3e Congrès de neuropsychologie clinique de l’€¦ · stimulation non-invasive du cerveau au...

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3 e Congrès de neuropsychologie clinique de l’ Université de Montréal Amphithéâtre Ernest-Cormier du Pavillon Roger-Gaudry 2900 Boulevard Edouard-Montpet 25 et 26 septembre 2015

Transcript of 3e Congrès de neuropsychologie clinique de l’€¦ · stimulation non-invasive du cerveau au...

3e Congrès de neuropsychologie clinique de l’

Université de Montréal

Amphithéâtre Ernest-Cormier du Pavillon Roger-Gaudry

2900 Boulevard Edouard-Montpetit

25 et 26 septembre 2015

La Faculté des arts et des sciences,

fière de former des neuropsychologues et d’être partenaire du congrès

de l’Association québécoise des neuropsychologues.

fas.umontreal.ca

3

Comite organisateur du congres 2015Simon Charbonneau, Elaine de Guise, Karen Debas, Frédérique Escudier, Bruno Gauthier, Vincent Moreau, Christine Ouellet, Karine Tadros, Isabelle Soulières

Comité clinique et scientifiqueClaudine Boulet, Simon Charbonneau, Jean-Pierre Chartrand, Gilbert Desmarais, Simon Lemay, Christine Ouellet

Comité formation continueSimon Charbonneau, Karen Debas, Frédérique Escudier, Vincent Moreau, Christine Ouellet, Karine Tadros

Comite site internetJean-Pierre Chartrand, Frédérique Escudier, Karima Kahlaoui, Simon Lemay, Vincent Moreau

Comite rechercheElaine de Guise, Karen Debas, Frédérique Escudier

Comite tresorerieClaudine Boulet

Comite logicielDominique Cazin, Jean-Pierre Chartrand, Johnathan Deslauriers, Frédérique Escudier, Mathew Gravel, Stephan Kennepohl, Simon Lemay, Georges Routhier, Karine Tadros

Comite ad hoc depliant sur la neuropsychologieClaudine Boulet, Jean-Pierre Chartrand, Line Gascon, Simon Lemay

Comite ad hoc assemblee generale annuelleClaudine Boulet, Simon Charbonneau, Jean-Pierre Chartrand, Line Gascon, Simon Lemay, Christine Ouellet

Conseil d’administration (CA)

AQNP

Representante des chercheursElaine de Guise, Ph.D.

Representant seniorGilbert Desmarais, Ph.D.

Representante des etudiantsFrédérique Escudier, M.Ps

Autres membres du CAMarc Barakat, Ph.D.Karen Debas, Ph.D.Stephan Kennepohl, Ph.D.Vincent Moreau, Ph.D.Christine Ouellet, Ph.D.Karine Tadros, Ph.D.

Comité exécutif (CE)

PrésidentSimon Charbonneau, Ph.D.

Vice-Président - CommunicationSimon Lemay, Ph.D.

Vice-Président - Clinique et scientifiqueJean-Pierre Chartrand, Ph.D.

Vice-Présidente - Affaires internesLine Gascon, Ph.D.

SecretaireKarima Kahlaoui, Ph.D.

TresoriereClaudine Boulet, Ph.D.

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Horaire Vendredi 25 septembre 2015

Ne manquez pas le 5 à 7 au bar/restaurant le McCarold situé au 5400 Chemin de la Côte-des-Neiges

Louis de Beaumont, Ph.D.Fanny Guérin, Ph.D.

Katia Sirois, Ph.D.

Simon Charbonneau, Ph.D., président de l’AQNPet Michelle McKerral, Ph.D., Vice-doyenne aux études

de la Faculté des arts et des sciences de l’UdeM

Jean-Pierre Chartrand, Ph.D.Stephan Kennepohl , Ph.D.

Elisabeth Perreau-Linck, Ph.D.

Bruno Gauthier, Ph.D.

Mot d’ouverture

Symposium sur le traumatisme cranio-cérébral léger

Pause

Pause

L’art de se poser les bonnes questionscliniques à l’aide des probabilités

TDA/H et diagnostic différentiel: attention à l’attention

La supervision clinique en neuropsychologie:état des lieux et pistes d’efficacité

AGA

Dîner (inclus)

8h30 - 9h00

9h00 - 10h30

10h30 - 11h00

11h00 - 12h15

12h15 - 13h30

13h30 - 14h30

14h30 - 15h30

15h30 - 15h45

15h45 - 17h00

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Horaire Samedi 26 septembre 2015

Martine Verreault, Ph.D.

