abdüllhamid II, se sont rendus célèbres dans tout l’Em-pire ottoman et jusqu’en Europe où leur participation aux Expositions uni-verselles de 1867 et 1878 a été très remarquée. Situé à Péra, leur studio était le passage obligé des touristes à la recherche de vues sur Constanti-nople.

Mais c’est avec le portrait en studio que les frères Abdullah ont acquis leur renommée. Ils ont notamment réalisé un portrait d’Abdulazziz qui leur a décerné en 1863 le titre de photographes officiels du sultan. Sous leur ob-jectif, se sont alors succédés les membres de la famille impériale et les di-gnitaires ottomans, les monarques et les princes européens en visite ainsi que des figures éminentes des différentes communautés de Constanti-nople, comme les Camondo.

Cet accrochage présente une vingtaine de vues de Constantinople prove-nant du fonds de la bibliothèque des Arts Décoratifs ainsi que plusieurs portraits de la famille Camondo conservés dans les archives du musée.

Il s’agit du premier volet de la présentation du fonds de photographies d’Abdullah frères qui sera suivi, à compter du 7 juillet prochain, d’un se-cond accrochage ayant pour thème l’architecture et la décoration inté-rieure des mosquées ainsi que le palais de Topkapi.

Musée Nissim de Camondo 63, rue de Monceau 75008 Paris





Tél. : 01 53 89 06 50 ou 06 40 (boîte vocale)

Métro : Villiers, Monceau Bus : 30, 94, 84 Parkings : Place P. Goubaux, Malesherbes, Avenue de Villiers

Seul le rez-de-chaussée est accessible aux personnes à mobilité réduite, l’accès aux étages se faisant sans ascenseur.

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d751173d10.htmlhttp://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=43660

Agenda - Voyage d'étude en Arménie et au KarabaghFonds Arménien de France

Voyage d'étude en Arménie et au Karabagh

Été 2010 - Réservez vos dates au départ de

Paris : du 2 au 12 juillet

Marseille : du 3 au 12 juillet

Découvrez ou redécouvrez l’Arménie et le Karabagh en pleine évolution. Dans ces paysages que vous connaissez souvent en photos, le prochain voyage d’étude du Fonds Arménien de France vous permettra de connaître en profondeur ces villes et ces villages que vous aidez par vos dons.

A côté des divertissements traditionnels et des excursions touristiques, vous visiterez les chantiers en cours ou terminés, les écoles, les équipe-ments de santé et toutes les réalisations que vous avez permis de déve-lopper. Des familles d’agriculteurs, des maires ou des préfets de région vous expliqueront à qui et à quoi sert votre solidarité.

On aime mieux ce que l’on connaît mieux. Voici le programme détaillé de ce voyage qui pour la première fois aura comme point de départ Paris et Marseille.

Départ de Paris


http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d751173d10.html

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Le vendredi 2 juillet - Retour à Paris le lundi 12 juillet 2010

11h : Rendez-vous à l’aéroport de Roissy CDG 2C, comptoir Armavia. Vol direct. Décollage Airbus à 13h15. Arrivée à Erévan à 21h, heure locale. Transfert à l’hôtel Europe.

Départ de Marseille

Le samedi 3 juillet - Retour à Paris le lundi 12 juillet 2010

7h40 : Rendez-vous à l’aéroport de Marseille Marignane. Vol direct. Décol-lage Airbus à 9h40. Arrivée à Erévan à 17h, heure locale. Transfert à l’hôtel Europe.

Programme : départ de Paris

Samedi 03/07/10

9h30 - 10h : Petit déjeuner.

10h30 - 12h : Visite de la Cathédrale d’Etchmiadzin.

13h : Déjeuner.

14h30 - 16h : Visites du monument et du musée du génocide arménien.

Dîner et soirée libres à Erévan.

Programme commun

Dimanche 04/07/10

8h - 8h30 : Petit déjeuner.

8h30 : Départ pour la région du Tavush. Visite du monastère d’Haghartzin. Rencontre avec le préfet de région.

13h30 : Déjeuner. Visite du grand canal d’irrigation et du chantier de construction du centre communautaire du village d’Aknaghbyur, rencontre avec les agriculteurs du village de Ditavan.

Dîner et nuit au bord du Lac Sévan à l’hôtel «Dzapatar ».

Lundi 05/07/10


8h30 : Départ pour le Karabagh.

13h : Déjeuner.

Visite du chantier de construction du centre hospitalier de cardiologie de Goris.

Dîner et nuit à l’hôtel « Armenia » de Stépanakert. Rencontre avec Michel Tancrez, représentant du Fonds Arménien au Karabagh.

Mardi 06/07/10


8h30 : Départ pour la région de Martouni. Visite de l’école et de la maison de la culture de Chartar.

Le projet d’école maternelle de Ghuzé Chartar. Le réseau d’adduction d’eau de Sos.

13h : Déjeuner.

Visite de l’usine d’alcools de Garmir Shouga et du gymnase de Shékher. Retour à Stépanakert.

19h30 : Rencontre avec le Premier ministre du Karabagh. Dîner et soirée libres à Stépanakert.

Mercredi 07/07/10


8h30 : Départ pour la région de Shahoumian. Visite de l’école de Drmbon. Le lac de Sarsang. Découverte du monastère de Dadivank.

13h : Déjeuner.

Retour à Stépanakert. Dîner et soirée libres à Stépanakert.

Jeudi 08/07/10


9h - 10h : Découverte du centre d’activités pour les enfants de Stépana-kert ; visite de l’usine « Artsakh Fruits »; achats de souvenirs. Départ pour

Erévan. Visite de Shoushi et du site de la future école d’apprentissage.

13h30 : Déjeuner. Visite du monastère de Noravank.

Dîner et soirée libres à Erévan.

Vendredi 09/07/10


9h30 : Rencontre avec le directeur exécutif du Fonds Arménien « Hayastan ».

11h00 : Visite des bureaux d’« Orange-Arménie » et de l’école profession-nelle franco-arménienne de Erévan

13h30 : Déjeuner. Après-midi, dîner et soirée libres à Erévan.

Samedi 10/07/10


9h30 : Départ pour le monastère de Tégher. Visite de la forteresse médié-vale d’Amberd.

13h : Déjeuner.

Dîner et soirée libre à Erévan.

Dimanche 11/07/10

9h30 - 10h : Petit déjeuner.

Visite de l’Institut des manuscrits anciens « Madénataran » et achats de souvenirs au marché du « Vernissage » (artisanat local). Après-midi libre (visite d’Etchmiadzin et du musée du génocide arménien pour le groupe départ de Marseille).

Soirée et dîner d’adieu à Erévan.

Lundi 12/07/10

8h45 : Départ

10h50 : Arrivée à l’aéroport

Roissy CDG 2C, heure locale.

Tarifs

Départ de Paris : Prix par personne en chambre double : 1 390 Euro *

Départ de Marseille : Prix par personne en chambre double : 1 320 Euro *

Supplément chambre individuelle : Départ de Paris : 260 Euro - Départ de Marseille : 234 Euro

Renseignements et réservations au 01 48 83 51 06 ou par mail in-fos@fondsarménien.org

Télécharger le programme http://www.fondsarmenien.org/voyage-2010

Crédits photographies : Fonds Armenien

http://www.fondsarmenien.org/voyage-2010http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=44037

Agenda - Exposition du 4 mai au 5 septembre: Les Juifs à Berlin 1933 -1941À l’occasion de la parution de l’ouvrage Les Juifs à Berlin, 1933-1941, pho-tographiés par Abraham Pisarek (Biro éditeur – Mémorial de la Shoah, 2010), le Mémorial de la Shoah présente une exposition d’une soixantaine de photographies d’Abraham Pisarek, ainsi que des documents d’archives retraçant la vie juive à Berlin entre 1933 et 1941.

Né en Pologne dans une famille juive religieuse, Abraham Pisarek émigre à Berlin en 1919. Il travaille comme photographe de presse jusqu’à l’arrivée au pouvoir des nazis en 1933.

À partir de cette date, son activité professionnelle est limitée au traite-ment des sujets juifs, pour les seuls journaux juifs autorisés, jusqu’à leur disparition et l’interdiction faite aux Juifs en 1941 de posséder un appareil photo.

Marié à une aryenne, Abraham Pisarek sera affecté aux travaux forcés à


http://www.fondsarmenien.org/voyage-2010



Berlin en 1941 mais ne sera pas déporté et survivra à la guerre. Les très nombreux reportages photographiques réalisés par Abraham Pisarek livrent un extraordinaire et émouvant témoignage de la vie berlinoise sous le III e Reich.