François Crépeau, Ph.D.

François Crépeau, Ph.D.

Miriam Beauchamp, Ph.D.

Karen Postal, Ph.D.

Josée Sabourin, M.Ps.Dania Ramirez, M.Ps.

Au-delà des recommandations: Intervenir auprèsdes jeunes atteints d’un TDA/H et leurs parents

Psychothérapie et lésions cérébrales:Qui doit s’adapter? - Partie 1

Psychothérapie et lésions cérébrales:Qui doit s’adapter? - Partie 2

Dîner (inclus)

Pause

L’adulte présentant un TDA/H:outils et pistes d’intervention

La cognition sociale en neuropsychologie:de la theorie aux tests

Feedback that Sticks - The Art of EffectivelyCommunicating Neuropsychological Assessment Results

Pause

Salle 1

Salle 1

Salle 2

Salle 2

9h30 - 10h30

10h30 - 11h00

11h00 - 12h00

12h00 - 13h15

14h30 - 15h00

13h15 - 14h30

15h00 - 16h30

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Symposium sur le traumatismecranio-cerebral leger

Vendredi 25 septembre 2015 de 9h00 à 10h30

Louis de Beaumont, Ph.D.Dr Louis De Beaumont est neuropsychologue clinicien, professeur de neuropsychologie à l’Université de Québec à Trois-Rivières et titulaire de la Chaire de recherche UQTR en neurobiologie du traumatisme cranio-cérébral léger. Il dirige de plus un laboratoire de stimulation non-invasive du cerveau au centre tertiaire de traumatologie de l’hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. Ses travaux novateurs sur les effets à long terme et cumulatifs des commotions cérébrales du sport jouissent d’une reconnaissance scientifique internationale.

Recherche clinique chez les TCC légers

Fanny Guérin, Ph.D.Dre Fanny Guérin a oeuvré en réadaptation, à partir de 1998, comme neuropsychologue clinicienne et chercheure-clinicienne auprès des personnes ayant un traumatisme cranio-cérébral léger (TCCL) à l’hôpital juif de réadaptation à Laval, à l’Institut de réadaptation de Montréal et au centre de réadaptation Lucie-Bruneau. En 2011, elle a cofondé une clinique de neuroréadaptation sportive multidisciplinaire destinée à gérer les commotions cérébrales dans le sport. Elle a contribué à mettre en place un processus d’évaluation multidisciplinaire auprès des équipes olympiques canadiennes et leur relève à l’institut national du sport du Québec. Elle vient de recevoir le statut de professeure associée au département de psychologie de l’Université de Montréal pour poursuivre un programme de recherche clinique sur l’encadrement des commotions cérébrales dans le sport d’excellence.

Les défis de gérer les commotions cérébrales dans le sport d’excellence: regard clinique

Le neuropsychologue face à l’enfant et l’adolescent ayant subi une commotion cérébrale :un exemple clinique de prise en charge en milieu public

Katia Sirois, Ph.D.Dre Katia Sirois travaille depuis 1998 comme neuropsychologue clinicienne en traumatologie enfants-adolescents à l’Institut de Réadaptation en Déficience Physique de Québec (IRDPQ). Elle agit également depuis 2010 à titre de coordonnatrice clinique pour les services auprès des jeunes ayant subi un traumatisme cranio-cérébral léger (TCCL). Dre Sirois est aussi professeure associée à l’École de psychologie de l’Université Laval et collabore comme chercheure-clinicienne au Centre interdisciplinaire de recherche en adaptation et Réadaptation (CIRRIS) à plusieurs projets sur l’évolution des jeunes ayant subi un TCC léger.