Cette exposition a été conçue par le Mémorial de la Shoah, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.



VIENT DE PARAITRE : "Par-delà les ténèbres" de Mihran MavianMavian Mihran, Par-delà les ténèbres, Edition Mémorial de l'inter-nement et de la déportation [Compiègne], 2010, 162 pages, 18€.

L'épopée, dans un combat inégal, de l'humain contre la barbarie.

Le récit de Mihran Michel Mavian, déporté, rescapé du "convoi des Ta-toués".

Emprisonné à Fresnes puis détenu au camp de Compiègne-Royallieu, il est envoyé à Auschwitz le 27 avril 1944. Miraculé, il est expédié à Buchenwald puis au camp d'extermination de Flossenbürg.

L'importance qu'il donne dans le récit, aux rencontres dans les camps avec ses compatriotes arméniens, arrêtés en France ou officiers et soldats de l'armée soviétique, traités en tant que Russes avec une extrême cruauté, en fait un témoignage rare.

Libéré par l'armée américaine en avril 1945 pendant les marches de la mort, Mavian disait : "Avril 1945, une deuxième naissance ", il aurait pu parler de troisième naissance puisque, en 1915, à l'âge de 15 ans, il avait survécu au génocide des Arméniens.

Le récit d'origine, écrit en arménien, publié en 1976*, a été traduit par sa fille avec de nombreux temps de pause, nécessaires pour surmonter l'émotion accumulée au fil de ces pages de souffrance et d'horreur et de





solidarité entre frères de captivité.

* Nota CVAN - Titre original : Vodjiri antachkharèn - Editions Hayasdan -Ye-revan 1976.

Vient de paraître :

Les mémoires d'Onnig Avédissian intitulées "Du ga-min d'Istanbul au fédaï d'Ourmia".Retrouvé en 2001, le manuscrit d’un militant révolutionnaire arménien fait revivre la Turquie du temps des pogroms et du génocide. Première publica-tion des jeunes éditions Thaddée. Depuis la mort d’Onnig Avédissian, en 1933, à l’âge de 51 ans, le manuscrit de ses mémoires se trouvait chez un de ses fils qui, sans l’avoir lu, le conservait en secret. On le croyait perdu. Il réapparut tardivement un jour de 2001. Le petit-fils d’Onnig, Jean-Jacques Avédissian – journaliste économique –, entreprit donc sa traduc-tion, plongeant dans le passé de la famille, qui se confond avec les années les plus brillantes et les plus sombres des Arméniens de Turquie.

Onnig Avédissian

Du gamin d’Istanbul

au fédaï d’Ourmia

THADDÉE

TRADUIT DE L’ARMÉNIEN

PAR JEAN-JACQUES AVÉDISSIAN

TIRAGE : 1 500 EX.

PRIX : 24,90 EUROS ; 310 P.

ISBN : 978-2-919131-00-6

SORTIE : 20 AVRIL

Les mémoires et l’almanach font l’objet d’excellentes et utiles annotations, enrichies par une chronologie précise.

Editions Thaddée, 66, rue d’Alésia,

75014 Paris.

www.editionsthaddee.com

mél : [email protected] http://www.editionsthaddee.com/

Plus d'infos :


Agenda - Génocide arménien : trois témoignages ex-ceptionnels chez Parenthèses95 ans après le génocide arménien, les Éditions Parenthèses publient dans leur collection diasporales, les traductions de trois témoignages exceptionnels : "Journal de déportation" de Yervant Odian, récit traduit de l’arménien par Léon Ketcheyan, préface de Krikor Beledian; "Jours de cendres à Istanbul" de Berdjouhi, récit traduit de l’arménien par Armen Barseghian ; "Les noces noires de Gulizar" de Arménouhie Kévonian, Traduit de l’arménien par Jacques Mouradian, préface de Chavarche Nartouni, présentations historiques de Anahide Ter Minassian et Kéram Kévonian.

Cette maison d'édition marseillaise, dirigée par Varoujan Arzoumanian, édite chaque année des titres de très grande qualité, tant rédactionnelle que graphique.

Vient de paraître :

Yervant Odian

Journal de déportation

Récit traduit de l’arménien par Léon Ketcheyan Préface de Krikor Beledian 16,5 x 23 cm, 448 pages, présentations, cartes, biographies, index.