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L’art de se poser les bonnes questionscliniques à l’aide des probabilités

L’évaluation neuropsychologique, comme toute évaluation à but diagnostique, vise habituellement à conclure à la présence ou l’absence d’une entité clinique. Toutefois, la qualité du jugement clinique peut être grandement améliorée par l’usage adéquat des probabilités. Cet usage peut se refléter dans la combinaison de la validité prédictive des tests psychométriques à une connaissance juste des concepts épidémiologiques, tels que l’incidence et le risque relatif. Pour y arriver, il est nécessaire de modifier les questions à se poser, tant au début qu’au cours de l’évaluation neuropsychologique. En effet, les questions du clinicien doivent être très différentes de celles qui sont habituellement posées en recherche. Plutôt que de déterminer les différences existantes entre deux groupes déjà connus, le clinicien veut plutôt savoir quelles sont les chances que son client appartienne à un groupe donné, en fonction de toutes les informations qui sont à sa disposition, incluant les résultats des épreuves psychométriques. Présentement, la pratique est plutôt axée sur l’utilisation de données scientifiques issues de questions qui se traduisent plus difficilement à la pratique clinique. À partir de vignettes, les présentateurs désirent transmettre à l’auditoire l’idée que l’utilisation juste des probabilités représente non seulement une plus-value à l’évaluation, mais que cette approche s’avère être un changement de paradigme nécessaire pour la neuropsychologie clinique.

Jean-PierreChartrand, Ph.D.Dr Jean-Pierre Chartrand est neuropsychologue au CLSC Montréal-Nord, au programme de santé mentale adulte première ligne. Siégeant

au conseil d’administration de l’Association québécoise des neuropsychologues depuis ses débuts, Dr Chartrand exerce le rôle de vice-président aux affaires cliniques et scientifiques depuis 2013. Il agit également à titre de superviseur de stages en neuropsychologie à l’Université de Montréal. Il s’intéresse particulièrement au développement du jugement clinique ainsi qu’à la pratique fondée sur les faits.

StephanKennepohl, Ph.D.Dr Stephan Kennepohl est diplômé de l’Université de Windsor en Ontario depuis 2001. Il a été certifié par l’American Board of Professional

Psychology (ABPP) en 2012. Il collabore au sein de l’équipe d’Expertise NeuroSciences à l’évaluation et l’expertise en neuropsychologie clinique et en réadaptation depuis 2005. En plus de l’expertise, il participe activement à la supervision et la formation en neuropsychologie clinique depuis plusieurs années. Il a collaboré à quelques publications scientifiques, notamment dans les domaines de la réadaptation à la suite d’un traumatisme cranio-cérébral et l’impact des facteurs culturels sur l’évaluation neuropsychologique. Il est membre du CA de l’AQNP depuis 2013.

Vendredi 25 septembre 2015 de 11h00 à 12h15

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         Nathalie  Bier,  UdeM  27/05  :    Michael  McDannald,  Boston  College  

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Conférencier  invité  :    Alain  Dagher,  MNI  Conférencier  NeuroQAM:    Marc-­‐André  Bédard,  UQAM  

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TDA/H et diagnostic différentiel:attention à l’attention

La pose du diagnostic de trouble déficitaire de l’attention et de l’hyperactivité/impulsivité (TDA/H) ne requiert pas une évaluation formelle en neuropsychologie. Cependant, cette dernière devient pertinente lors de questionnement quant à l’origine de comportements problématiques répondant aux critères diagnostiques, comme les difficultés attentionnelles. En effet, le manque de spécificité de certains critères diagnostiques pour le TDA/H induit un chevauchement de comportements symptomatiques présents à travers divers troubles neurodéveloppementaux ou affectifs, tels que les troubles d’apprentissages ou du langage, l’anxiété ou la dépression. Cependant, ces diverses pathologies partagent somme toute des domaines d’atteintes cognitives, notamment en ce qui a trait aux processus attentionnels et exécutifs, bien que les sous-composantes de ces processus puissent être touchées différemment. Ainsi, lors d’une évaluation neuropsychologique dans le but de statuer sur la présence d’un TDA/H, le clinicien doit pouvoir naviguer à travers les méandres du diagnostic différentiel. Dans cette conférence, nous allons tenter de démystifier les patrons d’atteintes cognitives à travers les domaines attentionnels et exécutifs afin d’en distinguer l’origine, et ce dans le contexte plus large de l’histoire de la maladie. Mais aussi, de discuter d’autres fonctionnements cognitifs qui appellent à la prudence lors de la pose du diagnostic, à savoir la douance ou la simulation.

ElisabethPerreau-Linck, Ph.D.Dre Perreau-Linck est membre de l’OPQ depuis l’obtention de son doctorat en 2010, date à laquelle elle a débuté sa carrière de neuropsychologue

pédiatrique à la Clinique TDA/H du CHU St-Justine. Mme Perreau-Linck travaille auprès de la population TDA/H depuis presque une décennie, tant dans le public que le privé ou encore par le biais de son engagement en tant que superviseure de stage à l’Université de Montréal (Practicum enfant/adolescent).

Vendredi 25 septembre 2015 de 13h30 à 14h30

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La supervision clinique en neuropsychologie : état des lieux et pistes d’efficacité

La supervision clinique est le mode privilégié de transmission des différents savoirs en neuropsychologie. Longtemps acquise sur l’unique base de sa propre expérience en tant que supervisé, la supervision figure depuis récemment parmi les exigences de formation universitaire. Malgré l’importance consensuelle accordée à la pratique de la supervision et l’impact reconnu du superviseur sur le développement de l’identité professionnelle et de la compétence du supervisé, très peu de données existent pour guider le neuropsychologue superviseur. Cette conférence fera d’abord le point sur les grands thèmes d’importance en supervision clinique et sur les (rares) écrits concernant la supervision en neuropsychologie clinique. Nous aborderons ensuite les aspects qui rapprochent et distinguent la supervision en neuropsychologie et en psychologie, en vue de puiser les éléments utiles des modèles et méthodes de supervision en psychologie clinique, mais aussi d’apprécier les enjeux propres à la supervision en neuropsychologie. Les données préliminaires d’une étude menée auprès d’étudiants en neuropsychologie seront ensuite présentées, suivies des résultats d’un sondage dressant un portrait général et explorant des aspects spécifiques de la supervision en neuropsychologie au Québec. C’est à l’aide de ces résultats que pourra être comparée la perspective des superviseurs à celle des supervisés, dans l’optique d’ouvrir un espace de réflexion sur sa propre pratique actuelle ou future en supervision.

Bruno Gauthier, Ph.D.Dr Bruno Gauthier est neuropsychologue pédiatrique et professeur adjoint au département de psychologie de l’Université de Montréal. Il pratique la supervision depuis

une dizaine d’années auprès d’étudiants de différents niveaux et enseigne la supervision en neuropsychologie clinique.

Vendredi 25 septembre 2015 de 14h30 à 15h30

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Au-delà des recommandations:Intervenir auprès des jeunes atteintsd’un TDA/H et leurs parents

Le TDA/H affecte les interactions de l’enfant avec sa famille et la façon dont les parents vont interagir avec lui. Avec le temps, les parents peuvent développer des pratiques parentales inadaptées qui à leur tour peuvent exacerber les difficultés des enfants. À la suite d’une évaluation neuropsychologique complète, le professionnel dresse une liste de recommandations aux parents en fonction du profil cognitif du jeune. Mais au-delà des recommandations pour le jeune, comment accompagner les parents à modifier leurs propres comportements? Beaucoup de programmes d’entraînement aux habiletés parentales existent, mais peu incorporent des stratégies comportementales proactives. Ces dernières se définissent comme des actions préventives multiples et adaptées afin 1) de compenser les difficultés ou les déficits de l’enfant liés à l’inattention, à l’hyperactivité ou à l’impulsivité dans le quotidien et 2) de manipuler le contexte et les événements précédant un comportement cible afin de prévenir l’apparition du comportement nuisible et de favoriser l’apparition du comportement désiré. Au terme de cet atelier, les participants seront en mesure de cibler des situations problématiques quotidiennes (routines, sorties publiques et sociales, période des devoirs, etc.) et outiller concrètement les parents dans l’acquisition et la modification de leurs stratégies parentales proactives dans ces situations spécifiques.

MartineVerreault, Ph.D.Dre Martine Verreault est psychologue clinicienne en bureau privé aux Psychologues du Suroît à Vaudreuil-Dorion et chargée de cours aux

Départements de psychologie de l’Université de Sherbrooke et de l’Université du Québec en

Outaouais. Elle se spécialise depuis plus de dix ans dans le développement, l’enseignement, la mise en œuvre et l’évaluation de programmes d’intervention destinés aux enfants et adolescents aux prises avec un TDA/H.