Éditions Parenthèses / collection diasporales

ISBN 978-2-86364-196-5 / 24 €

Berdjouhi


http://www.editionsthaddee.com/

Jours de cendres à Istanbul

récit traduit de l’arménien par Armen Barseghian, 16,5 × 23 cm, 224 p., 2009 (1re édition : 2004).

ISBN 2-86364-122-0 / 18 €

Arménouhie Kévonian

Les noces noires de Gulizar

Traduit de l’arménien par Jacques Mouradian, préface de Chavarche Nar-touni, présentations historiques de Anahide Ter Minassian et Kéram Kévonian, photographies, carte, 16,5 × 23 cm, 192 p., 2005 (nlle édition 2009).

ISBN 2-86364-138-7 / 19 €


Agenda - Eté et automne 2010: Le Trio Oshakan en tournée en FranceLe Trio Oshakan en tournée en France été et automne 2010

Oser l'émerveillement après Radio France 2006, le Festival de Tou-lon 2007, le Festival de Musique sacrée de Monaco 2008 et pour 2010 invité aux Rencontres de Musiques Anciennes du Thoronet et au Festival Baroque de Pontoise.

En tournée en France été et automne 2010

Oser l'émerveillement après Radio France 2006, le Festival de Toulon 2007, le Festival de Musique sacrée de Monaco 2008 et pour 2010 invité aux Rencontres de Musiques Anciennes du Thoronet et au Festival Baroque de Pontoise

Le Trio Oshakan

à la manière des miniaturistes, vous invite à un voyage musical entre Orient et Occident dans les jardins de Paradis d'Arménie du X e s., à Komitas puisant dans la poésie mystique et lyrique du moine et savant Grégoire de Narek, X e s chantant la grandeur de Dieu et le néant de l'homme...


de Grégoire d'Agtamar, XVI e s. décrivant avec tristesse l'instant ou son âme, comparée à un jardin, quittera ce monde...

de Naghash Hovnatan et Sayat Nova, trouvères arméniens du XVII et XVIII s. louant la beauté, l'amour et les plaisirs paradisiaque du jardin d'Eden...

de Komitas enfin, avec ses mélodies aux inflexions délcates et mrécises, grisant l'ame par la douceur, ses rythmes souples et vivant, dont l'oeuvre à contribué au renouveaude la musique arménienne nourrissant le sentiment national arménien dont elle est une des expressions les plus authentique et identitaire.

Contact: Roger Piranian

Tel: 06 85 90 24 09

Courriel: [email protected]

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Agenda Les annonces parlant des événements culturels à venir (réunions publiques, manifestations, conférences, concerts, projections de films, expositions, parution d'ouvrages, etc.), sont mises en ligne dans la rubrique Agenda. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=5&page=1

Photothèque De nombreux photos-reportages sont disponibles en ligne dans la rubrique Photothèque http://collectifvan.org/rubrique_photo.php?r=6

Veille-Media Toutes les Veilles-Media à télécharger sur : http://www.collectifvan.org/rubrique_veille.php?r=9&page=1

MEDIAS

------------------------------------------------------------------------------------------N’oubliez pas qu’en tant que téléspectateurs vous pouvez témoigner de votre satisfaction (et de votre mécontentement lorsque c’est le cas) auprès des media qui traitent l’information.Quelques adresses et tél.:

TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 — Fax : 01 41 41 28 40Internet : www.tf1.fr

France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74Internet : www.france2.frEmail : [email protected]

France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02Internet : www.france3.frEmail : [email protected]@france3.fr

Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34Internet : www.cplus.fr

France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00Internet : http://www.france5.fr/Email : http://www.france5.fr/contact/Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur :http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm

Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedexTel : 03 88 14 22 55 — Fax : 03 88 14 22 00

http://www.france5.fr/contact/

http://www.france5.fr/

http://www.collectifvan.org/rubrique_veille.php?r=9&page=1

http://collectifvan.org/rubrique_photo.php?r=6


Internet : www.arte-tv.comEmail : [email protected]

M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedexTel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10Internet : www.m6.frI-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 ParisTel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)

http://www.lci.fr/

http://www.m6.fr/

Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VANVigilance Arménienne contre le Négationnisme

Boîte vocale : 09 50 72 33 46 [email protected] - www.collectifvan.org

Collectif VAN - BP 2008392133 Issy-les-Moulineaux Cedex



Les Infos Collectif VAN sur :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=0


A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES...

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