Samedi 26 septembre 2015 de 9h30 à 10h30

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L’adulte présentant un TDA/H:outils et pistes d’intervention

Nous constatons une hausse importante d’adultes qui consultent pour un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H). Préoccupées par cette réalité, nous avons développé un programme d’intervention pour mieux répondre aux besoins de cette clientèle.Notre modèle vise une intervention structurée, systémique et multidisciplinaire, ce qui correspond davantage aux thérapies de type coaching. Nous verrons comment les approches systémiques et cognitivo-comportementales proposent des interventions efficaces dans le traitement du TDA/H chez l’adulte.Dans cette conférence, nous exposerons les interventions qui nous apparaissent les plus pertinentes et qui tiennent compte de la globalité de l’individu. Nous parlerons des stratégies pour favoriser le fonctionnement personnel et professionnel de l’adulte présentant un TDA/H. Plus précisément, vous seront présentés des outils pour maximiser les capacités attentionnelles et mieux s’autoréguler. Seront aussi abordés des sphères telles que l’hygiène de vie et la gestion du temps ainsi que le développement d’une pensée adaptée devant les défis du TDA/H.Enfin, nous illustrerons à travers des exemples cliniques l’impact que les comorbidités les plus fréquentes du TDA/H ont sur l’intervention.

Dania Ramirez, M.Ps.Mme Ramirez est psychologue clinicienne en bureau privé. D’approche systémique interactionnelle, elle pratique la psychothérapie depuis plus de 20 ans. Elle coordonne le Service de soutien à

l’apprentissage du Centre étudiant de soutien à la réussite de l’Université de Montréal, le César, depuis une quinzaine d’années. Elle se spécialise, entre autres, dans le traitement du TDA/H chez l’adulte ainsi que dans le développement et la mise en place de projets favorisant la réussite universitaire, tant au niveau de l’individuel que du groupe.

Josée Sabourin, M.Ps.Mme Sabourin est psychologue en soutien à l’apprentissage au Centre étudiant de soutien à la réussite de l’Université de Montréal (César) depuis 2009. Elle a été professeure de psychologie au collégial

pendant plus de 15 ans. D’approche systémique interactionnelle, elle pratique la psychothérapie. Elle intervient entre autres auprès des étudiants universitaires présentant un TDA/H et anime un groupe de coaching pour ces étudiants depuis quelques années. Elle développe des ateliers de soutien aux facultés afin de favoriser la réussite scolaire.

Samedi 26 septembre 2015 de 11h00 à 12h00

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Psychothérapie et lésions cérébrales:Qui doit s’adapter?

Si l’intervention psychologique auprès des personnes présentant un trouble mental ou de la personnalité comporte de nombreux défis, celle auprès des personnes ayant subi des lésions cérébrales en comporte probablement encore davantage. En effet, les fonctions qui permettent l’adaptation – les capacités à ressentir, à être attentif, à faire des liens, à s’exprimer, à se comporter selon ses besoins – se trouvent elles-mêmes endommagées. Alors se pose tout naturellement la question : qui doit s’adapter? La personne cérébro-lésée, ses proches, l’environnement social, le neuropsychologue? Cette conférence abordera cette vaste problématique sous trois angles. En premier lieu, nous résumerons les facteurs qui déterminent l’efficacité de la psychothérapie en général. Au-delà des facteurs reliés à l’approche théorique et à l’intervenant lui-même, les facteurs reliés au client sont les plus déterminants. L’intervention auprès des personnes cérébro-lésées ne peut les ignorer. En second lieu, nous résumerons les thématiques les plus saillantes chez des auteurs traitant spécifiquement de la psychothérapie auprès des personnes ayant subi une lésion cérébrale (Klonoff, 2010; Ruff, 2014). En troisième lieu, l’auteur de la conférence se permettra de puiser dans ses propres expériences et partagera certaines attitudes et certains outils d’intervention utiles auprès des personnes cérébro-lésées. Une période de questions et d’échanges avec l’auditoire est prévue.

François Crépeau, Ph.D.Dr François Crépeau exerce auprès des personnes ayant subi des lésions cérébrales depuis 1986, surtout auprès des personnes ayant subi un traumatisme cranio-cérébral, en

phase de réintégration dans la communauté (CR Lucie-Bruneau). Entre 2008-2010, il a complété sa formation en psychothérapie selon l’approche humaniste, spécialisation auto-développement. Depuis janvier 2010, il œuvre à Montréal en pratique privée avec une clientèle diversifiée, sans ou avec des lésions cérébrales.

Samedi 26 septembre 2015 de 9h30 à 12h00

16

La cognition sociale en neuropsychologie:de la theorie aux tests

L’émergence de la capacité à comprendre la perspective d’autrui, d’interactions sociales satisfaisantes et de l’autonomie sociale sont des moments phares du développement. Des perturbations du lien cerveau-comportement survenant à n’importe quel moment en cours de route peuvent déranger l’équilibre délicat entre les processus environnementaux, cérébraux et cognitifs qui sous-tendent la compétence sociale, menant à des comportements sociaux mésadaptés. La venue du domaine des neurosciences sociales soutient l’idée qu’il existe un « cerveau social » responsable des habiletés socio-cognitives, telles que la théorie de l’esprit, l’empathie et le raisonnement moral. Ainsi, les neuropsychologues auraient un rôle déterminant à jouer dans l’évaluation de la cognition sociale et l’identification de problèmes sociaux dans le cadre de conditions développementales et acquises. Cette présentation vise à parcourir les fondements théoriques, cognitifs et neuronaux de la cognition sociale et d’exposer les applications pratiques de ces connaissances à l’évaluation clinique de la cognition et de la compétence sociale. Des outils expérimentaux et standardisés issus de la psychologie développementale et de la neuropsychologie seront présentés et les ouvertures futures pour les neuropsychologues dans le domaine de la cognition sociale seront discutées.

MiriamBeauchamp, Ph.D.Dre Miriam Beauchamp, neuropsychologue, est professeure agrégée au Département de psychologie de l’Université de Montréal où

elle dirige le Laboratoire de neuropsychologie développementale ABCs. Elle est également chercheure au Centre de recherche de l’Hôpital Sainte-Justine et professeure associée au

Département de neurologie et neurochirurgie de l’Université McGill. Ses travaux visant à mieux comprendre les conséquences des traumatismes cranio-cérébraux pédiatriques et la cognition sociale lui ont valu le prix de l’International Neuropsychological Society 2015, soulignant les réalisations scientifiques et cliniques exceptionnelles de chercheurs en début de carrière en neuropsychologie.

Samedi 26 septembre 2015 de 13h15 à 14h30

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Feedback that Sticks - The Art of Effectively Communicating Neuropsychological Assessment ResultsExplaining intrinsically complex neuropsychological assessment results to cognitively or emotionally compromised patients and their worried families is one of the most difficult things we do as a profession. This presentation is based on a three year qualitative research project, with in depth interviews of over 85 seasoned neuropsychologists, addressing the question, “How do we effectively deliver the type of understandable, memorable feedback that alters lives?” The presentation captures the best feedback philosophies, strategies, techniques and pearls-compelling feedback messages, metaphors, and stories- that effectively synthesize complex information, shared by preeminent neuropsychologists across specialty areas and professional settings.

Learning ObjectivesParticipants will be able to:

1.  Summarize the clinical components of Feedback that makes it an integral part of neuropsychological and psychological assessment practice.

2.  Flexibly apply multiple competent strategies for providing feedback tailored to specific patient characteristics and set the stage for optimal patient buy in.

3.  Distinguish between dry feedback techniques that create barriers to patient and family understanding of assessment results and recommendations, and techniques that facilitate buy in, and “stick” with patients long after the feedback session is over.

Karen Postal, Ph.D.Dr Karen Postal is the president-elect of the American Academy of Clinical Neuropsychology. She is a past president of the Massachusetts Neuropsychological Society and

the Massachusetts Psychological Association. Dr. Postal is board certified in clinical neuropsychology and pediatric neuropsychology and a clinical instructor at Harvard Medical school where she

teaches postdoctoral fellows in neuropsychology. She is the author of the Oxford University Press book, Feedback that Sticks: the Art of Effectively Communicating Neuropsychological Assessment Results. Dr. Postal has a lifespan private practice in Andover, MA., dedicated to helping people think better in school, at work, and throughout later life.

Samedi 26 septembre 2015 de 15h00 à 16h30

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Localisation

Universite de MontrealAmphithéâtre Ernest-Cormierdu Pavillon Roger-Gaudry2900 Boulevard Edouard-Montpetit

Bar le McCarold5400 Chemin de la Côte-des-Neiges

Le Département de psychologie est fier d’être partenaire du prochain congrès de l’Association

Québécoise des Neuropsychologues (AQNP).

Fondé en 1942, le Département de psychologie est le plus ancien département de psychologie francophone

d'Amérique du Nord. Encore aujourd’hui, il joue au Québec un rôle de premier plan dans la formation des

chercheurs en psychologie et des psychologues professionnels.

www.psy.umontreal.ca Département de psychologie

Faculté des arts et des sciences